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Florence 2 - Florence avait soif

Ecrit par Le jouisseur
Parue le 03 novembre 2012
Il y a 1 commentaire pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 10892 fois | Cette histoire erotique a une note de : 16.5001/20

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Il était 16 heures quand nous arrivâmes au domicile de Paco ; il habitait une maison située en bordure de la ville. Après en avoir discuté avec elle, Florence était maintenant partante pour un petit show un peu plus poussé que celui du cabaret. Elle se laisserait déshabiller et caresser, voire peut-être plus, en fonction …. Pour la rassurer, je lui avais rapporté ce qu’avait dit Paco sur le fait qu’il n’y aurait pas plus de 2 ou 3 invités. Sachant que c’était ce qu’espérait Paco, j’avais commencé à préparer le terrain en évoquant la possibilité qu’elle prodigue quelques fellations … éventuellement complètes ! Elle s’était un peu récriée, mais elle avait également dit qu’elle ne se dénuderait pas intégralement au cabaret et on avait vu le résultat !

Cette fois, elle avait opté pour un short court en jean et un léger débardeur. Elle avait noué ses longs cheveux noirs ce qui dégageait son cou et mettait en évidence sa superbe poitrine. Je ne pouvais m’empêcher de bander déjà à la pensée de la livrer, consentante, à ces échangistes lubriques, qui n’attendraient qu’une chose, c’est qu’elle leur offre sa bouche. Cette possibilité n’éveillait d’ailleurs en moi nulle jalousie ; seule prévalait la douce pensée, complètement inimaginable avant les vacances, de la donner de son plein gré. Je lui glissai d’ailleurs :
- Juan appréciera ta venue … et ta bouche !
- Ce vicieux ! …
Nous arrivâmes au domicile de Paco ; pénétrant dans le jardin, je frappai et Paco vint nous ouvrir ; il était en compagnie de deux amis, dont l’un était l’inévitable Juan qui gratifia Florence d’un radieux :
- Buenas tardes !
Son deuxième ami se présenta sous le nom de José Manuel et fut bientôt rejoint par Alfredo qui était un peu plus âgé que les deux autres. Tous se montrèrent très prévenants à notre égard et en particulier à l’égard de Florence. Aucun ne parlait français, mais le langage du corps suffisait. Détail important, ils étaient tous en maillot de bain car Paco possédait une piscine. Je glissai à Florence :
- Tu vas pouvoir bien d’amuser avec ces 4 sympathiques mâles
Souriante, Florence allait me répondre quand Paco déclara :
- Venez avec moi à la piscine, que je vous présente les autres.
- Les autres ? dit Florence en avalant sa salive avec difficulté
- Oui, les autres ; ton petit numéro a eu beaucoup de succès et j’ai presque dû refuser du monde pour aujourd’hui
Je la vis sortir, un peu inquiète. Lui emboitant le pas, je vis alors 2 autres gars qui se baignaient. Leur regard se braqua sur Florence comme sur une apparition. Elle se retourna vers moi, un peu remontée :
- Il n’était pas prévu qu’ils soient aussi nombreux ! tu ne m’as pas tout dit !
- Tu as entendu Paco, me défendis-je ; à ta place, je profiterais de ton succès.
Manuel et Andres se montrèrent aussi prévenants et ravis que les précédents. Ils tapèrent tous la bise à Florence et je les surpris en train d’admirer ses formes. Nous rentrâmes tous à l’abri de la chaleur. En la voyant soudain un peu réticente, Paco nous servit tous à boire, offrant à Florence le petit ron miel qui semblait l’avoir désinhibée au cabaret. L’alcool aidant, Florence se détendit en effet.
- J’ai encore soif dit-elle
- Pas de problème, dit Paco avec un lourd sous-entendu. Les bouteilles sont bien pleines !
