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La glissade 3
La glissade
La glissade 2






UNE ETAPE AGREABLE

Ecrit par ARCAY
Parue le 06 juillet 2014
Il y a 1 commentaire pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 3606 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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Pendant mes dernières vacances un ami me demanda de convoyer une voiture de collection pour une exposition sur la côte d'azur.
Pour lui rendre service, j'acceptais aussitôt mais j'aurais du y réfléchir à deux fois,
Il s'agissait d'une Jeep de la seconde guerre mondiale qui n'est pas une voiture d'un grand confort n'y d'une grande facilité de conduite.
Nous étions fin mais et heureusement il ne faisait pas trop froid, ce qui était important car la voiture n'avait pas de capote.
Je devais prendre le véhicule à GRENOBLE et ensuite descendre vers NICE.
D'après les calculs, il me faudrait environ 8 heures pour faire le trajet.
C'était sans compter avec la vieille mécanique qui n'appréciait pas les routes de montagne.
A six heures du soir je n'étais encore qu'à DIGNE.
Je décidais d'aller jusqu'à CASTELLANE et d'y passer la nuit.
Manque de chance, alors que j'étais encore à environ 30 KM de CASTELLANE, je vis un orage qui s'approchait rapidement.
Je compris vite que je n'aurais jamais le temps d'arriver avant le pluie.
Je m’arrêtais sur le bord de la route , t mis une casquette et un coupe vent , abris bien dérisoires et regardais sur la carte s'il n'existait pas un village a proximité.
Il y avait un hameau à moins de 15 KM et avec un peu de chance je pourrais y trouver un abri.
Effectivement quelques minutes plus tard, la pluie se mit à tomber avec force et je dus ralentir pour reste sur la route.
En quelques minutes je fus trempé et se sentais l'eau ruisseler le long de mon dos.
Comble de malchance, le moteur de la voiture n'aimait pas l'humidité et après quelques hoquets s’arrêta de fonctionner et refusa de redémarrer.
D'après mes estimations j'étais encore à 3 ou 4 KM du village que j'avais repéré et j'abandonnais la voiture pour m'y rendre à pied.
Après presque une heure de marche, j'arrivais devant un grand portail en fer forgé qui semblait mener à une propriété.
Par chance, il était ouvert et je pris l'allée qui menait à une grande maison que j'apercevais à chaque fois que la foudre tombait.
La maison était dans le noir et je pensais que la mauvaise série allait continuer et qu'il n'y aurait personne pour m'accueillir.
En m'approchant je vis enfin une petite lueur derrière une vitre.
Je tapais fort à la lourde porte de bois pour couvrir le bruit de l'orage et après quelques instants quelqu'un vint ouvrir.
Je restais abasourdi en découvrant la personne qui venait d'ouvrir.
C'était une jeune religieuse.
« Excusez moi de vous déranger, mais je suis en panne de voiture et je cherche un abri »
« Entrez et attendez moi, je via aller chercher la responsable »
Je pénétrais dans le hall d'entrée au parquet bien ciré ou il régnait une douce chaleur.
La religieuse me laissa seul.
A peine 5 minutes plus tard, elle revint accompagnée de trois autre religieuses.
La plus âgée s'adressa à moi /
« Bonsoir mon fils, bienvenue, notre novice m'a expliqué que vous étiez en panne, entrez, nous allons vous héberger pour la nuit. »
Je la remerciais chaleureusement de son accueil.
« Mais vous êtes trempé, avec la température qui à baissé, vous aller tomber malade, vous n'avez pas de vêtements de rechange ? »
« J'ai juste un sac de voyage qui est resté dans ma voiture et qui doit être complètement trempé à présent »
« Ça n'a pas d'importance, nous vous trouverons bien quelque chose. En attendant il faut vous sécher et vous réchauffer »
Se tournant vers ses compagnes elle leur dit :
« Allez vite chauffer de l'eau, et remplissez la baquet à linge, préparez une tisane bien chaude »
« Venez, nous allons aller à la buanderie, c'est la qu'il fait le plus chaud »
Je la suivi jusqu'à la buanderie au milieu de laquelle trônait un énorme baquet de bois et ou un grand feu brûlait dans la cheminée.
« Prenez cette chaise et reposez vous quelques instant en attendant que l'eau chaude arrive.
Elles ne furent pas bien longues à revenir chacune portant deux seau d'eau fumante qu'elles versèrent dans le baquet.
« Aidez le à se dévêtir, ses vêtements collent à sa peau.
La jeune religieuse qui m'avait ouvert ne bougeât pas, sans doute intimidée par ma présence mais les deux autre s'approchèrent et commencèrent à me déshabiller.
Je pensais qu'elle n'enlèveraient pas mon slip mais l'une d'entre elle le fit glisser sur mes cuisses et je me retrouvais nu comme un ver devant elle.
La plus jeune poussa un cri :
« Ma mère qu'a il entre les jambes ? »
