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Embrasse mon cul

Ecrit par Culabite
Parue le 21 février 2014
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Cette histoire érotique a été lue 3791 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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Embrasse mon cul



Ce matin là, je me suis réveillée, heureuse de vivre. J'avais obtenu de Michel qu'il me désire. J'avais finalement dans mes mains ce que Elba aimait le plus et maintenant, il était à moi. La sensation d'avoir triomphé était merveilleuse et je désirais le rencontrer pour l'avoir de nouveau entre mes jambes.

Je m'habillais de la façon la plus sexy qui puisse être ce matin là, je portais une robe étroite, moulante et très courte qui laissait voir la naissance de mon cul et de mes nichons, parce qu'on ne sait jamais ce qui peut se passer et après le petit déjeuner, je m'apprêtais à faire un tour, quand mon mobile a sonné. Bonjour, c'était la voix de Michel, je suis étonné que tu aies mon numéro de mon portable, parce que je suis sur que je ne te l'ai pas donné et je lui demandais : Comment as tu obtenu mon numéro de portable ?
"Hier lorsque tu étais dans la baignoire, je l'ai cherché dans l'agenda d'Elba qui était sur la table."
Ah! Coquin que tu es.
Et tu t'en es rendu compte ?
Bien sur, que veux tu ? Lui demandais-je avec une certaine curiosité.
Rester avec toi, si possible. Il faut que je sois un peu plus attentionné avec ma meuf préférée, dis-je sur un ton provocateur.
« Bon, qu'est ce que nous faisons ? »
Ecoute, je dois aller à mon domicile, Elba m'a demandé d'accrocher des tableaux et a pensé que tu pourrais nous aider.
Cela me semble être une bonne chose, mais Elba pourrait nous surprendre ?
Non, ne t'inquiète pas, elle sera occupée toute la matinée, à faire des achats avec une amie dans le centre-ville, elle aime beaucoup faire des achats, elle est capable de rester des heures dans les boutiques de vêtements.
Bien, j'accepte.
Je passe te prendre dans environ dix minutes, petite
D'accord.
J'ai raccroché et je me sentais déjà excitée. Je ne peux pas comprendre si elle désirait l'avoir entre mes jambes à nouveau ou si c'était la soif de vengeance qui m'a poussé à vouloir entendre sa voix, mais c'était ainsi. De plus le fait de savoir que nous allons faire l'amour dans l'appartement qu'ils partageront une fois mariés et peut-être dans le lit conjugal m'excitait au plus haut point. Elle descendit la rue et se gara en double file à quelques mètres de la voiture de Michel. Je m'approchais et je montais dans la voiture.

« Bonjour petite, tu es très jolie, je me suis habillé en pensant à toi et aux cochonneries que nous allons faire. Il rit. « Ensuite tu diras que je suis un coquin, quand tu t'es fait une putain" Je lui souris malicieusement. Au premier feu rouge nous nous sommes arrêtés. Michel posa sa main sur ma jambe à demi nue remontant sur ma cuisse pour atteindre mon con et allongea un de ses doigts, caressant les poils de mon pubis. Cela m'excita beaucoup et je gémis. Michel essaya d'allonger un peu plus son doigt et je sentis qu'il caressait mon clito pendant qu'il ordonnait :
"Ecarte tes jambes petite, tu vas avoir plus chaud que si tu avalais une tasse de thé. De nouveau Michel devint aussi sauvage et fou que la nuit précédente et son comportement m'excita encore davantage. J'observais l'entrejambe de Michel et je vis comment sa bite grossissait. J'écartais les jambes pendant que j'allongeais ma main jusqu'à ce trésor tant désiré, je le caressais à travers son pantalon, pendant que le doigt de Michel fouilla dans ma chatte, me faisant frémir. Les feux passèrent au rouge et Michel pu commencer son manège, il retira sa main de mon entre jambe. Je continuais à masser sa bite dure et raide à travers son pantalon. Pendant qu'il continuait à conduire, j'ouvris la braguette de son pantalon, sortit sa bite droite comme un "i", je m'inclinais, et je commençais à le lécher. Michel ralentit en sentant ma langue sur son gland, mais il poursuivit sa route.
Ah! Comme tu es bonne, jamais Elba ne m'aurait fait tout ça...Je sentis la main de Michel sur ma tête, et comme il la poussait pour que sa bite entre complètement dans ma bouche, je sentis cette délicieuse pine glisser entre mes lèvres et le gland frapper ma luette. Le feu brûlait dans mon corps encore plus chaque fois que sa bite entrait et sortait, entrait de nouveau pour ressortir. Et il sentait qu'elle voulait seulement être la putain de Michel, la tienne et il la laissa s'épuiser de désir. Soudain, je sentis qu'autour de moi, il commençait à faire noir et que la voiture dévalait une pente, sans doute nous étions arrivés sur un parking.

