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Je déniaise la fils de ma meilleure amie. Chapitre 2 , il me sodomise

Ecrit par mlkjhg39
Parue le 25 mars 2016
Il y a 1 commentaire pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 6729 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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JE DÉNIAISE LE FILS DE
MA MEILLEURE AMIE.
2ème partie.
Je veux qu’il me sodomise.

Résumé de la 1ère partie :
Je m’appelle Julie, je suis une belle femme qui adore le sexe, surtout avec des jeunots. J’ai dépucelé Claude, le fils de ma meilleure amie.
Claude est d’une timidité maladive mais c’est un diamant brut de 18 ans avec une queue impressionnante.
Je lui ai fais découvrir ce qu’était le corps d’une femme et il m’a comblée avec sa queue d’âne.
Je lui ai promis de revenir ce soir pour qu’il me fasse subir un autre plaisir que peuvent connaître aussi-bien les hommes que les femmes.
Mais vu ses proportions peu communes, il va falloir que je me prépare sinon je vais déguster.




Le soir est enfin venu, avant de rejoindre Claude dans sa chambre, Je commence par une séance aux toilettes pour un petit lavement, il faut que je fasse de la place pour sa queue, c’est qu’elle va remonter loin dans mes boyaux.
Puis je me mets en condition avec un gode de bonne taille. Je sais que je vais souffrir malgré que mon cul n’en soit pas à sa première bite.

Une fois bien chaude et le cul assoupli, je vais me glisser dans la chambre de Claude.
Je le trouve assoupi dans son lit. Je m’approche et tire doucement le drap qui couvre son corps.
Je redécouvre avec admiration les proportions parfaites de cet adolescent. Il va en faire craquer des filles...
Mais ce qui va peut-être l’handicaper avec elles, c’est cette verge si impressionnante qui va en rebuter plus d’une.
Elle repose entre ses jambes épousant de belles bourses bien pleines pour finir alanguie sur le drap.
Je me glisse entre ses jambes écartées et me saisis de ce dessert royal. Doucement, très doucement, je fais glisser ma main sur ce serpent qui prend doucement vie sous mes doigts.

Régulièrement, je libère sa verge pour constater les résultats de mon labeur, toujours collée contre ses bourses, elle relève la tête en un léger arrondi.
Après quelques minutes d’efforts, elle se redresse à l’horizontal atteignant pratiquement sa taille définitive. Je m’active maintenant avec mes deux mains sur cette hampe magnifique et me décide à avaler avec difficulté ce gland trigonocéphale.
A chaque caresse, je sens sa verge qui prend du volume. Des veines saillantes forment un lacis enchevêtré sous la peau fine.
Quand enfin je libère à nouveau son phallus, il est devenu si raide qu’il retombe sur son ventre, cachant son nombril. Je suis de nouveau choqué malgré nos galipettes de l’après-midi par les dimensions de ce manche de pioche.
Son sexe a une grosse tête bulbeuse et la hampe devient de plus en plus grosse en s’approchant de son pubis.
Curieuse, je me suis muni d’un mètre de couturière pour en avoir le cœur net et entoure la hampe à sa base avec mon mètre.
Mon dieu ce n’est pas vrai… 19 cm !!! Ca fait quoi en diamètre ? Elle est vraiment énorme !!! Ca va être du sport de se glisser ça dans le fion !!!
Je mesure aussi sa longueur, elle fait 26 cm de long… Ce n’est pas possible !!! Je ne la voyais pas si grande mais son épaisseur inusitée me donnait l’impression qu’elle était beaucoup moins grande.

Je lève un peu les yeux et vois Claude qui me regarde en souriant, il me demande perplexe:
-J’espère que c’est à ton goût, tu trouves peut-être que je ne fais pas la maille ?
Je lui rétorque aussitôt :
-Pour faire la maille, tu n’as rien à craindre avec un éperon pareil, c’est un véritable monstre que tu te trimbales, mon garçon !

