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Rencontre juteuse

Ecrit par flavio
Parue le 07 08 2011
Il y a 2 commentaires pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 5851 fois | Cette histoire erotique a une note de : 16.6/20

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Chapitre premier

C'était un début de soirée frisquet. La petite ville où je m'étais arrêté était tristounette pour un vendredi soir. Je déambulais sur une artère piétonne vide et seul un bar avec quelques tables dehors donnait une impression de vie. Malgré la fraicheur ambiante, je m'y arrêtais et y buvait un verre. Comme j'avais une petite faim, en réponse à la question que je lui posais, le patron m'indiqua un restaurant.
Cinquante mètres à peine, et je rentrais dans l'établissement qui m'avait été recommandé. Le décor était plutôt sympathique et la cuisine sentait bon, ce qui était plutôt bon signe. Une table était déjà occupée par deux personnes d'un certain âge et je m'installais un peu à l'écart.
Je pris un bon petit verre de vin blanc et passait ma commande.
Alors que je commençais à manger, la porte d'entrée s'ouvrit sur deux femmes d'âge mûr c’était un fait, mais au physique tout à fait séduisant. Elles prirent place à deux tables de moi et c'est la blonde, châtain, plutôt, car il y avait aussi une brune, qui se mit à la place me faisant face.
Avant de s'installer, toutes les deux retirèrent leurs manteaux et je fus particulièrement frappé par les reliefs qu'offraient leurs corsages. L'une et l'autre avaient du répondant et à vue de nez, par réflexe, je leur attribuais un bon quatre vingt dix de tour de poitrine. Peut être un petit peu plus chez la brune, dont je ne vis plus à partir de ce moment là que le dos. Pas négligeable non plus d’ailleurs car avant qu'elle ne s'asseye, j’avais pu en juger également. Un fessier à faire damner un saint.
Ça y est j’étais parti déjà dans un doux délire.
La femme blonde était plutôt souriante et elle regarda vers moi avant de prendre définitivement place. Je décelais dans son regard comme un vague intérêt à mon encontre. Mais je me leurrais sans doute et retournait à mon repas.
Quand je relevais de nouveau la tête, elle me regardait encore. Sans que ce soit pesant, ses yeux étaient cette fois ci franchement dirigés vers moi. J'y trouvais un nouvel intérêt, et à mon tour renvoyait une lueur de connivence. Elle sourit comme une fille prise la main dans le sac, mais pas fâchée de s'être faite comprendre, et retourna à son tour vers son assiette que venait de lui amener un serveur. Elle discuta avec son amie qui semblait un peu triste, tout en continuant à jeter des regards vers moi. C’était trop dirigé pour que ce ne soit qu’un simple hasard. Je me mis à mon tour en devoir de répondre à ces appels des yeux.
Les réponses furent sans équivoque, cette fois ci j’en étais certain.
D'autres personnes rentrèrent dans le restaurant et s'installèrent à leur tour ici et là. Heureusement, aucune ne vint couper mon champ de vision sur cette femme blonde aux généreux appâts et aux sourires prometteurs. Notre manège dura tout le temps du repas. Je venais de terminer un succulent dessert, et je dois dire qu’en plus, j'étais assez émoustillé par le jeu qui s'était installé entre cette femme et moi. La brune de son côté ne semblait s'être aperçu de rien et continuait à manger et à discuter avec son amie.
J'en étais arrivé au moment de régler ma note et je regrettais de devoir partir ainsi. Une idée me vint. Pas géniale bien sûr, mais que faire d’autre ?
Sur un morceau de papier, je griffonnais mon prénom et mon numéro de portable, puis me levait et me dirigeais vers les toilettes. En passant à proximité des deux femmes, car c'était le chemin obligatoire, je faisais comprendre d'un regard à la blonde, qu'il serait bien qu'elle me rejoigne. J'avais la gorge serrée et n'espérait quand même pas malgré mon optimisme que ce serait aussi simple, mais qu'avais-je à perdre?
Je rentrais dans les toilettes, qui par chance avaient un petit hall d'accueil pourvu d'un lavabo et d'un miroir commun aux deux sexes.
Quelques minutes passèrent, mais celle que j'espérais ne se manifestait pas. J'allais avoir l'air d'un beau con en sortant de là. Je faisais traîner le temps en me lavant les mains plus longuement qu'à l'habitude, quand la porte s'ouvrit derrière moi. C'était elle.
- Bonsoir.
- Bonsoir.
Elle sentait bon et de près ses seins paraissaient encore plus gros. Son bassin, que je n'avais pas eu le loisir de vraiment détailler, était aussi généreux que celui de sa compagne de table.
- Vous allez bien? Lui dis-je bêtement.
- Très bien, me répondit-elle néanmoins, c'est mon amie qui n'est pas très bien.
Je sentais bien que ça accrochait avec elle, mais pouvait-on rester indéfiniment dans ces toilettes à discuter? Je pensais que non, et passait à une offensive plus directe en lui tendant le morceau de papier sur lequel j'avais griffonné mon numéro de portable.
- J’en suis désolé pour elle… mais, quand vous serez seule tout à l'heure, appelez-moi. C'est vous qui avez les cartes en main, ajoutais-je.
Avant de sortir, sous une impulsion j'osais, comme ça, l'embrasser. Elle ne fit rien pour me repousser et me rendit la monnaie.
- A bientôt j'espère, dis-je en me reculant avant de sortir.
- Je vais faire mon possible, répondit elle avec une voix de gorge.
Quand je retournais dans la salle du restaurant j'étais un peu gêné car mon sexe avait prit du volume, mais personne ne fit attention à moi. Je réglais ma note et avant de m'éclipser je jetais un regard vers la brune copine qui était resté à sa table. Elle buvait un verre de vin rouge, elle le reposa et tourna la tête vers moi alors que je me levais. Elle me fit un sourire discret, un peu triste.
Je lui rendis et sorti du restaurant avant que la blonde dont je ne connaissais toujours pas le prénom, ne soit ressorti des toilettes. Elle avait dû profiter de ce petit voyage et je l'imaginais assise sur la cuvette, les cuisses ouvertes et la culotte baissée.
Cette petite saynète et les idées qui suivirent m'avaient fortement émoustillé et l'air frais de la nuit me fit le plus grand bien. Je me demandais si la blonde allait m'appeler comme je lui avais suggéré, et tout en cogitant je retournais instinctivement au bar où j'avais bu un verre avant d'aller manger. Il y avait du monde à l'intérieur et quelques jeunes avaient également investis les chaises qui étaient dehors. C'est vrai qu'il ne faisait pas très chaud, mais la température était tout à fait supportable et je m'installais à mon tour en terrasse.
Il était à peine vingt et une heure et ayant bu du vin blanc au restaurant, je ne fis pas de mélange et commandais au garçon un petit sancerre. De là où je me trouvais, je pouvais observer la porte du restaurant et vingt minutes après que je sois installé, la blonde et la brune sortaient. Elles prirent le chemin opposé puis disparurent au bout de la rue.
C'est cuit me disais-je en réglant mon verre. Je restais encore cinq minutes assis, puis je me décidais à rejoindre mon hôtel. J'étais un peu déçu, car mon excitation restait grande et cette blonde aux formes rebondies avait mit le feu en moi. J'avais cinq cent mètres à faire et à moitié chemin mon téléphone sonna.
- Allo!
- Rebonsoir, c'est Elisabeth à l'appareil, je vous avais dit que je ferais l'impossible…
Finalement elle avait appelé.
- J'en suis ravi Elisabeth, vous êtes où?
- Pas très loin du restaurant…
- Je vous rejoins?
- Vous connaissez un peu la ville?
- Pas du tout.
- Ce n'est pas très grave, vous ne vous perdrez pas…
- Ce serait dommage…
- Je le pense aussi… remontez la rue du restaurant et je vous attendrais au bout de la place, à droite, je suis dans ma voiture, une Audi noire…
- Ok! J'arrive, ne partez pas sans moi.
- Je vous attends.
Elisabeth, puisque maintenant j'avais son prénom, raccrocha. Plutôt content, je rebroussais chemin, remontais la rue du restaurant et arrivais effectivement sur une place. Elle était parsemée d'arbres, sombre mais pas désagréable et il n'y avait pas un chat qui y traînait. Le cœur un peu battant je la remontais sur la droite et de loin, sous un lampadaire faiblard je vis entre une Citroën et une Mercedes, l'Audi qui était garée. La portière passager s'ouvrit lorsque j'en approchais. Sans hésitation je m'installais sur le siège accueillant.
Elisabeth était au volant. Elle n'avait pas son manteau et son buste offrait dans le léger contre jour un relief attrayant.
- Je suis content que vous m'ayez appelé, lui dis-je.
Du tac au tac elle répondit qu'elle était contente que je sois venu. Il n’y avait aucune équivoque entre nous. Nous étions adultes et savions ce que chacun voulait. Je me rapprochais d'elle et posais ma bouche sur la sienne. Elle ouvrit ses lèvres et se servit de sa langue avec science. Mon sexe avait reprit une vigueur qui n'avait rien à envier à qui que ce soit, et mes mains s'aventurèrent sur le corps d'Elisabeth. Mes doigts frôlèrent son corsage et s'insinuèrent dans le décolleté. Le premier bouton sauta, puis le second, ma main toucha sa peau. Ses seins, prisonniers d'un soutien gorge dont je pouvais distinguer la couleur noire, étaient charnels, gros et chauds. Elle commença à gémir tout en continuant à me manger la bouche. J'osais m'aventurer un peu plus loin et ma main descendit vers le bassin d'Elisabeth.
Sa jupe était remontée haut sur ses cuisses pleines, mes doigts se mirent à courir sur le tissu, puis s'insinuèrent entre les cuisses qui s'écartaient sous l'intrusion. Tout doucement.
Elle portait une petite culotte que j'identifiais au passage, comme étant de la soie. Aidé par Elisabeth qui se tortillait, je repoussais le tissu délicat dans le repli d'une de ses cuisses pleines. Sous mes doigts gourmands, je sentais la toison soyeuse.
Enfin une femme qui n’avait pas sacrifié au tout déboisé.
Une douce chaleur régnait entre ses jambes et j'insinuais lentement un doigt coquin entres les lèvres de sa chatte.
Bon dieu! Elle était inondée.
Les gémissements d'Elisabeth se faisaient plus rauques, plus forts aussi. Elle avait un peu écartée sa bouche de la mienne et soufflait légèrement. Je sentis que sa main se promenait sur ma braguette, serrant, au travers de mon pantalon, ma bite entre ses doigts.
D'un coup elle stoppa son geste.
- Non, dit-elle en haletant, on ne peut pas faire ça ici.
- A mon hôtel ça va pas être possible, on va rester frustré… tu habites ici?
- Oui, pas très loin…
- Pourquoi ne pas y aller?
- La fille que tu a vue au restaurant avec moi, dit-elle en me tutoyant aussi, elle dort chez moi… une vieille copine qui est venu passer quelques jours…
- Dans la même chambre?
- Non, mais…
- Elle pourrait comprendre, non?
- Je ne sais pas, il y au moins deux ans que je ne l'avais pas vu, comment réagirait-elle?
- Elle sait ce que c'est, non?
- Arrête tu vas me faire faire une bêtise, répondit-elle en souriant.
- Il n'y a que ça de bon, les bêtises.
Elisabeth tira un paquet de cigarettes de son sac et m'en offrit une. J’en attrapais une tout en ouvrant légèrement la fenêtre de mon côté. Nous nous laissions à tous deux le temps de réfléchir, mais c'était difficile, il régnait dans l'habitacle une ambiance très excitante et au-delà de l’odeur des cigarettes, une odeur de sexes échauffés chatouillait nos narines. Dans nos premiers ébats sa jupe était remontée encore un peu plus haut et dans la pénombre à laquelle nos yeux s'étaient habitués, je pouvais voir ses cuisses dénudées et la naissance de sa petite culotte.
Elle rencontra mon regard, sourit, puis tira un peu sur sa jupe pour recouvrir ses chairs offertes.
J'arrêtais son geste et en profitais pour flatter encore un peu son entre jambes. La petite culotte était toute humide. Elle se laissa faire en renversant sa tête vers l'arrière. Remontant au dessus de la ceinture, frôlant son ventre au passage, mes doigts replongèrent entres les lèvres de sa chatte inondée.
Encore une fois, malgré le plaisir qui montait en elle, elle arrêta encore une fois mes attouchements.
- Viens! Dit-elle en ajustant sa jupe retroussée.
Elisabeth me donna un baiser mouillé avant d'ouvrir sa portière.
- On va chez toi?
- Oui! Répondit-elle décidée, en s'extrayant de la voiture.
Je descendais à mon tour. Elle et moi jetèrent nos cigarettes sur le sol, car était loin de nous la moindre motivation écologique. Elle était tout autre.
- Peut être est ce qu'elle dort à poings fermés, ajouta-t-elle par dessus le toit de la voiture en enfilant son manteau.
