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Ecrit par Le jouisseur
Parue le 21 09 2018
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Cette histoire érotique a été lue 2099 fois | Cette histoire erotique a une note de : 16.619/20

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Fantasme futuriste (2) : l’orgie de foutre

Je la laissai donc faire comme si de rien n’était pendant 1 à 2 minutes supplémentaires quand elle dit :
- C’est bizarre quand même … j’ai une étrange sensation de chaleur dans la bouche et la gorge et j’ai une sorte de soif mais …
- De quoi ?
- J’ai soif de … sexe
Le mien en enfla presque immédiatement, car même si elle n’osait pas l’avouer, c’était de sperme qu’elle avait soif. C’était bien ce que je pensais, cet appareil pouvait avoir l’effet de rendre la bouche de sa « victime » avide de sperme. Cela dépassait mes rêves les plus fous ! Mais, me souvenant de l’avertissement, il était temps de l’arrêter car elle avait largement dépassé la dose prescrite.
- Comme je l’ai découvert sur ce petit fascicule, cet appareil stimule la zone érogène du corps sur lequel il est appliqué.
- Et c’est maintenant que tu me le dis ? s’offusqua t’elle mais sans grande conviction.
Coralie s’alanguissait de plus en plus :
- Mais comment vais-je faire maintenant ? c’est que j’ai très soif… et que vous n’allez pas suffire !
Sans répondre, je lui enlevai l’appareil des mains et je commençai à me le passer sur le gland et la verge. Instantanément, une puissante érection s’empara de mon sexe.
- Cet appareil est magique ; je crois que je sais comment étancher ta soif.
Et je commençai à me caresser les couilles avec l’appareil. Je sentis alors une étrange impression d’enflure et mon érection s’intensifia encore pour atteindre un niveau inconnu de moi.
- Regarde, Coralie, je me constitue des réserves pour toi. Je vais t’abreuver comme jamais.
- Tu es vraiment un gros cochon, un pervers de la pire espèce …
Mais son regard lubrique et la langue coquine qu’elle passait sur ses lèvres démentaient la sincérité de ses propos.
- Et nous ? demandèrent les 2 juniors
Je leur lançai alors l’appareil en me rendant compte que j’avais probablement aussi quelque peu dépassé les 30 secondes. Mes deux gaillards se massèrent le sexe et les couilles avec l’appareil et affichèrent tout de suite des érections triomphantes sous le regard ravi de Coralie.
- Je sens que je vais me régaler ! dit-elle
- Nous aussi ! renchérirent-ils
Et présentant leurs bites à Coralie, celle-ci, agenouillée sur le fauteuil, commença à les sucer alternativement avec appétit. Elle n’eut pas à attendre très longtemps et Junior 1 éjacula dans sa bouche hermétiquement close. Son orgasme fut encore plus long que le précédent et, secoué de spasmes et de gémissements, il se vida complètement dans le gosier de sa suceuse. Celle-ci avalait tout sans laisser échapper la moindre goutte.
- Que c’était bon ! dit-elle après avoir tout dégluti. Il y en avait beaucoup plus que tout à l’heure !
Beaucoup plus que tout à l’heure ! Alors que je savais, parce que je me connaissais quand même bien, que sa première éjaculation avait été très abondante ! Quel effet avait ce gadget miracle ! Je fus alors pris d’une irrépressible envie de jouir. Mais Junior 2 devait être dans le même cas, car il avait enfourné à son tour sa bite dans la bouche de Coralie. Que faire ? Mon œil fur alors attiré par un grand verre posé à côté d’une carafe d’eau. Pour ne pas répandre mon sperme partout, je m’en saisis et commençai à me masturber dedans. Je jouis très rapidement et intensément, je répandis une vingtaine de jets de foutre au fond du verre dont le fond se trouva nappé de semence. Je restais stupéfait de la quantité produite. Pendant ce temps, Junior 2 jouissait à son tour dans la bouche de sa fellatrice qui avala également complètement son foutre. Insatiable, je l’entendis dire :
- Quel régal ! j’en veux encore !
- A ton service ! j’en ai encore plein les couilles ! dit Junior 1 en proposant sa bite à nouveau en érection
Je sentis alors revenir un désir intense et mon sexe se transforma en une trique dure comme le béton. La bouche de Coralie étant de nouveau occupée, je me saisis à nouveau du verre pour m’assouvir dedans. Et à ma grande surprise, j’éjaculai à nouveau au fond de celui-ci une énorme quantité de sperme qui en augmenta notablement le niveau. Pendant ce temps, j’entendis les gémissements de Junior et les « hmm » de satisfaction de Coralie engloutissant sa semence. Junior 2 avait rebandé entre temps et succéda à Junior 1 dans la foulée pour dispenser à Coralie une nouvelle rasade de foutre.
