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Troublante Sylvia,

Ecrit par sandratvtg
Parue le 23 09 2010
Il y a 2 commentaires pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 5235 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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Troublante Sylvia,


Je sonne chez Sylvia qui m’a été chaudement recommandée par un ami.
Une voluptueuse brune en lingerie transparente m’ouvre la porte.
J’admire sa luxuriante chevelure jais qui tombe en cascade sur ses épaules.
Ses yeux bruns en amande et ses lèvres gourmandes donnent à son visage un air volontaire et sensuel.
Sa robe de nuit s’ouvre sur un corset rose comprimant ses seins magnifiques.
Un slip brésilien met en valeur ses cuisses fuselées sur lesquelles sont tendus des bas fixés par quatre paires de jarretelles.
Perchée sur ses cuissardes à talons aiguilles, elle me fait entrer dans son univers en me faisant asseoir tout prés d’elle sur son canapé.
Lors de notre conversation, elle croise et décroise lentement ses longues jambes pour me laisser découvrir une partie de sa culotte en satin rose.
Quelques instants plus tard, une main posée sur ma cuisse, elle m’invite à la confidence en me demandant :
- Maintenant, dis moi quels sont tes fantasmes pour que je puisse répondre à tes attentes.
Excité par cette superbe créature, je me confie à elle sans retenue.
- Je souhaite que tu me transformes en une fille sexy dotée d’une somptueuse poitrine et d’une croupe à damner un saint.
- J’aimerai aussi que tu me prennes avec ton gode ceinture.
- C’est un beau programme qui me donne des idées, me dit Sylvia d’un air inspiré.
- Puisque nous allons passer un moment entre femmes, je vais m’adresser à toi au féminin.
- Comme tu es déjà épilée, je vais pouvoir t’habiller et te maquiller.
- Viens dans ma chambre choisir tes dessous, me dit-t-elle en me prenant par la taille.
Son armoire regorge de lingerie et j’ai beaucoup de mal à faire mon choix.
Me voyant rouge d’excitation et dans l’expectative, elle vient me conseiller et m’aider à m’harnacher.
Ayant achevé ma métamorphose, elle me plante devant la glace pour que je puisse juger du résultat.
- Regarde toi ma belle, tu es prête pour l’amour, me chuchote-t-elle à l’oreille.
Le miroir me renvoie l’image troublante d’une Messaline portant tous les symboles de la féminité.
Je suis coiffée d’une perruque blonde bouclée très glamour.
Mes yeux allongés par le maquillage portent des faux cils.
Un rouge intense souligne mes lèvres pulpeuses et un fond de teint cache les imperfections de ma peau.
Mes seins siliconés sont contenus dans une guêpière rouge recouverte d’une adorable combinaison en satin de même couleur s’arrêtant à mi-cuisses.
Un slip ouvert encadre ma queue d’un écrin de dentelle et de soie qui met ma croupe en valeur en dévoilant mon œillet au regard de Sylvia.
Pour terminer, elle accroche mes bas à huit jarretelles affriolantes et remonte sur mes cuisses deux ravissantes jarretières.
J’aime sentir le contact du nylon sur ma peau en contemplant le galbe parfait de mes jambes sublimé par mes escarpins.
Virevoltant devant la glace, j’admire ma silhouette élancée et ma taille sanglée dans mon ensorcelante guêpière.
La tension des fibres synthétiques sur mes cuisses et le balancement de mes seins à chacun de mes pas majorent encore mon excitation.
Je cambre les reins pour mettre en valeur mes fesses hautes et musclées qui font généralement craquer les femmes.
Sylvia n’y fait pas exception, car elle les fixe avec insistance en s’approchant de moi.
Sans que je puisse anticiper son geste, elle me culbute sur le lit et glisse sa main sous ma nuisette en la remontant lentement jusqu’à la racine de mes cuisses.
Je tombe définitivement en son pouvoir lorsqu’elle me masturbe lentement avec un savoir faire étonnant.
