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MADAME AUDE

Ecrit par ARCAY
Parue le 09 décembre 2019
Il y a 2 commentaires pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 3729 fois | Cette histoire erotique a une note de : 13.6/20

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Depuis toujours je me suis senti attiré par la domination.
Dans un premier temps, je me suis contenté de lire des romans et de regarder des vidéos sur le sujet.
Rapidement j’ai eu envie de passer à l’acte et j’ai commencé à consulter les sites qui proposaient des rencontres avec des Dominatrices.

Mes premières expériences furent décevantes, ne rencontrant que des femmes qui ne pratiquaient la domination que dans un but vénal et de plus étaient mal équipées.

Je commençais à désespérer lorsque je tombais sur l’annonce suivante :
« Recherche soumis motivé pour entrer à mon service et appartenance totale. Le sujet devra être disponible 24/24.
Aucun rapport sexuel avec moi. Physique et âge indifférents.
Débutant accepté.
Envoyer lettre de motivation et indiquer une adresse mail »

Je m’empressais de préparer un courrier en étant très attentif à sa rédaction.

Après trois semaines je n’avais reçu aucune réponse et pensais que ma candidature n’avaient pas été retenue.

Et puis un vendredi matin, je reçu le mail suivant :
« Tu fais partie des candidats retenus, le première sélection aura lieu demain à 16 heures.
L’adresse te sera confirmée après ton accord. Tu est le numéro 5 et c’est ainsi que tu dois te présenter à ton arrivée »

Bien entendu, je donnais mon accord immédiatement et reçu un nouveau message quelques minutes plus tard, m’indiquant l’adresse ou me présenter.

Je dormis peu la nuit suivante et le lendemain j’arrivais en avance à l’adresse indiquée.

Il s’agissait d’une propriété entourée de hauts murs et fermée par une grille.
J’attendis 16 h pour sonner et dis « numéro 5 » dans l’interphone
« Avance jusqu’au perron et attends »

Un peu inquiet je traversais le parc et montais les marches du perron.
Quelques instants plus tard, la porte s’ouvrit sur une jeune femme brune vêtue d’une combinaison noire.
« Madame t’attends, suis moi »
Elle pris un long couloir et frappa à une lourde porte.
« Entre »
« Madame voici numéro 5 »
Elle me fit entrer et se retira fermant la porte derrière elle »
Au milieu de la pièce une personne se tenait assise sur un grand fauteuil posé sur une estrade.
D’un signe de la main, elle me fit avancer vers elle.
« Je suis Madame AUDE, dorénavant tu m’appellera Madame, déshabille toi »

Maladroitement je retirais mon pull ma chemise, mon pantalon et mes chaussettes.
« Le slip aussi, à poil »
Un peu gêné, j’obéissais et cachais mon sexe derrière mes mains,
« les mains derrière le dos »
Elle se leva et s’approcha de moi.
« Tu n’es pas épilé, je ne supporte pas les poils, j’espère que tu sauras t’en souvenir si je te convoque de nouveau »
Elle s’approcha de la table et prit une sonnette qu’elle agita.
Quelques instants plus tard la jeune femme qui m’avait accueilli entra.
« Regarde ce porc, va le raser et en même temps tu lui fais un lavement »

