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ma femme baisée par son oncle

Ecrit par homme
Parue le 30 mars 2017
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Cette histoire érotique a été lue 7590 fois | Cette histoire erotique a une note de : 9.33333/20

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Bonjour. Ma femme et moi avons tous deux la quarantaine et sur le plan sexe, y a rien à dire de plus si ce n'est le train-train habituel. Cette histoire vécue a commencé lorsqu'elle reçut un appel de sa jeune cousine lui apprenant le décès de sa maman, la femme de l'oncle maternel de ma femme, et qu'elle était un peu perdue, étant fille unique et que son papa était abattue. Et aussi, qu'elle devait reprendre le même avion par lequel nous arriverons, afin de rentrer au campus sur l'île principale, et qu'elle aimerait qu'elle soit là pour soutenir son papa. Ma femme me dit qu'elle aimerait que je l'accompagne aussi.
Deux jours plus tard, nous arrivâmes mais trop tard pour l'enterrement, et nous fûmes accueillit à l'aéroport par sa cousine et son papa. Elle était en joie de la retrouver car maintenant elle pouvait partir sereinement pour poursuivre ses études. Nous dûmes restés dans les environs de l'aéroport jusqu'à son départ. Je découvrais pour la première fois son oncle maternel; un bel homme, grand, la cinquantaine avec une allure sportive. La maison qui était située dans une belle vallée et en retrait de la ville, avait fière allure. Son oncle nous dit qu'il y avait quatre chambres dont deux chambres d'amis avec toutes les dépendances. Il nous fit visiter la maison et la grande propriété. Je dis à ma femme que son oncle était la bonne personne pour s'occuper du domaine familial et elle me répondit par l'affirmatif. Pendant le dîner, il ne disait presque rien et j'en fis part à ma femme qui aussitôt, se leva, sortit de table et revint avec une bouteille de Chivas qu'elle avait acheté au duty-free à notre arrivée; l'ouvrit et nous servit en disant: à ma tante, qui restera toujours dans nos coeurs, tchin! et elle vida son verre d'un trait. Wouah! je ne l'ai jamais vu comme ça auparavant! et son oncle fit de même. Moi, au contraire, j'appréciais la marchandise. Puis, je vis ma femme se resservir et remplir à nouveau le verre de son oncle et cul sec! puis au bout du cinquième ou sixième verre, je sentais que l'atmosphère se détendait car l'oncle commençait à fredonner une chanson que ma femme reprit avec lui. Alors, je leur proposait de mettre un peu de la musique. Je les voyaient rire, pleurer, puis prise par la nostalgie, ma femme se leva et vint s'assoeir à côté de son oncle, prit sa tête et le posa sur sa poitrine. Puis je sentais que l'alcool commençait à faire son effet et j'allais prendre congé de ma femme et de son oncle quand celle-ci me demanda de rester encore. Je lui dit que je resterais encore un peu avec eux à condition que nous passions dans le salon, car là, il y avait un grand canapé qui n'attendait que d'être visiter. J'arrivais en premier sur le canapé et m'affala. Je les vis s'assoeir dans les deux fauteuils qui me faisaient face, en riant avec leur verre à la main et une nouvelle bouteille de Chivas. Là, je sentais qu'ils allaient finir la soirée sans moi. Les yeux à mi-clos, j'entendis ma femme dire à son oncle: tonton, peux-tu baisser la lumière pour mon chéri? et la lumière fut tamisée, je tomba aussitôt dans les bras de Morphée.
Au milieu de la nuit, j'entendis une voix qui disait: non tonton, pas ça, ce n'est pas bien! non! Encore pris par l'effet de l'alcool, j'ai cru que je rêvais; eh ben non! car je reconnus la voix de ma femme qui disait à nouveau: non, tonton, non! pas ça! J'ouvris les yeux, personne dans les fauteuils en face de moi, je me lève, je regarde autour de moi, personne; puis j'entendis des gémissements qui provenait d'une des chambres d'amis située au fond du couloir. Je repris mes esprits et m'approcha discrètement. Mon coeur battait la chamade et je me disais à moi-même: non! j'espère que ce n'est pas à ce que je pense! Arrivé près de porte, je vis qu'elle n'était pas complètement fermée, et la chambre était éclairée par une lampe de chevet. Je pousse discrètement la porte pour bien voir ce qui se passait et là, surprise, ma femme nue, allongée sur le dos, les jambes écartées, les mains posées sur sa bouche pour atténuer ses gémissements avec son oncle qui lui bouffait la chatte. Le choc! je referma aussitôt la porte puis je l'entendis pousser des gémissements presque inaudible. Là, je l'entendis dire à son oncle qu'elle allait venir me voir si je dormais à point fermé. Je revins discrètement sur le canapé et repris ma position initiale avec en plus, des ronflements. J'entendis ses pas qui venaient vers moi, suivis par ceux de son oncle. Puis je l'entendis dire: non tonton, pas ça, pas ici, il va se réveiller en nous entendant! je crois que son oncle la caressait. Puis je les entendis s'éloigner. Je me réveillais et je retournais à mon poste d'observation avec une petite différence, je commençais à aimer cette situation: jusqu'où ma femme pouvait