Michel avait arrêté la voiture et je sentis qu'il posa sa main sur ma tête et avec l'autre main il caressait mon dos, pendant que je continuais à lécher sa bite, ce succulent sucre d'orge, pendant que Michel caressait mon cul à travers ma robe, et retirait ma robe, pour découvrir, que je ne portais pas de petite culotte. Uhm ! Comme tu es mignonne petite. Comme je t'aime s'exclama Michel en caressant mon cul nu et cherchant avec son doigt le trou de mon cul. Je caressais ses couilles, je léchais la hampe de sa bite et puis son gland, je sentis la saveur amère de son foutre. Je gémis lorsque son doigt arriva à vaincre la résistance et s'introduit dans mon cul. Nous étions au septième ciel et il était évidant que si l'un d'entre nous ne mit pas un terme à ce qui allait se passer dans la voiture.... J'ai donc arrêté et j'ai sorti la bite de ma bouche en disant à Michel :
"Pourquoi pas ? J'en voudrais davantage et ici nous n'avons pas de place". "Bon allez, petite.... » Nous sommes sortis de la voiture et nous nous sommes dirigés vers l'ascenseur. Pendant que nous attendions qu'il descende, devant la porte, nous nous sommes embrassés passionnément. Je pressais mon corps contre le sien, pendant que ses mains parcoururent mon corps et s'arrêta sur mon cul, qu'il massa amoureusement. L'ascenseur arriva à notre étage et nous sommes entrés dedans. Michel m'a pris avec force et me poussa contre le mur appuyant son corps contre le mien. Il retira ma robe mettant à l'air mon cul et ouvrit la braguette de son pantalon et aussitôt je sentis sa bite entre mes fesses.
"Non, Michel, non"
"Tu ne veux pas que je t'encules ?"
"C'est que tu m'as excité et j'ai maintenant envie que tu m'encules"
"Oui, oui Michel répondis-je avec la voix tremblant d'excitation, mais pas ici, attends que l'ascenseur s'arrête à l'étage"
"D'accord. Mais je vais t'enculer jusqu'à ce que tu sois morte de fatigue"...
L'ascenseur s'arrêta au dernier étage. Nous étions arrivés au grenier. La porte s'ouvrit et nous sommes allés directement dans un petit vestibule décoré de façon élégante et où il n'y avait qu'une seule porte. Michel prit la clef, ouvrit la porte et nous sommes entrés dans la superbe "penthouse" dans laquelle lui et Elbe allaient vivre une fois mariés. Je restais abasourdie en voyant cet appartement spacieux, avec une grande salle presque aussi grande que ma chambre et qui donnait sur un salon magnifique et bien éclairée.

