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Maîtresse Phallique,

Ecrit par sandratvtg
Parue le 17 mars 2009
Il y a 1 commentaire pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 10303 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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Maîtresse phallique,

Je suis avec Sandra qui aime prendre l’initiative lors de nos jeux érotiques.
Elle s’approche de moi en souriant :
- Aujourd’hui, c’est toi qui fais la fille me dit-t-elle d’un ton décidé en s’adressant à moi au féminin.
- Déshabille toi, rajoute-t-elle en choisissant avec soin dans sa garde robe la lingerie qu’elle me destine.
- Essaye ces ravissantes petites choses ma chérie, me susurre t-elle à l’oreille en me tendant un ensemble de dessous vaporeux.
Elle m’harnache d’une guêpière ornée de quatre paires de jarretelles.
Puis, elle place de somptueuses prothèses en silicone dans mes bonnets 105c.
Ma taille élancée me permet de supporter aisément cette poitrine de rêve qui me transforme physiquement et mentalement en femme.
Elle m’aide à enfiler une paire de bas à coutures qu’elle accroche à mes jarretelles.
Puis, elle remonte sensuellement sur mes cuisses deux jarretières affriolantes en me provoquant une superbe érection.
Satisfaite de mon apparence, Sandra me contemple un instant et ne résiste pas à l’envie de m’empoigner le sexe.
- Ton gros clito m’impressionne ma belle, je meurs d’envie de le faire couler, me dit-t-elle en me pressant tendrement les bourses.
Me voyant succomber à ses caresses, elle en profite pour glisser sur mes hanches un adorable slip ouvert qui met ma queue en valeur en dégageant l’accès à ma grotte.
Une longue robe de nuit fendue jusqu’à la taille et des escarpins achèvent ma métamorphose.
- Je vais maintenant t’assouplir l’oeillet, me dit-t-elle.
Sans me laisser le temps de réagir, elle soulève mon déshabillé en poussant un plug dans mes fesses.
- Ce n’est qu’un début, rajoute-t-elle d’un ton moqueur.
Assise devant le miroir de sa coiffeuse, je retrousse ma robe de nuit pour libérer ma queue.
Puis, je contracte mes fesses sur le plug en frottant mes cuisses l’une contre l’autre pour faire monter le désir dans mes reins.
Pendant ce temps, Sandra pose son regard brûlant sur mon sexe en érection et me maquille les yeux avec du mascara et du fard à paupières.
Elle souligne mes lèvres d’un rouge intense et termine la séance en me coiffant d’une perruque blonde bouclée très glamour.
Perchée sur mes talons aiguilles, je fais quelques pas devant le miroir qui me renvoie l’image d’une fille attirante portant tous les symboles de la féminité
J’admire ma taille élancée, sanglée dans cette ravissante guêpière et c’est avec une émotion contenue que j’ajuste mes jarretelles.
Mes yeux s’attardent sur le galbe parfait de mes jambes mis en valeur par mes escarpins et je caresse avec émoi le nylon de mes bas.
- C’est magnifique Sandra, mais me trouves-tu à ton goût ?
- Tu me fais craquer ma belle et j’ai hâte de commencer.
Impatiente, elle se met à genoux devant moi et plonge sa tête dans mes dessous en jouant avec le plug qu’elle m’a planté dans l’oeillet.
Elle le mordille du bout des lèvres en l’activant dans mes fesses.
Un moment plus tard, me voyant bien excitée, elle le retire et m’entraîne sans résistance dans sa chambre.
Avec un regard torride, elle me culbute sur le lit et retrousse mon déshabillé sur mes hanches en contemplant ma queue nichée dans les dentelles de mon slip ouvert.
Puis, elle la masturbe lentement jusqu’à ce qu’elle soit gonflée de désir.
- Ne bouge pas, je reviens dans un instant, me dit-t-elle.
Je la vois réapparaître tenant à la main un curieux gode ceinture hérissé d’un triple sexe.
- Nous allons prendre du plaisir entre femmes, m’assure-t-elle en brandissant ce jouet étonnant devant mes yeux.
Elle retire sa fine culotte en dentelle et retrousse sa jupe en me dévoilant sa croupe.
Puis, elle plonge le premier gode lubrifié dans sa chatte en étouffant un gémissement de plaisir.
Prenant son temps, elle place le second contre sa rosette et l’enfonce lentement dans ses reins en me fixant d’un regard trouble.
Elle attache ensuite solidement les harnais à ses hanches.
