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Métamorphose ambulante
Préface
Cette soirée avait mis le feu à sa libido. Une aventure palpitant, extravagante et romantique. Très vite, il est devenu três personnel. Eux, quand on a envie de sortir pour s’éclater, c’est vraiment pour s’éclater. Donc sans les mecs. On part en boîte. Ses corps se déchaînent, la musique les excite, on transpire par tous les pores. C’est vraiment la fête. Souvent, en cours de soirée, on a comme une envie de câlins. De vrais câlins, doux, chauds, collants. Sa Femme Lucienne (1,75 m, 58 kilos, blonde cendrée, cheveux mi-longs, pour ceux et celles qui aiment les détails… Pour sa part, elle bénéficie d’une vue imprenable sur le haut de ses bas et parfois un peu plus poussée sur son joli sexe épilé. Il lui propose de jouer de cette situation. Sa femme raille gentiment:
-?Et alors, c’est pas toi qui rêves de me voir avec un autre homme?
- ?Vous vous êtes tous donné le mot ce soir, ou quoi?
- ?Nous sommes dans un endroit libertin, il me semble…
- ?Oui, je sais… Et donc?
- liberté totale, mais aucun des conjoints ne cachera ses aventures à l’autre.
- discrétion absolue.
- hygiène irréprochable?;
- Mais surtout, aucun attachement durable.
-?Vraiment? Raconte-moi tout ma coquine, tu en meurs d’envie!?Tu veux m’emmener dans un club comme ça?
- Tu vas jouir comme jamais.
Lucienne Veiga, une jeune femme de vingt-six ans, travaille comme graphiste dans une agence de publicité. Elle est passionnée par l’art, la mode, et adore passer du temps avec ses amis. Nelson Duarte, vingt-huit ans, est entrepreneur dans le domaine de la technologie et adepte des clubs libertins. Il a toujours été très honnête avec Lucienne à propos de ses envies et de ses expériences, et elle ne voit aucun problème à ce qu’il fréquente ces clubs sans elle. Un soir, La nuit était étrangement tranquille, laissant naître en douceur ce dimanche de fin d’été. Búzios, d’ordinaire si agitée, les accordait une parenthèse de quiétude tandis que la limousine se coulait avec fluidité dans la circulation; la belle allemande ronronnait dans un doux feulement. À destination, ma femme à demi assoupie combla le voyeur : elle descendit péniblement du véhicule, et dans un mouvement aussi involontaire qu’impudique se découvrit jusqu’au nombril. Nelson se rend au Bahama´s, un club libertin à Búzios. La boîte de nuit est décidément un lieu de tous les désirs, où les limites de chacun sont constamment repoussées, où l’air est chargé de l’énergie érotique des corps en mouvement. Il est en train de vivre des moments intenses et érotiques avec plusieurs personnes, se sentant complètement libre et épanoui.
Nelson son époux l’avait offert de vivre des moments intenses : sa nudité, sa peau, ses rondeurs, ses seins lourds, sa toison en ticket de métro, puis sa bouche sur mes lèvres, sa langue sensuelle, superbe poupée entièrement soumise et dévouée à un mari pervers et manipulateur.
Tout le monde se souviendra de sa montée des marches, dans sa robe rouge fuseau, fendue haut sur la cuisse gauche, laissant entrevoir que, comme à son habitude, elle a oublié sa culotte. Après avoir foulé le tapis rouge, cible de tous les photographes, réalisateurs, comédiens, ou simple spectateur ont regagné leur place. L´endroit est bondée. C´est devant la célèbre boîte de nuit Bahama´s. Nelson avec as femme se dirigent vers le bar et commande deux verres de whisky pour se détendre. Pendant qu’il le sirote, il jette un coup d’œil autour de lui et observe les autres visiteurs. Il y a des couples, des groupes d’amis et des célibataires, tous venus pour explorer et partager des moments érotiques. Son épouse blonde merveilleuse aux longs cheveux bouclés, vêtue d’une robe rouge moulante qui épouse ses courbes généreuses. Elle est accompagnée de son mari Nelson, grand et élancé, vêtu d’un costume noir. Ils rient et se touchent de manière suggestive, laissant entrevoir une complicité évidente. trempe les lèvres dans sa Margarita, évitant au dernier moment de passer sa langue sur le sel autour du verre. Elle sourit aux yeux bleus. Les yeux bleus sourient en retour. Lucienne soupire. Elle a envie brusquement, elle ne sait pas pourquoi, de se créer un univers un peu mystérieux de femme délaissée.Puis... Une table à côté de la piste de danse se libère et on s’en empare vite pour la belle Lucienne, Les lumières dansaient sur les corps agités qui peuplaient la piste et le petit club entier vibrait au son d’un électro-jazz envoûtant.
- C’est la première fois que je viens dans cette boîte de nuit, et j’adore déjà l’ambiance. ?J’aime expérimenter, rencontrer de nouvelles personnes et partager des moments intenses.
- Je suis sûr qu´il sera três sensible à votre pouvoir de séduction.
- Je pourais facilement me laisser embarquer dans ce genre d´aventure. Il me plaît énormemente.
- Il est rivé sur vous. Cible en ligne de mire. Quelque chose me dit que ce soir je serait cocu!
- Il est beau comme un dieu.
- ?Laisse tomber, il n’a d’yeux que pour ma blonde.
-?T’es sûr?
-?Pour moi, c’est ça.
- ?Comment se fait-il que tu sois si excitée et si mouillée ?
