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Ma mère encourage Claude à me sodomiser

Ecrit par mlkjhg39
Parue le 23 juin 2016
Il y a 1 commentaire pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 7504 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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Je surprends ma mère qui se tape mon ami d’enfance.
Le fils de sa meilleure copine !


Suite et fin.

Résumé de la 1ère partie :
Emilie, mon amie d’enfance chez qui je suis en vacances, a surprit mes ébats avec sa mère. Elle est effondrée mais sa mère et moi la consolons.
Sa mère lui demande si elle est d’accord pour que je la dépucelle et elle nous sert de chaperon quand je passe à l’acte.


CLAUDE

Je viens de baiser la fille après la mère !!!

J’ai eu peur que ça se passe mal avec Emilie après qu’elle m’ait vu besogner sa mère et ça se termine par la mère qui me regarde labourer la chatte de sa fille, le pied !!!

Je viens de baiser la fille et je me rends compte que même avec son inexpérience, j’ai éprouvé beaucoup plus de plaisir qu’avec Julie.

J’ai à peine le temps de débander qu’elle fait remarquer à sa fille :
-Tu viens de connaître la première bite dans ta chatte, mais il y a d’autres endroits ou tu peux rendre un homme heureux.
-Approche-toi de Claude et avec ta bouche uniquement, tu vas redonner vie à ce vit en berne.
Emilie obéit à sa mère et vient prendre sa place entre mes jambes. Elle écarte les lèvres et se saisit de mon gland avec délicatesse, peureuse, elle n’introduit que quelques centimètres dans sa bouche pour sa première fellation. Julie s’emporte et ordonne à sa fille :
-Bon Dieu ! Mais qu’est-ce que tu attends pour sucer tout ce que tu peux, arrête de faire ta sainte nitouche et fait une fellation digne de ce nom, tu as pourtant bien vu comment je faisais ?

Elle s’accroupie à coté de sa fille, saisit ma teub qu’elle retire des lèvres de sa fille et avale une bonne vingtaine de centimètres d’un seul coup, m’astique le jonc avec vigueur avant de rendre le sucre d’orge à Emilie.
-Allez ! A-toi et mets-y du cœur !
Emilie reprends le flambeau et effectivement va beaucoup plus loin que tout à l’heure. Mais elle n’a pas l’expérience de sa mère et abandonne au bout de 15 centimètres avec des hauts-le cœur.
-C’est beaucoup mieux ! La console sa mère. Bon maintenant applique-toi à lui donner du plaisir !
Emilie fait vite des progrès et mon nœud retrouve toute sa vigueur.
Julie lui suggère :
-Claude va se coucher sur le lit et tu vas te mettre tête-bêche sur lui, tu as déjà entendu parler d’un 69 ?

Emilie se met en position se et me reprend en bouche pendant que je m’occupe de sa petite chatte rasée.
Julie ne reste pas inactive et se branle devant nous sans honte, surtout devant sa fille.
Je ne sais pas laquelle des deux suce le mieux, chacune a son style, sa technique.
Sa langue s'enroule autour de mon gland, ses lèvres se décollent de ma hampe et essaient de ramper pour s’approcher de mon pubis.
Sa croupe et sa chatte m’offrent un merveilleux spectacle avant que ma bouche ne se colle à son abricot bien juteux, à la peau duveteuse, que je découvre son clito comme le noyau au milieu du fruit que je titille de la langue pour le faire durcir et s’ériger encore plus. Emilie ondule sous les assauts de ma langue qui explore chaque centimètre carré accessible, me faisant découvrir ses odeurs intimes.

Entre mes lèvres suinte son jus d’amour qui s’écoule de sa source intime. Je goutte le jus de sa chatte plus sucré que celui de sa mère. Mes doigts ne restent pas inactifs, ils explorent ses 2 trous. Elle les accepte dans son cul, bonne chose pour la suite.
Nous formons un drôle de tableau, Julie a prit la main de sa fille et l’a glissé dans sa moule, elle a fait de même avec moi pour que je mette également deux doigts dans son cul puis pose sa main gauche sur ma bite et la droite dans la chatte de sa fille qui jouit de plus belle.
Elles jouissent en cœur.
Julie reprend la parole et nous explique :
-Bon, Claude, maintenant c’est à toi de jouer, tu vas te mettre assis sur le bord du lit et nous les filles ont va te chevaucher de toutes les façons possibles et j’espère que tu vas assurer !
-Que la meilleure gagne !!!

