Total : 3054
En attente : 1

Sexe
Soumis
Mature


Histoires par auteur

Hetero (872)
Entre hommes (244)
Entre femmes (74)
Transexuelle (72)
Premiere fois (257)
A plusieurs (834)
Jeune adulte (139)
Mature (120)
Soumis,soumise (284)
Inclassable (159)

Ma belle ! ( Suite 1 )
sabine salope de village
Souvenirs du temps passé VII
Cet obscur lieu du désir
soumis au sex shop






Descende aux enfers

Ecrit par Ivan
Parue le 20 08 2021
Il n'y a pas de commentaire pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 1845 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

Noter ce récit erotique !


Descende aux enfers

Préface

Elle est belle avec son amant baise tous les jours, tous les semaines, chaque moi, chaque année. Avoir un amant c´est une chose mais tueur son mari c´en est une autre. Le sexe, la trahison ce meurtre, tout est vrai. Dans ce cas la réalité depasse de la fiction. Tôt ou tard tous les terribles secrets sont révélés. Personne ne peut qu´imaginer les secrets et les mensoges qui seront bientôt révélés au grand jour, leur querelle se mettent à dégénérer. Une épouse a toujours eu un tempérament impulsif et instable. Prise au piège, la jeune femme va devoir subir le contrôle pervers de son mari et se soumettre à tous ses vices, sous l’œil complice. Ici faisait une fiction de cette histoire serait três difficile à croire. Adieu pudeur, tabous, idées reçus. Les frontiers se brouillent, les personalités se révélent, le plaisir surgit-là ou on l´attend le moins et le fantasme ne connait aucune loi. Rien qu´une fois oser pousser les portes de l´interdit?

1

C´est belle ville d´Angra des Rois, une ville tranquille sur le dernier endroit ou s´attendait à tomber sur une scène de crime. Une ville agréable destin de beaucoup de vacanciers. Une commune aisée mais très calme à bord de la mer. La maison de Fred Vasconcelos será quelques minutes de l´aéroport du litoral carioca. Il était un pilot d´avion des Aerolineas Argentines ou il travaillait três dur pour devenir pilot e ligne international. C est ainsi qu´il a appris le métier il a été pilote pour La suveillance coitière em Angra des Rois. C´est là qu´il a rencontré Adélia. Il avait une vie revée et ils partaient em vacances ensemble. C´était um foyer heureux. Lui, avec ses voyages Adelia se sentait seule. Elle faisait part des épouses dont les maris doivent regulièrement s´absenter ou voyager pour le travail. Cette brune fine aux petits seins pointus, aux magnifiques yeux bleus, semblait très accessible. Adélia adore créer des situations pour que l’on puisse voir ses cuisses, ses seins et sa fente sans qu´elle aie l’air de les montrer. Adélia 36 ans petite blonde énergique avec un corps pour faire tourner les têtes de personnes des deux sexes. La brune contrairement à son mari avait toujours eu une très forte libido. Voilà qu’elle lui surprend du tout au tout, faisant apparaître une femme inconnue. La réalité va beaucoup plus loin que ses phantasmes. Elle comble ce vide em se trouvant une mission qui va devenir une vraie passion pour sa maison. Fred Vaconselos partait travailler et il s´absentait entre cinq et six jours d´affilée, il traversait le pays en avion, vivait à l´hotel et manger dans les bons restaurants. La brune se pose devant la tv, elle appuie sur lecture. Elle regarde la vidéo plan par plan, il y a 10 caméras en tout, elle dure plus de 30 minutes. Il était arrivé dans sa maison:

- Oh, mon chéri, tu m’as manqué aujourd’hui, j’avais hâte que tu me baise…
- Je vois ça, qu’est-ce que tu nous prépares de bon pour ce soir?
- Oh, plein de choses… Tu parlais bien du repas?
- Et de la suite, ma chérie.
- Plein de choses aussi… Je crois que la soirée va te plaire, et te surprendre…
- Tu me manque, dit l´épouse.
- Moi aussi.
- On peu passer au centr commercial, j´adore regarder les vitrines a cette époque de l´année.
- Bien Sûr, des désirs sont des ordres.
- Je suis folle, tu me rends folle.