- ?Je n’en peux plus, j’ai trop envie d’une queue. ?Et moi j’ai très envie d’une queue; ne me laissez pas dans cet état!
-?Tu es toujours aussi chaude et tu es en manque?
-?J’aime le sexe. Je suis vaginale : c’est pour ça que je prends tant de plaisir avec un homme.
Sa chevelure blonde qui ondulait, ses grands yeux bleus attiraient les hommes, et le reste ne les décevait pas non plus! Et comme elle aimait prendre du plaisir, mais aussi en donner (comme celui d’apparaître sous son plus beau jour, par exemple), inutile de dire qu´elle laissait rarement indifférente! Un vieux fantasme serait mis à exécution: nue sous la robe, au vu de tous! Le mec tente d’oublier l’érection brutale qui déforme son pantalona. Dès qu’elle a ouvert la bouche, il a compris que cette fille allait l’obséder jusqu’à ce qu’il lui arrache ses vêtements et pas seulement avec les yeux. Provocante? Probablement! Naturelle en tout cas. Tous les regards se tourneront vers moi, certains admiratifs, d’autres dubitatifs. Seul un regard excitera sa curiosité, son désir, leur plaisir à venir, peu importe les autres: il n’y avait que ça, que lui qui l’intéressait. La blonde en étais déjà fiévreuse, frémissante…La chaleur et l´excitation la boisson aidant, sa robe collait de plus en plus à sa peau en sueur, dévoilant encore mieux sa nudité sous la robe devenue entièrement transparente, des bas noirs, une paire de chaussures à talon et bien évidemment rien en dessous de cette tenue. Il est donc facile à partir de maintenant de se régaler du regard en admirant son décolleté et le haut de ses bas faisant apparaître une peau nue laissant espérer une soirée mémorable. Maquillage léger, mais faisant ressortir ses yeux bleus, rouge à lèvres accentuant un large et joli sourire. Son parfum léger, mais envoûtant se propage dans la pièce. Elle est encore et toujours parfaite. Elle croise et décroise ses jambes au rythme des gorgées de son breuvage et de son niveau d’excitation qui commence à se faire ressentir.
- Nelson, tu as vu?
- ?Quoi ma chérie?
- Il était três excité pour moi. Que… Que veux-tu dire? ?T’as quoi dans l’idée?
-?Tu ne te souviens pas??Attention c’est dangereux, vous devez aller aux toalettes, C´est dingue prudente. ?Tu as du succès, ma chérie, l’avertit amicalement le mari Nelson.
- Ça me semble une excellente idée! Venez! leur dit-elle en les invitant d’un signe de la main.
- ?Doucement… Oui, comme ça… ?Non, ne bouge plus, reste bien au fond. Et prends ma chatte et mes seins!
- ?Et maintenant, connasse, dis-nous ce que tu préfères; tu as le choix de la reine des putes: te faire baiser ou te faire enculer?
- ?Baisez-moi, connard! Traitez-moi de ce que vous voulez, je m’en fous.
Dans cette position, le voyeur ne peut que voir son sexe lisse. Il était excité et commence à se sentir à l’étroit dans son boxer, il ne se prive pas du spectacle qu’elle offre. D’un coup d’œil à droite, puis à gauche, elle s’assura que personne ne rôdait dans les couloirs. Lucienne se lève et, d’une allure contrôlée, Sa démarche est lente, celle un mannequin qui défile. Des regards se posent sur elle. Elle est vraiment belle en mode provocation. Elle se dirigea rapidement vers les toilettes réservées au personnel. Ils restent quelques minutes dans un box entrouvert. Nelson son mari peut voir Lucienne nue dans les bras de cet homme, les voir s’embrasser, voir cette main qui lui caresse le dos, descendre, lui peloter les fesses, et sentir Luciene heureuse, c’en est trop. Il lui pénétra avec sa grosse bite, sans coup férir.
Lucienne était mouillée comme jamais… Il embrasse Lucienne fougueusement. Ils sont excités. De l’autre côté du mur, la respiration est de plus en plus soutenue. Quelques souffles plus importants se font entendre puis notre inconnu balance sa semence par saccades dans le préservatif. Au même moment Rose me fixe du regard. Sa bouche est entrouverte. Ses yeux sont expressifs. Elle doit ressentir la chaleur du sperme à travers la capote et, tout en continuant ses va-et-vient, elle accentue la masturbation de son clito. Encore quelques secondes et elle ne retient plus ses gémissements. Les quelques spasmes perceptibles accompagnent sa jouissance bruyante. L’orgasme avait été aussi fulgurant que colossal ; à dire vrai, l´époux n’avait jamais vu ni Lucienne ni personne jouir aussi fort: même l’orgasme d’anthologie qu’elle avait eu avec son premier amant était surclassé de loin.
-?Merde, siffla-t-elle entre ses dents.
Une tache de sperme ornait le tissu de as robe. Elle le nettoya avec une serviette en papier passée sous l’eau, avant de refermer les trois boutons défaits. Elle arrangea aussi son maquillage et notamment son gloss qui avait été écrasé sur ses lèvres, remit en ordre ses cheveux et rattacha sa queue de cheval, avant de ressortir et de se diriger rapidement vers le salon où est son mari atablé.
-?Ton mec?
- ?Pas important…
- Donne moi votre numéro.
- Ne dite pas à personne, je suis une femme mariée.
-?C’est une bombe atomique. Je vais féliciter son mari : il peut être fier de son épouse.
