Parue le 04 mai 2018

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Mes parents ne me donnaient pas d'argent de poche et je devais me débrouiller avec les moyens du bord. Je faisais des petits boulots. Mais un jour je voulais acheter un disque dans la grande surface du quartier mais je n'avais pas suffisamment.
J'ai pris le disque et je l'ai planqué sous mon pull. Je suis passé devant la caisse sans encombre. Mais une fois dehors, un vigile m'a interpellé et voulait me fouiller. J'ai refusé alors il m'a menacé d'appeler les flics. J'ai sorti le disque de sa cachette et je lui ai tendu. Ce n'était pas suffisant pour lui et m'a demandé de le suivre jusqu'à son bureau. Il me fit assoir sur un chaise et me fit la morale.
Il me menaça d'appeler mon père et je le suppliai de ne rien en faire car mon père m'aurait tué. "Alors que me proposes-tu ? me dit-il !
"Je ferais n'importe quoi mais surtout ne dites rien à personne, je vous jure de ne pas recommencer"
"N'importe quoi dis-tu ?" Il se leva et alla vers la porte qu'il ferma d'un tour de clé, puis il s'approcha et me dit : "Ok ! Lèves-toi et déshabilles-toi." Je ne pouvais plus reculer et je me mis à enlever mes vêtements un à un jusqu'à me retrouver complètement à poil devant le vigile. "Tu es mignon, tu sais - et tu es bien fait" Il me caressa le torse, la poitrine puis le ventre et le sexe déjà tendu. "Ah petit cochon, ça te plait, tu bandes déjà...ta petite queue est toute raide".
Il se déshabilla à son tour et dévoila son sexe énorme. Il bandait et son sexe décalotté laissait voir un gland épais et gros. Une grosse paire de boules soutenaient ce membre d'étalon. Mon sexe à côté paraissait ridicule. "Allez petit vient me sucer". Il s'approcha me fit mettre à genoux et posa son gland sur mes lèvres. J'ouvris la bouche et son gland pénétra aussitôt. "Vas-y petit suces-moi bien". J'entrepris de lui sucer juste le gland, ma cavité buccale n'était pas assez grande pour en prendre plus. Au début je trouvais ça dégueulasse mais peu à peu
je prenais du plaisir. Je le suçais pendant près de dix minutes, puis il me fit signe d'arrêter, me fit mettre à genoux sur la chaise et entreprit de me lécher la rondelle. J'y trouvais du plaisir, sa langue allait et venait fouillant frénétiquement mon anus et sa main me caressait le sexe raide. J'étais complètement à sa merci. Il se redressa et dans la position où j'étais j'étais sûr de mon compte. Je le suppliai de ne pas me faire mal. Il fouilla dans son bureau et sortit du tiroir un tube de crème et me badigeonna l'anus en faisant pénétrer l'onguent.
Il posa son gland sur l'ouverture et lentement je sentis son sexe me pénétrer. Ça tirait, mais je n'ai pas eu la douleur que je pensais. La crème servit de lubrifiant et il put introduire sa queue en grande partie. Il me tenait par les hanches et commença me limer. Le plaisir décupla et je ne pouvais plus retenir des râles de jouissance. "Ah ! Tu vois petite salope, tu aimes ça maintenant !" Mon anus était en feu mais j'aimais ça oui. Je découvrais et j'y prenais du plaisir. Ses va et vient se firent de plus en plus rapide et brusquement il se dégagea et vint se mettre devant moi pour lâcher tout son jus dans ma bouche avec des petits cris de bête en rut. Je reçus toute sa semence et j'avalais tout au fur et à mesure que les saccades arrivaient. Il resta un moment immobile savourant son plaisir puis se retira. J'étais toujours à quatre pattes sur la chaise. Il tira sur mon sexe et il se baissa pour me le sucer. Une minute après j'éjaculais tout mon sperme.
Il me rinça bien en pinçant les lèvres.
Il se rhabilla et me dit : "Allez petit, c'est bien, tu peux te rhabiller et partir tranquille, je ne dirais rien." Je lui lançais un petit merci une fois habillé et je sortis du bureau et du magasin, ne demandant pas mon reste.

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