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Après « Câlins avec ma voisine » et « Les ébats de ma voisine », voici un troisième récit vécu.
Il se passe le lendemain de « Les ébats de ma voisine ».
Le lendemain, ma mère m’avait demandée d’aller chercher du pain et de la viande. Quand je reviens du magasin, je vois Véronique qui garait sa voiture. Je vais lui faire la bise et elle me dit avec un grand sourire :
- Alors petite salope, on vous a bien fait mouiller, hier, Fanny et moi, pas vrai ?
- Bien sûr, c’était hyper excitant d’entendre deux grosses salopes se lécher puis, à midi, s’envoyer en l’air avec deux hommes. C’est vrai que vous nous avez excitées à crever.
- Il y aura d’autres séances de sexe. A propos, cela te plairait de venir faire l’amour avec Fanny et moi.
- Tu es sérieuse ?
- Bien sûr.
- Et ma sœur ?
- Quoi, ta sœur ? Juliette est un peu jeune pour qu’on l’invite dans notre lit.
- Ah bon, pourtant, la semaine dernière dans ton jardin, tu ne la trouvais pas trop jeune pour qu’elle te fasse minette, ni pour frotter ta chatte contre la sienne.
Elle a médité un moment puis a dit :
- On verra. Je vais réfléchir.
- Réfléchis bien. A propos, Fanny vient, aujourd’hui ?
- Hélas non elle soit aller chez le dentiste et a pris congé cette après-midi.
- Dommage pour toi.
- Mais si tu veux, tu pourras nous écouter. Mon copain Arthur vient et on va faire l’amour.
- Aahhh. Cela promet.
- J’irai dans ta chambre et je ne perdrai rien de tes ébats.
- chacune son tour, pas vrai ?
Je suis rentrée à la maison et j’ai téléphoné à mon petit ami Arthur pour lui dire qu’il pouvait passer la journée à la maison. Ma mère était au travail jusqu’à 18 heures, on serait tranquille pour faire l’amour.
Il m’a dit qu’il serait là à 12 heures.
Je suis allée frapper à la porte de la chambre de ma soeur.
- Juliette, c’est moi, je peux entrer.
- Entre.
Ma soeur était en train de lire. On adore ça toutes les deux.
- A 12 heures, Arthur va venir et je vais faire l’amour. Comme je te l’ai promis, tu vas nous rejoindre et tu pourras en profiter pour faire ta première pipe.
- Tu veux bien ? Vraiment ?
- Bien sûr, je t’avais dit que tu participerais à nos ébats, tu ne t’en souviens pas ?
- Bien sûr que si mais je pensais que tu avais dit ça comme çà, et qu’après réflexion tu changerais d’avis.
- Il n’y a pas de raison. Maintenant petite soeur, je ne t’oblige à rien. Si tu veux, tu viens, sinon, pas de problème pour moi.
- Non, non, je viens, j’ai trop envie de vous regarder et aussi de goûter à une queue. Et cela me rassure de faire cela avec toi. Tu vas me guider et ce sera notre beau secret.
- Arthur est au courant ?
- Bien sûr, je lui en ai parlé.
- Il est d’accord ?
- Bien sûr. Il est excité à l’idée que il sera le premier garçon avec qui tu te retrouveras au lit.
Juliette était excitée comme pas permis. On a alors vaqué à nos occupation, mais vers 11 h 30, je suis allée la trouver dans sa chambre. Je m’étais maquillée super bien et j’avais un soutien-gorge noir, un string noir en dentelle, un porte-jarretelle noir et des bas noirs très fins.
- Waaaouuu. Tu es superbe Aurélie.
- Mais toi aussi tu es belle petite sœur.
Je lui tends un petit sachet et lui dis :
- Tiens, C’est pour toi, cadeau.
- Qu’est-ce que c’est ?
- Regarde.
- Oh ! Un porte-jarretelles et une paire de bas. Je n’en ai jamais porté.
