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Glamour et perversité

Ecrit par Ivan
Parue le 11 octobre 2024
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Cette histoire érotique a été lue 137 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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Glamour et perversité

Préface

Une belle maison de riches pensent qu´ils sont à l´abri mais aucune grille n´a aucun chien de garde ne peut les proteger contre l´ennemi de l´interieur. Une raine tenace détrui une famille três importante. C´est une histoire de cupidité d´irréprecibles cupidité, sexe et drogue. Bon il voulait tout prix avoir de l´argent ensuite de l´haute societé au tumbeau. C´est vraiment vraiment bizarre et un juge. Il avait des grilles pour dissiader les cambrioleurs. Il y a caméras partout, aucun risque de se faire voler. Il avait des systèmes de sécurité mais il avait oublié le mal que venu de l´intérieur. Búzios en haute d´une coline se dresse une énorme proprieté, une rutilante forteresse la banlieuse chic où les pelouses impeccables se confondent avec le gazon. Tout est au vert dans le quartier chic, Marlene avait vingt ans quand elle avait trouvé Joel Gomes. Elle travaillait comme danceuse de music hall et mannequin à New Iork. Elle reencontre son futur mari lors d´un dîner chez des amis. Il avait 12 ans de plus qu´elle. C´est le coup de foudre, desormais le couple ne va plus quitter. Marlene mène la grand vie sur les champs de courses le couple fréquente célèbrités comme Sylvie Vartan, Madonna et Demi Moore. Elle mène sa vie aux quatre coins de la planète. Elle cultivait une tendance glamour. Elle aimait plairer elle aimait séduire

- ?Tu aimes être exhibée devant moi, Marlene?
- ?Oui… J´aime beaucoup.
- ?Jouis pour moi, Marlene…
- Oui...
- Tu dois avoir tous les amants que tu désires. Tu sais, je sens qu’elle est attirée par le chauffeur Thomaz.
- ?Tu te fais des idées.  Cela me mettrait mal à l’aise.




Tout ceux qui on envie de devenir quelque un rêve d´y vivre. Ces demeures abrites centaines de personnes les mieux payés du pays. Promoteurs immobilers et grands cirurgiens, entrepenneurs. Artistes et célébres traficants de drogues. En Búzios ils savourent ses réussites, mais certains n´ont pas besoin de gagner d´argent. Ils sont riches depuis des générations et vivente leurs rentes. Joel et Madalena vivaient aux mondaines le soir. Luxe, style de vie,
Il y a déjà quelques années que son épouse et lui partagent quelque fantasmes. Ce qu’elle apprécie le plus est l’attitude, le développement d’une situation, le crescendo qui s’établit, bien davantage que les gestes purement sexuels. Bref son intérêt est axé sur la séduction, le flirt, le charme, le désir, la conquête… C’était une folie, une fantaisie que seul un couple follement amoureux pouvait s’offrir, sans risquer quoi que ce soit. Elle a trouvé l’idée très intéressante et le soir même elle faisait, seule, sa première sortie en célibataire, simplement pour le flirt rien d’autre.
Il entend tes talons aiguilles claquer sur la céramique de la salle de bain, puis tu apparais en haut de l’escalier. Tu es magnifique, incroyable. J’ai l’impression que tu n’as jamais été aussi séduisante. Et effectivement tu n’as jamais, si je peux dire, osé être aussi flamboyante. Tu portes une coiffure avec les cheveux remontés en un magnifique chignon ceinturé de pincettes et peignes avec pierres du Rhin le tout scintille de mille éclats comme de microscopiques éclairs de flash. Tes escarpins à talons aiguilles avec bride attachées à la cheville ont quelque chose de très sexy. Ta toute nouvelle jupe longue ouverte très haut sur le côté, qu´il voit pour la première fois, est magnifique. Elle l’a achetée expressément pour ce soir, pour leur souper et aussi pour leur invité qu´elle rencontreras pour la toute première fois.
-?C’est exactement ça mon chéri. Tu m’as tellement fait progresser au fil du temps. Je veux vivre, goûter aux plaisirs, progresser, me développer comme tu le souhaites et je le souhaite aussi. 
- ?Pour ma part je suis choyé et privilégié d’être ici avec vous ce soir avec vous. Tant d’hommes rêveraient d’être dans ma situation.
- Marlene, vous êtes magnifique, vraiment une femme de rêve.
-?Que cette soirée soit magique pour tous
Avec un petit sourire narquois, elle me dit qu’elle avait beaucoup réfléchi à ses fantaisies et que, vraiment, elle aimerait bien tenter une expérience sexuelle qui sorte un peu, beaucoup, de ses plaisirs charnels. Un conte séduisante et une énorme fortune, on dirait le scénario d´un film hollyoodien sauf que c´était bien réel. Un secret y a juste un mystère, un triangle amoureuse. Il pensait que le monde lui appartenait. Joel Silveira Gomes avait la belle vie, mariée avec la belle Marlene Gomes, un couple fait pour durer en apparence, il avaient le travail de l´argent et un père célèbre. Une blonde séductrice et três sensuelle on la devine três envoûtante. Une justice que se derobe sans un monde des privilégies. Les gens ne revenait pas qu´il ne soit pas puni pour son crime. Il est issu d´une famille influente déchiré par une rivalité fatale, s´est tout de suíte d´un crime haute société. Joel habitait il semble nager en plein bonheur. Il avait une belle Femme, vivait dans le beaux quartiers de Búzios. Mais le conte de fées ne dure qu´un temps juste. Après leur mariage il n´ont plus des rapports sexuels. Il faut bien dire que ma copine est une belle garce ! Elle aime exciter les hommes. Elle les émoustille avec des tenues hyper provoc. Ses robes transparentes et autres mini jupes sans culotte provoquent l’émoi dans tous les cafés du centre-ville, ce qui lui vaut une belle réputation… qu’elle entretient de bon cœur en s’exhibant en culotte ou à poil devant la fenêtre de la chambre, pour le plus grand plaisir des voisins d’en face!

