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le cocu assite aux ébats amoureux de sa femme Annick et de son voisin

Ecrit par Nickie
Parue le 23 janvier 2019
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Cette histoire érotique a été lue 1780 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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e soir tombait petit à petit, Annick lisait dehors sur le trottoir servant de terrasse, elle vétue de son pyjama short bleu comme ses yeux, dont le haut moulait sa poitrine généreuse et le bas relevé, car elle avait posé ses pieds nues sur un chaise située en face d’elle, découvrait ses cuisses musclées et blanches. Elle remuait de temps en temps ses orteils mignons indiquant qu’elle se sentait parfaitement bien et était heureuse après qu’une douche rafraichissante lui ait redonné le sourire après la chaude jounrée qu’elle venait de passer. Août même dans la campagne dombiste est toujours une saison chaude et étouffante. Le mouvement du tissu recouvrant sa poitrine montait et descendait à chacune de ses respirations. Ce qui je dois le dire était terriblement sensuel et très excitant…..

C’est à ce moment que Christian revenant du travail lui souhaita le bonsoir, discuta quelques instants avec elle puis déclara qu’il montait prendre une douche car lui aussi avait eu très chaud cet après-midi surtout.

Moi de mon coté, voyeur et fantasmeur je révais de voir ma femme coucher avec lui car malgré ses 50ans Christian était encore un bel homme, de taille moyenne mais bien proportionné avec un beau visage au teint halé, un sourire éclatant, une voix chaude et envoutante, son polo masquait mal un torse quelque peu musclé sans plus mais juste comme il faut, très doux dans ses mouvements donc dans ses caresses, il plaisait beaucoup, avait du charme et Annick bien qu’elle me dit plusieurs fois qu’il ne l’intéressait pas, je voyais bien dans son regard qu’elle lui portait quand même un intérêt certain.

Annick est une femme mature ayant comme attrait en plus de sa gentillesse une poitrine blanche, lourde, flasque qui ne laisse pas indifférent !!! elle fait 105 de tour de poitrine et porte 95 bonnet D, et malgrè ses 54 ans, qu’elle ne les fait pas, pas mal d’homme se retournent sur son passage.
Je pensais à tout çà quand Christian revint s’asseoir à coté d’elle disant que cette soirée était délicieuse, que le week-end s’annonçait bien et qu’il venait profiter de la douceur de la soirée avant de monter se coucher. il était vétu d’un pyjama short de couleur gris souris parfaitement assortie à sa chevelure grisonnante dont les cheveux mi-long coulaient dans le cou en de tendres boucles délicates.

Il parlait de choses et d’autres et je voyais bien que Christian reluquait par moment les formes d’Annick surtout la poitrine qui passablement excitée par l’histoire qu'il lui contait, se gonflait plus que la normale. Christian cachait mal son désir de la posséder car au niveau de la braguette le tissu commençait à gonfler passablement ... il avait envie d’elle celà était indéniable, je dois dire que je me trouvais derrière la vitre de la cuisine masqué par un rideau, je voyais presque tout et eux ne me voyait pas. Ils riaient par moment puis à un moment leur regard se croisèrent et en se fixant aussi bien l’un que l’autre ils cessérent de discuter un court instant, Christian posa sa main sur le genou dénudée d’Annick et elle ne le repoussa pas ….et c’est à cet instant que le portable posé sur un meuble dans la pièce à coté se mit à sonner, je m’empressais d’aller répondre et fut rapidement de retour car il s’agissait d’un appel publicitaire sans aucun intérêt. A mon retour je vis les deux sièges vides, je scrustais les alentours et ne voyant rien je sortais pour remarquer que les lunettes et le livre d’Annick étaient posés sur la petite table et pas de traces d’eux. J’entendis alors des bruits dans l’escalier comme ceux de deux personnes le grimpant rapidement, je me mis à la poursuite et je vis alors Christian serrant Annick contre la balustrade de bois faisant face à son logement, poser ses lévres sur celle de ma femme et tout en lui caressant tendrement les seins lui rouler une pelle d’enfer sa langue charnue déformait les joues de ma femme.

Il l’a fit entrer chez lui et j’entendis assez rapidement les volets de sa chambre se fermer doucement et celui-ci les mettre à l’espagnolette, la nuit venait de tomber et la clarté lunaire illuminait la placette.

Je pris mon courage à deux mains et grimpais l’étage me séparant de chez lui en faisant bien attention à ne pas trop faire craquer les marches de l’escalier en bois qui l’été sont difficiles à monter sans bruit, je mis du temps mais y suis arrivé. Je reprenais mon souffle car j’étais excité par ce que je venais de voir et surtout de ce que je m’imaginais qu’ils allaient faire tous les deux. Car s'il n'est pas très plaisant d'être cocu, savoir que sa femme est désirée comme çà est un peu excitant quand même.