Je l'espérais aussi car maintenant nous étions allés trop loin pour en rester là. Elisabeth appuya sur sa clé pour fermer l'Audi puis me fit signe de la suivre.
Je marchais à ses côtés et nous traversâmes la place.
- Bon sang tu m’as inondée, dit-elle doucement à mon oreille, avec la voix presque tremblante de désir.
- Je suis bien content, mais j'en ais autant à ton service, je bande comme un âne.
Elle se mit à rire doucement en flattant ma braguette d'une caresse légère et rapide.
- Hummmm, dit-elle simplement.
- Hummm aussi, répondis-je.
Elle rit, puis annonça.
- C'est là tu vois. Pas loin.
Elle venait de désigner un immeuble à la façade bourgeoise devant lequel nous venions d'arriver.
- Beau bâtiment.
- Ancien et très cher… attends il faut que je fasse mon code.
Je restais un peu en retrait alors qu'elle tapait sur un clavier fixé au mur, mais j'avais envie de la toucher, même avec son manteau qui me cachait ses formes opulentes, cette femme m'excitait au plus haut point et bien qu'un peu contrarié par la présence de sa copine, j'avais hâte de la découvrir une fois nue. Ou presque. Je voulais faire durer le plaisir avant que de la dévoiler complètement et j'imaginais déjà sa petite culotte mouillée, recouvrant sa chatte inondée et noyée entre ses poils que j'imaginais noirs et que déjà je savais doux.
Elle poussa la lourde porte d'entrée et appela l'ascenseur.
Quand nous y pénétrâmes, la promiscuité nous poussa l'un vers l'autre et nos mains et nos bouches reprirent leurs échanges coquins. Au troisième la cabine stoppa, Elisabeth arrangea encore une fois sa jupe, sortit et se dirigea vers sa porte d'entrée.
Elle se retourna vers moi et croisa les doigts avant de mettre la clé dans la serrure.
La porte s'ouvrit sans le moindre bruit. Nous rentrâmes dans son appartement. Ça sentait bon la cire de qualité. Il y avait une épaisse moquette sur le sol et je découvris sa couleur bleue marine lorsqu'Elisabeth alluma la lumière.
L'éclairage était presque tamisé, mais je pus voir, même sans m'avancer plus que ça, que l'appartement était cossu.
Elle me prit par la main et m'entraîna à pas de loup vers ce que je prévoyais être sa chambre.
J'avais raison.
- L'autre chambre à coucher est de l'autre côté de l'appartement, dit-elle en étouffant sa voix, on a des chances…
- Je crois bien.
Elle alluma une petite lampe de chevet et demanda.
- Tu veux boire quelque chose?
- Volontiers, tu m'as donné soif, répondis-je en l'attirant contre moi.
Elle se laissa faire volontiers et m'embrassa comme un goulue. Elisabeth était à point. Moi aussi.
Je passais mes mains sous le manteau qu'elle n'avait pas encore retiré, touchait ses fesses grosses et rebondies, puis courait le long de son dos à la recherche de l'agrafe du soutien gorge, qui ne demandait qu'à tomber. Elisabeth émettait des petits gémissements, alors que ma main libre avait remonté la jupe sur ses hanches et qu'ensuite elle était redescendue lentement entres ses cuisses.
Mes doigts avaient caressé la petite culotte toute mouillée, puis avaient enfoncé le tissu entre les lèvres de la chatte bouillante. La femme que je tenais dans mes bras eut un mouvement lorsqu’elle ressentit la pénétration. Il n’était pas de recul mais au contraire d’avant. A la rencontre de mes doigts, qui exploraient au travers du tissu le puit en fusion. Je me mis à imprimer un mouvement d’avant arrière, je branlais Elizabeth qui appréciait à sa juste valeur la caresse. Elle gémissait de plus en plus fort, donnant à son bassin un souple tempo et un jus délicieux sortait de son con en émoi. Je ne pus résister au plaisir de goûter à ce nectar.
Je retirais mes lèvres de celles d'Elisabeth et portais mes doigts à ma bouche, goûtant au liquide délicieusement fluide qui inondait sa chatte. Elisabeth vint me rejoindre dans cette dégustation affolante. Comme une chienne elle léchait mes doigts, mes lèvres, avalant avec délectation le jus qui sortait de sa chatte. Mes doigts retournaient chercher des provisions et ceux d'Elisabeth les accompagnèrent, écartant le tissu de la petite culotte pour passer sous les élastiques.
Elle reprit ma main pour la guider et lui fit entamer un mouvement de masturbation. Mes doigts, guidés par les siens, branlaient la chatte en fusion. Je les ressortais du volcan humide de son entre cuisses pour les porter à ma bouche et les sucer à nouveau. Elisabeth, à l'unisson n'en perdait pas une goutte.
La femme qui était dans mes bras, tremblait de plaisir et d’émoi. Moi aussi.
Sans cesser de m'embrasser et de lécher mes doigts, elle se défit de son manteau. Il tomba au sol sans bruit. Je lâchais son entre jambes et dégrafais les boutons de son corsage. J'en écartais les pans, son soutien gorge était à demi descendu sur ses gros seins. Elle avait ainsi une allure à la fois vulgaire et excitante. Cette bourgeoise le savait et en jouait. Elle n'avait rien d'une première communiante et je m'en réjouissais. Doucement, je lui retirais son corsage un peu froissé, puis faisais tomber les bretelles de son soutien gorge sur ses bras. Elles glissèrent, dévoilant le buste d'Élisabeth.
Ses seins lourds étaient offerts, épanouis. Les tétons étaient dressés. Mes mains se baladèrent sur ces énormes mamelons, puis je les suçais, les malaxaient. La peau était douce, généreuse, excitante.
Elisabeth n'était pas en reste. Elle pétrissait ma braguette tout en cherchant les boutons qui la fermaient. Elle les trouva et sortit ma queue gonflée d'envie. Elle fit deux ou trois aller retour avec sa main le long de ma bite, puis se laissa tomber à genoux et l'enfourna entres ses lèvres chaudes et gourmandes. Elle suçait comme une reine. Promenant sa langue tout autour de mon gland, m'arrachant des gémissements de pur plaisir.
Je la relevais pourtant.
- Attends, gourmande, on a toute la nuit devant nous.
Elle se releva, elle avait les lèvres brillantes et elle se mit à sourire.
- Tu as raison, je vais chercher à boire, j'ai soif. Et toi aussi sûrement.
Tout en disant cela, elle écarta ses jambes et glissa une main entre ses cuisses. Elle ferma les yeux, fit une moue de plaisir et je vis qu'elle imprimait à ses doigts un mouvement d'aller retour. Ses gros seins s'agitaient en rythme, puis elle cessa brusquement. Sa main réapparut et elle me tendit ses doigts. Ils étaient mouillés, pleins de son jus. Elle était allée chercher pour moi encore un peu de son nectar.
- Bois ça en attendant, me dit-elle.
La cochonne savait y faire et je ne pus résister à l'offrande qui m'était faite.
Elle m'embrassa sur la bouche, me lécha plutôt, puis se dirigea vers la porte de la chambre.
- Tu vas y aller comme ça?
Elle se rendit compte que sa jupe était tire bouchonnée, remontée jusqu'à sa petite culotte et qu'elle se promenait les seins à l'air.
- Mon dieu, tu me fais perdre la tête, si j'avais croisé Martine en allant à la cuisine…
Pour reprendre son corsage elle revint vers moi en tirant sur sa jupe. Je la regardais avancer sur ses talons hauts. Dans sa classe de bourgeoise, cette femme avait quelque chose de délicieusement vulgaire à cet instant là. Son bassin ondulait sous sa jupe et ses gros seins se balançaient au rythme de sa démarche. J'avais envie de me branler sur elle. Mais je me retins. Quand elle fut près de moi je lui flattais le cul et caressais ses gros nichons. Elle ondula sous les caresses puis s'éclipsa en tortillant son généreux fessier.
Je restais seul en songeant que je n'aurais pas pu tomber mieux. Une belle cochonne que cette Elisabeth, mais je ne m'en plaignais pas, loin de là.
Je n'avais pas eut vraiment le temps de regarder autour de moi jusqu'à maintenant et lorsque je le fis j'eu une confirmation.
Elisabeth était bien une bourgeoise, et tout dans cette chambre, absolument tout sentait le luxe. De la moquette aux murs en passants par les meubles qui s'y trouvaient, chaque chose avait été choisie et était de prix.
Après tout, tant mieux pour elle.
La porte s'ouvrit et Elisabeth, corsage en bataille, toujours aussi excitante rentra avec une bouteille et deux verres. Elle posa l'ensemble sur un meuble, puis me tourna le dos pour remplir les deux verres. Je la regardais et elle le savait. Elle tendit son postérieur vers moi et regarda par dessus son épaule l'effet que cela produisait. J'avais tombé mon pantalon qui me gênait, j'en profitais pour exhiber ma queue en baissant mon slip.
Elle fut pleinement rassurée. J'avais une bite raide comme un pieu.
Elisabeth se retourna vers moi, défit les boutons de son chemisier, attrapa les deux verres et se dirigea vers le lit. Quand elle se pencha pour poser les boissons sur une table de chevet, ses seins lourds jaillirent entre les pans du chemisier.
Je me rapprochais d'elle et ne put m'empêcher de pétrir ses nichons offerts, alors qu'elle se redressait.
Elisabeth ondulait sous mes caresses, gémissant de nouveau sous les attouchements. Sa main était partie à la recherche de ma bite et je sentais ses doigts qui s’insinuaient entre ma peau et mon slip qui était devenu trop petit. Elle trouva ce qu’elle voulait et se mit à me branler. Tous les deux nous avions oublié depuis bien longtemps que sa copine Martine était là, à deux pas. A l'unisson nous gémissions, trop heureux et excités pour songer à autre chose.
Je la repoussais délicatement en attrapant ses hanches généreuses, puis je ramassais les deux verres et lui en tendait un.
- A nous!
- A nous, répondit-elle en passant sa langue sur le rebord de son verre. Elle avala une gorgée et je fis de même en m'apercevant que c'était du blanc. C'était très bien ainsi.
Je me posais sur le lit, ma bite gonflée faisait une bosse entre mes jambes. Elisabeth posa fébrilement son verre, puis se laissa tomber à genoux, dégagea ma queue du slip et se mit à me sucer de nouveau. Maladroitement je posais mon verre à mon tour, enlevait avec son aide le corsage qu'elle avait gardé sur elle, et caressais ses seins lourds. Je repoussais sa tête, la fit relever à l'attirait sur moi. Allongés sur le lit, nos bouches ne se dessoudaient pas et nos mains exploraient toutes nos parties intimes.
Je roulais sur elle et fis glisser sa robe le long de ses jambes, qu'elle releva pour me faciliter la tâche.
J’étais maintenant à genoux sur la douce moquette et devant mes yeux, son gros cul était offert. Je retins ses jambes un instant en l'air, pour l'embrasser par là. Ma langue s'insinua entre les fesses et y rencontra un slip abondamment mouillé. L'odeur de son intimité avait juste ce parfum de femme. Celui qu'il faut. Malgré les petits cris de plaisir que poussait Elisabeth je m'arrachais à cette partie de son anatomie, son goût et son odeur me collant encore au palais et au nez.
Je reposais ses jambes sur le lit et découvrait son bassin. Cette fois ci c’est la partie avant de son anatomie qui apparue.
Les hanches étaient larges accueillantes. Elisabeth n'avait pas de ventre ou si peu, son slip s'insinuait vicieusement entres les lèvres de sa chatte, laissant des poils noirs et soyeux légèrement déborder sur les côtés.
Je penchais ma tête vers sa chatte encore protégée par ce dérisoire bout de tissu trempé par l'excitation.
Je le repoussai sur le côté, découvrant ainsi deux lèvres humides et gonflées, couronnées de doux poils, taillés en un triangle harmonieux qui dissimulait encore son intimité profonde. Avec mes mains j'écartais la chair rosie et trouvait un clitoris en émoi. Je me penchais un peu plus et buvais dans le puits chaud et trempé. Ma langue tétait le bouton enflammé par le désir, léchait la mouille, suçait les lèvres bouillantes, alors qu'Elisabeth criait de plus en plus fort sous les succions affolantes.
Arrêtant mes caresses, je montais sur le lit et fis un demi tour par dessus Elisabeth. Ma langue s’insinua de nouveau entre les cuisses bouillantes de ma maîtresse. De son côté, elle découvrit ma queue au dessus de sa bouche, et ne se fit pas prier un seul instant pour la glisser entre ses lèvres ardentes. Je sentais qu'une de ses mains allait à la recherche de mon anus, flattant mes couilles au passage. Elle me caressa délicatement tout en suçant ma bite, puis attira mes fesses vers son visage et je sentis sa langue humide qui me léchait le trou du cul. Elle savait y faire. Ni trop ni trop peu.
De mon côté, je soulevais et attirais ses cuisses vers mes épaules pour aller au plus profond de son intimité en effervescence, et à mon tour lécher son anus.
Entre ses deux fesses confortables et accueillantes, un petit goût doux amer envahit mon palais et une odeur d'intimité prisonnière flatta mes narines. Que c'était bon.
Nous étions tous les deux au paradis et insouciant du monde qui nous entourait.