Adélia s’était faite toute belle, sexy et à la limite de la provocation. Elle hésite, puis tourne les talons en haussant les épaules. Elle l’a regardé, ses yeux brillaient, il ne pouvait distinguer exactement de quoi mais certainement de l’excitation du moment. Il sourit. La soirée, maintenant, va commencer. Une petite robe courte de couleur rouge dont le devant pouvait s’ouvrir par de petits boutons dont elle avait pris soin de laisser les trois du haut ouverts. De cette façon, même si elle était menue, sa poitrine serait malgré tout visible par celui qui le voudrait. Là, c’était plutôt entre vingt et trente ans qu’elle les préférait. Le mari en était ravi. Il était un peu impressionné de son audace, car elle parlait sans ambiguïté! Elle l’a lancé un sourire très complice. Fred, l'homme impulsif, passionné, voyeur et malgré tout très réservé. Tous les deux partageaient le même passion créative et le même goût du perfectionnement.
Ils entraient dans un petit boîte de nuit offrant une vue sur la mer, la salle est assez calme, vu la saison. Maintenant elle était en boîte de nuit. Son terrain de chasse favori. La salle est très accueillante, il y a un long bar avec des tabourets hauts, des barmen qui servent des cocktails, des canapés de l’autre côté de la pièce, et au centre une grande piste de danse baignée par des jeux de lumières très réussis qui confèrent au lieu une atmosphère cosy et feutrée. La musique est assourdissante. L’ambiance bat son plein, certains groupes rient à gorge déployée, d’autres se murmurent à l’oreille, des couples, des amis, des inconnus. Ils passent de groupes en groupes pour saluer les gens, ce qui lui permet de remarquer quelques femmes qui ne mettraient pas très longtemps à exciter ses sens. Blondes, brunes, rousses, petites poitrines, gros seins, petites tailles, plutôt en chair, fesses rebondies, petits culs, pantalon, robe, autant de différences qui font d’elles des muses… Cette chaleur suffocante et toute cette foule en mouvement soudée au même rythme endiablé d'une musique si entraînante font que toutes ces personnes qui se frolent les unes contre les autres de plus en plus souvent et ces corps qui se frottent occasionellement surchauffent encore plus l'ambiance électrisante de cette piste de danse.
Elle était belle et désirable, ni coincée, ni pute. Ils sont placés sur une petite table avec deux fauteuils en osier qui les permettent de se détendre pleinement pendant ce moment. Adélia habillée d’une petite robe d’été, assez courte afin de mettre ses jolies jambes en valeur et ne tarde pas à lui le faire savoir en lui lançant des regards comme elle sait si bien le faire. Au bout du troisième verre de rosé, madame s’enfonce dans son fauteuil… À minuit, chaque seconde qui s’écoulait confirmait la réalité, Adélia n’était toujours pas là, elle était donc ailleurs… Toujours avec lui. Un homme avec un chapeau de cow-boy s’est approché de sa chaise. Il regardait fixement sa femme avec une envie certaine. On aurait dit qu’il fonçait sur une proie.

- Qui sait? Tu as peut-être ouvert la boîte de Pandore!
- Mais qu’est-ce que la jalousie? Un manque de confiance en soi? En l’autre? Un abus d’imagination? Une paranoïa?
- Libertinage pure, dit le mari.
- Pourquoi tu ne m’as jamais dit que tu voulais être cocu?
- Je… Je sais pas trop ! C’est gênant!
- Oui! C’est gênant, tu as raison. Mais je crois que nous allons rapidement remédier à cette gêne. Ca t’excite que je sois une salope?
- C’est-à-dire! On va faire quoi?
- Toi rien ! Moi, je vais aller me faire baiser. Tu sais que j’adore ça et j’ai envie de faire plaisir à mon petit mari. Tu sais aussi que je t’aime comme une folle. De toute façon, je me doutais bien que tu étais comme ça. Je connais bien les hommes, tu le sais aussi, ça!