Devant sa porte palière j’actionnais très doucement la poignée et ouf!!! il n’avait pas fermé à clés la porte, connaissant un peu l’endroit je me glissais dans le couloir et m’approchais timidement vers la porte de la chambre d’où sortaient des murmures amoureux et des bruits de baisers langoureux, je regardais par l’interstice de la porte entr’ouverte, au début n’y voyant pas grand chose malgré le faible rayon de la lune illuminant la chambre je n’entendis que le bruit de caresses délicates, puis celui de vêtements froissés, il devait déshabiller Annick et retirer également ses vétements... puis celui de deux corps s’allongeant sur le lit car le sommier émit un bruit sonore du genre couinage !!. Petit à petit m’habituant à la pénombre de la piéce je les vis tendrement enlacés et Christian dire à Annick

– ” Humm Annick tu as de ses seins hummm de toute beauté et en plus doux comme de la soie, je vais te les bouffer comme on ne te l’a jamais fait, tu vas voir ce que je sais faire….et effectivement je le vis prendre entre ses mains les seins généreux d’Annick, les sucer, les lécher, dessus, dessous, les peloter avec douceur, les pétrir, en faire la totale découverte sans laisser le moindre morceau de chair qu’il couvrait de baisers et je devinais sa langue en découvrir et en apprécier les formes et les contours . Répondais à tout çà les gémissements doux d’Annick, comme les miaulements d’une chatte car elle est très sensible des seins et jouis parfois rien qu’en se faisant caresser les seins.

Le lit craquait par moment car Christian se déplacait sur elle afin de découvrir sa poitrine sous toutes ses faces, il en soupesait les mamelles pour les lécher avec plus de vigueur, en téter les tétons à grands coups de langues et ensuite en les tétant comme un bambin avide de boire son biberon, ses mains excitées les pétrissaient, les pelotaient avec vigueur et désir. Puis à un moment Christian lui demanda :

-“Ecarte tes cuisses j’ai envie de te déuster la chatte et je le vis enfouir sa tête entre les cuisses de ma femme et la lécher à grands coups de langues, lui aspirer sa liqueur, et posant ses mains sur le haut de ses cuisses il lui dévorait tranquillement sa chatte poilue………….Annick avait refermé ses cuisses sur son dos et l’emprisonnait contre son sexe humide ce qui ne déplaisait pas à Christian.

– hummmm ouiiiiiiiiiiiiiii hummmm c’est bon disait Annick slup slup slup ne pouvait que répondre Christian la bouche collée à ses lévres vaginales.

Puis revenant près d’elle il la fit placer au dessus de lui et lui demanda de le chevaucher. Je vis alors Annick droite sur le sexe de Christian ses seins lourds tombant presque sur le visage de son partenaire, prendre sa queue entre ses doigts et la placer à l’entrée de sa chatte, Christian ayant pris possession à pleine mains des seins d’Annick…… donner un petit coup de rein afin de bien la pénétrer et tout en lui pelotant la poitrine, lui porter des coups de plus en plus rapides pendant qu’Annick se maintenant sur le bois du lit faisait danser son sexe sur le ventre de Christian.

Après lui avoir déclaré qu’il était très endurant et après l’avoir fait gémir longuement, d’un coup il la retourna et se trouva sur elle, leurs bouches collées l’une à l’autre offraient un beau spectacle de baisers langoureux et sauvages.

Christian lui portait des coups de boutoirs de plus en plus nerveux faisant craquer le sommier et couiner le matelas, Annick sous son amant poussait comme des clapissements amoureux, elle avait déjà jouis deux fois alors que Christian n’avait pas encore éjaculer, il la limait, la pinait, la pilonnait sans une seul moment de répit, Annick jouissait fortement et Christian ahanait sous ses efforts. Ils devaient tous les deux transpirer car une odeur de mâle en rut et de femelle en manque se dégageait de la pièce.

De mon coté m’étant habitué à la clarté de la lune, j’y voyais presque comme en plein jour, je voyais leurs deux corps secoués par l’amour que prodiguait Christian, les doigts d’Annick s’enrouler tendrement autour des boucles des cheveux de Christian..... par moment sa tête tournant de droite et de gauche sur l’oreiller m'indiquait qu’elle jouissait fortement.

Christian posa ses lévres sur sa bouche, et par un baiser sonore et baveux..... il éjacula avec un cri de délivrance tel un fauve fier d’avoir copulé avec sa partenaire, Annick poussa aussi un cri de femelle assouvie.

Je les vis se relever et rapidement je m’engouffrais à l’extérieur pensant qu’ils ene avaient terminé, je m'étais positionné à mi-étage pour filer plus vite au cas où Annick sortirait.
La porte s’ouvrit en effet et je vis Annick sur la palier, elle avait remis son short mais pas encore son haut de pyjama, ses seins avaient légèrement rougis par les caresses de son amant où quelques sucons çà et là appliqués par amour apparaissaient. Puis Christian apparu sur le devant de la porte et c’est là que je le vis pour la première fois entièrement nu, le torse encore bien musclé pour un homme de 50 ans adepte de la nature et du travail au grand air, des cuisses fermes surmontant des mollets solides, une queue bien équilibrée qui bandait encore pas mal avec un gland imposant et des couilles bien lourdes. Je comrpis mieux pourquoi ma femme avait tant jouis. Il retint Annick par l’avant bras et avec un sourire magnifique, suffisant et charmeur, lui dit de sa voix chaude de mâle dominateur :

– “çà t’a pas plu Annick tu veux déjà partir, t’as vu ce qu’un breton de la dombes pouvait faire.... allez reste on s’en fout de ton vieux, si çà se trouve il roupouille comme un sonneur soit sans crainte c’est pas terminé je vais remettre çà si tu as encore envie de moi ?….”