Chapitre deux

Martine avait poussé doucement la porte. Réveillée par les bruits, elle les avait suivit à la trace, et était tombée devant la porte de la chambre d'Elisabeth.
Elle avait bien vite comprit que son amie ne souffrait d'aucuns maux comme elle l’avait cru de prime abord. Au contraire. Et que les cris qu'elle avait entendus n'étaient que de plaisir. Alors, ça avait été plus fort qu'elle. Elle voulu voir ce qui se passait. Le plus doucement qu'elle put, le cœur battant, elle tourna la poignée et poussa la porte.
Elle n'avait pas allumé le couloir et ses yeux étaient habitués à l'obscurité ambiante. Depuis le salon, une faible clarté venue des lampadaires extérieurs, filtrait au travers des stores à demi descendus. Il en était de même dans la chambre qu'elle avait maintenant devant ses yeux. Au début Martine ne fit que regarder en curieuse, un peu gênée. Coupable d'une chose dont elle n'avait pas l'habitude. Pour tout dire c'était la première fois de sa vie qu'elle observait un couple en pleins ébats.
Elle resta néanmoins sur le seuil de la porte, sans pouvoir s'empêcher de regarder son amie et l'homme qui se trouvait avec elle. Ils faisaient tous les deux des choses très excitantes. Voire obscènes, mais Martine y trouvait une sorte de plaisir fascinant qui l'empêchait de s'en aller.
Elle se sentait gênée de violer l'intimité du couple qui s'ébattait sur le lit, mais elle ne trouvait pas la volonté de reculer et retourner se coucher.
Là bas sur le lit elle apercevait l'homme. Il était à quatre pattes, ses fesses sur le visage de son amie et il lui léchait l'entre jambes. Il léchait la chatte d'Elisabeth puis sa bouche descendait plus bas, jusqu'au trou du cul. Il s'y attardait, puis remontait vers la le triangle noir caché entre les cuisses qui étaient relevées de façon impudique. D'où elle était, Martine n'apercevait que par intermittence le cul de son amie, car il était parfois caché par la tête de celui qui le broutait. Se surprenant elle même, elle trouva un plaisir intense à regarder ces fesses généreuse, ces fesses qu'un homme inconnu était en train de lécher, de sucer. Les fesses de son amie Elisabeth. Le cul de son amie Elisabeth, dont elle devinait qu'il était actuellement largement éclot, faisant naître dans son esprit des images folles.
Et, sous le long Tshirt qu'elle avait enfilé pour la nuit, elle sentait son corps s'échauffer.
Lentement montait en elle une température anormale. Celle d’une incroyable excitation. Là, à regarder ces corps nus qui s’agitaient sous ses yeux, elle eut soudain envie de toucher et de se faire toucher. A son tour lui prenait l’envie de lécher le cul de son amie, de se faire sucer par cet homme et de crier comme Elisabeth.
Elle tenta de se raisonner, de se dire que ce n'était pas possible, que de pareilles idées ne devaient et ne pouvaient l'assaillir. Jamais elle n'avait eu envie de se coller contre une femme, que c'était le vin qu'elle avait bu au restaurant et ce spectacle qu'elle avait sous les yeux qui la faisaient devenir folle à lier.
Mais elle ne bougea pas d'un pouce, fascinée par la scène qui se déroulait sous les yeux.
Au travers de la porte entr'ouverte elle voyait son amie et cet homme. Elle devait s'avouer que le spectacle était terriblement excitant. Une idée folle vint encore l'assaillir. Elle poussa un peu plus la porte et fit un pas en avant. Elle n'en avait plus que cinq ou six à accomplir pour se joindre à eux et participer aux ébats. Elle s’en garda à grand peine, car un soupçon de retenue vint la rappeler à la raison.
Sous ses yeux fascinés elle voyait les deux amants qui se léchaient, se caressaient, gémissaient de plaisir dans des poses parfois obscènes mais tellement troublantes.
Là, debout dans le couloir, les pieds nus sur la confortable moquette de l'appartement, irrésistiblement sa main descendit vers son sexe. Quand elle le toucha, elle n'en revint pas comme il était mouillé. Elle retira son doigt, un peu surprise, puis le remit. C'était bon.
Entre les lèvres de sa chatte, le liquide chaud coulait le long de ses doigts qui commençaient à s'agiter.
Martine regardait le couple sans en perdre une miette. Elle était comme hypnotisée par ce qu'elle avait sous les yeux. De son autre main elle se mit à caresser ses seins. Elle voyait ceux d'Elisabeth qui s'agitaient, ils étaient lourds comme les siens, et une autre idée folle lui vint en tête alors que ses doigts glissaient sur son clitoris bouillant, puis rentraient et sortaient de sa chatte trempée.
Encore, elle eut envie de se frotter contre son amie. Jamais une telle chose ne lui était venue à l'esprit, mais là dans la nuit, cachée derrière cette porte, avec en face d'elle ce couple en furie elle sentait qu'elle vacillait.