Un fantasme l’habitait depuis un certain temps, peut-être même depuis toujours. Il pensait que la vision de sa femme dans les bras d’un autre homme serait pour elle une expérience sensitive de grande intensité. Sa femme était changée. Elle devenait de plus en plus humiliante, cruelle, et lui rappelait sans cesse qu´il n’était qu’un cocu, une petite salope, une bonne à rien… Son épouse a commencé à se chauffer ouvertement, un mec plus audacieux que les autres s’est rapproché plus d´elle… L´épouse a envie d’en savoir plus: qui est cet homme mystérieux? Jusqu’où veut-il aller? Il n´est pas malin.

- Je le regarde et j´ai envie d´être lui. Il est beau. Je ne suis pás pédé, mais... Il est plus sexy que beaucoup de femmes. Tu dois baiser avec le mec.
- Je te comprends. On a lês mêmes goûtes.

Il est 2 heures du matin et elle n´est pas douée pour les métaphores. Derrière son apparence três digne et discrète se cachait une redoutable maitresse à la sensualité torride. Elle sent monter une douce pression qui se fait de plus en plus forte dans son ventre, Mais pourquoi pas?

- S’il vous plaît, soyez plus discrets, mon mari est là.
- Qu’est qu’il y a mon amour? ai-je demandé.
- Le gars me caresse la cuisse, dit-elle un peu hésitante.
- Ben laisse le faire si t’en as envie, chérie. Et toi, tu aimerais voir ta femme se faire baiser devant toi?
- Chérie? voulais-je savoir.

À croire que leur expession ajoute une touche aussi excitante que libératrice, mais peut-être aussi qu´elle se trompe. Ils se nourrissent ce même attrait pour l´interdit.

- Il me touche la chatte!
- Et tu aimes ça? L´informait-elle.
- Mmmh, j’pense que oui, pas sûre d’elle.
- Qu’est-ce qu’il te fait chérie?
- Il a rentré un doigt, mmmh.
- Pourquoi tu vas pas vérifier sa queue pour voir comment elle est? je lui ai suggéré. Alors chérie, elle est comment sa queue?
- Dure, dit-elle, avec de la satisfaction dans la voix.
- Et elle est grosse ?
- Oh oui! Toi, je suppose que tu aimerais être à côté et regarder… Je me trompe?
- Et elle est longue aussi? hasardait-il.
- Oui, elle est très longue aussi.
- Il en a une plus grosse que moi? Il a une plus grosse queue que moi? répétait-il.
- Oui, elle est très grosse!
- Tu veux qu’il me baise?
- Oui, c’est une super bonne idée!
- Demande-lui alors, pour aller aux toalettes.
- Si tu veux voir ta jolie femme honorée par d’autres que toi, profite de ce séjour. Je te propose une expérience inédite. Confiez-moi votre fantasme je le réaliserai et vous ne le regretterez pas. Attends-moi ici, faut que j’aille aux toilettes.
- Bien sûr que je t’attends, ma chérie. Je crois que… Tu… tu en as envie?
- Je crois que tu veux être cocu. Je crois que tu veux que d’autres hommes me baisent comme une chienne. Ce soir, tu seras vraiment cocu, mon chéri…
- Tu es bien excitante, ce soir, tu me fais bander, viens… J’ai envie de te faire l’amour. J’ai envie de toi et lui dit qu’il aime beaucoup sa chatte rasée.
- Ça y est! Je crois que je tiens enfin l’homme qu’il me faut. Il faut absolument que j’aille aux toilettes. Je rentrerai tard, tu sais, ne t’inquiète pas.