Malgré l’intense assouvissement que m’avait procuré ma jouissance précédente, mon désir revenait aussi fort que précédemment. C’était monstrueusement bon ! Nous savions que nous pouvions nous vider généreusement dans cette petite bouche gourmande. Coralie venait d’ingérer 4 éjaculations bien juteuses en moins de 10 minutes et à ce train, j’aurai vite fini de remplir le verre que j’avais dans la main ! Il fallait que j’en profite au maximum.
Junior 1 ayant repris sa place dans la bouche de ma coquine, je lui dis :
- Tu vas tellement vite à avaler que je suis frustré de tout spectacle ; cette fois-ci, tu vas tout garder dans ta bouche et me le montrer !
Message bien reçu ; quand junior 1 jouit, Coralie le reçut intégralement puis, se tournant vers moi, elle ouvrit la bouche. Je vis alors l’éjaculation de junior 1 sous la forme d’une jolie petite mare blanchâtre qui baignait presque complètement sa langue. Spectacle exquis ! Je pensais aux quatre éjaculations précédentes qui étaient allées remplir son estomac (plutôt 6 en fait, depuis le début de l’après-midi).
- C’est bien ! tu peux tout avaler maintenant, petite gourmande !
Elle s’exécuta aussitôt. Junior 2 en rebandait de plaisir. Et moi aussi, je dus saisir en hâte mon verre pour y balancer une nouvelle dose de foutre crémeux. Il y avait maintenant un bon centimètre de semence au fond du verre. Après chaque éjaculation, mon désir revenait très rapidement et aussi fort qu’avant de sorte que j’étais entré dans un état de désir pervers et de jouissance permanents, attisés par la vision de Coralie se régalant de quantités de sperme inégalées avec une ostensible délectation.
- Tu vas faire encore mieux maintenant ; je veux voir ta petite bouche déborder de sperme ; tu vas ouvrir ta bouche et les deux juniors vont venir décharger dedans à tour de rôle jusqu’à ce qu’elle soit pleine.
Sans répondre, Coralie ouvrit lentement la bouche en me regardant droit dans les yeux. Junior 2 en approcha rapidement son sexe puis se branla avec lenteur dedans. Le résultat ne se fit pas attendre et il se mit à éjaculer plusieurs salves de jets puissants qui allèrent s’écraser tout au fond de son orifice buccal. Sans sourciller, Coralie recueillait le précieux liquide que je vis s’accumuler sous la langue. Après cette première explosion, Junior 1 prit le relais et ajouta son abondante quote-part ; à ce stade, Coralie dut incliner légèrement la tête pour éviter de renverser le contenu de sa bouche qui s’accroissait rapidement. Fou d’excitation, je dis :
- N’avale pas tout de suite surtout ! attends qu’ils t’en remettent une deuxième tournée.
Ayant à peine achevé ma phrase, je me répandis une fois de plus dans mon verre. Pour prolonger cette situation qui devenait ignoblement cochonne, junior 2 remplit complètement la bouche de Coralie par une troisième éjaculation aussi abondante que les précédentes ; je me demandai combien de temps encore l’effet de la stimulation se prolongerait … Cette fois, la bouche de Coralie était décidément pleine et les dents du fond et sa langue disparaissaient dans un lac de foutre.
- Que tu es belle comme cela ! avale bien tout maintenant.
Coralie s’exécuta avec un peu de difficulté, compte tenu de la quantité mais non sans plaisir et après plusieurs mouvements de déglutition elle se lécha les lèvres avec délectation. J’en jouis de bonheur une fois encore et le verre était maintenant à moitié plein. Coralie le fixant avec étonnement demanda :
- Mais qu’est-ce que tu comptes en faire ? tu ferais mieux de jouir dans ma bouche
- Ne t’en fais pas, je commence à en avoir idée ; rappelle-moi de te prévenir quand il sera plein
- … tu veux que je boive … tout … d’un coup !?
- Tu as tout compris ; cela étanchera peut-être enfin ta soif.
- Oh la la ! Mais je n’ai jamais fait de truc aussi cochon.
De cela, j’étais certain et j’en étais d’autant plus excité. A ce stade, je perdis le compte des éjaculations et avalades qui se poursuivirent tandis que je continuai de remplir mon verre avec entrain. Nous étions dans un état d’excitation et de jouissance permanente qui nous incitait aux pires cochonneries que Coralie acceptait avec joie à partir du moment où elle avait la bouche pleine. C’est ainsi que j’ordonnai à Coralie de conserver dans sa bouche le contenu de nos trois éjaculations jusqu’à ce qu’elle jouisse ensuite sous nos caresses et masturbations. Ce fut un bonheur de la voir ainsi gémir et jouir la bouche pleine à ras bord puis d’avaler le foutre avec délectation. Je repris aussitôt le rythme de mes branlettes dans le verre, jusqu’à ce qu’il soit entièrement rempli. Fier de moi, je le levai alors en disant :
- Çà y est, petite gourmande ! je crois que ta boisson chaude n’attend plus que toi.