Mais avant de pouvoir faire ou en voir davantage, Michel m'avait prise par la taille, m'avait portée jusqu'à la petite table qui était dans la salle et me pencha sur elle et s'apprêtait à embrasser et à caresser mon cul. A genoux derrière moi, je sentis sa langue s'introduire dans mon con à la recherche de ma mouille, puis il se faufila tel un serpent jusqu'au trou de mon cul et entra dans ce trou d'amour si chaud. Tout mon corps excité tremblait sous l'effet de ce plaisir merveilleux.
"Ah! Tu es vraiment une bien gentille fille, ton trou du cul, on te la pénétré de nombreuses fois, n'est-ce pas ? Pas étonnant que ma bite soit entrée sans problème dans ton trou du cul.
Ah!!! Oui, Michel, oui
Michel ne se le fit pas prier, il se leva me prit par les hanches et dirigeant sa bite vers mon trou du cul, me pénétra sauvagement, ce fut une pénétration si forte que sa bite entra complètement dans mon cul et je n'ai pu pousser aucun cri. Michel ne cessait pas de m'enculer, bien au contraire, il commença à marteler sans arrêt avec sa bite dans mon trou du cul, de nouveau me faisant sentir ses couilles qui frappaient les lèvres de mon con et le gland dans les profondeurs intimes de mon cul. Le rytme de ses coups et les caresses qu'il prodigua à mes doudounes m'excitait encore plus et je gémissais de plaisir et de désir. Michel poussa à chaque fois plus fortement, mais de temps en temps, il s'arrêtait pendant quelques secondes pour reprendre son souffle et retarder son orgasme.

Quand nous avions suffisamment récupéré, Michel se mit à investir mon cul, une fois de plus, ce qui faisait que mon corps se balançait d'avant en arrière sur la table de bois froide sur laquelle frottaient mes nichons.
Oh!!! Comme j'aime ton trou du cul ! Et tes cris de satisfaction m'excitent petite
Ah!!! Gémit t'elle
Cela te plait que je t'encule ?
"Oui, oui répondit t'-elle, super excitée et sur le point de jouir"
"Je vais remplir ton cul de foutre"
Ces dernières paroles m'ont excité encore plus et j'ai commencé à décharger de façon merveilleuse. En sentant mon trou du cul enserrer sa bite, Michel ne put pas non plus résister et comme déjà dit, il remplit mon trou du cul de sa chaude liqueur...Lorsque nos corps se furent calmés, nous nous sommes laissé tomber par terre. Michel m'embrassa fortement et je n'en connais pas la raison, mais j'ai regardé le plafond et dans un coin j'ai vu quelque chose qui ressemblait à une caméra de surveillance.
"Vous avez des caméras de surveillance? » Demandais-je à Michel.

Oui, Elba avait insisté pour les faire installer, nous avons aussi installé une alarme. Elle était obsédée par la sécurité, mais ça ne fonctionne pas encore, me dit t'il.
"Bien. Que penses tu si nous nous habillions et allions au travail je proposais à mon amant.
"Parfait".
Nous nous sommes habillés et nous sommes entrés dans la salle à manger. Elle était grande et très spacieuse. Elle était composée d'une partie réservée aux repas, à droite, devant un balcon qui donnait sur une grande terrasse, devant le balcon il y avait une porte qui donnait sur une grande cuisine entièrement équipée. A gauche c'était le salon meublé de canapés confortables et d'une grande télévision, devant un des canapés, il y avait un autre balcon qui donnait sur la terrasse et derrière l'autre, il y avait une porte donnant sur un couloir qui menait certainement aux chambres et à la salle de bains.
Lorsque j'eus terminé, je m'assis pour regarder Michel qui accrochait un cadre d'Elba sur l'un des murs de la salle à manger. Lorsque le cadre fut accroché, je m'approchais de Michel et posa sur ses lèvres un gros baiser et je lui dis :
" Tu as été parfait"
"Merci, comme j'ai beaucoup sué que penses tu si nous prenions un bain ?
"Bien comme tu veux," j'acceptais et j'étais sur le point de me lever, quand Michel reçut un coup de téléphone sur son portable. Il s'assit sur le canapé et je l'entendis dire : "Bonjour chérie. Oui j'ai accroché le tableau, c'est très bien."
C'était évident qu'il parlait à Elba et je n'ai pas pensé à autre chose que de m'agenouiller entre les jambes de Michel et j'ai commencé à caresser sa bite à travers son pantalon.
"Non ce n'est pas nécessaire que tu viennes, nous restons pour manger et après nous arrivons", dit-t'il en essayant de la convaincre de ne pas venir. Pendant que j'ouvris sa braguette et je sortis sa bite raide du chaud refuge de son pantalon, je léchais le gland et je l'introduisis entièrement dans ma bouche.
Michel essaya d'étouffer un gémissement et je sentis quand il passa sa main dans mes cheveux, pendant que je commençais à enfoncer sa bite dans ma bouche. "Tu as acheté beaucoup de choses ?" demanda t'il en essayant de contrôler son plaisir. Mes mains massaient ses couilles, pendant que je continuais à sucer sa belle bite qui grandissait dans ma bouche. Je sentais les spasmes qui produisaient le plaisir et le désir de décharger en elle, mais la conversation avec Elba le distrayait.
Je suis une petit môme sexy de 15 ans, et j'ai un problème : C'est que les garçons de mon âge sont à mes yeux de sauvages garnements. Aussi je m'intéresse aux hommes murs, de préférence âgés de 50 à 60 ans. Mais il est difficile de trouver des hommes célibataires dans cette tranche d'âge sans éviter les regards curieux. Alors, j'ai dû procéder par une recherche en ligne. Un jour j'ai rencontré un homme qui avait 51 ans, j'ai discuté avec lui et nous avons décidé de nous revoir, car la conversation que nous avions eue lors de cette première rencontre était assez excitante. Je suis allée chez lui un vendredi après midi à 17h30.