Je suis à peine installé que Julie se met dos à moi, pose ses mains sur mes épaules puis un pied après l’autre sur mes genoux. Je redresse ma verge pour qu’elle soit à la verticale de sa chatte et s’est parti pour un tour de manège. Elle se poignarde le plus loin qu’elle peut sur mon dard et commence sa gymnastique préférée. De temps en temps, elle monte si haut qu’elle déchausse et Emilie, serviable, vient corriger le tir, en profitant pour me sucer ou malaxer mes boules.
Je donne le top et c’est le tour d’Emilie de m’enfourcher, elle y va plus précautionneusement, ne voulant pas descendre trop bas sur mon gourdin mais y met autant de cœur que sa mère.
Quand elles remarquent que je suis sur le point de tout défourailler, elles abandonnent lâchement Popaul sur mon ventre pour qu’il décompresse puis repartent de plus belle.

De face, de dos, les pieds au sol ou sur mes cuisses, tout y passe…
Emilie est collée à moi, les bras autour de mon coup quand je sens que je vais atteindre le point de non-retour, mais cette fois ci, je suis tellement surexcité que je veux conclure.
J’encercle de mes bras Emilie et me redresse sur mes pieds, elle se retrouve suspendue à moi, je passe mes mains sous ses cuisses pour la soulever et la laisser ensuite s’empaler sur mon rostre veillant toutefois à ce qu’elle ne se blesse pas, après quelques instants intenses et acrobatiques , je me fiche en elle, immobile et me vide les bourses dans son étroit fourreau.
Ses cris me prouvent que je n’ai pas été le seul à monter au septième ciel.
Bon, après cette apothéose, je ne suis plus bon à rien pour aujourd’hui, nous retournons chacun dans notre chambre, je crois que nos rêves vont être chauds.
Putain de soirée, je m’en souviendrai longtemps…. Et les vacances ne font que commencer, ça promet pour les jours à venir !!!

Le lendemain :
Je viens de me réveiller aux aurores. La nuit que j’ai vécue a tourné en boucle dans ma tête une grande partie de la nuit. J’ai une trique formidable !
Je réfrène l’envie irrépressible de posséder encore une fois ses deux corps.
Je n’y tiens plus, je me lève et me dirige vers la chambre de Julie. J’entre et la trouve endormie, un drap cache sa nudité. Ce qui c’est passé hier me donne un sentiment de puissance, de conquérant.
Je vais maintenant voir Emilie, elle a tellement remué dans son lit que le drap ne couvre plus rien.
Je viens de me rendre compte qu’Emilie m’excite plus que sa mère, je ne sais pas si c’est sa jeunesse, ses longs cheveux soyeux, sa peau blanche si souple, ce corps élancé sans défaut, sans parler de son admirable derrière et de ses seins magnifiques de fermeté.

Je ne veux pas troubler leur sommeil et rejoins ma chambre, des images plein les yeux. Je me branle doucement en pensant à la chance que j’ai.
J’entends du bruit dans la salle de bain. Je suis allongé sur le lit quand soudain la porte s’ouvre.
Elles sont les deux devant moi comme si c’était tout à fait naturel, vêtues toutes le deux d’un de mes Tee-shirt qu’elles retirent à peine entré dans la pièce. J’ai devant moi deux superbes créatures, la mère et la fille complètement nues.
Elles se placent de chaque côté de mon lit en se regardant d’un air complice.
L’une m’embrasse à pleine bouche pendant que l’autre se met à téter mon dard toujours au garde-à-vous.
Pendant quelques minutes, elles alternent, passant de mes lèvres à mon nœud avant de ne plus s’occuper que de mon organe reproducteur.
L’une me pompe pendant que l’autre gobe mes œufs qui ont refait le plein : un véritable supplice mais quel délice ! Je ne vais plus pouvoir me retenir longtemps.
Julie s’en aperçoit et enfourne ma queue le plus loin qu’elle peut pour que je jouisse dans sa bouche. Elle montre à sa fille l’obole reçue puis l’embrasse à pleine bouche pour partager ma liqueur avec elle.


Ce spectacle peu commun sous mes yeux me fait tellement de l’effet que je ne débande pas.
Emilie me branle lentement, avant de subitement s'arrêter et de m’avertir :
-mon chéri, maman et moi on est à toi, fais de nous ce que tu veux !

Elle veut que je la pénètre en premier et que je la baise à fond pour qu'ensuite je puisse baiser sa mère, je suis surexcité.
J’attire Emilie à moi. Je me glisse entre ses jambes et commence à lui lécher la chatte puis le cul.
Je me penche sur elle pour présenter mon engin évitant de trop incliner mon sexe douloureux tellement il se dresse fièrement contre mon ventre et la prend sous le regard complice de sa mère

Ma bite dure, noueuse, malgré mes mensurations, n’a aucune difficulté pour la pénétrer tellement elle a déjà mouillé. Mon mandrin dilate et frotte les parois qui le comprime jusqu’à l’extase.

