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La glissade 3
La glissade
La glissade 2






Mère et fille lubriques (2)

Ecrit par enipal
Parue le 04 avril 2020
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Cette histoire érotique a été lue 4518 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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- Debout, Pierre. Il fait trop beau pour rester au lit aussi tard...
Je me réveille en sursaut, et découvre ma tante qui, penchée au-dessus de moi dans la pénombre de la chambre aux volets clos, me regarde en souriant. Je suis nu et la queue raide, comme tous les matins au réveil...
- Déjà prêt à l'ouvrage ? Décidément, tu n'es jamais repu !
Et elle ajoute :
- Tu tiens de ta mère, une obsédée, comme moi...
Elle se penche sur moi, pose sa bouche sur mon gland, je me cabre, mais elle se retire...
- Allez, fainéant, il est presque onze heures... J’ai encore plein de choses à faire en ville aujourd’hui... Mais Colette est déjà levée...
Et tout en caressant ma tige, elle ajoute :
- Elle est très impatiente de revoir son cousin préféré… Tes premières giclées seront pour elle…
Je me rends sur le balcon. En bas, sur la terrasse, Colette, vêtue en tout et pout tout d'une petite culotte et d'une chemisette, attablée devant un jus d'orange, me fait de grands signes…
Lorsque j'arrive sur la terrasse, Colette me saute au cou, on s'embrasse, on se serre. Collée contre moi, elle ne peut pas ne pas sentir l'érection qui gonfle mon slip. Elle glisse la main. À travers l‘étoffe, elle parcourt du doigt ma tige dressée. Elle lève vers moi un regard faussement innocent :
- Comme elle est grosse…
Ma queue palpite, sa main se pose sur la bosse qui déforme mon mini slip. Elle referme ses doigt autour du membre, mais ne fait aucun mouvement. J‘ai envie d‘être branlé, je commence à bouger mon bassin mais Colette retire sa main. Elle a les yeux brillants en me disant :
- Tu t'es déjà branlé ce matin ? Non ? J‘aimerai bien voir ta queue juter…
Elle se met assise bien droite, ses deux pieds posés sur sa chaise, les cuisses largement écartées. Sa petite culotte s‘insinue étroitement dans sa fente et dans la raie des fesses, des petits poils s‘échappent sur les côtés.
- Tu aimes ? Tu as envie de gicler sur ma petite culotte ? Tu l‘as déjà fait hier, maman me l‘a raconté… Et puis tu joues aussi avec les siennes, elle me l'a raconté aussi… Et puis tu l'as baisée toute la nuit, je vous ai entendus...
Je suis comme hypnotisé par cette chatte calquée à travers le fin tissu de sa
culotte. Il me semble la voir gonfler, devenir chaude, mouillée.
La petite perverse a les joues rouges, les yeux brillants. Ma queue suinte, et une tache humide s‘élargit sur le devant de mon slip. J‘arrache presque ma pine de cet étui trop serré, me positionne entre ses cuisses et commence à me branler.
Je me masturbe les yeux fixés sur son entrejambes, sur sa culotte, qui, elle aussi commence à s‘imprégner d‘une tache humide. Colette respire vite, elle se cambre sur sa chaise, s‘agrippe des deux mains aux accoudoirs :
- C‘est bon ce que tu fais… Viens vite ! Gicles sur moi !
Je ne me retiens plus, je saisis ma verge à pleines mains et la colle contre son entrejambe. Mon sperme jaillit à grandes giclées qui viennent éclabousser sa culotte, s‘étalent sur ses cuisses, son ventre. Elle en a partout.
Sans me quitter des yeux elle plaque sa main contre sa chatte et commence à se frotter à travers sa culotte trempée, l‘enfonce dans sa fente et jouit avec des petits couinements de plaisir. Elle pousse un long soupir et me dit avec un sourire coquin :
- Je vais garder ma culotte toute la journée… Comme ça tu seras encore contre moi…
- Bravo les enfants ! Vous commencez bien la journée !
