Parue le 07 avril 2014

Il n'y a pas de commentaire pour cette histoire

---

Noter ce récit erotique !

---

Au printemps dernier, la maison du à coté de la mienne a été vendue.
Début juillet les nouveaux propriétaires sont arrivés.
Il s'agissait d'un couple étrange.
En effet elle avait environ 25 ans grande et mince alors qu'il semblait avoir plus de 70 ans, petit et assez laid.
Je pensais d'abord qu'il s'agissait du père et de sa fille.
Quelques jours après mon arrivée je les croisais en rentrant chez moi.
Aussitôt, la conversation s'engageât.
"-Bonjour, nous sommes vos nouveaux voisins.
- Enchanté de faire votre connaissance, vous vous plaisez dans le quartier?
- Oui, ça a l'air calme et sympa.
- En effet, dans la rue il ne passe pas grand monde et les gens sont sympa.
- Nous avons quelques travaux à faire, connaissez vous des entreprises?
Mon mari n'est pas très bricoleur.
- Bien sur je peux trouver. Que cherchez vous?
- Il y a pas mal de choses à faire, si vous voulez passez à la maison ce soir, je vous montrerai et on fera connaissance.
- D'accord, merci, à ce soir donc".
Je rentrais chez moi et je repensais à notre conversation.
C'était toujours la femme qui avait parlé, lui restant en retrait. Ils étaient marié et j'étais étonné de leur différence d'age.
A 19 h je me présentais chez eux.
Ce fut elle qui vient m'ouvrir.
Elle portait une jupe très courte et un chemisier assez transparent sous lequel on devinait un soutien gorge en dentelle.
" Jacques, viens, notre voisin est arrivé, tu vas servir l'apéritif"
Elle me fit asseoir dans un fauteuil et s'installa en face de moi.
Sa jupe se releva sur ses cuisses et je vis qu'elle portait des bas et un porte jarretelle.
"- Vous habitez le quartier depuis longtemps?
- Cela fait plus de 10 ans?
- ET vous vivez seul?
-Oui ma femme est décédée il y a 2 ans"
Nous discutons un moment puis son mari arrive.
Il nous sert un apéritif et vient s'assoir près de son épouse.
Il avait l'air effacé, en retrait. D'ailleurs elle ne semblait pas lui apporter beaucoup d'attention.
"-Vous savez, nous étions à PARIS et je souihaitais habiter plus au calme
- Vous avez raison la vie parisienne est trop fatigante."
Je me tournais vers Jacques et lui demandais : "Vous vous plaisez ici?"
Ce fut elle qui répondit :
" De toute façon, c'est moi qui décide"
J'étais étonné de sa réponse, surtout lorsqu'elle ajoutât:
"Il n'a rien à dire de toute façon pour ce qu'il m'est utile, n'est ce pas Jacques?
- Ou, répondit il à voix basse.
- Il n'est pas bon à grand chose et en plus coté sexe, il n'est pas très doué et en plus avec l'âge ça ne s'arrange pas"
Elle en rajouta une couche en demandant à son mari :
" - N'est ce pas que tu as du mal à bander?
- Oui c'est vrai, tu as raison
- Moi ça ne m'arrange pas j'ai de gros besoins. J'aimerai bien faire l'amour avec vous"
J'étais mal à l'aise et ne pensais qu'à partir.
" Ne vous inquiétez pas il est d'accord, alors ça vous tente?
- La maintenant, répondis je?
- Bien sur je n'ai pas baisé depuis une semaine. N'ayez crainte, Jacques accepte tout de loi du moment qu'il est présent"
Bien que peu à l'aise j'avais très envie de cette femme.
" Pourquoi pas, si vous le voulez"
Elle se leva, dégrafât sa jupe qu'elle fit tombar à ses pieds. Puis elle déboutonnât son corsage.
Elle était en lingerie de fine dentelle. Son string cachait à peine son sexe que je devinais épilé.
Elle s'approchât de moi, se mit à genoux et ouvrit ma braguette.
Une main experte fit sortir ma queue qui commençait à durcir.
" Belle bite, c'est autre chose que la tienne Jacques. Montres la"
Il se levât et sortit une petite bite toute fripée de son pantalon.
"Vous voyez comme elle est minuscule" dit elle avant de prendre ma queue dans la bouche.
J'avançais les mains vers sa poitrine et caressait ses seins. Ses tétons étaient durs .
Délaissant ma bite bien raide elle vint m'embrasser à pleine bouche.
Mes mains parcouraient son corps, dégrafant le soutien gorge et faisant glisser son string.
Elle était nue et entrepris d'enlever ma chemise et mon pantalon.
Je la basculais sur le canapé, mon envie de baiser était si forte que je la pénétrais d'un grand coup de rein. Sa chatte était trempée, attendant ma queue pour la remplir.
Je me mis à aller et venir en elle. Mes couilles battaient sur ses cuisses et je sentais son vagin se contracter autour de ma bite.
En jetant un coup d'oeil sur le coté je vis que Jacques s'était approché et se se branlait. Sa bite avait un peu durci mais elle restait de taille très modeste.
Elle jouit très rapidement en criant. Je sentais le plaisir monter en moi et bientôt je jouis en elle.
Nous sommes restés ainsi plusieurs minutes, reprenant notre souffle.
J'entendais Jacques qui continuait de se branler.
Elle se dégageât et dit :
"Viens ici mon pauvre Jacques je vais te finir, baisse ton pantalon"
Il obéit et s'approchât. Elle pris son sexe en bouche et lui mit un doigts dans le cul, puis se mit à le sucer avec vigueur.
Au bout de quelques minutes, il se mit à gémir et elle se retirât, continuant à le branler jusqu'à ce que quelques goutes de spermes sortirent de sa bite qui débandait déjà.
"Vous comprenez mieux pourquoi j'ai besoin de trouver de vraies bites, il n'arrive pas à me faire jouir. Ramasses ta nouille Jacques et sers nous un autre verre"
Comme un bon toutou, il obéit.
Je restais nu ainsi que sa femme. Elle s'amusait à me caresser le torse, la cuisse et jouait avec ma queue qui commençât de nouveau à durcir.
"J'ai envie que tu me prennes en levrette" dit elle en se mettant à quatre pattes.
Je me mis derrière elle et dirigeais ma bite vers sa chatte luisante de mouille.
Elle se caressait le clito et sa croupe ondulait devant moi.
"Jacques viens me lubrifier, j'ai envie qu'il m'encule"
Il s'approchât un petit flacon à la main et entreprit de lui lubrifier la rondelle, y pénétrant un puis deux doigts.
"Ta bite, mets moi ta bite"
Je changeais rapidement de trou. Son anus était large et ma queue s'enfonçât profondément en elle.
Elle contractait son anus me serrant la queue. Rapidement je sentis mon éjaculation arriver.
"Mets moi tout dans le cul"
Je déchargeais en elle.