-?Laisse-le tranquille, tu as déjà baisé sa femme.
-?En plus, tu l’as remplie de foutre jusqu’aux yeux. ?Tu sauras bien consoler ton cocu.
Elle plonge sa main dans son sac en cuir griffé, prend un stylo et y inscrit un numéro sur un bout de papier quand elle relève le nez et lui tend le papier du bout des doigts avec un air complice.
Lucienne est assise. Les yeux passent de ses cuisses croisées et découvertes à ses yeux d’un bleu profond. Quel regard! Ce regard doté d’un éclat lumineux et envoûtant, de ceux capables de faire passer d’une préférence sexuelle à une autre sans y avoir songé auparavant, l’hypnotise complètement. Elle a l’air de s’amuser, arbore un air de sous-entendu, comme si ce petit jeu de séduction l’excitait au plus haut point.
- Tout à fait comme prévu. Tu veux tout savoir? Vous n´êtes pas un petit peu curieux? Quel délice, c’était bon…
- Je pense que tout ça lui plaît.
- C´est une espèce de taré, le sperme coule sur mes jambes. C´est un vrai perverse et il souhait t´enculer aussi. ?Je n’ai rien fait pour l’empêcher de me baiser ; bien au contraire, j’étais prête et disponible, et je n’ai pas pu me retenir de jouir. J’ai crié de plaisir pendant qu’il me remplissait le ventre de son foutre.
-?Tu n’étais pas dans ton état normal…
- ?Cela va vous faire un choc. Que putain d´enfer. II est au bar et il ne la quitte pas des yeux.
- Il veut être mon amant.
- Tu le veux?
- J´aimerais... Il a une bite dure comme fer. C´est le mec de mes rêves érotiques. Le prince charmant. Je ne était sentie jamais aussi proche de quelqu´un.
- Ça tuera mon fantasme d´être cocu concentant. J´irai vraiment au paradis ou en enfer.
- Je me fous de régles.
- J´aime de vivre dangereusement.
- L´amant... Ce rôle tu vas comme un gant.Tu es cannon, amuse-toi bien. Faites ce dont vous avez envie.
- Chez-nous?
- Peut-être... Tu t´es déjà trouvé un mec, tu es du genre rapide.
- Il est un canon.
- L´invite à la table, Merveilleux, faut fêter ça.
- Ça ne le dérange pas? Je dois t’avouer que… J’ai très envie de baiser maintenant. Je me sens tellement excitée et mouillée après toutes ces confessions…
Ils éclatent de rire tous les deux. Il se penche vers son épouse, ses lèvres frôlant son oreille, et lui répond sur le même ton.
-?Lucienne, moi aussi je suis très excité… Je voudrais te proposer un truc fou. La baise à trois chez nous.
-?Tu sais quoi, chéri? Ça me semble complètement fou, mais… Pourquoi pas? J’ai envie de vivre cette expérience avec toi et. Allons-y! ?Il bandait fort ? Il a une belle bite?
La tension entre le couple et le baiseur est palpable. Leurs regards se croisent, empreints d’un désir brûlant. Alors, elle se lève et va au bar parler avec le baiseur Marcelo. Son corps est en ébullition. Elle peut sentir une chaleur envahir ses joues, son ventre. Son cœur bat à tout rompre, l’excitation se propageant à travers elle comme une vague. Ses propres lèvres sont gorgées de désir, son sexe palpitant contre le tissu de sa robe. Elle est enivrée par le plaisir que je lui procure, par l’exploration de son corps. Chaque gémissement, chaque frisson de sa part enflamme davantage son désir, intensifie son excitation.
Et malgré sa nervosité, malgré l’appréhension, je suis envoûtée par cette expérience, perdue dans ce tourbillon de sensations et d’émotions inédites. Elle se rend compte qu´elle était en train de traverser une frontière, d’explorer un territoire inconnu, et malgré tout, elle ne peut s’empêcher de s’y abandonner.
Dans ce bar à cocktails, Lucienne et Marcelo continuent leur conversation intime, se laissant emporter par l’excitation et la curiosité. Leurs mains se frôlent, leurs regards se croisent, et leurs rires se mêlent. Leurs échanges alternent entre des descriptions détaillées de leurs expériences passées et des dialogues plus légers, témoignant de leur complicité grandissante. Ils quittent le bar à cocktails, main dans la main, prêtes à vivre une aventure inoubliable, leurs doigts entrelacés, tandis que leurs regards se croisent régulièrement, mêlant excitation et appréhension. Ils se sourient, se rassurent et se confient l’une à l’autre, essayant de se préparer à l’aventure qui les attend.
- C´est ma première fois ici.
- Ça me tente. Ton énergie virille est aveuglante.
- T´es estraordinnaire.
- À toi de pimenter les choses.
- Ton mari est venu me voir.
-?Viens, assieds-toi, mon étalon. On peut prendre un verre, discuter… Tu as le temps de te sentir à l’aise.?
-?Je peux m’asseoir ?
-Vous devriez vous joindre à nous plus solvente peut-être nous accompagner jusque chez-nous. Cela nous ferait plaisir dit le mari.