Sidéré, je vois tante Cécile à la porte de la terrasse… Je la croyais partie en ville ! Elle arbore un grand sourire en ajoutant :
- Pierre, il est temps que tu t‘occupes de cette petite cochonne. Allez, venez tous les deux !
Nous sommes à peine entrés dans le patio qu'elle prend Colette par le bras, la fait s’asseoir sur ses genoux, et dit avec un faux air indigné :
- Cette jeune fille sent le sperme ! 
La main de tante Cécile caresse sa cuisse, remonte, elle déboutonne sa chemisette. Elle se laisse faire. Sa poitrine palpite. Je les regarde, et tante Cécile montre à Colette la bosse qui déforme mon slip. Elle lui chuchote à l’oreille :
- Regarde comme il bande de nouveau… Il te veux, ton cousin cochon...
Je fais glisser mon slip, lui fais voir ma queue, dressée contre mon ventre. Elle prend la main de Colette, l’appuie contre sa culotte. Elle-même glisse sa main dans la culotte de sa fille, lui écarte les cuisses.
- Petite vicieuse… Tu as joui dans ta culotte...
Je les regarde, je commence à me branler. Tante Cécile pose ses doigts sur les lèvres de Colette et lui dit de lécher. Et puis elle retourne dans sa culotte. Elle demande :
- Ça te plaît, ma chérie ?
Elle fait glisser ses doigts sur la fente, et jusque vers son derrière, entre les fesses.
- Et comme ça ? 
Elle fait entrer et sortir son doigt gluant de mouille.
- Ça te fait mouiller... Tu aimes ? Tu aimerais que Pierre te le fasse ? 
Colette respire fort, écarte plus encore les jambes. Tante Cécile lui enfonce deux doigts dans la chatte. Colette gémit :
- Encore…
Je m’approche, m’agenouille. Je caresse ses jambes écartées, et glisse ma tête entre ses cuisses. À travers sa culotte, je passe ma langue sur sa fente. Elle ferme les yeux. Je lui retire sa culotte, Tante Cécile prend la main de Colette et la conduit contre sa culotte mouillée. Je lèche son sillon, ses cuisses, son ventre. Son bouton darde, je le suce comme un bonbon. Tante Cécile lui murmure :
- Tu sens comme il suce bien, Pierre ? 
Colette gémit encore. Elle est bien préparée, dit sa mère. Elle sort ses doigts de Colette et caresse ma bite avec sa mouille. Puis elle pose ses doigts de chaque côté de sa fente et l’écarte. Elle me regarde.
Je colle mon gland à l’entrée et fais glisser dans sa mouille ma bite tendue. Je prends ses cuisses avec mes mains, je me retire et aussitôt reviens. Tante Cécile chatouille son bouton entre ses doigts. Je me retire, m’agrippe à ses cuisses et reviens la prendre, force jusqu’à ce qu‘elle me sente la pénétrer.
- Oh ! 
Je suis dans son con. Et je glisse encore dehors et dedans. Et elle se tord, se cambre, gémit sous moi. Tante Cécile l’écarte de ses mains pour que je la prenne jusqu’au bout. Elle la caresse en même temps. Puis je me retire complètement, la retourne, la met debout face à sa mère assise sur la chaise. Elle se caresse, l’attire à elle.
Je lui écarte les jambes, la penche en avant, prend son cul, la soulève presque pour lui rentrer à nouveau ma queue ! Mes mains accrochées à ses hanches la font aller et venir sur ma pine, et elle a envie que je vienne plus profond, plus vite, encore. Elle le dit tout haut.
Tante Cécile ouvre ses cuisses elle aussi. Elle écarte sa culotte sur le côté, et Colette la lape. Elle écarte ses grandes lèvres, elle soupire, et moi je la baise, je leur dis que je vais juter.
Tante Cécile dit :
- Attends, je veux qu’elle jouisse entre nous... 
Tous les trois, nous glissons à terre. Tante Cécile enlève sa culotte, elle allonge Colette sur elle. Ses jambes glissent de chaque côté de ses hanches, et elle sent à présent sa chatte mouillée contre la sienne.
