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JE MOUILLE POUR PIERRE

Ecrit par CHANTALOUETTE
Parue le 17 09 2009
Il y a 5 commentaires pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 14213 fois | Cette histoire erotique a une note de : 12/20

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BONJOUR

Ce samedi matin,Hervé est parti tôt pour acheter des livres,j'en
profite pour faire le ménage à fond.Je branche mon aspirateur,rien,
je retente une autre fois,pas mieux.Je pourrais aller chez Mr Louis
mais Hervé m'a dit que nous avions un voisin depuis peu,qu'il
l'avait aperçu une fois et qu'ayant sonné plusieurs fois pour se
présenter,il avait trouvé porte close à chaque fois.Il ne devait
pas être souvent ici.
Je me dis que l'occasion est bonne pour faire connaissance,je sonne
à sa porte,la porte s'ouvre sur un homme grand et costaud,style
bucheron canadien.
"Bonjour,je suis votre voisine et mon aspi ne démarre pas,venez
voir,il est branché mais ne démarre pas."
Il entre chez moi,teste la prise,et me dit,navré:
"Il doit y avoir une panne,laissez le moi,je vous le réparerai et en
attendant je vous prête le mien".
A ce moment,je me rends compte que je suis entre lui et le soleil,
étant vêtue uniquement d'une d'une longue robe d'intérieur noire
transparente,il doit voir de profil les poils de ma chatte ainsi
que les tétons de mes seins car je n'ai dessous ni culotte ni
soutien-gorge,il ne se gène d'ailleurs pas pour mater.
Mon minou commence à devenir moite,je regarde ce type,il est très
impressionnant,visage buriné,carrure de rugbyman,il doit être près
de la cinquantaine.Il en impose par sa seule présence.Moi,il me fait
mouiller,j'ai envie de ce type et s'il n'était pas notre voisin il
serait déja dans mes bras,mais je veux l'accord d'Hervé avant de
lui faire comprendre que j'ai envie qu'il me baise.
Il va chercher son aspi,me le prête,il marche.En m'en servant,je suis
nerveuse,mes seins sont durs et ma chatte est une fournaise,je me
vois déjà en train de le sucer et d'avaler son sperme avant qu'il
ne me prenne le petit trou,il doit être viril et endurant,je rêve
un peu,il va falloir convaincre Hervé...Je pense y arriver en usant
d'arguments bien à moi.

Mon ménage fini,je me douche,peaufine mon maquillage en ne lésinant
pas sur mon rouge à lèvres,je fais un peu pute.
Je dois aller faire quelques courses,je mets un haut blanc décolleté,
et transparent sans soutien-gorge,des dim up noirs,une mini noire
à volants et une petite culotte rouge en dentelle,un blouson et
des bottines à talons.je me trouve très sexy ainsi vêtue.
Je vais lui rendre son aspirateur,il me déshabille du regard,mes
tétons pointent à travers le fin lycra de mon haut.
"Je vous remercie,je vais faire des courses,si vous avez besoin de
quelque chose..."
"Si vous pouviez me ramener une baguette ça serait gentil"
Je descends dans la rue,excitée,mes grandes lèvres gonflées de désir
"mangent"ma culotte,je tortille mon cul en souhaitant que les mâles
me matent,je suis en chaleur.
Arrivée devant la poste,un jeune sdf fait la manche assis par terre,
je m'accroupis pour déposer une pièce dans sa soucoupe,il voit
le fond de ma culotte et me dit:
"Quelle belle culotte,restez un instant comme ça,il y a si longtemps
que je n'ai pas vu de petite chatte.."
Moi,bonne fille je fais profiter cet homme de mes trésors intimes,
j'ouvre mes cuisses pour lui offrir un panorama élargi sur ma
chatte et ma fourrure intime,il est ravi,je suis une vraie petite
cochonne,mais c'est plus fort que moi,j'adore m'exhiber et je ne
m'en prive pas.
Chez le marchand de journaux,je me penche pour me procurer une revue
exposant mes gros seins à la vue du commerçant,il est fou de moi et
me complimente toujours sur ma tenue,je le provoque souvent en lui
laissant voir mes seins ou ma culotte.Aujourd'hui je m'accroupis et
prend un journal dans le bas de son expo,je le consulte sans me
relever,ma jupe glisse sur mes cuisses lui prouvant que je porte des
bas,il regarde sans vergogne,je suis sure qu'il bande.j'aimerais
bien me le taper mais il entre toujours un client et il ne me file
pas de rendez vous,je vais devoir prendre les choses en main.

Dans la rue le vent fait voler un peu ma jupe et s'infiltre entre
mes cuisses,mon slip est à tordre,j'en suis certaine.
J'arrive chez mon voisin,lui donne son pain:
"Entrez,combien vous dois je?."
"Vous m'avez rendu un sacré service,je vous dois bien ça"
"Prenez un café alors"
"Volontiers"
J'entre,prends possession du canapé et pendant qu'il prépare le café
il m'explique qu'il travaille à l'ONF et qu'il a une mission de 3
mois environ dans la région.Assis dans un fauteuil,en face de moi,
il me mate tout en continuant son récit.L'appartement appartient
à un vieil oncle qui lui prête le temps de son séjour.
Il parle doucement,sa voix est envoûtante,il est fascinant,je suis
tétanisée,je suis scotchée dans le canapé,je lui raconte notre vie
à Hervé et moi nos boulots etc...
Je bois ses paroles,s'il me touchait maintenant je me jetterais sur
sa braguette pour lui extirper son sperme,je suis sure qu'il a une
bonne queue.Ma jupe remonte un peu,la lisière de mes bas apparente
l'intèresse au plus haut point,il est troublé lui aussi de voir
une aussi belle femelle en chaleur chez lui.

Le temps passe,je me lève pour partir,j'ai les jambes tremblantes.
"Voulez vous venir prendre un verre ce soir,vous ferez connaissance
de mon mari,il sera ravi de vous connaitre,disons vers 19 heures"
"D'accord,comptez sur moi."

Rentrée chez moi,il fallait que je me touche,je tripote mon clito à
toute vitesse ,frénétiquement,le plaisir monte en moi,Hervé arrive à
ce moment là,je suis sur le lit en train de m'astiquer le bouton
comme une malade,ça l'excite mon chéri,il sort sa bite me l'enfonce
dans la bouche,il bande vite.Je l'installe sur le dos et m'empale
sur sa queue,je monte et descend le long de ce pieu adoré,je ne me
tiens plus:
"Mets moi un doigt dans le cul,encule moi chéri,j'ai trop envie!!"
Pas contrariant,il obtempère,pendant qu'il me doigte,je me branle
mon petit bouton d'amour,l'orgasme est bref mais d'une extrème
intensité,je râle,je gueule comme un putois,c' est trop bon...

Mon petit chéri me jouit dans la chatte,il a été surpris par la
soudaineté de l'attaque,mais il a aimé je crois.
Un peu plus tard,je raconte à Hervé mes aventures matinales et la
raison de ma frénésie sexuelle.
"Tu es d'accord pour ce soir et si tu veux,on baise tous les trois?"
"Ai je la possibilité de dire non?"

Je l'embrasse,je l'aime,il est merveilleux.

Vivement 19 heures.....


BAISERS CHANTAL








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