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Fascinante Sandra

Ecrit par Sandratvtg
Parue le 15 mai 2007
Il y a 1 commentaire pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 6294 fois | Cette histoire erotique a une note de : 16.25/20

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Je suis heureux de passer ce dimanche avec Sandra. C’est une fille superbe qui aime réaliser mes fantasmes et prend volontiers l’initiative lors de nos jeux érotiques.


Aujourd’hui, elle décide de faire l’amour en inversant les rôles. Je me déshabille fébrilement pendant qu’elle choisit avec soin dans sa garde robe les dessous qu’elle me destine.


- Voilà qui va te transformer en femme fatale ma chérie, m’affirme-t-elle en me tendant un ensemble de dentelle affriolant.

Elle m’aide à passer une ravissante guêpière rouge et noire très sexy avec ses quatre jarretelles par côté qui maintiennent les coutures des bas bien alignées lors des étreintes.

Puis, elle place de somptueuses prothèses en silicone dans mes bonnets 105c.

Ma taille élancée me permet de supporter aisément cette poitrine de rêve qui m’aide à me transformer physiquement et mentalement en femme.
Enfin, d’un geste très féminin, Sandra roule mes bas et les enfile avec sensualité sur mes jambes pour les accrocher aux jarretelles.
J’ai une forte érection lorsqu’elle remonte lentement les deux jarretières assorties à la limite de mes bas.

Satisfaite de son choix, elle me fixe d’un regard torride et explore de sa main l’intérieur de mes cuisses.

- Ton gros clito m’impressionne ma belle, je meurs d’envie de le faire couler, me dit-t-elle en me pressant tendrement les bourses.
Elle me glisse un ravissant slip ouvert qui met ma queue en valeur et dévoile opportunément l’accès à ma grotte.

Une longue robe de nuit fendue jusqu’à mes hanches et des escarpins achèvent ma métamorphose.

- Je vais t’assouplir l’anneau, me dit Sandra en soulevant mes dessous pour m’enfoncer un plug qu’elle tourne vicieusement dans mes fesses.

- Ne joue pas les effarouchées, tu vas connaître bien d’autres surprises, me dit-t-elle d’un ton moqueur.

Assise pour la séance de maquillage, je croise et décroise les jambes pour entendre le crissement de mes bas et contracte mes fesses pour sentir vivre l’objet plongé dans mon intimité.


Je laisse Sandra me maquiller les yeux et me poser des faux cils. Elle me peint ensuite les lèvres d’un rouge intense et me coiffe d’une perruque blonde bouclée qui achève ma transformation.

Perchée sur mes talons aiguilles, je fais quelques pas devant la glace qui me renvoie l’image troublante d’une séduisante belle de nuit.
J’admire ma taille élancée, sanglée dans cette ravissante guêpière qui comprime mes seins.

Je tire sur mes bas en caressant avec volupté la douceur du voile satiné.

Je contemple sans me lasser le galbe parfait de mes jambes mis en valeur par mes escarpins.

J’ai maintenant toutes les armes de la féminité et compte bien m’en servir.

- C’est une magnifique réussite Sandra, mais suis-je à ton goût ?
- Tu me plais beaucoup ma belle et je te le prouve à l’instant.

A genoux devant moi, elle plonge la tête dans mes dessous et remonte lentement ses mains le long de mes cuisses pour jouer avec l’objet qu’elle m’a planté dans l’œillet.


Puis, elle se relève et me culbute sur le lit en retroussant ma robe de nuit sur mes seins pour me découvrir le ventre.
Sournoisement sa main glisse dans la fente de mon slip et se referme sur mon sexe en érection. Elle me masturbe et me pompe le gland jusqu’à ce qu’il atteigne sa taille idéale.
Satisfaite, elle se lève pour choisir un gode ceinture noir qu’elle plaque avec soin sur son porte jarretelles.
C’est un triple spécial qui lui permet de s’enfoncer un sexe dans la chatte et un autre dans les fesses. Le troisième démesuré m’étant réservé.

Elle enfile la culotte en latex en introduisant les deux premiers godes dans ses orifices. Puis, elle se sangle solidement pour retenir le mandrin qu’elle me destine.

- Tu as un beau petit cul et je brûle d’envie de le prendre, me dit-t-elle.