Il avait fait la cuisine et il avait dressé la table avec beaucoup de soin. Nous nous sommes assis mais nous n'avons pas abordé les choses intimes du sexe jusqu'au dessert. Petit à petit nous avons parlé "cul", car nous étions tous les deux excités et je mouillais déjà. Il me jeta sur la table et comme je ne porte pas de petite culotte, il déchira ma robe et commença à lécher mon con et aussi mon trou du cul. Oh! Mon dieu, il suçait comme un Dieu. Il passa sa langue sur mon clito en fit le tour, le lécha amoureusement de haut en bas, passa son doigt en haut, il voulait en mettre deux, mais il n'y arriva pas, car je suis trop étroite. Il lécha longuement mon con et mon cul, il lécha mon cul et mon con et bientôt, je ressentis mon premier orgasme. Je poussais un cri effroyable qu'on aurait pu entendre dans tout le Danemark.

Puis nous avons pris une douche. J'allais dans la salle de bain, il me déshabilla et il me plongea dans une grande baignoire, je priais pour qu'il ne vienne pas avec moi dans cette baignoire, mais il le fit. Il commença à me caresser, sa bite devint raide, il pelota mes nichons, mon Dieu comme c'était bon, il lécha mes doudounes, comme il était excité ! Soudain je lui dis d'enfoncer sa bite dans mon con, j'étais aussi très excitée. Je voulais m'assoir sur sa pine dure comme du fer, je me demandais si elle n'était pas trop grosse sa bite d'enfer, ou si je ma chatte n'était pas trop étroite. Je poussais pour que ma petite chatte rasée puisse aspirer sa grosse bite, mais c'était difficile et je ne jouis pas. Il posa ses mains sur mes hanches et un, deux, trois, je poussais un cri, ça faisait mal, mais c'était aussi délicieux. J'avais attendu toute la journée pour ressentir ce plaisir exquis. Je montais et je descendais sur lui et il jouit, moi je n'étais pas encore prête à jouir. Nous nous embrassâmes et je tombais dans ses bras. Il me soulevait et m'essuyait, car j'étais en sueur.
Il était toujours nu et très excité. Sa bite était dans mon con et je me libérais de cette bite dure comme de la pierre qui avait transpercé tout mon être. Mai j'avais encore envie de lui. Il désirait ardemment enfoncer de nouveau sa bite dans ma petite chatte serrée. Maintenant nous jouions, j'étais habillée comme une petite fille et il devait être le père. Il sortit et j'étais allongée, je mettais mes mains dans mon pantalon et je m'amusais avec un petit godemiché et avec un vibrateur à boutons. Il brisa le silence et il s'écria: "En voila une sale petite fille! Tu es allongée et tu t'amuses ! Il s'empara du jouet sexuel et me mit sur ses genoux. Il me fessa où cela me brûlait. Je commençais à geindre et il s'arrêta. Il me saisit et il me dit : "Tu vas faire quelque chose pour moi". Il sortit sa grosse bite juteuse et ajouta : Tu vas me traire" Je le fis, je suçais d'avant en arrière et lorsqu'il juta dans ma bouche, j'avalais tout son foutre.