- ?Je vais faire ce que tu aurais voulu que l’autre type fasse.
- ?C’est à dire?
-?Te baiser.
- Je veux avoir une queue énorme.
-?Attends une minute, j’ai acheté une robe superbe. Tu vas voir.
- ?De quoi? On a fait ce que l’on avait décidé tous les deux, je n’ai pas à t’en vouloir.
-?Tu n’es pas jaloux alors?
- ?Si! C’est justement ce qui m’excite. Et maintenant que comptes tu faire?
- ?Ce que je compte faire?
-?Oui, avec cet homme, tu désires le revoir?
-?Justement, il en aurait très envie, tu n’y vois aucune objection?
-?Moi aussi ça m’excite, ce qui me plait dans cette relation ce n’est pas de te tromper, mais que tu m’offres à cet homme.
- Il pénétrait mon minou. Que de sensations!


Il attendit au moins 10 minutes et Marlene arriva dans sa nouvelle robe. Elle était superbe là-dedans. La robe était noire, très serrée sur tout le corps, si serrée que l’on devinait dessous une poitrine généreuse et des fesses superbes. Elle était fendue sur chaque côté et se terminait sur le haut des cuisses. Elle avait mis des bas noirs et chaque fente de la robe permettait de voir le haut des bas. Superbe et excitante Agnès.

- ?C’est pour moi? demandais-je.
- ?Oui. Mais aussi pour samedi.
- ?C’est vrai, j’avais oublié cette soirée tango.
- ?C’est super pour danser le tango, dit-elle, je suis très à l’aise dans cette robe.

Joel ne s’oppose pas au tempérament de feu de sa femme, car il ne est pas jaloux. Marlene s’amuse et s’excite en même temps: il avoue qu´il a un faible pour les « petites salopes ». D’ailleurs, quand il a rencontré Marlene, il savait parfaitement à qu´il avait à faire. Très vite, sa chérie et lui avaait commencé à les avouer ses fantasmes. Un jour, il a osé avouer à sa douce et belle qu´il étais très excité à l’idée de la voir dans les bras d’un amant.  Joel avait allumé un petit feu dans une grange de paille! Encouragée par sa complicité, Marlene s’est habillée de plus en plus provoc, s’est laissée draguer dans la rue… À  l’occasion, nous avons appris l’existence de lieux consacrés au libertinage: saunas, discothèques, tous lieux que nous ne connaissions pas encore…
Tous les deux aient des relations adulteres et ça convenait parfaitement Joel, mais les infideltiés ne font qu´empirer la situation. Il était frustré et elle aussi. Le retour jusqu’à la maison est rapide.  Quand elle voit Thomaz le chauffeur qui  était bel homme, charmeur, et toujours prêt à satisfaire les désirs féminins.  Il appréciait la surprendre en sous-vêtements à la sortie de la salle de bain, comment il lorgnais sur ses seins et ses cuisses, Il devait être cramoisi par l’excitation provoquée. Un soir qu’on était chez Fred, Il l’a même vue allumer l´ami en s’asseyant face à lui sur un canapé, en écartant les cuisses entièrement pour lui montrer sa chatte rasée sans culotte… La relation était donc très chaude, et pour que il ne soit pas jaloux.

-? Ah! Tu les aimes mes nichons?
-?Ah, j’aime tes nichons l’entendit-il murmurer d’une voix visiblement excitée. Tu sais, tes nichons me font plus bander que ceux soit disant parfaits, d’une statue grecque! Je trouve ca vachement plus sensuel.
- J’aime quand tu me parles ainsi. Et toi, tu es raide? Lui répondit-elle en souriant.
- Regarde…" lui répondit-il simplement.

