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bizutage

Ecrit par jodejules
Parue le 12 octobre 2011
Il y a 2 commentaires pour cette histoire


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C’était en octobre 1980, à 19 ans, je venais de commencer mes études de médecine à la faculté d’Amiens. Depuis le début de cette année scolaire on nous annonçait, à nous première année, que le bizutage aurait bientôt lieu, on ne sait quand, on se sait où. Tous les jours nous arrivions à l’amphi avec l’appréhension qu’un bizut peut avoir en début d’année universitaire. Nous étions un groupe de copains qui nous nous étions retrouvés sur les bancs de la fac ; moi José, grand si on peut dire, 1 m 75, blond fraîchement débarqué du lycée si on peut dire. Il y avait Claude, une copine du lycée, jeune bachelière comme moi, 18 ans, brune plutôt jolie, Christophe, originaire de la même ville mais pas du même lycée, aussi grand, tout frisé et plus dégourdi que moi, voir macho, et sa copine Paule, grande brune aux cheveux longs, tout aussi dévergondé que lui. Voilà pour les présentations.
Des doublants nous avaient dépeint le bizutage comme une grande fête, axée sur la « beuverie » et orienté «sexe. Les conseils allaient bon train et entretenait le suspens et la peur. Beaucoup arrivaient avec des maillots de bain au-dessous de leurs vêtements pour ne pas se faire surprendre le grand jour.
Depuis trois semaines que la rentrée était faite, nous quatre, nous avions perdu l’habitude de s’habiller de la sorte et nous ne pensions pu que cette rigolade allait arriver.

Un zinzin, grande soirée médecine, était annoncé et dès le lundi matin on en parlait: .
Christophe : « mercredi, il y a un zinzin, si on y allait pour commencer notre vie estudiantine ? »
Moi « oui, on pourrait peut- être rencontrer des copains de lycée, il paraît qu’il y a d’autres facs qui viennent »
Claude : « mais il y a le travail, ce n'est pas le moment de décrocher, si on est crevé le lendemain on va perdre des cours »
Paule : « mais non, c’est pour ça qu’il faut en profiter en début d’année, on travaillera plus tard »
Moi : « ok, on y va pour voir »
Tout le monde accepta.

Mercredi soir, à 21 heures, départ tous les quatre, dans la 4l de Cristophe, pour la salle des fêtes. Paule avait mis pour me plaire un joli débardeur rose et un jeans, noir, je suis sur qu’elle avait mis un joli ensemble en dessous. Moi pour être assorti j’avais mis un tee-shirt noir et un jeans aussi. Chistophe était habillé comme moi, et Paule avait un chemisier blanc et une jupe à carreaux, courte, qui mettait en valeur ses jambes, pour les dessous je n’en savais rien.
La galère, déjà, pour trouver une place, il y avait du monde ce soir, cela promettait d’être bien. Après avoir traversé le parking, nous nous présentons à l’entrée de la salle. Trois étudiants, faluches sur la tête, font le tri. Devant nous des deux ou troisième année rient en nous voyant arriver et rentrent par une porte du fond. Nous rejoignons d’autres connaissances que nous avions fait dans l’amphi et après s’être fait tamponner la main nous allons dans la salle.
Claude : »tu as vu les autres sont rentrés sans difficultés sans se faire tamponner ? »
Christophe : »c’est peut être des organisateurs »
Paule : »arrêtez, on est là pour s’amuser »
Elle nous entraîne sur la piste de danse où il y avait déjà du monde qui se trémoussait. La soirée bat son plein et tout le monde dansent avec tout le monde.

A 22 heures, toutes les lumières s’éteignent, une musique de circonstance retentit. Puis sur la scène trois personnes arrivent en sautant, une fille et deux garçons, faluche sur la tête:
Un des garçons : »Bonjour, aujourd’hui c’est votre intégration et bous allons nous amuser »
La fille : »nous allons nous amuser et pour cela, nous allons séparer les garçons des filles »
Aussitôt dit aussitôt fait des groupes de deuxième année passent pour rechercher ceux qui avaient des tampons sur les mains et orientaient les garçons à gauche, les filles à droite ? Nous voilà Chistophe et moi séparé de nos deux copines.

