Total : 3051
En attente : 0

Sexe
Soumis
Mature


Histoires par auteur

Hetero (870)
Entre hommes (244)
Entre femmes (74)
Transexuelle (72)
Premiere fois (257)
A plusieurs (833)
Jeune adulte (139)
Mature (120)
Soumis,soumise (283)
Inclassable (159)

Cet obscur lieu du désir
soumis au sex shop
La glissade 3
La glissade
La glissade 2






petite pute 2

Ecrit par scorpionne
Parue le 23 octobre 2009
Il y a 8 commentaires pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 28008 fois | Cette histoire erotique a une note de : 15.6875/20

Noter ce récit erotique !


La vie à repris normalement, enfin presque. En effet je pensais souvent à ma fin de journée avec Aurélie et même si je ne le faisais pas tout de suite je savais que je finirais par lui téléphoner. Marc devais l'espérer puisqu'il m'en parlait régulièrement. Je lui ai dit que le jour où je lui remettrais sa cage de chasteté, c'est que j'allais appeler ma maîtresse.

Treize jours après ma première aventure extra-conjugale, un lundi matin, je dis à mon mari de mettre sa cage de chasteté. Il a eu de la peine à l'enfiler car il était excité. J'ai précisé pour entrer dans son jeu de soumis :
- Ce week-end tu m'as trop mal baisée. Je vais téléphoner à ma maîtresse. Tu garderas ta cage au minimum jusqu'à ce que j'aie pu la rencontrer.

J'ai attendu d'être seule pour appeler Aurélie. J'ai composé le numéro le cœur battant :
- Allô
- Bonjour Madame c'est votre petite pute
- Déjà en manque? Je pensais qu'il te faudrait trois ou quatre semaines avant de me rappeler. Ton mari t'a baisée souvent depuis notre rencontre ?
- Quatre fois Madame.
- Il t'a fait aussi bien jouir que ton inconnu?
- Ça va pas trop mal Maitresse.
- Pourquoi tu hésite, je veux la vérité
- Il éjacule un peu vite, ça ne dure pas plus que 2 ou 3 minutes
- Tu as donc envie de servir ta Maîtresse et d'être récompensée par une bonne queue, c'est ça?
- Oui Madame
- Tu sais, tu es tombée sur un bon amant la dernière fois. Beaucoup des males de 2ème ou 3ème catégorie baisent comme ton mari. Mais il y a une parade facile si tu veux la garantie d'être baisée longtemps : c'est de te mettre à disposition de plusieurs males.
- C'est comme vous voulez Madame.

Elle rigole
- Tu me plais, tu es bien docile. On va bien s'amuser toutes les deux. Tu peux inventer une excuse à ton mari pour être libre jeudi soir et avoir toute la nuit pour moi?
- Je ne rentrerai pas du tout de la nuit à la maison Madame ?
- Si c'est possible pour toi c'est ce que j'aimerais. Tu n'as qu'à dire à ton mari que tu dois remplacer un collègue à un séminaire et que tu seras absente deux jours.
- Je vais m'arranger Madame
- Tu travailles à quelle heure vendredi?
- Je suis à temps partiel et je ne travaille pas le mardi et le vendredi
- Parfais, alors dit lui que tu ne rentre de ton séminaire que le vendredi soir assez tard.
- Bien Madame
- Alors rendez-vous à jeudi à 17h00 au tea-room où ont a fait connaissance, devant les solariums.
- Bien Madame j'y serai
- Tu mettras un porte-jartelle, des bas résilles, et juste une robe boutonnée devant avec des escarpins à hauts talons. Et j'aimerai que tu partes de chez toi habillée comme ça.
- C'est que j'arriverai directement du travail Madame
- Je ne vois pas où est le problème, tu iras travailler comme ça. Tu Travaille ou?
- Je suis vendeuse au magasin de meubles YY
- Ce sera donc une tenue parfaite pour travailler.
- Bien Madame
- A jeudi ma pute, je me réjouis

