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fantasmes réalisé

Ecrit par nono59
Parue le 25 novembre 2015
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Cette histoire érotique a été lue 3774 fois | Cette histoire erotique a une note de : 14/20

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Je regardais Karine allongée nue sur le lit. Jamais je n’aurais imaginé qu’un jour je prendrais du plaisir à voir ma femme avec un autre et, qui plus est, un de ses anciens élèves. Nous sommes mariés depuis 10 ans, 2 enfants, et nous habitons un petit village calme à la campagne. Karine, mon épouse, a 38 ans, brune, 1,70 m, un physique agréable qui ne laisse pas insensible le regard des autres hommes. Nous formons un beau couple, et avons une vie sexuelle épanouie, malgré un manque d’attentions au moment où cette aventure est arrivée.

Cela fait 4 ans que nous recevons en fin d’année scolaire des élèves et des profs du lycée où mon épouse est documentaliste. Il fait beau en ces derniers jours de juin 2014. Parmi les conversations, j’entends un élève dire à ses copains qu’il s’est fait une prof. Je le connais : c’est le chouchou de certains profs, dont ma femme. Il vient d’avoir 18 ans ; elle est sa confidente, sa mère, sa copine. Il revient parfois à la maison avec elle, et ma chérie le ramène en fin de soirée ; parfois elle discute avec lui et revient assez tard. Je les imagine en train de s’embrasser dans la voiture, c’est de là qu’est venu l’idée de lui écrire ce fantasme,

En octobre, un vendredi soir, il est 22 heures, je rentre du travail. Karine me demande si je veux venir prendre un verre et ensuite aller en discothèque. Fatigué, je refuse et la laisse partir avec Valérie, Franck et Renaud. Je la vois monter à l’arrière de la voiture avec son chouchou. Cette nuit-là, sur mon lit, j’imagine mon épouse se faire draguer par cet élève, lui faire l’amour sur le capot de la voiture ; enfin, de drôles d’idées passent dans ma tête. Je sens en moi monter une drôle de sensation ; je suis très excité, et je vais l’attendre jusqu’à son retour, vers 4 heures du matin. Le lendemain matin, alors que nous prenons notre petit déjeuner, je remarque qu’elle a une drôle de tête. Elle se confie et me dit que Renaud, au cours d’un slow, l’a embrassée dans le cou et qu’elle a refusé d’aller plus loin, qu’elle était mariée, malgré que je ne m’occupe pas d’elle en ce moment. Une brèche est ouverte : il ne me reste qu’à orienter ma femme vers mon fantasme ! Je la regarde et lui dis :

— Dommage, tu aurais pu en profiter.

Elle se met à pleurer, pas en colère contre moi. Mais le fait que je ne sois pas en colère, c’est que j’avais compris qu’elle se sentait seule.

Dans les mois qui suivent, et chaque fois que nous faisons l’amour ou qu’une occasion se présente, je parle de Renaud, qu’elle aurait dû se laisser faire, qu’il doit être un partenaire idéal. Elle ne relève pas ; je dirais même qu’elle y prend du plaisir. Mais de là à coucher avec lui… Le piège se met en place doucement.

En avril, il vient faire un stage dans la ville proche de notre village. Comme il n’a pas de moyen de locomotion, Karine lui propose de dormir à la maison. Je m’arrange pour les laisser seuls le plus souvent possible, mais rien. Alors je discute avec lui et, un soir, alors qu’elle n’est pas là, la conversation se porte sur l’échangisme, sur le fait que je serais d’accord si je trouvais quelqu’un de confiance car elle ne veut pas aller dans ces boîtes d’échangistes. Je lui demande comment il trouve Karine et lui dis que je suis au courant de sa tentative de drague en boîte. Il me dit que ça fait longtemps qu’il rêve d’elle et qu’il a de la chance de dormir à la maison, mais qu’il a peur de sa réaction s’il essayait à nouveau de la draguer ; je le rassure. Reste à trouver le bon moment,

En mai, nouveau stage. Renaud passe de nouveau la semaine à la maison. Un soir, Karine prenait sa douche, nous nous glissons dans le jardin face à la véranda, qui n’est visible que du jardin entouré de murs assez hauts. Ma femme, pensant que nous n’étions pas là, déambule nue comme d’habitude et reste un moment dans cette pièce. Il ne perd rien du spectacle.

