Il n'y a pas de commentaire pour cette histoire
Cette histoire érotique a été lue 928 fois |
Cette histoire erotique a une note de : 10/20
Noter ce récit erotique !
Un homme de chance
Quel heure pourait être, trois heures? Trois heures et demie? Bernard tapie. Le go de la liberté l´a prise le jour d´été. Il ya un désir de vivre enfin une vie de millionnaire irréprressible et envoutant. . Il son exhibitionnistes et aiment le plaisir sans tabou. Son épouse est aussi sexuelle que lui, mais on aime bien faire de nouvelles conquêtes. Ils sont voyeurs la belle Elke Mervceille avait l´impression d´être dans un livre de Agatha Cristhie. Mesure 1m70 a les cheveux qui tombent sur les épaules de couleur chataîn clair. Ses yeux verts magnifiques. Ses lèvres sont d´une douceur esquise, sa peau douce. En effet elle est dotée d´une bouche pulpeuse soiigneusement maquillée d´un rouge un peu trop vif. Son petit sourire espiege est un avanyage à sa beauté.
Il ne vient pas des idées de culpabilidade mais dans ce moment la police arrrête.
- Detenu 1 c´est Tapie. Detenu2, bienvenue, Bernard.
Les chocs métaliqucs continiuent.... Detenu 3 Tapi! Detenu 4, C´est Tapu! (gardien) les chocs se accelerrent oh, les gars, c´est bon! Ça
va, on se calme.Tapie detenus. Les detenus continuent à scander.
- Tapie, Tapie,Tapie,Tapie,Tapie.
Des à présent, écoutons le premier disque, qui est de Michel Polnareff et qui s´appelle “ La popée qui fait non.” Homme 819 lignes, 15 tubes. C´est le meilleur modèle.
- Ton patron est au courant?
- On rearde pas son fils à la télé sur une vieille bécane.
- C´est quand ton tour, Bernard?
- Content que tu sois impatient.
- Vous avez vu ses yeux?
- Il me ferait presque peu.
- Un hérisson.
- Vous êtes durs, il a une belle voix.
- Quoi? On entend pas ce qu´il chante. Rien. Il a une petite voix de castrat. Il a pas de coffrre!
- Il chant moins bien que toi.
- Merci ma chérie.
Elke voit le regard des deux hommes de la police qui semblent fascinés. C’est bon de se laisser aller. C’est bon qu’on la regarde, elle si timide normalement. Elle se découvre le centre du monde. Un monde où tout n’est que sensualité, plaisir, caresses. Un monde où il suffit d’avoir une envie pour que les autres la réalisent. Elle n’a envie de rien. Elle a envie de tout. Les autres la regardent. Assise dans un confortable fauteuil en cuir tourquoise. Jambes croisés. La blonde observait.
- T´en pense quoi papa?
- J´ai pas tellement d´avis sur ces choses-là.
- Mais lui, non. Je l´aime pas, lui.
- Vous auriez préféré qu´il chante “línternationale”, M, Tapie?
- ( ricane) il devrait, tiens.
- Demandons au jury ce qu´il en pense.
- Attendez , c´est le jury, là.
- Je pense que pour qu´une chanson soit vraiment succès, il faut qu´elle puisse être interprrétée par plusieurs arrtistes.
- Et là, je réalise pas três bien, Je suis pas pour.
- C´est un echec?
- Oui... Mais Love plus love vent um Millon de cópiuas
- Echec voilà. Échec. Voilà.
- (Homme) T´as une chance..
- Desolé, Monsieur Polnareffe
- Bah, allez ouvir, là.
- Tu as failli louper le bouquet final
- J´allais pas manquer ça.
- Tu vas être deçu, Roger. Le patron.
- Messieurs Dames.
- Chut!
- M. Tapie, ça va?
- Maintenant, nous avons un disque de Bernard Tapie que s´intitule “Passeport pour le soleil”. Conduis-vous vers tes merveilles.