Debout, face à moi, elle a les seins dressés dans un corset rose et noir. Sa taille est serrée dans une minijupe de cuir ultra courte qui laisse apparaître le pli de ses fesses. Elle est retroussée sur le devant par le phallus géant qui retombe lourdement sur ses cuissardes.
En riant, elle le plaque contre sa cuisse pour évaluer sa taille :

- Regarde comme il est long, il atteint presque mon genou, il doit faire au moins vingt cinq centimètres. Je ne t’ai encore jamais prise avec un mandrin pareil, s’exclame-t-elle.

Me défiant du regard, elle caresse d’une main appuyée la hampe de ce sexe qui me donne des frissons. Immobile, la bouche entrouverte, elle se passe la langue sur les lèvres en savourant l’instant.
Puis, cambrée sur ses talons aiguilles qui mettent sa chute de reins en valeur, elle s’approche de moi, dominatrice et sure d’elle.

Etendue sur le lit, les yeux à la hauteur de sa taille, je fixe avec fascination l’énorme gode qui se balance lourdement entre ses cuisses fuselées.

- Je vais te l’enfoncer entièrement dans les reins ma belle, allonge toi sur le côté, me dit-t-elle d’un air décidé.

Elle se place derrière moi et m’ouvre les jambes avec son genou pour y glisser ce sexe infernal.

Se voulant rassurante, elle le fait coulisser entre mes cuisses en me frottant le périnée à chaque va et vient.

Malgré mon inquiétude, ce massage efficace me provoque une superbe érection qui lui montre que je suis prête pour la suite.

Elle m’enlève alors le plug et examine attentivement ma rosette. Elle passe son doigt sur le pourtour de mon anus en sentant un léger relief qui lui révèle ma longue pratique de la sodomie. Elle explore avec sa langue ce renflement avant de la plonger dans ma grotte en me donnant un plaisir fabuleux.

Elle me sourie d’un air complice et me dit :


- Eh bien ma petite cochonne, je sais maintenant que tu es capable d’accueillir ce gros calibre dans tes fesses.

Elle pointe le gode à l’entrée de mon anneau en l’excitant de petites pressions successives.

Je sais qu’elle va l’enfoncer à fond car elle me prend en levrette qui est la position la mieux adaptée aux pénétrations extrêmes. C’est donc avec une certaine fébrilité que j’attends son assaut.
Elle s’accroche à ma taille et tente de forcer mon passage à plusieurs reprises.

Déçue par ses échecs, elle retire le gode de sa fixation pour le lubrifier abondamment en me jetant un regard ambigu.

- Tu ne perds rien pour attendre ma chérie, me dit-t-elle en l’emboîtant avec force sur son socle.

J’entends un bruit sec qui me fait frissonner quand elle le plaque sur son ventre. Puis, prenant une seringue, elle aspire une forte quantité de lubrifiant dans un bocal.

- Avec cette dose, tu vas t’ouvrir facilement, m’affirme-t-elle en me plongeant la canule dans les fesses.

Elle pousse avec régularité le piston en faisant couler progressivement le gel dans mon ventre.

Elle écarte ensuite délicatement la dentelle de mon slip en pointant le gode contre ma rosette.

- Maintenant, cambres toi et pousses au maximum pour m’aider ma belle car il est vraiment très gros, me dit-t-elle.

Je vacille sur mes genoux lorsqu’elle force mon passage. Dilatée à l’extrême, ma rondelle cède à la force brutale du pal qui m’ouvre en deux.
Je laisse échapper un cri de douleur quand mes chairs s’écrasent devant cette pression intolérable.
Indifférente, Sandra s’active de plus belle en faisant disparaître peu à peu ce sexe cyclopéen.
Maintenant bien calée en moi, elle me relève une jambe pour s’enfoncer aussi loin que possible.
Elle me masturbe avec une telle efficacité que je finis par m’offrir moi-même à ce pieu qui me défonce. Voyant cela, elle m’encourage verbalement en s’accrochant à ma taille pour mieux m’empaler.

- C’est bien ma chérie, donne toi davantage, me susurre- t-elle à l’oreille.

Soudain, le gode bute contre un obstacle et je vois le visage de Sandra s’assombrir.

- Si prés du but, c’est vraiment dommage, me dit-t-elle.

- Attends, je vais t’aider, lui dis-je dans un souffle.

J’ondule et roule du bassin pour changer l’inclinaison du gode et réussit à le replacer dans l’axe de mon fourreau.

Satisfaite, Sandra me défonce à nouveau et gémit de plaisir en sentant les godes s’agiter en elle.

