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Marisa Libertine

Ecrit par Ivan
Parue le 24 décembre 2023
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Cette histoire érotique a été lue 488 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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Marisa libertine

Sa première pensée fut celle d´exercice litéraire coquin ou d´un fantasme. C´est une histoire d´amour de plus étranges. Marisa Santos avec un mélange de malice, de provocation et d´indecence. La Femme doit rester trois jours à São Paulo. Les pensées se bousculent, c´est fou comme le cerveau peu s´attacher aux détails dans des moments comme cela. Tout même difficile ne pas être troublé. Un homme et une femme diferente dans divers contextes et époques et un amant qu´elle avait le trrouvé dans un trou de rats. La belle Mariza Santos épouse d´écrivain Gilles Valverde.

I

L´atmosphere est épaiisse. Le temps était orageux et la mer déchainée. La maison craquait sous les rafales que venaient du front de mer. Il ne pleuvait pas. Mais les nuages étaient sombres et massifs. Le ciel était menaçant. Mais ne semblait pas vouloir rompre. À l´horrizont quelques rayons de soleil perçaient les nuages. Des faisceaux obliques épars éclairaient l´Océan et se déplaçaient poetiquement sur l´eau. La belle épouse a 40 ans, toujours aussi belle avec la longue chevelure rousse, ses yeux verts, sa taille de guêpe, et sa haute poitrine. .Ils sont tous les deux bisexuels et échangistes. Il son exhibitionnistes et aiment le plaisir sans tabou. Son épouse est aussi sexuelle que lui, mais on aime bien faire de nouvelles conquêtes. Ils sont voyeurs La belle Marisa Santos avait l´impression d´être dans un livre de Agatha Cristhie. Mesure 1m70 a les cheveux qui tombent sur les épaules de couleur chataîn clair. Ses yeux verts magnifiques. Ses lèvres sont d´une douceur esquise, sa peau douce. En effet elle est dotée d´une bouche pulpeuse soiigneusement maquillée d´un rouge un peu trop vif. Son petit sourire espiege est un avanyage à sa beauté.
Ça va faire à présent huit ans qu´elle est en couple avec Gilles, son mari. Hélas, ellle s´est mariée un peu trop jeune, Mariza avait à peine dix-huit ans, elle voulait échapper à sa famille, et en plus, Elle reconnait qu´elle avait un peu le feu au cul et la jambe légère. concernant son conjoint. Légèrement obsédé sexuel, Gilles lui comblait allègrement au lit, il lui comble toujours, elle n’a rien à redire sur ses prouesses, oh que non! Mais voilà, elle a parfois besoin d’aller voir ailleurs, elle a toujours et encore cette énorme envie de baiser sans relâche, et lui le rêve d´être cocu concentant. Son physique n´est pas en reste. Ses gros seins sont ronds, fermes et doux. Un ventre plat naturalement et des fesses rebondies. Elles´était fait toute belle, sexy à la limite de la provocation. Une petite robe rouge dont le devant peu ouvir des petits boutons dont elle avait pris soin de laisse trois du haut ouverts. De cette façon même si elle était menue sa poitrine serait malgré tout visible celui voudrait.

- ?C’est belle, n’est-ce pas ? Alors, regarde si tu en a envie.
-?Tu es belle, petite fleur française, dit la femme en descendant à son tour.
- Tu es vraiment très bien faite, dit l´autre.

Elle voit le regard des deux hommes qui semblent fascinés. C’est bon de se laisser aller. C’est bon qu’on la regarde, elle si timide normalement. Elle se découvre le centre du monde. Un monde où tout n’est que sensualité, plaisir, caresses. Un monde où il suffit d’avoir une envie pour que les autres la réalisent. Elle n’a envie de rien. Elle a envie de tout. Les autres la regardent. Elle sent sur elle le poids de leurs attentes, de leurs envies, de leurs fantasmes. Elle comprend. Oui, elle comprend que ce n’est pas la queue si belle et expérimentée soit-elle qui lui fait cet effet. Ce sont les autres. Leur présence, leurs regards. Se savoir le centre de leur monde, et même si c’est pour la soumettre à leur propre désir, c’est merveilleux. Son mari a été fasciné, à tel point qu’il en a éjaculé dans son slip.