Puis, elle écarte la fente de mon slip et plonge son majeur dans mes fesses.
Très expérimentée, elle le recourbe vers le haut en massant avec insistance mon point G.
- Tu mouilles beaucoup ma belle et ton œillet est déjà bien ouvert, me dit-t-elle d’un air satisfait.
- Attends moi un instant, je vais me changer, rajoute-t-elle d’une voix sibylline.
Un moment plus tard, je vois apparaître une superbe dominatrice vêtue d’une cape rouge et de cuissardes assorties.
S’approchant de moi, elle écarte son vêtement en me fixant d’un regard torride.
- Regarde la surprise que je te réserve ma chérie.
Je reste sidérée en voyant l’énorme gode ceinture fixé sur ses hanches.
Semblant sortir de son ventre, il se balance lourdement entre ses cuissardes.
Son gland épais se prolonge d’une hampe striée de grosses veines saillantes.
Je n’arrive pas à détacher mon regard de cette queue monstrueuse en doutant fort de pouvoir la prendre dans mon fourreau.
- Ce gode mesure presque trente centimètres. Mais, c’est surtout son diamètre qui va te donner du plaisir, rajoute-t-elle en connaisseuse.
Elle me le montre complaisamment sous tous les angles pendant qu’elle le lubrifie en me décochant des regards brûlants.
Puis, avec une lueur trouble dans les yeux, elle me dit :
- Viens maintenant mon ange, je vais te prendre debout.
A la fois excitée et inquiète, je me lève sous son regard de braise.
Contrôlant mal mon émotion, ma queue jaillit d’un coup par la fente de mon slip ouvert.
Sylvia sourit devant ce spectacle tout en me plaquant le dos contre le mur de sa chambre.
Je frissonne de plaisir lorsqu’elle m’embrasse dans le cou en me pelotant les fesses.
Elle profite de ma faiblesse pour remonter lentement ma combinaison sur mes hanches en frottant sa jambe gainée de nylon contre ma verge.
Puis, écartant mes cuisses avec son genou, elle soulève mes bourses pour dégager l’accès à ma grotte.
Mon cœur bat la chamade quand je sens le gode glisser dans mon sillon et buter contre ma rosette.
Sylvia s’immobilise et me fixe du regard jusqu’à ce que je lui dise d’une voix brûlante de désir :
- Je t’en supplie ma chérie, prends moi maintenant.
Sans me quitter des yeux, elle pousse le pieu dans mon ventre en s’aidant de sa main.
Haletante, la poitrine palpitante, je la laisse m’embrocher sans résister.
Lorsque déchaînée, elle se rue en moi, je lui arrache un gémissement de douleur en pressant ses seins dans un réflexe incontrôlé.
Elle se venge aussitôt en me clouant au mur comme un papillon.
Elle accompagne ses coups de reins de fortes poussées de ses mains sur mes hanches en m’enfonçant le pal de plusieurs centimètres à la fois.
Puis, son bassin soudé au mien, elle entame une irrésistible danse du ventre.
- Tu as une queue de huit cent grammes plantée dans les fesses, me dit-t-elle en me violant avec une joie non dissimulée.
Elle se tortille de plus belle et me laboure le ventre pour mieux sentir les frottements du gode sur son clito.
Puis, elle plaque ma jambe contre sa taille en contemplant le pal enfoncé dans ma grotte.
Ne tenant plus en équilibre que sur un talon aiguille, je mets mes bras autour de son cou pour me stabiliser.
L’image que me renvoie le miroir est très excitante.
Je suis debout, une jambe posée sur la hanche de Sylvia.
Ma combinaison retroussée sur le haut de ma cuisse, dévoile mes jarretelles tendues à craquer.
Mon corps tressaute en cadence sous les puissants coups de reins de cette houri qui ne ménage pas ses efforts.
J’ai vraiment l’impression d’être une fille que l’on prend à la hussarde et que l’on plaque contre un mur pour satisfaire ses pulsions.
A cette pensée, je fonds de plaisir en remerciant Sylvia de m’avoir fait vivre ce fantasme.
