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Expériences inattendues en vacances 1

Ecrit par doug
Parue le 30 juillet 2012
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C'était il y a seulement quelques jours, dans une splendide maison d'hôtes. Nous étions en vacances et ma femme avait trouvé ce site juste avant de partir, après une recherche ciblée sur Internet. Un lieu tranquille, dans un petit village de Languedoc-Roussillon. La maison était composé d'un ancien bâtiment totalement rénové et de trois belles chambres. Comme d'habitude, nos voisins étaient partis faire un peu de tourisme culturel et visiter les curiosités locales. Dans le jardin, une piscine spacieuse et quelques transats permettaient de se détendre. Un mur entourait la propriété. Mis à part le pignon d'une maison avec un fenêtre, à peine cachée par un pin, il n' y avait pas vraiment de vis à vis. Cette fenêtre, assez crasseuse, semblait de plus donner sur un grenier vide et délaissé. Depuis le début de notre séjour, le ciel était bleu sans aucun nuage et la chaleur torride invitait à un repos bien mérité. Cette situation idyllique permettait à mon esprit imaginatif de vagabonder sans retenue. Assailli par les fantasmes, j'avais laissé tomber ma lecture et j'observais ma femme allongée, seins nus sur son transat. La vision de son corps ne fit qu'accroître mon envie. Une bosse bien visible poussait mon maillot de bain vers l'avant.
Pas du tout par hasard, elle entrouvrit les yeux et me regarda avec l'air coquin qu'elle peut parfois avoir. Elle savait que j'avais envie d'elle et me sourit, amusée par mon inconfort. Vicieuse, elle passa ses mains sur ses seins, mimant une caresse et pour me provoquer, elle ferma les yeux en se léchant les lèvres. Après quoi, elle me regarda et rit doucement, satisfaite des sa provocation. À presque 47 ans, ma femme est toujours superbe. Sa poitrine, ferme et volumineuse ferait envie à bon nombre de jeune femme et son corps reste mince. Quant à moi, quasi quinquagénaire, je suis toujours aussi sportif et mon physique est envié par beaucoup de plus jeunes que moi. Nous formons donc, sans exagérer, un beau couple.
N'y tenant plus, je me levais et m'approchais d'elle. Je me mis à genoux et posais alors ma main sur ses seins magnifiques.
« Ça devient un peu dur de te regarder sans rien faire », lui dis-je pour la sonder.
Un peu surprise par mon geste elle leva la tête pour voir s'il n'y avait personne dans le jardin.
Constatant notre solitude, elle se décontracta. J'étais bien décidé à aller plus loin et lui dressait un tableau le plus arrangeant possible pour arriver à mes fins.
« La propriétaire est partie depuis un bon quart d'heure pour faire les courses, comme tous les après midi. Nous sommes absolument seuls. »
Elle me regarda, interrogative, mais comprenant à demi mots mes intentions, elle voulut vérifier le sens de ma requête.
« ici ? Tu es fou ! Et si elle rentre à l'improviste ? »
« Elle ne rentrera pas avant un bon moment. Elle est partie en voiture avec une tonne de sacs. Elle m'a dit tout à l'heure qu'elle allait faire le plein à Perpignan. Elle va mettre au moins deux heures avant de rentrer. Ça nous laisse largement le temps de nous éclater. »
Elle ne répondit pas immédiatement. Après quelques secondes de réflexion, elle lâcha, peu rassurée par cette situation inédite :
« C'est risqué ce que tu me demandes. »
Cette phrase n'était pas un refus net. Donc, tout était possible, et même faisable. Pour essayer de la détendre, je lui montrais la haie qui séparait la maison et le jardin.
« Aucun risque de se faire surprendre. Regarde. Si elle devait arriver, ce qui est plus que très peu probable, non seulement, elle ferait du bruit avec la porte d'entrée qui grince, ça on ne peut pas le rater, et en plus elle ne peut pas nous voir à cause de la haie. Nous avons largement le temps de réagir. »
Je reposai ma main sur ses seins, la fit descendre jusqu'à son bas ventre lentement.
« Alors ? On tente ? »
Elle ne me répondit pas, me laissant l'initiative. J'avais l'autorisation tacite et je comptais bien en profiter.
Je lui ai caressé doucement le sexe à travers son maillot de bain et j'ai commencé à sucer ses deux mamelons qui pointaient vers le ciel. Après quelques minutes, elle s'est définitivement abandonnée et elle s'est calée sur son transat pour se mettre dans la meilleure position. À ce moment, j'avais la certitude qu'elle mouillait déjà.