- Tu es beau mon Bernard.
Les hommes que se tournent sur son passage finissent par avoir des idées et parfois des intiatives osées. Elle s´était decouvert des dons et un penchant pour l´exhibitionnisme et s´amusait à provoquer dans divers endroits publics en croissant três haut ses cuisses ou en sinulant de ramasser quelque chose pour dévoiler à tous les yeux bien placés une vue érotique de son entrecuisse. Elle était heureuse de savoir que tous les hommes avaient envie de cette belle femelle toujour prête pour satisfaire Bernard le secrétaire de son mari.
- La terre est loin, à nous le ciel. Viens, mon frangin universel. Maintenant, il faut universel, maintenant il faut s´aimer. Car c´est demain, tu le sais,
- Tapie avec un y, il était oubligé?
- La Maison de disques voulat faire américain.
- Papa tu regardes?
- Oui, mais...
- Bas, quand même. Enfant déjà.
- Il tient la note.
- Attends, faut la tenir, celle-là quand même, hein?
- Bravo
- Voyons si ça sera un passaporte pour le succès.
- Attendez, c´est le jury. Commençons par vous.
- Oui, ça me plaît bien.
- Oui. Peut-être ç´idée, je suis partant.
- Voilà merci, Monsieur.
- Il chante bien, il est agréable. C´est bien, c´est gai. J´aime bien. IL chante bien il est agrréable.
- Nous allons faire l´unanimité, parce que... Je suis ravi que ça ne se termine pas sans que j´en trouve une que me plaît.
- C´est celle que je prefere. Sa belle épouse c´est un passaporte pour le succès, Merci.
- Bravo, mon amour, bravo.
Elke Merveille a toujours été extremement vorace sur le plan sexual étant elle-même três vicieuses de nature. Elle est ce que l´on peu appeler une belle Femme. La belle brune pense au sexe quasiment en permanence. En tout cas c´est une obssesion. La moindre évocation un peu connotée son cerveau décroche et elle éprrouve les plus grandes difficutés à se controler. Elke joue son rôle à la perfaition. La brune s´assoit en face du bel homme et croise les jambés. Elle sait qu´il a vu le haut de son bas et la jarretelle qui remonte jusquà as ceinture érotique en une fraction de seconde avant qu´elle ne couvre modestement ses jambés. Elle sent sa chatte trembler `l´idée.Il déjeunait lui-même à la table d´à côté. Il n´arrete pas de regarder dans saa diirection bien qu´il soit subtil à ce sujet, elle sent le regarde fixe
- Alors? Ça valait le coup de miser sur moi, non?
- Ça valaiit 30.000 frrancs investis dans ton disque.
- 300.000 francs?
- On va pas perder d´argent.
- Non. Ou alors, on parle de celui que ton disque va nous repporter.
- Vollà bomme mentalité
- Tu m´avais pas dit.
- Papa, on s´en fout, tu les as entendus? Bientôt, je gagnerrai ça tous les mois.
- Non arrêtez, on avait dit pas de sujet qui fâche.
- À notre nouvelle vedete, Bernard “Tapaye”.
- Merci. La même chose, l´année prrochaine à l´Olympia.
- J´ai des soucis, j´ai des ennuis, j´ai des trracas, j´ai de tourments. Le responsable pour Jacques Dutronc.
“J´ai pas le moral, j´ai pas d´argent, j´ai pas de chance, j´ai pas d´amis, j´ai pas de pot, j´ai des impôts, j´ai mal au fesses, j ai mal aux dents, mais je ne veux pas changer de peau parce que j´aime les emmerdements.
- Roger, c´est Beltrant.
- Allez ouvre, si c´est pour de l´argent va-t-on!
- Non, ouvre. J´en ai pas pour longtemps. Je suis dans la merde, là.