Un des garçons sur scène enchaîne
« Nous avons besoin de dix garçons et dix filles, y a t’il des volontaires, pour danser sur scène ? »
Il n’y avait pas beaucoup d’amateur, et 20 personnes furent extraites et propulser sur scène ; parmi celles ci Claude. On leur demanda de s’aligner face au public.
La fille se mit à crier : « A poil et vite »
Interloqué les pauvres se regardaient n’osant obéir à cet ordre.
« Vite ou on le fait pour vous »
Tous commencèrent à se déshabiller et bientôt les vingt furent en sous-vêtement sauf une fille qui malheureusement n’avait pas de soutien-gorge. Ils furent mis en ligne en alternance une fille un garçon. Une chaise est placée devant chacun et on leur demanda de mettre le pied droit dessus, Ma petite Claude se demandait quoi, elle, avec son petit soutien-gorge blanc et son string. , Elle avait à ses cotés deux garçons, un en boxer noir et le second en caleçon.
L’organisatrice commença nouer sur le coté du slip du premier garçon une longue ficelle qu’elle passa sous son pied à terre, puis dans l’entre jambe du slip(tout en profitant pour vérifier le matériel)Elle continua en passant le fil sous l’autre pied sur la chaise puis de l’autre coté du slip et fit de même avec sa voisine et tous les autres étudiants sur scène. Arrivée en bout de chaîne un des autres organisateurs pris la ficelle en main et la tendit pendant que l’on enlevait les chaises. On avait une ligne de personnes en sous-vêtements, en équilibre une jambe en l’air, attendant les instructions.
La fille : « maintenant mains sur la tête, vous aller tous sauter en même temps abaisser la jambe et relever l’autre. s’il y a un décalage, vous baissez vos culottes et celles de vos voisins ou voisines…Un deux trois… «
et les vingt sautèrent et changèrent de jambe, toutes les culottes se baissèrent en même temps sans être à la même hauteur, dévoilant les sexes des garçons pas toujours à leurs avantages et les sexes des filles plus ou moins touffus.
Ma Claude était là en soutien-gorge, slip à mi-jambe, la foufoune exposées entourée de deux gars qui commençaient à bander dur.
Un des garçons « interdiction de se cacher », tous, surpris gardèrent les mains sur la tête.
Les deux organisateurs tirèrent les slips et l’un dit : « puisque vous êtes incapable d’être en rythme, c’est confisqué jusqu’à la fin de la soirée comme le reste de vos vêtements. , Allez danser.
Les garçons partirent nus et les filles en soutien-gorge sans rien d’autre.
Claude nous rejoignit en cachant son sexe comme les autres participants. On essaya de la consoler mais elle se lamentait d’être nue alors que presque tout le monde était vêtu, ce n’était que parti remis.

Mon tour vint, je fus hissé sur la scène avec une fille que je ne connaissais pas, l’organisatrice, écarta mon boxer, mis la main dedans et me masturba, j’essayais de réagir mais deux mains me tinrent. Quand elle fut contente du résultat elle fit glisser une grappe de raisins et relâcha l’élastique ! Elle se retourna vers la fille. Rouge comme une pivoine je la regardais, c‘était une petite blonde en sous-vêtement rose. Elle fit de même main dans la culotte, la doigtant, mis le raisin. Elle dit en tendant deux gobelets :
« Vous allez m’extraire votre jus, allez.
La fille commença à presser mon slip, le résultat était peu probant. La fille pris sa main et la mis à l’intérieur
«Attention trompe-toi pas de grain. » Elle pressa les grains ce qui se traduit immédiatement d’une réaction de mon sexe. Ma partenaire devenait aussi rouge que le jus qui coulait entre mes jambes au fur et à mesure de mon érection. La même main me fit faire la même chose dans la culotte rose, je triturais les grains pour en extraire le jus, toujours en frôlant les lèvres de son sexe. Au but de deux minutes nous avions le droit de nous arrêter. Face au public j’avais le slip plein, du jus qui coulait sur les cuisses et ma collègue de même sa culotte rose colorée de rouge par le jus de raisin. On but le jus quand soudain nos culottes furent baissées et nos sexes exhibés à tout le public. Nous eûmes le droit de repartit toujours les fesses à l’air. Je rejoignit les autres pour assister aux autres exercices.

Quant vint le tour de Christophe, celui ci se défendit. Deux gaillards l’ont pris par les bras, La fille le déshabilla puis baissa son slip devant tout le monde pour l'exhiber. Il était la, maintenu sur scène, bas en croix, slip au pied, le sexe qui pendait. Une fille fut amenée sur scène. Sans qu’on ne lui dise rien elle se déshabilla pour se retrouver en sous-vêtements.et sous peine de subir la même chose elle dut le masturber, elle commença des petits va et viens puis accéléra jusqu’à l’éjaculation qu’elle prit sur son sous tif, chose que tout le monde applaudit. Elle eut le droit de rester comme elle était Il revint vers nous, nu et en pleine débandaison.

Paule, qui avait fait semblant de ne pas être une bizute et qui avait gardé ses vêtements nous rejoignit pour réconforter son chéri.
Les trois organisateurs, quand ils virent la supercherie, arrivèrent pour la prendre, en moins de deux elle fut sur scène. Elle fut huée par le public
La fille dit "Elle a trichée, elle mérite d’être punie »
La foule cria.
« Vous voulez la voir nue ? »
« Oui »
Elle glissa les mains sous le débardeur et détacha le soutien gorge qu’elle lança dans la salle, puis elle se baissa pour enlever la culotte qu’elle lança de la même façon.
Claude était là nue sous ses vêtements, maintenue devant une foule en trans. Les gars la firent tourner sur elle-même relevant sa jupe ou tout le monde pu voir ses fesses et son sexe. Ceci ne dura que quelques secondes, elle fut mise nue en moins de deux et la fille se mit à la doigter jusqu’à la jouissance. Elle se tordait sur scène tout en criant.
« Pas de jaloux tu as les même droit que ton copain »
. Elle nous fut rendue juste après.
La fête repris et dans la salle on pouvait voir des étudiants habillés et nous tous les premières années soit entièrement nus ou vêtus de soutien-gorge ou autre sous-vêtement, chacun dansant sans aucun complexe.
A la fin de cette soirée nos habits furent mis sur scène en mont. Chacun se rua, se frôlant se collant pour récupérer son bien. Claude ne retrouva pas sa parure que le public avait gardé. Notre première année s’est bien déroulé mais nous avions pris goût aux strip-game que nous avons exploité dans d’autres soirées, mais ceci est une autre histoire que nous raconterons plus tard< ;


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