Provocante, les seins dressés dans un corset rose et noir et la taille serrée dans sa minijupe de cuir ultra courte, elle me murmure à l’oreille :
- Je te réserve le plus gros ma chérie.
Je regarde fascinée le gode impressionnant qui retrousse sa jupe.
Il se balance lourdement entre ses cuisses en battant la mesure contre ses cuissardes.
En riant, elle me dit :
- Regarde comme il est long, il m’arrive au genou, il doit bien faire trente centimètres !!!
- Tu n’as jamais pris un tel calibre dans les fesses, s’exclame-t-elle.
Me défiant du regard, cambrée sur ses talons aiguilles qui mettent sa croupe en valeur, elle caresse lentement le gode en me donnant des frissons.
Mon cœur bat la chamade lorsque cette envoûtante femme phallique s’approche de moi.
Mimant un coït imaginaire, elle bascule son bassin d’avant en arrière en exhibant sous tous les angles le pieu qu’elle me destine.
- Regarde il est plus vrai que nature me dit-t-elle en pressant les bourses du gode.
Je vois avec surprise un jet puissant sortir du gland et s’écraser sur ma guêpière.
- Allonge toi sur le côté que je te lubrifie l’anneau ma belle.
Elle se place derrière moi et écarte mes jambes avec son genou pour y glisser l’énorme dard.
Tétanisée, je regarde ce sexe coulisser entre mes cuisses pendant que mes mains explorent les grosses veines saillantes courant sur sa hampe.
Sandra se concentre sur le pourtour plissé de mon anus en contemplant les renflements de mon anneau qui lui révèlent mes pratiques sodomiques.
- Eh bien ma petite cochonne, je vois que tu ne manques pas d’expérience, me susurre-t-elle d’un air complice.
Puis, elle me titille l’œillet avec sa langue et la plonge dans mon fourreau en me donnant un bonheur sans égal.
- Maintenant, mets toi à genoux sur le lit, me dit-t-elle.
Pointant le gode à l’entrée de ma grotte, elle exerce de petites pressions successives.
Je sais qu’elle va l’enfoncer à fond car elle me prend en levrette qui est la position la mieux adaptée aux pénétrations profondes.
C’est donc avec une certaine fébrilité que j’attends son assaut.
S’aidant de ses mains accrochées à ma taille, elle tente sans succès de forcer mon passage.
Déçue par ses échecs successifs, elle retire le gode de son attache pour le lubrifier abondamment.
- Tu ne perds rien pour attendre ma belle, me dit-t-elle avec dépit.
J’entends un bruit sec qui me fait frissonner lorsqu’elle l’emboîte à nouveau sur son socle.
- Cette fois-ci, je vais t’enfiler sans problème, me promet-t-elle.
Elle écarte la fente de mon slip avec le gode en l’appuyant contre ma rosette.
- Maintenant, cambres toi et pousses fort pour m’aider car il est vraiment très gros.
Son assaut est tellement puissant qu’elle me fait vaciller sur mes genoux lorsqu’elle force mon passage.
Dilatée à l’extrême, ma rondelle cède brutalement et je crie de douleur quand mes chairs s’écartent sous la pression du pieu qui m’ouvre en deux.
Sandra me relève une jambe pour mieux s’enfoncer en moi et me masturbe avec une telle virtuosité que je finis de m’empaler moi même sur ce sexe qui me défonce.
Elle m’encourage tout en me donnant de violents coups de reins.
- C’est bien ma chérie, il est presque entièrement rentré dans tes fesses, me chuchote- t-elle à l’oreille.
Soudain, le gode bute contre un obstacle et je vois le visage de Sandra s’assombrir.
- Si prés du but, c’est vraiment dommage, me dit-t-elle déçue.
- Laisse moi faire, lui dis-je dans un souffle.
J’ondule et roule du bassin en guidant le gode de la main pour qu’il franchisse le repli sinueux de ma muqueuse.
Ravie du résultat, Sandra s’active de plus belle en sentant les godes lui pilonner l’intérieur.
Au bout d’un moment, me voyant proche de l’orgasme, elle me dit en souriant :
- Veux-tu faire une pause ?
- Sodome and go more, lui dis-je en écartant les cuisses.
Répondant à mon appel, elle m’enfonce sa queue jusqu’au ras des fesses dans un ultime et vigoureux coup de rein.
Puis, elle se trémousse en pressant adroitement ma prostate qui libère quelques gouttes de sperme à la surface de mon gland.
Je sens soudain un liquide tiède m’inonder le ventre.
- Je lubrifie ton petit trou pour pouvoir continuer à te défoncer mon ange, me dit-t-elle excitée.
