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Prémices de mon apprentissage dans le ménage et la soumission(1)

Ecrit par plumeau
Parue le 22 décembre 2017
Il y a 2 commentaires pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 3554 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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Prémices de mon apprentissage dans le ménage et la soumission.

Ayant fini mon cycle d’études en cette fin fin de mois de juin, j’avais devant moi deux mois de vacances et pas un rond pour partir. Le temps était gris sur Paris et je m’ennuyais ferme. Je regardais sur le web toutes ces pages sexuelles.J’enviais et craignais pour ces hommes soumis à des Dominas. Le lendemain matin, je retournais sur ces sites et une lubie me traversa. Si je me mettais au au service d’une Domina, dans le Midi pendant mes congés, au moins je serais au soleil, même si je bossais. Je m’inscrivis sur à tout hasard sur un site réservé en mettant une photo de moi en maillot de bain,tout en précisant, que j’étais un néophyte complet. A ma grande stupéfaction, vers quatorze heures, un message arriva. C’était une Domina qui était intrigué par ma candidature et était actuellement en visite dans Paris pour ses affaires. Nous convenons d’un rendez-vous dans un café, en milieu d’après-midi. Pour me reconnaître, je lui avais précisé que je mettrais un bermuda et un tee-shirt jaune. Installé en terrasse, je vis arriver une superbe femme qui s’assit directement. Elle me demanda des précisions et posa plein de questions gênantes pour moi, et m’informa que le jeune homme qu’elle voyait l’intéressait et me détailla les contraintes que je devrais accepter. Elle me demanda quand je pouvais être disponible. Dès que possible si vous le désirez, le temps de rassembler quelques affaires. D’accord dit elle, mais pour ce qui concerne tes bagages, tu n’auras besoin que d’une trousse de toilette et tes papiers. Rendez-vous devant le salon de coiffure Thérèse à dix-huit quarante cinq heures. Met des chaussettes et baskets de toile blanches et les mêmes vêtements. A partir de ce moment là, je serais ta Maîtresse et tu n’auras rien à discuter. Mais avant de venir rase toi le sexe, pour les détails, fait moi confiance, j’adore vexer mes soumis. A l’heure dite, je me présentais devant le salon en question, la porte s’ouvrit et Maîtresse m’invita à rentrer. La coiffeuse salua sa dernière cliente de la journée et verrouilla la porte. Bonjour Anita, voila ta dernière acquisition ? Oui, et c’est un débutant de première. Je te l’ai amené pour une coupe plus adéquate à son statut. D’ailleurs, je vais l’appeler Nigaud. Et comme tu aimes voir des jeunes hommes dans leur plus simple appareil, il va se déshabiller complètement, avant de s’asseoir dans le fauteuil. Devant mon hésitation, je pris une baffe magistrale. Elle me cria, ceci est le début de ta soumission et de plus un soumi ne regarde pas droit dans les yeux, une Domina. Et désormais pour t’adresser à moi, ce sera désormais Maîtresse Anita, maintenant déshabille toi fissa. Elle débrancha alors un sèche-cheveux et me frappa avec le fil tant que j’avais un vêtement. Je m’installais alors sur le fauteuil, la coiffeuse allait mettre une cape, et ma Maîtresse dit alors, ne met rien, tu te gâcherais la vue, de plus il nettoiera. Elle lui susurra ensuite quelque chose à l’oreille. La coiffeuse s’approcha me coupa grossièrement les cheveux avec un ciseau. Puis prit la tondeuse, fit un premier passage d’une oreille à l’autre, ensuite un autre de la nuque au front et s’arrêta là. Ma maîtresse dit à ce moment là, j’ai un petit creux, Nigaud, rhabille toi, va me chercher des petits gâteaux et du cidre à la boulangerie au bout de la rue, on finira après. Devant mon ahurissement, elle se mit à rire à gorge déployée, pausa de l’argent sur le comptoir, et refrappa avec le fil pour accélérer le mouvement. Je sortis honteux, car tous les passants tournaient la tête et se moquaient de moi. De plus la boulangerie en question était à huit cent mètres. Dans la boutique ce ne fut pas mieux. Je revins rapidement, mais je dus poireauter dehors pendant dix minutes. Enfin j’entrais. Je posais les cartons et la boisson. Et je pris un aller retour, pour ne pas avoir baissé les yeux en rentrant. Je me dénudai à nouveau et pris place, cette fois sur un tabouret posé au milieu. Je dus attendre une bonne heure, les yeux baissées la fin de leur petit goûter et de leurs remarques, sur mon corps. La coiffeuse se décida à finir la tonte, mais je n’en avait pas fini. Je dus rester assis et ma Domina sortit du gel et un rasoir. Elle termina le travail, prenant tout son temps avec un grand sourire devant ma mine penaude. Je pus enfin me lever et je dus comme promis tout nettoyer et recommencer sans cesse,car elles trouvaient toujours un petit cheveu égaré, donc j’ai mal nettoyé.
Vint le moment de partir, mes vêtements avaient été ramassés,ma Domina me tendit un short et et tee-shirt blanc,me jeta mes baskets, c’est ta tenue pour venir avec moi, j’enfilais ce short serré et moulant, comme ce haut également et la suivit. Elle approcha d’une voiture haut de gamme, Nigaud, comme tu as le permis, prend la voiture, nous allons à Montpellier, le trajet est sur le g.p.s, ainsi tu ne te perdras pas,moi je m’installe à l’arrière pour me reposer. Nous quittâmes Paris et arrivâmes quelques heures plus tard dans les environs de Montpellier. La villa cossue fermée par un portail électrique était immense et bien située. Une fois à l’intérieur, je dus malgré une envie pressante, décharger tout les bagages de ma Domina. Elle me présenta ensuite sa cuisinière, et enfin, le local qui m’était réservéau sous-sol. Nigaud voici ton lieu de repos après le boulot, un lit, une tablette où je mettrai tes affaires du jour, une douche et comme il ne faut pas exagérer sur le confort, des w.c à la turque ou tu n’est autorisé à y aller que nu, comme tu peut le remarquer, il y a un flexible avec un embout spécifique, c’est pour te nettoyer le fondement a chaque fois que tu défecques, tu dois toujours avoir le cul propre, donc pas de papier . Comme tu as roulé longtemps, je te laisse deux heures pour récupérer, mais nu. Je me dessapais donc. A tout à l’heure pour tes premières corvées. Je fonçais au w-c pour me soulager, et allait m’étendre en attendant la suite.


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