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Expériences de vacances 5 – Ma femme devient insatiable.

Ecrit par doug
Parue le 12 08 2012
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Le lendemain, Kyle, Alice et moi, avions rendez-vous au restaurant. Nous avions décidé de le retrouver autour d'une table pour apprendre à le connaître.
Alice portait une superbe robe noire qui lui arrivait à mi cuisses. Cette robe, moulante, mettait en valeur sa splendide poitrine. Pour parachever l'ensemble, elle avait mis ses mules en cuir noir, des chaussures extrêmement sexy.
Il était un peu plus de 20 h 00 lorsque nous sommes entrés dans le restaurant. Notre invité était déjà là et nous attendait. Il portait une chemise blanche cintrée avec un pantalon bouffant noir très moderne et des chaussures basses en cuir fin. Il présentait bien.
Je me suis avancé vers lui le premier pour mettre tout le monde à l'aise.
« Bonsoir ! Je me présente, Jules. Ma femme, Alice »
Ça me faisait tout drôle de nous présenter après ce que nous avions fait avec lui. Moi, je ne connaissais que le son de sa voix et Alice, le goût de sa queue et de son sperme uniquement.
Nous nous serrâmes la main. Alice fit de même.
« Enchanté ! Mathis ! » Répondit-il avec un sourire poli.
Nous connaissions désormais son prénom. En nous voyant entrer, le serveur vint vers nous, puis il nous accompagna pour nous installer dans un coin tranquille, à l'écart des autres clients.
Nous nous sommes assis autour d'une petite table ronde plaquée le long d'un mur. Une belle nappe blanche la couvrait. La vaisselle était de qualité.
Alice s'installa en face de Mathis et moi face au mur.
Au début, nous avons eu un peu de mal à lancer la conversation. Mais l'apéritif facilita le débat. Après les banalités, j'introduisais progressivement le sujet qui nous avait amené là, à la demande d'Alice.
« Notre attitude vous déroute ? »
Il parut étonnement serein.
« Non ! J'ai déjà connu ce genre d'expérience. »
« Ah bon ? Où nous sommes logés ? »
« Exactement ! Avec un couple qui vous ressemblait en tout point. »
Les yeux d'Alice s'écarquillèrent. Sa curiosité venait d'être piquée à vif. C'est elle qui reprit la conversation à son compte.
« Et comment ça s'est passé ? » Lui demanda t-elle avec un sourire.
« Disons que la dame avait de gros besoins. Son mari m'a fait participer, comme vous au début, mais ensuite, il a fallut lui trouver autre chose. »
Alice commençait à être excitée. Je le remarquais de suite. Le serveur nous amena l'entrée, servit le vin que je goûtais au préalable, puis il s'esquiva.
Elle relança Mathis, attendant des réponses précises.
« Elle avait des goûts particuliers ? »
« Oui ! Et son mari aussi. Avant de parler d'elle, je vais dire une chose sur lui parce que ça me revient. Un de ses trucs à lui, s'était le footjob et elle savait vraiment y faire ! »
« Et vous ? Ça vous plaît aussi ? »
Ce terrain m'excitait. Je laissais Alice conduire le débat entre deux bouchées.
« Je suis fan ! Je trouve ça super excitant. »
« Avec ou sans chaussures ? »
« Les deux ! C'est une question de contexte et ça dépend surtout des chaussures. »
Je portais mon verre à mes lèvres et bu une gorgée de vin.
« Comme ça ? » Dit Alice.
Sur le coup, Je ne compris pas le sens de cette phrase et posait mon verre. C'est le silence qui suivit qui attira mon attention. Mathis était figé sur son siège pendant qu'Alice le regardait avec un air provoquant. Du côté de Mathis, la nappe bougeait à un rythme régulier, mais discret.
« C'est dur ? » Lui demanda t-elle en souriant.
Il bredouilla quelques mots difficilement compréhensibles. Elle ajouta, amusée.
« Vous devriez vous mettre à l'aise ! »
Mathis me regarda. Je ne dis rien, car j'avais compris. Il mit sa main sous la table, bougea un peu son bassin et reposa sa main sur la nappe.
Alice se recala elle aussi sur son siège, cherchant une position qui lui convienne. Je compris que c'était la bonne lorsque Mathis ouvrit la bouche et souffla sans dire un mot. Pour n'attirer l'attention de personne, je fis tomber ma serviette par terre et me penchais pour regarder sous la table.