Et ma bouche reprend de nouveau possession de ce mandrin magnifique.
Ma langue lèche avec application toute la longueur de sa hampe en finissant par gober ses œufs chargés de sa laitance.
Je m’applique dans une fellation ou je ne peux absorber que son gland énorme.
Cette constatation m’affole un peu en pensant que je veux me faire enculer par un membre de cette longueur, et que dire de la grosseur ?...
Quel contraste avec la virilité de mon mari avec son membre ridiculement court par rapport à ce que je tiens dans mes mains.
La vue de ce jeune et colossal membre viril à quelques centimètres de ma bouche me fais perdre toute retenue. Je lui enfile un préservatif, le diamètre est si imposant que même la taille XXL du condom compresse la base de son rostre.

Je me relève et monte sur le lit pour chevaucher son corps, dos à lui, en lui montrant mon petit trou qui frémit d’impatience.
Les sens exacerbés, je ne peux résister au désir de frotter mes fesses contre ce membre que je tiens fermement à la base.
Je me contrôle difficilement en sentant sa force virile si près de mon anus, mais je me retiens ne voulant pas déchirer mon petit trou sous la poussée sauvage de cette colonne de granit.

-Aller Claude, comme promis je veux que tu me sodomise avec ton défonce-cul mais avant il faut que tu me prépares avec tes doigts !
Je vois que Claude hésite alors je prends son poignet et colle ses doigts masculins sur mes fesses déjà frémissantes.
Il appuie doucement son majeur contre ma collerette déjà humidifiée par mes préparatifs qui s’ouvre sous la pression. Etonné par l’intrusion de son doigt sans aucune peine dans mon anus, il s'enhardit alors, et enfonce entièrement son majeur dans mes entrailles.
Perplexe mais rassuré par mes gémissements, son index vient se joindre à son majeur dans ma rosace déjà perforée. Je lance ma croupe en arrière pour l’encourager à découvrir mes entrailles mystérieuses.

Je cambre brusquement mes reins, lançant furieusement ma croupe à la rencontre de sa main, l’incitant à aller plus loin. Ces doigts me pistonnent l'anus déjà bien dilaté, déclenchant une longue plainte qui s'échappe de mes lèvres.
Désirant savoir jusqu’à quel point il a élargi mon cul, il plonge trois doigts dans ma chatte dégoulinante et une fois qu’il les a bien lubrifiés, déterminé, il les enfonce dans mon anus n’en revenant pas de ce qu’il ose entreprendre.
Claude se rend compte de la souplesse de cette partie de mon anatomie complètement étonné de la facilité avec laquelle ils agitent ses 3 doigts dans mon fion tandis que de son pouce s’est glissé dans mon vagin trempé pour titiller sensuellement mon clito.

Je suis étonnée de son audace mais très heureuse de ses initiatives.
-Claude, c’est le moment de passer à l’acte mais il faut que tu lubrifies abondamment ta queue et mon œillet avant de me prendre !
J’avais tout préparé et il s’acquitte minutieusement de cette tâche avant de présenter son monstre à mon petit trou.

Il met une main sur ma hanche et je le sens pointer son gland sur mon anus. Je plie les genoux et je sens mon derrière s’ouvrir sous la pression.
Jusque-là tout va bien et je me dis…
« Détends-toi ma petite. C’est le moment le moins agréable, tu vas déguster mais tu l’as voulu ».
J’entreprends l’intromission dans l’anus de son gland. Je me baisse aussi doucement que possible mais je suis si tendu que je ferme le passage tellement j’ai peur qu’il me déchire. Mon Dieu, il est vraiment énorme !

Je sens qu’il s'énerve de ne pas y arriver.
La pénétration est plus difficile qu’il croyait.
Je ne sais pas si certaines d'entre vous ont tenté une telle expérience avec un pieu si énorme, c’est assez délicat.
Il y a une telle différence de taille entre son gland et ma rondelle. Jamais cela ne rentrera.
Je glisse le bout de son gland sur le centre de mon trou. Je me recule vers ce bélier tendu qui pousse sur mon sphincter pour l’enfoncer.

Mon cratère s'élargit quand j’arrive à introduire enfin son gland et que mon anus emprisonne sa queue, il souffle fort et essaie de s'enfoncer plus profondément en constatant.
- Comme c’est étroit, putain que tu es serrée par là !
Je sens mes parois s’élargir quand je continue à me baisser et qu’il s’enfonce plus profondément en moi, ouverte comme jamais, et j’avoue ne pas prendre de plaisir tellement cette intrusion est douloureuse.