- C’est l’occasion où jamais d’être très féminine. Arthur adore quand je mets des bas. Moi aussi d’ailleurs. Alors ça va l’exciter grave.
Comme le porte-jarretelles était blanc, ma sœur a mis un string blanc avec un soutien blanc. J’ai montré à ma sœur comment mettre les bas qui étaient de couleur moka, et qui lui donnaient des jambes « bronzées ».
- Tu es vraiment magnifique, petite sœur. Et hyper féminine.
Juliette se regardait sous toutes les coutures dans le miroir qu’il y avait dans sa chambre.
- J’adore. Je me sens femme.
- Tu ne l’es pas encore. Tu le seras tout à l’heure.
A 12 heures, Arthur est arrivé. Je suis allée lui ouvrir la porte en petite tenue. Quand il m’a vue, il m’a regardée longuement.
- Que tu es belle Aurélie. Tu m’excites terriblement.
- J’espère bien mais attends de voir Juliette. Elle est à croquer. Mais elle appréhende un peu de se retrouver au lit avec nous ; je t’en prie, sois doux et tendre. Ne la brusque pas.
- bien sût que oui. Ne suis-je pas toujours doux avec toi ?
- Si, mon cœur, et j’aime faire l’amour avec toi.
Nous sommes montés dans ma chambre et j’ai déshabillé Arthur en l’embrassant.
- Garde ton boxer. Je vais chercher Juliette, ai-je dit.
Je suis allée dans le couloir du premier étage du premier étage où se trouvaient nos chambres et j’ai frappé à la porte de sa chambre.
Elle m’a ouvert. Elle avait mis un chemisier, une jupe et des hauts talons.
- Tu es sublime lui ais-je dit et je l’ai serrée contre moi. Tu es ma sœur chérie que j’aime de tout mon cœur et tu pourras toujours compter sur moi, Juliette.
- Moi aussi, je t’aime et je suis heureuse d’avoir une sœur comme toi.
Je l’ai prise par la main et je l’ai conduite dans ma chambre.
Quand il l’a vue, Arthur est resté bouche bée. Elle avait ramené ses cheveux en une belle tresse, était magnifiquement maquillée et, il faut le dire, vraiment excitante avec ses gros seins et ses très belles jambes mises en valeur par ses talons.
- Alors, qu’en dis-tu ?
Il était béat d’admiration.
- Tu es…
- Bandante, pas vrai ? Ai-je dit à sa place.
Oui, mais toi aussi Aurélie tu l’es autant que ta sœur, mais dans un style différent.
Regarde, Juliette, l’effet que tu lui fais.
Dans son boxer, sa queue était tendue et formait une belle grosse bosse. J’ai amené ma sœur devant Arthur. J’ai pris la main de ma sœur et je l’ai placée sur la queue d’Arthur.
- Abaisse son boxer.
Elle l’a fait et immédiatement la queue d’Arthur s’est retrouvée presque à la verticale.
Ma sœur regardait, fascinée, le membre tendu de mon petit ami et ne savait que faire.
J’ai pris sa main et je l’ai posée sur la tige d’Arthur qu’elle a serrée dans sa main. J’ai alors pris la main de ma sœur et j’ai tirée vers le bas de façon à faire sortir le gland.
Puis j’ai fait asseoir Juliette sur la chaise de mon bureau et je lui ai dit :
- Regarde-nous. Et quand tu te sens prête, déshabille-toi et viens nous rejoindre. Et surtout, sois sans crainte, c’est un moment agréable que nous vivons et il ne va rien t’arriver de mal, rien que du plaisir. Mais, petite soeur, c’est toi qui décides. Tu n’es obligée à rien, tu peux rester assise et simplement nous regarder. Ou bien retourner dans ta chambre si tu en as envie.
Je veux simplement que tu ne te sentes obligée à rien. Tu es libre de décider ce que tu veux faire et quand tu veux le faire. Personne ne décide pour toi. Je veux que tu gardes un très beau souvenir de cette journée. C’est bien clair ?
