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Tous les ans mes parents m'envoient en colo. Est-ce pour moi ? Est-ce pour se débarrasser ?
Enfin j'arrive au Château de l'île d'Oléron où se déroule ce camp de vacances et nous sommes initiés à la voile. Venus de toutes la France nous sommes par deux dans les chambres et l'organisation est serrée. Patrice arrive après moi, il vient de Paris et moi de Clermont-Ferrand.
Nous avons le même âge et nous sommes de la même classe.
Patrice est mignon quoique un peu timide et je m'aperçois vite qu'il n'a jamais quitté ses parents et que c'est la première fois qu'il se retrouve seul hors faille. Il est un peu angoissé, me pose mille questions et me suis pas à pas. Il est de taille moyenne, un visage de fille : les traits fins avec de grands yeux bleus et son short laisse apparaître deux jambes fines et imberbes. Il est aussi naïf que mignon.
Tous les matins une petite séance de décrassage puis cours et pratique sur 420 et 470. Bien sûr nous formons un binôme, ce qui fait que nous ne nous quittons plus de la journée.
Le troisième soir, les monos nous proposent d'aller sur la plage autour d'un feu de camp. Donc traditionnel feu de camp avec chansons et blagues que chacun veut bien conter ou accompagner. Et Patrice est à côté de moi et nous sommes en short et nous avons notre gilet à la main. Assis en tailleur sur plusieurs rangées, nous sommes sur la dernière. La lueur faiblit et seul le feu de bois éclaire les visages. La cuisse nue de Patrice est tout contre la mienne et la finesse de sa peau et sa chaleur m'excite. Au bout d'un certain temps j'ose et pose ma main sur la cuisse intérieure de mon voisin qui eut une petite réaction mais ne la retira pas. Les gilets qui sont sur nos genoux cachent nos gestes. De plus en plus excité par ce nouveau contact, j'entreprends de bouger ma main pour caresser. Patrice a l'air d'apprécier et écarte un peu plus ses cuisses. Ma main progresse et va s'approcher de l'échancrure de son entrejambe. Mon voisin fait mine de rien et son visage souriant et innocent écoute le petit spectacle organisé. Le bout de mes doigts arrivèrent à l'élastique du slip mais aucune réaction de rejet n'est observé. Là, je plonge ma main et saisit son sexe déjà raide. Pas très gros mais très dur et fin. Patrice se penche en arrière pour me faciliter la tâche. Personne ne peut nous apercevoir et ma main caresse ce sexe bien moulé.
Le visage de patrice est devenu grave mais à l'air d'apprécier.
Un moniteur approche, ma main sous le gilet ne bouge plus et je pense qu'il l'a vu. Non, il se penche vers moi et me demande si je pouvais aller chercher du bois mort dans le bosquet à 300 m derrière nous. J'opine du chef et demande à Patrice de m'accompagner. Il se lève aussitôt et me suit. En arrivant dans le bosquet, il fait sombre mais nous pouvons nous diriger. On s'enfonce dans la pinède et je découvre une petite clairière. Je m'y assois et Patrice fait de même. Je prends mon camarade par les épaules et en le faisant basculer sur le tapis d'aiguille de pins je lui roule une pelle. Il répond à mes baisers avec fougue. Je dégrafe son short et le baisse. Il se soulève pour que je l'en débarrasse. Ma main baladeuse se glisse dans son slip et je reprends la caresse que j'avais commencée. Patrice s'occupa de défaire mon short tout en m'embrassant. Ce qui fait que nous nous retrouvâmes tous les deux en slip au milieu de cette clairière. Très vite nous prîmes la position 69. Sa bite chaude glissait bien entre mes lèvres et je me délectais. La mienne très tendue et très excitée appréciais la bouche pleine de salive de mon camarade. Nous faisions tout pour nous retenir d'éjaculer, notre plaisir était énorme. Mais simultanément, lui et moi nous finîmes par lâcher tout notre sperme dans le bouche de l'autre, suçant aspirant et avalant. Nous restâmes un long moment immobile la bouche pleine du sexe de l'autre. Nous ne voulions pas perdre une seule goutte de ce nectar divin. Puis lentement, nous nous sommes levés et après s'être rhabillés, nous avons récolté les branches mortes qui trainaient autour de nous pour les apporter à=au groupe.
Tous les soirs nous prenions la direction de la plage et de notre clairière pour profiter l'un de l'autre. Nous pratiquions des 34,5 le deuxième soir et le troisième nous nus léchions l'oeillet pour bien lubrifier et nous préparer à la sodomie. Nous découvrions tous les deux ces jeux de l'amour entre garçons. Ce fût Patrice qui eût le baptème du feu. Après l'avoir bien léché et avoir enduit mon gland de salive je m'enfonçais lentement pour passer la bague anale puis progressant de plus en plus j'atteignais le fond. Une fois rassuré je le limais en le maintenant par les hanches jusqu'à l'explosion finale.
À mon tour je me mis à quatre pattes et Patrice m'encula avec la même précaution. Nous avions le cul en feu mais il nous tardait de nous retrouver tous les deux. Le stage dura 3 semaines et tous les soirs nous remettions ça plusieurs fois jusqu'à la fin. Nous nous sommes téléphonés quelques fois mais nous ne nous sommes jamais revus.
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Ecrit par Kali
Parue le 23 mai 2017