-?Oh, ça m’excite déjà… Je jouis avec l´idée, dit le mari.
-?J’espère que le spectacle t’a plu?
-?Comme ça tu es parfait, mon cœur ! J’aime te voir nue, je voudrais vous regarder.
?- Nous regarder? Vous voulez dire faire le voyeur?
-?On appelle cela le candaulisme. On peut être cocu et fâché de l’être, d’être cocu mais d’en tirer tous les avantages, comme des dizaines de milliers de maris candaulistes.
- Qu’un beau Black bien membré est en train d’enculer profond une bonne Blanche sous les yeux de son mari?


Les hommes que se tournent sur son passage finissent par avoir des idées et parfois des intiatives osées. Elle s´était decouvert des dons et un penchant pour l´exhibitionnisme et s´amusait à provoquer dans divers endroits publics en croissant três haut ses cuisses ou en sinulant de ramasser quelque chose pour dévoiler à tous les yeux bien placés une vue érotique de son entrecuisse. Elle était heureuse de savoir que tous les hommes avaient envie de cette belle femelle toujour prête pour satisfaire ses mâles.

- Tu te rends compte, lui dit-il,
- Oui je suis une salope j’aime me faire baiser et casser le cul par des grosses queues et jouir devant mon mari qui adore me voir jouir comme un trainée »
- Ceci fait, on va maintenant ce faire plaisir ensemble! Dit-elle, de façon amusée.
- Merci, tu as accepté que je réalise un grand nombre de mes fantasmes.
- Le spectacle pour un mari candaulisme.
- C’est bien bon, je vois que tu es la même petite salope prête à se faire baiser.
- Mon chéri j’ai un cadeau pour toi, vu comme tu me regardes tu vas aimer

Mariza Santos a toujours été extremement vorace sur le plan sexual étant elle-même três vicieuses de nature. Elle est ce que l´on peu appeler une belle Femme. La belle brune pense au sexe quasiment en permanence. En tout cas c´est une obssesion. La moindre évocation un peu connotée son cerveau décroche et elle éprrouve les plus grandes difficutés à se controler. Elle se met alors à chercher n´importe quel moyen de donner satisfation à toute sorte de pulsions. Le mari voyeur s´en amuse et il en profite toujours au maximum. Elle lui raconte tout et on fini par baise comme des maniaques.

-?Et il bandait comme un cheval, ça se voyait sans problème à travers le tissu de son pantalon. J’étais quand même gênée, même si j’étais flattée de faire tant d’effet…
-?Tu es une femme très bandante, tu sais…
- Je savais qu’il l’avait grosse, mais pas à ce point! ?Il avait tellement envie de me baiser qu’on ne peut pas dire qu’il se soit attardé sur les préliminaires.
- ?Bref, il a voulu me pénétrer rapidement, tellement il avait envie, mais il avait du mal à entrer… Tu comprends, il l’avait tellement grosse!
- Oui, je sais qu’il l’a grosse, nettement plus que moi, mais ce n’est pas une raison de me le préciser toutes les dix secondes.
-?Monsieur André, vous en avez une tellement grosse qu’elle n’arrive pas à rentrer!
-?Sachez, chère Madame Mariza, qu’elle a toujours réussi à faire son petit trou.
-?Lequel de trou?
- Le trou de son mari cocu, avant il va me sucer tout le sperme de son vagin.?J’ai trop envie de vous prendre !
Mariza joue son rôle à la perfaition. La brune s´assoit en face du bel homme et crise les jambés. Elle sait qu´il a vu le haut de son bas et la jarretelle qui remonte jusquà sa ceinture érotique en une fraction de seconde avant qu´elle ne couvre modestement ses jambés. Elle sent sa chatte trembler l´idée.Il déjeunait lui-même à la table d´à côté. Il n´arrête pas de regarder dans saa diirection bien qu´il soit subtil à ce sujet, elle sent le regarde fixe.
Elle aime l´attention qu´elle reçoit des hommes, mais n´y pense générallement pas de fois. Elle est marriée, c´est diferente, elle instantanément chamée par la beauté classique de ce grand et beau gentlement... Les costumes ne sont plus à la mode dans la culture hipster de la défense. Elle n´est pas d´accord avec cela. Il y a quelque chose à dire sur un homme en coutume. Elle evite de tourner la tête dans sa direction mais leurs yeux se croisent, elle sorrit elle et caressa lascivement les cheveux.