Chapitre trois.

Nous ignorions tout de cette voyeuse. Elisabeth et moi, nous étions bien trop occupés tous les deux.
Elle était à quatre pattes sur le lit et moi j'étais en train de la prendre en levrette. Dans les mouvements de va et vient, ma queue n'avait aucune difficulté à rentrer et sortir tellement la chatte d'Elisabeth était lubrifiée. Je me tenais aux hanches généreuses de ma compagne tout en donnant des coups de reins.
Elisabeth poussait des grognements et j'en faisais autant. Je sortis complètement ma bite de sa chatte et d'une main je me positionnais devant son anus. Je poussais et m'introduisit doucement dans son trou du cul chaud et largement épanoui. Ce n'était sans doute pas la première fois qu'elle subissait pareil assaut et elle y prenait un plaisir délirant. Ma bite s'enfonça et je fis des vas et vient. Ma main redevenue libre, partit à la recherche du clitoris d’Elisabeth alors qu'elle imprimait des mouvements à son bassin pour faciliter et augmenter le plaisir. Je trouvais le puits humide et bouillant de ma compagne. Mes doigts se mirent à astiquer sa chatte inondée, pendant que ma bite rentrait et sortait de son cul aussi ardent que le reste de son corps. Elle criait et criait encore.
Si Elisabeth prenait du plaisir je n'étais pas en reste. Cette femme d'âge mûr aux formes généreuses m'excitait énormément et je calmais un peu le jeu tout en continuant à la masturber. Ma main qui se cramponnait à une hanche allait chercher de temps à autre les gros nichons qui se balançaient sous les coups de boutoirs et les mouvements imprimés par sa propriétaire.
Elle criait, ne se retenait plus, oubliant complètement l'amie qu'elle hébergeait.
C'est ça, qui à force de monter en puissance, il faut bien le dire, avait alerté Martine, puis l'avait scotchée dans le couloir.
Appuyée contre un des encadrements de la porte, ses doigts s’agitant furieusement dans son intimité, elle était maintenant au bord de la jouissance, avec en tête des idées délirantes. Jambes écartées elle haletait sans se retenir, consciente que les deux amants qu'elle observait, couvraient tout autre bruit en criant encore plus fort qu'elle.
Eux, ils étaient deux.
Elle pétrissait ses seins lourds et gonflés. A plusieurs reprises sa main lâcha ses nichons et descendit vers son bassin. Elle caressait ses fesses, suivait la raie qui les séparait puis se glissait alors un doigt dans le trou du cul. Bien que se sentant affreusement coupable, elle y trouvait un plaisir qu'elle ne connaissait pas jusqu'alors et de toute façon son instinct et son excitation étaient plus forts que tout. Là bas sur le lit, alors qu'elle se masturbait comme une furieuse, Martine, dans son délire vit l'homme qui éjaculait sur le dos de son amie alors que cette dernière criait de jouissance.
Elle activa un peu plus ses doigts et se mit à jouir à son tour. Secouée par des ondes de plaisir, elle dû retenir ses cris en se mordant les lèvres. Là bas, sur le lit les amants s'étaient calmés, allongés et soufflants tous les deux comme des coureurs fatigués.
Martine se tint au mur du couloir tellement sa jouissance fut forte et l'avait vidée de toutes ses forces. Elle prit du plaisir comme jamais de sa vie, mais revint vite à la réalité. Elle eut peur d'avoir fait trop de bruit. Mais non, ni son amie ni l'homme qui était avec, n'avait relevé la tête lorsqu'elle avait étouffé ses cris.
Elle tira la porte sans la refermer et retourna vers sa chambre, troublée par ce qu'elle venait de vivre. Par instinct, elle sentit ses doigts. Ils embaumaient le sexe et l'anus. Elle reçu un coup à l'estomac en s'apercevant qu'elle aimait ça. Elle s’arrêta dans le couloir, hésita un court instant puis enfonça deux de ses doigts dans sa chatte. C’était tout mouillé, glissant même. Martine prenait un plaisir qu’elle avait oublié, refoulé. Elle en voulait un peu plus maintenant. Son autre main glissa sous le T shirt et son annulaire pénétra dans le trou du cul qu’elle écartait en même temps que ses jambes. Encore une fois, à l’orée de sa chambre, complètement transformée elle se branla. Le cul et la chatte. Il ne fallut que quelques courtes minutes pour que de nouveau elle se morde les lèvres pour camoufler ses cris de bonheur. C’était tellement fort qu’elle due se retenir au mur afin de laisser passer un vertige de plaisir.
Ses doigts coquins ressortirent des trous en fusion et allèrent naturellement vers la bouche de Martine. Elle les suça avec délectation.
Qu'est ce qui se passait en elle?


Chapitre trois.


Elisabeth et moi reprenions doucement nos esprits lorsqu'elle porta sa main à sa bouche.
- Mon dieu! Dit-elle dans un souffle, pourvu que Martine ne se soit pas réveillée!
- Mais non, lui répondis-je.
- Tu dois avoir raison… tu as soif?
- Oh que oui!
C'est elle qui fut la plus courageuse et se releva pour récupérer les deux verres de vin. C'est vrai qu'ils se trouvaient de son côté.
- Il n'est pas trop frais.
- Ça ne fait rien.
Les deux pieds plantés dans la moquette, elle s'était accroupie car la table de chevet était basse. Ainsi, ses gros seins reposaient sur ses cuisses.
- Fais voir, lui dis-je en me contorsionnant sur le lit et en lui écartant un genou.
Comme ça on aurait dit qu'elle était en train de pisser et cela me fouetta. Instantanément ma bite retrouva de la vigueur.
Ça lui plaisait bien que je réagisse comme ça, et m'en montra un peu plus tout en continuant à remplir le verre qu'elle avait en main.
Les jambes d'Elisabeth étaient bien écartées et ne cachaient absolument rien de son intimité. La lampe de chevet jetait une lumière crue sur cette chatte encore rouge des attouchements intenses qu'elle avait reçu, et les lèvres encore alanguies et humides, comme une invitation, entre les poils noirs, brillaient sous les feux de la lumière toute proche.
- Santé!
- Santé!
C'est vrai que le vin n'était plus très frais mais qu'importait à ce moment là.
- C'est pas tout ça, dis-je en regardant ma montre, il vaudrait mieux que je m'en aille, il est déjà plus de minuit. Ça la foutrait mal si ta copine me trouvait dans ton lit demain matin.
- Je suis vraiment désolé, j'aurais bien aimé que tu dormes avec moi…
- Une prochaine fois peut être…
- Demain soir?
- Demain soir? Mais ton amie sera encore là, non?
- Oui mais demain je la préviendrais…
- Tu crois que…
- Je vais tout arranger, j'aimerais bien te revoir…
- Moi aussi, tu sais… c'était un régal…
- A qui le dis-tu…
- Viens là, je voudrais te lécher encore une fois.
Jusqu'alors, Elisabeth était resté accroupi à côté du lit, me faisant profiter de son intimité et cette fois ci j'avais retrouvé toute ma vigueur et bien plus encore.
Elle sourit, se redressa, posa son verre, glissa une main entre ses cuisses, la ressortit et dit tout en suçant ses doigts souillés.
- Hummm, c'est encore chaud et tout mouillé.
A mon tour, je glissais mes doigts dans sa chatte. C'est vrai elle mouillait encore abondamment.
- Viens là! Lui dis-je en l'attirant vers le lit. Elle s'y laissa tomber. Je lui écartais les jambes, relevais ses cuisses et me mis à la lécher sans attendre tellement j'en avais envie. Une forte odeur de sexe m'attendait dans l'intimité d'Elisabeth et j'aimais ça. Je suçais sa chatte, mordillais son clitoris en grognant, ma maîtresse poussait des cris de plaisir en ondulant son bassin et ses fesses généreuses sous les caresses. Je glissais un doigt dans son anus et elle vint à sa rencontre en poussant son cul vers mon doigt. Je lui imprimais un mouvement de va et vient sans cesser de lécher son intimité. Ses cris étaient de plus en plus forts, ses mains partaient à la recherche de ma queue. Elle la trouva et tout en goûtant aux joies que je lui procurais elle me branla.
Soudain son corps se cabra, ses mains serrèrent ma bite en l'agitant puis elle se mit à jouir en criant. Je n'étais pas loin non plus et dans ses spasmes de plaisir elle donna à ma queue une dernière secousse. Je criais à mon tour alors qu'un jet de sperme giclait sur son visage. Tout en gémissant elle recueillit tout ce qu'elle put entre ses lèvres gourmandes.
Vaincu par le plaisir et la fatigue, je m'écroulais la tête entre les cuisses d'Elisabeth alors qu'elle continuait à me lécher le gland, en poussant des petits grognements de satisfaction.
Nous ignorions tous deux que là bas au bout de l'appartement, Martine qui avait gardée sa porte entr'ouverte criait en mordant les draps. Elle venait encore de se branler.