Elle me viole maintenant sans aucune retenue en ne pensant plus qu’à son plaisir.
Au bout d’un moment, elle sort de ma croupe en contemplant le temps infini que met mon oeillet à se refermer.
Puis, décidée à m’achever, elle m’embroche jusqu’à la garde en se concentrant sur ma glande intime qu’elle stimule de petites pressions successives.
Ondulant du bassin, elle me fouille lentement le ventre en suivant sur mon visage le plaisir intense qu’elle me donne.
Enfin, elle gratte mon frein avec son ongle jusqu’à ce que ma semence gicle sur ses doigts.
A cet instant, nous sommes tellement soudées l’une à l’autre que je ne vois plus le sexe qui m’empale.
Elle finit par détacher les sangles de son gode ceinture et me dit avec impatience.
- Maintenant, à ton tour de me baiser.
Je l’allonge sur le dos et lui murmure à l’oreille ce que je compte lui faire.
Aussitôt, elle s’abandonne sans réserve et ses yeux brillent de désir en découvrant le plug vibrant que je tiens à la main.
Elle laisse échapper un cri quand je vrille dans ses fesses un calibre de sept centimètres de diamètre qui lui dilate fortement l’anneau.
Son vagin est fortement comprimé par les dimensions du plug.
Etant plus étroit, il devient plus sensible à la pénétration.
Excitée, elle écarte les jambes en saisissant ses talons aiguilles à deux mains.
- Viens vite, je n’en peux plus d’attendre.
En la voyant ainsi offerte, je ne résiste pas à son appel et je m’enfonce en elle d’un coup puissant.
- Tu as eu une idée géniale en me mettant ce plug car je te sens mieux, me dit-t-elle.
Survoltée, elle m’emprisonne la taille en nouant ses cuisses dans mon dos pendant que sa chatte humide et avide de sexe me dévore la queue avec une rare voracité.
Je bande comme un fou au contact des vibrations du plug planté dans ses fesses et je me retire à temps pour lui faire découvrir d’autres jeux.
Avec la paume de main, je pousse un gode dans son vagin en lui enfonçant en même temps mon majeur dans les fesses.
De l’autre, j’effleure son clito avec un vibro.
Son orgasme monte aussi vite que mon sexe se durcit.
Je prends du plaisir à frotter mes jambes gainées de nylon contre les siennes en entendant le crissement excitant de nos bas quand je la bascule sur le côté pour l’enculer.
- J’adore être dans ton petit trou et sentir ton anneau me presser la queue, lui dis-je.
Emboîtées l’une dans l’autre, je pilonne son vagin avec le gode tout en faisant vibrer son clito.
Très vite, elle jouit et crie sans retenue son plaisir en m’inondant le ventre de cyprine.
- Quel pied tu m’as fait prendre ! s’exclame-t-elle, en se mettant sur le dos.
Je m’allonge sur elle pour continuer à m’activer dans ses reins lorsque je sens ses cuissardes me serrer la taille.
- A mon tour de te vider les couilles, me chuchote-t-elle à l’oreille en croisant ses jambes dans mon dos pour m’immobiliser.
Puis, empoignant mes bourses d’une main, elle me plante un gode dans les fesses avec l’autre.
Tétanisée par la surprise, j’essaye désespérément d’échapper à ce pieu qu’elle manie avec une efficacité diabolique.
Implacable, elle ne me laisse aucune chance et le pousse à fond dans mon ventre.
Au bord de l’orgasme, je ne résiste plus et plonge ma tête dans ses seins.
Satisfaite de me voir en son pouvoir, elle me fait découvrir une large palette de sa science érotique jusqu’à ce que je me vide dans son ventre.
Elle se relève un instant plus tard et éponge avec une certaine incrédulité la coulée de sperme qui s’échappe de ses fesses.
- Et bien ma chérie, tu avais des réserves !
- Maintenant repose toi quelques minutes et regarde moi.
Elle s’assoit contre le mur et écarte lentement ses cuisses en me fixant d’un regard trouble.
Puis, elle s’enfonce un gode dans la chatte en s’excitant le clito avec un vibro.
Au bout d’un moment, submergée par le plaisir, son regard se voile.
Elle est vraiment très belle…
Je contemple sans me lasser ses gestes gracieux, ses seins dressés dans son corset, sa jupe retroussée sur son ventre et ses bas à couture sortant de ses cuissardes.
Impudique, elle jouit dans une succession de spasmes en gémissant de plaisir.
Toujours brûlante de désir, elle se met à genoux sur le lit, la croupe surélevée et la tête dans les draps.