- Je suis venu te proposerr de rrevendre mon p2000. Voilà, coffrage d´origine pas le moindre égrratignure, Nickel chrome.
- Ouais, et donc.? Elle vaut 5000 neuve, tu en tireras 3000.
- Je te propose à 1.500.
- Elle vale pas 5.000. elle était à 4.200.
- Bon combien?
- Zéro. Ça va être encore plus simple- Roger, on a eu nos differonds, toi et moi.
- Diffreronds,Joli mot pour rparler des 10000 francs que tu me dois.
- Tu manques pas de culot, toi. J´em avais marre d´attendre que ta carrrière decole. Pour revoirr mesa 10.000 balles. Tu saisis la nuance?
- Écoute, j´ai plus rien. Je suis rincé. Les hussiers m´ont tout pris.
- Pas tout, je vois.
- Ju
- Je l´ai planquée avant qu´ils arrivent.
- Fallait y pense avant.
- Je suis à la croisée des chemins.
- Ouais...
- J´ai rendez-vous à la banque de Sarnez pour mon porjet,.
- Tant mieux pour toi. S´il te plaît.
- Je peux pas y aller sapé comme ça..
- Juste un petit coup de main.
- Quel coup de main?
- Ben, 500 balles, voilà. Et je te laisse la Grunding
- Revends ta bagnole.
- C´est celle à Farid.
- Tu as vu la couleur? S´il te plaît. Et t´emtendras plus parler de moi, juré. QU´est-ce qu´y a?
- Il est un peu grande non, ton costard?
- Tapie, t-a-p-i-e. Souvenous de ce nom, il va cirrculer dans tout Paris. T´as ton abonnement chez tapie? T`as vu ce qu´ils ont?
- Tu as ton abonnement chez tapie? T´as vu ce qu´ils ont? Je vous propose pas un énlème magasin, mais une révolution dans l´histoirre du commerce. Tapie. Il aura um avant et un après.
- En quoi cela consiste?
- J´hésite. Mon idée estt si bonne, que j´ai peurr que vous me la piquiez.
- Mais je vous fais confiance.
- Alors imaginez un magasin où moyennant um abonnement mensuel, vous avez um stock illimité d´électroménager.
- Ce magasin existe já
- Déjà à chaque coin de rue. Pas besoin d´être abonné.
- Chez moi, vous allez payer jusqu´à trois fois moins cher.
- Hum. Comment ferlez-vous pour tirer sur les prix?
- C´est le genie de l´aabonnement. Grace à mon réseau d, abonnés, je sais ce que les gens aiment. Je cible mes stocks.
- J´achèts en ghros, je baisse le priix. Plus j´ai d´abopnnés plus je baisse les prix.
- Ensuite,
- Allez plus vite.
- On a d´autrres rendez-vous.
- Après, j´ai de plus en plus d´abonnes. On ouvre des boutiques partout en france et même dans le monde entier.Voilà. Et puis, sans vous parler... De cette sensation d´appartenir à un club. De faire partie privilégiés. C´est pas à vous que je vais expliquerr ça. En si qui compte et ce qui est intéressant dans le système, c´est que c´est plus facile de souscrire à un abonnement, que de le résiler.
- C´est ça, la révolution Tapie.
- M. Tapie. Je vous reçois par symphatie pour votre épouse qui s´occupe admirablement de mes enfants, mais on a besoin de garaties pour investir.
- Ravi que vous soyex sympa avec mon épouse, si je m´appelais de Tartempion, j´aurais besoin de garanties?
- Pardon, je propose une Revolution qui va bouleverser la france.
- Et vous pararler de garantie?
- Ici, c´est une baanque d´affaires.
- Pas de scène de Olimpia.
- Ça m´a toujourrs fascine avec vous, les artistes.
- Des qu´on parle d´innovation, votre kikii.
- Vous depasséz les bornes. Calme-vous.
- Faire fortune, ça vous interesse pas. Aucun problème.
