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Le travail à l’hôtel n’était pas excessivement fatigant. Certes, c’est un travail un peu physique car il faut défaire les lits, les refaire et nettoyer lavabo, douche ou baignoire. Il faut le faire très bien, les chambres doivent être impeccables et il faut le faire sans traîner. En général j’avais le temps de faire cela à mon aise, mais parfois quand on savait que la chambre allait être de nouveau occupée rapidement, il ne fallait pas traînasser.
Quand il y avait de l’activité, la patronne venait volontiers m’aider alors qu’elle n’avait pas à le faire mais elle était très gentille et cela l’occupait aussi. De plus, elle pouvait écouter les couples s’aimer sans contrainte.
Au début, on écoutait puis, quand la dame se calmait, on arrangeait la chambre qui le méritait. On reprenait l’écoute dès qu’une femme manifestait bruyamment son plaisir. On se regardait en souriant, excitées l’une l’autre.
Les semaines ont passé qui sont devenues des mois. Un an, une deuxième année. Ma troisième année à l’hôtel a commencé. Je m’y sentais très bien, j’aimais mon travail. Ma patronne était vraiment charmante. L’ambiance de ce lieu de travail particulier a débouché sur une grande complicité de plus en plus forte entre nous deux.
Depuis le jour où j’avais fait minette à ma patronne, après l’avoir surprise en train de se masturber dans son divan, il ne s’était plus rien passé. Nous n’avions jamais évoqué cet épisode.
Une après-midi, j’ai surpris ma patronne le couloir, en train de passer sa main entre ses jambes, sur son pantalon.
J’ai commencé à faire la même chose. C’était vraiment excitant cette complicité entre nous.
Un jour qu’on était dans la pièce, en attendant un nouveau couple ou le départ d’un couple, la patronne me montre le planning pour le lendemain et me dit :
Ça va être une chaude journée demain. Regarde le tableau, Evelyne, elle vient toujours avec une femme. Christine, cela fait presque 3 ans qu’elle vient chaque semaine sauf en juillet, et toujours avec un amant différent. Fais le compte du nombre de sexes différents qu’elle s’est enfilées durant toutes ces années.
Justine, est une escorte qui vient retrouver un homme dans sa chambre. Lea, c’est une amatrice de doubles pénétrations. Elle vient toujours avec son mari et un ami à eux.
Le lendemain, ma journée a commencé à 14 heures. Christine et son amant, Justine l’escorte et son client étaient venus dans la matinée.
A 15 heures 30 Lea arrive avec deux hommes. Ils vont dans une chambre au rez-de-chaussée. Une demi-heure passe et puis on entend Lea qui commence à soupirer et gémir.
- Viens, on va aller écouter ce qui se passe, me dit la patronne.
Je ne me fais pas prier et je l’accompagne dans le couloir du bas qui mène à la chambre.
Les gémissements de Lea sont réguliers. Difficile de dire ce qui se passe.
- Continue, j’aime ta langue sur ma chatte, dit-elle à un certain moment.
L’homme bouffe l’abricot de sa la femme et ce traitement comble de plaisir Lea.
- Maintenant, je me mets debout, un de vous deux me bouffe la chatte et l’autre me lèche le cul.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Lea prend son pied.
Après quelques minutes de ce traitement excitant, Lea dit à ses amants :
- Couchez-vous face à face et rapprochez-vous pour que vos couilles se touchent et que je puisse coller prendre vos queues et les plaquer l’une contre l’autre, je vais pouvoir les prendre toutes les deux dans ma bouche en même temps.
La patronne me recarde et me dit :
- J’aimerais être à sa place.
Lea lèche les queues l’une après l’autre et puis les prends en bouche.
Malheureusement un couple descend et la patronne m’envoie encaisser le prix de la chambre. Heureusement cela va très vite et je peux revenir près d’elle. Elle a déboutonné son pantalon et sa main est dans sa petite culotte.
Les deux hommes soupirent de plaisir et il semble que Lea dégustent leurs bites avec délectation.
Après dix minutes de ce traitement, Lea dit aux deux mâles en rut :
- Vous allez me prendre en sandwich. Laurent, tu te couches et je m’empale la chatte sur toi, Frédéric va m’enculer. Après vous changerez de position.
On entend les hommes se relever et voici Lea qui s’introduit la queue de Laurent dans sa fente. On suppose qu’elle monte et descend sur le membre de son amant et puis elle demande à l’autre de venir lui prendre le cul.
Quand la queue de Frédéric s’introduit dans son cul, Lea soupire.
- Voilà, tu es bien en moi, je sens bien vos queues dures… Putain que c’est bon.
Ma patronne est tout ouïe et se passe la langue sur les lèvres. Laurent et Frédéric liment Lea qui gémit et pousse des petits cris de plaisir.
- Allez-y, j’adore ça, prenez-moi fort, défoncez mes trous.
- Tu mouilles comme un dingue, lui dit Frédéric.
Ma patronne me murmure :
- Elle n’est pas la seule, moi aussi je mouille comme une folle. Toi aussi, je parie que tu es trempée.
Je la regarde avec un grand sourire, elle a compris.
Pendant ce temps-là les deux hommes labourent les trous de la femme qui n’arrête pas de soupirer, gémir, crier.
Mais on ne pas rester là indéfiniment, je me réajuste et je monte à l’étage où je m’occupe de la chambre à mettre en ordre.
