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C'était les vacances et j'étais seul chez mon oncle. Celui-ci était très occupé et me laissait faire ce que je voulais, à condition de dire où j'étais. Pendant l'été il faisait chaud et je portais short, tee-shirt et tongs. Le voisin de mon oncle Joseph la cinquantaine que j'avais aperçu à travers le grillage de séparation était un jardinier et comme je regardais ce qu'il faisait, il m'invita à venir le rejoindre après avoir demander l'autorisation à mon oncle qu'il paraissait bien connaître. Son potager était super bien entretenu et il faisait pousser plein de légumes diverses. Je l'aidais à sarcler, biner et à arroser. Il portait un grand tablier où était accroché quelques outils, couteaux, rainettes, ficelles... j'étais fasciné par son travail, par les légumes qui y poussaient et leurs odeurs. J'avais quelques idées du travail de la terre et nous en avions parlé au collège mais je n'avais jamais pratiqué. Donc tous les jours après le petit déjeuner j'allais rejoindre Joseph et tous les jours il m'apprenait quelque chose. J'étais fasciné !
Il me parlait gentiment et avait des gestes doux. Il portait une moustache qu'il faisait rouler de temps en temps entre ses doigts pour les pointer.
Un jour, alors qu'il pleuvait, il m'invita à venir le rejoindre dans sa cabane à outils. Cette cabane en bois était rempli d'outils et j'étais subjugué. Il y avait aussi une table et un banc où des journaux étaient éparpillés. Il m'invite à venir s'asseoir à côté de lui et me montre les différentes façons de faire des nœuds. Il me montrait et je devais le reproduire à mon tour. Pendant que je m'escrimer à refaire ce qu'il m'avait appris, je sentis sa main se poser sur ma cuisse. Il avait la main calleuse mais j'ai bien aimé quand il a commencé à me caresser l'intérieur de la cuisse. Sa caresse s'étalait et montait vers l'échancrure de mon short de plus en plus précisément. J'écartais légèrement les jambes pour lui faciliter sa progression. "Tu aimes quand je te caresse, Petit ?" "oui, lui ai-je répondu". Sa main passa aussitôt derrière l'élastique du slip et il saisit mon appendice entre ses doigts. Ma quéquette devint dure et ses doigts me donnaient du plaisir. Il me tripota tige et boules avec délicatesse puis il me demanda de venir m'asseoir sur la table. Je me suis levé et me suis assis sur la table, lui face à moi sur le banc. Il déboutonna mon short et voulu le baisser. Je me suis soulever pour qu'il agisse aisément et il baissa short et slip en même temps, ce qui fait que je me suis retrouvé à moitié nu assis sur la table face à Joseph. Il matait mon zizi qu'il tâtait avec ses doigts. "C'est mignon ça" "Tu aimes quand je le caresse ?"...oui j'aime beaucoup, lui ai-je répondu. Il s'est penché, a fait quelques bisous sur le gland, sa moustache me chatouillait un peu, puis il ouvrit la bouche et goba mon sexe. Sa bouche chaude pleine de salive léchait bien ma tige. Je m'étais mis en arrière sur mes coudes et Joseph aspirait, suçait, pompait. Ses mains caressaient mon ventre mes cuisses et mes boules et sa suce lente épousait bien toutes mes formes. Il avait l'air de se délecter. Sa langue tournoyait autour du gland et le plat de sa langue frottait sur le frein. Il gobait mes boules l'une après l'autre pour reprendre ensuite ma queue imbibée de salive. Soudain je sentis un plaisir plus profond que je ne pouvais maitriser et qui montait de plus en plus fort. Joseph continuais à sucer et ses hum de plaisir le fit déglutir un jus qui sortait de ma tige. "Oh! que c'est bon dit-il" en relâchant quelques secondes sa suce mais en ne perdant aucune goutte de ma semence. Mon sexe était tout mouillé de jus et de salive mélangée. "Tu as aimé petit ?" "Oh! oui lui ai-je répondu".
"Tu ne le diras à personne, ce sera un secret entre nous, d'accord Petit ?" "Oh! oui" lui dis-je trop content d'avoir découvert ce plaisir que je ne soupçonnais pas.
"Tu peux me faire pareil si tu veux !" "Je ne sais pas mais je veux bien essayer" lui répondis-je. Il se leva, enleva son tablier, dégrafa son pantalon et son caleçon et vint s'assoir à ma place sur la table. Il posa ses pieds de chaque côté de mes fesses me présentant son énorme bite. "Vas petit suce moi bien". Il décalotta lui même son gland et attira ma tête pour que je le prenne en bouche. Le bec grand ouvert je passais son gland entre mes lèvres et le faisait glisser. Au début ça ne me plaisait pas mais au fur et à mesure que je suçais j'y prenais du plaisir. Je tâtais ses boules et suçais. Je faisais entrer le maximum d sa queue dans ma gorge puis relâchais pour suçoter le bout du gland. Il aimait ma manière de faire et j'entendis quelques petits gémissements jusqu'à que je reçoive plusieurs jets de sperme dans la bouche. Il me maintenait la tête pour que je ne m'échappe pas et j'avalais toute sa semence contraint et forcé. Le goût légèrement salé ne me repoussait pas et même me plut.
Tous les jours, j'allais le retrouver dans sa cabane.
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Ecrit par Lucas
Parue le 01 juillet 2018