À plusieurs reprises elle m’avait raconté qu’elle avait, adolescente, des seins très fermes, qu’elle trouvait d’ailleurs trop gros, au point d’en être complexée à l’époque. Avec les années, ses seins n’avaient sans doute pas perdu en volume, mais avaient baissé de quelques crans, prenant une forme caractéristique en gouttes, dont elle n’était d’ailleurs pas moins complexée, mais qui étaient à ses yeux três excitants.

La maison de Marlene était un superbe loft. Murs blancs, sols gris et rouges, et de rares meubles aux design noirs ou gris. Du moderne, et rien que du moderne. La cuisine, comme le salon. Si la cuisine était de surface modeste, le salon, lui, était spacieux. Une énorme salon central avec plusieurs ouevrres d´art, des Picasso, des Renoir, des Monet, des Vangoh, et d´autres innonbrables toiles de maîtres amasses au fil des années. des monaies et etc...
Une immense baie vitrée déversait dans la pièce toute la lumière du jour. Le haut du logis devait abriter chambres, salle de bains et toilettes. Joel le mari avait vite compris que la belle madame Gomes appréciait l’érotisme. Thomaz était un homme viril aux besoins impérieux. elle se penche pour attacher ses lacets, sans plier les genoux, sa robe, assez courte, remonte largement sur ses cuisses et les dévoile à lui. Il était tombé fou amoureux de la femme qui avait trébuché devant lui. Ce fut le début d’une relation, un véritable apprentissage sexuel. Il s´est masturbé dans ce lit en pensant à sa première fois, et à l’explosion sensuelle et émotionnelle que cela avait pu être. Il est tard, l’alcool fait son effet. Ils allaient tous se coucher.

- ?Mon mari aime bien aussi que j’aie les seins libres, ça lui donne du tonus, si vous voyez ce que je veux dire, dit à Thomaz son chauffeur.
-??Euh… je n’y ai pas pensé. Je vais y réfléchir.? Vous êtes une vraie chienne, sous vos allures de sage bourgeoise! Votre gros cul est vraiment très accueillant! C’est un régal d’investir votre grotte pour vider mes couilles!
- Lorsque nous nous sommes rencontrés le monde du libertinage lui était totalement étranger ; sans être un expert, ce n’était pas mon cas. Je l’ai initiée, progressivement. Sa personnalité s’est rapidement révélée ; elle aime cet univers au delà de mes espérances.

C’était un soir d’été, digne d’une belle histoire romantique. Joel ne parvient pas à trouver le sommeil. Les images de ce couple libertin, exhibitionniste, candauliste, lui perturbent. Joel a soif. Il se lève, enfile un kimono en soie et descends discrètement dans la cuisine boire un verre d’eau en restant dans le noir pour ne réveiller personne.


Des gémissements étouffés proviennent du jardin éclairé par la lune.
S’approchant de la porte-fenêtre, Il aperçois Madalena et le chauffeur Thomaz faisant l’amour. Couchée sur la table, robe remontée jusqu’aux hanches, dépoitraillée, elle accueille le vit de son mari, qui la besogne avec entrain, guidé en rythme par les deux jambes qui enserrent sa taille et les talons qui battent la mesure sur ses fesses. je vois ses lèvres murmurer, elle respire soigneusement, à fond. Elle est décoiffée, son maquillage a coulé sur ses joues, son rouge à lèvres dispersé. Excitée par le spectacle vécu sur la plage ce soir et par la vue de la queue de Thomas qui va et vient dans la chatte ouverte de son épouse, sans pouvoir se retenir, il pose une main sur la pointe de son sein et le caresse à travers le doux tissu. Sa langue humidifie ses lèvres desséchées, puis suce deux doigts qui s’emparent du téton. L’autre main descend tout doucement sur le bas de mon ventre qui s’enflamme. Son sexe se liquéfie. Un doigt s’y aventure pour décalotter son clitoris. Alors, emportée, il pose son verre et lui prend à deux mains, tordant son sein et son clitoris dans la même explosion.

- Oh oui, baise-moi bien fort, oh oui, tu vas me faire jouir, oh ouiii!

Il accompagne Madalena qui, secouée par un Thomaz qui a perdu toute mesure, le sexe dégoulinant de foutre, mord son bras pour ne pas ameuter le voisinage. Elle était dévastée par des orgasmes incontrôlables, violents. Bousculée par de légères jouissances venues subitement sans prévenir. Chahutée par un désir insatiable. Marlene jouissait enfin! Et sa vie changea du tout au tout… Le parquet était sali par une petite flaque visqueuse, et Marlene resta les yeux baissés tant que l’orgasme la bouleversa. Épuisée, La blonde avait obtenu le droit de se couvrir d’un léger peignoir.

- Mah, tu te rends compte? J’ai couché avec le chauffeur Tomaz ce soir.
-?Et tu aimes ça?
-?Comment dire… C’est intense, excitant, pas voluptueux, intense.
-?Pardonne-moi, chérie. Merci de m’avoir dit ça! Je te trouve très courageuse ce soir. Si… Si tu en as envie, continues...

Plus tard avec le chauffeur.

