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Nous ouvrîmes donc la porte bleue et nous découvrîmes … un cheval ! Coralie comprit tout de suite quel était le remède proposé :
- Oh non ! murmura Coralie ; pas avec … lui, quand même. Cela je ne pourrai pas…
Mais, en proie à un combat intérieur, elle ajouta bientôt :
- Pourtant, j’ai soif, … si soif …
Et ce faisant, elle fixait le sexe de l’animal. Je la vis alors se passer la langue sur ses lèvres. Je commençai alors à être convaincu qu’elle allait pouvoir. L’effet du gadget n’était pas non plus dissipé sur moi non plus et je bandais instantanément en imaginant ma délicieuse compagne s’activant sur l’animal, avant de recevoir la très copieuse giclée qui allait immanquablement arriver ... Mes juniors semblaient partager également mon attente, vu leur érection béate.
Nous commençâmes à la peloter et la caresser avec une douceur toute calculée pour l’encourager et l’exciter. Coralie, hésitante encore mais presque convaincue, fixait, la bouche entrouverte, le sexe géant déjà en érection. Je malaxais ses seins avec force en lui murmurant :
- Approche-toi de lui, fais ce que tu dois faire pour te guérir de cette soif qui t’obsède.
Je brulai de découvrir à la fois quel serait le volume de l’éjaculation et comment Coralie réagirait à ce moment-là, excitée comme elle l’était.
Sans un mot, Coralie s’arracha lentement à nos caresses et approcha lentement ; elle s’agenouilla alors en face du sexe imposant. Alternativement, elle serrait les lèvres puis les rouvrait en passant sa langue dessus ou se les mordillait légèrement, signe de son conflit intérieur.
Junior 1 et 2 tentèrent de l’encourager en scandant :
- Coralie ! Coralie !
Mais ils s’arrêtèrent aussi rapidement qu’ils avaient commencé devant la tension qui régnait soudain devant ce que Coralie s’apprêtait à faire. Enfin, elle ouvrit la bouche et l’approcha du membre géant. Elle posa timidement ses lèvres dessus, marqua un temps d’arrêt puis commença doucement à lécher le gland distendu. Le sexe de l’animal frémit sous la caresse. Ce fut sans doute le déclic et Coralie entama une fellation identique à celles qu’elle nous avait prodiguées à tous.
Ce fut plus difficile au début ; mais Coralie ouvrit de plus en plus largement sa bouche pour faire pénétrer le plus possible le gland énorme dans sa petite bouche. Elle y parvint enfin et s’activa de plus en plus sur le membre et donnait l’air d’avoir complètement oublié ce qu’elle suçait. Nous la regardions fascinés, attendant avec une excitation croissante mêlée d’inquiétude l’inévitable dénouement. Au bout de cinq minutes de ce traitement, le sexe commença à être animé de légères oscillations.
- Je crois que çà vient … dis-je aux juniors
Coralie l’avait senti aussi et elle cala le gland bien au fond de sa bouche pour tenter de ne rien perdre de la semence qui allait bientôt en sortir.
- Je n’y crois pas ! elle va vraiment le faire ! souffla Junior 1
L’animal émit un court hennissement. Nous espérions secrètement que l’éjaculation serait diluvienne pour voir comment Coralie la gèrerait dans l’état d’excitation où elle se trouvait. Nous ne fûmes pas déçus. D’un seul coup, elle eut un hoquet suivi d’un léger mouvement de recul. L’éjaculation commençait. Presque aussitôt deux jets fusèrent de chaque côté de la bouche sous la pression de l’éjection. Je vis distinctement Coralie avaler ce qui devait être une grosse gorgée de foutre puis après un deuxième hoquet, elle s’écarta et un flot de liquide blanchâtre lui dégoulina de la bouche sur les seins et les cuisses. Elle reçut ensuite une troisième giclée en pleine figure et quitta précipitamment sa position. Le sexe émit encore cinq ou six giclées très puissantes qui traversèrent le vide pour aller s’étaler un peu plus loin. Dépitée, Coralie s’essuya le visage comme elle pût et s’exclama :
- Quel torrent ! je me suis laissée surprendre et j’en ai bu à peine. Mais c’est bien meilleur que je ne pensai au départ et son sperme a à peu près le même gout que le vôtre. Sauf qu’il y en a beaucoup plus !