Je la connais bien. Après de nombreuses années à mener une sexualité très classique, voire retenue et refoulée par l'ensemble des interdits d'ordre religieux qui bridait considérablement sa libido, elle avait récemment évolué et se montrait maintenant beaucoup plus ouverte. Tout avait commencé quatre ans auparavant avec l'achat d'un sex-toy on ne peut plus basique, en plastique lisse et couleur crème. À l'époque, avec un petit effort de persuasion, j'avais réussi à la convaincre que cet ustensile agrémenterait notre activité qui manquait un peu de piment et sombrait dans la routine. Elle ne refusa pas, attirée sans se l'avouer par les possibilités, mais se montra réservée. Les recommandations sur les caractéristiques de l'objet furent assez strictes. Pas question de l'effrayer. En fin de compte, cet achat se révéla être un véritable déclencheur pour elle. Progressivement, elle laissa aller sa libido, découvrant des territoires qu'elle s'interdisait d'explorer. Dernièrement, après avoir obtenu son accord, j'ai acheté un autre sex-toy, mais cette fois, réaliste. Là encore, il a fallut avancer en douceur. Maintenant, elle le suce avec ardeur pendant que je la pénètre, mimant une fellation torride devant mes yeux ébahis. Dans le même temps, il m'arrive, quand elle en a envie, de la sodomiser en lui enfonçant un doigt dans l'anus. Cette pratique, bien qu'elle la fasse beaucoup fantasmer, reste limitée. Il n'est donc pas encore question de la sodomiser avec un sex-toy et encore moins avec mon propre sexe. Pourtant, je suis sûre qu'il ne s'agit que d'une question de blocage qui pourrait tomber si elle faisait ouvertement le point sur sa sexualité et son héritage religieux qu'elle reconnaît elle-même être une sorte de carcan qui l'empêche de faire ce qu'elle a envie. Autre amélioration, histoire de l'exciter davantage, nous regardons régulièrement des films porno pendant l'acte sexuel et ceci, à sa demande. C'est dire si l'évolution a été fulgurante par rapport à nos débuts.
L'action était lancée. Il fallait accélérer pour ne pas faire retomber la pression. Je lui retirais donc son bas de maillot en le faisant glisser sur ses jambes fines et bronzées.
Enfin libre, elle écarta alors un peu les cuisses. N'y tenant plus, je baissais mon boxer. Sans arrêter les caresses, je me déplaçais sur le côté et mis mon sexe bandé à hauteur de son visage. Toujours allongée, elle saisit alors ma queue et la caressa doucement. Cette situation nouvelle l'excitait, je le voyais bien. Si ça passait comme d'habitude, elle ne tarderait pas à me sucer ou me demander de lui faire un cunnilingus.
Mes doigts s'enfonçaient dans ses chairs trempées comme jamais lorsque mon attention fut attirée par la fenêtre de la maison d'à côté, juste derrière le pin parasol. Tout en continuant à caresser ma femme, je scrutai négligemment le pignon de la maison et remarquait un mouvement furtif derrière la vitre du grenier que je pensais désert. Dans la pénombre, j'aperçus tout à coup un homme qui se tenait debout, immobile. À première vue, il devait avoir une quarantaine d'années. Il m'était impossible d'en savoir plus. Par contre, ce que je savais, c'est qu'il nous regardait et entendait bien rester là, pensant que nous ne le voyons pas.
J’eus un instant d'hésitation, mais excité par la situation, je ne fis rien pour interrompre nos ébats sexuels. Il est vrai que ce type de situation me fait toujours beaucoup fantasmer. Or là, j'avais l'occasion de le vivre en direct. Il ne me fallut pas longtemps pour admettre que j'allais laisser faire et voir ce qui se passait. Mon comportement en fut cependant un peu modifié et ma femme le remarqua. Elle me regarda et comprit que quelque chose d'inhabituel se passait. Intuitive, elle tourna la tête vers le grenier. Elle marqua un temps d'arrêt et fixa l'homme à la fenêtre. Et là, elle me surprit car elle ne dit rien du tout. Elle me regarda simplement, cherchant quelque chose dans mon regard, une fin de non recevoir, une incitation. En bref, un signal qui marque mon intention. Sur le coup, un peu pris au dépourvu, je lâchais doucement deux mots, espérant que cela suffirait pour ne pas arrêter là l'expérience. :
« On continue. »
Elle resta muette, mais je remarquais rapidement que ses yeux n'affichaient pas la même expression que d'habitude. Ils brillaient et traduisaient une excitation que je ne lui connaissait pas. En fait, elle se doutait de mon idée et ne cherchait pas d'approbation de ma part. Contre toute attente, elle n'avait en réalité pas du tout l'intention d'interrompre quoi que ce soit, au contraire.