Il y a plus érotique que l’impudeur, Il allait ausii aux toalettes et... Un grand silence! Plus un bruit, plus une parole. Des froissements des frottements et des petits déplacements. Sa femme se mit à genoux sur le carrelage. Deux pieds vinrent se positionner devant elle. Sans un mot, elle redressa son buste qui oscillait d’avant en arrière. Le pantalon tomba sur les chaussures du type. Elle le suçait! Maintenant il la pénétra aussitôt de son sexe dardé et violacé. Il la pilonna à quatre pattes pendant de longues minutes qui me parurent interminables. De l’autre côté de la porte, seul mais terriblement excité, le mari se branlait sans aucune retenue et profitait de chaque instant avec délectation. C’est alors qu’Adélia commença à gémir doucement. D’habitude, elle est très expressive lorsqu’elle se fait sauter: elle gémit, elle crie, elle hurle…

- Hum… hum… Encore, plus fort! Mets-la-moi plus fort! Dans la chatte, dans le cul! Baisez-moi comme une chienne!
- On va te remplir de foutre, salope!
- Allez, prends-moi plus fort, vas-y enfonce-moi ta queue au plus profond de moi, je suis ta salope, fais de moi ce que tu voudras…

C’est alors qu´il entendit le verrou se déverrouiller et la porte s’ouvrir. Elle était là, la bite en main ou bien en charge d’une partie de l’anatomie de sa chère épouse. Elle semblait avoir pleuré tant son maquillage avait coulé; mais ce que il lisait dans ses yeux fixés sur lui, c’était du vice et du plaisir… La transpiration, les corps qui baisent, une melange de réalité sale et de revê fabuleux. Elle semblait comblée et transfigurée par cette surdose de sexe. Communication besteale. Son corps tremblait autant que sa chatte dégoulinait du sperme, qui très vite reprenaient des forces et remettaient le couvert autant que possible. Quand il s’est retiré une grosse quantité de sperme est sortie du vagin de sa femme encore ouvert par la grosseur de l’engin. C’était excitant de voir couler sperme dans ses cuisses, alors qu’elle était encore pleine de sperme de son amant.


- Hé, pédé, elle est bonne ta meuf… Depuis le resto, je savais que c’était une salope qui voulait se faire démonter le cul.
- Salope! Ou « Quel chanceux! » devrait-il dire.
- Si tu avais vu comme il avait envie de moi… Ça se sentait, ça se voyait. Magnifique, j’ai rarement vu un aussi joli spectacle. Ta femme est une vraie merveille, je ne sais pas si tu sais l’honorer comme il se doit mais ce soir elle va être prise comme elle le mérite. Elle est belle ma queue? Tu l’apprécies?
- Oui, elle est grosse.
- Plus grosse que celle de ton mari j’imagine?
- Oui plus grosse, je n’en ai encore jamais eu d’homme avec un sexe comme le vôtre.
- Alors, passons aux choses sérieuses.
- Je t’ai fait cocu. Là, c’était trop! Cela m’a ébranlée. Épuisée...

Il a immédiatement passé sa main sous sa robe, l’a introduite dans sa culotte et a soupiré bruyamment quand il l’a sentie trempée. Son sexe, ses poils étaient encore inondés de sperme, bien que le plus gros ait été absorbé par la culotte et il passa un temps fou à caresser son sexe, à le regarder, à le sentir... Jamais elle n’aurait pu imaginer être fêtée par son mari en rentrant après l’avoir trompé, en lui offrant son sexe souillé par un autre. Et c’était ce qu´elle vivait! Il voua une sorte de culte à son sexe souillé, cela le rendait fou de le voir et le toucher totalement englué. L’une d’entre eux vit-elle avec un mari ou un compagnon partageant le même étrange fantasme? Une fois son fantasme satisfait, s’est-il calmé ou, au contraire, en voulait-il toujours plus? Il a glissé un doigt dans son antre gluant. Il s´est régalé de son puits d’amour malmené et pénétré par un inconnu.
- Tu es pleine de sperme, cochonne! Laisses moi te sentir. J´adore quand tu me reviens ainsi, toute chaude, d’entre les bras de ton amant.
- Ça t’excite?
- Oui ! Dis-moi, il t’a bien baisée ?
- Oui, c’était merveilleux et puis il a une si grosse queue.
- Énorme? Tu l’as bien sucée?
- Je n’ai pas arrêté de la pomper.
- Tu m’en fais boire un peu? Me dit mon épouse.
- Bien sûr, ma chérie.