Chapitre quatre.


J'étais rentré à mon hôtel un peu comme un zombi, fatigué par cette nuit éreintante. Je me couchais sans me laver, gardant avec moi l'odeur de cette femme avec qui j'avais passé une soirée mémorable, et m’endormis en pensant à un lendemain prometteur.
Il était dix heures quand je refaisais surface et j'avais raté le petit déjeuner. Douché et habillé j'allais en ville pour trouver un bar sympa et prendre quelque chose à manger.
Je repensais encore à ma soirée et n'en revenait pas d'être tombé sur une femme aussi excitante.
Elle avait promis de me rappeler dans la journée et j'avais l'esprit tranquille. J'avais juste à passer le temps dans cette ville où il n'y avait rien à faire mais où j'avais bien fait de m'arrêter.
Je réglais mon café et mes croissants puis décidait d'aller promener et découvrir la cité.


Chapitre cinq.


Elisabeth se réveilla vers midi en pensant à l'homme qui était avec elle la veille au soir. Elle se sentait bien et avait une faim de loup. Elle se leva, regarda son corps nu dans le miroir sur pieds, tourna sur elle même et se trouva plutôt pas mal.
Elle rentra dans les toilettes qui étaient contiguës et posa ses fesses généreuses sur la cuvette. Avant d'uriner elle insinua une main délicate entre ses cuisses. Elle y trouva un restant de chaleur et d'humidité, elle ressortit les doigts de son intimité et les huma. Elle aimait renifler cette odeur de sexe encore tiède et mouillé. Elle lécha ses doigts et en même temps lâcha un jet d'urine qui fouetta les parois de la cuvette des wc. Elle se sentait bien et n'avait qu'une hâte. Que la soirée se profile vite. Mais avant elle devait parler à son amie Martine… ça c’était un peu plus délicat, mais bon…
Elisabeth rafla un morceau de papier sur le dévidoir, s'essuya délicatement en écartant un peu plus ses cuisses, puis passa à la douche.
Quand elle sortit de sa chambre, elle était habillée, elle portait des chaussures noires à talons hauts, une robe de la même couleur et très échancrée qui laissait voir la naissance de ses seins opulents. Autour de son cou elle avait nouée un foulard qui tranchait, puisqu'il était rouge vif. Elle était en tous cas prête à parler à son amie Martine. En admettant que celle ci ne soit pas sortie entre temps.
Elisabeth passa d'abord par la cuisine afin de faire chauffer de l'eau, car elle avait très envie d'un café et de quelques tartines. En attendant, elle partie à la recherche de son amie.
Elle la trouva sur le balcon. Elle regardait passer le gens et les voitures, trois étages plus bas.
- Bonjour!
Elle se retourna un peu surprise.
- Mon dieu! Elisabeth tu m’as fait peur.
- Tu as bien dormi, demanda cette dernière avec quelques scrupules.
- Euh, oui, oui… et toi?
- Euh, pas mal non plus… tu as déjeuné?
- Oui, mais je vais reprendre un café… tu en prends un aussi?
- L'eau est en train de chauffer, viens.
Martine suivit Elisabeth. Alors lui revint en tête ce qu'elle n'avait pas oublié mais simplement un peu refoulé. Son amie marchait devant elle, ses fesses ondulaient sous ses yeux et elle se souvenait comment elle l'avait vu la veille, avec cet homme. Elle eut comme un coup à l'estomac. Un coup pas désagréable, une onde de chaleur plutôt.
Toutes deux arrivèrent dans la cuisine. L'eau bouillait et Elisabeth prépara deux cafés.
- Tu veux manger quelque chose?
- Non, merci…
Elisabeth sentait bien que son amie n'était pas à l'aise, et regrettait de toute façon que cette femme encore très jolie ne refasse pas surface après que son mari soit mort. Bien sûr c'était triste, mais presque deux ans après elle ne comprenait pas pourquoi la vie n'avait pas reprit le dessus.
- Il y a quelque chose qui ne vas pas? Tu repenses encore… à tout ça…
- Non, non tout va bien… écoute Elisabeth, j'ai quelque chose à t'avouer… au contraire je me sens coupable… hier… hier… je t'ai entendu avec…
- Mon dieu, Martine je suis désolée…
- Non, non ne le sois pas… en fait… j'avoue que ça… cela m'a excitée…
- C'est la meilleure des nouvelles que tu pouvais me donner, je suis un peu gênée, mais bien contente pour toi…
- Ne soit pas gênée… c'est moi qui devrait l'être… je vous ais regardée…
Elisabeth fut surprise par cet aveu matinal et plutôt osé, mais elle n'était pas contrariée. Plutôt flatté.
- Tu as aimé? Dit-elle en souriant.
- Plutôt oui, c'est bien ça qui m'inquiète…
- Qui t'inquiètes? Comment ça?
Martine avait prit sa tasse de café en mains et elle regardait par la fenêtre de la cuisine, gênée par sa confession. Au dehors le temps se couvrait sérieusement et les premières gouttes de pluie frappèrent les carreaux.
- J'ai tout aimé Elisabeth… tout…
- Et alors, c'est plutôt normal et rassurant, non?
- Même si je te dis… que j'ai adoré te voir toi…
- Moi? Comment ça?
- Toi nue… j'ai aimé te regarder te faire … enfin, tu vois…
Elisabeth se mit à rire.
- Je vois très bien… et nous qui pensions que tu dormais à poings fermés, que tu n'avais rien entendu… ne soit pas gênée Martine, depuis presque deux ans tu n'a pas fait l'amour, c'est toi qui me l'a dit et il est normal qu'une femme en pleine santé comme toi réagisse…
- Oui mais te voir toi… tes cuisses, tes fesses…
- J'en suis flatté, j'aime mieux ça, venant d'une belle femme comme toi ça me rassure…
- Cela ne te dérange pas?
- Pas du tout, je te l'ais dit… je vais même te faire une confidence. Ce n'est pas vraiment dans mes habitudes mais deux ou trois fois j'ai fait l'amour avec des femmes et c'est plutôt agréable… alors tu vois ce n'est pas très grave d'être excité en regardant une autre… surtout dans les positions où tu a dû me voir…
- Oui… j'avoue que c'était…
- Très excitant?
- C'est le moins que l'on puisse dire.
- L'homme aussi t'as fais de l'effet?
- Oui, oui aussi… tous les deux…
- Tant mieux, tu es sur le chemin de la guérison et je suis contente, dit Elisabeth en serrant son amie dans les bras. Martine mit sa tête au creux de son épaule.
- Tu crois que je vais m'en sortir vraiment?
- C'est bien parti en tous cas, ajouta Elisabeth en se reculant un peu.
- Je te remercie, ça me fait chaud au cœur d'entendre ça.
Elle était émouvante. Elisabeth la regarda mieux. Elle portait un corsage blanc et ses seins étaient proéminents. Sa jupe à carreaux enserrait son généreux bassin et elle était montée sur des talons noirs. Toutes les deux avaient à peu près la même morphologie et c'est maintenant vraiment qu'Elisabeth s'en rendait compte.
Maintenant qu'elle ne la voyait plus, non comme une amie en plein naufrage mais comme une femme qui revenait à la vie, d’ailleurs à y regarder de plus près Martine ce matin là, semblait un peu plus maquillé qu’à l’habitude. Un signe.
- Viens! Lui dit elle, allons nous asseoir dans le salon.
Martine avait reprit de la superbe et c'est accompagné par les premiers coups de tonnerre qu'elles allèrent toutes les deux dans le salon. Elisabeth prit place dans le canapé et son amie dans un fauteuil. L'une et l'autre avaient des jupes tellement ajustées qu'elles remontèrent sur leurs jambes.
Martine regarda les cuisses de son amie, Elisabeth aussi. Toutes les deux se sourirent et puis rirent.
- Ben dis donc, je pense vraiment que tu es sortie du trou noir, dit Elisabeth.
Martine se mit encore à rire.
- Je crois et j'espère, répondit-elle.
-Tu veux encore un café?
- Oui volontiers, je me sens tellement bien…
Née de l'orage, du sujet de conversation et de l'aura de ces deux femmes plantureuses, une atmosphère troublante s'installait dans le salon. Elisabeth se leva, franchit les deux pas qui la séparait du fauteuil de Martine, et se mit debout devant elle.
- Raconte moi en détail ce que tu a vu et ressenti, demanda-t-elle avec une voix de gorge.
Martine ressentit d’autant plus ce trouble chez son amie qu’elle éprouvait le même.
- Oh… mon dieu, répondit-elle avec la même voix prise par l’émotion… tu veux savoir quoi ?
- Que tu me racontes une histoire… croustillante.
- Une histoire cochonne ?
- C’est exactement ça, mais c’est notre histoire, puisque c’est moi qui la vivait et toi qui la regardait…
- Élisabeth je suis gênée…
- Je ne pense pas ma chérie, je pense au contraire que comme moi cela t’émoustille mais que tu n’oses te l’avouer… laisse toi aller…
Martine regarda son amie et lui donna un sourire.
- Tu… tu as raison je crois… je ne sais pas ce qui se passe ne moi...
- Moi je le sais parfaitement, et j’ai certainement un remède.
La pluie tambourinait très fort sur les vitres, et de temps à autre un éclair venait zébrer la pièce de son flash fulgurant. Par ailleurs, le ciel s’était tellement assombri que la lumière était maintenant quasi inexistante, laissant les deux femmes troublées dans une intime pénombre.
- Tu… veux que je raconte ?
