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Hicham

Ecrit par Nickie
Parue le 10 avril 2020
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Cette histoire érotique a été lue 4566 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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C’était en juillet il y a une semaine environ, une des rares journées d’été de ce mois-là où la chaleur étouffante avait disparue. Je faisais des courses au supermarché du quartier. Comme il faisait bon ce jour là , j’avais mis un panta court en jeans, une culotte blanche et portais un chemisier décolleté avec un soutien-gorge assortie. Franchement, je ne m’étais pas rendue compte que ce chemisier était assez translucide et laissait voir ma poitrine sous le tissu.


J’avais remarqué avant de rentrer dans le commerc qu'un jeune beur qui me suivait. Il portait un jeans serré et un tee-shirt. Il devait avoir la trentaine, moyen de taille 1m72 environ, cortaud, le teint légérement mat, les cheveux courts, le genre lascar, il me suivait tranquillement en portant un sac à sa cotés.....à un moment donné, nous étions seuls dans une allée. Il m’a fixée dans les yeux et il m’a dit :

— Salut Annick ma salope, on se connait bien, Je m’appelle Hicham, tu t'en rappelles on a discuté tous les deux sur xhamster et je veux te baiser ! je viens de Paris pour te tringler..........je t'avais prévenu que j'arrivais aujoud'hui et me voilà, je suis allé chez toi il n'y avait personne et une voisine m'a dit que tu étais allé faire des courses au supermarcé du coin alors je t'ai suivis,j'ai dans mon sac une djellaba comme je t'avais dit et avant de sortir du magasin tu va l'enfiler et je te suis jusqu'à chez toi et tu vas ramasser ma belle ....

En même temps, il avait mis la main sur l’énorme bosse qui déformait son pantalon.

J’ai rougie de voir u si beau jeune homme avoir envie de moi et me suis donc empressée de revétir sa djellaba, de payer mes quelques achats et de rentrer chez moi, sachant qu’une fois à la maison je regretterais de l'avoir invité à me suivre..........car je le trouvais séduisant; assez maitre de lui et vu ce que j'avais remarqué à la déformation de sa braguette, il devait avoir un bon mandin .....et son look lascar me faisait dangerusement mouiller dans la rue, je me suis rendue compte qu’il me suivait de loin toujours occupé à se caresser le sexe et à bien me fixer le cul qui se dandidnant sous la djellaba car je le faisais esprés de bien le remuer pour bien l'exciter.... une fois arrivée à mon immeuble, je n’ai pas refermé la porte d’entrée et, naturellement il s’est engouffré derrière moi.


J’avais commandé l’ascenseur, il est entré avec moi puis a stoppé l’ascenseur entre deux étages. Je savais bien que t'avais envie de moi Salope.........tu vas pas le regretter et..........vous étes toutes les mêmes vous les meufs françaises vous faites les bégueulles mais lorsque vous étes avec nouss avez envie de connaitre le baise totale et ill a commencé à poser les mains sur mes seins et à me caresser. Mes seins se dressaient, mes tétons étaient durs. Je protestai :


— Mais Hicham,tu es fou, laisse-moi ! on feras çà chez moi mais pas ici..... je suis mariée, on me connais, attend un peu oui mais j'ai trop envie que tu me suces Salope et ensuite tu vas crier de plaisir. Arrête tes histoires. Tu as envie, ça se voit. et tu va me sucer pour commencer et il a continué et a relevé la djellaba puis a ccommencé à ouvrir les boutons de mon chemisier, libérant me seins. Il a commencé à me sucer les tétons.

— Oh non arrêtez, tu es fou. On peut nous surprendre… puis excitée par la fougue de ce jeune homme je me laissais faire sans lui refuser ce qu'il voulait.......

— Je le savais. Tu m’as trop excité. Je te baiserai ici même, ma salope. Jamais je n’avais été léchée comme ça. Hicham avait gagné. Je ne pensais absolument plus à mes bonnes résolutions, à l’endroit où j’étais, qu’on pouvait nous entendre, nous surprendre. Heureusement, on était en périodes de vacances. Je ne retenais pas mes gémissements.


Hicham s’est redressé, m’a pris dans ses bras, ses lèvres ont pris possession des miennes et nous avons échangé un long baiser. Ses mains étaient sur mes fesses, je sentais contre moi son désir sauvage, sa verge en érection. J’avais trop envie. De lui. Ce jeune mâle avait gagné : pourquoi résister plus longtemps à ma nature ?


