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Fanchon ,un dimanche à la campagne

Ecrit par historicul
Parue le 22 décembre 2008
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Cette histoire érotique a été lue 7847 fois | Cette histoire erotique a une note de : 15/20

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Fanchon,un dimanche à la campagne

Les cousins et cousines avaient joué toute l’après midi, le soleil d’août était à son maximum.
La petite bonne Fanchon c’était habitué à servir dans ce château et les visites des parentés élargies aux cousinages lui convenaient, elles changeaient des visages habituels.

Leurs jeux avaient entraîné les adolescents vers le pommier prés de la rivière. Après avoir cueilli les fruits les plus bas, les deux garçons les plus grands prirent sur leurs épaules leurs belles cousines jumelles pour atteindre d’autres branches. Les demoiselles avaient retroussé leurs jupons et passé leurs cuisses de part et d’autre de la tête des garçons .Pour ne pas tomber elles serrait fort les cous, les gars avaient empoigné leurs mollets ou leurs cuisses. La sueur collait leurs peaux.
Très vite la perception de ces petits bas ventres bombés rendit le jeu différent pour les garçons. Ils se firent un clin d’œil de connivence pour signaler l’un l’autre que le divertissement était ailleurs. Les demoiselles aussi prirent intérêt du contact de ces cous musclés sur les entre cuisse. La rose se mit à bouger le bassin et à frotter son sexe sur le cou qu’elle emprisonnait, pour se disculper elle mimât les oscillations propres à l’équitation. Sa sœur violette pour les mêmes raisons fit de même. Le cou des gars fut de ce fait vite mouillé par la transpiration mais aussi par des sucs venus transpercer les culottes fines. Les odeurs exhalaient des fentes mouillées. Les garçons bandaient fort et Fanchon qui venait livrer un panier de collations s’en aperçue sans s’en émouvoir.
Elle posa le drap prés de la rivière, déballa le panier et se rapprocha des cavaliers avec un cruchon en main.
Les amazones avaient agrippé les branches comme pour faire du trapèze ,ce qui soulageait un peu de leur poids les nuques et leur permettait de se frotter encore mieux en riant. Les gars avaient remonté leurs coudes passé leurs bras sous les jupons et tenaient les petites fesses dans leurs mains.
Fanchon vint se placer devant un gars avec une cruche munie d’un bec verseur,et lui vida doucement une rasade de vin dans la bouche. Pour cela mais aussi par jeux elle se colla au sexe dressé et se frotta tout contre voyant que le gars était coincé. Elle changea de proie et vint se frotter au deuxième de la même façon. Ils étaient à un mètre l’un de l’autre. Elle posa sa cruche et saisie les queues dans chacune de ses mains.
Les jumelles cessèrent de se contorsionner et en se collant très serrées profitèrent du spectacle. Les queues furent extraites des pantalons par fanchon et elle commença à les branler sous les yeux des filles. Les gars posèrent des baisers à l’intérieur des cuisses des filles. puis l’un d’eux pivota pour se retrouver face au ventre de sa cavalière ,l’autre fit pareil. Fanchon les repris en main. Les demoiselles s’accrochaient aux branches. Les culottes étaient fendues, les langues trouvèrent le passage et ouvrirent ces vulves à peine pubères.
Fanchon se mit à genou et emboucha une queue sans lâcher l’autre. Elle passa de l’une à l’autre.
Un craquement dans les branches annonça la chute du groupe. Ils n’était pas haut mais l’herbe l’était et ils se retrouvèrent en vrac les uns sur les autres. Un rire collectif puis tous regardèrent Fanchon avec sympathie, ils avaient tous un motif pour se venger gentiment d’elle. Huit mains la déshabillèrent, les gars lui ouvrir les jambes en lui tenant les mains, elle se débattait un peu mais uniquement pour mieux se laisser faire. Une jumelle fut placée entre la cuisse pour lui lécher sa chatte, et sa soeur vint en renfort. Elles enfoncèrent leurs doigts partout, dans le minou et dans le petit trou. Le clito fut léché aspiré, trituré, tordu. Un deux trois doigts devant et autant derrière. Les garçons a leur tour virent pénétrer Fanchon couchée sur le dos, les deux sœurs profitèrent de la leçon leurs doigts sur leurs chattes gonflées. Chacun faisait dix aller et retour pour laisser place a l’autre. Puis il la mirent à quatre pattes et la reprirent sur le même rythme. Les jumelles se mirent elles aussi à quatre patte cote à cote en riant et en offrant leur cul aux deux gars. Ils délaissèrent Fanchon un moment et se placèrent derrière leurs cousines .Les queues entrèrent lentement puis fort au bout d’un petit moment les deux gars changèrent de proie, et firent des commentaires sur les différences ressenties Pour être sûr ils revinrent à la petite du début pour se dire qu’elles étaient pareilles. Fanchon se plaça entre eux et pris une paire de couilles dans sa main droite et une autre à gauche. Elle alla jusqu'aux chattes et remonta encore jusqu’aux clitos qu’elle tritura.
. Fanchon qui participait de son mieux leur dit de ne pas engrosser les jeunes demoiselles, aussi se retirèrent ils mais pour demander à fanchon de leur passer une noisette de beurre du panier pique nique à chacun .Fanchon apporta le beurre et massa chaque queue avec. Ses mains étaient grasses aussi demanda t-elle aux filles de se remettre à quatre patte et elles leur enduisit les petits trous du cul avec en effectuant un massage propice à l’élargissement. Une fois prêtes elle dit aux garçons de venir à la place préparée. Les bites entrèrent d’un seul coup faisant crier les filles mais aussitôt elles furent prisent de râle de plaisir et les garçons accélérèrent .Ils jouirent tous ensemble, et les gamines ne furent pas fécondées.

Tous entèrent nu dans l’eau, Ils se séchèrent au soleil, allongé sur le drap blanc. Les demoiselles firent admirer leurs jolis nids et se caressèrent mutuellement. Ce qui fit bander
les garçons à peine remis. Fanchon en bonne employée de maison pour les sécher fit un tour auprès de chacun des quatre et leur lécha les parties intimes.

Ce dimanche s’acheva ainsi.







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