- Oui… j’ai très envie d’entendre cette histoire… tu ne veux pas ?
- Si… si… mais je suis tellement…
- Vas-y ! Je pense que nous n’allons pas regretter.
Martine tremblait presque et si au fond d’elle, il est vrai qu’elle ressentait une certaine gêne, elle sentait également entre ses cuisses quelque chose qui s’échauffait. En fait, ce moment incroyable qu’elle vivait avec son amie l’excitait terriblement et elle n’était pas sans savoir qu’Elisabeth ressentait la même chose. C’est ce qui la poussa à raconter. Elle savait qu’entre elles deux ce n’était que les prémices de quelque chose qu’elle imaginait confusément et la faisait mouiller.
- Je… je vous ais vu tous les deux sur le lit… quand je suis arrivé, il était en train de…de…
- Vas-y ! Demanda doucement Elisabeth alors que sa voix était de plus en plus étranglée.
- Il était en train de… de te lécher… entre les jambes…
- Il me bouffait la chatte, c’est ça, ajouta Elisabeth avec un mot choisi à dessein.
- Oui, il te bouffait la chatte, répondit Martine, en passant inconsciemment sa langue sur ses lèvres.
- C’est tout ce que tu as vu, ma chérie, demanda encore Elisabeth en venant s’asseoir aux côtés de son amie qui ressentit une onde de chaleur dans le ventre en sentant le bassin d’Elisabeth se coller contre le sien.
- Non ... non… toi tu… tu… tu l’avais dans ta bouche…
- Je lui suçait la queue, rectifia Elizabeth qui était maintenant tout à fait excitée.
- Oui, c’est ça tu lui suçait la queue, ajouta Martine en avalant sa salive avec peine.
- Et toi tu aimais voir ça ?
- Pas que ça, j’ai adoré voir ton cul, répondit Martine soudain débarrassée de ses complexes, il était écarté, offert… j’ai pu voir ta chatte toute noire, tu criais, ça avait l’air de te plaire…
- Ça me plaisait, je t’assure, confirma Elisabeth en mettant une main sur le genou d’Elisabeth.
- Tes seins qui s’agitaient aussi, j’ai adoré les voir bouger sous les coups de queue qu’il te donnait…
Elle était rentrée dans une autre dimension et doucement elle se laissait aller, parlant vulgairement des choses qui l’avaient tant excité la veille, et Elisabeth adorait ça.
- Quand il s’est enfoncé en toi, puis après quand le sperme a jailli, et que tu as tout avalé, j’ai vraiment aimé…
- Hummm… et qu’est ce que tu faisais, toi pendant ce temps à part regarder ? demanda Elisabeth en faisant glisser sa main sous la jupe de Martine qui ne disait rien mais ne demandait que ça.
- J’ai honte de te dire ça, mais je me… masturbais…
- Tu te branlais ma chérie, comme ça ?
Élisabeth avait atteint l’entre jambes de son amie et ses doigts s’étaient insinués dans la motte chaude qu’elle y avait trouvé.
- Haaaaaa… hoooo… disait Martine pour toute réponse.
-Bon sang tu es toute inondée…
-Oh ouiii, je mouille, je mouille…
-Ça me plait tellement de te sentir comme ça.
-Je ne sais plus en j’en suis… branle moi…
Elisabeth agita un peu plus ses doigts dans la chatte de son amie et puis se pencha vers elle.
Les langues se mélangèrent. Il y eut un léger instant de flottement puis Elisabeth attira son amie sur la moquette. Elle se laissa faire et elles s'embrassèrent encore à bouche que veux-tu. Au dehors la pluie tombait fort et tambourinait contre les carreaux, couvrant les premiers gémissements des deux femmes.
D'elle même, Martine qui était allongée sur le sol déboutonna son chemisier. Elle n'avait pas de soutien gorge et ses énormes nichons apparurent dénudés, offerts.
Elisabeth à califourchon sur son amie, les caressa, puis les suça, les malaxa prise d'une folie douce. Excitée par ces seins énormes. Plus gros que les siens encore. Elle défit son propre corsage, l'enleva, fit tomber son soutien gorge et ses seins à leurs tour s'épanouirent sur son buste.
Martine ne se fit pas prier pour les prendre à pleines mains. Elle les pétrissait, tirant des petits cris de plaisir de sa compagne.
Elisabeth se tortilla défit les agrafes qui retenait la robe de son amie, ne put résister plus longtemps à l'envie de découvrir sa chatte et arracha le slip. Elle lui écarta les cuisses et fourra sa main entre les lèvres du sexe de Martine. Celle ci était comme folle, s'agitant en tous sens et criant son bonheur. Elisabeth se pencha jusqu’à l’entre cuisses de Martine et se mit à lécher, à avaler sa mouille juteuse à point, puis tout en continuant à la sucer, elle mit un doigt dans le cul de sa compagne. Elle l’enfonça doucement, puis lui fit faire des aller retour. Martine accompagnait le mouvement en gémissant. Toutes les deux devenaient folles de plaisir et d’excitation.
Tout en continuant la caresse de plus en plus précise qu’elle avait entamée, lentement Elisabeth enjambait Martine et son propre bassin fini par parvenir au dessus de la bouche de Martine. Ce cul, ce magnifique et généreux cul qu’elle voyait hier au loin en se masturbant, était là, à portée de sa bouche. Elle prit son amie par les hanches et l’attira sur ses lèvres. Alors, elle donna des coups de langue entre les fesses de son amie, chercha le trou du cul largement ouvert, descendit jusqu’au sexe en feu d’Elisabeth qui se tortillait sous les caresses sans concessions.
Tout à coup elle lâcha sa proie. Une incroyable onde de plaisir lui parcouru le corps. Elisabeth tout en profitant de la langue de son amie, n’avait pas arrêté elle-même de lécher la chatte de Martine et de lui fouiller l’anus avec ses doigts. La femme, privée depuis tellement longtemps des plaisirs de la chair n’avait pu se retenir plus longtemps. Elle était arrivée à ses fins. Elle jouissait en criant comme une folle.
- Eh bien ma chérie… commenta Élisabeth en se dégageant doucement après que les secousses se calmèrent, c’était bon, hein ?
- Oh, mon dieu, mon dieu, réussissait à répondre Martine, quel bonheur…
Maintenant toutes deux nues, lèvres luisantes et odorantes, allongées sur la moquette, elles profitaient de ce moment d’exception en soufflant.
Quelques minutes passèrent ainsi dans le silence, puis Martine se releva. Elle passa ses jambes de part et d’autre d’Elisabeth qui était restée allongée sur le sol, puis écarta ses cuisses et montra de façon impudique son entre jambe à son amie.
D’où elle était Elisabeth avait une vue imprenable et elle ressentit une douce et violente onde au creux de l’estomac en voyant ces lèvres ouvertes, encore luisantes d’humidité.
- Mon dieu comme c’est beau !
- Regarde bien ma chérie, c’est à toi, c’est toi qui a rendu la vie à cette chatte en sommeil, fait en ce que tu veux… répondit Martine.
- Viens ! Dit simplement Elisabeth en tendant une main à sa maîtresse.
Elle ne se fit pas prier et en s’accroupissant mit sa chatte juste au dessus de la bouche de son amie. Celle-ci ne put attendre plus longtemps et goulûment se mit à la lécher. Encore.
Dans la position d’une femme en train d’uriner, Martine était là, le sexe sur la bouche d’Elisabeth, ouvert, offert.
- Donne-moi ton cul !
En gémissant de bonheur, Martine se déplaça, puis présenta son anus au dessus de la bouche de son amie. Une langue s’insinua dans le trou tout chaud.
- Hummmmm….
- Hummmmmm…lèche moi, c’est bon…
- Caresse-toi les seins…
Martine avait jeté toute pudeur aux orties et sous les désirs de son amie elle se mit à se caresser les seins. Ils étaient durs, lourds, tendus, sensibles
Ooooh, que c’est bon …. Met moi le doigt dans le cul…
A son tour, Elisabeth s’exécuta et enfonça un doigt dans l’anus de Martine. Il était trempé de la mouille qui dégoulinait de la chatte, bouillant, odorant. En quelques aller retour dans ce cul trop sensible aux attouchements, encore une fois Martine se mit à jouir dans la bouche de son amie, qui n’avait pas pour autant arrêté de la lécher comme une folle.
- Oh mon dieu, qu’est ce qui m’arrive ?
- Rien que de très normal à une jolie femme comme toi, répondit Élisabeth en haletant.
Le tonnerre au dehors redoublait de violence et ne calmait pas les esprits échauffés.
- A ton tour maintenant, affirma Martine en insinuant sa langue entre les cuisses d’Elisabeth.
Les lèvres de sa chatte étaient bouillantes, trempées, ruisselantes même. En suçant, Martine y prit un plaisir fou, et avala tout ce qui venait sous les lapements amoureux et précis. Elisabeth le corps en folie, trop au bord de l’explosion, ne mit pas longtemps à jouir à son tour sous les coups de langues avides de Martine.
- Ahhhhh….Mhuuuuuuuu….
- Je te boufferais le cul sans arrêt, entendit-elle comme commentaire alors qu’elle criait en se tortillant.
Calmée, elle répondit :
- C’est quand tu veux ma chérie… et j’en ai autant à ton service.
Martine se pencha vers Elisabeth et leurs bouches se joignirent en un long et tendre baiser… il y avait aussi un peu de perversité dans cet échange.
Les chattes se mettaient encore à mouiller.



Chapitre cinq.