Tout a commencé un soir d’octobre. Alors allait apparaître Juca Almeida qui cumulait plusieurs emplois. Il avait un travail à temps plein de bagagiste d´aéroport, mais il faisait aussi de menus travaux pour son père pour arrondir ses fins des mois, mais il avait du mal à s´en sortir. Il voulait devenir son propre patron. Comme ces travaux de rénovation de maison compte beaucoup pour Adèle ce qui venait Juca pour s´occuper de ces aménagements nécessaires avec sérénité. Alors il allait connaitre Adélia. Une brune de corps sculturel. Elle était divine dans sa robe mi-cuisses bleu nuit, assez décolletée sur sa poitrine généreuse elle-même magnifiquement mise en valeur par un soutien-gorge légèrement pigeonnant. Elle portait une paire d’escarpins noirs qui lui donnaient une classe absolue. Un maquillage léger parachevait sa beauté fatale… Cet homme avait du vouloir aller plus loin, avoir voulu la toucher, tripoter ses seins, caresser sa chatte. Mon Dieu! C'est sûrement ce qu'elle voulait. Elle s'habillait pour eux, pour les exciter. Elle devait bien penser à leurs bites bien raides? Juca s’étonne encore de la beauté radieuse de Adélia, grande et mince brune d´1,m72 et de 63 kg, avec des cheveux bouclés qui tombent sur ses épaules. Il semblait sous le charme de cette jolie femme élégante et souriante. Je la trouve toujours aussi désirable. Adélia, épouse fidèle, succombe à la tentation de Juca. Un mec ideal pour ses fantaisies.

- Je crois que je fais de l’effet à Juca.
- C’est-à-dire qu’i Juca pas mal du tout lui regarde depuis un moment interessé, Qu’en penses-tu, ma chérie? Dit le mari.
- Il m’a remarquée rien qu’en admirant mon élégance et le charme de mon visage. En quelque sorte. Figure-toi, que, depuis un bon moment, il me draguait effrontément. Chaque fois qu’il me voyait, Je ne sais pas pourquoi, mais, ça m’a excitée.
- Moi aussi j’ai une faute à t’avouer chéri.
- Chérie, tu n’as pas besoin de te sentir coupable de quoi que ce soit. Tu n’as pas de reproches à te faire.
- Moi aussi, j’ai pense sur une aventure. Avant d’aller plus loin, il faut que je vous avoue quelque chose… J’ai l’impression d’être une adolescente qui se fait draguer par un petit jeune.
- Quoi? Vas-tu le laisser s’en aller ainsi, coquine?
- Oui, j’ai pensé une liaison.
- Oui... Avec Juca… Je me sentais coupable… Tu sais, il y a combien de couples qui vivent ce que nous vivons... C´est un homme qui plaisait beaucoup.
- Quoi? Une liaison? Avec un homme? Ah, quelle bonne surprise! Ça me fait plaisir de t’entendre.
- Tu as vu ce mec ? Pas mal, hein ? Tu aimerais qu’il me saute, hein?
Tu parles de piment dans notre relation, mais tu oublies la culpabilité. Je te demandes ce que nous allons faire maintenant?
- Vous rien. Je te raconterait tout. Je te promets de ne plus mentir… Mon petit mari cocu, tu es content d’avoir une femme comme moi…
- Super, c’est tout ce que tu trouves à dire!
- Je vai laisser le portable allumé à vous ne perdre rien. Tu crois que ça lui plaira, mon chéri? ajouta-t-elle.
- Super. Mais on a été discret.
- D’accord, mon chéri, si j’ai l’occasion et si j’en ai envie, j’y vais…
- J´ai besoin d piloter, dit Fred à son épouse.
- Entendu, je t´aime.
- Je sais, moi aussi je t’adore. Tu m’as donné la plus forte preuve d’amour, ma chérie !
- Tu as aimé ? Tu as aimé alors?
- Bien sûr! J’ai même adoré! Et toi?
- Enormèment.
- Tu as envie de renouveler ce genre de soirée?
- Oui, pas toi?
- J`ai adore. Voyez-vous, mon fantasme est multiple. Il ne s’agit pas simplement de trompervous, mais de le faire avec son assentiment et même sa participation dans le jeu. Ce qui m’attire le plus, c’est l’inversion des rôles.
- Je comprends bien, répondit Fred et je suis entièrement d’accord avec vous. Votre idée des rôles inversés me séduit énormément.