En travaillant, j’entends Lea qui gémit et crie. A l’étage aussi il y a une dame qui donne libre cours à son plaisir, sans retenue.
J’ai fini, je redescends tout doucement, la patronne n’est pas dans son salon, je me dirige vers le couloir donnant sur la chambre du bas, elle est là, la main dans son pantalon, à s’asticoter le bouton.
Je monte doucement l’escalier, je fais un peu de bruit sur le palier pour que ma patronne entende. Je rentre dans une chambre vide, traîne un peu puis je redescends. Elle est dans le fauteuil du salon et lit, enfin fait semblant de lire puisque peu de temps avant elle n’était pas assise. Je fais semblant de rien.
A 19 heures la sonnette sonne et je vais ouvrir la porte, la patronne vient accueillir le nouveau couple, en l’occurrence Evelyne et son amie. Elles montent à leur chambre et en ont jusqu’à la fermeture, à 22 heures.
Ce sont deux belles femmes dans la quarantaine. Elles sont en jupes.
- Evelyne est celle qui a des bas noirs, me dit la patronne. L’autre c’est Isabelle.
Elles montent dans la chambre réservée et je vaque à mes occupations. Il y a des chambres à nettoyer.
A 20 heures 30 une chambre se libère et un quart d’heure plus tard, c’est un autre couple qui plie bagage. Il ne reste plus qu’une seule chambre occupée, celle d’Evelyne avec son amie.
Vers 21 heures le téléphone interne sonne, les dames demandent deux cafés.
- J’y vais, me dit la patronne. Tu peux rentrer, puisque à cette heure-ci plus personne ne viendra. Tu nettoieras la chambre d’Evelyne demain matin, avec les deux autres qui viennent de se libérer. Je te donnerai un coup de main, cela ira plus vite.
- Non, je vais attendre, il me reste une heure de travail à faire, je vais repasser.
- On fera cela demain. Rentre chez toi, ne te tracasses pas.
- Ok, je vais juste préparer deux trois trucs pour demain, puis je rentrerai.
Je prépare les cafés. La patronne les monte.
Pendant ce temps-là, je prépare les essuies de bain, les gants de toilettes pour le lendemain. Quand j’ai terminé, la patronne n’est toujours pas redescendue. Bizarre. Je me dis qu’elle s’occupe peut-être d’une chambre à faire. Mais je n’entends pas de va-et-vient.
Tout d’un coup, je me dis qu’elle est peut-être dans la chambre d’Evelyne. Mais comme j’entends les femmes prendre leur pied, je me dis que je me suis trompée.
Le temps passe, toujours pas de patronne. Je veux en avoir le cœur net.
Je monte discrètement, pensant la trouver dans le couloir à écouter où dans une chambre. Personne. Elle ne peut être qu’avec les dames.
Je me mets devant la porte de la chambre et j’écoute.
- T’as vu comme elle mouille ? Bouffe-lui la chatte, elle n’attend que ça, cette chaudasse.
- Écarte bien tes jambes et laisse-toi faire, je sais que tu aimes ça, je l’ai deviné dès la toute première fois que j’ai t’ai vue, le jour où je suis venue baiser ici la première fois.
- Oui, tu as raison, j’aime le sexe, j’adore me faire sauter, me faire remplir tous les trous, dit ma patronne.
Je reste bouche bée.
Je ne sais pas vraiment laquelle des deux fait minette à ma patronne mais en tout cas elle sait y faire car ma patronne gémit de plaisir.
- Viens mettre ton cul sur ma bouche, je vais déguster ta rondelle, ensuite Isabelle va t’enculer.
Aussitôt fit aussitôt fait, ma patronne se fait faire une feuille de rose. Elle apprécie le traitement que subit son petit cul.
- Isabelle, viens l’enculer pendant que je lui bouffe la chatte, elle est aussi salope que nous deux.
Isabelle remplit le cul de ma cheffe qui gémit de plus en plus. Elle la pistonne, les gémissements enflent, ma patronne, je vais l’appeler Anna (un nom d’emprunt) crie, soupire, gémit, pousse des râles de plaisir. Enfin elle libère sa jouissance dans un grand cri puissant.
Ma chatte est complètement trempée. Cette salope m’a mis dans un de ces états pas possible.
Il est maintenant 21 heures 50.
Je redescends vite et m’empresse quitter l’hôtel avant que ma patronne ne sorte de la chambre.
Le lendemain, quand j’arrive, je fais semblant de rien.
- Hier, tu es partie avant que je ne redescende, me dit la patronne. Evelyne m’a fait entrer et on a papoter un petit quart d’heure. Leurs chattes étaient parfaitement épilées et elles étaient toutes les deux en porte-jarretelles.
- Waouw… Beau spectacle.
- Oui, je me les serais bien faites, ces deux garces.
« Je me les serais bien faites… ». La bonne blague… Mais je ne peux pas lui dire que j’ai tout entendu.
- Elles m’ont donnée envie de remettre des porte-jarretelles. Mon mari adore.
- Le mien aussi.
La journée sera assez calme et rien de particulier ne viendra émailler les heures qui s’écouleront paisiblement.
En tous cas, une chose est sûre, je vais guetter le retour d’Evelyne et de son amie pour voir si Anna, ma patronne, retournera baiser avec elles.
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