— Regarde ses seins comme ils sont beaux, sa chatte rasée, on dirait un abricot ; elle te plaît ? Je te l’offre !

Il ne répond pas mais le regard qu’il porte sur elle en dit long.

— Je vais te préparer le terrain.

Vendredi soir, les enfants ne sont pas là. Karine, pour l’occasion, porte une robe courte d’été ouverte sur le devant. Après un repas délicieux, ma femme est un peu «pompette» ; elle n’a pas l’habitude de boire. Je la chauffe un peu, l’embrasse longuement dans le cou ; j’en profite pour déboutonner un peu le haut et le bas de sa robe afin de mettre à l’aise notre invité.

Karine ne se défend pas beaucoup ; nous continuons notre soirée au salon. Karine est assise sur le rebord de mon fauteuil, et lorsqu’elle prend son verre sur la table, Renaud aperçoit le début de sa poitrine. Elle a de magnifiques jambes avec cette robe, et l’envie de lui faire l’amour grandit. Il est 22 h 30 ; Karine se dirige vers la salle de bain pour prendre une douche, puis revient vêtue d’une nuisette. Elle rit beaucoup, et oublie que Renaud est là. Nous apercevons ses seins au travers du fin tissu à chaque fois qu’elle fait un mouvement en avant, mais aussi son string lorsqu’elle décroise ses jambes. Renaud est aux anges, l’ambiance est bonne, l’alcool fait encore son effet je lui demande de le retirer : « Allez, laisse-toi aller ! » Elle refuse sans crier et monte dans sa chambre ; Renaud en profite pour prendre une douche. Je monte pour la rejoindre ; Karine allait sortir de notre chambre. Je l’embrasse et la colle contre le mur. Je sens mon sexe tendu contre sa peau… Je ne peux rester plus longtemps. Elle s’allonge sur le lit, me sourit et me dit :

— Viens.
— Ne bouge pas j’arrive.

Je file vers la salle de bain ; Renaud a une serviette autour de sa taille.

— Rejoins-la, elle est à point. Embrasse-la directement, ne te pose pas de questions.

Il monte. Je le suis discrètement à distance et reste dans l’ombre de l’escalier. Il arrive devant la porte, laisse tomber sa serviette. Karine le voit ; elle rougit, se lève et lui demande ce qu’il fait là. Je vois son regard glisser sur le sexe en érection de Renaud. Sans perdre de temps, ce dernier l’attrape par la taille et l’embrasse fougueusement. Elle se débat un peu, essaye de le repousser, puis ses bras se posent sur ses épaules, les langues s’entremêlent, il la pousse contre le mur de notre chambre ; je vois la nuisette glisser aux pieds de ma femme. Mon cœur bat vite, je me sens bizarre. Ses mains caressent la peau de mon épouse, ses seins, et se glissent vers sa chatte. Elle repousse ce jeune amant fougueux et s’allonge sur le lit. Il reste devant elle et la regarde : celle dont il a rêvé est allongée sur ce lit, elle tend son bras et lui demande de venir. Il s’allonge sur elle et continue de l’embrasser, puis il s’occupe de ses seins, les malaxe, les tire, les suce, mordille ses tétons. Je ne bouge pas, partagé entre la jalousie et l’excitation incroyable qui s’est emparée de mon corps.

Karine se laisse faire à présent. Renaud continue de jouer avec ses seins ; il aspire, mord et tire la pointe de ses tétons. Elle grimace un peu mais se contente de diriger la main de son jeune «amant» vers son minou tout lisse. Il y enfonce ses doigts, puis les frotte contre sa chatte et son clitoris. Elle commence à bouger. Renaud écarte son string et lèche son minou, provoquant un premier orgasme. Le temps qu’elle reprenne ses esprits, il attrape le fin tissu et fait glisser son string, se glisse entre ses cuisses écartées, fait claquer son sexe sur celui de ma femme, puis doucement glisse en elle.