Sa voix est douce, réconfortante, alors qu’il l’encourage à explorer ce monde nouveau à son rythme. Maxime tend doucement le bras vers la jeune fille blonde, l’attirant doucement à lui. Elle se laisse faire, ses grands yeux bleus fixant Marcelo avec un mélange d’inquiétude et d’anticipation. Sa main fine glisse dans les cheveux blonds de la jeune femme, la caressant doucement. Leurs mains se frôlent, leurs regards se croisent, et leurs rires se mêlent. Leurs échanges alternent entre des descriptions détaillées de leurs expériences passées et des dialogues plus légers, témoignant de leur complicité grandissante. Elle croise et décroise les jambes, fixant intensément Lucienne, qui ne peut s’empêcher de remarquer son agitation. Leurs regards se croisent. Elle hésite, ses pensées se bousculent, mais l’excitation et la curiosité l’emportent finalement. Leur baiser est doux et timide au début devant son époux, les lèvres effleurant à peine, comme si elles hésitaient à franchir le pas. Puis, peu à peu, leurs lèvres s’appuient davantage l’une contre l’autre, le baiser devient plus profond, plus engagé. Les langues se mêlent, dansent l’une autour de l’autre, explorant la douceur, la chaleur de leurs bouches.
Le baiser gagne en intensité, se faisant presque frénétique, sauvage. Les langues se cherchent, se battent presque, l’intensité de l’échange faisant presque mal. La bave s’écoule, leurs mains se cherchent, s’agrippent aux vêtements, aux cheveux, aux corps. Elles s’enroulent l’une autour de l’autre, perdant presque le sens de l’espace et du temps. Et alors, elles sont là, embrassées, enlacées, perdues dans leur propre univers de passion et de désir, au milieu du club. Plus rien d’autre n’existe pour elles à cet instant que le goût de l’autre sur leurs lèvres, la sensation de la peau de l’autre sous leurs doigts, l’odeur de l’autre emplissant leurs narines. C’est un moment d’intimité pure, de passion brute, d’abandon total à l’attraction irrésistible qu’elles ressentent l’une pour l’autre.
- J’ai envie de vivre cette expérience avec toi et mon mari. Allons-y!
- ?Tu es tellement belle, Lucienne, murmure Marcelo.
- Je crois de la vie c´est l´amour.
- J´aime les rencontres, je sais que sera spécial.
- Il a ce magnetisme.
- Ce mec dégage quelque chose de spécial.
- Je veux vraiment mieux te connaître.
- Je n´ai rien à craindre, tu irá bien bébé.
- Un homme ideal, inteligente, drôle et très impulsiif.
-?Bien sûr, vous me connaissez maintenant!
-?Est-ce que je vous plais ?
- Oui, énormemnt. ?Baiser, faire l’amour, s’envoyer en l’air, niquer, s’accoupler, forniquer.
- Cochonne. Salope. Perverse. Pute. Oh que c’est bon de se lâcher.
- ?Écoute Nelson, je te propose un jeu. Ce soir, je fais l’homme et toi la femme. ?T’aimerais pas faire une expérience bi?
- De façon à ce qu’il me fasse jouir physiquement moi, aussi.
Le plan de Nelson est d’une simplicité extrême et presque sans risque. De retour chez eux. La vie est pleine de surprises. On croit connaître certaines personnes, et parfois le hasard donc les fait découvrir bien différemment. Lucienne se dresse avec une grâce féline, les yeux brillants d’une satisfaction sauvage. Les doigts de son amant, qui étaient il y a un instant encore dans le secret intime d´elle, trouvent maintenant leur chemin vers ses propres lèvres. Marcelo les porte à sa bouche avec une lenteur calculée, comme pour laisser à le mari le temps d’absorber chaque détail de ce spectacle. Puis, il les glisse entre ses lèvres, fermant les yeux comme pour savourer pleinement le goût intime de la blonde excitée.
-?J’en veux plus, beaucoup plus… Plus fort, plus profond…
- ?Comme ça? demande Marcelo, une lueur de malice dans ses yeux.
- ?Baise-moi… sans te retenir. Prends-moi en entier.
De son côté, Lucienne est fascinée par l’homme à côté d’elle. Son regard est attiré par son sexe, sa taille lui faisant frémir d’anticipation. Elle jette un regard à son époux, interrogateur, demandant silencieusement la permission. Il guide doucement son visage vers son entrejambe. Elle comprend immédiatement ce qu’il veut. Un mélange de nervosité et d’excitation m’envahit alors qu´elle se mets à genoux devant lui. Son sexe est dressé devant moi, dur et imposant.
Sa main tendue se rapproche lentement du sexe de l’homme, sa taille toujours impressionnante. Il frémit à son toucher, son érection grandissante, instantanément. La blonde, avec une assurance naturelle, commence à manipuler l’énorme sexe de l’homme. Ses doigts effleurent d’abord sa longueur avant de la saisir fermement, l’homme frémissant à son toucher. Elle le regarde, un sourire espiègle sur les lèvres, avant de le porter à sa bouche.
C’est la jeune femme blonde. Elle aussi est à genoux à côté de son époux, ses yeux fixés sur le membre de Marcelo. Elle se penche en avant et commence à le caresser du bout de la langue. Son geste me semble étrangement naturel, comme si elle avait déjà fait ça plusieurs fois. Sans s’en rendre compte, je l’imite, sa langue rejoint la sienne sur le sexe de Maxime. Le gland y trouve d’abord place, chaud et humide, puis la bouche de Lucienne engloutit progressivement la longueur impressionnante de cet organe. Ses yeux ne quittent pas ceux de son époux, qui la regarde avec ébahissement et excitation. La sensation est étrange, excitante. Je peux sentir le goût de sa peau, sa chaleur. Et malgré mon inexpérience, elle réalise qu´elle aime ça. La blonde aime la sensation de contrôle que cela lui procure, la façon dont Marcelo gémit à chaque caresse.Pendant ce temps, le mari, qui jusqu’à présent s’était contenté d’observer la scène. De l’autre côté, ses doigts effleurent les cheveux de la jeune blonde, la guidant pour qu’elle prenne son sexe dans sa bouche. Dans cette ambiance chargée d’érotisme, les gémissements de plaisir se mêlent aux bruits ambiants chez-eux, créant une atmosphère quasi hypnotique. La tension sexuelle est palpable, chaque geste, chaque regard, chaque toucher accentuant le désir présent.