« Ne t'inquiète pas ma fille, c'est sa queue »
Les deux autre se mirent à rire en me lorgnant l'entre jambe.
Je montais vite dans le baquet pour éviter les regards.
L'eau chaude me fis du bien et je me réchauffais rapidement.
Elles restaient toutes les quatre à me regardé et je commençais à me sentir gêné.
« L'eau va refroidir, il faut vous sécher »
Saisissant une grande serviette de bain, une des sœurs s'approcha de moi et m'enveloppa en me frictionnant, aidée de sa compagne.
Tant qu'elles me frictionnèrent le dos, tout allait bien, mais lorsqu'elles descendirent vers mes fesses et mon sexe, je sentis ma queue qui commençait à prendre du volume.
Je bandais à moitié quand elles enlevèrent la serviette.
« Ma mère regardez, sa queue à grossi »
« Oui ma fille, c'est ainsi que sont fait les hommes »
Se tournant vers moi :
« Monsieur, permettez vous qu'elle touche à votre bite, elle ne sait pas ce que c'est »
Cette idée n'excitait et j'acceptais.
Timidement la jeune religieuse s'approcha de moi et pris ma bite déjà bien dure dans une main, et se pencha pour l'examiner de près.
« C'est amusant, il y a deux grosses boules en dessous »
Je posais ma main sur la sienne et la fit aller et venir sur ma bite .
Maintenant je bandais et ma queue était au garde à vous.
« Ma mère regardez elle est dure comme un bâton. Mais à quoi cela peut il servir? »
« On va te montrer ma fille, qui veut utiliser cette belle queue, moi je suis trop vieille »
Les deux autres religieuses se précipitèrent sur moi.
« Chacune votre tour, ne soyez pas impatiente, elle est bien vigoureuse, il y en aura pour toutes les deux. Sœur BENEDICTE, commencez »
Retroussant sa robe, sous laquelle elle était nue, sœur BENDICTE vint s’asseoir sur la table, les cuisses largement écartées.
Son sexe était entièrement épilé et je voyais une petite coulée humide glisser sur ses cuisses.
Je m'approchais, la bite à la main en m'enfonçais en elle.
La pénétration fut facile et je pensais qu'elle devait avoir l'habitude de se faire défoncer, sa chatte étant bien large.
Je la labourais à grands coups de reins et elle s'accrochait à mes épaules en gémissant de plaisir.
Très vite son plaisir arriva et elle accrocha ses jambes autour de mes reins pour que je la pénètre encore plus profondément
L'autre sœur avait relevé sa robe et caressait enfonçant les doigts dans sa chatte trempée.
J'accélérais la cadence et elle se mit à hurler de plaisir.
Elle jouit deux fois avant que je décharge en elle.
Elle resta collée à moi jusqu'à ce que je débande puis, sentant ma bite devenir molle elle se retira.
La novice poussa un soupir :
« Ho, elle est devenue toute petite »
«Ne t'inquiète pas ma fille, elle va bientôt grossir de nouveau, n'est ce pas monsieur ? »
. »Certainement ma mère, vos religieuses sont des expertes »
« Allons dans le salon, nous seront plus à l'aise.
Vous, voulez bien rester tout nu, il fait assez chaud et comme cela vous serez prêt »
« Bien sur ma mère »
C'est ainsi que, tout nu j'accompagnais trois bonnes sœurs jusqu'au salon.
« Asseyez vous, je vais vous servir un petit remontant », dit elle en lorgnant ma bite qui pendait entre mes jambes, « c'est une vieille recette qui fait des miracles.
Elle prit un petit verre et alla chercher une bouteille dans un placard fermé à clé.
« Mes filles, je vous autorise un verre de liqueur de GENEPY, vous savez ou est le flacon.
Quand à moi, elle me servit un verre d'une liqueur jaune pale que je bus à petit coup.
Une douce chaleur m'envahit, descendant dans mon ventre et mes couilles.
Je sentais ma queue qui commençait à se redresser.
« Ma recette fait toujours de l'effet , sœur CATHERINE vous allez pouvoir en profiter, mais avant si notre novice veut s'occuper u peu de la queue de monsieur, je l'y autorise »
En rougissant la jeune nonne s'approcha de moi, pris ma bite à pleine mains et commença à me branler.
Il ne lui avait pas fallu longtemps pour comprendre.
« Je peux toucher vos couilles, monsieur ? »
« Bien sur si vous voulez »
Elle me caressa doucement les couilles et je bandais rapidement de nouveau .
« Ça y est sa queue est bien dure, sœur CATHERINE »
« Ma mère, si vous me le permettez, j'aimerai me faire enculer »
« Si vous en avez envie, ma fille, je vous y autorise »
Sœur CATHERINE enleva sa robe et se mis à quatre pattes, les cuisses largement écartées.
Sa poitrine un peu lourde pendait et la vue de ses seins renforçait mon désir.
Je me mis en position derrière elle et écartais ses fesses y glissant ma bite jusqu'à l'entrée de son petit trou.
Ce n'était sans doute pas la première fois qu'elle se faisait enculer car je la pénétrais sans effort.
Lorsque je fus bien au fond d'elle, elle se mis à onduler de la croupe autour de ma bite.
La sensation était extraordinaire et ma bite tressautait de plaisir.