Annick se retourna vers lui lui sourit tendrement et rentra chez lui après avoir échangé un baiser amoureux.

Je remontais à mon tour et la porte n’étant toujours pas refermée à clés, je pénétrais doucement dans le couloir et repris ma place de voyeur cocu….le volet avait été ouvert en grand pour apporter une note de fraicheur dans la chambre surchauffée, j’aurais dû y voir mieux mais la porte ayant été presqu’entièrement refermée je n’y voyais goutte et dû me contenter d’écouter en collant mon oreille contre celle-ci………….:
.
Christian lui dit alors….
– ” ma belle Annick je vais encore te faire jouir comme il l’a jamais fait ton cocu de mari” mais veux-tu me sucer à mon tour ? me faire une douce fellation je me suis lavé le sexe lorsque je me suis rendu dans la salle de bains il est propre.... et malgré la répugnance qu’elle m’avait toujours déclarée avoir pour sucer un sexe, j’entendis qu’elle se mettaitt à genou devant lui, lui prenait délicatement la queue entre ses mains et j’entendis comme une aspiration telle une délicieuse friandise dégustée, elle dû le suçer longuement car je n’entendais que les gémissements jouissifs de Christian qui devait avoir empoigné la tête d’Annick et le pressant contre lui devait lui faire avaler entièrement son chibre afin qu’elle en déguste toute la longueur car j’entendis comme des bruits de refoulement salivaire.

Puis après, j'entendis parfaitement le bruit de deux corps s’allonger sur le lit et les gémissements jouissifs significatifs d'un couple appréciant les caresses échangées et excitées l’un et l’autre.
La bouche de Christian devait aspirer les seins d’Annick car
je l’entendais poussersess gémissements jouissifs indiquant son excitation sexuelle, de petits mots doux qu’elle lui destinait, j’entendais Christian lui dire des choses aux creux de l’oreille, des choses inaudibles pour moi mais qui avait l’air d’enchanter Annick.

Puis un long moment de baise intense car le lit craquait de plus en plus :

– Je t’aime Annick depuis très longtemps et aussi très longtemps que je réve de coucher avec toi, ton corps, ton air pincé me font bander comme un malade, je suis heureux que tu sois là avec moi…. et j’entendis à nouveau le matelas couiner sour les coups de queue de son amant. Les gémissements sonores de ma femme m’avertirent que Christian venait d’éjaculer à nouveau. J’entendis un corps se lever et rapidement me pouvant regagner le palier me jetait dans la pièce d’à côté, Christian se rendit aux toilettes suivi par Annick puis quelques instans après tous les deux rejoignirent la chambre et ne fermèrent par la porte ce qui me permit lorsque j’entendis le lit craquer à nouveau de voir un peu mieux Christian et Annick faire l’amour à nouveau.

N’ayant pas de montre sur moi c’est grâce au clocher de l’église d’à coté que je su qu’il était plus de 23h30 et Christian la besogner comme s’il ne l’avait pas encore baisé. :

-Tu aimes lorsque je te fais l’amour on dirait Annick, je t’ai dit que j’étais endurant que tu va t’en apercevoir mais si tu fatigues dit le moi je cesserais……

– Ne dit pas n’importe quoi mon Christian et elle l’embrassa pour lui faire comprendre qu’il pouvait la baiser le temps qu’il voudrait et qu’elle lui était entièrempent soumise. Elle lui avoua même à ma grande honte que je bandais plus, qu'elle était en manque et qu' un amant comme lui se trouvait pas à chaque coin de rue, qu’elle était fière et ravie de devenir sa maitresse et qu’il était le premier à faire cocu son mari mais surtout qu’elle ne le regrettait pas…..

Il la baisa donc encore une grande partie de la nuit et moi pauvre mec je voyais ma femme jouir entre les bras de Christian et prendre son pied comme jamais elle l’avait pris avec moi. Leur lévres collées l’une à l’autre ils échangeaient de longs baisers amoureux, leurs corps ne semblaient faire plus qu’un tant il étaient serrés et les mains de Christian peloter les seins, masser les fesses de ma femme m’excitait à un plus haut point mais me mettait quand même bien mal à l’aise. Car il y avait pas plus d’un mois je m’étais attrapé avec lui pour une connerie et nous nous étions faché à vie, je sentais là parfaitement là, le caractére tétu de Christian outragé par mes propos et sa fierté baffouée, il se vengeait en faisant de ma femme sa maitresse et moi le cocu. Il tenait l’objet de sa vengeance et tel que je connais il n’allait pas s’en priver.

Depuis ce jour Christian fier de la baiser et de me cocufier ne fit rien pour cacher leur union purement sexuelle, elle devint sa maitresse et lui son amant qui se rencontrèrent tous les week-end


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