La semaine qui suivit ne fut pas comme les autres. Dans la maison Juca avait engagé les travaux au sous-sol et avait un peu de temps libre. Elle avait fourni un double des clés pour circuler comme il voulait. Il y avait une énorme différence de niveau de vie entre eux. Il était un peu envieux de la situation professionnelle de Fred. Au fil des mois Juca travaillait à l´aéroport et passe ses soirées au sous-sol des cravates. Son mari l'avait faite femme. Sensuelle, amoureuse, et salope. Elle avait besoin de baiser avec des amants aussi souvent que possible maintenant.
La température, redescendue à un niveau acceptable par rapport à celle du jour, l'aidait à se sentir bien. Elle s’approcha de la haute fenêtre et contempla sans vraiment le voir le ciel gris d’automne. Dans l’avenue, les voitures avançaient au pas, pare-chocs contre pare-chocs, mais le bruit de la circulation ne lui parvenait qu’assourdi à travers les épaisses vitres à l’épreuve des balles. La robe d'été laissait deviner sans peine les courbes voluptueuses de la belle brune, marquant parfaitement sa taille et ses hanches, et glissant sur ses fesses rebondies. Son décolleté s'ouvrait largement sur sa poitrine opulente, Adélia n'avait pas mis de soutien-gorge, il faisait trop chaud pour qu'elle le supporte, et ses seins généreux rebondissaient doucement à chacun de ses pas, les tétons pointant légèrement sous le fin tissu. Mais après tout elle ne croisait jamais personne.
La lumière inonda la voiture. Rien. Elle était vide. Adélia s’engouffra le plus vite possible à l’intérieur et son premier geste fût de s’enfermer. Elle mit le contact et fut soulagée d’entendre le moteur rugir du premier coup malgré la température. Elle démarra sans même chercher à savoir si on lui avait volé quelque chose, tout en se traitant de tous les noms pour la peur qu’elle s’était infligée. L’autoradio était toujours là, et elle savait qu’elle n’avait rien laissé de précieux. Elle engagea sa voiture peut-être un peu trop vite sur la chaussée, mais la rue était vide, et elle prit la direction de sa maison. Un coup de klaxon la sortit de ses pensées et la fit sursauter. Elle ajusta le rétroviseur intérieur pour mieux voir la voiture qui la talonnait. Une vieille Ford blanche et marron affublée de gyrophares comme on pouvait encore en apercevoir dans quelques séries télévisées. Elle grimaça en observant son compteur et ralentit progressivement pour s'arrêter sur le côté tandis que le véhicule la doublait pour s'arrêter quelques mètres devant elle. Elle coupa le contact et posa ses mains en vue sur le volant en examinant les deux hommes qui sortait du véhicule. Les deux hommes portaient sans doute l'uniforme de police en vigueur dans la région, une sorte d'uniforme de tel qu'on se serait attendu à en voir dans un film des années 80. Pas de matraques, de bombe à gaz ou de taser, juste des revolvers et des menottes.
