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La confesse

Ecrit par Victor
Parue le 27 juin 2019
Il y a 5 commentaires pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 2860 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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J'étais en cinquième au petit séminaire. Tous les profs étaient des prêtres en soutanes. Chacun enseignait un matière. Tous les vendredis nous devions nous confesser. Pour cela nous choisissions notre confesseur sinon il nous était commis d'office suivant leur planning.
J'avais choisi le prof de latin qui me paraissait sympathique. Nous étions reçu dans leur cellule à la décoration très spartiate. Un lit, deux chaises, un prie-dieu, une lampe, un crucifix. Nous attendions chacun notre tour devant la porte en respectant le silence imposé.
Un jour j'étais le dernier de la file à me faire confesser et le prêtre me fit entrer et me pria de m'asseoir sur une chaise, lui s'assied sur la chaise à côté. Il entama une conversation sur l'école, mes camarades, mes désirs... J'étais en short et je le voyais mater mes cuisses imberbes. Il faut dire que j'ai les traits fins et ressemble plutôt à une fille. Pendant un long moment nous avons converser, ses yeux toujours rivés sur mes cuisses. Je finis par me détendre et il s'en aperçut. Il profita de ce moment de détente pour poser sa main sur le haut d'une de ma cuisse. "Tu as de jolies cuisses, tu sais !" Je n'osais rien dire et me mis à rougir. "Ne sois pas gêné" nous sommes entre nous"
Il continuait à me parler et sa main se déplaçait en décrivant des cercles, petits d'abord, puis plus larges après. Je sentis que mon sexe se redressait et je ne pouvais pas le contrôler. Il vit que mon short se déformait et me le fit remarquer. Sa main passa sur la bosse et me pinçait légèrement le bout de la tige tendue. "Tu aimes ?" "Oh oui, j'aime beaucoup" lui répondis-je. À ce moment là, de ces deux mains il s'appliqua à baisser la fermeture éclair de mon short. Je me laissais faire et je trouvais ça très excitant. Une fois la fermeture arrivée en bout de course, il glissa sa main dans mon slip et en fit ressortir mon petit sexe. "C'est très mignon...ça te plaît ? "Oui, j'aime bien".
"Lèves-toi petit, je vais t'aider." J'obéis et je me mis debout. Il déboutonna le bouton de ceinture et mon short tomba sur mes chevilles. Il finit de baisser mon slip et il me fit remonter les pieds, l'un après l'autre pour me dégager. Je me retrouvais tout le bas nu devant lui en soutane. Il était excité car je voyais sa robe noire déformée. Il me demanda de rester debout et lui se rassit et il dut se pencher un peu pour être plus près de mon sexe érigé. Il le caressa longuement avant de le mettre dans sa bouche. Sa bouche était chaude et épousais ma petite queue de ses lèvres et de sa langue. Oh, que je trouvais ça bon ! Il prenait tout son temps, arrivant à gober en même temps mes boules lisses. Il avait l'air de se délecter. Il se retirait, donnait ds petits coups de langue sur le frein et le bout du gland puis reprenais ma tige en l'enfonçant au plus profond de sa gorge. je crus que j'allais tomber et je me suis appuyé sur le dossier du prie-dieu.
Ses mouvements étaient longs et calmes. Il aspirait légèrement au moment de se retirer puis ré engouffrait mon sexe avec appétit.
Je sentais monter ma sève et ne pus rien pour la ralentir. Je finis par jouir et lâchais mes quelques gouttes de sperme sur sa langue. Il avalait ma semence en se réjouissant. J'étais épuisé mais tellement content d'avoir découvert ces moments de jouissance.
"Tu as aimé, petit ?" J'opinais de la tête sans rien dire.
"Veux-tu voir ma queue ?" et avant que je répondis, il déboutonna quelques bouton de sa soutane et je vis un sexe de bonne dimension passer entre deux boutons. "Assieds-toi sur le prie-dieu tu seras plus à l'aise". Je pris place sur le siège indiqué et je me trouvais face au gland énorme de mon confesseur. "Tu peux toucher" ; j'avançais ma main et commençais à caresser ce pieu tendu chaud à la texture caoutchoutée. "Embrasse-le petit, il aime les bisous". je me mis à l'embrasser puis à le lécher. Je voulus le prendre dans ma bouche mais il était gros et je ne pouvais que sucer le bout. Mon bonhomme mit sa main derrière ma tête et en m'attirant fit entre son gland dans mon palais. Il entreprit des petits va-et-vient. Son gland glissait bien entre mes lèvres mais je commençais à avoir mal à la mâchoire. Il accéléra le mouvement et d'un seul coup je reçus plusieurs giclée de jus dans ma bouche. Le liquide était épais et d'un goût bizarre mais j'avalais tout jusqu'à ce qu'il se retire. "Mon petit, tu suces merveilleusement bien, c'est un réel plaisir !"
"Promets-moi de n'en parler surtout à personne". Si tu as aimé, reviens me voir quand tu veux. Il suffit que tu me demandes et je te recevrais. Maintenant je vais te confesser...


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