Le soir, alors que mon mari était nu devant moi avec sa cage, je lui ai dit :
- Aurélie aimerait pouvoir s'amuser avec moi durant chaque temps libre qu'elle aura lors d'un séminaire jeudi et vendredi. Si je veux la satisfaire, je dois découcher jeudi soir et je ne rentrerai que tard vendredi soir. Mon petit soumis est capable de rester seul deux jours?
- Si tu sentais mon sexe frustrer de ne pas pouvoir grossir dans sa cage, tu saurais la réponse. Tu es libre de ton plaisir.
- Merci, mais je te rassure, ce n'est que sexuel. Mes sentiments sont encore plus forts pour toi. Je t'aime.
- Alors vas-y, tu en as envie.
- Tu resteras en cage et je garderai la clé autour de mon cou pour penser à toi.

Le jeudi je suis partie au travail habillée comme elle le voulait, mais avec, en plus un string et un soutien-gorge. Je pensais, bien sur, les enlever avant d'aller à mon rendez-vous. Mais, au milieu de la matinée Aurélie entre dans le magasin. Elle est superbe dans un jeans moulant et un top qui met en valeur son corps musclé et sa poitrine plus généreuse que la mienne. Elle vient vers moi et me parle, comme si elle ne me connaissait pas :
- Pardon Madame, j'aurais besoin d'un renseignement sur un produit qui est au fond la bas. Je peux vous montrer?
- Bien sur Madame, je viens

Elle m'a emmenée au fond du magasin, à l'abri des regards. Elle détaille ma robe joliment cintrée, qui laisse voir mes genoux avec un bouton décroché un bas et un en haut. Elle m'a dit
- Jolie robe. Montre-moi comme tu as été obéissante, déboutonne-la.

Timidement, mais sans oser protester, j'ai obéis, les yeux baisers et honteuse de lui montrer que je n'étais pas nue dessous. Elle me dit sévèrement :
- Tu es fier de toi?
- Non Madame, je vous demande pardon
- Va chercher une paire de ciseaux et reviens ici!

Elle m'a attendue alors que j'obéissais. Elle m'a fait déboutonner ma robe, a coupé les bretelles du soutien-gorge, puis entre les seins pour qu'il tombe par terre. Elle a ensuite coupé la ceinture du string qui a suivit le même chemin. Elle a ramassé les morceaux et m'a dit froidement d'aller travailler.

Quelques minutes plus tard, elle est allée vers le chef de vente qui était à coté de moi, elle lui a donné les morceaux de mes sous vêtements en lui disant :
- Il y en a qui doivent bien s'amuser dans votre magasin, j'ai trouvé ça par terre!

J'étais morte de honte, même s'il ne pouvait pas savoir que c'était à moi.

De sentir mon sexe nu toute la journée ne m'a pas laissée de marbre et, à 17h00, lorsque j'ai retrouvé Aurélie, j'avais déjà le sexe un peu humide. Elle est la, assise à une table, elle me regarde arriver avec un regard sévère qui me fait baisser les yeux. Je tire la chaise pour m'asseoir, mais elle me dit :
- Reste debout. Je n'ai pas aimé ta désobéissance de ce matin. Si chaque fois que je ne suis pas avec toi tu n'en fais qu'à ta tête, je ne vais pas te garder longtemps comme soumise.
- Excusez-moi Madame, je ne recommencerai plus.
- Je veux bien mettre ça sur le compte de ta formation, mais tu seras punie pour t'apprendre à obéir.

Elle me tend une paire de ciseaux et me dit :
- Coupe tous les boutons de ta robe, sauf celui qui est juste sous la taille.
- Je peux aller faire ça aux toilettes, Madame? Ce sera plus discret
- Non, tu n'as qu'à rester comme ça, les dames qui prennent leur thé ne voient que ton dos.

