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Petite visite très coquine

Ecrit par ARTEMIS35
Parue le 08 avril 2018
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Cette histoire érotique a été lue 1985 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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Géraldine m'avait appelé pour un problème sur son ordinateur. Nous avions travaillé ensemble il y a quelques années et étions restés très amis, mais sans plus. J'ai frappé à sa porte et elle est apparue, toujours aussi belle, le sourire aux lèvres, l'oeil pétillant.

- Excuse mois je finis ma toilette, entre; l'ordinateur est dans le salon; il est branché, je termine et je te rejoins.

Elle avait ce regard coquin que je lui connaissait depuis longtemps. Nous avions été très proches pendant toutes ces années, sans toutefois franchir le pas d'une relation plus intime.

Je commençais la visite de son ordinateur qui semblait bien mal en point. A peine cinq minutes s'étaient écoulées qu'elle réapparut, toujours en peignoir, se frottant les cheveux avec une serviette. Dans l'ouverture basse de son peignoir, je distinguais ses jambes si séduisantes et ne pouvais empêcher mon regard de remonter au plus haut de cette fenêtre sur les abords de son intimité. Mais rien n'était hélas visible.

Alors qu'elle continuait de s'essuyer les cheveux, la ceinture du peignoir s'est légèrement relâchée. Cette fois mon regard fut comme hypnotisé par ce que j'entrevoyais. Je sentis un changement entre mes jambes et oubliai complètement ma réparation. Elle s'est aperçue de mon trouble naissant et plongea son regard tendre dans le mien en écartant très légèrement les jambes, sans rien dire, tout en continuant à s'affairer sur ses cheveux. Puis elle jeta la serviette à ses pieds et en cherchant à la repousser dénoua la ceinture de son peignoir. La vision de ses petits seins dressés, de sa toison brune bien dessinée ne fit qu'accroître mon trouble et une érection déjà humide.

Elle s'est approchée doucement de ma place, sans un mot, le regard fixé sur moi. D'un mouvement de l'épaule elle a fait glissé son peignoir et s'est présentée nue à quelques centimètres de ma bouche.

- viens, montons dans ma chambre.

Je l'ai suivie dans l'escalier sans un mot, mon visage à quelques centimètres de ses fesses rebondies. Chaque pas, chaque croisement de jambes me révélait les recoins de son intimité déjà humide. Arrivée dans sa chambre elle s'est effrondrée sur le dos, écartant les jambes et me laissant voir son sexe rose et humide, posé à la fin du triangle de sa toison brune.

- tu restes habillé me dit-elle avec tendresse, n'a-tu-rien à me montrer ?

Devant mon absence de réaction, elle s'est redressée. De ses mains douces et agiles elle a dégraffé mon jean tendu par une érection à son comble, baissé mon boxer taché et a posé une petit baisé sur mon gland rougi d'émotion et humide d'envie. Puis de sa main elle est descendue le long de la hampe, frottant doucement mon sexe tendu. Son autre main s'est emparée de mes boules qu'elle a malaxé avec douceur. Alors que sa bouche s'emparait de ma queue turgessante, son autre main est descendue doucement quittant mes boules gonflées pour titiller mon petit trou déjà détendu. De son doigt, qu'elle venait de sucer, elle s'est introduite délicatement dans le petit orifice, cherchant, en le mettant en crochet, à remonter à l'endroit où les plaisirs de la fellation se décuple. Pendant ce temps, sa bouche resserrée continuait d'aller et venir en rythme sur ma queue, je ne pouvais plus résister. La déflagration s'est produite dans un râle de jouissance. Je sentais les jets puissants se répandre dans sa bouche qui ralentissait ses mouvements tout en augmentant la pression de ses lèvres sur mon sexe gonflé. N'y pouvant plus, je pris sa tête entre mes mains mais elle se dégagea très vite pour venir m'embrasser très goulument et me faire partager la semence qu'elle avait conserver en bouche. Sa langue se mèlait à la mienne dans le liquide épais et suave. Puis soudainement, elle repris ce qui lui appartenait désormais et avala toute ma semence en terminant par un mouvement sensuel de sa langue sur ses lèvres et un sourire ravageur.

- Délicieux, j'en reprendrai plus tard. A moi maintenant !

Joignant le geste à la parole, elle saisi ma main pour la plaquer sur son sexe trempé, guidant mes doigts sur son petit bouton tout gorgé de sang et tendu. Elle releva les cuisse laissant voir toute les facettes de son intimité. Sa chatte humide de rosée, son petit trou déjà visiblement détendu sur lequel elle plaqua ma main libre. Mon index s'introduit dans la grotte humide tandis que mon majeur tentait son entrée dans l'autre petit couloir étroit. Un peu de salive avait rendu les parois du petit canal tout lisse. Je rentais les petites contactions de son rectum et de son vagin tandis que mon pouce titillait le bouton déclencheur de ses râles. Soudain dans le plus sonnore d'entre eux, mes doigts furent emprisonnés au rythme des contactions de ces deux orifices de plaisir jusqu'au relâchement provoqué par une jouissance qui lui arracha un cri et un jet puissant.