- Viens Marisa on va s´amuser.
- Gilles est l’homme de ma vie, je le sais et je t’aime.
- Mari cocu et contente. Mari candauliste. Mari voyeur.
-?Avoue que tout ça t’excite terriblement!
Il lui guide et une fois qu´et est allongée sur le dos, il se recouche sur moi. Sans plus de préambule, il met sa grosse queue à l’orée de sa petite chatte. Elle en frémis, même si elle connais déjà la bete.

-?Vous êtes si serrée que j’ai l’impression de prendre une jeune fille!
- ?C’est normal, vous en avez une beaucoup plus grosse que mon mari…
- ?Ah bon? Et ça vous fait quel effet?
- ?Disons que… disons que ça change…
- ?En bien ou en mal?
- ?Hmmm… Plutôt en bien, je l’avoue…
-?Vous êtes prête, Sylvie? Je vais vous montrer comment jouir vraiment.
-?Je jouis déjà bien, vous savez…
- ?J’ai vu, et j’ai entendu, mais vous pouvez mieux, nettement mieux, je vous le garantis. Accrochez-vous, car je vais vous montrer comment jouir à fond! Et se faire bien baiser!
-?Vous vous vantez ou quoi?
-?Vous m’en direz des nouvelles… Après…

Mariza commence à gémir, à crier, à jouir encore et encore, de plus en plus fort! C’est trop, je lui crie: Puis il lui défonce de plus belle ; Elle crie, elle hurle, elle halète, elle jouit plein de fois, par paliers, ayant à chaque fois l’impression que son cœur va exploser, que son corps va éclater dans tous les coins et recoins de cette chambre d’hôtel! Elle a l’impression que tous les atomes de son corps se désagrègent, valsant sur tous les murs, le plancher, le plafond! Elle bouge. C’est magnifique. Elle ruisselle de sueur. Ses cheveux se collent sur son visage et c’est lui qui les repousse afin de pouvoir la regarder. C’est un champ de bataille en perpétuel mouvement. Ange, démon, masque du plaisir, traits de la souffrance. Tout un monde souterrain…
D’une démarche assurée elle y va. Les deux hommes n’hésitent pas à se retourner pour la regarder. Elle revient avec le même regard de ceux-ci sur elle, plus un petit sourire de sa part envers eux.

- Je savais que ça allait être quelque chose que de vous baiser!
- ?Ah… euh… oui…
- ?Mais ce n’est pas fini! Vous êtes trop bonne! Je veux pouvoir profiter de vous!
- ?Tu es vraiment ravissante, Gilles. Je te trouve même très désirable. Suce le vagin de ton épouse pleine de sperme, puis tu vas sucer ma abite.
-?Ne te plains pas, j’ai mis du gel. J’aurais très bien pu t’enfiler à sec, comme une pute au bois.
-?Mais c’est trop gros! Tu vas me déchirer…
- ?Mets-toi en levrette. Je vais chercher le gel.
-?Un cul comme le tien a dû en voir des plus grosses. Tiens!

Il me fait sucer sa grosse bite avec sperme. Il lui pompe un long moment. C’est délicieux dit-il. Son épouse voit très bien la longue bite blanche disparaître dans le cul du mari de Mariza, de la même façon que sa gorge est totalement prise par cet autre mandrin.

-?Ahhhhhh, j’ai mal…
- ?,Fais-lui bouffer ta bite qu’il se taise un peu.?Putain, que c’est bon! J’avais oublié combien le cul d’un puceau est serré.
-?Plus fort. Plus fort. Baisez-moi. Enculez-moi. Punissez-moi des cochonneries que je fais.

Il jouit. Sa semence jaillit en flots généreux qui maculent son corps de traînées blanchâtres, du petit trou jusqu’au ses jambes.

-?C’était très bien. Vous êtes un bon amant. Gilles… Votre femme a de la chance.
- Il aime tout. Me sucer jusqu’à ce que je gicle dans sã gorge. Lui donner son cul pour le remplir, nos spermes mélangés, il en fait une friandise. Tout est facile avec lui. Sans prise de tête. Privilège.
-?T’as vraiment un joli petit cul.