- ?Relaxe-toi, ma belle, chuchote Camille, sa voix douce et apaisante.
Alors que sa bouche est occupée par le baiser de Marcelo, pour agripper l’arrière de sa nuque, l’attirant plus profondément dans leur baiser. Leur échange devient plus passionné, leurs langues se mêlant et se battant dans une danse obscène. Son mari laisse ses instincts le guider. Nelson ne peut voir ce qui se passe derrière lui, mais il devine. C’est une nouvelle expérience pour elle, et elle ressent à la fois de l’excitation et une certaine appréhension.
Marcelo, doucement, mais fermement, commence à pénétrer l´époux Nelson par l’anus avec sa grosse queue lubrifié. Le mari se demande si lui a franchi une ligne, si elle est prête à se laisser aller à de telles expériences. Les normes et les tabous sociaux s’entremêlent avec ses désirs les plus profonds, créant une tension intérieure qui ajoute une autre dimension à son expérience. Lucienne se surprend à être attirée par cette libération sexuelle, à vouloir explorer davantage les recoins les plus sombres de son être. Elle se rend compte que ce qu’elle vit est bien au-delà de la simple satisfaction sexuelle, c’est une quête de découverte de soi, une recherche d’authenticité et d’acceptation de ses désirs les plus profonds. L´époux de la belle blonde se sent transporté dans un état d’abandon total, une communion intime qui transcende les limites du physique. Il est prise dans un tourbillon d’émotions, d’excitation, de désir et de connexion profonde avec Marcelo l´enculeur. Les frontières de l’espace et du temps semblent s’estomper alors qu’elles se perdent dans cette danse charnelle et passionnée.
Dans cet univers de plaisirs partagés, Léa se sent libérée de toute retenue, de toute inhibition. Chaque mouvement, chaque contact avec Camille, la fait vibrer de désir et de plaisir. Les sensations se multiplient, se répercutent à travers tout son être, faisant naître en elle une félicité inégalée. Elle se laisse porter par cette montée d’extase, se laissant aller à l’abandon total. Finalement, l’intensité devient insoutenable et le plaisir explose en elle, faisant vibrer chaque fibre de son être. Un cri de jouissance s’échappe de sa bouche, s’élevant dans l’atmosphère électrique. Son épouse et son amant Marcelo ressentent un mélange de désir, de curiosité et de fascination face à cette exploration passionnée de la sexualité.
Six heures du matin et le soleil chauffe déjà très fort. La blonde ouvre un œil, le ciel est d’un bleu limpide. La journée s’annonce radieuse. Son mari à côté d´elle, Lucienne, toujours dans sa position préférée, le cul pointé vers le plafond, jambes ouvertes. Elle baisse la lumière de la lampe de chevet au minimum, puis se rejoint sur le lit, s’allonge sur le côté, contre lui, la tête appuyée sur une main. Elle est vêtue d’une nuisette en soie qui moule ses courbes parfaites, ses yeux bleus me fixent. Lucienne luii sourit, elle est magnifique… Son mari quitte ses yeux pour sa poitrine, pleine, lourde, dont les tétons semblent vouloir percer l’étoffe soyeuse. Elle s’en amuse, saisit son menton pour ramener ses yeux dans les siens, et lui dit avec un sourire au coin des lèvres:
- ?Pourquoi ce sourire? Il te disait quoi?
- ?Alors, tu veux vraiment que je te raconte? ?Tu ne vas pas continuer à faire ton jaloux, alors que tu veux me voir baiser avec un autre.
- ?Oui, raconte, s’il te plaît… ?Oui, fais ce que tu veux.
- J´ai des envies de femme comme toutes les femmes. Alors aide moi. Marcelo m´a donné des magnifiques fleurs très parfumés aux pétales rouges.
- Connard. Ce quo ce délire?
- Ça vous plaît ou pas la robe rouge?
- Tu es parfaite avec ça. ?Tu vas finir par provoquer des infarctus. ??Ne provoque pas d’émeutes.
-??Je sais me tenir. Ce n’est pas ma faute. J´ai découvri tout sur lui, que Marcelo est millionnaiire, mon amour. Il est un dealer, trafiquant international de drogue. Des jets privés, des voitures cool, des fêtes de fou. Ce qui l´est arrivé ressemblait un film.
- Mais dans les films il y a toujours des méchants. Que veux-tu exactement?
- Il l´ma demandé si je voulais le suivre dans un jet privé à Cap d´agde en france.
- Voilà un truc que vous n´a jamais fait. Tu as semblé que serait bête de refuser. Tu dois accepter que je suis complètement d´accord.
- Un petit glissement du doigt peut changer notre vie. Mon amour, je te demande de te lâcher complètement. Fais-moi plaisir et surtout fais-toi plaisir.