Et il lui remplit donc à nouveau son verre. Florence était restée debout au bar, au milieu de tous les invités confortablement installés. La voir au milieu de tous ces hommes qui la convoitaient (en fait surtout une certaine partie de son anatomie !), je décidai de débrider la situation. Me positionnant derrière Florence, je portai les mains à la hauteur de la ceinture de son short et le déboutonnait.
- tu apprécieras mieux ton ron miel en te mettant l’aise.
Joignant le geste à la parole, je tirai légèrement le short vers le bas. Florence se laissa faire et le short glissa le long de ses jambes pour tomber à ses pieds. Elle portait la même culotte rouge qu’au cabaret. J’en profitai pour lui caresser les fesses. La retournant vers l’assistance, je fis passer le tee-shirt par-dessus sa tête dévoilant à tous sa lourde poitrine enserrée dans le soutif rouge. Etait-elle anesthésiée par ce qui allait suivre, toujours est-il qu’elle se laissait faire docilement. Il ne lui restait uniquement que ses sous-vêtements et ses sandales. Elle se pencha alors pour retirer elle-même ses sandales. Je sus qu’elle était prête à continuer. Je défaisais l’agrafe du soutif quand 2 autres invités se présentèrent dans la maison. Florence, en petite tenue, se raidit légèrement. Paco les présenta :
- ce sont Miguel et Antonio ; vous auriez pu arriver à l’heure !
- mais vous êtes un très nombreux, se récria Florence.
Çà faisait maintenant un total de sept invités plus Paco … et moi. C’est vrai que çà allait finir par ressembler à un gang bang ! Les nouveaux venus regardaient Florence bouche bée. Je choisis de lâcher le soutif à cet instant et Florence, distraite, se retrouva seins nus, sans pouvoir rien y faire. Il ne lui restait plus que sa petite culotte. J’enchainai aussitôt en lui glissant à l’oreille :
- Çà va être le top pour toi, tous ces mecs.
Paco renchérit :
- Après ton exhibition, ils aimeraient te faire gouter leur sperme ….
- Pas si vite,
- Ils sont tous propres et respectueux. C’est une occasion unique pour toi, ils sont venus pour çà, je ne pourrai pas les retenir,
- Pas question ! vous êtes trop nombreux ! Çà ne serait pas convenable … vous seriez 2 ou même 3 encore, mais 7, je ne sais pas si je pourrai, pas vrai chéri ?
Je ne disais mot, commençant à être excité.
- Tu as tort renchérit Paco ; certains, comme Juan ou Andres, ont des éjaculations très abondantes. Tu déborderas …
Je sentais sa résistance fléchir. Elle tenta :
- Hein ?! De toute façon, mon ami ne serait pas d’accord.
Je posai mes mains au niveau de sa taille ; instantanément, je sentis Florence se raidir : elle avait compris ; je saisis le tissu et descendit légèrement en l’enroulant son petit vêtement ; elle tourna légèrement la tête vers moi et murmura :
- Oh !
- Tu te souviens de ce que çà veut dire ?
- Oui …
- Eh bien, c’est aujourd’hui.
- Tu voudrais ? avec eux ? …
- Oui, et ce sont de gros cochons en plus ! ils vont prendre un pied énorme à jouir dans ta bouche : ce sera encore meilleur! pense à tout ce bon jus, çà va être délicieux …
- Ce n’est pas pareil de le faire que d’en rêver ! peut-être que çà ne va pas me plaire du tout.
Je sentais pourtant Florence s’alanguir petit à petit.
- Tu ne retrouveras pas de sitôt une occasion pareille.
- C’est vrai,
- Je suis sur qu’il y en a qui vont jouir plusieurs fois. C’est bon de savoir qu’ils vont plus te donner plus de sperme en une soirée que moi en deux mois !
- Tu veux me voir couverte de sperme, comme ce pervers de Paco!
- Pas couverte, toute propre au contraire, dis-je en avançant mon index vers ses lèvres puis en lui caressant le ventre.
Les spectateurs ayant compris ce langage des signes manifestèrent leur approbation.