Mariza est dans une robe que beaucoup pourraient qualifier d’indécente tant elle met son corps en valeur. Une robe blanche légère, très ouverte sur les côtés, qui permet d’apprécier sans la moindre ambiguïté la fermeté et la générosité de sa poitrine qu’aucun soutien-gorge ne vient déranger, le galbe assuré de ses cuisses, la finesse de mollets joliment sculptés. Ses cuisses sont bronzées et musclées et ses longues jambés bien galbées se terminant par des pieds delicats avec de oncles renêtus d´un élègant vernis rouge et d´une simple paire de talon aussi rouge. A 40 ans elle est pluis sexy que jamais, avec un corps dont n´importe quelle jeune allumeuse aurait été fièrre. Tous les hommes fixent le magnifique corps élancé de Marisa. Elle se leve et va jusque lui:
- Je peu m´assise?
- Bien sûr que oui. ?C’est un plaisir de s’occuper d’une jolie femme. - - Tu me rends fou. En plus je suis sûr que t’es une chaude!
-?Tu crois vraiment?
- ?On peut toujours essayer. Ta Beauté est une menace au monde.
-?Je sens qu’on va bien s’amuser avec ce jeu…
- J’étais un peu impressionné de son audace.
- Femme qui plaît attire les hommes.
- ?Quels beaux seins tu as, je n’ai pas arrêté de les mater.
- Bon est masturber entre eux, dit meu mari.
- Vous-êtes mariée qui aime ser infidelle.
- Mon mari aime me assistir baiser et il suce les bites de mes amants,
- Son mari est là?
- Non mais je peux l´appeler au téléphone.
- J´aimerais beaucoup a trois.
- Je m´appelle Marize et vous?
- Marcelo Bezerra.

Elle allume o celular et dit que elle est avec Marcelo que envite un rencontre intime maintenant. Il est beau et tu va adorer.

- Il sera ici en 15 minutes.
- Je peux l´enculer aussi?
- Il va adorer l´idée.
- Voilà mon mari. Marcelo.
- Plaisir. Reelement un homem interressant.

Six heures du matin et le soleil chauffe déjà très fort. Elle ouvre un œil, le ciel est d’un bleu limpide. La journée s’annonce radieuse. Elle tournait les talons, embrassant Éric et lui disant que elle n’a pas faim mais juste envie de baiser.

-??Mon comportement t’a plus mon amour?
-??Oui, je bande à m’en faire mal.
-??Tu veux bander, et bien tu vas bander?
- Bien sur que je le veux. Mais toi? Tu veux réellement que je t’enc….
- ?Oui, elle est si grosse que ça! Voilà, t’es content? Mais ça t’apporte quoi, au juste, de savoir ça?

Telle une chatte, elle se retrouve agenouillée vers ce sexe pointé vers le ciel et ce sont ses lèvres et sa langue qui lèche le méat de cette bite démentielle.

- ?Ben rien, quoi, c’est juste pour savoir… Puis les centimètres, c’est pas très parlant. Montre-moi avec tes mains comment elle est…
- M’enculer, je le désire maintenant pas dans six mois. Encules- moi. Sa bite est bien dure. Il va me la mettre au cul. Vite, j’en ai envie. Je veux qu’il soit au fond que je sente ses poils contre mes fesses que je sens ses spasmes de jouissance
- Tu es très belle, tu me plais beaucoup, dit Marcelo dit l´épouse.

Plus tard les trois sont dans une chambre d´hôtel. Il sort sa queue par de côté de son slip et dirige vers la tête de son mari faisant le contact de sa bouche. Il se met à lécher sensualement, le branler et sucer lentement. Il lèche avec délicatesse le gland et les couilles de Marcelo.

- Puis de moi que je le veux dans ma vulve. mon désir est immense et la sensation exceptionnelle.
-?Quel beau cul! lui dit-il. Et j’aime bien ton sexe presque rasé. Tes grandes lèvres sont magnifiques.

Elle saisit le sexe bien dur et le guida dans son ventre. La première pénétration lui tire un cri de plaisir. Marcelo l’accrocha par les hanches et la fit monter et descendre de plus en plus rapidement sur le pieu dressé pendant qu’il dégustait à pleine bouche ses seins lourds. Elle jouit une seconde fois quand, Paulo a enfin éjaculé au fond de son ventre, le sperme a coulé lentement le long des jambés.
- Regarde mon cœur il m'a inonder le vagin de sperme.
Le mari passe sa main sur sa chatte totalement inondée. Son mari commence à lécher sain perdre rien. Puis il léche la bite pleine de sperme avec grand plus plaisir. Elle sentit sa queue continuer à durcir.
-??Alors, satisfait, mon cocu chér? Tu peux constater que je suis vraiment prête, non? Occupe-toi bien de lui! ?Oh oui ! Suce-le! Vas-y lui dit-elle.
- Mmmmmmhhh, quelle femme tu as, cocu, quelle femme!