- Bon il te plaît, mais garde son sang Froid.??Et encore, tu n’as rien vu.
-??Mon comportement t’a plu mon amour?
-??Oui, je bande à m’en faire mal.
- ??Mon salaud, je pense que nous allons passer un merveilleux séjour.
-??Aurais-je l’autorisation de me faire enculer également dans un urinoir public?
- ?Tu auras toutes les autorisations. ??Je veux te faire plaisir au maximum.
- Chance inouïe, une place se libère devant nous!
- Ça te dérange?
- ??Pas du tout. Au contraire.
Un petit geste de sa femme en signe d’adieu. Les yeux ébahis devant sa tenue. Le geste de sa main a pratiquement fait sortir son sein et son téton arrogant de son vêtement. D’une démarche assurée elle y va. C’est comme si son époux n’existait pas, elle focalise tous les regards…
Le jour suivant Nelson arrive aux urinoirs. Il y a un monde fou là-dedans. Les toilettes sont grandes, et il doit bien y avoir une dizaine d’urinoirs de part et d’autre de la pièce. Plusieurs personnes semblent attendre, et effectivement il trouve que c’est long, observant sans le vouloir l’un des « pisseurs » il constate qu’en fait, il semble se masturber. Il se dit que quand même il exagère, mais il s’aperçoit qu’un deuxième l’imite et d’autres sans doute…Iil en a trois et pas de séparations entre chaque ce qui rend plus facile de regarder le sexe des autres hommes. Il lui regarde dans les yeux et lui dit bonjour, il était pas mal, les cheveux noir et assez musclé. Il y a un monde fou là-dedans. Les toilettes sont grandes, et il doit bien y avoir une dizaine d’urinoirs de part et d’autre de la pièce. Plusieurs personnes semblent attendre, et effectivement il trouve que c’est long, observant sans le vouloir l’un des « pisseurs » il constate qu’en fait, il semble se masturber. Il se dit que quand même il exagère, mais il s’aperçois qu’un deuxième l’imite et d’autres sans doute…
- Tu es bien membré. Quelle merveille. J’ai rarement vu une bite aussi belle, et aussi bonne. J’adore sucer des belles bites, lui dit il.
Il le remercie et Nelson ose enfin à regarder son sexe , il est tendu , il commence à faire des vas-et- vien , Nelson ne peut que le suivre et il commence également. Il l'excite , il ne fait que de regarder son beau sexe , il était plutôt précosse, il éjacule après seulement 5 min de masturbation.
- Veut tu que je te suce lui demande il?
- Ne Vous gênez pas pour moi, Alors elle est bonne ma queue?
- Délicieuse! Oh merci ! C’est délicieux!
Il lui montre directement son sexe déjà bien raide, il s'approche de lui saisit son sexe et il continue à se masturber , il saisit le sien , Nelson trouvait ça super bon de tenir le pénis d'un inconnu. Ils sont entrés dans une cabine. Il lui fait assoir sur les toilettes, et il se retrouvé face à sa grosse bite.
- Vas-y... Suce-moi. Laisse toi faire tu vas aimer.
- Oui c’est bon j’aime ça, vas y encule moi je suis ta salope, mon cul est à toi.
Alors je prends son sexe à une main et le branle doucement, quel plaisir, et je sais que je vais le sucer... Il lui demande de lui les lécher les couilles, alors Nelson le fait, Et puis, il prends son sexe dans sa main et le met contre ses lèvres, alors Nelson ouvre la bouche et il accueille son sexe, sa langue passe autour de son gland, joue avec son frein, sa main le branle en même temps. Il a l’air d’aimer, alors je continuede plus en plus vite... Il a l’impress que son gland est vraiment gonflé et il n’en veux pas qu’il jouisse dans sa bouche alors. il s’arrête pour le lui dire, il la remet sa bite dans la bouche et lui dit de ne pas s’inquiéter, donc coup il reprend sa fellation de plus belle. II a compri qu’il voulait l’enculer. Il a pointé son gland sur mon anus et a poussé doucement, j’ai eu mal lorsque son gland a forcé sa rondelle, il est resté sans bouger, il lui tenait par les hanches, puis il a commencé à s’enfoncer, il se mordait les lèvres pour ne pas crier. Ses va et vient ont commencé, il sentait sa bite coulisser dans son cul, Nelson s´est rendu compte qu´il aimait ça, ça ne lui faisait plus mal. Il est allé de plus en plus vite en lui, en cinq minutes et éjaculait dans sa capote, mais il sentait les contractions dans son ventre. Il s’est retiré et a jeté sa capote et il est sorti. Il s´est rhabillé et est sorti à son tour il était assis sur un banc et l’a fait signe de venir. Il m’a tendu un papier avec son n° de tel portable et l’a dit:
- J´ai aimé t’enculer mec, je crois que toi aussi t’as aimé ça,
- C’était meilleur de me faire enculer que de baiser ma femme..
- ?Tu es si belle ma chérie.
Lucienne avait décidé de vivre une vie de plaisirs sexuels, ensemble ou séparément, mais toujours avec l’approbation de l’autre. Elle prend des poses de mannequin devant sa glace et elle peut voir que sur certaines positions les pans de sa robe peuvent s’écarter et laisser apparaître mes cuisses au-dessus des bas. En se penchant en avant, le décolleté de sa robe permet de voir la quasi-totalité de ses seins prisonniers de leur enveloppe de soie. Ces poses, et ce qu’elles permettent de voir ont chauffé sa libido… Une paire de chaussures à hauts talons, et hop, elle est prête.