- Cochon ! tu veux que tout finisse là, hein …
- Eux-aussi ! tu as entendu : il veut que tu débordes !
- Oh ! et toi pendant ce temps ?
- Je vais te regarder tout déguster, me branler … Hmm, te voir gorgée de sperme toi qui adore le mien …
Je lui caressais les fesses en même temps.
- Je veux te voir désaltérée à la fin ! mais je te préviens, je vais commenter en direct !
Prise au jeu elle regardait les hommes en se passant, inconsciemment, la langue sur les lèvres
- Tu vas le regretter ! souffla t’elle d’une voix déformée par le désir.
La sentant prête, je lançai alors à la cantonade :
- Et maintenant, je vous offre Florence.
Puis m’accroupissant derrière elle, je descendis lentement la petite culotte ; je pris un plaisir énorme à le faire, à l’offrir en pensant à ce qui allait suivre, j’en bandais comme un pervers. Enfin, la culotte tomba à ses pieds. Me redressant, je lui murmurai à l’oreille :
- A toi de jouer, ma toute cochonne.
Elle était toute nue au milieu de l’assistance en rut ; avec ses gros lolos, c’est vrai qu’elle faisait très gourmande de sexe, gourmande de sperme. Il n’était plus question de reculer maintenant : nunc est bibendum, maintenant il fallait boire !
- Elle est à vous !
J’éprouvais un désir trouble de la livrer ainsi à ces queutards ; ils devaient avoir du mal à réaliser leur bonheur de voir ma plantureuse compagne prête à engloutir leur foutre !

Elle me fut presque arrachée des bras ; je vis de multiples mains s’avancer pour la peloter de toutes parts. La curée commençait ; Florence se laissa entrainer, la bouche entr’ouverte.
Paco lui dit :
- Maintenant, agenouilles toi sur ce coussin et ouvre la bouche.
Il la fit se retourner devant Juan et Manuel en train de se branler avec rapidité. Quand elle les vit, le regard de Florence se fixa sur leur sexe dressé. Les 2 gars redoublèrent en lui adressant un grand sourire. Paco lui tendit un coussin en lui disant :
- Met-toi à genoux dessus et suce.
Florence s’exécuta docilement et commença à mettre en bouche alternativement les 2 queues.
- Je vois que tu as commencé parle meilleur ! Juan est un très gros éjaculateur et Manuel est normal ; lequel veux-tu gouter en premier ?
Elle n’eut pas le temps de répondre. Celui qu’elle suçait lui agrippa la tête pour jouir dans sa bouche.
- Ce sera Manuel, alors … dit Paco en riant
Çà y était. Avec excitation, j’imaginais les jets de sperme en train de fouetter les joues de ma coquine. Florence fit hmmm. On vit qu’elle avait beaucoup de jus à avaler. Elle termina ses mouvements de déglutition
- Çà commence fort, c’était le normal … comment est l’autre !
Juan prit le relais. Depuis le temps qu’il devait en avoir envie ! Il éjacula aussi très rapidement! Florence écarquilla un peu les yeux mais je ne vis rien déborder de sa bouche : elle avalait tout ; son éjaculation n’en finissait pas, comme avait dit Paco. Je ne voyais pas le sperme mais j’essayais de capter ses mouvements de déglutition. Florence reprit son souffle en me regardant
- Tu as aimé ? lui demandai-je
Elle n’eut pas le temps de répondre, qu’un autre venait le remplacer. Il se vida rapidement sans que là non plus je n’aie vu la moindre goutte de sperme perdue.
- Tu semble apprécier ! il y en avait autant ?
Excité par la scène, un quatrième, Andrès, se présenta mais il n’eut pas le temps d’arriver jusqu’à la bouche de Florence et éjacula dans un râle sur son corps. Paco se lamenta :
- Tout ce jus perdu ! quel dommage ! ce n’est pas possible
Il disparut dans la cuisine et revint … avec une petite cuillère :
- Ce serait dommage de tout perdre. Je vais tout collecter et te le donner.