-? Tu baises toujours aussi bien. Ta grosse queue me fait toujours autant d’effets. C’était très bon.
-?? Tu sais que tu intéresses, patronne?
-? Tu te fais des idées, je pense. À moins que tu veuilles m’exciter. Tu sais que ce n’est pas nécessaire.

Après quelques minutes de patience, il se lève et descends doucement pour ne réveiller personne. Là, il aperçoit Thomaz baisant Madalena dans le jardin et, captivée devant la porte-fenêtre, son épouse râlant sa jouissance. Alors il pète un câble, se précipite dans son dos, embrasse sa nuque, suce ses épaules, son dos, ses reins. Madalena se retourne brutalement se jette sur lui, lèche goulûment son coup, et son torse tout en se masturbant contre sa cuisse. Elle prend ses fesses à pleines mains pour accentuer la pression contre ses lèvres trempées et brûlantes. Elle en veut plus, plus de pression sur sa chatte, et pour cela elle entre un doigt dans son cul pour le pousser plus en avant. Quelques minutes après, le temps pour tous de se remettre, Madalena et Thomas entrent dans la pièce, comme si de rien n’était, avec un petit sourire complice. Officiellement, personne n’a rien vu. Il ne s’est rien passé.  

-? Vous aviez soif, vous aussi? On vous sert un verre d’eau? Il est temps d’aller dormir si on veut profiter de la plage demain. J’ai envie de raconter cette expérience magnifique, qui vient de m’arriver.
- Je le sais... Ok. Nous irons... T´as déjà baisé avec le chauffeur?  Tu as rencontré un nouvel amant, très bien membré.
-?Il me fait du bien mon amour, ?j’ai joui intensément, dit Madalena.
- Plus que moi?? J’ai bien l’impression que Madalena s’est convertie, elle aussi, à libertinagem.
-?Oh oui! Pardon mon amour, mais oui, plus étalon que toi.
-?Vous conduirez prudemment. Je ne veux pas me sépparer. Il te baisait! C’est ça qui a tout changé! Ou pas changé.
- ?Pour ne rien vous cacher, oui. Joel, tu es ange et démon, je vois que tu me désires encore et tu m’excites à nouveau.
-?Sois discret…?Je voudrais te voir faire l’amour avec un autre homme. ?J’ai toujours eu envie de ça. Personne ne doit le savoir.
- Tu es un mari cocu voyeur concentant. C´es ça?
- Plus au moins. Oui, mais ça a été hyper excitant! On doit prendre de plaisir hors du couple.
- Après tout, pourquoi pas? Si mon chéri est pour et que je ne suis pas contre… Je crois, et quelques sensations se manifestent au creux de mon ventre, tu sais.
- ?Si tu en as envie, ça ne me dérange pas.
-?Un couple ne peut pas se limiter à une entente sexuelle, fusse-t-elle parfaite.

 Un feu d’artifice à chaque fois, mais il faut dire qu’elle aime le sexe, qu’elle n’a pas de tabous, et qu’il lui suffit que je l’embrasse ou que je lui touche les seins pour qu’un orgasme la chavire… La vie reprend son cours. Les choses ont complètement changé, ça se fait comme ça, il avait gagné, il avait obtenu ce qu´il voulait mais son épouse ne s´intéressait plus pour lui. Elle a tombé amoureuse d´autre homme. Il était un bonheur à tous point de vus. Ils avaiient beaucoup de choses en communs et c´était três agréable d´être avec quelqu´un comme lui, après avoit été si longtemps mauvaise compagnie. Sa femme aime bien s’exhiber en ce lieu, lui un peu moins. Aussi, pour rétablir l’équilibre, elle met pour lui sa courte moulante et voluptueuse robe bleu nuit en angora très doux avec un boutonnage dans le dos. Joel adore cette robe, douce comme une caresse, elle peut la mettre devant derrière et dans ce cas ouvrir les boutons pour libérer sa poitrine audacieuse. 

-?Une femme comme moi devez apprécier?
-?Oui, je suis toute à vous, offerte et soumise.
- ?Quelle femme?! dit-il.
- ?Oui, et tu n’as encore rien vu!
- ?Comment cela?
- ?Sa devise dans de tels moments est : toujours plus!
-?Marlene, tu es une magicienne! Dit Thomaz.
-?Peut-être, mais j’apprécie que les instruments de mon plaisir soient en parfait état de marche.