Me voyant trembler de désir et vaciller sur mes escarpins, elle me dit avec un sourire complice :
- Suis moi, je vais t’achever sur le lit ma belle.
Elle m’allonge sur le dos et place deux coussins sous mes fesses pour les mettre à la hauteur du gode qui se balance entre ses cuisses.
- Ecarte les jambes et prend tes chevilles en main pour rester bien ouverte, me dit-t-elle
A genoux face à moi, elle contemple ma rosette qui se contracte de plaisir.
Galvanisée par ce spectacle, Sylvia ne peut plus attendre.
Elle force mon passage et je laisse échapper un cri lorsqu’elle me transperce le ventre.
Cette fascinante dominatrice me possède méthodiquement avec la régularité d’un métronome.
- Cambres toi et pousses fort ma chérie, m’ordonne-t-elle.
Puis, écartant mes fesses avec ses pouces, elle se laisse tomber de tout son poids.
Complètement empalée, j’ai le souffle coupé et j’essaye en vain de diminuer la pression du gode avec mes mains.
- C’est sûrement la première fois que tu prends un tel calibre dans les fesses et nous pouvons faire une pause si tu le souhaites, me propose Sylvia.
Pour toute réponse, je croise mes jambes dans son dos en éperonnant sa croupe avec mes talons aiguilles.
- Puisque tu aimes cela mon ange, je vais te montrer mes talents, me dit-t-elle.
Elle repère facilement ma glande interne qu’elle pilonne avec une habilité diabolique.
A d’autres moments, elle tourne vicieusement le gode dans ma grotte pour me faire sentir ses reliefs tourmentés.
Puis, elle roule et ondule du bassin en faisant vivre d’une manière prodigieuse ce pieu qui m’enflamme le ventre.
Me voyant perdre mon contrôle, elle me comprime la racine du sexe pour m’empêcher de jouir.
Mais, elle réalise à mon souffle court et aux tremblements de ma verge que je ne vais pas résister longtemps.
Elle me chuchote à l’oreille :
- Donnes moi toute ta sève ma chérie.
J’essaye de prolonger l’instant en contractant mes fesses pour retenir la lave qui monte en moi.
- N’essaye pas de me résister, ajoute-t-elle en riant.
Pleine de ressource, elle gratte lentement mon frein avec son ongle.
L’effet est indescriptible et j’explose en laissant échapper un râle de délivrance et de plaisir.
En maîtresse très expérimentée, Sylvia amplifie mon plaisir en continuant à pilonner ma glande à chacun de mes spasmes.
Ma sève jaillit avec force en lui éclaboussant la main avant de retomber en longues arabesques blanchâtres sur ma guêpière.
Attendant la fin de mon orgasme, elle contemple le gode qu’elle m’a enfoncé jusqu’à la garde.
Puis, c’est avec regret, qu’elle le sort lentement de mon fourreau dans un bruit de succion.
Je reste un moment immobile, les yeux mi clos et en extase en contemplant le mince filet de sève qui s’échappe encore de mon sexe.
- Tu avais des réserves, me dit-t-elle en voyant ma lingerie maculée de sperme.
Décidée à me faire récupérer le plus vite possible, Sylvia s’allonge sur moi et m’embrasse longuement en pressant ses seins contre ma poitrine.
Puis, elle frotte mon gland entre ses cuisses gainées de nylon.
Quelques minutes plus tard, elle arrive à ses fins.
Stimulée par ma superbe érection, elle plaque aussitôt son clito gorgé de sang contre mon sexe turgescent.
Avec l’instinct d’une mante religieuse qui a trouvé sa proie, sa chatte humide et avide de sexe se referme sur ma queue en la dévorant avec une rare voracité.
Survoltée, Sylvia se tortille un long moment sur ma verge et finit par jouir en m’inondant le ventre de cyprine.
- Je vais te faire découvrir une autre de mes spécialités, me dit-t-elle enfin calmée.
Elle se lève et sort d’un tiroir une poire à lavement.
