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les demoiselles 2

Ecrit par historicul
Parue le 18 mai 2009
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Les demoiselles 2 (suite)

La fin de leur séjour au château s’annonçait, aussi les demoiselles prirent leur courage pour venir dire au revoir à leur chère tante, dont elles connaissaient les goûts (CF les demoiselles 1)
Elles choisi de la visiter au moment de sa toilette ; la salle de bain pourvue d’une grande baignoire, était du dernier luxe car elle nécessitait l’eau courante et un système de chauffage de l’eau. Tel fut leur alibi pour entrer.
La belle dame rousse était alanguie dans l’eau et profitait de ses sens, les demoiselles virent s’asseoir de part et d’autre pour discuter. Bien vite les filles furent nues et entrèrent dans l’eau de chaque coté de madame, ravie. Elles se laissèrent savonner par madame qui n’oublia aucun interstice. Elle se laissa explorer par ces petites mains agiles et curieuses. La plus jeune décida de pénétrer cette chatte charnue qu’elle savait capable de se distendre .les doigts écartèrent les lèvres mais elle dut prendre un peu de crème de massage dans un pot à portée pour faire disparaître sa petite main dans ce sexe capitonné. Elle sentit celui-ci se refermer sur son poing et laissa madame onduler dans l’eau. Sa soeur voulu la remplacer a son tour tellement cela lui semblait incroyable de fourrer une main entière dans un vagin. La dame ne restait pas inactive et avait pris possession des deux filles en enfonçant son index dans leurs culs et ses pouces dans leurs chattes. Ainsi opposés ses doigts massaient leurs périnés et les pouces allaient jusqu’au fond des vagins pour toucher leurs cols de l’utérus qui semblaient aspirer par leurs contractions réflexes.
Elle confia aux petites que seul ce type de caresse la faisait jouir tant elle aimait se sentir remplie. Les filles lui dirent que demain leur cocher venant les chercher était connu pour posséder un membre énorme. La dame ne voulait pas le croire aussi les filles durent se confesser et avouer que à chaque voyage elles se débrouillaient pour observer l’homme lorsqu’il s’arrêtait pou uriner et vérifier les dires des employés de leur maison, notamment de Fanchon la soubrette. Celle ci avait réussie à capturer la chose et avouait que sa main ne se refermait pas entièrement autour de la queue, la longueur dépassait les trois mains fermées autour comme après une branche.
Le lendemain les filles tendirent une embuscade au cocher.
Alors qu’il s’occupait des chevaux dans l’écurie elles vinrent le saluer, grimpèrent dans la barge à foin et s’allongèrent la pour l’observer. Lui ne s’arrêtait pas de travailler, il but à la régalade avec une « couade »,( coucourde creusée et servant à puiser de l’eau dans un réservoir).Les filles raillaient la forme de l’engin et leurs plaisanteries portaient sur la taille respective de cet objet et celui supposé du cocher.
Exaspéré et encouragé il dégrafa son pantalon pour leur montrer que la « couade » était plus petite. Bien qu’au repos elle était magnifique. L’homme acceptât que les filles viennent s’en saisir par curiosité. En peu de temps la chose durcit et prit les proportions escomptées,à savoir un gland de la taille d’une pomme verte et un diamètre égal à un avant bras,sa longueur était bien de trois travers de mains.
La dame qui se tenait dans l’ombre apparut, l’homme fut effrayé de voir la maîtresse ainsi devant les demoiselles ravies. La dame le rassura et vint lui saisir la chose à deux mains.
Elle se mit à genoux pour le contempler puis pour le lécher, ce qui lui rendit son tonus.
La dame gravit quelques barreaux d’une échelle servant à grimper dans la barge et sur le cinquième barreau s’accroupit face à l’homme cuisse écartée chatte à la hauteur du sexe.
Les demoiselles purent se saisir du sexe dressé et pendant que l’une l’entonnais dans le con de la tante l’autre écartait les lèvres déjà très humides. Le gland fut aspiré et le reste de la queue s’enfonçât au deux tiers, arrachant un râle de plaisir aux deux accouplés, le va et vient dura peu car leur jouissance était réelle, les petites jouirent aussi rien que de les voir ainsi.
Leur stratagème accompli les femmes laissèrent le cocher finir son travail, et la tante fut raccompagnée dans ses quartiers. Elle dit à ses nièces de vouloir réutiliser le gars avant son départ. La chose fut possible le soir même, les filles prétextèrent de faire le tour du propriétaire en calèche, et elles se firent accompagner de leur tata.
Les trois occupante firent avancer leur équipage jusqu’au bord d’un plan d’eau équipé d’une maisonnette de pécheur. Là elles descendirent et prirent le gars par la main puis le renversant, elles le firent rouler dans l’herbe, et il ne résistât pas. Immobilisé joyeusement, il fut promptement privé de ses culottes, couché la tante se jeta sur lui. Elle lui suça et pelota l’ensemble quand l’objet fut raidi elle se planta dessus. Les petites soulevèrent leurs jupons et la plus grande vint s’asseoir sur sa bouche, la cadette attendit son tour en se caressant.
Les dames bougeaient beaucoup, lui peu. Au bout d’un moment elles se calmèrent pour penser à une variante et furent étonnées de voir le cheval pris d’une belle érection. Le rire fut collectif, l’intérêt les amena à comparer les deux, le cheval fut le gagnant. Le gars demanda aux filles de prendre la queue en mains et de branler l’animal. Étonnées elles s’approchèrent et posèrent leurs petits doigts sur ce sexe tendu et vibrant. La dame se mit à quatre pattes et demanda au gars de la prendre ainsi en regardant l’animal. Les demoiselles prirent le même rythme que le couple, et quand un jet sortit du sexe du cheval le gars lâcha le sien dans la dame qui s’effondra.
Plus tard la dame rendit plus souvent des visites à ses nièces……



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