L’orgasme est un pouvoir. Elle aurait bien aimée, d’ailleurs, qu’il l’appelle pour qu´m il puisses entendre ses cris pendant l’orgasme… Après tout, il ne m’a jamais vraiment entendu jouir, hein mon petit chéri cocu?

-?Prends-moi par-derrière , Dit le mari
-?Tu vas m´ enculer, n’est-ce pas? Demande Gilles
-?Euh… si vous voulez… oui, bien sûr!
-?Tu vas me faire venir avec ta grosse queue dans mon cul! que je dis.
?- Ah oui?
-?Mon mari jouit du cul… De la prostate…

Le mari Gille était vraiment prêt à se faire sodomiser! la queue était douloureuse tellement elle était tendue et à l’étroit dans son boxer. Son époux a obéi pour la première fois, la langue glissait dans son anus dilaté de plaisir. Il a mis du lubrifiant dessus et il l’ai approché du cul de son époux. Ses fesses sont entrées en contact avec le silicone. Un frisson l’a parcouru, puis il s’est détendu un peu plus, préparé mentalement à ce qui l’attendait. Il a écarté ses fesses à deux mains pour mieux jouir de cette caresse baveuse. En même temps, il se branlait.
La queue était littéralement trempée, elle aussi, par les sécrétions de ton épouse. Il l’a approché du cul de son époux. Ses fesses sont entrées en contact avec le silicone. Un frisson l’a parcouru, puis il s’est détendu un peu plus, préparé mentalement à ce qui l’attendait Il le pilonnait comme un fou, ses couilles se balançant et heurtant ses grandes lèvres, tandis qu´il le tenait fermement par les hanches et il l’ai approché du cul de son époux. Ses fesses sont entrées en contact avec le silicone. Un frisson l’a parcouru, puis il s’est détendu un peu plus, préparé mentalement à ce qui l’attendait. Il lui griffait le dos, de haut en bas, ... Il explose! Un jet, deux jets, trois jets, elle frémit… Joui! Son jus coulait entre ses cuisses, dans ses poils.
De vacance elle arrive à São Paulo. La ville grise et bruyante, la journée, la foule, des tourristes se melaient aux flux de voitures. Sur fond des klaxons et poluition, mais quand tombe a nuit tout s´éclaire, tout s´épaise sur la metrópole. Elle offe toutes possibilites les rues s´illuminent, les théâtres et les restaurants prennent vie. Les Néons verts dansent au rythme des classiques, Le portable sonna.

- Allô! Tu fais le quoi?
- J´arrive à São Paulo, elle sera bonne notre soarée, Excellente même.
- Je crois que c´est le moment d´ouvrir le cadeau.

Son côté exhitionniste s´eveille déjà àz sa place. Le sexe est monipresent dans sa vie. Il ocupe des pensés d´une façon qu´elle qualifierait de maladive obsequie se suspecte qui cachait mal leurs véritable intentions. Mariza Santos était habillé d´une petite robe en tout cas plus courte que ce qu´elle porte d´habitude qui laiasse apercevoir ses bas quand elle se pense un peu trop, rien de mieux pour exciter les mecs. Elle savait qu´ils adorent ça. Le decolleté est impresionnant, elle se porte sans soutiens gorge. Elle laisse deviner sa poitrine et bien sûr ses chassures avec la fameuse semelle rouge. Elle avait l´impression de debarquer dans autre monde à tel pointqu´elle passe d´un verrtige mélange d´excitation et apréhension. Dans la rréception un jeune homme la devore du regard. Elle avait registres des regards vicieux leur grimace complice et leur expression. Suggestives que cachent mal leurs esprits pervers .
La soirée avait plutôt bien commencé. Comment aurait-elle ce douter qu´elle tornerait bientôt un tel désir de son mari cocu? Elle était toute excitée à l´idée de cette fois serait peut-être la bonne. Quelle soirée que spectacle. Dans l´hôtel le porrtier la salued´un brev mouvement de tête pluis elle regard le decor, plusieurs miroiirs aux encadrements lumineux fluos réfléchissaient un comptoir longeant le mur central. Marisa claque la porte derriere nelle pour valser ses scarpins défit son chignon la chevelure que tombe en cascade le long de ses rins. La belle brune déboutonna sa robe dévoilant une poitrine haute et ferrme liberes, les mamelons durcireent. Alors elle passa à la salle de bain pour se metre à son aise.
Fière de son corps. Le mirroir offrait la vue une image désirable des fesses rondes une taille fine, ses hanches bien dessinées et des seins magnifiques. Elle cherchait une jouissance profonde pure et sauvage. Dans ce moment elle parle au portable