Avec des gestes précis, elle me lubrifie abondamment l’anneau.
Puis, elle me fait asseoir le dos appuyé contre la tête de lit.
Avec un regard trouble, elle ouvre la fente de mon slip et plonge sa main dans mes fesses en jouant habilement du poignet pour la faire rentrer.
- Tu es déjà bien ouverte, cela va être facile ma chérie, me dit-t-elle en enduisant généreusement son bras de gel
Elle localise très vite mon point G qu’elle presse avec la pulpe de ses doigts en m’arrachant des râles de bonheur.
Profitant de mon relâchement, elle me soulève avec son bras qui m’empale en le bloquant contre le matelas.
Utilisant le poids de mon corps, elle tourne vicieusement son poignet dans mes fesses pour m’embrocher plus rapidement.
J’ai le souffle coupé en sentant son bras s’enfoncer jusqu’au coude.
Puis, elle m’allonge sur le dos et commence alors ses va et vient en repliant ses doigts pour ne pas me blesser avec ses ongles.
Elle lèche également mon frein jusqu’à ce que j’éjacule en jets puissants dans sa gorge.
S’étouffant sous la pression de mon sperme qui lui éclabousse les lèvres, elle s’empresse de l’avaler rapidement.
Un moment après, elle me dit avec un sourire narquois :
- Je te propose de faire une pause pour que tu puisses récupérer et te changer.
Ayant remarqué mon goût prononcé pour la lingerie, elle me laisse choisir ma nouvelle tenue d’alcôve.
Après une longue hésitation, j’opte pour une charmante nuisette à balconnets en satin noir ornée de fines bretelles roses.
Devant le miroir, je plaque sur mes hanches un porte jarretelles - serre taille de couleur rose qui à l’apparence d’un corset.
J’accroche avec volupté mes bas à résille aux jarretelles et j’enfile comme une seconde peau une longue paire de gants en soie qui recouvrent mes bras en accentuant mon côté glamour.
Je craque aussi pour une robe bustier en voile transparent ouverte sur le devant qui met ma poitrine en valeur.
Enfin, je change ma perruque bouclée blonde pour une autre coupée au carré de couleur brune pendant que Sylvia me glisse les pieds dans des mules à talons aiguilles.
Elle me laisse m’admirer devant la glace tout en plaçant mes seins dans mon soutien gorge.
Je me trouve à la fois plus sexy et surtout plus provocante que dans la tenue précédente.
Stimulée par la taille de mon sexe, Sylvia vient se coller contre moi et me murmure à l’oreille :
- Surtout ne mets pas de culotte ma chérie, ce serait dommage de cacher une si belle queue.
- Tu dois aussi me laisser un libre accès à tes fesses, rajoute-t-elle d’une voix ensorcelante.
La séance d’essayage m’ayant fortement excitée, ma verge se dresse avec insolence en soulevant mon déshabillé transparent.
- Je vais te vider les couilles, me dit-t-elle en utilisant volontairement un langage vulgaire pour augmenter ma libido.
Sans attendre mon avis, elle me pousse sur son lit en retroussant ma lingerie sur mes seins.
Puis, elle m’enfonce son majeur dans les fesses en sortant un vibro de dessous l’oreiller.
Avec précision, elle le pose sur ma verge jusqu’à ce que les vibrations fassent couler un peu de liquide transparent à la surface de mon gland.
- Tu vois ma chérie, ton clito va bientôt exploser, me dit-t-elle en souriant.
Une fois de plus, Sylvia se révèle une merveilleuse maîtresse en anticipant mes désirs.
Elle retarde mon éjaculation en soulevant le vibro de mon frein dés qu’une goutte de sève s’échappe de mon gland.
Puis, elle le repose très vite pour faire apparaître la suivante.
Quand son regard brûlant se fixe sur moi et que ses doigts coulissent de plus en vite dans mon fourreau, je sais qu’elle va me faire jouir.
Très vite, je râle de plaisir et ses savantes pressions sur ma glande font couler lentement ma sève sur mon corset.