Et ma queue revient en elle. Tante Cécile écarte bien les fesses de Colette pour que ma queue vienne à nouveau tout au fond. Sa mère lui murmure en frottant son con contre son bouton :
- Viens, ma chérie. Laisse-toi venir. Vas-y, crie, explose !
Je vais de plus en plus vite, et Colette s’excite comme une folle, je la bourre comme un fou, la mère gifle ses fesses, et sa fille crie et jouit. Tante Cécile la tient dans ses bras, tandis que je gicle sur ses fesses.
Et nous restons tous les trois par terre. Essoufflés comme les bêtes. Tante Cécile passe ses doigts dans le liquide épais dont j‘ai arrosé Colette. Elle lèche en me regardant, puis lui dit de lécher aussi.
- Maintenant, je veux qu’on s’occupe de moi ! Il faut que tu regardes bien et que tu apprennes encore, ma chérie...
Elle fait rouler Colette sur le côté et descend jusqu’à mon pieu tendu. Elle passe sa langue dessus. Elle le prend dans sa bouche et le suce jusqu’à ce qu’il redevienne dur et puissant. Elle demande à Colette de se rapprocher, de le faire aussi. Elle ouvre la bouche et sort sa langue.
Je regarde la langue de Colette se poser sur ma queue. Elle lèche doucement, en même temps que sa mère, tout le long, et puis elle poursuit seule. Elle suce le gland et le laisse glisser entre ses lèvres. Très vite, il remplit sa bouche. Je lui caresse les cheveux, puis lui dit de ne pas bouger et je vais et viens dans sa bouche comme tout à l’heure dans son con.
Je me retire de la bouche de la fille, et laisse la mère tourner sa langue sur mon gland. Elle salive et lèche comme si elle mangeait une glace. Puis elle engouffre ma queue tout entière. Elle se jette à califourchon sur moi, s’assoit sur ma bite. Je presse ses seins et dis à Colette de venir les embrasser.
Elle s’accroupit au-dessus de moi et embrasse les seins de sa mère qui rebondissent sous les coups qu’elle se donne avec ma pine. Elle suce ses tétons durs, tante Cécile s’accroche à sa tête, elle dit des obscénités à son oreille en s‘empalant sur ma verge.
Et moi, pervers, je n’ai plus qu’à sortir ma langue pour atteindre la fente de ma cousine. Je lui lèche la fente, le bouton, glisse entre ses fesses. Elle sent ma langue s’enfoncer, pendant qu‘elle tète sa mère, qui gémit :
- Tu vois comme je m’empale sur sa queue... Regarde comme il nous baise, ma chérie, tu vois, c’est tellement bon ! Il lèche ta petite fente ? Ça te fait du bien ? Tu voudrais qu’il te fasse jouir avec la langue aussi ?
- Oui...
- Il va te faire crier, ma chérie... avec sa langue, comme ça sur ta petite chatte, il va te lécher jusqu’à plus soif... Dis-lui.
- Oui...
- Non, dis-lui, ma chérie... dis-lui ce que tu veux qu’il fasse.
- Lèche-moi. Encore... Ecartes mes fesses, oui... Comme ça ! Oh, c‘est bon !
- Vas-y ! Lèche la petite cochonne et baise-moi !
Je besogne tante Cécile, je lui tiens les fesses et lui donne de grands coups de queue. Elle respire de plus en plus vite jusqu’à s’arc-bouter et jouir comme une chienne qui couine sur moi, et moi, je gicle et je râle longtemps sous le cul de Colette.
Nous reprenons nos esprits. Tante Cécile et moi venons tous deux lécher Colette partout. Nos langues l’écartent. Elle se tord, soulève son derrière, l’envie la reprend. Mais tante Cécile décrète :
- Ça suffit, va te laver, petite cochonne ! 
Elle se lève, se rhabille, et, avec un clin d‘oeil, lance qu’il ne faut pas abuser des bonnes choses…

Mais nous allons recommencer.


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