aller? va-t-elle me tromper avec son oncle, ou bien, va-t-elle crier au scandale? Mais, arrivé devant la porte, je ne pus constater que celle-ci était fermée de l'intérieur et j'entendis les gémissements de ma femme mais différemment: ahhhhhhh tontonnnn, tuuu lèècheess biiennnn, ahhhh que c'est bonnnnn, ohhhhh ouiiiii continueeess, accompagnés de grognements. Je sortis et fis le tour de la maison; je vis une fenêtre ouverte et éclairée; je m'approches de la fenêtre qui était à bonne hauteur et je les vis tous les deux en 69; ma femme était sur lui entrain de lui tailler une pipe et lui avait sa tête enfouie entre ses jambes qui lui bouffait la chatte et son petit trou. Là, sans rien comprendre, je sortis ma bite et me caressa. Elle le suçait divinement bien, l'avalant entièrement et le branlait en même temps; il lui maintenait ses fesses tout en la baisant avec sa langue. Elle gémissait son plaisir tout en l'accompagnant de sa fellation profonde. Ah je la découvre salope, chienne, pute. Puis, elle se mit sur le dos, écarta ses jambes et il positionna sa queue de belle taille devant sa fente toute humide et la pénétra d'un seul coup qui lui fit gémir de tout son corps. Il commença ses va-et-vient en elle, et elle disiat: ohhhhhh ouiiiiiiin tontonnn, baise-moiiiii, vas-yyyyyy, profites-ennnn, ohhhhhh que c'est bonnnnn! Et lui de dire: t'aimes ça, tu veux être la salope de nièce de tonton, dis, tu veux! ouiiiiii, tontonnnn, je veuxxxxx, je suis ta salope de nièceeeee, ta puteeeee, vas-yyyyy encoooreeeee, baise-moiiiiii, encorreeeee! et il accéléra en elle, allant de plus en plus loin dans sa pénétration. Je ne reconnaissait plus ma femme; elle se faisait baiser et traiter de tous les noms par son oncle. Il la prit dans toutes les positions possibles et je reconnaissais qu'il avait de l'expérience ce salaud. Elle ne comptait plus ses orgasmes, tellement il lui avait donner du plaisir. A un moment, il lui retourna, les fesses bien ouvertes et cambrées; il positionna sa queue devant son petit trou et demanda à ma femme: ma chérie, veux-tu que je te prenne par là? ma femme lui dit: personne ne m'a encore prise de ce côté-là, pas même mon chéri; mais pour toi, je te ferais ce cadeau! Putain, là elle m'a assommée! Et je vis le gland rentré doucement qui fit crier ma femme et puis disparaître, suivit par le reste de la queue. Elle se mit à crier: nonnnn tontonnnn, tu esss tropppp grossss, doucemennnttt! Force de constater, ma femme se faisait enculer par un autre que moi. Au bout de quelques minutes de ce traitement, je la vis venir elle-même sur toute la longueur de cette queue; elle coulissait entièrement dans son petit trou et commençait à aimer. Son oncle la pilonnait de plus en plus fort, lui arrachant des cris de plaisir. Vas-yyyy tontonn, encule-moiiii, baise-moi le culllll, ahhhhh c'est tropppppp, ahhhhhhh ouiiiiiiiii encoooreeeee! Il haletait comme un chien en la baisant ainsi; et au bout d'une quinzaine de minutes, tous deux crièrent leur plaisir. Je vis le corps de ma femme être parcouru de spasmes, tellement, elle a trouvé son plaisir dans cet acte sexuel; son oncle se retira d'elle et je vis que sa queue brillait de sa jouissance mêlée à celle de ma femme. Quel spectacle! J'abandonnais mon poste et revins sur mon canapé où on m'a réveillé au petit matin par un doux baiser de ma femme qui me dit: tu as bien dormi? je l'ai regardé en souriant et lui dit: oui! et toi? Elle me répondit: oui! dès que tu t'es affalé sur la canapé et que j'ai fini mon verre, je suis allé prendre une douche et gagné notre chambre! Je lui dit: et tonton, où il est? Elle me dit: Eh ben, je crois que lorsqu'il t'a vu t'endormir et moi aussi rejoindre notre chambre, il est allé dormir! je ne l'ai pas revu depuis hier soir! peut-être qu'il dort encore!? Je lui alors: va voir! mais laisse-moi encore un peu dormir! dans une heure ou plus, tu me réveilleras, ok! Elle me dit: ok mon chéri, je t'aime! Puis je la vis aller à la porte de la chambre de son oncle; je l'entendis frapper et appeler: tonton...tonton, tu es réveillé? viens prendre le petit déjeuner! Puis j'entendis son oncle lui répondre: entre, j'ai un mal de tête! J'entendis la porte s'ouvrir, se refermer et puis des gémissements rauques; ma femme était entrain de lui prodiguer une gâterie buccale car j'entendis son oncle lui dire: ahhhhhh que tu suces bien, ohhhh elle est trop bonne ta bouche, ahhhhhh!
Ils continuèrent ainsi durant tout notre séjour; tantôt en voiture où l'oncle l'invitait à rendre visite la famille, ou bien les environs. Mais je savais qu'il la baisait dès qu'ils se retrouvaient seuls, et je voyais ma femme se transformer au fur-et-à mesure, elle était très douce et attendrissante lorsque nous faisons l'amour. Elle me confia même qu'elle fantasmait pour un trio voire plus, et cela me donnait de la vigueur pendant nos ébats. Je lui dis alors: pourquoi pas avec ton oncle, cela restera dans la famille! Et elle de me dire: mais tu es fou! surtout pas avec lui! quand même c'est mon oncle! ah non pas lui! Si elle savait!



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