- Vous êtes pas les seuls invesatisseurs.
Il entre dans une garage et voit une Ferrari.
- Ce quoi, cette merveille? Tu l´as appelée comment?
- Une star d´hollyood va l´acheter chez farid ben Tarek.
- Maiis tu peux crever, celle-làa, je te la prêterai jamais.
- M´en fous. Dans six moix, je te l´achète.
- Je téléphone.
- Alors, ce matin?
- A la banque?
- Ah. ÀA ton avis.?
- Bonjour, j´aimerais parler à M> Courson, s´il vous plaît.
- Oui. Qui je dois annonce?
- Monsieur Tapie. Avec un e à la fin.
- Monsieur Tapie pourriiez-vous rappeler demain?
- Non, ça fait cinq fois que je le fais, déjà.
- Je ne suis responsable de l´agenda de M. Courson.
- Oui je sais, mais vous sous- estimez votre pouvoir, et c´est pas três malin.
- Pardon?
- Je vous propose de passer de secrétaire à rapporteuse d´affaires.
- Mon emploi me satisfait pleinement, merci.
- Je vais forcer votre ambition.
- Qu´insinuez-vous?
- Je vera iça avec votre remplançante.
- Ma remplançante? Au revoir.
- Putain , mais la france je te jure. Quel pays de merde.
- A qui ditez-vous? Vous savez ou est M. Farrid?
- Le centre comercial existera, Monsieur Tarek.Que vous vouliez ou não. D´accord?
- Bon Journée, Monsieuer.
- Un type qui fait des affaires dans le coin. C´est lui qui a construí le centre comercial à la Courneuve.
- Il veut quoi?
- Il me harcèle, en fait.
- C´est un fou, j´en peux plçus.
- Il vient tous le jour avec son chauffeur pour que je leur vende mon garage. Masis je suis pas vendre moi, ils ont cru quoi, eux?
- Comment il s´aappelle, tu dis?
- Marcel Loiseau.
- Ils est où, son bureau?
- Je t´ai dit non.
Elke Merveille aime l´attention qu´elle reçoit des hommes, mais n´y pense générallement pas de fois. Elle est mariée, c´est diferente, elle instantanément chamée par la beauté classique de ce grand et beau gentlement... Les costumes ne sont plus à la mode dans la culture hipster de la défense. Elle n´est pas d´accord avec cela. Il y a quelque chose à dire sur un homme en coutume. Elle evite de tourner la tête dans sa direction mais leurs yeux se croisent, elle sorit elle et caressa lascivement les cheveuxDans sa maison son épouse arrive et parle:
- Bernard, on peut parler? Tu as dit quoi à M. de Sarnez?
- Comment?
- Il m´a dit que t´avais été odieux.
- Tu rigole ou quoi? J´ai rien dit. Bah... Attends.te mets pas dans cet état, tu leur dois rrien. Il vont te rendrre malade.
- Comment on ferait, sans eux?
- Il vont te rendre malade.
Son côté exhitionniste s´eveille déjà à sa place. Le sexe est monipresent dans sa vie. Il ocupe des pensés d´une façon qu´elle qualifierait de maladive obsequie se suspecte qui cachait mal leurs véritable intentions de trahir Tapie.
- Comment on ferait, sans eux
- Qu´est-ce que tu as? Ça va pas?
- Tu es de mauvais humeur? Ça va aller je te dis.
- De tout façon, comment ça pourrait être pire?
- Dejà, en pourrait plus avoir de toit.
- On est expulsés, qu´est-ce que tu rracontes?
- C´est la trêve inverrnale, on est traquilles jusqu`en avril.
- Il te faut quoi, pour t´inquieter?
- Mon idée est géneale, il me faut un investisseur.