C’était l’heure que nous avions convenu avec Élisabeth et je me dirigeais vers son immeuble en laissant traîner quelques minutes, pour ne pas avoir l’air d’un chef de gare. Lorsque je sonnais, Elisabeth me répondit au parlophone.
- Monte !
Je pensais tout heureux que cette fois ci nous serions tranquille, le ton de sa voix ne laissait aucune équivoque à ce sujet. Nous serions seuls et libres.
Arrivé à l’étage je frappais discrètement à la porte. Il ne fallut que quelques secondes pour qu’elle ne s’ouvre. J’étais soufflé.
Élisabeth se tenait devant moi. Un décolleté vertigineux laissait voir plus de la moitié de ses énormes seins, et la robe qu’elle portait était si courte que même alors qu’elle était debout, je pouvais voir la naissance des jarretelles.
- Entre !
- Fuuuu…
- Ça te plait ? Demanda-t-elle en tournant sur elle même
- Ben dis donc…répondis-je, alors que déjà au fond de mon slip quelque chose répondait à l’appel de la femme court vêtue.
- Viens !
Je la suivais alors qu’elle me prenait par la main.
- J’ai une petite surprise pour toi, j’espère que tu aimeras, mais il va falloir attendre un petit moment…
- Bon sang ! Qu’est ce que c’est ?
- Tu verras par toi-même, viens boire quelque chose.
Je prenais place dans le canapé du salon où régnait déjà une atmosphère propice aux ébats amoureux. La lumière y était tamisée et il y avait une senteur d’encens et du vin blanc dans un seau posé sur la table. Elisabeth se pencha vers moi. Ses seins faillirent sortir de la robe et je ne pus m’empêcher de les caresser. Elle se laissa faire puis se retira en riant.
- Attend gourmand !
- C’est difficile de résister, tu sais…
- C’est fait exprès, répondit elle en s’asseyant à son tour en face de moi. Cette fois ci ce sont ses cuisses, visibles jusqu’à sa petite culotte qui me narguèrent. Pour bien insister, elle écarta ses jambes et me montra son slip.
Je fis mine de me lever pour aller tâter tout ça, mais elle m’arrêta en riant.
- Soit patient, la surprise arrive.
- Bonjour ! Entendis-je derrière moi. Mon cœur s’emballa. Putain ! La copine n’est pas partie !
Bien élevé, je me repris et saluait la femme qui venait de rentrer dans le salon. C’était bien la femme qui était avec Elisabeth au restaurant la veille.
Mais la première surprise passée, je regardais mieux cette invitée de dernière minute. A quelque chose près, le décolleté qu’elle arborait était aussi profond que celui de son amie, et si je voyais bien qu’elle ne portait pas de jarretelles, c’est parce que sa jupe était si courte qu’elle ne me cachait rien de ce qui était sensé se trouver en dessous.
- Martine, Michel, Michel, Martine…
C’est Élisabeth qui venait de faire les présentations, et le moment de surprise passé je la regardais avec des yeux en forme de points d’interrogations.
- Assied toi et prends un verre, me répondit-elle, je vais t’expliquer.
Je m’emparais du verre de vin blanc qu'Élisabeth avait déjà servi, alors que Martine s’asseyait à son tour auprès de son amie. La vue que j’avais sur ces deux paires de cuisses, faillirent me faire avaler de travers. J’hallucinais.
- J’ai une grande nouvelle à t’apprendre d’abord, Martine est guérie…
- Elle était souffrante ? Demandais-je bêtement.
- En quelque sorte.
Élisabeth, alors que les verres se remplissaient puis se vidaient au fur et à mesure de la conversation, m’expliqua ce qui s’était passé avec son amie. Elle me raconta tout. Elle ne me passa aucun détail et l’atmosphère s’en trouvait lourde de luxure et d’excitation. Elle savait que j’étais adulte et que je n’allais pas m’en offusquer. Elle avait entièrement raison. Cela venait même de faire monter de plusieurs crans la chaleur qui s’emparait de moi… et d’elles au passage. Dans cette atmosphère d’intimité, l’éclairage tamisé et les odeurs d’encens, une fois de plus je sentis au fond de mon slip, ma bite qui réclamait.
- Elle ne souhaite pas participer à nos ébats, refroidie tout à coup Elisabeth, mais regarder lui ferait le plus grand plaisir… tu es d’accord ?
- Euh… oui…oui… bien sûr… si elle veut… mais pourquoi s’habiller ainsi ? Osais-je demander.
- Parce que je me sens un peu plus impliquée, un peu moins voyeuse, un peu participante, rétorqua Martine en souriant.
- Bien, bien… je comprends.
- Allez, les explications sont données il n’y a plus de malaise et je crois bien que nous allons passer une très bonne soirée, buvons !
La situation me semblait extraordinaire bien sûr, mais drôlement bandante. Et après tout il y avait plus désagréable. Elisabeth, que le vin et l’ambiance avait échauffé vint me rejoindre sur le canapé, alors que Martine que je lorgnais d’un œil, car il ne me déplaisait pas du tout de regarder sous ses jupes et dans son décolleté, se mit juste en face de nous dans un fauteuil. Son œil s’était allumé et si l’alcool y était pour quelque chose, il n’y avait pas que ça.
La position qu’avait adoptée Elisabeth ne devait pas y être étrangère.
Elle se penchait sur moi, les fesses tendues en direction de Martine et m’embrassait goulûment. J’imaginais la vue que devait avoir Martine sur le cul de son amie. La jupe trop courte devait dévoiler copieusement la croupe généreuse de ma maîtresse… qui avait aussi été la sienne.
Pendant que je profitais des baisers d’Elisabeth, entre deux respirations, je ne pus m’empêcher de jeter encore un regard vers Martine. Elle buvait, mais ses yeux s’étaient agrandis et elle était hypnotisée par nos ébats. Ses jambes étaient largement ouvertes et plus que je ne voyais, j’imaginais ce qui était au fond de cet antre sombre et attirante. Martine se tortilla tout en continuant à nous regarder bouche entr’ouverte. Elle remonta sa jupe franchement, découvrant une superbe culotte noire faite de dentelles adorables et sexy. Ses cuisses s’élargirent un peu plus, puis laissèrent le passage à une de ses mains qui venait de s’y insinuer. Elle caressait maintenant la petite culotte à un endroit précis, tirant de légers halètements de la femme.
Une chose était certaine, Martine était véritablement engagée sur la voie de la guérison totale et je me sentais l’âme d’un thérapeute spécialisé. Cela dit sans forfanteries.
Elisabeth se retourna, tout en tortillant son cul de façon provocante, elle enleva sa propre culotte avec lenteur et à son tour remonta sa jupe très haut sur ses hanches. La salope était ainsi d’une vulgarité magnifique. Elle défit les boutons de son corsage, dégrafa son soutien gorge, puis nous laissa admirer ses gros nichons à tour de rôle. La coquine vint même les exhiber sous le nez de son amie qui ne put d’ailleurs s’empêcher de laper au passage les bouts énormes et durcis. Elle s’échappa en riant, recula vers moi puis écarta les jambes en restant face à Martine. Tout doucement elle vint s’empaler sur ma bite qui était raide comme un pieu. Martine avait le regard fixé sur nos deux sexes qui s’emboîtaient dans un va et vient d’abord lent puis de plus en plus rapide, enivrant, et ses doigts se firent un passage dans sa culotte.
Je ne perdais pas de vue le manège tout en caressant les gros nichons d’Elisabeth. Au-delà du plaisir que je ressentais physiquement, les jeux qu’entreprenait Martine fouettaient mon imagination. La vue, le touché, le parfum des corps échauffés… tout cela nous rendait fou de bonheur. Élisabeth émettait ses premiers gémissements de bonheur. Elle n’était pas la seule car moi aussi je grognais bien volontiers.
En face de nous, Martine cette fois ci avait franchement introduit sa main entre ses cuisses. Il ne s’agissait plus d’une caresse légère et excitante… elle se masturbait carrément. Bon dieu, nous venions à peine de commence notre petite soirée et elle en était déjà là… mais qui aurait pu lui en tenir rigueur ? Surtout pas moi, pas plus qu’Elisabeth, car cette belle femme aux formes généreuse qui, sans retenue, se branlait en face de nous, se donnait en spectacle pour notre plus grand plaisir en nous laissant admirer son intimité affolante et les gestes les plus secrets qu’elle pratiquait sans doute d’habitude en solitaire. Ma queue se mit à durcir encore si cela était possible… en tout cas c’est l’impression que j’avais, alors que je me régalais à mater d’une part et à baiser Elisabeth d’autre part .Je voyais nettement les doigts de Martine rentrer et sortir de sa chatte, alors qu’avec son autre main elle tenait le délicat tissu de sa culotte écarté. J’entendais le bruit mouillé que faisaient sa chatte inondée par le plaisir et l’excitation. J’avais envie d’aller lécher ce nectar qui coulait entre ses chaudes lèvres intimes.
Putain ! Ces deux salopes me rendaient fou.
Je faisais relever Elisabeth puis la retournais, et de nouveau la fit s’enfoncer sur moi. Toute mouillée… non, complètement trempée, inondée… car elle aussi, au-delà du plaisir que pouvait lui procurer ma bite, elle n’avait rien perdu du manège de Martine, s’enfonça en gémissant.
Martine ouvrit les yeux. Hypnotisée par cette chatte qui montait et descendait.
La scène qu’elle avait devant elle la rendit folle. Son amie, les jambes écartées était en train de monter et descendre sur ma queue. Je jetais un œil vers Martine.
- Ecarte encore tes cuisses ! Montre-nous ! Lui dis-je, presque possédé par cette situation.
Elisabeth se releva et se retourna à nouveau pour ne rien perdre de ce qui se préparait. Elle prit l’intérieur de ses deux cuisses de part et d’autre pour bien écarter ses lèvres intimes et s’empala de nouveau sur mon sexe. Tout en montant et descendant sur ma bite elle interpela Martine à son tour.
- Ouiiii, écarte tes cuisses ! A fond ! Qu’on voit ta chatte ! Qu’on voit ton trou ! Renchérit-elle totalement excitée en continuant ses allers retour.
Celle qui nous faisait face nous regarda, un court instant étonné, puis elle aussi, bien dans la folie du moment s’exécuta en gestes lents.
Elisabeth et moi, très excités ne perdions rien du spectacle qu’elle nous offrait. Sans pudeur, son entre jambes maintenant généreusement ouvert s’offrait à nos regards.