Déchaînée, elle me besogne sans s’arrêter de me branler.
Me voyant embrochée jusqu’à la garde, elle se décide enfin à m’achever.

Dominatrice expérimentée, elle manie le gode avec un art consommé en stimulant ma glande d’amour de délicieuses pressions successives qui me mettent le feu au ventre.
Elle me fouille les entrailles avec une joie non dissimulée en observant sur mon visage le plaisir profond et intense qu’elle me donne jusqu’à ce que ses caresses subtiles sur mon frein fassent gicler ma semence en abondance sur ses doigts.
Lorsqu’elle sort de mes fesses, elle regarde hypnotisée ma rondelle s’étirer lentement sur l’énorme cylindre noir comme pour mieux le retenir.

Puis, elle enlève son gode ceinture et me dit d’une voix provocante.

- A ton tour de t’occuper de moi, tu sais que je n’ai aucun tabou.
Je l’allonge sur le dos et lui murmure à l’oreille ce que je vais lui faire.


Aussitôt, elle s’abandonne sans réserve et ses yeux brillent de désir quand elle voit l’énorme plug que je tiens à la main.
Elle laisse échapper un soupir de volupté quand je l’enfonce dans son anus. Sa taille importante comprime son vagin en le rendant plus étroit et donc plus sensible à mes ardeurs. Elle écarte les jambes et saisit ses talons aiguilles à deux mains pour m’offrir sa vulve.
Cette attitude provocante et son regard pervers finissent par m’embraser les sens.

Je rentre avec fougue dans sa chatte et force son passage étroit en la faisant fondre de bonheur.

- Continue à me défoncer, je te sens mieux en moi. Tu as eu une idée géniale, me dit-t-elle survoltée en m’enserrant la taille avec ses cuisses.

Un moment plus tard, je me retire et lui enlève le plug pour lui faire découvrir d’autres jeux.

Avec la paume de main, je pousse un gode dans son vagin et enfonce en même temps mon majeur dans ses fesses. Tandis que de l’autre, j’applique un vibromasseur sur son clito.
Son plaisir monte aussi vite que mon sexe se durcit, je la bascule alors doucement sur le côté pour rentrer cette fois-ci dans ses reins.

- J’adore être dans ton petit trou et sentir ton anneau me presser la queue, lui dis-je.

Dans cette position, emboîtées l’une dans l’autre, je pilonne son vagin avec le gode en faisant vibrer son clito qui ne me résiste pas longtemps.
Lorsqu’elle jouit, elle contracte par réflexe ses muscles intimes qui me serrent puissamment la verge. Haletante, elle coule comme une fontaine et m’inonde le ventre de cyprine en criant sans retenue son plaisir.

- Quel pied tu m’as fait prendre ! S’exclame-t-elle.

Elle se met sur le dos pour reprendre ses esprits en me laissant m’activer à ma guise dans ses reins. Allongée sur elle, je lui travaille l’œillet depuis un moment, quand soudain, elle me serre la taille avec ses cuissardes et me dit :

- Ne bouge plus, et laisse moi faire.

Elle m’affole les sens en se collant contre moi et en tortillant du bassin.

- Je vais extraire ton foutre jusqu’à la dernière goutte, me chuchote-t-elle à l’oreille en croisant ses jambes dans mon dos pour m’immobiliser.

Puis, elle presse mes bourses entre ses doigts en me poussant avec douceur un gode dans les reins.
J’essaie désespérément d’échapper à ce pal qui me fouille avec une efficacité diabolique.
Implacable, elle ne me laisse aucune chance en se mettant à me défoncer de plus belle.
Au bord de la jouissance, je sens monter ma sève et abandonne alors toute résistance en la laissant me vider.
Elle me jette un regard triomphant quand je crie de plaisir en explosant dans son ventre.
Elle se relève pour éponger avec une certaine incrédulité les longues coulées de sperme qui s’échappent abondamment de ses fesses, très surprise par la quantité recueillie.

- Et bien ma chérie, tu avais des réserves. Maintenant, repose toi un instant et regarde moi jouir.