Je vois son sexe défoncer sa chatte, les va-et-vient écarter ses lèvres humides. Elle glousse, sa bouche est entrouverte, ses yeux sont mi-clos. J’entends des floc- floc, tellement elle mouille. Qui aurait pu croire que je prendrais autant de plaisir à voir ma femme se faire baiser par un autre ? Les coups de boutoir se sont accélérés. Karine tourne sa tête vers moi ; elle sait que je suis là, elle me sourit. Une sensation de honte m’envahit à cet instant précis : comment je peux regarder ma femme se faire baiser par un autre ? Et pourtant je continue à regarder ce « couple ». Elle ferme les yeux, regarde celui qui la prend et crie « Encore… encore ! » Sa bouche est grande ouverte, son souffle haletant ; elle enserre ses jambes autour de sa taille, et crie avant de jouir en même temps que lui. Il se retire ; je vois un filet de sperme couler et remonter le long de son abricot.

Renaud s’allonge à son tour sur le lit. Karine se penche sur son sexe. Sa langue lèche ses couilles puis remonte vers son gland poisseux, doux mélange de cyprine et de sperme. Elle le nettoie avant de l’engloutir au fond de sa bouche ; elle le suce à pleine bouche et le branle avec une de ses mains. Puis Karine se place à califourchon sur lui, prend sa queue et l’introduit dans son minou. Elle s’assoit d’un coup pour que ça rentre entièrement. C’est elle qui mène les ébats. Elle se met à onduler au rythme de ses mouvements, elle gémit de plaisir. Soudain Renaud, d’un coup de reins, la fait basculer sur le dos, lui soulève les jambes pour mieux investir sa chatte. Je vois les coups de reins puissants de son jeune amant, sa queue qui entre et sort brutalement de sa grotte, puis de nouveau fouille au fond de ses entrailles, provoquant des cris de plaisir.

Il s’arrête et glisse quelque chose à son oreille ; elle se met à quatre pattes, la tête posée sur l’oreiller, se cambre pour mieux offrir ses fesses. Il se positionne derrière elle, dépose un filet de bave sur son petit cul, pose son gland à l’entrée de sa rosette et s’enfonce doucement. Ce que je ne cesse de demander à Karine, mais qu’elle a toujours refusé, elle va l’offrir à un autre ! Renaud la saisit par les hanches et s’enfonce d’un coup sec, laissant passer un petit cri de sa bouche. Il lui donne de grands coups. Le bruit de ses couilles sur les fesses de ma femme est bestial ; elle ondule du bassin en cadence au rythme de ses mouvements. Ma chérie crie de douleur et de plaisir, je ne peux qu’être admiratif devant ma femme et son amant qui, dans un râle puissant, se vide au fond de son ventre.

Je m’éclipse, ravi, et rejoins la chambre d’amis. Karine vient me voir, une heure après ; elle est honteuse et me demande pardon en pleurant. Je la prends dans mes bras et nous avons une discussion. Elle ne s’était rendu compte de rien au cours des mois précédents ; à aucun moment l’idée de me tromper avec Renaud ou un autre ne lui était venue à l’esprit. Cela ne se reproduira plus.

— Mais, Karine, il n’est pas question d’arrêter : j’ai tout organisé afin de réaliser ce fantasme. Nous allons continuer si tu le veux bien avec ton amant ; je sais depuis l’an dernier qu’il te plaît.

Elle m’embrasse. Je sens qu’elle est heureuse, mais il me faut une compensation. Elle comprend en me regardant, se met en levrette sur le lit.

— Vas-y, prends-moi…

Je m’approche d’elle. Ma queue entre toute seule dans son cul ; il y a encore du sperme de son amant. Je pilonne son petit cul avant de le remplir à nouveau,

Karine finit la nuit avec Renaud.


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