- Tu penses le trouver comment cet étalon?
- Il y a plein de possibilites pour une Femme decidée à tromper son mari. Je peux aller à un cine pornô, me faire draguer.
- Continue... Ça commence à me plaire. Sucer plusieurs bites.
- Si son désir l´exige je ne peu recuser.
- Tu dois aller sains culote.
- Tu es fou.
- Pourquoi pas?
- Je vais laisser le portable allumé et tu vas assistir à tout.
- Plus tu parles, plus tu m´excite. Je vais bander comme jamais.

Assise dans un confortable fauteuil en cuir tourquoise. Jambes croisés. Marisa observait un negro énorme et lui sourit. Elle lui fait un signe rester à son côté. Le film bientôt va commencer.

- Je suis une Femme mariée et mon mari est un cocu voyeur pédé. Il exige que le portable registre tout.
- Pas de problema.
- Amour! Il va montrer sa enorme bite et je suis très excitée
- Continue,,, Dit le mari voyeur.
- Elle est grosse et grande. Je vais suçer maintenant.
- Je vais m´assiser sur la glande. Dieu, Pas entre.
- Mouvement les hanches, dit le noir.
-Humm, a entré la moitié , mexe lentement.
- Je vais pénétrer jusqu´aux couilles.
- Tu va me tuer de plaisir.

Alors il jouir dans la chatte et ellle jouit aussi. Tire lentement pour mon mari registrer a taille que presque lui tue. Gilles entend tout se masturbant.
- Chérie fantastique. Tu aime grosses bites, elle est belle. Tu es une vraie diablesse.

Elle prend sa voiture pas question de faire ça, dans la ville où on porrrait lui reconnaitre, La femme qui avait si facilement draguée dans un bar populaire, ne semblait pourtant pas cacher tant de mystère. Elle était dans un motel. Oui elle était, perverse la chatte pleinne de sperme d´un autre. Mariza a vu que on était comme elle totalement pour la libertinagem. Le feu est rouge elle en profite pour par fair elle pose son rouge à lévres. Elle aime l´image que reenvoie le retroviseur. Esprit feminin quis aura jamais ce qui se cache dans ses profondeur. Mais maintenant elle était dans motel. Le ventre luisant commença à onduler en petits cercles langoureux permettant au clitoris de bien s´exciter au contac de cette gerbe scintillante. Les seins s´agitaient comme carresses par un amant invisíble. La femme souleva un peu plus son bassin pour que l´eau fasse vibrer ses lèvres intimes commede ailes de papillon. Puis elle eut un yeux les plus fesses qu´il eût jamais vues. Il tira la langue sans même s´en apercevoir, souhaitait se substituer au liquide chaud que s´y faufilait. Prêtant sa voix à son subconsciente.
Mariza se balançait d´avant en arrière, se perdant dans l`enivrante sensation du jet qui forçait sa paroi sombre en eclaboussant ses fesses et rejaiilissait aux creux de ses seins. Soudain elle pivota de nouveau se cramponna au cercle arpente et, les yeux fermés et la bouche crispée, approcha brusquement son vagin de ce pénis liquide que la pénétra avec force. Son corps s´arqua, tressalta et presque tout de suíte, un long crie de jouissance jaillit et se perdit dans les decibéis. Les genoux de l´otage se derobèrrent et son sexe congestionné heurta la vitre.

- Quel homme, pensa elle.

Cettte bizarre aventure et la don inatrice pouvait suivre sur son front le parcours orrageux de ses pensées. En resume.... Qui merde!

Fin
Ivan Riibeiro Lagos
Ivanribeirolagos8@gmail.com






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