Je le suçais une deuxième fois, je crachais sa semence sur sa tête et je le léchais pour le nettoyer, comme une bonne petite putain. J'étais si excitée et je gémissais. Je voulais qu'il le fasse aussi mais cette fois je lui demandais d'introduire sa bite dans le petit trou de mon cul. Je voulais qu'il m'encule, oui qu'il m'encule, qu'il m'encule profondément, qu'il me défonce.



Il mouilla ma petite rose avec le jus de ma chatte qui dégoulinait, mais mon trou du cul était extrêmement serré qu'il ne pouvait pas m'enculer comme il le désirait, mais je lui dis qu'il devait se coucher, il le fit et il pouvait tout voir, j'étais assez souple, donc il n'y avait pas de problème pour écarter mes jambes. Je montais et descendais sur sa bite gigantesque, je pouvais le traire avec mon cul et je sentis son foutre gicler dans le trou de mon cul. Je me levais rapidement et je me positionnais au dessus de sa bouche pour lui rendre son foutre qu'il venait de m'offrir. Je le léchais pour le laver de toute impureté et il me donna la main. Je pris de nouveau un bain et puis nous avons répété cette séance d'enculage de nombreuses fois par la suite.
J’aime beaucoup être pénétrée par le cul, Oh ! Sentir une grosse bite s’introduire dans ce petit trou, c’est merveilleux, ça glisse, ça glisse dans ce conduit très serré, pas aussi serré bien sur que le trou du cul de ma petite sœur de 12 ans qui avait été enculée par son copain de 14 ans le jour de son anniversaire.
Moi comme je vous l’ai déjà dit plus haut, je baise avec les hommes d’un certain âge avec mon oncle qui m’a enculée de nombreuses fois de peur de m’engrosser , il préférait enfoncer sa grosse bite dans le petit trou de mon cul, et il déchargerait des litres de foutre bien gluant, j’aimais, j’aimais aussi sucer sa pine que j’embouchais avec extase et je raffolais lorsque le foutre dégoulinait dans ma gorge.
Je dois vous dire aussi que mon professeur de français m’a engrossée l’année dernière, mais je n’ai pas voulu garder le gosse qu’il m’avait fait, le salaud. Il avait déjà mis en cloque sa femme sept fois et il a trouvé le moyen d’engrosser aussi sa fillette de 14 ans.