Je suivis la jeune femme qui me fit pénétrer dans une grande pièce équipée d’une douche, une table d’examen médical d’une armoire et de toilettes.
« Allonge toi sur le dos »
Elle alla chercher une tondeuse et un rasoir et commença à tondre les poils de ma poitrine et de mes jambes.
Puis elle rasa le pubis et pris ma queue pour s’attaquer aux bourses.
Au contact de sa main je commençais à bander mais elle n’y prêta pas attention.
Elle reposa la tondeuse et m’enduisit de gel de rasage et termina son travail.
Ma queue était bien dure et se dressait.
« Retourne toi et mets toi à quatre pattes »
Je m’exécutais et me retrouvais le cul offert.
Elle m’écarta les fesses et enleva les poils de ma raie.
Elle m’enduisit le corps de crème apaisante en insistant bien sur le sexe.
Je bandais toujours et me sentais prêt à éjaculer.
Elle me demanda ensuite de me mettre sur le dos, releva deux étriers dans lesquels je mis mes jambes et bascula l’avant de la table.
J’avais le cul offert au ras de la table.
Elle saisit un bock à lavement et après avoir lubrifié la canule elle l’introduisit dans mon anus.
Je sentis un liquide tiède entrer dans mon cul.
La sensation était agréable et l’effet du liquide augmenta mon érection.
Avec un sourire elle pris ma queue et commença à me branler.
En sentant que j’allais jouir, elle pris ma bite dans sa bouche et me suça avec force.
Ne pouvant me retenir je lâchais ma semence qu’elle avala,
Puis elle retira la canule de mon cul et m’envoya vider mes intestins sur les toilettes.
Après une second lavement, elle me fit prendre une douche et me ramena auprès de Madame AUDE.
« Tu as été bien longtemps, je parie que tu l’a branlé »
La jeune femme rougit et avoua qu’elle m’avait même sucé.
« Tu sais ce que ça va te coûter ? »
La jeune femme baissa la tête et s’avança vers la table.
Sans un mot, elle fit glisser la fermeture de sa combinaison, la descendit jusqu’aux pieds et se pencha sur la table, les fesses offertes.
La vue de ce beau cul commença à me provoquer un début d’érection.
Madame AUDE pris une cravache et s’approcha de sa soumise.
« 10 pour cette fois, je suis gentille, tu ne trouves pas ? »
« Oui Madame merci beaucoup »
Madame commença à lui asséner de violents coups sur la croupe qui se mit à rougir.
A chaque coup, la jeune femme comptait.
Lorsque ce fut terminé elle remercia Madame et remonta sa combinaison.
Madame se tourna vers moi :
«  A ton tour, prends sa place.
Pour toi ce sera 20, 10 pour avoir joui sans autorisation et 10 pour avoir abusé d’Emilie »
En tremblant je posais le buste sur la table.
« Écarte les jambes et n’oublie pas de compter »
Les premiers coups furent terribles et je sentis les larmes me monter aux yeux.
Après une première série de 10, elle reposa la cravache et prit un martinet.
Les cinq coups suivants augmentèrent ma douleur et me firent gémir.
« Tu te plains bien vite, il en reste cinq, écarte bien les jambes et recule toi, tu va recevoir les cinq dernier la ou tu t’es oublié »
En tremblant je pris la position demandée.
Le premier coup sur les couilles me coupa le souffle.
Les lanières du martinet me remontaient jusqu’au ventre.
Au dernier coup je tombais à genoux et restais prostré sur le sol.
La voix de Madame claqua :
« Debout face à moi »
Je me relevais, mes larmes coulaient.
« Tu n’as pas oublié quelque chose ? Tu as envie que je recommence ? »
« Non Madame, merci Madame »
Elle s’adressa à la jeune femme :
« Tu l’emmènes salle 2 et tu le mets sur la table»
« Bien Madame »
Je la suivais dans le couloir puis elle pris un escalier qui menait vers le sous sol.
La salle 2 était vaste, de nombreux instruments accrochés au mur.
Au fond se trouvait une croix de saint André et au milieu une table d’examen.
Elle me fit allonger sur la table et m’attacha les bras et les jambes à des anneaux fixés sur les pieds de la table.
Le contact du skaï froid sur ma peau était désagréable et ma bite se rétracta.
Madame entra dans la pièce et s’approcha de moi.
Elle pris mes couilles à pleines mains et les tordit avec force.
Puis elle fit de même avec mes tétons auxquels elle mit des pinces.
La jeune femme lui apporta une bougie et Madame versa de la cire brûlante sur le sexe.
Je me mis à crier de douleur.
« Baillonne le que je ne l’entende plus »
La torture de la cire dura plusieurs minutes, puis on me détacha et on me retourna, me faisant mettre à quatre pattes sur la table le cul bien écarté.
Madame elle m’asséna une série de claque sur le cul puis me caressa les fesses glissant son doigt sur mon oeuillet qu’elle pénétra.
« Je vais lui ouvrir le cul, il doit aimer ça, donne moi ce gode »
Sans préparation elle m’enfonça un gode de bonne taille dans le cul et commença à le faire aller et venir dans mon fondement.
Après la douleur, le va vient me parut agréable et je sentis que je commençais à bander.
Bien entendu Madame le vit et me pris les couilles à pleine main.

Au bout d’un temps que me paru interminable, elle retira le gode et me fit descendre de la table.
Elle s’adressa à la jeune fille :
« Attache le au palan et met lui un écarteur aux jambes et au bras »
La jeune fille me fit coucher sur le dos et fixa les écarteurs qu’elle relia aux chênes qui pendaient au plafond.
Madame Aude prit la commande du palan et je me retrouvais pendu par les pieds, bras et jambes écartelées.
Madame s’approcha et m’attacha le sexe avec un lacet très serré.
Elle y attacha un poids qui me tirait le sexe vers le bas.
« Un kilo, je suis certaine que tu peux en supporter plus »
Elle rajouta d’autres poids, je sentais mon sexe se distendre.
« Trois kilos, c’est pas mal on va en rester la pour le moment »
Elle me laissa ainsi de longues minutes, je sentais mes couilles devenir douloureuses.
Après cet épisode, elle actionna le palan et me reposa au sol.
« Attache le à la croix face à moi, enlève lui ses poids mais laisse le lacet »
La jeune fille obéit aux ordres et je me retrouvais attaché sur la croix.
Madame AUDE s’approcha et lia le bout du gland avec un second lacet.
« Tire lui sur la queue »
Elle saisit un paddle et se mit à frapper ma verge de plus en plus fort.
« C’est pour que n’oublie pas qu’ici il est interdit de jouir dans autorisation »
Ma queue me faisait très mal et était devenue rouge.

Madame AUDE s’approche et me dit :
« C’est tout pour aujourd’hui, tu peux repartir, si tu me conviens je te convoquerai. »
Elle sortit de la pièce et la jeune fille vint me détacher, puis raccompagna dans la pièce ou se trouvaient mes vêtements.
Je me retrouvais dans la rue, endolori, heureux d’avoir pu rencontrer une vraie dominatrice.

Dans les jours qui suivirent j’attendais des nouvelles mais au bout de 3 semaines je n’avais reçu aucun message.
Je pensais que je n’avais pas été à la hauteur quant un matin je reçu un mail.
« Numéro 5 tu es convoqué pour une seconde séance vendredi prochain. Tu dois te présenter à 16 heures. Tu resteras jusqu’au dimanche soir.
Tu devras être épilé et avoir fait un lavement avant de venir »

Je m’empressais de confirmer ma présence.

La suite dans un prochain épisode.



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