Sa bite progresse doucement mais sûrement dans mon anus, s'enfonçant toujours davantage.
J’arrête la poussée un instant comprenant que je n’y échapperai pas. Mais en même temps, je n’ai pas envie d’arrêter. J’encaisse pour ne pas le décevoir, les yeux larmoyant.
Il m’interroge, anxieux :
- Julie… tout va bien ? Tu as mal ? Tu veux arrêter ?

Je lui réponds dans un long râle :
-Ça va aller, j’en ai vu d’autres… Bien que… Ne t’inquiète pas. Le plus dur est fait. Mon corps va enfin connaître la totalité de ton pénis. Mon petit cul va avoir l’honneur de goûter aux derniers centimètres de ton engin !
Il m’encourage :
- Allez, tu y es presque !
Après un instant d’hésitation, je recommence à enfoncer sa matraque un peu plus en moi, je suis investi par son énorme verge fichée en moi comme un tuteur m’empêchant de tomber.
Les muscles de mon anus doivent céder et laisser entrer en moi la base massive de la colonne de chair, ils se contractent comme pour l’expulser.
Je suis paralysé, complètement possédée par cette incongruité qui remonte dans mon ventre défrichant des terres vierges.
Je sens mes fesses écraser ses bourses. Ça y est, il est entièrement en moi.
Je ne bouge plus, il s’est redressé et a pris avec douceur dans ses mains mes seins pour les caresser tendrement.

Petit à petit, la douleur laisse place au plaisir. Au bout d’un moment, je décide de reprendre les choses en main. Je pose mes pieds sur ses cuisses et mes paumes sur son torse et commence l’ascension de son rostre ne gardant que le gland en moi.
La situation est sous mon contrôle et de plus en plus agréable. Je fais aller et venir dans mon anus son énorme sexe me poignardant jusqu'au bout en retenant en moi mes hurlements de plaisir.
- Aaaaaaah, c’est bon… Mon Dieu… Tu me dépucelles à nouveau le cul !
Je vois dans la glace de l’armoire son jonc vigoureux sortir de moi, puis se renfoncer jusqu’à la garde.
Sa grosse queue a tellement alésé mon cul qu’il me pénètre facilement maintenant, c’est fascinant !

Sentant l'orgasme le saisir soudainement, il me prend par les hanches et m’embroche d'un violent coup de reins, je sens son corps se cambrer frénétiquement, comme électrisé avant de s'immobiliser.
Un geyser puissant de sperme lubrifie mes intestins en saccades violentes et répétitives.
- Aaahhh… ouiiiiii…OOOhhhh mon chéri ! Remplis –moi ! Encore… Ouiiiii comme çà…. Ooooohhhhh….

Ses puissantes giclées de semence virile dans mes entrailles déclenchent en moi un orgasme d'une rare violence. Un long cri inhumain m’échappe, la jouissance me fait tellement me cabrer que son pieu s’échappe de mes reins complètement dévastés.

Je bascule sur le coté mais Claude ne l’entend pas comme ça, il commence à prendre des initiatives, le puceau, et j’aime çà !
Il se lève, la queue toujours raide, me force à m’agenouiller sur le lit et pénètre mon œillet encore dilaté avec force jusqu’au fond puis s'arrête, comme pour me laisser le temps d'apprécier.

Il reprend le rythme de ses pénétrations, s'enfonçant, et se retirant... Je pousse des cris de plaisir à chacune des poussées de son gourdin qui me lime comme jamais me remplissant complètement.
Je prends un pied incroyable et suis vite de nouveau au bord de l’orgasme, je contracte mes muscles sur cette grosse verge jusqu’à l’explosion de mes sens. Quand enfin le plaisir arrive, je gémis lorsqu’un flot de mouille s’échappe de mon sexe en manque de bite.