Un tressaillement de désir traversa son corps. Son clitoris était dur et les pointes de ses seins tendus. Elle saisit mon sexe et me masturba nerveusement en me regardant, puis, sans s'arrêter, elle se tourna vers le grenier et fixa notre voyeur qui demeurait en retrait. Jamais je ne l'aurai cru capable d'oser faire ça, défier un inconnu.
Depuis son repaire, ce dernier avait suivi notre manège et surtout celui de mon épouse. Il avait vite compris qu'elle s'exhibait en toute connaissance de cause. Rassuré, il s'enhardit et s'approcha de la fenêtre. Puisque sa présence était décelée et que tout le monde était consentant, il n'avait plus de raison de se gêner. Bien visible désormais, l'homme qui devait avoir environ 35 ans, se révéla assez beau. Il était brun et portait un polo, certainement un Lacoste. Il ne faisait pas vulgaire, au contraire. Son bras droit était animé d'un mouvement régulier. À n'en pas douter, il se masturbait, mais tout ce qui était en dessous de sa ceinture était caché par le bord de la fenêtre.
Ma femme resta les yeux fixés vers l'inconnu. Je ne la reconnaissais plus. Sans hésitation, elle ouvrit largement les cuisses pour s'offrir au maximum. Elle posa sa main sur la mienne et m'invita fermement à la caresser plus fort. Elle se cambra, ondulant sous mes caresses. Toute à son plaisir, elle ne faisait même plus attention à moi. J'étais son jouet. Elle était au centre du jeu et je faisais parti de son décor. Sa main allait de plus en plus vite sur mon sexe. Elle lâcha quelques secondes la fenêtre des yeux et se mit à me sucer rapidement, comme si elle voulait me faire jouir. La bouche pleine, elle gémissait sous mes doigts. Elle retira ensuite mon sexe de sa bouche et se retourna vers l'homme en continuant à me masturber. Elle recommença ce petit jeu plusieurs fois de suite, pour montrer à notre inconnu qu'elle me suçait pour l'exciter et qu'elle y prenait un énorme plaisir. Au bout de quelques minutes, elle changea de stratégie et ne le quitta plus des yeux. Ma femme se mit alors à me branler à un rythme infernal tout en appuyant sur ma main qui s'activait sur son clitoris. Elle n'en avait pas assez. Non. Elle savait ce qu'elle voulait et ça se résumait en quelques mots. Elle voulait voir notre inconnu jouir derrière sa fenêtre.
Elle continua à me masturber, le regard fixe. C'était un peu comme si elle lui disait, regarde, mon mari va jouir parce que ça m'amuse et toi aussi.
Mon bassin trembla. Un jouissance inouïe me traversa le corps. Mon gland se dilata. Une giclé de sperme fusa et s'abattit sur ses seins. Ce qu'elle me refusait strictement dans un cadre normal, cette fois, elle n'y prêtait même pas attention. Giclé après giclé, mon sperme se répandait en longues traces brillantes sur sa poitrine. Elle continua à me branler de façon frénétique, comme si elle voulait me vider de tout mon sperme. Après quelques secondes, elle ralentit et le reste dégoulina sur sa main, s'étirant en long filament vers le sol.
À l'étage, notre voyeur était arrivé au point de rupture. Il ne fallut que quelques secondes pour qu'à son tour, il fut secoué par une vague de tremblements. Ma femme le regarda, sans broncher, jouir jusqu'au bout dans le silence de son grenier.
Elle ferma alors les yeux. Un gémissement, une espèce de plainte venu de très loin sorti de sa gorge. Elle jouit longuement, le corps animé par des ondulations qui se propageaient de la tête aux pieds. Jamais elle n'avait joui comme ça, avec une telle puissance.
Lorsque les spasmes furent terminés, elle rouvrit lentement les yeux, cherchant la fenêtre.
Notre homme, bien élevé, avait disparu pour ne pas laisser un malaise s'installer et que chacun reste sur une note positive.
J'observais ma femme, alanguie sur le transat. Fatiguée, elle venait de lâcher mon sexe ramolli. Sa poitrine était luisante de mon abondante éjaculation. Elle me regarda, hésitante, ne sachant pas quelle réaction j'allais avoir. Pour toute réponse, je déposais un tendre baiser sur ses lèvres.
Un peu déroutés par notre propre attitude, nous sommes remontés sans dire un mot dans notre chambre. Ce n'est qu'à l'issue de nos douches respectives que nous avons abordés cette expérience, vraiment exceptionnelle pour nous. Là je compris que ma femme avait franchi un nouveau seuil et qu'une nouvelle expérience, la même ou d'un autre type, pouvait probablement être tentée. Ce n'était qu'une question de contexte.


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