Une tranche de vie, passée comme un éclair dans un ciel d’orage. Marlene écrasa sa cigarette à peine allumée dans le gros cendrier de verre. Certainement du cristal. Elle avait les moyens financiers de bien vivre. Un gros patrimoine. Elle avait réussi et vivait des fruits de ces deux sources de revenus. Marlene s’assied sur le large canapé de tissu gris. Son peignoir gênait ses mouvements, collé à son corps par la moiteur de sa peau. Elle avait chaud. Moment de la journée ou de la nuit l´amant pouvait appeler Marlene ainsi. Et Joel prenait vie. La blonde assouvissant ses désirs, comme ses envies, sans se soucier des états d’âme de son chéri époux. Il faisait l’amour à Marlene. Douceur, tendresse et passion. Le chaufeur baisait la blonde tous les jours, la prenait sans s’occuper de son plaisir, et imposait sa loi. Dénudée et caressée jusqu’à l’orgasme à n’importe quel moment de la journée. Thomaz découvrit donc d’autres horizons. C’était réellement une nouvelle vie qu´elle s’offrait à lui.
Les toutes premières expériences de cette nouvelle sexualité, vécue par Marlene, lui firent découvrir une variété d’orgasmes inconnus. Plaisirs inconnus et inespérés, qu’elle nomma à la va-vite, tentant d’identifier et de différencier au mieux ce déferlement de jouissance. Marlene, nue sur son canapé, sourit en attrapant son paquet de cigarettes. En fait, tant que ses proches ne se douteraient de rien, cette vie la satisfaisait pleinement.

- ?J’aimerais que son mari disparaisse…
- C´est trop dangereux.
- ?Oublie ma belle… Je n’ai rien dit. C’est une mauvaise idée. Ou c’est simplement trop…
- ?Très mauvaise idée…
- Oh rien de pervers. 

L´amant de Marlene l´invite à tuer son mari Joel. Un plan maquivélique révélé à elle. Um plan comble de machiination et trahison. Il avait un passé peu reccomandable. Marlene était une femme extravertie et indépendante et elle ne se laisse pas influencer par ce que pensait la société à son sujet. Il avait un charme irrésistible avec une liaison passionnée avec la belle blonde. Cette fois, Marlene parut reprendre vie. La respiration oppressée, elle dévisagea Thomaz comme si elle ne comprenait pas. Elle paraissait soudainement perdue, et ses yeux annonçaient l’orage, comme un nuage noir obscurcissait le ciel.

Ils étaient le couple plus glamour du Rio de Janeiro. Il était riche, elle est terrifié à l´idée d´avoir des amants. Elle aimait sexe. Un scandale sans prescedent. C´est fou qu´une chose pareille ait pu arriver. La situation est devenue incontrôlable de la mechancheté purê. Un couple mondaine avec um mari cocu voyeur concentant. Cette Femme excentrique exilé dans son domaine. Le mariage était batie sur le mensonge et les apparences, comme les fortunes savent si bien le faire. L´argent, l´intrigue, infidelité, tous les ingredientes sont là avec l´aspect criminel laissant tout le monde perplexe. Marrlene opte pour une robe légère et fluide, pincée à la taille, évasée sur les hanches, plus échancrée dans le dos que sur la poitrine. Elle est coupée à mi-cuisse, plus sage que mes tenues habituelles. Som mari aurait aimé plus sexy mais il n’avait pas qui allait aussi bien avec ses escarpins. il aime quand elle affiche un peu d’audace. 
Cela fait maintenant presque 3 ans que Marlene a eu son premier amant, et il s’en souvient encore comme si c’était hier. C’était un petit jeune qui l’avait invitée à danser dans une boîte, et, quand il lui a fait des avances, Marlene s’est laissée faire. Assis à quelques mètres, il les voyait danser sur la piste, il voyait l’homme la serrer, faire glisser ses mains sur son corps et, quand il croisait le regard de sa femme, il voyait son regard brillant de malice, un peu surprise d’oser de se laisser faire, mais visiblement heureuse de l’offrir ces instants. Il voyait l’homme lui murmurer à l’oreille, lui arrachant quelques sourires, et, quand sa tête s’est penchée vers elle, elle n’a pas dérobé ses lèvres. Leur baiser a duré de longues minutes. Il ne comprenait pas pourquoi, mais il était heureux, follement excité du plaisir que sa femme lui donnait par personne interposée.

-?Tu sais que tu es très belle, je ne sais pas si je vais pouvoir te ramener chez toi et rester sage.
-?Ne dis pas de bêtises, je suis mariée et j’aime mon mari.
- ?C’est un plaisir de s’occuper d’une jolie femme.
-?Arrête ton cinéma. 
-?Tu es très excitante, fit-il. Tu le sais en plus. Tu me rends fou. Bien sur que je veux! Quel cul tu as!

