Histoire erotique : Experiences inattendues en vacances 4

Cette fois, nous avions réellement dépassé la ligne rouge. L'exhibitionnisme n'était plus suffisant. Il y avait eu contact entre ma femme, Alice, et son admirateur. Et pour une première, ce n'était pas anodin. La veille, elle avait sucé son sex-toy réaliste, sur lequel elle avait étalé mon sperme, en se mettant à genoux devant l'ouvrier de la propriétaire, jusqu'à ce que l'homme lui décharge son foutre sur le visage et les seins.
Nous en avions discuté, elle et moi, juste après. Elle en était encore toute retournée, mais pas du tout choquée, au contraire. Elle avait fait comme elle l'avait senti. Elle reconnaissait que son comportement évoluait chaque jour, et que les barrières culturelles et religieuses qui avaient bridé sa libido pendant toutes ces années ne représentaient plus rien pour elle. Ces expériences lui avaient ouvert de nouveaux horizons et elle regrettait le temps perdu. Au cours de la discussion, nous sommes rentrés dans les détails. C'était une nécessité après 25 ans de vie commune avec des relations sexuelles assez traditionnelles, bien que depuis peu, elle changeait. Notre vie de couple s'en trouvait chamboulée, car elle ne m'avait pas habitué à ça et elle-même ne savait pas où elle allait, laissant libre cours à son imagination.
En l'écoutant, il était clair qu'elle paraissait pressée de découvrir de nouvelles sensations, sûre que des plaisirs nouveaux, qu'elle s'était toujours refusée par interdit, s'offraient à elle.
« Tu en penses quoi ? » lui demandai-je.
Elle ne voulait pas me brusquer et me dit doucement :
« Tu sais, un de tes fantasmes, qui est aussi un des miens je le reconnais, celui de me voir avec un autre homme... »
Je ne dis rien, attendant la suite avec un peu d'anxiété mêlée d'excitation.
« ...je suis prête pour le réaliser. »
« Tu... tu es prêtes pour faire l'amour avec un autre homme ?
Elle vit un peu de peur dans mon regard.
« Ne t'inquiètes pas. J'ai simplement envie de réaliser ça. Je t'aime. C'est juste une expérience. Une de plus, n'est-ce pas ? »
C'était vrai. Moi aussi, j'y trouvais mon compte et cette proposition m'excitait au plus haut point. Mais passer du fantasme à sa réalisation nécessite un minimum d'organisation et de précaution pour que, le jour J, tout soit parfait et sans surprise. C'était son vœux, pas question pour moi de contrarier son fantasme. C'était à elle de nous guider.
« On fait comment ? Tu as une idée ? »
Elle n'attendait que ça.
« On pourrait inviter l'ouvrier. Il est mignon, et bien foutu. Il me paraît respectueux. Hier, il aurait pu tenter de me toucher, me demander quelque chose, mais il ne l'a pas fait. Pourtant, ça n'a pas dû être facile pour lui. Rester sans rien tenter avec ce que je lui ai fais.... »
Elle avait raison. Il aurait pu enjamber le rebord de la fenêtre et entrer dans notre chambre. C'était facile. Sauf qu'il était resté sagement à se branler de l'autre côté, se contentant de jouir à distance sur son visage. Cet homme pouvait faire l'affaire et, d'une certaine façon, il nous connaissait déjà un peu. Plus question de se dérober, il fallait agir.
« Et pour la façon, on fera quoi ? »
Pendant nos ébats sexuels, elle refusait certaines choses, comme la sodomie par exemple, sauf si elle était pratiquée avec le petit sex-toy ou avec un doigt. Il fallait donc bien poser des limites ou des interdits, en bref, envisager un scénario minimum. Elle me répondit presque aussitôt, preuve que sa démarche était très claire dans son esprit.
« J'ai mon idée. Tu n'auras qu'à te laisser faire. Tu ne seras pas déçu. »
« Et on le fait quand ? »
Ses yeux se mirent à briller.