Emilie c’est tue, crispée, avant de pousser ses reins à la rencontre de mon pubis. Pendant plusieurs minutes nous luttons en une joute charnelle, de plus en plus complice. Nos souffles se mêlent.
Elle a vite appris depuis hier et son corps ondule en rythme sous mes assauts. Il ne lui faut que quelques minutes avant de crier :
-Ouuiiii, je jouiiiiiiiis, plus fort, encore, encore !!!

Après quelques minutes, j’abandonne ce jeune corps pour m’occuper de Julie, je glisse mon phallus entre ses jambes et la pénètre à son tour. Elle ne tarde pas à crier de plaisir.
Je la lime sous les yeux de sa fille qui m’encourage :
-Vas-y Claude, baise ma salope de mère part tous les trous !
Elle se saisit de ma verge entre ses mains et la guide dans la chatte de Julie, s'amusant à la faire entrer et sortir.
Ma queue rentre et ressort, sa chatte laisse sortir mon mandrin en entier, avant de l’absorber à nouveau. Elle pousse de petits cris, se cambrant pour que mon bâton frotte les parois de son vagin, bougeant d’avant en arrière pour que ma pine effleure son clitoris.
Julie me réclame une levrette en prenant la pose adéquate.
Je me positionne et m’empale d’un coup dans la chatte offerte.
Elle se tortille de plaisir et me montre sa croupe, tendant ses bras en arrière pour que ses mains écartent ses fesses m’offrant son cul.
Je ne résiste pas à l’appel de cet œillet étroit qu’elle veut que je défonce.

JULIE

Je sens ses mains qui écartent mes fesses. Son gland mafflu qui pousse sur mon œillet. Je veux qui me remplisse
-Oui encule-moi ! Encule-moi de toutes tes forces, jeune faune !
La pression diminue, il joue avec mes sens en frottant son gland d’un trou à l’autre, la queue dans une main qui la force à baisser la tête pour l’incliner jusqu’au contact de mes muqueuses.
Je sens un liquide froid couler entre mes fesses. Prévenant, Claude me lubrifie l’anus pour favoriser la pénétration de son phallus hors-normes pour ne pas me blesser.

Enfin il introduit en moi son rostre puis commence à me pénétrer par petits allers-retours, comme si c’était la première fois qu’il me sodomisait mais il me connaît bien et sait que sa pine va se sentir à l’étroit. Il coulisse dans mes intestins augmentant son amplitude jusqu’à sortir de mon cul. Je me sens vide mais très vite il me reprend et pousse en avant par des coups de reins de plus en plus profonds.

Je glisse une main pour m’assurer de la réalité de ce gros pénis aux veines gonflées de sang qui pulsent pour le durcir encore. Il progresse toujours. Je ressens chaque millimètre de sa formidable hampe qui me pourfend et palpite en moi.
Cette révélation déclenche mon plaisir. Ma bouche laisse passer des gémissements sous l’orgasme qui me paralyse un instant. Je tressaille quand je ressens Claude qui se libère de toute la tension accumulée et que son sperme, pour la deuxième fois, jaillit en spasmes délivreurs dans les tréfonds de mon corps.

Emilie est comme hypnotisée par notre prestation mais je ne veux pas accaparer notre bête de concours et après quelques minutes divines, je regarde ma fille et l’informe :
C’est à ton tour si le challenge ne te fait pas peur!

Elle a eu un moment de recul, elle n’a pas manqué une miette du spectacle que nous venons de jouer sous ses yeux et une vague d’appréhension la submerge :
-Je n’oserai jamais, il est bien trop gros, je n’aurais jamais cru que ton cul allait céder devant un tel boutefeu, et pourtant on dirait que tu éprouvais du plaisir d’avoir cette énorme cheville coincée entre tes fesses !

Je l’ai mise en levrette et commence à préparer ma fille en lui léchant le petit trou puis en y enfonçant un doigt.
Je me tourne vers Claude et approche ma bouche du sexe mou toujours imposant qui repose sur les bourses gonflées, je saisis le gland du bout de mes lèvres que je resserre ensuite une fois en bouche. Ma langue parcourt la peau fine, délicate, encore souple et je titille le méat.
Je m’applique et le sens qui grossit enfin sous les caresses de ma langue et de mes lèvres.
Il recommence à bander et retrouve bien vite sa taille habituelle. C'est vrai qu’il a une queue épaisse que j’aime tant.
Son gland prisonnier déforme ma joue, ne pouvant faire entrer plus loin son gros et long épi, je place une main en conque sous ses bourses à la peau à la fois ridée et souple et l’autre sur la hampe.