Cette longue éjaculation me donne un bonheur sans égal.
Sans me laisser de repos, elle me bande les yeux en me réservant d’autres surprises.
- Enlève ton déshabillé, me chuchote-t-elle en me pétrissant les fesses.
Totalement aveugle, je me laisse guider vers la pièce voisine où elle me fait monter deux marches avant de m’allonger.
Je devine qu’il s’agit d’une table médicale quand elle place mes talons aiguilles dans les étriers.
Elle m’écarte les jambes en murmurant :
- Détends toi ma belle et laisse moi faire.
Quand elle retire mon bandeau, je suis sidérée en découvrant mon nouvel univers.
Je me trouve dans une petite pièce entièrement recouverte de miroirs.
Un objet insolite est placé entre mes jambes, mais mon regard est surtout attiré par la tige métallique qui pointe vers moi et sur laquelle est embroché un énorme gode.
- C’est une fucking machine que je vais essayer pour la première fois, jubile-t-elle.
- Jusqu’à présent, j’utilisais des godes ceinture de toutes tailles pour faire jouir mes amants. Mais, j’étais frustrée de ne pouvoir leur faire l’amour.
- Désormais, je peux leur offrir des sensations fortes en prenant également mon plaisir.
- Tu vas pouvoir me baiser pendant que cette petite merveille t’empalera mieux que moi.
- Elle a plusieurs programmes que je peux modifier à tous moments.
- Notamment, la profondeur des pénétrations, la vitesse et l’intensité des vibrations
- Je peux aussi l’équiper d’un sexe dont les anneaux s’élargissent progressivement de trois à dix centimètres de diamètre ce qui comble les plus exigeants, me dit-t-elle en me jetant un regard en coin.
- Je vais utiliser un calibre sept qui me semble adapté à ton cas.
- On commence tout de suite ma belle, me susurre-t-elle les yeux brillants d’excitation.
Elle m’attache les chevilles et relève ma nuisette pour me passer une sangle sous les seins et une autre sous l’abdomen.
Je suis à la fois excitée et inquiète de me voir immobilisée de la sorte.
- Cela t’empêchera d’avoir des mouvements incontrôlés lorsque que tu jouiras et évitera que la machine ne te blesse le ventre.
- Mais, on n’en n’est pas encore là, rajoute-t-elle déçue en voyant mon sexe un peu trop flasque à son gré.
- Heureusement, j’ai de quoi te remettre en forme, me dit-t-elle en me caressant l’intérieur des cuisses.
Je la vois sortir d’une armoire un long tube en verre prolongé par un tuyau au bout duquel est fixée une pompe.
Je reconnais un vacum, qui sert à faire le vide d’air dans le cylindre en gonflant la queue qui est à l’intérieur.
- Avec ça, tu vas bander rapidement, me dit-t-elle.
Elle glisse mon sexe dans le tube en actionnant la pompe.
Je sens ma verge s’étirer et se dilater fortement jusqu’à ce que sa taille atteigne vingt centimètres sur la graduation du verre.
Mais ce qui m’étonne le plus, c’est son épaisseur.
Mon gland gonfle démesurément en s’écrasant sur la paroi pourtant large de l’appareil.
Sylvia contemple d’un air satisfait mon sexe turgescent à travers le verre dépoli.
Puis, elle le sort du tube et glisse très vite un anneau pénien à sa base pour que je garde mon érection.
- Ton gland épais va me donner du plaisir, me dit-t-elle ravie.
Elle règle ensuite la hauteur de la machine en posant le gode contre ma rosette.
- Je vais commencer par le programme d’initiation, me dit-t-elle rassurante.
Elle appuie sur la télé commande et le pal s’engage de quelques centimètres dans mes fesses.
Sylvia en profite pour l’arroser copieusement de lubrifiant.
Puis, tout en me masturbant habilement, elle me fait découvrir les multiples ressources de l’engin.
Au bout d’un moment, la poussée du gode devient si forte que mes fesses se soulèvent en cadence à chaque va et vient.