Une boîte de nuit qui ressemble à une ville pour milliardaires, Aussi, lorsque vers 22 h 30 ils avaient franchi les portes de cet endroit si insolite, Comme la première fois, dès les premières minutes ils avaient été conquis, puis envoûtés par la beauté et le raffinement des lieux. Limousine et créature de rêve et robe de soir pour tout le monde. Champagnes, ce soir là se tient unes des fêtes les plus fermées de l´été. C´es le bal des fleurs. C´est une des grandes fêtes de Búzios. La ville attire une clientelle classique, mais aussi de personnages extravagants comme Marlene Gomes,  Elle était belle et désirable dans sa robe noire, la robe d´elle fait sensation, une tenue suffisamment sexy pour le rendre fou de désir. Il faut qu´il fasse chaud à Búzios. Tout est permis, l´argent, l´exhibe, sexe, Tout s´affiche sans complexe. Tous les goûts s´entremêlent, des parures clinquant depuis la grosse bague au sac à main 100% cristal. Un ambiance qui fait la joie des derniers arrrivés. Voilà pour la face connu de Búzios. La fête bat son plein. Beaucoup échangent des caresses, chuchotent, rient discrètement. On devine à leur façon de se mouvoir que certains font l’amour. Il y avait du monde, ni trop, ni trop peu. Après avoir joué les voyeurs dans les différentes salles dédiées au plaisir, Elle remarqua cette lumière, éclatante sous ces latitudes, qui donnait une teinte fantastique à toutes les couleurs, le bleu de la mer était presque irréel, comme tiré d’une carte postale.  Ils sont posés dans une des pièces à l’éclairage tamisé et au décor baroque. Ils sont l’un contre l’autre en appui sur l’un des murs de cette chambre des plaisirs.  l’hôtesse qui les invite à entrer dans la salle principale.

- ?Je vous laisse vous installer, messieurs-dames. Bonne soirée.?Je pense que vous allez passer une très bonne soirée, messieurs-dames.
-?Ce soir je veux que tu te libères totalement, fais tout ce que je te dis et laisse-toi faire, quoi qu’il arrive.
- ?Cela risque de vite dégénérer, tu ne crois pas?
-?Tu sais, je pense que dans ce genre de club il y a beaucoup plus de respect que dans une simple boîte de nuit.
-?Je t’adore, toi, tu sais toujours me rassurer et me convaincre.
- ?À peine arrivée, tu t’exhibes devant un homme, toi!
- ?T’es con, toi… En plus, je suis sûre que ça t’excite, gros pervers!
- ?Tu es magnifique ce soir.
- ?Tu me trouves réellement belle? me répondit-elle.
- ?Oui, je te trouve magnifique.
- ?Regarde-moi, je veux que tu me voies en train de jouir.
-?Tu as raison, la vie est courte, il faut en profiter.
-?Je suis content de te l’entendre dire!
- Tu fais sensation...
- ?Je trouve cela très excitant aussi.
- Marlene, cela te plaît ce que tu vois??Alors ça y est, vous vous êtes enfin décidée à venir au spectacle.

L’homme ne cesse de l’observer sans que son regard ne le gêne. Voir des hommes autres que leur mari se déshabiller devant elles. Et quels hommes,  tous beaux, tous bronzés, tous musclés, bref le rêve… La musique commence sur un rythme soutenu et un projecteur s’allume pour présenter un beau marin en tenue blanche. Pourquoi d’ailleurs penser à son mari en pareille circonstance?  Et quand le danseur se retourne alors qu’elle est encore à genoux, elle se trouve nez à nez avec un sexe dont jamais Marlene n’aurait pu imaginer l’existence en taille. 

- ?Tu aimerais voir leurs queues, pas vrai, les branler, les sucer!
- ?Attends, j’ai une idée!
- ?Branle-les . L’ordonne l´époux.
- ?Oui mon amour, bien sûr, mais pourqu…
- L´obscénité, la perversité n’existent plus, tout n’est que plaisir.
- C´est ma vie de libertine.

Celui-ci n’est pas en érection et pourtant, il fait déjà vingt centimètres. Elle ne peut bouger et détacher son regard de ce spectacle et c’est le danseur qui la fait se redresser pour la raccompagner à sa place. Rouge comme une pivoine, elle s’assied comme une enfant qui aurait touché un bonbon sur un étalage et qui aurait été surprise. Elle qui voulait profiter pour pouvoir caresser le torse et les fesses de l’Italien… Leurs bouches se rapprochent et leurs langues se mélangent. Les caresses se font progressivement plus intenses.

- C’est terriblement érotique! ?Bon, tu es content?
- ?Oui, très! Pourquoi, toi non?
- ?De quoi j’ai l’air moi, maintenant?
- ?D’une belle femme!

Il ne peut s’empêcher de plonger son regard dans l’échancrure de son corsage. Deux seins lourds sont emprisonnés par une dentelle noire puis s’échappent de sa vue lorsqu’elle se redresse. Cette blonde fine aux petits seins pointus, aux magnifiques yeux bleus, ne semblait pas très accessible. Il introduit directement ses mains dans celui-ci au contact du sexe. Marlene ne sait quoi faire. Lui entame des allers-retours du bassin alors que les lumières disparaissent et que seule une poursuite éclaire la scène.

-?Regarde! c’est toi qui l’as voulu! et bien tu vois, j’ose! ça t’étonne, hein? Ohhh, je meurs! Ooooh va, va, tu me tues! Encore … Encore!
- Non... Continuez... C´est tout que je veux.
- ?Merci, chéri! tu sais, je t’adore!
- ?Tu as aimé alors?
-?Bien sûr! J’ai même adoré!
- ?Quand tu me disais qu’il fallait que j’ose.
- ?Ah, oui, c’est vrai…
- À mon mari cocu, tu es content d’avoir une femme comme moi…
- ?Ça t’excite une grosse bite comme ça.