Alice était vraiment très entreprenante. Ses deux jambes étaient allongées sous la table. Son pied droit avec sa mule venait coiffer le sexe de Mathis. Son gland était donc pointé vers l'intérieur de sa chaussure, prisonnier entre le cuir et ses orteils, pendant qu'avec son autre pied déchaussé, elle lui caressait les testicules.
Je ramassais ma serviette et repris ma position sans faire d'allusion.
« Où en étions nous ? » reprit Alice avec son air mutin.
Mathis transpirait. La nappe bougeait au niveau de son bassin. Il parvint cependant à articuler.
« Je crois que nous en étions aux besoins de madame, il me semble. »
« Oui, c'est ça ! Vous disiez qu'elle avait de gros besoins et qu'il a fallut trouver des solutions pour la satisfaire je crois ? »
« Oui. Son truc de base, c'était le nombre, mais rien que des hommes. Elle était insatiable. Sur sa demande, j'ai cherché plusieurs hommes rien que pour elle. Mais comme elle était sympa, elle m'a fait participer avec les autres. Ça a été chaud, croyez-moi ! »
Le serveur s'approcha. Nous avions terminé notre entrée. Il ramassa nos couverts et nota le mouvement sous la nappe. Il partit et revint avec une serviette pour ramasser les miettes. Il s'y prit méthodiquement et quand il fut à la hauteur de Mathis, il tira un peu sur la nappe. Le tissu glissa sur la chaussure d'Alice. Sa mule apparut, posée sur le sexe bandé de Mathis. Il vit l'autre pied d'Alice sur ses testicules. Cette vision le scotcha sur place. Il se retourna vers ma femme, mais ne dit rien. Alice ne retira pas ses pieds de la queue de Mathis, elle sourit simplement à l'employé avec un air amusé.
Le serveur lâcha la nappe. Il était mal à l'aise. Il resta muet et repartit vers la cuisine chercher nos plats.
Il y eut un nouveau silence autour de la table. Silence vite rompu par Alice.
« Revenons à ce qui nous intéresse et surtout ce qui m'intéresse. Vous avez réussi à trouver suffisamment d'hommes pour elle ? Ça ne doit pas être facile ? »
Mathis semblait en difficulté. La nappe bougeait un peu plus vite.
Le serveur revint avec ses plats, des entrecôtes saignantes de belle taille accompagnées de frites. Il nous servit. Ma femme s'adressa à lui.
« Vous avez de la sauce blanche s'il vous plaît ? »
L'employé fût surpris par cette demande, mais il comprit vite le jeu.
« Non madame, mais je peux vous en faire préparer si vous voulez. »
Alice le regarda effrontément et elle ajouta.
« J'aime tellement ça ! C'est onctueux. Mon mari m'en prépare avec des saucisses maison. Un délice. »
Le serveur n'était pas dupe. Avec ce qu'il venait de voir, il comprit le jeu et enchaîna.
« Je peux vous en préparer moi-même si vous le voulez ? C'est une de mes spécialités. »
Elle le regarda avec l'air provocant qu'elle est capable d'afficher. Dans ces moments là, on ressent une terrible envie de sexe dans ses yeux brillants de désir.
« Ce sera de la vraie sauce maison ? » lui demanda t-elle en le fixant.
C'était surréaliste. À mots couverts, Alice demandait au serveur qu'il lui apporte son foutre en guise de sauce.
Il lui sourit à son tour.
« Ce sera de la vraie de vraie, préparée avec attention et amour. Je n'en ai pas pour très longtemps. »
Le serveur repartit vers les cuisines. Il en sortit avec un saucier en argent et se rendit vers les toilettes. Quelques minutes après, il sortit des toilettes, son saucier à la main, s'approcha de ma femme et le déposa près de son assiette.
« Voilà madame. Elle est toute fraîche. Chaude juste ce qu'il faut ! »
Le temps était comme suspendu. Personne ne disait rien. Alice regarda Mathis puis le serveur et dit :
« Je sais que ça ne se fait pas. Permettez ? »
Elle trempa son index dans le saucier et le porta à ses lèvres en regardant Mathis. Elle le suça, faisant mine de déterminer les saveurs. En la voyant faire ça, Mathis poussa un petit cri. Son bassin se mit à bouger. Alice retrempa son index dans le saucier, puis elle s'adressa au serveur qui n'en revenait pas.