Et joignant le geste à la parole, il se pencha et récolta un gros paquet de sperme sur la cuisse de Florence et lui présenta devant la bouche :
- Tiens. Goutte moi cette bonne crème.
Florence, fascinée, regardait la petite cuillère. Elle entrouvrit lentement les lèvres. Inconsciemment, je dus faire de même. Profitant de l’ouverture, Paco introduisit la cuillère dans sa bouche et Florence referma ses lèvres dessus. Elle ne desserra pas les lèvres quand Paco retira la cuillère, la laissant propre. Je distinguai alors son mouvement de déglutition.
- C’est bon ? attends, je vais te donner le reste.
Il se mit à collecter avec soin le sperme tombé sur ses seins, en profitant pour en caresser le dessous avec la cuillère, ce qui fit frémir Florence au passage. Cette fois, la cuillère était pleine à raz bord ! Florence, l’avala avec la même docilité en dépit de la quantité plus importante. Fascinée par la perversité de ce qu’elle était en train de faire, elle ne disait plus rien, se contentant d’avaler ; cela était du gout de tout le monde d’ailleurs ! Quel régal ! Florence nourrie au sperme à la petite cuillère ! L’éjaculation avait été si abondante, que Paco collecta sans peine une troisième bonne cuillérée pour la faire disparaitre dans la bouche gourmande … Je bandais de la voir déglutir ensuite.
- Je ne t’imaginai pas aussi cochonnette ! on dirait un gros bébé en train de manger son petit pot de semoule ; sauf que cette semoule là ne se trouve pas dans le commerce !
Un autre larron se présenta alors en se masturbant joyeusement devant une Florence étonnée.
- Je crois que tu vas avoir droit à du rab.
Le jeune fléchit légèrement les jambes et inonda Florence d’une dizaine de jets puissants sur tout le corps. Paco admiratif
- Regarde, toute cette bonne crème ! je vais encore être obligé de te nourrir à la becquée !
Florence contemplait le sperme répandu sur ses seins. A ma stupéfaction, je l’entendis alors déclarer :
- Vite ! avant que çà refroidisse.
Paco ne se le fit pas dire deux fois et commença à parcourir le corps de Florence de sa cuillère avec application. Il lui présenta deux cuillérées bien pleines qui allèrent rejoindre les trois précédentes dans son estomac, ainsi que les 2 éjaculations abondantes. Florence se prenait au jeu et ouvrait maintenant largement la bouche en tirant la langue pour avaler le jus blanchâtre. Deux autres cuillérées suivirent : six, sept. J’étais subjugué !
- Mais tu te régales, ma douce salope.
Elle me fixa en se léchant les lèvres.
- C’est vraiment bizarre d’avaler de cette façon !
- Tu es vraiment délicieuse, petite Florence ; vu ton amour du sperme, je propose une goulée géante : ces deux là n’ont pas encore joui ; ils vont te remplir la bouche de leurs deux éjaculations mais cette fois, tu vas garder tout le sperme en bouche et bien nous le montrer avant d’avaler. D’accord. ?
Florence ayant acquiescé, ce qui fut dit fut fait. Heureusement, qu’elle était bien mise en conditions ; tous ses jeunots avaient des éjaculations diluviennes ; ce furent encore une dizaine de jets chacun qu’ils déversèrent dans la bouche de ma cochonne ; le deuxième mit un peu plus de temps à éjaculer et Florence resta un moment la bouche ouverte pleine de sperme.
Je comptais jusqu’à douze giclées qui allèrent s’écraser au fond de sa bouche. Je crois que j’en ouvris la bouche moi-même de bonheur ! La bouche de Florence était maintenant tellement remplie de lait blanchâtre et grumeleux que l’on ne voyait plus sa langue. Elle restait là, la tête légèrement penchée en arrière, attendant qu’on lui dise d’avaler. Je me caressais les couilles, béat d’admiration. Paco, subjugué, en oublia de lui parler en français en lui disant :
- traga te lo todo !