Le cœur battant, j'ai fais ce qu'elle voulait. Le seul bouton n'empêchait pas ma robe de s'écarter sur la poitrine et laissait voir que je portais un porte-jartelle. Je lui ai donné les boutons et elle m'a autorisé à m'asseoir. Je tenais la robe discrètement sous la poitrine pour ne pas être indécente.
- Enlève ta main. Il n'y a que la serveuse qui peut te voir et c'est une des femmes mariées qui a passé dans mon local. C'est quoi cette clé autour de ton cou?
- La clé de la cage de chasteté de mon mari Madame.
- Monsieur est encagé pendant que Madame vient faire la pute en cachette, tu es vraiment une perverse toi. Mais peut-être que ça lui plairait de savoir qu'il est soumis à une femelle qui le fait cocu. Certains hommes fantasment de ça. Qu'en penses-tu?
- Il fait partie de ces hommes, Madame, mais c'est difficile pour moi de lui avouer que je vous obéis et suis votre petite pute.
- On en reparlera, mais tu n'auras pas à lui avouer ce que tu as déjà fait. Ça restera ton jardin secret.

La serveuse est venue prendre la commande. Alors qu'elle regardait ma robe entrouverte, Aurélie lui dit :
- Petite pute est ma nouvelle soumise. Elle n'est pas aussi farouche que toi, il ne m'a fallu que deux petites heures pour mettre la main sur son intimité. Sers-nous deux thés s'il te plait

Lorsqu'elle est partie, je dis :
- Puis-je vous poser une question, Madame?
- Oui vas-y
- C'est encore votre soumise?
- Non, je l'ai cédée à un ami qui continue son dressage
- Toujours à l'insu de son mari?
- Oui, elle a trouvé son équilibre dans la soumission et est beaucoup plus prévenante avec son mari. Leur couple se porte mieux qu'avant.

Nous avons bu le thé comme deux amies parlant de tout et de rien jusqu'à ce qu'elle me demande :
- Tu es prêtes à me servir pendant au moins 30 heures?
- Oui Madame
- Tu as envie de sentir un sexe dans ton ventre?

J'ai fais signe oui sans oser avouer.
- Répond à haute et intelligible voix!
- Oui Madame
- Je veux la vérité, pas des réponses qui me font plaisir
- C'est la vérité Madame, je rêve de votre chevalet tous les soirs
- Tu sais que si je t'appelle ma petite pute, ce n'est pas par hasard et tu sais aussi qu'une pute ne se fait pas baiser que sur un chevalet et qu'il lui arrive de prendre plus qu'une bite de la soirée?
- Oui je sais tout ça Madame et en vous appelant, je savais que ça pouvait m'arriver.
- Tu as mouillé en me téléphonant?
- J'ai mouillé le soir précédent quand j'ai décidé de vous téléphoner, mais sur le moment j'ai le cœur qui battait fort, mais j'étais trop stressée pour mouiller.
- Combien de queues as-tu imaginé prendre jusqu'à demain soir?
- Je ne sais pas Madame, je m'en remets à vous pour ça.
- Tu es vraiment une femelle docile. Comme tu as déjà 50 ans, il ne faut pas traîner pour faire ton éducation et faire de toi une bonne vieille pute.

Je crois que j'ai rougi pendant qu'elle rigolait, moqueuse. Nous avons ensuite tranquillement terminé nos boisons. Alors que la serveuse était la et que je payais mes boissons, Aurélie m'a dit :
- Tu sais, cette femelle est régulièrement offerte à 4 ou 5 hommes à la fois. Est-ce que cette idée t'excite?
- Elle me fait peur, mais elle ne laisse pas mon entrejambe insensible Madame.
- Tu mouilles en pensant que tu vas te faire enfiler?
- Oui, un peu Madame.

Elle dit à la serveuse :
- Tu me rendrais le service de contrôler si elle dit la vérité

Sans dire un mot, la jeune dame passe une main entre mes cuisses. Je les écarte docilement pour sentir sa main et son index chercher et pénétrer mon sexe. Le doigt glisse avec facilité dans mon intimité.
- Elle ne dit pas toute la vérité Madame, elle n'est pas un peu, mais beaucoup mouillée.
- Merci, il faudra que je lui apprenne à ne pas mentir!