— Tu sens comme j’ai envie de toi, ma salope. Tu me veux ? Je te préviens : je suis ton mâle désormais. Je te prends sans capote et je me vide en toi. Dis-moi que tu as envie !
— Oui Rachid je t’en prie, baise-moi, j’en meurs d’envie !
— Oui je sens que tu es trempée et bien ouverte. Mets-toi à genoux tu vas me tailler une pipe d’abord.

Je lui ai obéi et j’ai mis toute mon âme à le sucer. Ma bouche était déformée, je m’étouffais. Il était incroyablement résistant et n’avait pas l’intention pour le moment de se vider dans ma bouche. J’avais une envie folle qu’il me prenne. Jamais, même dans mes fantasmes les plus hard, je n’avais pensé à un tel scénario.......

— On n’a pas fini. On va chez toi. Désormais je veux te baiser chaque fois que j’ai envie, si possible tous les jours !

Il a remis l’ascenseur en route. J’ai cru mourir de honte car le concierge était à mon étage. Il avait remarqué que l’ascenseur était bloqué mais ne s’imaginait pas que ça pouvait être moi, d’habitude si réservée, si hautaine........de plus il ne m'avait jamais vu habillée comme çà

Hicham n’a rien fait pour être discret. De toute façon, je ne pouvais nier : cheveux en bataille, yeux cernés, des traces de sperme au coin de la bouche. Et en plus Hicham qui posait ostensiblement les mains sur mes fesses.

Le concierge a fait un clin d’œil à Hicham et nous a dit :

— Bonne journée, Madame Annick. !

Quand nous sommes entrés dans l’appartement, j’ai dit à Hicham :

— Tu es fou. Il va tout raconter.
— Et alors ? Je suis fier de moi, de ma conquête. Tu es à moi désormais. De toute façon il a bien compris ce que je montais faire avec toi.........Sur ce, Hicham m’a entraînée vers la chambre. Il m’a jeté sur le lit, m'a demandé à nouveau de bien le sucer m'a fait avaler sa semence puis m'a frelevé le bas de la djallaba et m'a prise en levrette avec toute la fougue de sa jeunesse, je sentais bien son mandrin de 18 cm bien dur me labourer la chatte à grands coups de pine, il me traitait de tous les noms et souvent m'insultait en arabe tout ne faisant sentir la puissance de sa domination magrhébine...."..T'ES A MOI SALOPE D'ANNICK, MA KAHBA FRANCAISE, JE VAIS TE MONTRER COMMENT ON TRAITE LES PUTES COMME TOI........"et tout en m'insultant il redoublait d'ardeur, j'étais balloté en tous sens, mes seins libre de leur soutien gorge se balançaient de droite et de gauche sous le frêle tissu, j'avaia un peu chaud et demandait de retirer le vêtement, il me le permit tout en passant un puis deux doigts dans mon anus..
" TU VOIS SALOPE JE TE PREPARE LE TERMA......TU VA VOIR CE QUE C'EST QUE LA SODOMIE DE HICHAM et sans que je puisse bouger il retira sa queue de ma chatte et la colla sur la raie et d'un coups lent mais brusque il me l'enfourna dans le cul, j'eue un mouvement de recul mais il su parfaitement me retenir et me défonça l'anus à grands coups de queues...........je gémissais plus fortement, il riait de son côté tout en ayant pris possession de mes seins de ses mains et me les pétrissaient tout en me sodomisant fortement.....arriva l moment où ne pouvant plus se retenir il m'expédia de violents jets de sa semence chaude bien au fand de mon cul en émettant un râle comme celui d'un mâle en rut fier coupulé sa compagne, il se retira lentement, eu quand même la politesse de s'essuyer le sexe avec la serviette que j'avais déposé à ses cotés, me fit mettre à genou devant lui et me fit sucer son sexe afin qu'il retrouve toute sa vigueur, me lécha chatte et seins m'embrassa longuement puis assez rapidement sa queue reprit sa forme de maitre rebeu et il m'a fait l’amour encore pendant des heures et pour clore la journée m’a enculée à deux reprises À l’issue de cette journée, j’ai compris que je ne pouvais plus ni me priver de plaisir, ni me passer des beurs qui sont, je dois l'avouer, les meilleurs baiseurs que je connaisse, Hicham m'avait redonné le goût des mâles virils qu'il sont tous..............


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