« Cet après midi ! »
« Qui contacte l'ouvrier ? » Lui demandais-je.
« Toi ! »
Je suis donc sorti de la chambre pour me rendre dans le jardin. L'ouvrier y travaillait. À mon air gauche, il comprit de suite que notre conversation allait être un peu spéciale. Sans rentrer dans le détail, il accepta sans hésitation notre proposition. Je lui fixais l'heure. Rendez-vous à 15 h 00, devant la porte de notre chambre, avec les suggestions d'usage concernant la propreté et l'hygiène.
À 15 h 00, notre homme, que nous appellerons Kyle par commodité et pour rester discret, se présenta devant la porte.
Je lui ouvrais. Il entra.
Ma femme se tenait debout, nue, le dos tournée près du lit. Elle attendait, immobile.
Je demandais à notre homme de se déshabiller dans la salle de bains, ce qu'il fit sans précipitation. Je fis de même. Lorsque nous fûmes nus tous les deux, conformément au souhait d'Alice, j'accompagnais Kyle jusqu'à elle.
Il se colla à ses fesses, commença à la caresser longuement. Les épaules, la nuque, puis il descendit progressivement. Il était attentionné et doux.
Alice lui tournait toujours le dos. Il passa ses mains sous ses bras et caressa ses seins. Elle frémit.
Kyle fit glisser sa main vers son ventre, frôlant sa peau. Doucement, il l'introduit entre ses cuisses qu'elle écarta légèrement.
J'observais la scène, ne sachant pas quoi faire, spectateur un peu penaud, mais excité par son audace. Je m'approchais à mon tour et caressais ses seins.
Quatre mains parcouraient son corps. Elle tremblait de désir. Après une à deux minutes, elle se retourna, se serra contre Kyle et l'embrassa goulûment. À l'issue de ce long baiser, elle se mit à genoux devant lui. Son sexe raide se trouvait devant ses lèvres. Elle le saisit le caressa lentement, puis elle commença à lécher son gland lisse et gonflé. Il ne lui fallut pas longtemps pour commencer à le sucer comme elle sait si bien le faire.
Kyle appréciait son traitement. À tel point qu'il prit la tête d'Alice entre ses mains et commença à aller et venir entre ses lèvres comme s'il s'agissait d'un sexe. Il lui baisait littéralement la bouche. Ma femme se laissa faire. Je voyais la queue de notre invité aller et venir jusqu'à sa gorge.
Pas question pour moi de demeurer dans l'ombre. J'avançais mon sexe vers son visage et commençais à me masturber.
Elle était sur une autre planète. Cette bite qui lui coulissait entre les lèvres la comblait, mais elle avait d'autres idées en tête. Alice poussa les mains de Kyle, elle s'empara de son sexe et du mien et les masturba, face à son visage. Je la revois encore, branler nos deux queues à proximité de sa bouche. Tellement près qu'au bout de quelques secondes, elle mit les deux glands dans sa bouche et nous branla en même temps. Alice nous regardait, alternativement. Ses yeux traduisait son envie de foutre, une expression que je ne lui connaissais pas. Elle lâcha nos queues et s'installa sur le lit, en levrette. Kyle n'a pas hésité un seul instant, il est monté sur le lit et l'a pénétrée. Quant à moi, je me suis placé devant elle et elle a enfourné ma queue dans sa bouche. Kyle a alors commencé à aller et venir en elle. À chaque coup de rein de Kyle, sa bouche était projetée en avant sur mon sexe. Pendant qu'il la pénétrait avec force, il lui claquait légèrement les fesses. Alice avait les yeux mi clos. Elle subissait nos assauts et y prenait un énorme plaisir. Ça n'a pas duré longtemps. Alice a interrompu cette phase. Toujours en silence, elle m'a fait comprendre que je devais m'allonger sur le dos, ce que j'ai fait. Alice a alors enfourché mon bassin. Elle a saisit ma queue, l'a guidée vers sa chatte, puis elle s'est empalé dessus. J'allais commencer à aller et venir en elle, quand elle m'a fait signe d'arrêter. Elle s'est alors retournée vers kyle, puis elle a écarté ses fesses. Notre homme ne s'est pas fait prier. Il s'est placé derrière elle, a pointé son gland sur son anus, puis il l'a sodomisée lentement. Alice a fermé les yeux et un peu grimacé sur le coup, mais elle n'a pas reculé. Kyle s'est enfoncé en elle jusqu'au bout. Alice a alors commencé d'elle même à aller et venir sur nos deux queues. Pendant un bref instant, elle m'a regardé et j'ai vu son plaisir intense. Elle se projetait sur nos bites avec passion. C'était comme si elle voulait qu'on la transperce au plus profond. Kyle et moi étions au bord de l'explosion, Alice l'avait parfaitement compris. Elle s'est alors levée, a saisit nos deux queues pour que nous la suivions. Elle est descendue du lit et s'est mise à genoux sur le sol. Nous étions tous les deux devant elle, la bite pointée vers son visage. Pour la première fois depuis le début, elle s'est adressé à Kyle.