La pulsation de son membre qu’il m’enfile à fond me rend folle. Il grogne et ahane sous l’effort, mon amant fougueux, me pilonnant infatigablement, variant les plaisirs en changeant de trou pour rassasier aussi ma chatte tout en prenant des précautions pour ne pas me blesser.
Je n’aurais pas cru pouvoir encaisser aussi facilement un tel organe mais je suis excité comme une pucelle qui découvre sa première bite.
Les coups de boutoir de ce jeune animal fougueux sont douloureux mais ne font que décupler mon plaisir ! J’aurais voulu qu’il me lime encore pendant des heures mais je sens son excitation atteindre le maximum qu’il puisse accepter !

Il s’est mis à accélérer le mouvement, je pense qu’il est au bout, je veux qu’il jouisse ! Je l’encourage en criant de toutes mes forces :
-Jouis mon petit poulain, vide tes couilles en moi ! Ouiiiiiiii, ooooooh, putain je pars, ouiiiiiiiii, oooooooooh , encore, ne t’arrêtes surtout pas ! Défonce-moi !
Je suis devenue folle de dire de telles choses mais je ne peux plus me retenir. Un flot brûlant inonde mon vagin en fusion, mais ce petit con n’a toujours pas cracher, champion le puceau, il apprend vite !!!

Claude devient hystérique et m’encule maintenant par des poussées d’au moins vingt centimètres.
La sensation est extraordinaire bien qu’un peu douloureuse quand son manche de pioche si large défonce mes fesses, la sensation d’être si bien rempli suivie du vide qu’il laisse en se retirant pratiquement est dantesque! Jamais je n’ai connu ça !
Je suis maintenant toute à lui complètement relâchée sous ses coups de boutoir.
Quelle sensation d’extase ! Je gémis, je râle, en larmes de douleur quand son rythme s’accélère encore jusqu’à devenir d’une brutalité inouïe, Claude se défoule complètement. Il me défonce comme un damné ne se rendant pas compte par son manque d’expérience qu’il y va trop fort.

Mais je n’y tiens plus, je veux voir ce défonce-cul expulser tout son jus !
Je m’extrais avec difficulté mais autorité de son rostre, c’est quand même moi la patronne bordel !!!
Je retire le préservatif et le prends en bouche avec difficulté tout en le branlant des deux mains avec vigueur.
Je m’emploie avec un tel brio qu’il éjacule à peine la verge sortie de ma bouche.
Son sperme s’échappe du méat avec violence, ah la jeunesse !
La première giclée de sperme est un véritable jet. Elle me frappe le visage avec une puissance que je n'aurais pu imaginer. Mon visage se recouvre de sa gelée épaisse.
Puis aussitôt, une deuxième tout aussi abondante, tout aussi violente m’inonde les cheveux et termine sa course sur les draps.
Je continue à masturber cette lance d’incendie, orientant comme je peux les jets...
Une troisième giclée s’ajoute sur mon visage qui se retrouve sous une couche épaisse de crème.
J’ouvre la bouche pour accueillir la quatrième giclée dont le volume de sperme ne tarit pas, ses expulsions sont toujours aussi copieuses.
Comment ce jeunot peut-t-il avoir des testicules aussi pleins ?
Deux autres plus espacées finissent par me remplir la bouche, j’avale ce mets de reine en appréciant son goût exquis tout en sentant sur mon visage malgré sa viscosité son sperme dégouliner avant de chuter sur les draps copieusement tachés.
Je continue ma masturbation et arrive encore à obtenir deux contributions qui n'émettent plus qu'un filet de foutre. Je le regarde dans les yeux et le complimente :
-T’es un putain d’étalon, tu es un sacré reproducteur mon garçon doté d’une belle queue aussi prolifique et quel tempérament de feu tu as! J’envie et je plains la femme que tu choisiras, elle va salement déguster mais tu va la faire grimper aux rideaux !
-Ta mère va être contente de moi !

Perplexe, Claude me regarde sans comprendre avant que je lui avoue que j’ai agi à la demande de sa mère.
Ca l’a tellement mis en rogne qu’il s’est vengé en me reprenant encore deux fois dans la nuit.
Qu’est ce que j’ai pris !!! Mais que c’était bonnnn !!!!!
L’élève apprend vite est va bientôt en savoir autant que son maître.
Ou devrai-je plutôt dire, que sa MAÎTRESSE……..



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