« Absolument délicieux. Il faudra que je revienne et que vous m'expliquiez dans le détail comment vous faites. »
« Aucun problème madame. Je suis à votre disposition ! »
Il repartit ensuite vers les cuisines.
Mathis transpirait sur sa chaise. Il venait de jouir entre les pieds d'Alice. Elle ramena ses jambes sous son siège et remis ses pieds plein de foutre dans ses mules.
« Pas mal hein ? » Lui demanda t-elle.
Notre invité se rajusta sous la table. Il confirma ce que je connaissais déjà, mais sans les mules.
« Impressionnant je dirais ! »
« Vous me cernez mieux maintenant. Si je vous dis que la dame que vous avez connu me ressemble et bien c'est vrai. Sauf que moi, je pense être plus dure à satisfaire qu'elle et surtout, un peu plus sophistiquée. »
« Ce qui veut dire ? Votre souhait, c'est quoi précisément ? »
Nous y étions enfin.
« Ne cherchez pas à savoir. Il me faudra plusieurs hommes. Beaucoup. Vous pouvez déjà commencer à chercher. C'est pour demain soir, même heure dans notre chambre. Comme vous avez vu, elle est grande, alors, n'hésitez pas. Il y aura toujours de la place. Bien entendu, c'est moi qui prépare le scénario. Ne vous préoccupez pas du nombre. Prospectez vite. Mon mari verra avec vous pour l'organisation quand je lui aurai défini précisément ce que je veux. »
Le reste du repas se déroula dans la même ambiance. Mon sexe me faisait mal tellement il était comprimé dans mon pantalon.
Le serveur amena l'addition qu'il posa près de moi. Après avoir payé, nous nous sommes levés.
Juste avant de partir, elle s'est adressée à lui.
« Votre sauce était un délice. Je reviendrai, soyez en sûr ! »
Il jeta un coup d'oeil dans le saucier et constata qu'il était vide.
Alice en rajouta une couche.
« C'était tellement bon que je l'ai fini avec du pain. »
Nous sommes dirigés vers la sortie. Le serveur nous suivait. Ou plutôt, il suivait Alice et regardait ses pieds et ses mules. Le sperme de Mathis s'étirait en mince filaments entre la semelle de ses chaussures et la plante de ses pieds.
Alice le remarqua. Avant de sortir du restaurant, elle dit au serveur en désignant Mathis :
« Si mes chaussures vous plaisent, contacter ce monsieur. Il pourra certainement vous aider. »
Après ça, nous avons rejoint nos domiciles chacun de notre côté. Dès que nous sommes dans la chambre. Je me suis mis à genoux près du lit. Alice a levé la jambe et posé son pied chaussé de sa mule trempée du sperme de Mathis sur le bord du lit. Elle a soulevé légèrement son talon pour que je puisse glisser mon gland entre sa semelle et son pied. Immédiatement après, elle a abaissé son pied sur mon gland pour le coincer en dessous, puis elle s'est mise à me masturber. Ce ne fut pas long. J'en avais trop entendu ce soir pour pouvoir résister longtemps. Dans les secondes qui suivirent, j'éjaculais des quantités énormes de foutre dans sa mule. Elle me branla jusqu'au bout, jusqu'à la dernière goutte. Mon sperme coula dans sa chaussure. Ses orteils était noyés dans le foutre. J'étais exténué. Je retirais mon gland de sa chaussure. Elle ne dit rien, se rendit vers la salle de bains en conservant ses mules aux pieds. Avant d'y entrer, elle les retira. Je vis son pied dégoulinant de foutre sortir des sa mule. Le sperme retombait en coulées dedans. Ça ne la gênait pas outre mesure. Elle les laissa devant la porte et lorsqu'elle fut dans la douche, elle me demanda :
« Chéri ? Tu peux nettoyer mes chaussures ? »
J'en saisis une, pris du papier toilette et épongeait le sperme qui se trouvait à l'intérieur, celui de Mathis et le mien.
Me voyant l'essuyer méticuleusement, elle ajouta :
« Ne te casses pas trop la tête. Ce n'est pas grave si ce n'est pas parfait. De toute façon elle vont resservir. »
Demain s'annonçait chaud. Mathis savait quoi faire. Quant à moi, je n'avais plus qu'à attendre qu'Alice m'explique ce qu'elle voulait.


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