« Branle-toi ! »
Puis elle a saisit mon bassin entre ses deux mains et s'est introduit ma queue au plus profonde de sa bouche.
Kyle a commencé à se masturber, le gland à quelques centimètres de son visage. Alice a ensuite commencé à imprimer un mouvement de va et vient frénétique à mon bassin, faisant coulisser ma queue à toute vitesse entre ses lèvres.
Je ne pouvais pas tenir bien longtemps comme ça. Alice, qui me connaît parfaitement, savait que j'allais jouir d'ici quelques secondes. elle a alors arrêtée sa fellation, s'est tournée vers Kyle et lui a dit :
« Décharge-moi dessus ! »
Après quoi, elle a recommencé à me sucer à fond.
Il ne m'en fallait pas davantage. Ce qu'elle venait de dire, elle qui ne disait pas un mot d'habitude, était suffisant pour moi. Mon souffle s'est accéléré. Elle a sorti mon gland de sa bouche et m'a masturbé comme une hystérique juste devant ses lèvres à peine entrouvertes. Elle a regardé Kyle qui lui aussi ne tenait plus et se branlait de plus en plus vite.
L'explosion ne tarda pas. Je n'en pouvais plus. Pendant qu'Alice restait les yeux rivés sur le gland de Kyle, je jouis avec une puissance jusqu'alors inconnue.
Un giclée de sperme, abondante et brûlante, fusa de mes entrailles. Le visage d'Alice fut éclaboussé. Cette première salve n'interrompit pas sa masturbation et elle fixait toujours la bite de Kyle. J'éjaculais tout ce que je pouvais. Les giclées suivantes s'abattirent sur sa bouche, ses mains et ses seins. Cette douche de foutre la dopa littéralement.
« Donne-moi ton foutre ! »Dit-elle à Kyle avec ses yeux implorants.
Alice ouvrit alors la bouche et avança son visage au plus près du bassin de Kyle, sa langue placé juste sous son gland.
« Jouis moi dans la bouche, vite ! »
Notre homme lâcha un long gémissement, puis il jouit en fermant les yeux tellement c'était puissant.
Une longue giclée de sperme fusa dans la bouche d'Alice qui ne bougeait pas. Une suivante lui zébra le front en coulant dans ses yeux. D'autres suivirent, éclaboussant ses lèvres et ses joues, se mêlant à mon propre foutre. Le visage d'Alice était ruisselant de sperme. Kyle continuait à se branler sur elle jusqu'à la dernière goutte, comme elle le lui avait demandé.
Alice prit ma main et l'amena entre ses cuisses pour que je la caresse. Elle prit ensuite nos deux bites dans ses mains et se caressa le visage avec, étalant notre foutre sur chaque centimètre carré de sa peau ou les suçant chacune à leur tour. C'est à ce moment là qu'elle a jouit presque instantanément.

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