Nous sommes partis pour aller chez elle, arrivé au bâtiment, au lieu de descendre à la cave comme la dernière fois, nous sommes montées tout en haut. Elle m'a fait entrer dans une chambre de bonne dans laquelle il y avait un lavabo et un lit. Elle me dit :
- C'est la que tu va recevoir ta première bite de la journée. Cette fois tu ne seras pas attachée, mais vraiment libre et tu devras participer comme une pute. J'ai recruté l'homme qui va arriver d'ici 15 minutes sur un chat sur internet. J'ai dit que je cherchais quelqu'un pour baiser une femme de 50 ans qui aime les hommes gros. Celui à qui j'ai donné rendez-vous ici pèse 105 kg pour 1.75 m. Tu lui ouvriras la porte quand il frappera. Tu le fais bander avec une pipe, tu lui mets un préservatif et tu te couche pour qu'il vienne sur toi te baiser.
- A encore une précision, il m'a demandé si c'était gratuit, je lui ai dis que, à ton age tu ne pouvais pas demander cher. Je lui ai demandé si 50 francs lui semblaient corrects. Il m'a dit qu'il était fauché, mais que 20 francs il était d'accord. J'ai accepté. Tu lui demanderas l'argent avant de commencer, comme le font les vrais pute. Moi je verrai ce qui se passe par une caméra cachée dans la lampe. Je te veux nue, donne-moi toutes tes affaires.

J'ai enlevé ma robe, mes bas, mon porte-jartelle et mes escarpins sans dire un mot. Aurélie les a pris et est sortie. J'avais le cœur battant, j'ai mis un peu de lubrifiant qui était sur la table de nuit au cas ou je ne serais pas trop excitée et j'ai attendu. J'ai sursauté quand on a frappé. J'ai respiré profondément et je suis allé ouvrir. Ma main tremblait sur la poignée.
- bonjour, entrez
- bonjour

Dés que j'ai fermé la porte, il est venu vers moi et m'a peloté en me disant :
- Tu es bien conservée pour ton age, même si tes seins sont tombants.

Je me suis sentie vexée, mais j'ai essayé de ne pas le montrer et je lui ai demandé mon cadeau. Après avoir mis les 20 Euros sur la table de nuit, je l'ai aidé à se déshabiller, puis je me suis mise à genoux devant lui et lui ai fait une pipe. Son sexe a rapidement pris de belles proportions. Il était plus long que celui de mon mari. Je lui ai enfilé un préservatif avec maladresse. Je me suis couchée, jambes écartées en lui disant de venir, j'ai même dit que j'en avais envie. Il m'a pénétrée, vu son poids, il ne bougeait pas avec beaucoup d'énergie et a fini par éjaculé au bout d'environ 2 minutes. Je n'avais pas jouis et me sentais un peu frustrée, mais bien décidée à jouer mon rôle jusqu'au bout pour plaire à Aurélie, je lui ai enlevé son préservatif et l'ai sucé pour le nettoyer. Il s'est rhabillé et est parti.

Aurélie m'a fait venir dans son appartement à l'étage en dessous. Je suis descendue l'escalier toute nue sans vraiment réalisé qu'il s'agissait d'un immeuble avec plusieurs locataires. Elle m'a fait prendre une douche, puis remettre mon porte-jartelle, mes bas résilles et mes escarpins.
- Quelle impression ça te fait d'avoir reçu ton premier client?
- J'ai un peu honte de ce que j'ai fait Madame, mais il ne m'a pas fait jouir et je me sens aussi un peu frustrée.
- Ne t'inquiète pas, tu auras d'autres queues et tu vas finir par jouir!
- Ton mari te sodomise?
- Non Madame, j'avais accepté qu'il le fasse une fois avant notre mariage, mais, impressionné par sa première sodomie, il n'a pas réussi à rester assez dur. Depuis que je le domine, il n'en est plus question.
- Et avant, tu as eu des amants qui t'on sodomisée?
- Oui, mais seulement quatre Madame. Je n'ai jamais vraiment apprécié ça.
- Parfait, tu dois avoir le cul bien serré. Tu avais quel age à ta première sodomie?
- 17 ans Madame
- Et à la dernière?
- 23 ans Madame
- Tu sais que tu ne pourras pas refuser une sodomie si je le décide?
- Oui je sais Madame.

Elle m'a montré la cuisine en m'expliquant que je serais sa soubrette et qu'elle allait recevoir 3 personnes à manger. J'ai donc préparé la table alors qu'elle allait se changer. Alors que j'étais à la cuisine, je l'ai entendue m'appeler. Elle était sur les toilettes, elle me dit :
- Je viens de faire pipi, mais je ne vais pas gaspiller du papier alors que j'ai ta langue pour m'essuyer. Viens à quatre pattes m'essuyer.

Elle s'est avancée sur le bord de la cuvette alors que j'ai obéis. Je n'étais pas vraiment attirée par l'idée de lécher son pipi, mais je savais que, dans mon rôle de soumise, je devais obéir.
- Tu as déjà goûté du pipi?
- Non Madame
- Comment tu trouve?
- C'est moins mauvais que je le craignais Madame.
- La prochaine fois, je t'en garderai une petite goutte.

Une vingtaine de minutes plus tard, Aurélie lisait un journal au salon, habillée d'une mini-jupe en cuir assez sexy et d'un top qui finissait de mettre en valeur son corps. La sonnette de la porte a retenti. Ma maîtresse me dit :
- Va ouvrir, petite pute
- Mais, je suis nue Madame
- C'est normal, c'est ta tenue de travail. Obéis!

Vous imaginez ma honte : ouvrir à des inconnus toute nue. Le cœur battant et la main tremblante je l'ai pourtant fait. Trois jeunes hommes qui devaient avoir un peu moins que 30 ans me regardaient ravis. Un des hommes dit :
- Tu es la nouvelle pute dont nous a parlé Aurélie?
- Oui Monsieur

Il me soupèse un sein en disant :
- Plus de toute première fraîcheur, mais tout de même pas trop mal conservée. Aurélie est-la?
- Oui Monsieur, elle est au salon

Je me suis écartée pour les laisser passé. Aurélie a embrassé celui qui m'avait parlé sur la bouche et a fait des bises aux autres. Je leur ai servi un apéritif, puis j'ai du me tenir à quatre pattes devant les garçons qui se sont mis à me doigter en parlant de tout et de rien. C'est une sensation très humiliante, mais si excitante…

Il y a de nouveau eu la sonnerie de l'entrée qui a retenti. Aurélie a dit :
- Ça doit être les pizzas que j'ai commandées. Petite pute, met ce tablier pour ne pas être trop indécente.

J'ai obéis et mis un tablier qui cachait à peine mes seins et mon pubis.
- Prends ce billet pour payer et va ouvrir
- Comme ça?
- Tu préférerais y aller sans le tablier?

Je n'ai rien osé répondre et j'y suis allé alors que les garçons rigolaient. Je crois que le livreur de pizza était encore plus mal à l'aise que moi. Je leur ai servi la pizza et Aurélie m'a dit :
- Maintenant tu va attendre sagement debout au milieu de la pièce, yeux baissés et mains dans le dos.

Comme je prends la pose, elle me dit encore :
- Tu as encore autre chose à apprendre, petite pute. Tu ne dois jamais avoir les genoux serrés. Dorénavant, que tu sois debout, à genoux ou assise, je veux qu'il y ait toujours au moins vingt centimètres entre tes deux genoux.

J'ai écarté les jambes. Si ce mouvement ne semble rien, nue devant des inconnus, c'est difficile et très humiliant. Vers le milieu du repas, Aurélie me dit :
- Amène ton auge, elle est posée au coin par terre.

Il y avait une écuelle en plastique rouge qu'on utilise pour donner de la nourriture à un chien. Je l'ai prise, et gardant les yeux baissés, je suis allé vers Aurélie. J'ai tendu l'écuelle. Elle m'a violemment frappé les fesses en disant :
- Pourquoi tes genoux sont serrés?

Honteuse je les ai écartés. Alors que son voisin en profitait pour me doigter et constater que j'étais mouillée, elle a mis un morceau de pizza dans l'écuelle et me l'a rendu en disant :
- Tu vas la remettre en place et tu manges à quatre pattes, sans utiliser tes mains, comme une chienne. Tu peux mettre de l'eau dans la deuxième écuelle.

J'ai obéis et j'ai mangé comme une chienne, leur exhibant mes fesses ou plutôt ma croupe pour reprendre le terme qu'ils ont utilisé pour le commenter. A la fin du repas, j'ai tout rangé, puis servi le café. Aurélie dit à celui qui était son amant, puis aux deux amis :
- Toi, tu gardes des forces pour moi, mais vous deux, vous pouvez profiter d'elle, elle est la pour ça.

Alors qu'Aurélie et son amant profitaient du spectacle en se caressant, les deux autres ont joué avec moi pendant plus d'une heure. Je l'ai ai fait bien bander en leurs faisant des fellations, puis ça a été à leur tour de me faire du bien en me prenant en levrette l'un après l'autre. Ces deux inconnus m'ont vraiment bien remplie et m'ont fait tous les deux jouir. Après avoir repris des forces ils ont décidé de me sodomiser. J'ai regardé Aurélie inquiète, mais sans oser protester. Elle s'est assurée qu'ils me préparent bien avec du lubrifiant, puis qu'il y aille en douceur. J'ai eu droit à quelques moquerie de ne pas être une habituée de ça à mon age. Je n'ai pas jouis, mais j'avoue qu'ils ont su être suffisamment doux pour que j'apprécie ces deux sodomies.

Remerciant Aurélie, ils ont pris congés. Ma maîtresse m'a montré le canapé en me disant qu'il y avait une couverture dans l'armoire et qu c'est la que je dormirai, mais que si j'entendais la sonnette située juste dessus, c'est qu'elle avait besoin de moi et que je devrais aller la voir. J'ai attendu qu'elle et son copain aient passé à la douche avant de pouvoir aussi y aller, puis je me suis couchée, toute nue fatiguée.

Je ne sais pas depuis combien de temps je dormais, mais la sonnette m'a fait sursauter. Comme une automate, je me suis levée et, nue, je suis allé vers la chambre d'Aurélie. Ils étaient tous les deux couchés sur le dos. Aurélie me dit :
- Viens me nettoyer, petite pute. Réjouis-toi, c'est plein de vitamine.

J'avoue que je ne m'attendais pas vraiment à ça. J'ai du faire un effort sur moi-même pour m'approcher, me mettre à quatre pattes entre ses jambes. Son sexe luisant de mouille avait du sperme que s'en écoulait. Prenant mon courage à deux mains, j'ai léché et même aspiré pour nettoyer et faire sortir le sperme. Mélangé à sa mouille, le goût était moins désagréable que d'habitude. Pour finir de se vider, elle m'a fait mettre sur le dos et est venue à croupis sur ma bouche.

Une fois bien nettoyée, elle m'a laissé allé me couché. J'ai dormi d'une traite jusqu'au matin.



Cette histoire est la propriété de son auteur : ne la copiez pas pour l'afficher sur un site autre qu'histoire-erotique.net

Ajoutez un commentaire pour cette histoire erotique:


Pseudo (*):


       Votre commentaire sur cette histoire(*):




Les champs marqués d'une étoile (*) sont indispensables.



Envie de voir vos écrits publiés?


Histoire-erotique.net vous donne la possibilité de les faire partager !

Pour cela, rien de plus simple : rendez-vous sur le formulaire pour envoyer votre histoire érotique!

A vos plumes !


Envie de laisser un commentaire sur le site? Une idée d'amélioration?

Faites le sur notre livre d'or !