Sur ces mots, elle partit se rincer en disant :
- Il faut absolument que je réessaye ! la deuxième fois, il éjaculera moins fort.
Nous n’en revenions pas. Nous allions avoir droit à une deuxième tentative. Coralie revint rapidement, toute propre. Sans une hésitation cette fois, elle s’agenouilla devant le membre qui avait repris de la vigueur et recommença sa fellation. Là-encore, il ne fallut guère plus de cinq minutes pour que le sexe arrive à maturité. Mais quand elle sentit les premiers spasmes se produire, elle ne garda que le bout du gland à l’intérieur de sa bouche et se prépara. Nous comprîmes que le sexe éjaculait en voyant les joues de Coralie se gonfler. Puis nous la vîmes avaler une première fois. Ses joues se gonflèrent encore mais soudain, une giclée plus forte la submergea et deux jets de liquide blanchâtre fusèrent de chaque côté de sa bouche sans qu’elle puisse l’absorber. Coralie dirigea le sexe hors de sa portée pour éviter d’être à nouveau aspergée et l’éjaculation se termina dans le foin, moins violente mais très abondante.
- J’y étais presque ! mais avec ce que j’ai pu avaler mon étrange sensation de chaleur et de soif a presque complètement disparu.
- Mais pas complètement ! intervins-je aussitôt ; pour plus de sécurité, il vaut mieux assurer et tenter un dernier essai.
En l’occurrence, ma prévenance à la voir « guérie » n’avait d’égal que mon envie et celle de mes 2 clones de revoir une dernière fois cet étrange et délicieux spectacle.
Coralie se remit donc à l’ouvrage. Il fallut un peu plus de temps pour obtenir l’érection. Nous attendions avec impatience de voir une dernière fois sa bouche remplie en abondance et instantanément par cette usine à foutre. Le cheval émit un hennissement sourd en ce moment suprême et Coralie adopta les mêmes précautions que précédemment. Nous vîmes une nouvelle fois les joues de la petite cochonne se gonfler. Coralie avala, puis ses joues se gonflant à nouveau, elle avala goulument une deuxième fois, chose qu’elle n’avait pu réussir lors des deux tentatives précédentes. Il en coulait bien un peu en dehors de ses lèvres closes mais la majeure partie devait finir dans son estomac. En fait, les giclées étaient devenues moins puissantes mais plus nombreuses et Coralie pouvait tout avaler au fur et à mesure comme si elle était en train de boire au goulot d’une bouteille ou mieux d’un biberon. Mais quel biberon ! Et je bandai de la voir téter ce lait intarissable ! Les salves se succédèrent pendant plus d’une minute et Coralie devait être cette fois complètement gorgée de sperme. Pourtant elle continuait à en avaler. En me basant sur la quantité émise lors de la précédente éjaculation, j’estimai qu’il devait y en avoir plus d’un litre ! et elle n’en finissait toujours pas d’avaler ce biberon de foutre ! Enfin, Coralie se retira. L’éjaculation avait pris fin.
- Ouf ! dit-elle, toute essoufflée. Je suis remplie … et ma soif a enfin disparu !
Je fus presque déçu, car la vue de son interminable avalage de foutre m’avait donné envie de revoir une dernière fois ce bien étrange et délicieux spectacle…
Par contre, nous bandions tous les trois comme des malades et Coralie n’eut d’autre choix que de nous satisfaire dans sa bouche ; les cataractes de foutre que nous lui envoyâmes dans le gosier durent lui paraître comme un simple digestif après son exhibition.
Epuisés et enfin repus, nous quittâmes le local dans lequel l’étalon avait retrouvé son calme et nous allâmes nous affaler sur les sièges du grand salon. J’eus alors l’idée de regarder celui de Coralie au pied duquel s’affichait le poids de la gourmande. Je lus alors « 60,6 kg ». Me rappelant du poids de cinquante-huit kilos et trois cents grammes affiché au début de cette aventure, un rapide calcul mental m’apprit alors que Coralie avait dans l’estomac … 2.3 litres de foutre ! Un cocktail de sperme humain et de cheval !
Et notre aventure fantastique se termina ainsi ; mais n’était-ce pas seulement un simple fantasme futuriste ? …
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