-?Que tu es belle, ma chérie, je suis le plus veinard des hommes! Lui dit-il en lui caressant les fesses.
-?Vu le temps qu’il fait, c’est super, tu vas passer un bon moment alors!
-?Tu as les joues toutes chaudes, mon ange, lui dit-il au creux de l’oreille.
-?Je sais mon amour, tu m’as faite jouir, j’adore faire des choses un peu folles avec toi.
Maracelo a demandé à un de ses chauffeurs de lui reconduire pour faire ses bagages et prendre son passaport puis ils ramèneraient. Soudain une Roll-Roice l´attend. “Mon Dieu, c´est dingue”. Elle peutt faire vitte ses valises. Au l´aeroport toute l´equipe les attend. Un type grand qui doit être le garde de corp. “Ça peut être intéressant, elle était un peu éuphorique”. Dans l´avion c´était champagne et caviar, elle n´en avait jamais mangé, puiis de sushis. On aurait dit un tout autre monde. S´il quelqu´un lui plaît, elle lui fait um bijou sur la joue. C´était rapide, mais ça semblait naturel. Une fois atterris elle est montée dans une voiture, elle profite pour poser des questions elle est comme ça. Elle a passé quelque temps avec lui.
Marcelo ne souhaite qu’une chose : s’assoupir dès le décollage. C’est tellement bon de s’endormir au moment où l’avion décolle, écrasé par l’accélération! La classe affaires est confortable, le siège est vaste et moelleux, le siège voisin est suffisamment distant pour préserver sa tranquillité et son espace vital. Une hôtesse lui sert une coupe de champagne, il peut se détendre avec volupté.
Une semaine de vacances dans un cadre enchanteur: grande ville blanche au milieu de palmiers, avec piscine privée où leur hôte les dit s’ébrouer plusieurs heures par jour, un spa avec masseurs et masseuses à domicile… C’est une belle blonde de vingt-six ans avec de très jolis yeux bleus. C’est leur premier voyage en avion et elle s’avoue une certaine angoisse. . Elle sent toujours aussi bon, ses yeux sont doux mais espiègles, ses lèvres pleines et sensuelles.
La rencontre avec son amant avait bouleversé leur vie amoureuse, Plage, piscine, Jacuzzi, sauna, cocktail et tapas à gogo, sans oublier les soirées night-club. Tout était réuni pour nous offrir trois jours de vacances et de bonheur.
Lucienne était transformée, elle avait elle-même intégré l’excitation extraordinaire que l´avait procuré, cet après-midi torride dans la suite de cet hôtel de luxe sous le soleil du printemps. Dans la chambre, debout face à son miroir, Lucienne apprécie son allure de femme élégante et toujours svelte, mise en valeur par sa robe qui s’arrête opportunément au niveau des genoux, laissant apparaître ses mollets galbés qui glissent vers des bottines, qui soulignent ses chevilles fines. Son buste, légèrement marqué par sa mince poitrine, suffit à laisser imaginer des seins encore sensibles aux caresses et, surtout, à l’épanchement de ses amants de passage, lorsqu’elle les conduit à la jouissance, de la main et de la bouche… Brrouuuuhhhh, fait-elle, essayant d’écarter de son esprit des images si libertines de ses aventures passées que, déjà, son ventre se serre et son sexe s’humidifie chaudement. Sage elle est, sage elle doit le rester! Belle résolution, mais bien délicate à tenir à n’en pas douter.
Sa petite maîtresse déambulait toute la journée, dans une mini-robe légère des plus transparentes dévoilant largement ses charmes. Le regard des hommes en disait long sur leurs pensées à la vue de son décolleté profond, de son dos-nu et de ses longues jambes bronzées par le soleil des plages.
Table basse ovale ornée de jolies bougies, banquette de cuir rouge agencée en demi-cercle, lumières tamisées, le tout à bonne distance de la piste de danse. La petite alcôve qu’avaient réservée nos trois amis offrait une réelle intimité. Lui aussi n’était pas en reste pour jeter régulièrement des regards furtifs et plongeants sur ses genoux et ses cuisses. Il était évident qu’il guettait et rêvait d’un écartement de ses jolies jambes, susceptible de le laisser entrevoir un petit bout de culotte ou plus si elle n’en portait pas.
-?Marcelo ta femme est un bijou de sensualité, elle dégage un érotisme incroyable, elle a un corps exceptionnel.
-?Tu sais Miguel, pour moi, le plus important c’est le bonheur de Lucienne. Si elle prend du plaisir, alors je suis comblé.
- ?Mais tout de même, c’est ta femme!
-?La jalousie, Miguel, c’est le contraire de l’amour. Empêcher ta partenaire de vivre, de respirer, de jouir de chaque instant et à tout moment. C’est tuer l’amour.
-?Mais non, Marcelo, tu plaisantes?! Ne me dis pas que tu es prêt à céder à tous les désirs de ta femme. J’ai franchement du mal à y croire. Tous les hommes sont possessifs.
-?Miguel, tu confonds le désir de posséder avec l’amour. Rien n’est plus beau que de voir la plénitude de ta femme qui prend du plaisir. Franchement Miguel, lorsque tu fais un présent à une femme que tu aimes profondément. L’intensité de ton plaisir réside dans le cadeau ou par les yeux brillants de bonheur de la femme qui le reçoit.