- Oui.
- Parfait.
On s’est couché sur le lit et on s’est embrassé tendrement.
J’ai caressé le torse de mon ami et ma main est descendue jusqu’à sa queue que j’ai prise en main et que j’ai masturbée très lentement, en douceur. Sa langue et la mienne se tournaient autour. C’était à la fois doux et passionné.
Ma bouche a commencé à descendre. J’ai passé ma langue sur ses mamelons. Ils se sont érigés. Arthur se tortillait de gauche à droite. J’ai continué ma descente et j’ai embrassé son pubis, puis j’ai bécoté sa queue fièrement dressée.
- J’adore lécher et sucer un sexe bien lisse.
J’ai jeté un coup d’œil vers ma sœur. Elle regardait, la bouche entr’ouverte, les yeux rivés sur la queue d’Arthur.
J’ai englouti le sexe impeccablement épilé de mon amoureux et j’ai joué avec dans ma bouche. Je le léchais à gauche, à droite, je l’enfouissais jusqu’au bout, je le recrachais, je passais la langue sur la face inférieure puis j’allais lécher le creux qui sépare pubis et sexe. Arthur adore quand je lèche ce creux.
- Aaahhh ! Ohhhh ! Oooouuuuiiiiii ! Continue, j’aime ta bouche, j’aime ta langue. Aurélie, mon amour, tu suces bien.
Je suis allée l’embrasser pour qu’il goûte son sexe sur mes lèvres. J’ai demandé à Arthur de se tourner le dos à ma sœur qui avait enlevé son chemisier et de se coucher sur le dos. Je suis alors venue m’asseoir sur sa bouche, face à ma sœur, m’appuyant sur mes mains que j’avais mises en arrière. Ainsi ma sœur pouvait bien voir la langue d’Arthur parcourir ma fente juteuse. Il m’a fait une longue et tendre minette.
La cyprine coulait le long de mes cuisses. Sa langue entrait en moi, ressortait, passait sur l’aine, à gauche, à droite.
- Bouffe-moi bien la chatte, aspire-là, mange-moi, Arthur. J’aime que ta langue pénètre mon con.
J’ai commencé à faire des allers retours de haut en bas, sur la langue de mon amant. Mon clito était dur, tendu, bien dressé hors de sa protection. A chaque mouvement, la langue le heurtait. C’était follement bon. J’ai ensuite fait des mouvement d’avant en arrière, toujours sur la langue et la bouche d’Arthur.
Puis je me suis couchée sur le dos, et j’ai demandé à Arthur de venir en 69. J’ai pris sa queue dans ma bouche et j’ai commencé à titiller doucement sa rondelle avec mon index. Il adore ça. Sa langue farfouillait mon intimité et je coulais dans sa bouche.
Je me suis relevée, Juliette avait enlevé sa robe. Elle avait une main dans son string se triturait le sexe.
Arthur est resté en levrette et j’ai commencé à lui faire une feuille de rose. Il gémissait de plaisir. J’adore bouffer son cul. En le léchant, je fantasmais. Je m’imaginais en train de l’enculer avec un gode-ceinture, comme ma belle voisine Véronique qui nous écoutait le fait avec son mari ou un de ses amants. Mais chaque chose en son temps.
Ma langue passait entre ses fesse lisses, je la poussait le plus loin possible dans son cul, je redescendais vers ses couilles que je gobais une par une, puis je revenait m’occuper de son petit cul hyper sensible à mes caresses buccales. J’ai palpé ses couilles et j’ai bien mouillé da rondelle avec ma salive et j’ai enfoncé mon index dans sont cul. J’ai fait des mouvements d’aller-retour, sortant complètement mon doigt, le rentrant de nouveau dedans, puis le tournant comme si c’était une vrille.
- Que c’est bon ce que tu me fais, j’adore. Continue, encule-moi avec tes doigts.
