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UN PAPY BIEN VERT

Ecrit par ARCAY
Parue le 01 juillet 2014
Il y a 22 commentaires pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 9425 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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Monsieur RENAUD était bien connu dans la commune.
Il avait tenu avec son épouse un commerce pendant plus de 40 ans et tout le monde les appréciait beaucoup.
A l'heure de la retraite, ils s'étaient retirés dans leur maison située à l'écart du bourg.
Ils participaient à la vie du village, lui jouant aux boules et s'occupant du club de foot ball et elle faisant partie du club des anciens.
Ce fut une grande émotion lorsqu'elle fut &atteinte d'une maladie grave qui l'emporta en quelques mois.
Les voisins et amis ne le laissèrent pas tomber et chacun venait lui rendre visite ou lui donner un coup de main pour faire son jardin.
Il prit une femme de ménage, le balai et la poussière n' étant pas son fort.
C'est une jeune femme de 30 ans, AUDE qui habitait le bourg qui venait deux fois par semaine pour s'occuper de la maison.

Tout se passait bien jusqu'au jour ou il fit une mauvaise chute et se cassa le bras.
Après deux jours d'hôpital il rentra chez lui.
C'est alors que les difficultés commencèrent.
Il n'était pas très doué pour s'occuper des travaux quotidiens et maintenant avec le bras droit dans le plâtre.
AUDE se proposa de passer plus d'heures pour lui préparer ses repas et tenir la maison ce qu'il accepta, lui faisant confiance.
Lorsqu'elle arriva le premier matin vers 9h il était encore en robe de chambre, pas rasé et n'avait pas pu se préparer un café.
Elle lui fit un café et beurra une tartine qu'il mangea maladroitement de la main gauche.
« Voulez vous que je vous aide pour vous raser et votre toilette MR RENAUD »
« Je veux bien avec mon bras, je ne vais pas y arriver »
Elle l'accompagna à la salle de bain, lui retira sa robe de chambre, sa veste de pyjama, lui mis de la mousse, et le rasa.
« Je pense que vous devriez prendre une douche, je vais vous aider, je vais mettre un sac en plastique sur votre plâtre pour ne pas le mouiller »
« Tu es bien gentille ma petite AUDE, je te cause bien du soucis »
« Ne vous inquiétez pas, j'ai l'habitude je m'occupe aussi de la toilette le samedi et le dimanche à la maison de retraite. »
Elle alla chercher un sac en plastique et le mit sur son bras le faisant tenir avec un élastique.
Elle baissa le pantalon du pyjama, s'attendant à voir une queue flétrie de vieillard, mais elle resta bouche bée devant le sexe de Monsieur RENAUD ;
Il avait en effet une bite de plus de 15 cm et une paire de couille énorme.
Voyant son étonnement il se mit à rire :
« Tu vois la nature m'a bien doté »
« Je n'ai jamais vu un engin pareil, celle de mon mari est toute petite »
Il entra dans la douche et elle le mouilla abondamment.
Elle prit un gant de toilette et commença à lui savonner le dos.
Elle descendit jusqu'aux fesses qu 'elle savonna sans oublié la raie puis les cuisses.
« Retournez vous s'il vous plaît »
Quand il fut face à elle elle s’aperçut que la queue de M RENAUD avait pris de l'ampleur.
Elle fit comme si de rien n'était mais mourrait d'envie de prendre dans ses mains la bite offerte.
Après lui avoir savonné la poitrine sa main descendit vers le ventre et ses gestes se firent plus doux.
L'effet se faisait de plus en plus sentir et il avait maintenant une belle érection.
N'y tenant plus, elle saisit l'engin dressé et commença à le branler doucement.
La bite était maintenant bien raide et bien entendu sa taille avait augmenté.
« Tu t'amuses bien AUDE, tu vois malgré mon âge je bande encore bien fort, tu sais elle fait 23 centimètre, et touche mes couilles elle sont bien dures et pleines »
AUDE se mit à genoux et enfourna la bite dressée dans sa bouche et commença à la sucer .
«Tu suces bien mais tu sais MADELEINE était une championne , tu as envie de la prendre dans ta chatte ?»
« Ho oui, vous voulez bien »
«Bien sur, essuie moi et viens dans la chambre »
Quelques instants plus tard, il était allongé sur le lit.
« Mets toi toute nue, j'ai envie de voir des beaux nichons et un beau cul »
Elle ne se fit pas prié et se retrouva nue Elle avait les seins un peu lourds et un cul qui semblait bien accueillant.
Elle s'allongea près de lui et repris la bite en bouche pour continuer à le sucer.
Il approcha les lèvres de sa chatte et la pénétra du bout de la langue, agaçant le clito..
AUDE se mit à gémir sous les caresses expertes tout en continuant de sucer l'énorme queue qui venait lui taper au fond de la gorge.
Elle eut vite envie de sentir ce membre la pénétrer et elle l'allongea sur le dos et vint s'empaler sur lui, les cuisses largement écartée
Elle frémit de plaisir en sentant la queue épaisse s'enfoncer en elle.Il donnait des coups de reins pour la pénétrer plus profondément.
Elle ondulait sur lui, oubliant le corps usé par l'âge, tout à son plaisir de sentit la bite puissante fouiller son sexe trempé.
« Veux tu la prendre dans le cul » lui demanda il ?
« Je ne sais pas elle est trop grosse »
«Je vais y aller doucement, va chercher de la crème dans la salle de bain, je vais te lubrifier»
AUDE se dépêcha d'aller chercher la crème et se mit en position.
De sa seule main valide il lubrifia le petit trou qui frémissait y pénétrant un doigt puis deux.
Lentement, il fis glisser son membre entre les fesses écartée et le présenta sur la rondelle.
Doucement il s'enfonça en elle, emplissant son cul de sa bite démesurée.
Elle avait l'impression d'être écartelée, mais lorsqu'il commença ses va et viens, la douleur fit place
à une onde de plaisir qui l'envahit peu à peu.
Elle se tortillait pour mieux sentir la bite dans son ventre .
Sa jouissance arriva d'un seul coup et elle se mit à crier.
Pendant ce temps il continuait à la limer à grands coups de bite.
Elle jouit une seconde fois avant qu'il ne gicle en elle, emplissant son cul de longs jets de foutre.
AUDE s'affala sur le lit ivre de bonheur et de plaisir.
Après avoir repris ses esprits, elle lava la bite qui ne bandait plus, l'habilla et alla faire le ménage, entièrement nue.

Lorsqu'elle eut terminé elle le quitta en lui disant qu'elle reviendrai pour la toilette le lendemain.
Le soir quand son mari lui fit l'amour, elle ne pu s’empêcher de penser à la bite de M RENAUD qui l'avait si bien pilonnée le matin même.
Inutile de préciser qu'elle fit la toilette pendant tout le temps ou il fut plâtré.


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