Ce qui voulait dire « avale tout !» Florence n’avait pas besoin de traduction. Elle ferma la bouche et en avala le contenu. On la vit déglutir avec application. C’en fut trop ; j’étais le seul avec Paco à n’avoir pas joui ; ne me contrôlant plus, je sentis l’orgasme monter de manière irrépressible ; pour ne pas en mettre partout je saisis mon verre vide et me laissait aller dedans, le remplissant d’une dizaine de giclées. Certains rires fusèrent dans l’assistance. Paco regarda le verre et dit finalement à Florence :
- Ma poulette, c’est un signe ; je crois qu’avec toi, nous allons réaliser notre fantasme ultime.
Florence et moi le regardions ; Je n’osai comprendre ce qu’il avait en tête. Florence avait compris car je la vis ouvrir légèrement la bouche en se léchant la lèvre supérieure de plaisir.
- Depuis longtemps, nous avons envie qu’une femme boive tout notre sperme dans un verre ; je crois que le moment est venu, et c’est toi qui va le faire.
Florence regardait le verre ;
- Je ne sais pas si … commença t ‘elle
- Ce n’était pas une question, mais une affirmation, dit doucement Paco
Elle regarda Paco, en continuant de se passer la langue sur la lèvre supérieure. Je suivais ce dialogue avec fascination, attendant impatiemment la suite qui semblait inévitable. Les hommes avaient presque tous rebandé, surtout les premiers qui avaient joui.
- Tu vas tous nous sucer et nous éjaculerons à tour de rôle dans le verre ; quand ce sera fait, tu le boiras. Moi, je te regarderai tout boire. Et ton ami aussi.
Florence tourna son regard vers moi et dut me découvrir les yeux un peu exhorbités.
- Ils veulent que je boive leur sperme au verre, les gros salauds …
Mais elle avait dit cela lentement, pour m’exciter, nullement scandalisée. Sans avoir dit oui, je savais qu’elle allait le faire.
- Au verre ? c’est trop cochon !
- Je t’avais dit que tu le regretterais !
- Non, c’est dé-li-cieu-se-ment cochon dis-je en articulant toutes les syllabes. …
Paco intervint :
- Fais nous une petite danse pour nous remettre en forme
Certains l’étaient déjà. Elle commença à danser, se caressant, tout le corps, se plantant devant les invités à tour de rôle, amorçant une masturbation, pour calmer son excitation que je sentais grande. Elle se présenta devant moi. Quelqu’un prit mon verre pour en compléter le contenu.
- Tu te rends compte de ce que tu vas faire ?
Pour toute réponse, elle écarquilla les yeux de manière provocante
- En plus, vu ce qu’ils éjaculent, le verre va être plein
- Je suis curieuse de voir l’effet que çà fait d’en boire autant d’un coup …
- Ces gros vicelards, ils se régalent de te voir avaler leur sperme
- Je sais ; c’est çà qui m’excite !
Je la saisis par les fesses :
- Je ne pensais pas que çà m’exciterait autant aussi !
- Et là çà va être le top ! je vais t’offrir le must de la dégustation !
Elle approcha son visage du mien et déposa un léger baiser sur mes lèvres, avant d’ajouter, mutine :
- Hmm ! je vais boire tout le foutre, comme tu dis !
Elle se retourna vers l’assistance ; 3 avaient déjà éjaculé dans le verre de pastis qui était à moitié plein, du coup ! Je caressai Florence, son corps encore humide de sperme.
- Regarde ! lui dis-je, Juan est sur le point de jouir !
Ce qu’il fit, déversant une douzaine de giclées.
- Oooh ! fis-je provocant
- Il y en a moins que tout à l’heure quand il a joui directement dans ma bouche !
Je passai une main dans son entrejambe que je trouvai trempé.
- Çà t’excite de voir tout ce lait !
Durant le temps nécessaire à ce que le verre soit rempli, je ne cessais de lui chuchoter des cochonneries. Le verre était aux trois quart plein.