Très bien chérie, je suis heureux, je suis certain que .. que ... Ah ! Je sentis le premier jetssur ma langue, je me préparais à recevoir les jets suivants et je n'essayais pas de répondre à Elba, j'acquiesçais seulement et je dis :
Oui, oui, oui.
Ma bouche se remplissait de son foutre amer, que j'essayais d'avaler le plus vite possible. Pendant que je regardais son visage avide de désir, et son regard mal intentionné, je me disais que cette partie de baise n'allait pas se terminer comme ça.". Très bien chérie, nous verrons plus tard. Je t'aime dit il à Elba. Je levais la tête, j'avalais le dernier jet de foutre et je m'essuyais la bouche avec son bras.
"Mon Dieu comme tu es gentille". Je me sentais heureuse et satisfaite de lui avoir prodigué un merveilleux orgasme pendant qu'il discutait au téléphone avec cette imbécile qui était ma chéfesse. Pendant une seconde je pensais que les caméras de surveillance étaient branchées et qu'elle pourrait voir cette scène érotique.
J'allais me lever, quand Michel me prit par les hanches et m'asseyant sur ses genoux me dit :
"Non, non, non petite. Je désire t'enculer jusqu'à ce que tu sois crevée, me murmura t'il, en baissant ma robe jusqu'à mes hanches.
"Non, Michel, pas maintenant, j'essayais de m’échapper pour que le jeu soit encore plus morbide. Je suis enchantée que tu me désires, je courus jusqu’à une des portes qui me mena à la terrasse et je l'ouvris.
" Viens ici, ne t'enfuie" pas cria t'il en m'attrapant et en me tirant du sol. Sa bite sorti de son pantalon était de nouveau très raide, prête à une nouvelle attaque.
Il se pencha sur moi alors que j'essayais de me libérer, mais sans succès.
Ne pars pas, petite, tu ne sortiras pas de cette maison, sans que je t'encule de nouveau.
"N'importe qui peut nous voir" ai-je protesté.
"Alors qu'ils jouissent du spectacle et apprennent comment on encule une salope comme toi".
Sa façon de me parler m'excita encore davantage et je le laissais faire ce qu'il voulait. Il baissa ma robe jusqu'à mes hanches et je sentis quand il dirigea sa bite déjà en érection entre mes jambes. Son gland frappa l'entrée de ma chatte et je gémis".
"Ah! Tu es encore mouillée !!"
Ah! Oui, Michel.
Presque sans m'en rendre compte, il me mit à quatre pattes et il pénétra violemment mon con, un gémissement de plaisir s'échappa de ma gorge. Michel commença à m'investir sans cérémonie, il était clair qu'il était super excité et qu'il ne voulait pas me laisser partir sans m'avoir donné de nouveau de puissants coups de bite. Il me baisa plus fort à chaque fois accompagnant la pénétration brutale de mots comme :
"Prends ma petite, engloutis moi bien la bite, enserre la fortement dans ton con". J'étais au septième ciel et je sentais quand sa pine s'enfonçait dans ma chatte, ma jouissance s’annonçait, elle ne faisait que croître, quand je sentis Michel sortir sa bite de mon con et sans cérémonie, l'introduisit dans le petit trou de mon cul.
Michel poussa de nouveau violemment et faisait se balancer mon corps d'avant en arrière, ses main tirèrent mes cheveux, je baisais de telle sorte que ma jouissance comme la sienne allaient se produire intolérablement, nos corps tremblaient à l'unisson et tombèrent en extase sur le sol de la terrasse. Nos respirations s'accélérèrent pendant quelques secondes pendant que nous récupérions notre souffle.
Nous nous sommes levés et sommes entrés dans l’appartement, nous nous sommes rhabillés et je dis à Michel :
"Je crois que le voisin de la maison d'à côté nous a vu"
Bien, si cela ne te gêne pas, ça ne me gêne pas non plus".
Michel regarda sa montre et dit :
"Il va falloir partir maintenant"
"Très bien".
"Je te laisse ici".
"C'est très aimable de ta part".
Je suis allée chez moi et nous nous vîmes le lundi suivant.
Ce lundi là, je m'habillais de façon très sexy. J'étais prête à faire n'importe quoi, même à parler à sa patronne bien aimée du merveilleux vendredi et samedi que j'avais passé avec son fiancé.
Je pourrais donner mon cul pour qu’on me le caresse, qu’on me le lèche pour qu’on le fouette, pour qu’on le viole, qu’on y enfonce une fleur, une bougie, le manche d’un martinet, qu’il serve de coquetier. J’aime que l’on puisse me punir sévèrement, qu’on m’inflige le pire de supplice, comme m’obliger à accueillir plus de trois bite dans le petit trou de mon cul, c’est possible il suffit que mes amants poussent très fortement pour que leur jolie bite glisse avec bonheur dans ce trou qui n’a pas de fond. Je voudrais que leur bite ressorte par ma bouche et qu’un homme vienne la sucer. Je suis une fille à plusieurs places, car j’offre tous mes trous, ma bouche, ma chatte, mon trou du cul mes narines, mes oreilles.
J’aimerais posséder plusieurs trous du cul pour satisfaire mes amants.



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