Assise face à moi, elle fléchit les jambes en commençant à se masturber d’un air coquin.
Puis, elle s’enfonce un gode dans la chatte avec un érotisme torride en posant un vibro sur son clito.
Au bout d’un moment, submergée par le plaisir, son regard se voile.
Elle est vraiment très belle. J’admire ses gestes gracieux, ses seins dressés dans son corset, sa jupe retroussée sur son ventre et ses bas à couture sortant de ses cuissardes.
Provocante, les cuisses largement ouvertes, elle jouit devant moi en me regardant fixement.
Emportée par le plaisir son corps s’agite de spasmes incontrôlés.
Reprenant ses esprits, elle se lève et sort d’un tiroir un plug gonflable vibrant d’une redoutable efficacité. Elle l’agite triomphalement devant moi avec une lueur d’excitation dans les yeux.
- Il est maintenant temps que je m’occupe de toi et je sais que tu adores particulièrement ce jouet. Allonge toi sur le dos, m’intime-t-elle d’une voix ferme.

D’un geste précis, elle le plonge dans mes fesses en le gonflant rapidement.
La pression écrase ma glande interne qui se défend en laissant échapper un mince filet de sperme sur mon bas.

- Ne jouis pas maintenant, me dit-t-elle en me serrant la queue pour faire retomber mon désir.

Attentive, elle m’observe un moment avant de continuer.
Quand la tension devient insupportable, elle me soulage en laissant s’échapper un peu d’air du ballonnet avant de le regonfler.
Je finis par m’habituer à ces dilatations successives et lui réclame des pressions de plus en plus fortes pendant qu’elle me suce divinement la queue.
Elle s’arrête de me pomper lorsqu’elle voit que mon orgasme est proche.

- Je vais te faire découvrir mon dernier achat, me susurre-t-elle.
Elle me retire alors le plug et sort sournoisement des draps un gode spécial pourvu de reliefs importants.
Elle le lubrifie avec un regard lourd en me plantant sournoisement son orteil dans l’anus pour me faire patienter.
Puis, impassible, elle me montre le gourdin recouvert de sculptures saillantes qu’elle me destine.

- Il est beaucoup trop gros, lui dis-je avec inquiétude.
- Non ma chérie, je vais te rentrer sans problème ses six cent grammes dans les fesses car je t’ai déjà bien ouverte avec le plug, me répond-t-elle avec assurance.

Elle empoigne le gode avec un rire de gorge et un regard équivoque qui augure bien de ce qu’elle me réserve.
Je croise son regard brûlant et bande déjà comme un malade en sachant que mon anneau tiendra bientôt le rôle principal dans son scénario.
Déterminée, elle écarte mes cuisses et contemple mon oeillet qui s’ouvre comme une fleur.
Je tremble d’appréhension et de désir quand elle pose mes jambes gainées de nylon sur ses épaules.

- Sois sans crainte, je vais t’enfiler facilement ma belle, m’affirme t-elle.

Avec exaltation, elle me rentre cette verge noueuse qui me défonce les reins.
Pendant un instant, je tente de ralentir sa progression. Mais, elle m’enlève toute résistance en me masturbant d’une main experte.
Satisfaite de me voir en son pouvoir, elle pousse toujours plus loin le gode en le tournant de droite à gauche pour me faire sentir son relief tourmenté.
Elle me sodomise lentement et s’excite en voyant passer successivement dans mes yeux la surprise, la crainte, le plaisir.

- Il est maintenant enfoncé jusqu’au ras de tes fesses ma chérie et ton clito va exploser si je continue à te défoncer à ce rythme, me chuchote-t-elle à l’oreille.

Elle m’accorde donc un instant de répit et libère ma croupe pour faire retomber ma tension.
Me sentant libre, je me tourne sur le ventre en mettant de l’ordre dans mes dessous.

- Tu as de très belles jambes et un cul magnifique, s’exclame Sandra en écartant mes fesses pour y plonger sa langue.
Au bout d’un moment, me sentant détendue, elle écarte la fente de mon slip et me replante brutalement le gode dans les reins.
Prise par surprise et totalement relâchée, elle l’enfonce facilement à deux mains sans que je puisse réagir.
Je me cambre en gémissant lorsque le pieu termine sa course au plus profond de mes entrailles.
Clouée par ce dard qui me coupe la respiration, je n’ose plus bouger et Sandra en profite pour assurer sa prise.
Insatiable, elle s’acharne sur mon point G en le massant avec insistance.
Je suffoque de plaisir lorsqu’elle amplifie les rotations du gode en le remuant avec raffinement dans mon ventre.
Je vois dans son regard qu’elle ne va pas tarder à me faire jouir.
Pour cela, elle me retourne sur le dos et s’allonge sur moi tête bêche.