- Viens vite, j’ai le cul en feu me dit-t-elle d’une voix chaude.
Très excitée, je m’agenouille derrière elle et écarte ses fesses à deux mains en appuyant ma queue contre son oeillet.
- Maintenant, ne bouge plus et laisse moi faire, me dit-t-elle.
Elle s’embroche elle même sur mon sexe en entamant de lents va-et-vient.
Puis, elle accélère le rythme en entendant claquer ses fesses contre mon ventre.
Elle prend plaisir à sortir ma queue de ses reins pour l’engouffrer à nouveau dans son fourreau brûlant.
Voyant que j’ai de plus en plus de mal à me contrôler, elle me dit en souriant :
- Jouis maintenant mon ange.
Elle se colle contre mon ventre et s’active sur ma queue en me malaxant les bourses.
Ne pouvant plus me retenir, j’explose en elle en donnant un dernier coup de rein qui nous fait tomber à plat ventre sur le lit.
Entraînée par le poids de mon corps, je la transperce jusqu’à la garde en sentant ses muscles intimes se contracter sur ma queue.
Reconnaissante, elle se lève et sort d’un tiroir un plug gonflable vibrant d’une redoutable efficacité.
Elle l’agite triomphalement devant moi avec une lueur d’excitation dans les yeux.
- A mon tour de m’occuper de toi.
- Met toi sur le dos ma belle.
D’un geste précis, elle le plonge dans mes reins en le gonflant rapidement.
La forte pression écrase ma glande d’amour qui se défend en faisant perler quelques gouttes de sève sur mon gland.
- Ne jouis pas maintenant, me dit-t-elle en me serrant fortement la queue.
Lorsqu’elle me dilate à nouveau, je ressens des sensations de plaisir et de douleur mêlés.
Sandra prolonge délibérément ce savant équilibre en me masturbant d’une main experte.
Par moment, elle reste immobile entre mes cuisses en regardant mon œillet se contracter de plaisir.
Je finis par m’habituer à ces dilatations successives et lui réclame des pressions de plus en plus fortes pendant qu’elle me suce divinement la queue.
Soudain, elle s’arrête et me dit :
- J’allais oublier de te faire découvrir mon dernier achat.
Elle me retire le plug et sort de dessous les draps un gode spécial.
Pendant qu’elle le lubrifie avec un regard lourd, elle me plante sournoisement son orteil dans l’anus pour me faire patienter.
Puis, impassible, elle me montre le gourdin recouvert de sculptures saillantes qu’elle me destine.
- Il est beaucoup trop gros, lui dis-je avec inquiétude.
- Non ma chérie, il va rentrer facilement car ton œillet est déjà largement ouvert, me répond-t-elle avec assurance.
Elle empoigne le gode avec un rire de gorge et un regard équivoque qui augure bien de ce qu’elle me réserve.
Je croise son regard brûlant et bande déjà comme un malade en sachant que mon anneau tiendra bientôt le rôle principal dans son scénario.
Déterminée, elle écarte mes cuisses en contemplant mon oeillet qui s’ouvre comme une fleur.
- J’adore te violer, me dit-t-elle avec excitation.
Je tremble d’appréhension et de désir quand elle pose mes jambes gainées de nylon sur ses épaules.
- Tu vas découvrir de nouvelles sensations, rajoute-t-elle en me souriant.
Elle m’ouvre les fesses à deux mains en appuyant le gode contre ma rosette.
Satisfaite de me voir en son pouvoir, elle m’enfonce le pal en le tournant vicieusement de droite à gauche pour me faire sentir son relief tourmenté.
Elle m’embroche lentement en voyant passer successivement dans mon regard la surprise, la crainte, le plaisir.
- Il est maintenant planté jusqu’au ras de tes fesses ma chérie et ton clito va bientôt exploser si je continue à ce rythme.
- Tu aimes les gros calibres n’est ce pas ? Me souffle-t-elle à l’oreille.
Pour toute réponse, je me cambre en écartant les cuisses au maximum.
Elle me défonce alors sous tous les angles en donnant libre cours à sa perversité.
Attentive, elle observe mes moindres tressaillements pour se concentrer sur les caresses qui me donnent le plus de plaisir.
Puis, elle m’accorde un instant de répit en se retirant de ma croupe.
Me sentant libre, je me tourne sur le ventre pour remettre de l’ordre dans mes dessous.
- Tu as un cul magnifique, s’exclame Sandra en y plongeant sa langue.
Mon plaisir est si intense que je ne la sens pas écarter sournoisement la fente de mon slip.