Elle choisit ce moment pour me poser un vibro sur le gland et un autre sur le périnée en me donnant un plaisir indescriptible.
Elle regarde avec fascination ma queue se durcir pendant que la machine continue à m’empaler sur un rythme soutenu.
Cette triple stimulation m’amène très vite au bord de l’orgasme.
S’arrachant à ce spectacle, elle se met à califourchon sur moi en s’enfonçant ma verge jusqu’au ras des fesses.
Insatiable, elle entame de lentes et puissantes bascules du bassin d’avant en arrière qui me mettent dans tous mes états.
Je râle de plaisir en sentant mon sexe serré dans son fourreau pendant que le gode m’embroche à fond en vibrant fortement dans mon ventre.
Parfois, Sylvia s’arrête de me chevaucher et tourne lentement sa croupe sur ma queue qui lui sert de pivot.
- Tu aimes ça mon ange me dit-t-elle d’une voix chaude en me voyant trembler de désir.
- Continue, je t’en supplie ne t’arrête pas.
Ayant déjà jouis plusieurs fois, je résiste d’autant mieux à ses assauts.
Mes yeux se posent sur les miroirs de la chambre qui reflètent de tous côtés des scènes excitantes.
J’admire les seins et la superbe chute de reins de Sylvia.
Sanglée dans son corset, elle continue à se trémousser sur mon dard avec une rare perversité.
Mon désir monte crescendo quand je vois le gode démultiplié par les miroirs me transpercer sous tous les angles.
Sylvia me tend alors un vibro en me disant :
- Fais moi jouir maintenant.
J’écarte ses lèvres en le posant avec précision sur son clito.
Quelques minutes plus tard, chauffée à blanc, Sylvia perd peu à peu son contrôle en s’empalant de plus belle sur ma queue.
Soudain, ne pouvant plus résister aux vibrations, elle pousse un cri qui libère sa tension aussitôt suivie de ses spasmes et gémissements de bonheur.
- Eh bien ma chérie, tu m’as fait prendre mon pied, me dit-t-elle encore oppressée.
Reprenant le dessus, elle m’amène à son tour rapidement au bord de l’orgasme.
Elle augmente l’intensité des vibrations en poussant le gode à fond dans mon ventre.
- Maintenant, jouis dans mes fesses ma belle.
Ces talents conjugués au rythme infernal de la machine me donnent des sensations prodigieuses.
Je me cambre autant que les sangles me le permettent dans l’attente du fabuleux orgasme qui monte en moi.
Survoltée, Sylvia me chevauche sur un rythme effréné en m’écrasant les bourses tant son excitation est grande.
Je suffoque et des râles de plaisir sortent de ma gorge lorsque qu’un orgasme puissant me fait éclater la tête.
Je suis à la limite de la syncope quand ma sève gicle avec force dans ses fesses.
Le corps tendu en arc de cercle, je jouis dans une succession de spasmes qui la désarçonne en partie.
Elle m’embrasse avec fougue en contractant puissamment ses muscles internes pour m’achever.
Ses yeux rivés sur moi, elle continue à me pomper longuement.
- Tu aimes ça mon ange !
M’ayant vidée de toute ma sève, elle se lève pour arrêter la machine.
Elle contemple un instant le pieu plongé dans ma grotte et me dit sur un ton admiratif :
- Je me demande comment tu as pu prendre un tel calibre.
Elle finit par le retirer doucement de mon ventre en me laissant l’œillet largement ouvert.
- Il va mettre du temps à se refermer, commente-t-elle en souriant.
Puis, elle me libère de mes liens en rattachant mes jarretelles malmenées lors de nos ébats.
- J’ai encore plein de choses à te faire découvrir, me dit-t-elle d’un ton enjôleur.
C’est à regret qu’elle m’aide à me relever en me voyant encore toute étourdie de plaisir.
Je me rhabille en gardant sur moi ma voluptueuse lingerie et je la quitte en ne pensant plus qu’à la revoir le plus vite possible.

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