L´entrepenneur Bernard Tapie arrive à São Paulo. La ville grise et bruyante, la journée, la foule, des tourristes se melaient aux flux de voitures. Sur fond des klaxons et poluition, mais quand tombe a nuit tout s´éclaire, tout s´épaise sur la metrópole. Elle offe toutes possibilites les rues s´illuminent, les théâtres et les restaurants prennent vie. Les Néons verts dansent au rythme des classiques.
- Non, je peux pas.
- Fais moi confiance.
- Non je peux pas vivre comme ça.
- On n´a plus rrien. C´est trop difficile.
- J´ai rencontré un investisseur. Un pot à Farid. Un type sûr
- Pourquoi tu retournes pas chez simonet?
- Tu rigole?
- Il m´a fait les poches pour rembourser ses 30.000 balles. Plutôt crever.
- Et ton père? Tu pourrrais pas bosser un peu avec lui?
- Tu te fou de moi?
- Non, mais. Temporaraiment.
- Je veux nous rendrre millionnaires, et tu veux que je vende des chauffages?
- Tu ne veux pas aterrir, un peu?
Une porte s´ouvre et la Femme demande:
- Vous desirez?
- Parler à M. Loseau, Pardon.
- Vous venez instalar la télé-
- Euh... Non je viens parrler à M. Loiseau.
- Je vais voiir s´il est disponible.
- Je peu entrer? Merci, pardon.
- Et vous-êtes?
- Bernard Tapie, Il me connaît, on se vus hier chez um ami.
- Monsieur Tapie pour vous.
- Tapie? Faite-le entrer.
- Vous venez?
- Je comprends pas hier vous etiez garagiste,, aujourd´hui vous voulez me vendrre un televiseur.
- Non, Je viens vous vendre la france de demain.
- Non la france de demain c´est moi et mes magasins Tapie T-A-P-I-E Voilà vous avez comprís?
Jolie non, la belle femme qui vous a ouverte la porte, Elke claque la porte derriere nelle pour valser ses scarpins défit son chignon la chevelure que tombe en cascade le long de ses rins. La belle brune déboutonna sa robe dévoilant une poitrine haute et ferrme liberes, les mamelons durcireent. Alors elle passa à la salle de bain pour se metre à son aise.
Fière de son corps. Le mirroir offrait la vue une image désirable des fesses rondes une taille fine., ses hanches bien dessinées et des seijs magnifiques. Elle cherchait une jouissance profonde pure et sauvage. Dans ce moment elle parle au portable.
- J´ai pas d´avis, je suis marié.
- Ça change quoi?
- Ça change mal des choses.
- Vous êtes fidéli.
- Oui, bien sûr.
- Votre magazine est simple, efficace.
- ON ne peux pas être associes 50-50, Ça ce pas possible.
- Je vous aii apporté l´idée.
- Ben on pourraait 60-40. Et je me montrerais três genereux.
- Considerez comme avance. Voyons nous de laa lundi pour commencer la prrospection.
- Ah, juste dernière choe. Ou plutôpt deux. La première: pas de coup torrdu avec toi. Ceux qui ont essayé, je ne vous fais pas de dessin. ET la deuxième, c´est que le magasin ne peut pas s´appeler Papie. Ça c´est impossible, je ne peux pas investir dans un magasin qui porte le nom de mon associe. Qui en plus est minprité. Mais si ça vous pose un problème vous remetez le cheque et puis, on en reste là.
Il va consulter son avocat.
- Et il te sort son chèquir comme ça?
- Oui.
- Il la même dit qui j´avais une iidée de genie.
- 100.000 francs, il peut être amoureux de toi.
- Tu tes rensigné sur lui? C´est un investisseur il y a des actions dans pleins societés.. Il a construí le centre comercial à la Courneuve.
- Ça servira à quelque chose
- J`attend de la voiture.
- Bah, dit quelque chose, au moiins.
- Je veux pas t´embêter et dis pas qu´il a raison, mais... Tu es sûr de toi?
