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UNE BONNE BOULANGERIE

Ecrit par ARCAY
Parue le 25 avril 2014
Il y a 1 commentaire pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 9257 fois | Cette histoire erotique a une note de : 13.5/20

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Les boulangers de la rue du Centre ont pris leur retraite et tous les habitants du quartier attendent avec impatience l'arrivée de leur remplaçants. Il faut dire que la réputation de ce commerce était grande et que les produits proposés de qualité.
En quelques années, les anciens propriétaires ont embaucher deux boulangers un apprenti et une vendeuse.
Le jour de l'ouverture il y a foule pour découvrir les nouveaux arrivants.
D'après les informations qui ont circulé ce sont des gens chevronnés qui ont déjà une vingtaine d'années d'expérience.
La patronne correspond complètement à l'image que l'on peut se faire d'une boulangère, elle est de taille moyenne, assez ronde et dotée d'une poitrine largement au dessus de la moyenne. Elle a des cheveux blonds assez longs qui lui encadre son visage poupin.
Par contre son mari est un homme très mince, presque maigre, les cheveux rares, le teint pale.
Dans la boutique, c'est elle qui dirige d'une main ferme, par contre au fournil le patron fait autorité.
Cependant, malgré la différence d'aspect des eux époux, le ménage semble être très uni et même très amoureux.
Le lendemain de leur arrivée, la patronne va aller se présenter à une école et une maison de retraite, clients de la boulangerie.
Ne connaissant pas la ville, elle demande à un des ouvriers de l'accompagner.
Le jeune homme a bien remarqué que sa patronne avait mis une jupe un peu courte et que son corsage est largement déboutonné, laissant apparaitre la naissance de se gros seins.
Il regarde discrètement cette chair bronzée.
Sur le chemin du retour, elle lui demande s'il veut bien aller avec elle jusqu'à son domicile pour déplacer une armoire.
Il accepte volontiers tout heureux de passer un moment supplémentaire avec elle.
Arrivés chez elle, il effectue rapidement le travail demandé et elle lui propose de boire une verre.
Il s'installe sur un fauteuil et elle va chercher des rafraichissements
A son retour, elle s'assied en face de lui, sur le canapé les jambes assez écartées.
Il remarque qu'un bouton supplémentaire du chemisier est défait.
"- Votre travail vous plait?
-Oui beaucoup, j'ai toujours voulu faire ce métier
-Et vous n'êtes pas inquiet de changer de patron?
-Non pas du tout
- Très bien, comme nous allons travailler ensemble, j'aimerai vous dire quelque chose."
Il ne comprend pas bien ou elle veut en venir et attend la suite
"Voila, vous avez pu remarquer qu'avec mon mari,nous nous entendons très bien et que nous sommes très amoureux, mais nous avons un problème."
Elle boit une gorgée de son verre et reprend
"Il y a quatre ans, mon mari a eu un accident et il est handicapé.
- Ah bon, pourtant cela ne se voit pas.
- Pourtant ce qui lui est arrivé est grave, il a du être partiellement amputé de la verge, vous comprenez que pour lui c'est très difficile à supporter, et pour moi aussi d'ailleurs
- Je suis désolé, je comprend très bien
- Comme il ne veut pas me priver se sexualité, il m'autorise à faire l'amour à d'autres hommes, mais je dois l'en informer"
Le garçon reste abasourdit par cette révélation et elle reprend.
"Voulez vous faire l'amour avec moi, maintenant. Réfléchissez bien avant de répondre, n'oubliez pas que mon mari sera au courant"
Devant une telle opportunité, il n'hésite pas longtemps, se lève et la rejoint sur le canapé.
Ses mains se glissent dans le corsage et commencent à caresser avidement l'opulente paire de seins. Il dégrafe le soutien gorge et les grosses mamelles jaillissent.
Il roule sous ses doigts les tétons durcis et sa main s'aventure sous la jupe déjà bien relevée.
Il atteint vite la culotte déjà humide et carese sa chate u travers le fin tissu.
Elle ne perd pas son temps et sa main descend d'un coup sec la braguette et sort la queue déjà bien raide.
Elle se penche vers cette bite arrogante et l'engloutit dans sa bouche.
Pendant ce temps, il a glissé les doigts son la culotte et commence à titiller le bouton qui s'offre à lui..
Puis ils se redressent et se déshabillent fébrilement.
Il découvre le corps opulent qui s'offre à lui, contemple les cuisses puissantes la chatte ouverte et soigneusement épilée e son ul magnifique.
Sa bite dressée se balance doucement, il l'allonge sur le canapé, lui écarte les cuisses et la pénètre d'un grand coup de reins.
Sa bite glisse avec délice dans le fourreau trempé.
Elle se met à gémir et lui plate les ongles dans le dos.
Après quelques minutes, elle jouit dans un grand cri mais il continue ses mouvements.
Elle se défait de son étreinte, se retourne et se met à qenous, lui cuisses largement écartées lui offrant son cul.
"Prends moi comme ça" souffle elle.
Il s'approche la queue à la main cherchant la chatte offerte.
"Non, mets la moi dans le cul"
Il mouille la rondelle palpitante et la pénètre doucement.
Il n'a aucun mal à s'enfoncer jusqu'aux couilles tant l'anus est ouvert
Elle se contracte en cadence serrant la bite qui est en elle.
Il sent qu'il va jouir et veut se retirer.
"Restes mets moi tout dans le cul"
Le flot de sperme gicle en gros jets puissants qui inondent le cul de la boulangère.
Ils restent n moment sans bouger pour reprendre leur souffle.
Elle l'emmène dans la salle de bain pour se laver et pendant la douche il recommence à bander ce dont elle profite pou reprendre de nouveau la bite en elle.

Vers 17 h en rentrant au magasin, elle appelle son mari et lui dit devant le jeune boulanger un peu mal à l'aise :
"J'ai vu nos clients et en rentrant, nous sommes passés à la maison Nous avons fait l'amour. C'était très sympa j'en avais besoin
- Très bien ma chérie, te vous remercie jeune homme"
Le garçon reste un peu étonné mais se dit que malgré tout, il peut baiser quand il veut et que son patron est d'accord.

Par la suite, la dame ayant beaucoup d'appétit, les deux ouvriers et l'apprenti se "dévouèrent" pour satisfaire leur patronne.
Deux fois par semaine, avant l'ouverture du magasin, une séance de baise est organisée dans le fournil, les trois garçons la bite à l'air fourrent leur patronne nue comme au premier jour sous le regard bienveillant de leur patron.
La dame, qui n'est pas sectaire a même initié la vendeuse aux jeux saphiques et la jeune filles ne laisse pas sa part participant activement aux jeux, ne négligeant pas de prendre une queue bien raide dans sa chatte ou son petit trou.
Voulant faire plaisir à son patron, elle l'a initié au massage de la prostate ce qui lui donne malgré tout un peu de plaisir.
Bien entendu tous gardent le secret de leurs ébats et les cleints ne se doutent de rien.



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