-?J’hallucine, Marcelo, tu veux dire que tu serais prêt à partager Lucienne avec un autre homme si elle le souhaitait.
-?Tout autant que je lui offrirais un bijou dont elle rêve. Je ne la priverais pas d’un instant de jouissance et de plénitude.
Miguel restait sans voix en lui fixant longuement avant de boire une longue gorgée de cocktail. Lui caressant la nuque, Marcelo posait son autre main sur son genou. Son index excitait l’intérieur de sa cuisse. Sa transpiration avait humidifié sa robe. Elle lui dévoilait, ainsi qu’à ses invités, les deux jolies aréoles brunes de ses seins, dont les tétons dressés, pointaient avec arrogance.
-?Chéri, je passe une soirée exceptionnelle.
- Miguel a une enorme bosse dans son pantalona, il veut me baiser.
- T´es un amant voyeur? C´est ça?
- Oui... Comme son mari.
-?Super soirée, mon chéri, je prends un plaisir fou.
- ?Ma chérie, attends-toi à ce que nous soyons invités à partager la chambre d’un de nos amis.
- ?Tu crois, mon Marcelo?
- ?Je ne crois pas, j’en suis certain, ils te dévorent des yeux, Regarde comme il a du mal à dissimuler son trouble.
- ?Je n’imagine rien. Je parle de ce dont t´as envie, de ce que ton corps réclame, de ce qui peut être fait partie de tes fantasmes. C’est à cette question que tu dois répondre.
- ?Mon amour, je t’aime follement, mais jamais je ne réaliserai un fantasme que tu ne saurais partager.
- ?Mon ange, nos précédentes expériences prouvent que j’adore te voir jouir. Si tu souhaites ce soir te donner à mon ami, alors, je serais heureux de te voir jouir sous leurs caresses.
- ?Donc, Je ne vais tout de même pas vous priver du plaisir d’effeuiller le reste.
Dans la chambre Lucienne terminait, en soulevant délicatement une jambe puis l’autre, pour dégager totalement la robe laissant la belle en sous-vêtements, perchée sur ses escarpins à talons hauts. Lucienne avançait d’un pas vers la droite, dos au lit, elle souriait avec ce regard coquin qui lui faisait si souvent craquer. À ce moment précis, Marcelo lisait dans leurs yeux, ce moment d’émotion, à la vue de cette femme qu’ils avaient rêvé de posséder tout au long de la soirée. Quel moment intense pour moi, que de voir ma chérie me jeter ce regard complice et amoureux?! Quel bonheur de lui offrir et de partager avec elle ces instants de plaisirs charnels!
Une fois de plus, je ne pouvais l’empêcher de penser à tous ces jaloux exclusifs, qui ne connaîtraient jamais ce bonheur jouissif. Miguel se plaçait devant son amante, sa main droite caressait ses cheveux et le lobe de son oreille. Le pouce de sa main droite se glissait entre ses lèvres. La succion que ma femme lui prodiguait lui laissait imaginer le plaisir qu’il éprouverait, lorsqu’elle lui offrirait la même caresse sur son sexe. Ils se positionnaient ainsi dans le dos de Lucienne. Il dégrafait délicatement son soutien-gorge, libérant ainsi ses seins à la vue de Marcelo. Les yeux de Miguel étaient subjugués par la tenue de ces deux seins, de leurs larges aréoles brunes et de leurs tétons qui se dressaient comme une invitation au bonheur. Immédiatement, la bouche gourmande de Miguel dégustait ces deux petites framboises, les titillant de sa langue avide et gourmande. Il pressait et tirait sur ses petits bouts qui faisaient trembler de plaisir l’ensemble des globes laiteux.
Miguel descendait à présent très lentement son string, et la libéraient de ses bas et du porte-jarretelles. À genoux, ils caressaient et embrassaient de concert les fesses de sa douce. Les mains caressaient l’intérieur et l’extérieur de ses cuisses. La belle blonde devinait leur souhait de la voir écarter ses jambes. Ce qu’elle fit immédiatement. La main puissante de Miguel se glissait alors dans son entrejambe, ses doigts pénétraient ainsi lentement sa chatte déjà humide de plaisir. Il embrassait à présent ma femme qui commençait à gémir sous l’effet des caresses qu’elle recevait de ses deux amis.
-?Viens sur moi, ma belle!
Lucienne était désormais à genoux, confortablement installée sur le coussin délicatement posé au sol. Elle descendaient lentement le slip de Miguel, libérant une jolie paire de testicules soigneusement épilés, surmontés d’un phallus d’une taille des plus respectable. Elle léchait avec gourmandise ce liquide transparent qui sortait à intervalles réguliers du méat du gland. Marcelo se mettait alors debout sur le lit. Son amant chevauchait avec ardeur le sexe de Miguel qui, par de larges coups de reins, se projetait plus profondément dans la chatte de la belle.
- ?Ouah, Marcelo, ils me fait jouir, ils est diabolique, mon chéri. ?Viens, mon chéri, viens! ?Viens maintenant, maintenant, je t’aime, je suis à toi seul.
Miguel et Marceli jouissaient alors de longues giclées qu’elle recevait sur ses lèvres amoureusement ouvertes.
La porte à peine fermée, nous étions pris d’un fou rire. Ils s`aimaient, l’avenir les apporterait de nouvelles aventures avec de nouveaux cadeaux pimentant notre vie amoureuse.
Fin
Ivan Ribeiro Lagos
Ivanribeirolagos20@gmail.com
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