Juliette était maintenant nue, elle n’avait plus que son porte-jarretelles et ses bas. Elle se triturait la chatte et mouillait abondamment.
- Va te rafraichir la queue et le cul, ai-je dit à Arthur. Il est allé dans la salle de bain et j’ai demandé à ma sœur :
- Ca va ?
- Vous m’excitez comme c’est pas possible. Je suis trempée, Aurélie.
- Tant mieux.
Arthur est revenu.
- Que tu es excitante, Juliette.
Il s’est couché sur le lit, près de moi. Ma sœur s’est levée et est venue nous rejoindre. Je l’ai serrée dans mes bras. Elle s’est couchée sur le dos et a écarté les jambes.
Arthur est venu placer sa tête entre les jambes de ma sœur et il a bécoté tendrement et délicatement le petit abricot qui n’avait encore jamais reçu le moindre baiser d’un garçon. Arthur faisait preuve de la plus grande délicatesse, prenant son temps, veillant à ne pas se montrer brutal ou pressé. Juliette ma prise la main et je lui ai donné un bécot sur la joue. Tu es belle, lui ai-je dit à l’oreille, très belle et désirable. Et Arthur bande comme un dingue.
Arthur a commencé à entrer sa langue entre les lèvres de ma sœur et est remonté vers le clito qui était tout dur. Il l’a pris en bouche et l’a pincé doucement entre les lèvres ; il le suçait et tournait autour avec sa langue. Il redescendait le long de la belle chatte épilée qui connaissait son premier garçon.
Il a continué à descendre et est arrivé jusqu’au cul de ma sœur. Elle a serré les jambes mais Arthur a continué son exploration et a fini par gagner la partie. Juliette a renoncé à serrer les jambes, elle a laissé la langue d’Arthur lui bouffer la pastille.
C’était beau et tendre de voir ma sœur se faire bouffer le cul par mon mec. J’étais heureuse pour elle que cette première fois se passe avec un garçon doux et gentil, attentionné et délicat.
- Vas-y, Arthur, fais une belle feuille de rose à ma petite sœur adorée, elle le mérite, c’est une fille formidable. Et c’est pour elle la première fois qu’elle se retrouve au lit avec un garçon. Que cette journée soit inoubliable.
Juliette s’est mise en levrette, ses beaux gros seins pendaient. Arthur a repris sa feuille de rose.
- Je vais te lécher le cul pendant que tu lèches celui de ma sœur.
Ma sœur a commencé à se détendre, et aux soupirs ont succédés gémissements et râles de plaisir.
- Laisse-toi aller ma Juliette, il n’y a aucune gêne à avoir, le plaisir n’est pas une chose honteuse.
Je léchais Arthur avec passion, et j’ai repris l’exploration de son cul avec les doigts. L’index seul puis le majeur et l’annulaire. Je l’enculais avec trois doigts.
Arthur s’est mis sur le dos et a demandé à Juliette de venir mettre son cul sur sa bouche.
Ma sœur s’est donc retrouvée face à moi, et j’ai pu admirer le beau spectacle de son léchage de cul. Elle se triturait les seins dont les mamelons pointaient merveilleusement.
J’ai pris mon smartphone et j’ai fait des photos de ma sœur se faisant bouffer le cul. Et quelques gros plans de la langue de mon petit ami sur la rondelle de ma sœur.
Elle s’est couchée sur le dos :
- Arthur, bouffe-moi la chatte, fais-moi jouir, je n’en peux plus.
Arthur s’est exécuté. Juliette gémissait, soupirait, râlait et quelques minutes plus tard, ma sœur a explosé dans un grand cri. Sa chatte était dilatée de plaisir, luisante de cyprine et ma sœur était essoufflée.
J’ai déposé un petit bécot sur ses lèvres et j’ai demandé à Arthur de me défoncer la chatte.