La tête entre ses jambes, je suis sans défense, entravée par le poids de son corps pendant qu’elle m’écarte les cuisses pour pouvoir me défoncer sous tous les angles.
Elle m’amène au bord de l’orgasme en posant un instant le vibromasseur sur mon gland qui laisse échapper quelques gouttes de sperme sur ma guêpière.
Je sursaute et m’agite frénétiquement, le corps tendu en arc de cercle dans l’attente de ma délivrance.
Surprise par ma réaction qui la déséquilibre, elle m’étouffe en serrant mon visage entre ses cuisses gainées de nylon pour garder le contrôle.

- Du calme ma belle, laisse moi te faire jouir du cul, me dit-t-elle en me recouvrant la tête avec ses dessous.
Avant de poursuivre, elle regarde dans quel état elle m’a mise.
La queue tendue, humide, tressautant de désir, elle sait qu’elle ne peut plus la toucher sans la faire exploser.
Mon sperme perle à la surface de mon gland sans toutefois me faire atteindre le point de non- retour.
Sandra continue à me goder divinement en me faisant ressentir pleinement cette jouissance anale qui m’envahit d’une manière diffuse et durable. Elle fait tout pour prolonger ce fragile équilibre en remuant subtilement le gode dans mes fesses.
Puis, elle se redresse et me jette un dernier regard avant de me faire jouir.

Avec fougue, elle avale ma queue gonflée de désir et pousse à fond le pal dans mon ventre en imprimant de larges rotations du poignet.
Malgré mes soubresauts, elle me tient fermement et me défonce sans fléchir ni s’arrêter.
Je me raidis et serre les fesses pour retarder ma jouissance.
Mais, devant tant d’expérience je cesse tout combat.

- Achève moi ma chérie, je ne peux plus attendre, lui dis-je d’un ton suppliant

Avec satisfaction, elle me voit tressaillir et entend mon cri de délivrance lorsque mon sperme se libère à gros bouillons dans sa gorge.
Elle s’enflamme en sentant le gode tressauter de nombreuses fois dans sa main qui témoigne de mes fortes contractions anales et du fabuleux orgasme qu’elle me donne.
Heureuse de m’avoir fait vibrer avec une telle intensité, elle me donne un long baiser profond auquel je réponds faiblement encore toute étourdie de plaisir.
Brûlante de désir, elle veut poursuivre nos jeux et s’enfonce un dong d’un gros diamètre dans la chatte. Puis, elle s’allonge entre mes jambes pour m’empaler avec l’autre extrémité.

- J’en ai pas fini avec toi ma chérie, me dit-t-elle.

Elle me pénètre lentement et avec méthode.
Face à moi, ses yeux rivés dans les miens, elle projette son bassin en avant en guidant le dong de sa main.
Lorsqu’elle gémit de plaisir, je m’empare à mon tour du jouet pour lui travailler la chatte jusqu’à ce qu’elle jouisse sur mon ventre.
Puis, elle continue à m’empaler en accomplissant l’exploit de me sucer la queue dans cette position.
Sodomisée et pompée à la fois, je sens la sève monter très vite dans mes reins.


Un moment plus tard, voulant me faire jouir lentement, elle se retire de mes fesses avec un sourire malicieux.
Pour cela, elle plonge avec assurance son majeur dans mon fourreau en le recourbant vers le haut pour que la pulpe de son doigt presse ma glande interne.
Elle la masse avec insistance jusqu’à ce que mon corps vibre à nouveau de plaisir.
Quand elle me voit les yeux mi clos et en extase, elle lèche mon frein avec sa langue en faisant perler les premières gouttes de liqueur sur mon gland.

- Vide toi lentement ma belle, ce sera meilleure, m’assure-t-elle.
Elle regarde avec excitation mon sperme couler d’abord en un jet épais et régulier qui se transforme peu à peu en un mince filet blanchâtre inondant ma guêpière.

Dans le même temps, elle caresse mes bourses et mon périnée pour prolonger mon orgasme.
Après une pause, elle m’implore du regard pour que j’apaise à mon tour sa libido.

- Fais moi jouir vite, me supplie-t-elle en me serrant contre elle.
J’introduis alors mon pouce dans sa chatte et mon index dans ses fesses. Puis, je frotte doucement d’un mouvement circulaire la fine membrane interne qui sépare ses muqueuses.

Je sens très vite qu’elle apprécie mon massage.

Simultanément, je pose le vibromasseur sur son clito en amplifiant les vibrations qui déclenchent rapidement son orgasme. Sandra



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