Dans l'intervalle de ses émotions, les miennes avaient refait surface et sa main n'eurent aucune peine à réveiller mes ardeurs. Alors elle se retourna, se mis à genou sur le lit, les jambes légèrement écartée, le reste du corps allongé. De sa main elle se saisit de mon sexe tendu et l'enfourna dans son sexe pour l'en retirer aussitôt, humide de ses sécrétions.

- prend moi dans le petit trou, maintenant !

De sa main experte, elle présenta mon gland devant le petit orifice légèrement humide et relâcha son étreinte.

- A toi maintenant, rentre doucement jusqu'au bout et jouis dans mon cul.

Je poussai doucement et ma queue fut comme absorbée par ce canal étroit que mon doigt avait visité il y a quelques minutes. Ses râles reprirent. De sa main passée derrière mon dos, elle poussait mon corps en avant. Après quelques secondes, ma queue était totalement absorbée par son intimité interdite.

- vas-y, bouge, bouge, vide toi en moi !

Je commençai le va et vient dans cet espace serré dont les muscles puissants m'emprisonnaient le sexe. Je senti la sève monter mais je voulais que cette instant se prolonge. D'une main j'entrepris de caresser son petit bouton tandis que de l'autre je glissait un doigt puis deux dans son sexe trempé. En reprenant mon va et vient mes doigts sentirent la pression de mon sexe dans l'autre orifice. Comme si ma jouissance venait de la caresse de mes doigts dans un orifice sur mon sexe prisonnier de l'autre,. J'explosai à nouveau dans un geste puissant plaquant violemment mon corps sur le sien. Mes boules étaient comme absorbées par sa raie ouverte. La jouissance fut longue, intense puis je m'effondrai à ses côtés en me retirant doucement de son petit canal étroit. Allongée sur le ventre, elle s'est frottée une dernière fois jusqu'à produire une éjaculation puissante que j'entrepris de lécher jusqu'à ce que sa peau soit sèche.

Puis tout à coup nous entendîmes la porte d'entrée s'ouvrir et une voix d'homme annoncer:

- c'est moi, je suis rentré plus tôt ! T'es où ?

Après un instant, a mas grade surprise elle dit:

- Monte, je suis dans la chambre, mais je te veux à poil et la queue dressée, tu auras une surprise !

Nous entendîmes le bruit des vêtements sur la carrelage, et des pas précipités dans l'escalier. La porte s'est ouverte et David est entré une queue de 20 cms dressée dans une main en mouvement régulier.

- Viens entre, je veux que tu le prennes devant moi !

Personne ne me demandait mon avis et je n'avais encore jamais vécu cette expérience même si je m'étais masturbé en me godant avec des objet divers mais avec une vrai bite, jamais. J'avais envie de me laissé tenté et me mis en position sur le lit. Elle s'était remontée, allongée sur le dos, les jambes écartées et le sexe placé juste sous ma tête. Elle ne se voyait donc pas simple spectatrice !

- Lèches moi pendant qu'il te pénètre.

J'entrepris de promener ma langue sur les replis de son sexe en m'attardant sur le petit bouton décidément insatiable. Puis je senti que quelque chose frappait à la porte de mon intimité. Un doigt visiblement lubrifié préparait le terrain d'un expérience nouvelle. Mes muscles se détendirent progressivement. Son tuyau de chair s'est alors présenté à cette entrée encore trop petite pour lui. Avec délicatesse, il s'est progressivement introduit. Ce fut une pénétration longue, interminable, délicieuse. Par un mouvement de va et vient qui pris le rythme de mon cunilingus, il donna la mesure de nos jouissance à venir. Elle jouit à nouveau dans un torrent de liquide au goût suave. Dans la seconde je sentis un flot épais et abondant m'emplir dans un râle puissant.

Il se retira doucement. Je pensais les choses achevées dans ce moment d'intense jouissance. Mais elle me dit alors de présenter mon petit trou au dessus de sa bouche. Je sentis sa langue titiller ma rondelle puis un liquide encore épais s'écouler dans sa bouche. Il s'approcha alors d'elle et tendrement l'embrassa pour récupérer sa semence avant de me la confier dans un tendre baiser au goût puissant.

Nos quatre mains s'employèrent à caresser son corps désormais apaisé ce qui ne tarda pas à réveiller notre virilité et à laisser poindre de premières gouttes de rosées sur les pétales de son sexe offert à nos regards gourmands. La nuit venait de tomber. Elle serait encore longue avant que l'aube ne sépare nos corps.


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