Je suis venue m’empaler sur lui et j’ai commencé à monter et descendre sur son membre raide. Il avait été résistant et méritait de vider ses couilles une première fois.
Je me suis mis en levrette et je lui ai dit de décharger son foutre. Il n’a pas mis longtemps à juter dans mon orifice torride.
Juliette nous regardait, rouge d’excitation et j’ai nettoyé la queue de mon petit ami devant elle, ne laissant pas la moindre goutte de sperme.
Nous sommes allés dans la douche pour nous rafraîchir et pour nettoyer nos sexes avant de remettre ça.
- Vous m’avez excitée incroyablement, a dit Juliette.
- As-tu aimé ce qu’Arthur t’a fait ?
- J’ai adoré, une langue sur le cul, c’est quelque chose d’incroyablement délicieux.
- On va boire un coca puis on retournera dans la chambre pour poursuivre nos ébats. J’ai le feu au cul et je veux me faire enculer, ai-je dit en palpant la queue de mon mec.
- J’aimerais essayer de faire ma première pipe, a dit Juliette.
- Voyez-vous ça, mademoiselle prend déjà goût au sexe, ai-je dit. Tu seras vite accroc.
- Comme da soeur, a dit Arthur en rigolant.
Elle a remis son porte-jarretelles et ses bas, moi aussi et nous sommes repartis pour la suite de notre séance de sexe.
Juliette avait déjà plus d’assurance, elle a poussé Arthur sur le lit. Elle est venue près de lhui et a pris son membre en bouche et elle lui a commencé à lui faire une pipe. Elle s’appliquait à bien faire mais on voyait qu’elle manquait encore de pratique. Arthur a eu la bonne idée de l’encourager et de la guider :
- Continue, Juliette, c’est bon, tu t’y prends bien. Passe bien ta langue partout, autour, en dessous, dessus jusqu’au pubis. Passe aussi sur mes couilles, prends-les en bouche délicatement.
Je suis venue m’asseoir sur la bouche de mon mec et il m’a sucé la moule avec tendresse. Sa langue parcourait toute ma fente et venait titiller mon bouton déjà dur. Il poussait sa langue le plus loin possible dans mon orifice très demandeur.
Tout en continuant sa belle minette, il m’a enfoncé son index dans le cul et à commencer à m’enculer avec son doigt. Il me préparait pour après.
Juliette a interrompu un court instant la fellation et nous a regardés, je me triturais les seins en gémissant. Je me doutais que Véronique était à l’écoute car on l’entendait gémir dans sa chambre.
- Lèche-moi bien l’abricot, Arthur, continue, et toi Juliette bouffe-lui la queue.
Cela a continué un certain temps. Julien alternait doigt dans mon cul et feuille de rose.
Un certain moment il s’est mis debout sur le lit et pendant que Juliette lui pompait le dard, et je lui ai fait une feuille de rose. Il gémissait, soupirait et poussait des râles de plaisir.
- Viens m’enculer, j’en meurs d’envie.
Arthur s’est couché sur le dos. Je me suis mise dos à lui, j’ai mis son gland contre mon cul et je me suis laissée descendre sur sa queue qui n’a eu aucun mal à se retrouver au fond de mon cul. J’étais assis sur son pubis. Juliette avait les yeux rivés sur mon entrejambe comme si elle avait du mal à croire à la réalité de ce qu’elle voyait : une queue au fond d’un cul. J’ai commencé à monter et descendre et elle a pu voir la belle queue d’Arthur coulisser en moi.
- J’adore t’enculer ma chérie, c’est trop bon, ton cul est bien serré et ma queue est coincée dedans. Quel régal !
J’ai regardé Juliette mais elle n’avait d’yeux que pour cette queue entrant et sortant de mon petit cul. Elle passait sa langue sur ses lèvres et se caressait la chatte.
- Le spectacle te plaît ? Ai-je demandé.
- Je mouille comme une dingue. Tu n’as pas mal ?