Ses mains s’attardent sur son corps, frôlent ses seins et parfois épousent l’intérieur de ses cuisses pour remonter très haut. Lorsque, joue contre joue, ils changent de côté, leurs lèvres se frôlent, voire même, se caressent. Elle est en train de faire quelque chose qu’elle n’aurait jamais imaginé. Maintenant, elle est totalement livrée. Elle ne peut plus se contrôler. Le point de non-retour est franchi. Je pensais qu’elle réagirait, mais non. Elle s’abandonne totalement. La main d’Emma est experte et elle malaxe avec une grande dextérité la vulve offerte et désormais sans barrière. Marlene gémit, son corps ondule sous les caresses. Parfois, deux ou trois doigts entrent dans son vagin ouvert et dégoulinant. Cela doit faire plus d’une minute qu’elle masturbe l´italien et son sexe est désormais parfaitement raide, dépassant de ses deux mains mises l’une au bout de l’autre.

- ?Tu as vu cet engin? Jamais je n’en avais vu comme cela avant!
-?Moi non plus, répond son mari.
-?As-tu un préservatif? J’ai envie que tu me prennes! ?Elle te plait ma poitrine? Tu veux la voir, la toucher?
-?Ta peau est d’une douceur infinie! ?Quelle magnifique chatte impudique ! Alors, tu aimes l’exhib?
- Je n’avais jamais fréquenté ce genre de lieu. 
- ?Pense aux spectateurs: écarte les jambes!
- ?Je suppose que vous jouez franc jeu et que vous l’assumez.

Elle l’embrasse fougueusement sans s´importer avec la présence de son mari et, le baiser fini, il vient placer son chibre à l’entrée de son vagin et l’empale d’un seul coup, provoquant un hurlement de la belle blonde. Il va-et-vient ensuite dans ce sexe dont il se croyait seul possesseur. Bien qu’ivre, je garde une certaine lucidité. Au contraire, elle bouge son bassin pour aller au-devant du sexe qui la pourfend. Elle hurle, subit orgasme sur orgasme. Enfin, L´italien se retire en gémissant et éjacule en l’air dans les secondes qui suivent. Elle ondule du bassin et respire fortement. L´italien est collé derrière elle et accompagne son bassin, lui caresse les seins et l’embrasse dans le cou. Mais c’est sûr, il est en elle. Le mari n’ose pas dire qu´il a fait le voyeur et qu´il a pris du plaisir de voir sa femme prendre du plaisir avec d’autres que lui. Il finist par lui dire qu´il se doute un peu de quelque chose à la suite du tango.

-? ?C’est de toi dont j’ai envie, pas d’un simple plan cul. J’adore ta bite. Elle est très dure comme j’aime. ?Vas-y, encule-moi fort, démonte-moi, je suis ta pute!
 - Tu es une femme très courageuse. ?Hummm, ma belle, je coule en toi, ma belle.
- ?Prends-moi contre le mur, vite!

Là, il se déchaîne en elle, il la pilonne violemment, varie les intromissions et la fréquence. Il veut lui donner le maximum de plaisir, lui montrer qu´il est digne d’elle. Elle crie, hurle sa jouissance. Tous les muscles de l’homme se tendent, ses mains s’accrochent aux hanches de la blonde, puis de violents spasmes s’emparent de lui, il éjacule violemment, par longue giclées dans la grotte d’amour de sa Marlene. L´italien jouit vite et se vide en elle. Elle lui suit, ouvre grand sa bouche sans qu’aucun son ne sorte puis, du fond de sa gorge sort le long cri de son orgasme.
- ?Waouh! J’ai jamais autant joui.?J’ai beaucoup aimé ta façon de me surprendre. Je croyais que tu allais m’embrocher et me pilonner sauvagement. J’aime bien ça aussi, tu sais! dis-je avec un clin d’œil malicieux.
- Vous avez une femme ravissante, vous savez?
-?N’est-ce pas? Mais je vous en prie, elle est à vous.
- ?Si elle le désire, ce sera avec plaisir oui.
- Elle est très belle, d’une beauté à vous couper le souffle.
- ?Arrête, Rémi, arrête ! Arrête…