Une fois que je la trouve rigide à souhait, je la présente vers la raie des fesses de ma fille, et la guide à l’entrée ou j’ai appliqué du gel.
La bite pleine de salive entre en contact avec l’anneau serré. Je sermonne Claude :
-Vas-y doucement, c'est sa première fois.
Je tire le prépuce vers l'arrière pour le mettre juste contre l'anus. Il pousse lentement en commentant :
- Tu es drôlement serré, excuse-moi Emilie, je vais te faire souffrir.
Tendrement, il l’embrasse dans le cou, sur la nuque et il entre doucement dans son derrière mais se retire aussitôt car sa rondelle paraît très serrée. Il laisse tomber de la salive sur sa raie et masse d’un doigt le petit trou avant de l’introduire.
Il recommence avec deux doigts quelques va-et-vient avant de représenter sa queue.

Je suis aux premières loges pour voir la dilatation du sphincter sous la poussée du gland énorme qui dès qu’il est entré l’étrangle maintenant à sa base.
Claude continue la lente progression qui écarte de plus en plus les chairs intimes de ma fille. J’ai l’impression que cette colonne est sans fin quand enfin les bourses viennent heurter la chatte signifiant que le monstre tout entier est dans la place.

Emilie ne peut échapper à Claude qui la tient fermement par les hanches, elle a la tête entre ses bras, un rictus de douleur marque son visage. Elle supplie :
-C’est horrible, il me déchire, tu ne peux pas le laisser faire, maman, dis-lui d’arrêter, je t’en supplie !
Claude se retire et change de trou, lubrifiant sa pine au jus du vagin trempé puis la sodomise à nouveau.

EMILIE.

Je souffre de ce sexe énorme, gros, long, qui me fouille, de ce pieu fait de chair qui palpite en moi. Une douleur fulgurante me saisit au bas-ventre quand il rentre à nouveau avant de revenir à ma chatte. Je suis trop étroite, comment ma mère éprouve du plaisir par là ? Aucune femme ne peut accepter une queue pareille !
Je ne sens plus rien. Il a dû enfin renoncer. Quand soudain je sens ses poils pubiens frotter sur mes fesses. Je tourne la tête et le vois dans le miroir de l’armoire. Il est plaqué contre moi. Mais alors son… ? Il m’a tout mis ? C’est pas possible !
Mais quand il commence à me ramoner, je sens dans mes entrailles sa queue monstrueuse. J’ai mal mais il me fait lentement découvrir que je peux aussi avoir du plaisir par là aussi.

Sa queue est à l’étroit dans mon petit cul et Claude me dit qu’il est heureux d’être le premier. Il va et vient entre mes reins avec une extrême délicatesse me laissant doucement m’habituer à l’intrus.
Il sort son pieu entièrement regardant mon anus bâillant complètement dilaté qui semble lui dire :
- Je t’attends ! Avant d’envahir de nouveau mon cul offert, si étroit.
Il va si fort maintenant que je dois me tenir des mains et de la tête dans les draps.
Sous ses coups, mon corps se soulève si haut que sa verge s’échappe de mon œillet.
Il doit modérer sa vigueur, ses mains fermement agrippées à mes hanches pour que nous ne formions plus qu’un seul corps.
Je me raidis sans un mot, me tendant à me rompre quand je sens le plaisir jaillir de mes reins.

Mais Claude, sentant son plaisir poindre, se retire de mes fesses, se tourne vers moi et présente son phallus devant ma bouche et m’ordonne :
- Suce-la, fait moi jouir !
Ma mère renchérit un peu jalouse:
-Oh, oui, suce-le, fait-le cracher son jus !
Elle se précipite pour se serrer contre moi, je me penche pour gober la bite n’en avalant que le gland boursouflé.
Nous sommes complices en attente de sa laitance, une goutte sort du méat au moment ou Claude, crispé, surenchérit :
Bois mon sperme, n’en perds pas une goutte !

J’obéis, m’efforçant de tout recevoir dans la bouche mais la goutte se transforme en un formidable jet de sperme sous pression depuis le temps qu’il nous fait l’amour, son foutre monte et retombe dans mes cheveux, les suivants recouvrent de liquide épais et gluant mon visage avant que je n’arrive à dompter le fauve et enfin le prendre en bouche pour recevoir ses derniers présents.
Ma mère se précipite pour récupérer le trop plein de sperme sur mon visage puis m’embrasse sur la bouche pour partager son jus avec moi.


Elle est aux anges et pour me remercier, sa langue vient à la rencontre de la mienne pour un long baiser.
Puis nous nous penchons pour embrasser le bout de cette virilité qui a du mal à débander. Nous la suçons gentiment à tour de rôle pour la remercier de nous avoir donné tant de plaisirs.
Mais il est exténué, il faut dire qu’il ne s’est pas ménagé depuis un bon bout de temps. Il nous console :
-Bon les filles… Je crois qu’il faudra attendre que je récupère un peu mais je vous promets que vous allez encore déguster pendant le reste des vacances ! Faites-moi confiance…




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