Prise par surprise et totalement relâchée, je n’ai pas le temps de réagir quand elle m’enfonce à deux mains un énorme gode dans les reins.
Je gémis lorsque le pieu termine sa course au plus profond de mes entrailles.
Clouée par ce dard qui me coupe la respiration, je n’ose plus bouger et Sandra en profite pour assurer sa prise.
Insatiable, elle me pilonne avec insistance.
Je sens monter mon désir lorsqu’elle explore lentement et profondément les moindres replis de mon fourreau.
Puis, elle me retourne sur le dos et s’allonge sur moi tête bêche.
La tête entre ses jambes, je suis sans défense, entravée par le poids de son corps pendant qu’elle m’écarte les cuisses pour mieux m’embrocher.
Je m’agite frénétiquement, le corps tendu en arc de cercle dans l’attente de ma délivrance.
Surprise par ma réaction qui la déséquilibre, elle referme ses cuisses sur mon visage pour garder le contrôle.
A moitié étouffée, je me calme très vite.
- Laisse moi t’achever ma belle, me dit-t-elle en souriant.
Avant de poursuivre, elle regarde dans quel état elle m’a mise.
La queue tendue, humide, tressautant de désir, elle sait qu’elle ne peut plus la toucher sans la faire exploser.
Des gouttes de sève perlent à la surface de mon gland lui montrant mon état d’excitation.
Sandra continue à me goder et me donne un plaisir qui m’envahit d’une manière forte et durable.
Elle fait tout pour le prolonger en bougeant imperceptiblement le gode dans ma grotte pour maintenir mon excitation sans dépasser le point de non retour.
Lorsqu’elle se redresse en me lançant un regard brûlant, je lis dans ses yeux qu’elle va me faire jouir.
Avec voracité, elle avale ma queue gonflée de désir et pousse à fond le pal dans mon ventre en pilonnant mon point G.
Malgré mes soubresauts, elle me tient fermement et me défonce sans fléchir ni s’arrêter.
J’essaye de retarder mon orgasme, mais je capitule devant son savoir faire et son obstination.
Mes râles de plaisir résonnent dans la chambre lorsque mon sperme se déverse à gros bouillons dans sa gorge.
Elle regarde avec surprise le gode tressauter dans sa main et comprend qu’il lui transmet mes fortes contractions anales liées au fabuleux orgasme qu’elle me donne.
Me voyant toute étourdie de plaisir, elle me laisse récupérer.
Un moment plus tard, brûlante de désir, elle m’invite à poursuivre nos jeux.
Elle s’enfonce un dong dans la chatte et s’allonge entre mes jambes pour m’embrocher avec l’autre extrémité.
- J’en ai pas fini avec toi ma chérie.
Face à moi, ses yeux rivés aux miens, elle me sodomise lentement en s’aidant de sa main.
Je saisis à mon tour le gode en le faisant aller et venir dans nos fourreaux.
Elle ne résiste pas longtemps à mon savoir faire et c’est elle qui jouit la première.
Gardant le dong dans sa grotte, elle me défonce à grands coups de reins en accomplissant l’exploit de me sucer la queue en même temps.
Sodomisée et pompée à la fois, je sens très vite le désir monter en moi.
Au moment crucial, elle se retire et plonge avec assurance son majeur dans ma grotte.
Elle le recourbe vers le haut afin de masser ma prostate avec la pulpe de son doigt.
Elle la presse avec insistance en me fixant d’un regard trouble.
Quand elle me voit les yeux mi clos et en extase, elle titille mon frein avec sa langue en faisant perler mes premières gouttes de sève à la surface de mon gland.
- Tu vas jouir du cul ma belle, m’assure-t-elle en plongeant maintenant ses quatre doigts dans mes fesses.
Elle les fait aller et venir rapidement dans mon fourreau en continuant à exciter mon point G.
Soudain, une épaisse coulée de sperme sort lentement de ma verge et se prolonge d’un mince filet de sève qui s’échappe sans fin de mon gland.
Dans le même temps, Sandra me caresse les bourses pour prolonger mon plaisir.
Un moment après, lorsque je reprends mes esprits, elle m’implore du regard pour que je m’occupe d’elle à mon tour.
J’enfonce alors mon pouce dans sa chatte et mon index dans ses fesses.
Puis, je frotte doucement dans un mouvement circulaire la fine membrane interne qui sépare ses muqueuses.
Je vois très vite qu’elle apprécie mon massage et je la fais jouir rapidement en appliquant le vibromasseur sur son clito.

Envoyez-moi vos suggestions à : sandratvtg@yahoo.fr



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