- Tout çà ! tu va faire une overdose de semence !
Andres rajouta bientôt sa quote part. ;
- Tu le boiras d’un coup ou tu prendras le temps de savourer ?
- Tu verras bien !
Le verre se remplissait et Florence se caressait maintenant avec douceur en contemplant les hommes qui se masturbaient avec énergie pour en augmenter le contenu. Fasciné également, je l’embrassai sur la joue, en lui récitant des phrases de plus en plus salaces :
- Ma cochonne, tu n’auras jamais bu autant de foutre ! lui dis-je en caressant son ventre.
Le verre fut enfin plein. Plein de 7 éjaculations.
- A toi de jouer maintenant ! dis Paco
Et il tendit le verre à Florence. Florence prit le verre, l’approcha doucement de sa bouche, y porta les lèvres et l’inclina. Le jus blanchâtre, plus liquide que pour l ‘éjaculation buccale, approcha de ses lèvres. Elle en but prudemment une gorgée.
- C’est bon ?
Et Florence recommença à boire. A petites gorgées. Tous nous la regardions déglutir le sperme. Je vis sa gorge animée de mouvements descendants au rythme du breuvage qui descendait vers son estomac.
- Ooooh ! tout le foutre ! elle boit tout le foutre !
- Coquonne !!! dis-je plus très maitre de moi en lâchant cette contraction de coquine et cochonne.
A la fin, elle pencha bien le verre vers le haut pour ne rien laisser et le reposa fièrement.
- C’est fait ; elle me regarda et dit : j’ai tout bu.
Hors de moi, je rugis presque
- Petite cochonne, tu adores çà, tu es bien gorgée maintenant …
Paco se présenta alors à elle :
- Avale tout !
Ce qu’elle fit. Après ce jeu torride, nous convînmes que Florence avait bien mérité que l’on s’occupe d’elle. Elle devait être super excitée. Nous décidâmes que tous lui prodigueraient des plaisirs buccaux également. Florence s’allongea sur un sofa et les hommes se relayèrent entre ses jambes. Sa chatte fut lavée à grand renfort de lapements qui finirent par porter leurs fruits. Elle n’était plus que gémissements et elle eut plusieurs orgasmes de plus en plus violents. Les garçons infatigables, remettaient sans cesse leur ouvrage sur le métier, et la laissèrent pantelante de jouissance. Ce joyeux spectacle avait remis en forme plusieurs participants et je compris que Florence ne pourrait pas se soustraire à une dernière tournée … C’est ce qui arriva. Beaucoup de ron miel coula encore dans sa gorge … Elle reçut sept nouvelles éjaculations en moins d’une demi-heure et avala le sperme avec délectation.
Paco et moi finîmes en lui remplissant abondamment la bouche également. Nous finîmes tous par un bon bain dans la piscine de Paco, puis nous nous séparâmes sur le coup de 20 heures.
- Hasta luego !
A bientôt.

Florence m’avoua ensuite que le fait de lui ôter moi-même sa petite culotte, signe éventuel convenu en pareil cas, avait été pour elle le déclencheur d’une véritable soif de sperme et qu’à ce moment, elle avait décidé d’aller au bout de son phantasme oral. Elle me confia qu’elle avait presque joui en buvant le verre, tant cela lui paraissait pervers. Mais nous étions épuisés et après un rapide repas, nous nous effondrâmes sur le lit.

Le matin nous trouva reposés. Me remémorant avec émotion la séance de la veille, je demandais ironiquement à Florence si elle avait bien digéré ! Avec un hmm satisfait, Florence se coula vers moi tout en me soufflant qu’elle ne recommencerait quand même pas tous les jours. Tous les jours, non. Après coup, il me venait quelques idées cochonnes à base de sperme, regrettant de ne pas y avoir pensé plus tôt, durant l’après-midi d’hier. Je me souvins alors que Paco avait confié avoir refusé du monde ; et il nous restait encore quinze jours de vacances sur cette île …

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