Le verre devait contenir au moins 15 cl de sperme. Coralie, à genoux, le regardait, fascinée, mais avec une lueur de désir dans ses yeux. L’état où l’avait plongé le petit gadget allait-il être suffisant pour lui faire franchir ce pas extraordinairement cochon ?
- A toi de jouer, ma cochonne
Et je lui tendis le verre plein de mon nectar de couilles qu’elle attrapa quasiment mécaniquement. Elle en contempla un instant le contenu, l’approcha de son nez, le huma puis l’en éloigna, encore hésitante.
- Je n’ai jamais fait un truc pareil ; mais c’est tellement cochon ! et puis j’en ai trop envie !
Et elle y trempa enfin ses lèvres ; elle en but d’abord juste une gorgée qu’elle savoura délicatement avant de l’avaler.
- C’est bizarre de le boire comme çà. C’est doux…
Elle porta à nouveau le verre à ses lèvres et continua de boire. Merveilleux ! Elle était partie pour déguster délicieusement les 15 cl de foutre. Je ne reconnaissais plus ma petite salope même si j’ai toujours eu l’impression que les femmes à gros seins adoraient le sperme. En l’occurrence c’était le cas. Après avoir bu 2 gorgées supplémentaires, elle marqua un nouveau temps d’arrêt puis, hmmm, elle se mit à avaler l’intégralité du contenu avec gourmandise. Nous pouvions voir les mouvements de déglutition répétés tandis qu’elle inclinait le verre et que son contenu disparaissait dans sa bouche pour dévaler dans sa gorge jusqu’à son estomac, déjà bien rempli. Ce que j’avais toujours rêvé de la voir faire, elle le faisait aujourd’hui devant moi. Et pour couronner le tout, j’en profitai pleinement, car j’étais dans un état d’excitation permanent. Après un ultime « gloub », le verre fut enfin vide.
- Que c’était bon !
Et elle se mit en demeure de lécher ce qui restait sur les parois pour nettoyer complètement le récipient. Emerveillé, je ne pus m’empêcher de dire :
- Tu te rends compte que tu viens de boire un verre entier de sperme !
Sans se donner la peine de répondre, elle enfourna dans sa bouche son doigt couvert de sperme récolté au fond du verre. C’en fut trop pour nous trois et trop excités pour attendre davantage nous éjaculâmes de concert une cataracte de foutre sur Coralie qui finissait de lécher son verre ; elle fut recouverte de foutre de la tête aux pieds. Ce qui suivit fut encore plus cochon : munis d’une petite cuillère, nous nous mîmes à collecter le sperme sur son joli petit corps et nous lui fîmes manger à tour de rôle, achevant de la gaver de foutre comme un petit bébé. Elle dut absorber ainsi une dizaine de cuillérées bien pleines.
Nous étions tous un peu calmés et Coralie en profita pour aller se doucher. Quelle ne fut pas notre surprise quand elle nous déclara à son retour que sa soif insolite semblait revenir petit à petit… Un peu inquiet, je me souvins opportunément de la mention « en cas d’urgence, reportez-vous en page suivante » du mode d’emploi du gadget. Récupérant le papier, je tournai la page et lut à haute voix :
- Rendez-vous dans la salle d’urgence par la porte bleue
Il y avait effectivement une porte bleue au fond de la salle où nous trouvions. Que cachait-elle donc. Coralie à mes côtés, je l’ouvris et découvris …

A suivre …





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