- C´est-à-dire, ça fait beaucoup d´argent. Si ça marche pas, tu devras rembouser..
- C´est ta tom problema, ça.
- Oui, maiis...Si, c´est mon problème, un peu.
-Viens là. Ton blouson. J´ai traversé Paname pour me faire emmerder.
- Regarde comme on vit.
- Tu comprends pas? Bient?ot, c´est termine.
- Un Jour tu veux être pilote de course, um Jour chanteur.
- Pourquoi c´est pas plus simple?
- C´est pas... C´est pas la question.
- Tu est pas heureux, juste avec moi et l apetite?
- J´ai pas envie d me sentir limité. Que tu te sents limitée. Sinon, on arrivera jamais tout em haut.
- Mais moi, j´ai le verrtige, j´ai trop peur du vide.
- On va être heurreux. Je te le prormets. T´as Froid, allez, on rentre.
- Je vais me coucher.
- Je regarde un peu la télé et j´arrive.
- Je peux plus allumer. Il y a des commandes sur le poste.
- C´est une innovation. Passez pas à côté.Dans trois ans, ttout le monde a une télécommande.
- Je viens d´acheter une tv normal.
- Mais ça, c´est magique Il suffit de viser. Vous aavez les chaînes de France à portée. La une la deux..
Dans ce moment il reencontre une belle femme:
- Bonjour.
- Bonjour. Vous allez bien?
- Mieux qye jamais. Et vous?
- Très bien, merci.
- Vous n´alles pas crois. Ce qui m´est arrivé hier.
- Allez-y, dit toujours,
- J´étais avec ma meilleure amie aux puces de Saint-Ouen. Elle adore chiner pour décorer l´apparrtement de son mari. Très bel appatement.
Là, elle tombe sur cette commode Louis XV, pas três Jolie et chère, mais elle decide de l´acheter.
- Je vous écoute.
- Elle discute avec l´antiquaire, donc j ela laisse négocier.
- Je faire une ndécouverte. Je suiis tombé là
- Ça me tombe pas.
- À bientôt au revoir.
Le jour suivant au tribunal
- On est où, là?
-Vous vous foutez de moi!
- Ça vout un frranc.
- Je m´appelle tapie, pas Tati.
- Y a un million de matériel! Et le rrepertoire des abonnés?
- Ça vaut pas un franc, c´est une mine d´or.
- C´est contractuel, on ne s´y oppose pas.
- Je m´en fous, moi!
- Elle y connait rien.
- Baisse le ton, M. Tapie. Sinon je vous fais sorrtir.
- Ouais ça vas. C´est bon,
- Alors concernat le volet penal de cette affaire. Le tribunal reconnaît que Bernarrd Tapie é coupable de faute de gestão agravée, notamment en employant, sans le rémunérer, un employé du grrand dépôt pour la taille des haies de son jardin. Et en permettant à Monsieur... Farid Bem...
- Tarek, merci de rrecuperer un réfrigérateur de la marque Faurre au magasin de Grand Dépôt, après lacquiisition de celui-ci, D´une Ferrari Dino 246 GT de 1969, s´il vous plaît de la societé. En conséquence de quoi. Le tribunal reconnaît que M. Tapie est condamné à la déchance de ses droit civiques et à l´interrdiction de posséder une emprise.
- Enfoiré!
- Bernard! Lâche-le!
- Vous vous rassiez tout de suíte, M. Tapie.
- Maîtrise-vous! Salaude.
- La formula-1, la chanson, le pipeau.
- Dommage que vous ne vous soyez jamais essayé à la boxe.
- Viens, on va dehors, on va essayer.
- Quittez salle ou je fais interrvernir la police.
Fin
ivanribeirolagos20@gmail.com
Cette histoire est la propriété de son auteur : ne la copiez pas pour l'afficher sur un site autre qu'histoire-erotique.net
Ajoutez un commentaire pour cette histoire erotique: