Notre vie commune se poursuivait depuis 5 ans de manière assez banale , puis un soir au retour d’une semaine de déplacement professionnel Bertrand me fit une confidence.
Il avait quelques mois auparavant, connu un couple au bar d’un hôtel et ils se rencontraient parfois pour qu’il soumette la femme devant et sur les ordres du mari.
Cette conversation m’a excitée , il l’a vu et petit à petit il m’a menée vers des situations de soumissions perverses.
Il a apporté en plusieurs fois des objets tels que martinet, différents modèles de godes, pinces, liens, chaînes etc.
A chaque nouvel objet il exigeait une nouvelle expérience et grisée j’obéissais.
Il aimait me soumettre nue dans son jardin, ou dans un bois , ou au fond d’un parking, le côté risque d’être vus m’excitait et lui plus encore j’imagine.
Un jour il m’a demandé de poser les jambes écartées sur les accoudoirs du fauteuil où j’étais assise face à lui, j’ai exécuté et j’ai supporté ses regards sur mon sexe, puis il s’est approché et m’a copieusement dilatée, j’ai joui comme une salope et j’aurais voulu que ça dure longtemps, je me sentais exhibée et ça augmentait mon excitation, j’ai même imaginé que quelqu’un rentrerait dans le jardin et nous surprendrait.
Un week end suivant il m’a ordonné de m’allonger nue sur un canapé d’osier dans la véranda. Il avait enroulé deux cordes autour des deux pieds arrières, puis chaque extrémités des cordes furent attachées vers mes poignets et vers mes chevilles.
Les cordes étant courtes mes jambes étaient très relevées, si je voulais les abaisser pour les reposer mes bras se relevaient, si je voulais reposer ceux-ci mes jambes étaient tirées vers le haut, c’était en soi un supplice.
J’étais ainsi honteuse de me sentir si écartelée et de manière si perverse.
Il me dit que c’était sa spécialité et que je devais l’éprouver.
Il s’est saisi du martinet et l’a dirigé sur mon sexe entre-ouvert.
Il frappait assez fort et je jouissais sécrétant beaucoup de jus.
Il s’arrêtait pour enfoncer quatre doigts et les tourner dans mon vagin, puis recommençait à fouetter en me traitant de salope vicieuse et autres insultes.
Il m’enfonçait son sexe dans la bouche, la séance a duré très longtemps et j’en voulais encore plus.
Son imagination était sans limite.
Dans le garage en bois au fond de la propriété il a fixé des cordes qui descendaient des poutres.
Il m’a fait marcher nue , avec coups de martinet sur les fesses depuis sa véranda jusqu’au garage.
Là attachée les mains dans le dos, mes deux seins qui sont assez gros bien enserrés par des cordelettes chacune accrochée aux deux cordes tendues au maximum vers une poutre, j’ai dû rester un long moment sur la pointe des pieds.
C’est une punition pour être trop indépendante disait il.
Il venait de temps en temps, sondait mon vagin de manière brutale et titillait mes tétons violacés.
Les séances allèrent crescendo. Il aimait me faire prendre des positions honteuses dans les soirées calmes, je devais me mettre à quatre pattes sur la table du salon, le cul tourné vers lui jambes ouvertes.
Je ne savais pas si j’allais être pénétrée, godée, plugguée, fessée, cravachée, ou si je devrais activer ma langue et offrir ma gorge.
Mais j’étais toujours récompensée à la fin par les jouissances qu’il me procurait.
Il a attaché mes mamelons avec un fil de pêche de trois mètres qui passait ensuite dans l’anneau de mon collier chaine puis il tenait en main la partie du fil qui ressortait .
Nous marchions ainsi dans des parcs où sur les plages il me disait que c’était un réel plaisir de me tenir en laisse.
J’avais toujours une robe boutonnée devant et bien sur rien d'autre sur moi, il y avait le risque que quelqu'un passe entre nous ce qui aurait pu tirer sur les pinces provoquant une douleur plus forte.
Il a institué des règles de base pour la vie de tous les jours : comportement humble, ne jamais hausser le ton, ne pas le contredire, ne rien porter qui bloque l’accès à mes orifices, obéir à toutes ses demandes sans discuter.
S’en suivirent des punitions liées à la faute pour les manquements verbaux - pinces sur la langue, port d'un bâillon gode qui me provoquait des nausées ou d’un ring gag cet anneau qui bloque la bouche ouverte , il pouvait ainsi remplir ma bouche avec ce qu’il désirait et il trouvait cela très pratique pour y enfoncer son sexe.
Il me prévint que je serais le moment venu mise entre les main d’autres hommes car cela le régalerait, plus ils seraient jeunes plus je me sentirais salope, plus ils seraient vieux et moches plus je me sentirais bafouée.
Il jouissait de se sentir obéi en me punissant , en exposant honteusement l’ objet sexuel que j’étais , et en infligeant des sévices sur mes parties charnues. Il affirmait que c’était pour mon bien être, mon masochisme se situant dans la honte et l’obéissance dans ce contexte d’exhibitions sexuelles.
J’ai dû supporter des entraves, des chaînes avec poids accrochées aux seins ou lèvres, les bondages, les dilatations.
Il aimait me faire nettoyer la cour et je devais avancer chaussée de bottes rustiques et nue sous une blouse de paysanne boutonnée et trop petite qui ne contenait pas mes seins, les coups de martinet accompagnaient mes déplacements.
Les mots humiliant pleuvaient devant mes exhibitions grotesques.
Il m’a fallu servir ou faire des tâches ménagères vêtue d’une robe très courte et moulante avec une large ouverture devant pour laisser visibles mes seins bondés, le haut de la bavette blanche d’un tablier était accroché sur mes longs mamelons auparavant étirés par aspiration.
Il me magnifiait disait il, mettant en relief mes atouts dans des postures de soumission et de honte ...
Le garage est devenu la salle de punition, une table fut installée, après m’avoir ordonné de m’y allonger sur le dos il m’attachait bras et jambes vers des anneaux fixés au mur avec un écart de deux mètres je me voyais chatte offerte à porté de mains et de son sexe, en bonne position pour les séances de martinet qui ne manquaient jamais.
Tous les objets nécessaires étaient exposés a proximité, entres autres il y avait deux chaînes assez grosses fixées à des pinces , des cordes, les godes en bois de sa fabrication de différents diamètres.
Un jour où j’étais attachée et offerte il est entré en compagnie d’un homme assez grossier, il lui a dit de se servir et de tout essayer.
Mon amant a sorti son sexe et s’est branlé pendant que je subissais en gémissant et jouissant les sévices du malotru.
J’ai du me promener les chaînes accrochées à mes lèvres et traînant au sol derrière mes pas, il a essayé les godes les uns après les autres, il s’est enfoncé en moi en tirant sur mes tétons, Mon amant exultait de plaisir et j’ai reçu son sperme sur mon visage.
J’ai ensuite été tirée vers l’extérieur puis attachée comme une chienne tête vers le mur, en riant ils m’ont arrosée de leurs jets d’urine.
Il m’a aussi donné un rôle d’animal de compagnie.
Après avoir servi le repas je devais m’agenouiller à côté du canapé ou au dessus d’un plateau rembourré duquel dépassait un gode de bois, je picorais dans sa main ou je me déplaçais pour lui rapporter des objets demandés ce qui m’obligeait a me re-empaler à chaque fois.
« Tu es ici à ta place, comme il se doit Norma », me disait il.
J’ai aimé perdre toute dignité pour attiser le plaisir de l’homme qui jouissait de manière perverse .
Mais ce genre de relation ne dure jamais plusieurs années .
Désormais, solitaire, je revis cette époque au travers de mes fantasmes.
Qu’est il devenu celui qui m’a initiée à ces choses qui hantent mes rêves les plus gris ?
Écrit par Norma