- Comme c’est beau ! Disais-je en haletant, branle toi !
En face de nous, fouetté par les mots et l’ambiance, Martine se branla.
- Sors tes gros seins ! Demanda Elisabeth en soufflant.
Martine n’arrêta pas sa caresse entre ses cuisses agitées et, fit en même temps jaillir ses énormes nichons. Ils faisaient des soubresauts sous les assauts de ses doigts entre les jambes ouvertes impudiquement. Je voyais les poils noirs qui ornaient son sexe et si je caressais comme un fou le clito en érection d’Elisabeth, j’aurais bien voulu aussi toucher le sien. J’étais gourmand et j’avais faim.
Ma maitresse aussi.
-Ecarte ton trou du cul, fais nous voir ! dit-elle tout à coup.
Martine avait perdue toute pudeur. Elle releva ses jambes, nous offrant du même coup un anus bien éclos.
-Ohhh comme j’ai envie de te bouffer, commenta Elisabeth tout en continuant à s’enfiler ma bite dans la chatte.
Je n’étais pas jaloux, je me faisais autant plaisir qu’Elisabeth à regarder Martine, qu’à baiser ma maitresse de l’instant.
- Mets-toi un doigt dans le cul ! Dis-je à notre amie.
Elle ne se fit pas prier et s’enfonça un doigt au plus profond en gémissant de plaisir. Elle prenait un plaisir fou à se masturber et à se fouiller l’anus, mais un plaisir tout aussi fou à se donner en spectacle tout en profitant de celui qui lui était offert. Tous les trois nous étions vraiment à point. C’était merveilleux et dingue à vivre.
- Viens la sucer ! Dis-je subitement à Martine.
Au point où nous en étions on pouvait bien dépasser les bornes, et malgré ce qu’avait dit notre camarade de jeu quant à sa participation aux ébats, je tentais le coup.
J’avais eu raison. Elle se traîna à quatre pattes jusqu’à notre couple et planta sa langue dans la chatte d’Elisabeth. Pas que là.
Complètement désinhibée, un peu enivrée aussi certainement, tout comme nous, Martine lapait ma queue à chaque fois qu’elle ressortait du puits bouillant et inondé de son amie. Nous avions ralenti le rythme de notre copulation pour que notre petite camarade de jeu puisse nous lécher à loisir.
Les bruits de succion et de frottements étaient affolants.
Elisabeth se pencha en cambrant ses fesses majestueuses et partie à la recherche des seins énormes qui se trouvaient devant elle, les trouva, les malaxa rendant folle Martine, qui maintenant criait comme une possédée.
- Baise là ! Me dit Elisabeth en se dégageant.
Martine la langue encore dehors, haletant comme une petite chienne se laissa faire lorsque son amie la mit à quatre pattes puis entreprit de lui lécher le cul avec gourmandise. Elle y prenait trop de plaisir.
- Viens ! Me dit-elle en arrêtant sa langue coquine.
Elle prit ma queue entre sa main, y imprima quelques savants allers retour, me fit mettre en position et introduisit l’engin dans la chatte de Martine. Je m’accrochais à ses larges hanches et commençait à la bourrer de coups de queue. Elle criait. Ce n’était pas de douleur.
Pendant ce temps, Elisabeth s’allongeait sous son amie, chatte au dessous de sa bouche, sa propre bouche au sous nos sexes qui s’emboitaient.
Tout en criant de bonheur, Martine ne se mit à sucer avec délectation cette chatte toute bouillante qui s’offrait à elle, mouillée et odorante. Elisabeth ne perdait pas son temps. Je sentis la chaleur de sa langue. Elle suçait alternativement ma bite qui rentrait et sortait et le con de Martine.
Cette dernière agitait son cul, imprimant le rythme qui l’emmenait vers la jouissance et elle ne perdait pas pour autant une seule goutte du jus qui sortait de la chatte d’Elisabeth. Jambes écartées elle offrait sa chatte détrempée à la langue agile et gourmande de Martine.
Tous trois étions en train de nous agiter, de crier, de haleter, accompagnés par des bruits mouillés, de corps entrechoqués et des parfums échauffés. Dans une folie délirante.
Suçant alternativement ma bite puis la chagasse bouillante de Martine, c’est Elisabeth qui perdit pied la première et se mit à hurler en s’agitant de façon spasmodique. Dans cette espèce de merveilleuse folie, Martine, bourrée par ma queue et léchée par la femme qui se trouvait sous nos sexes cria à son tour. Que pouvais-je faire ?
Je rejoignis très vite les deux femmes dans ce délire.
Extrayant ma bite du fourreau où elle se trouvait, je lâchais un long jet de sperme sur le dos de Martine et me finissais à la main.
Elisabeth qui s’était dégagée vint m’aider. Elle se pencha et me suça délicatement. Martine à son tour vint la rejoindre et toutes deux, unies par ma queue, leurs bouches et leurs langues finirent le travail en beauté.
Essoufflés, alanguis, nous nous écroulâmes sur la moquette du salon.
Au bout d’un instant, alors que nos cœurs se calmaient, Martine se releva la première, puis elle se pencha et nous embrassa à tour de rôle.
- Merci pour cet instant merveilleux que vous m’avez fait vivre, je ne croyais pas que ce soit possible, dit-elle en se mettant debout.
Elisabeth et moi étions restés allongés sur le sol et autant l’un que l’autre si nous étions flattés par ces paroles, nous étions encore bien plus excités par le spectacle que nous offrait Martine.
Ses jambes étaient écartées largement et sa chatte était offerte. Ses gros seins épanouis sur son buste étaient comme une tentation. Je ne puis m’empêcher de me mettre à genoux, et sans prononcer un seul mot, de lécher son entre jambes. Elle se laissa faire bien volontiers en écartant un peu plus ses cuisses, s’aidant de ses deux mains pour encore élargir l’ouverture de ce con bouillant.
Une humidité délicieuse coulait entre ses lèvres intimes et à la naissance de ses cuisses. Je me faisais un devoir de tout lécher. Martine maintenant ne songeait pas un seul instant à reculer pour regarder uniquement les ébats. Elle était partie prenante et le mot était bien choisi.
Voyant cette scène, très excitée, Elisabeth se mit à son tour à genoux et vint se coller contre moi. Je sentis ses gros nichons qui s’écrasaient contre mon dos, puis sa main qui attrapa ma queue. Calquant son rythme sur celui de ma langue qui léchait la chatte toute dégoulinante de Martine, elle se mit à me branler.
Je buvais la mouille, insinuait ma langue dans le vagin, poussait jusqu’au trou du cul que la femme écartait de ses deux mains. C’était fou.
Il ne fallu pas plus de trois ou quatre minutes pour qu’encore une fois Martine se mette à hurler son bonheur.
Elisabeth comprit très vite et accéléra la cadence.
Je me pliais en deux en lâchant encore une fois un long jet de sperme.
Pauvre moquette.
Ma branleuse en avait plein les doigts mais elle en fit profiter Martine qui exténuée, se laissait aller sur le parterre.
- Comme c’était bien.
C’est Elisabeth, la seule d’entre nous qui n’avait pas encore joui qui venait de dire ça. Allongée sur le sol, jambes impudiquement écartées, elle nous regardait tous les deux.
- Ça va être encore bien mieux lui dis-je en repoussant un peu plus ses cuisses de part et d’autre.
Il n’y avait pas besoin de vérifier. C’est une fontaine qui coulait de sa chatte. Martine vint en rampant me rejoindre et s’attaqua à la bouche de son amie. Voir ces deux femmes s’embrasser comme ça à bouche que veux-tu, fis encore monter mon excitation et je me mis à lécher l’entre jambes d'Élisabeth comme un possédé. Elle gémissait complètement abandonnée sous les caresses.
Martine lâcha la bouche d'Élisabeth, se recula un peu et regarda vers moi.
- Ohhh que ça m’excite… oui, lèche, lèche-lui la chatte !
Je relevais la tête un instant. C’est bien à moi qu’elle s’adressait alors qu’en même temps alors qu’elle s’était mise accroupis en position de la femme qui pisse, elle s’enfonçait un doigt dans le cul. Cela me fouetta si besoin était et je me jetais à nouveau sur le con d’Elisabeth.
-Donne-moi ta chatte ! Donne-moi ton cul !cria cette dernière en observant la position o combien excitante de sa compagne.
Martine se déplaça et vint se mettre accroupis sur la bouche de son amie, écartant ses lèvres intimes pour mieux faciliter l’introduction de la langue d’Elisabeth. Tête renversée elle se laissa happer. Elisabeth lécha, lécha la chatte et le cul de Martine.
Moi je léchais sans m’arrêter le cul et la chatte d’Elisabeth. Tous trois nous haletions, et arriva ce qui devait arriver.
Les deux femmes se mirent à crier de bonheur. Essoufflées, elles finirent par rouler sur la moquette et moi, debout je les regardais. La queue raide, je n’arrivais pas à débander tellement la situation était excitante.
Au bout d’un moment elles se relevèrent.
-Mais dis moi tu es un peu à la traine toi ! Railla un peu Elisabeth.
- Un tout petit peu oui, répondis je en souriant car je me doutais de ce qui allait se passer.
Martine se releva à son tour et un sourire aux lèvres ce fut elle la première qui prit ma queue dans sa bouche. Elisabeth vint se trainer à ses côtés, la poussa gentiment puis prit à son tour ma bite entre ses lèvres. Martine revint à la charge et à tour de rôle elles me sucèrent sans oublier de s’embrasser de façon gourmande. Un doigt coquin (je ne sais plus à qui il était) vint me flatter le trou du cul puis s’y enfonça un peu.
C’est là que je déchargeais un long jet de sperme en vibrant de tout mon corps alors que toutes les deux se faisaient un plaisir de tout lécher.
Ce passage à Vichy fut inoubliable… car c’est là que ça se passait. A aucun moment je n’y ais bu de l’eau.
Du vin blanc et de la mouille, ça oui. Et c'est avec un immense plaisir que je referais bien une autre petite cure comme celle que je viens de vous conter.
J’ai gardé contact avec mes deux maitresses et il n'est pas dit que cela ne se reproduise pas à nouveau. Elles parlent très sérieusement de venir passer quelques jours dans le sud de le France. Ça tombe drôlement bien puisque c’est là que j’habite. Je vous tiens au courant. Promis!
Et… n’hésitez pas un seul instant à laisser vos commentaires sur cette histoire. Qu’ils soient bons ou mauvais. A+




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