Ses peaux glissent sur la sueur, l’humidité et le sperme de ses amants. Il prend un mouchoir en papier pour essuyer un peu son visage sur lequel perlent encore quelques gouttes, puis il l’embrasse tendrement avant de coller son visage dans le creux de son cou. Son époux fier de sa chérie. Heureux de partager ces instants de pur plaisir, de totale complicité avec elle. N’est-ce pas là, finalement, le vrai bonheur?
- J’aimerai la lécher, la pénétrer à mon tour, mais… Ce sera pour tout à l’heure.
Thomaz dit de quelqu´un três gentil, três sociable toujours prête à aider son mari, gay souriant vraiment toujours donner le meilleur de lui, três avenant. Il était un ange ou démon? Il faut se pencher sur le destin hors du commun de cette femme, son charme fait partout sensation avec um charme indeniable. Une Beauté éblouissante doublée d´une personnalitté três attachante. Une page décisive se tourne dans son existence. Marlene avait un amant appellé Thomaz qui est le chauffeur de la famille. C´était le coup de foudre de Marlene. Il était un homme viril, grand qui impose. Il a une stature qui impose, jusqu´à ce jour fatidique de l´automne 2018.
L´annonce de crime passionnel qui a fait deux morts un blessé la nuit dernière. La população de Búzios c´est l´horreur et la stupéfation. Une dispute sanglant ont été découverts dans une belle demeure dans un quartier chic de la ville. Cette nuit à trois heure du matin, il y a un grand silence dans la Maison tout le monde dort et Marlene est revceillé par un bruit, elle se lève brutalement elle s´apperçoit que quelque chose arrive dans le couloir de la maison. La belle blonde constate que quelque chose ne vas pas. Chez elle était un calvaire, à cet moment le monde s´effronde, elle découvre sur le dos son mari blessé sur le plancher, elle crie tout le temps, Là se passe quelque chose de grave. Son compagnon Joel a été abattu, Marlene a un totalement désorienté. Elle immédiiatement allait jusqu´à cuisine et prend un énorme couteau. Elle crie, crie et blesse son amant qui estt tout sale de sang ils commencent à changer coups de couteau et de marteau. Cet acte est horriibleElle tombe mortalement blessé, son amant tombe ensuite.
Ce soir les enquêteurs plonge au coeur d´une affaire criminelle hors-norme. La policie et les pompiers entrent dans l´énorme habitation de Joel Gomes et y trouvent un gros problème. Un helicoptère arrive a pour mission de porterr secours à Joel Gomes. Il était grièvement blessé, il a perdu connaissance er sur un couloir allongé sur le planché totalement inanimé Le chauffeur Thomaz il a perdu beaucoup de sang. Il a des coups à la tête, il a blessure au thorax, il n´est pas mort, il respire. Il est rapidement pris en charge par les pompiers qui vont l´évacuer par helicoptère vers le vers les urrgences de l´hôpital, son pronostic vital est engagé, il est plongé dans un coma artificiel et ses jours sont en danger. Alors que le sort de Joel reste incertain. La police penetre dans la maison, deux corps sans vie gisant dans un bain de sang sont allongés au milieu du couloir.
Une scène insoutenable, cette scène de crime était um véritable carnage. On a vu du sens sur les murs on avait du sang sur immeuble, le sang était projeté absolument partout dans la maison. Un marteau et un couteau posé sur le bar et la cuisine les couteaux par terre les corps les corps étendus la scène est vraiment digne d´un film d´horreur.
Très vite la police parvient à identifier ces deux victimes. La Femme s´appelle Madalene et l´homme son chauffeur Thomaz. Les toutes premières constatations sont sans apppel les deux victimes ont été mortallement couteau, blessés à coups de marteau. Ce qui est constate c´est que monsieur Thomaz Gonsales et madame Gomes ont reçu chaacun 17 coups de couteaux, Thomaz Gonsales a reçu 11 coups de marteau sur la tête. Les coups de marteau extremement fort puisque ils ont cassé le crane. Demain donc et un blessé grave à savoir Joel le mari de Marlene. La scène est d´une telle violence que même les policiers sont en état de choc.
Très vite les voisins leurs expliquent la situation. Marlene vivait dans sa maison avec son mari et son amant sous le même maison. Cette cohabitation à trois durait depuis près trois ans. Il savait que ça allait três mal se terminer dans le sang. Une Femme et son amant présumée ont donc été tués hier soir à Búzios, les enquêteurs ont découvert une véritable scène d´ultra-violence. C´est une scène qui a été qualifiée de massacre par um des pompiers qui étaiient sur place dans cette residence sans histoire du centre de la ville. L´annonce de la tuerie se propage la police judiciaire de Búzios est designer pour mener les investigations.
Ce couple en apparence parfait caché e réalité des secrets inavouables, des secrets qui vont prendre d´abominables proportions. Ça faisait beaucoup des années qu´ils pratiquent la libertinagem. Joel Gomes était recherché pour trafic de drogue et stupéfiant, blanchiiment de l´argent et Thomaz Gonsales était un homme qui menait une vie double, tueur à gages selon les investigations. C´est une histoire d´adultère melangé avec crime de máfia, avec une confrontation entre le mari et l´amant de Marlene qu´avait provoqué la tragédie. L´image symbolique d´un mari que tentait tuerr l´amant de son épouse.

Fin
Ivan Ribeiro Lagos
Ivanribeirolagos20@gmail.com


 










































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