Je commençais à la ramoner de plus en plus vite et de plus en plus profond
Je sentais mes couilles battre sur son cul.
Avec une main, je lui caressait la chatte y pénétrant trois doigts.
Ses gémissement se transformèrent en cris.
Elle se contracta, me serrant la queue pour m'obliger à jouir en elle, son cul fut bientôt rempli de mon sperme épais.
Je m'affalais sur un fauteuil, épuisé de ces deux coups de queue successifs.
D'une petite voie timide, la novice demanda /
« Ma mère, est ce que je pourrais essayer ? »
« Tu sais ma fille la première fois ce n'est pas toujours très amusant, mais si tu veux je suis d'accord, je pense que notre invité pourra te satisfaire, mais avant cela sœur BENEDICTE et sœur CATHERINE vont te préparer, allez mets toi toute nue »
Rouge de plaisir et d'envie elle retira sa robe sous laquelle elle ne portait aucun sous vêtement.
Son corps était juvénile et sa poitrine menue.
Ses compagnes s'approchèrent et la firent s'allonger sur un divan.
L'une d'elle lui caressa les seins pendant que l'autre lui titillait le clito.
Les doigts furent remplacés par les bouches qui s'activèrent lui arrachant des gémissement de plaisir
Pendant ce temps la supérieure m'avait resservi un verre de son fameux remontant et ma bite avait repris du volume.
« Elle est prête monsieur, vous pouvez venir »
Je m'approchais du divan sur lequel elle était étendue, les cuisses largement ouverte.
Sa chatte était trempée de cyprine et son bouton se dressait .
Sœur BENEDICTE m'attrapa la bite et la dirigea vers la grotte offerte.
Je la pénétrais doucement par petits coups et elle eut juste un petit cri lorsque son hymen se déchira
L'obstacle étant franchi, je pu la limer plus profondément sans aller trop vite pour qu'elle puisse profiter le plus possible de mon mandrin.
Elle avait l'air de beaucoup apprécié et peu à peu elle se mit à soulever le bassin en cadence pour mieux sentir la queue qui la labourait.
Elle jouit en longs râles me serrant très fort dans ses bras.
Je continuais à la limer allant de plus en plus vite.
Elle jouit une seconde fois quand je déchargeais mon foutre au fond de sa chatte.
« Mes sœurs, il est bien tard, demain matin lever à cinq heures pour la prière »
« Venez monsieur, je vais vous installer dans une cellule vide. Le lit est étroit mais confortable.
Demain matin, vos vêtements seront secs et vous pourrez avoir une tenue plus descente »
Elle me conduisit au premier étage dans une petite chambre meublée d'un petit lit et d'une armoire en bois blanc.
« Voudriez vous m'accorder une dernière faveur, monsieur ?»
« Volontiers, c'est moi qui suis votre débiteur »
« Vous savez j'ai passé l'âge de faire l'amour, mais j'adore les fellations, me permettez vous de vous sucer, votre bite me fait très envie »
« C'est avec grand plaisir que je vous y autorise, mais je crains qu'après cette soirée j'ai un peu de mal à bander »
« Ne vous inquiétez pas, l'ai amené ma fiole de remontant, buvez en un peu »
j'avalai une nouvelle rasade du breuvage qui me fit le même effet que les autres fois.
« Allongez vous, mon fils »
Elle pris ma bite entre ses mains, la décalotta et se mit à titiller le bout de mon gland avec sa langue
Puis elle enfourna ma bite et commença à la sucer avidement.
J'adore me faire sucer mais, rarement je ne l'es été de cette façon.
C'était une véritable experte, sentant les moments ou il fallait relâcher la pression ou au contraire accélérer le mouvement.
Elle glissa une main entre mes fesses et mit un doigt sur mon petit trou, l'enfonçant doucement,
La sensation était extraordinaire et je sentis que j'allais exploser.
Elle se mit à sucer encore plus vite et je lâchais mon sperme sans qu 'elle se retire avalant toute ma semence.
Elle se releva après avoir nettoyé ma queue avec sa langue, me souhaita une bonne nuit et sorti.

Le lendemain matin, un peu fatigué de la baise de la veille, je me réveillais à huit heures.
Mes vêtement étaient posés au pied de mon lit secs et repassés.
Je m'habillais rapidement et descendit au rez de chaussée.
Les quatre sœurs m'attendaient et m'avaient préparé un copier petit déjeuner.
Au moment de partir, la supérieure me glissa.
« Votre visite, bien qu'elle n'ait pas été prévue, nous a enchantées, nous allons prier pour vous.
Si vos pas vous ramènent dans la région, nous aurons toujours un lit à vous fournir si vous en avez besoin »
Je les remerciais chaleureusement et regagnais ma voiture qui consentit à redémarrer.

Depuis chaque année je vais faire un pèlerinage dans la région et une retraite chez les sœurs de CASTELLANE .
Elles sont maintenant six mais la mère supérieure à toujours des réserves de son « remontant »



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