Après avoir repris notre souffle, elle alla s'aaseoir dans son fauteuil toujours nue et repris la conversation comme si de rien n'était.
"- Nous avons besoin d'un plombier d'un menuisier et d'un électricien, vous en connaissez?
- Oui bien sur je vais les contacter, et leur donner vos coordonnées
- Je voudrais si possible des hommes jeunes, vous comprenez?
- Bien entendu ça vous permettra de joindre l'utile à l'agréable."
Je finis mon verre remis mes vêtements et pris congé.
Jacques me raccompagnât à la porte. Au moment ou je sortais elle me dit :
"Merci beaucoup de votre visite, elle nous a fait très plaisir, revenez quand vous le voulez"
Rentré à la maison j'appelais quelques amis artisans pour leur proposer le marché. Bien entendu je leur expliquais qu'il y aurait un "bonus" aux travaux à effectuer
Un rendez vous de chantier fût pris pour la fin de semaine.
je me présentais avec les trois artisans
Après avoir étudié les travaux à faire, Jacques nous proposât de prendre un verre, ce que tous acceptèrent.
Son épouse sortit de la pièce et revint quelques instants plus tard, entièrement nue.
"Ne perdons pas de temps" dit elle.
mes trois amis restèrent bouche bée mais bien vite il furent à l'aise et en quelques instant nous étions la queue à l'air.
Elle s'approchât de nous et commençât à nous branler à tour de rôle.
Jacques avait aussi retirer son pantalon et se branlait, tentant de faire bander sa petite bite.
Nous avons commencé par la prendre chacun à notre tour. Elle suçait la bite qui devait la prendre pour bien la faire bander.
Puis elle demandât une double pénétration. Je BaNdais comme un fou en voyant les deux bites la défoncer.
Voyant que nous allions jouir, elle nous pris à tour de rôle en bouche pour nous sucer à fonds et avaler toute notre semence.
Cette séance m'avait épuisé et le verre d'apéritif me fit le plus grand bien.
Mes amis, plus jeunes et plus fougueux recommençaient déjà à bander en se caressant la queue.
Ma voisine appréciait beaucoup le spectacle et vint leur prêter main forte, les suçant afin de leur redonner de la vigueur.
Soudain elle demandât : "Un d'entre vous peut il me faire plaisir et enculer Jacques, il aime bien ça"
L jeune menuisier s'approchât de Jacques qui se mit aussitôt en position pour recevoir sa bite. Il s'enfonçât en lui profondément, ses couilles battaient sur son cul.
Jacques se branlais frénétiquement et une petite giglée de sperme giclât de sa petite bite toute raide.
Le spectacle avait excité les autres qui limaient avec ardeur le corps qui leur était offert.
Notre soirée durât jusqu'à plus de minuit et chacun notre tour, pour les remercier, nous avons enculé Jacques.

Par la suite les travaux furent entrepris chez les voisins. Ils ont duré très longtemps.
En tant que voisin , je me rendais souvent dans la maison d'à côté pour m'assurer que mes voisins n'avaient besoin de rien.

---

Cette histoire est la propriété de son auteur : ne la copiez pas pour l'afficher sur un site autre qu'histoire-erotique.net

---

Ajoutez un commentaire pour cette histoire erotique:

Pseudo (*):


       Votre commentaire sur cette histoire(*):

Les champs marqués d'une étoile (*) sont indispensables.