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Lorsque j'ai débuté mon activité d'artisan, je travaillais seul.
Les chantiers ne manquaient dans les résidences secondaires de la région.
J'aimais bien ces travaux car mes clients n'étaient pas sans cesse sur mon dos.
Une partie de ma clientèle était apportée par un bureau d'étude spécialisé dans la rénovation.
Cette entreprise était gérée par un jeune femme NATHALIE.
Nous nous entendions très bien mais son seul défaut était d'être fidèle à son mari.
En avril dernier, elle me propose un chantier d'aménagement d'une ancienne dépendance.
Les travaux d'électricité et de plomberie étaient terminés et mon job consistait à habiller un mur en planches de bois.
J'acceptais ce chantier et après l'avoir visité en compagnie de NATHALIE je commençais dès le lundi suivant.
La maison se situait, à 500 mètres de la mer, dans un hameau de quatre ou cinq maisons, pour la majorité des résidences secondaires.
Le temps était magnifique, il commençait à faire assez chaud et malgré les fenêtres grandes ouvertes, je transpirais à grosses gouttes.
Le mercredi, il faisait encore plus chaud, et comme j'étais seul, je décidais de bosser à poil.
Je pensais qu'il serait bien temps de me rhabiller si une voiture arrivait.
Je déposais mes vêtements dans la cuisine et repris mon boulot.
Je travaillais sur mon échafaudage ou j'avais monté tout le matériel nécessaire ;
La sensation de travailler nu était assez amusante et me plaisait bien.
Malheureusement pour moi, j'étais en train de scier des planches et ne n'ai pas entendu une voiture arriver.
Lorsque je me retournais pour poser ma scie circulaire, je vis une femme, au pied de l’échafaudage, qui me regardais travailler.
Elle avait environ 45 ans, grande et mince les cheveux bruns noués en queue de cheval.
Bien entendu, je ne savais pas que faire et me sentais particulièrement gêné.
« Bonjour Monsieur, je suis la propriétaire et je viens voir l'avancement des travaux » me dit elle comme si de rien n'était.
« Pouvez vous me montrer ou ça en est ? »
« Bien sur, j'arrive»
Je descendis l'échelle, le cul tourné vers elle.
La situation était embarrassante mais cela n'avait pas l'air de la déranger.
« Je vais remettre mon short et mon tee shirt et je suis à vous »
« Inutile vous êtes très bien comme ça »
Je me sentais de moins en moins à l'aise mais je ne voulais pas envenimer les choses et pensais qu'après tout si ça lui faisait plaisir pourquoi pas rester à poil.
Je montrais donc les travaux déjà réalisés, mais je voyais bien que ça ne l'intéressait guère.
Son regard était plutôt fixé sur moi, en particulier sur mon sexe.
« Les chambres sont elles terminées et le mobilier a il été livré ?»
« Je ne sais pas je suis arrivé lundi et je n'ai pas visité le reste de la maison. »
« Allons voir » dit elle en se dirigeant vers l'escalier.
Arrivés sur la mezzanine, elle ouvrit la première porte et pénétra dans la première chambre.
« Très bien tout est en place »
En effet mes collègues avaient terminé leur travail et les meubles livrés et monté.
Elle repoussa la porte du talon et s'approcha de moi.
« Je ne vais pas laisser passer ça », dit elle et elle me pris le sexe à pleines mains et se colla à moi.
Je la pris dans mes bras et la fis basculer sur le lit.
Aussitôt elle descendit le long de mon torse et pris dans sa bouche,ma bite qui commençait à durcir.
Je glissais mes mains dans son corsage et commençais à lui pétrir les seins qui réagirent aussitôt en durcissant sous mes doigts.
Abandonnant ma queue elle se releva, et en quelques instants fut entièrement nue.
Ondulant des hanches elle s'approcha du lit et se jeta sur moi, les cuisses écartées.
Sa main chercha ma bite qu 'elle approcha de son sexe que je devinais humide.
D'un geste vif elle s'empala sur mon membre et commença à aller et venir.
« J'espère que tu es endurant, j'ai horreur des lapins »
Je pétrissais ses seins durcis par le plaisir et elle gémit de plaisir.
Je soulevais les reins pour pénétrer plus profondément en elle.
Son vagin se contractait et serrait ma queue gonflée de désir.
Elle bascula sur le dos sans que ma bite ne sorte d'elle et je me mis au dessus d'elle, puis elle passa les jambes autour de ma taille pour que je puisse la pénétrer plus fort.
Elle gémissait de plus en plus fort sous mes coups de boutoir.
La jouissance commençait a monter en moi mais je me retenais pour lui donner du plaisir.
Soudain elle se mit à jouir en criant des paroles obscènes.
Se séparant de moi elle resta allongée sur le lit, les yeux égarés.
Je n'avais toujours pas joui et voyant ma bite bien raide elle la pris dans sa bouche pour la sucer avidement, ses mains sur mes fesses pour sentir mon membre s'enfoncer.
Elle s'employa si bien qu'un flot de sperme jaillit dans sa bouche ;
Elle avala toute ma semence, me léchant soigneusement pour ne pas en perdre une goutte.
Sans un mot elle se releva et remit ses vêtements.
« Je reviens la semaine prochaine à la même heure, je veux que tu sois la dans la même tenue »
Bien entendu, la semaine suivante j'étais présent, nu comme la première fois et nous avons une nouvelle fois fait l 'amour.
Avant de partir elle me proposa d'effectuer des travaux chez une de ses amies, ce que je m’empressais d'accepter
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Ecrit par ARCAY
Parue le 03 juin 2014