- Mal ? Tu rigoles, c’est délicieux. Encule-moi bien profond, mon amour. J’aime sentir ta pine au fond de moi.
Arthur s’activait, après un certain moment, il m’a demandé de me mettre en levrette et sa queue a repris le chemin de mon trou de bal. Il me bourrait bien en cadence. Juliette est venue se coucher devant moi, jambes bien écartées et elle a commencé à se mettre un doigt dans le cul. Elle le rentrait et sortait et c’était beau de voire sa petite rondelle rose s’ouvrir et se fermer au rythme de son doigt.
- Hm !!! Je vois que ma petite sœur apprend vite.
- Vous m’excitez à mort.
- Tant mieux.
Le sexe d’Arthur était dur comme du bois. Il le sortait complètement et puis le rentrait d’un coup sec. C’était follement bon. Mon cul était torride et trempé. J’ai constaté que je « mouille » du cul quand il est bien excité. Arthur me l’a fait remarqué :
- Ton cul est trempé. Je suis excité comme pas possible.
- Vide tes couilles, vas-y, je veux sentir ta queue se cabrer à chaque décharge, je veux sentir ta crème chaude gicler en moi.
Juliette est venue se mettre à côté de moi et a regardé Arthur s’activer de plus en plus vite dans mon petit fion.
Il a déchargé en gémissant et criant de plaisir. Les saccades furent nombreuses et une douce chaleur a envahi mon cul.
Il s’est retiré, dur comme du bois et Juliette a pu voir mon cul bien ouvert qui s’est refermé et duquel le foutre a commencé à sortir.
Véronique s’astiquait le bouton en gémissant et râlant. Nous avons été coller nos oreilles contre le paroi et nous l’avons entendue jouir bruyamment. Elle n’avait rien perdu de nos ébats. J’étais contente de lui avoir rendu la pareille.
Juliette a demandé à Arthur qu’il vienne lui lécher le cul et elle a eu droit à sa deuxième feuille de rose de la journée.
Après lui avoir fait minette et l’avoir fait jouir. Nous sommes allés sous la douche et Arthur, qui avait rebandé m’a sodomisée une deuxième fois. Il a mis du temps à jouir mais ce fut plus fort encore que la première fois. J’avais le cul en feu, Juliette se masturbait vigoureusement et a joui en criant :
- Je veux une grosse queue dans mon cul de salope.
Arthur et moi avons éclaté de rire et je lui ai dit que ce serait pour une prochaine fois parce que Arthur n’était plus en mesure de la satisfaire maintenant. Trois éjaculations en 4 heures de lit, c’était très bien.
Elle m’a fait promettre qu’elle pourrait encore venir dans notre lit car elle voulait se faire enculer comme moi.
Avec un sourire coquin, j’ai dit :
- Tu as demandé à Arthur s’il avait envie de te donner satisfaction ?
Juliette m’a regardé, interloquée, avant de comprendre que je me foutais d’elle. Arthur lui a fait un clin d’œil.
On s’est rhabillé et nous sommes allé dans le jardin où nous avons papoté et bu un soda.
J’ai entendu Véronique dans son jardin.
- Alors, Véronique, cela t’a plu ?
Elle a passé sa tête au-dessus du mur et m’a appelée.
- Vous m’avez fait mouiller comme une salope. Vous m’excitez, bandes de petites salopes. et lui, je lui boufferais bien la queue.
- Pourquoi pas, ai-je dit en regardant Véronique droit dans les yeux, avec un sourire moqueur
- Tu es sérieuse ?
- Qui sait ? Ai-je dit en éclatant de rire.
Et je suis retournée m’asseoir près de ma sœur et d’Arthur qui parlaient de la série « Braquo ».
Il y aura bien sûr un quatrième récit pour vous raconter la première sodomie de ma soeurette.
J’adore raconter des choses vécues, j’y prends de plus en plus goût.
Bonne lecture. A bientôt.
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