La belle Adélia se gara dans la rue, juste devant sa porte d’entrée. C’est alors qu’elle s’apprêtait à descendre de voiture qu’elle le vit: un simple morceau de papier blanc, plié en quatre, posé sur le siège passager. Elle sentit à nouveau un frisson lui parcourir le dos. Une fois enfermée chez elle, adossée à la porte, elle regarda une nouvelle fois la feuille de papier qu’elle n’avait pas encore dépliée, et qu’elle tenait toujours serrée dans sa main. Elle posa son sac, et sans enlever son manteau, alla se laisser tomber dans le canapé du salon. Elle essaya de se persuader que ce n’était rien du tout. Qu’un simple morceau de papier justement. Elle savait pourtant que ce n’était pas elle qui l’avait laissé traîner dans sa voiture. Pourquoi hésitait-elle encore à regarder cette feuille? Elle était plutôt d’un naturel curieux d’habitude. Pourtant, elle sentait que quelque chose allait se passer ensuite. Elle était seule depuis un peu plus de six mois, mais elle n’avait pas vraiment le sentiment d’en souffrir. Il lui arrivait, bien que rarement, de passer une nuit avec un homme si elle en avait envie. Comme bien des femmes, elle avait toujours douté de sa beauté, mais elle se savait tout de même désirable.
La brune se regarda dans le reflet de la fenêtre. Elle portait une robe droite beige elle aussi, qui soulignait joliment ses courbes. Sans y penser, elle tourna légèrement d’un côté puis de l’autre pour se regarder, avant de réaliser que sans rideaux on pouvait l’observer de très loin. Elle colla son front à la vitre de la fenêtre pour regarder vers l’extérieur. Très peu de fenêtres étaient allumées. Son mystérieux correspondant était-il en train de l’observer en ce moment? Elle se demanda même si elle ne ferait pas mieux d’appeler la police finalement. Elle avait vu des tas de films à la télévision, qui relataient des histoires de tueurs sadiques écrivant ou téléphonant à des femmes seules. Pourtant, elle était certaine que l’homme n’était pas dangereux. Comment savoir? Elle passa dans la chambre dont elle ferma volets roulants, rideaux et doubles rideaux. Puis elle se mît sous la couette sans même se déshabiller. Elle savait qu’elle aurait du mal à trouver le sommeil. La journée suivante passa plus lentement que d’habitude. Adélia avait fini par s’endormir vers 6 heures du matin mais les bruits de la rue l’avaient réveillée peu après. Et depuis qu’elle était levée, elle avait l’impression de marcher sur un tapis de coton épais. Elle avait d’abord cru avoir rêvé en repensant à la lettre, mais elle fut surprise de se sentir presque heureuse de la retrouver posée sur le canapé.
Adélia la relut encore, et essaya de comprendre pourquoi alors qu’elle aurait logiquement dû être encore effrayée, elle était ce matin d’aussi bonne humeur. Mais elle savait sans oser se l’avouer que la vérité était ailleurs: il ne se passait plus rien dans sa vie depuis des mois. Elle avait le sentiment de vivre sa vie par procuration, à travers les autres. Ce soir-là, en arrivant sur le parking, elle eût à nouveau peur. Pourtant, si elle parcourût le désert d’asphalte presque au pas de course, elle réalisa en arrivant à la voiture que c’était pour une autre raison. En s’asseyant au volant, elle se traita encore d’idiote. Elle sentait bien qu’elle était déçue qu’il n’y ait rien sur le siège ou ailleurs. Pas de mot, ce soir-là. Elle resta à attendre, avant de démarrer, scrutant l’obscurité devant elle. Une fois rentrée chez elle, elle s’endormit plus vite que la veille. Un sommeil peuplé de rêves étranges, d’hommes sans visage tantôt menaçant, tantôt apaisant. le reste de la semaine passa ainsi, et Adélia redevint plus morose au fil du temps, perdant peu à peu cette petite étincelle d’excitation qui l’habitait. Elle cherchait dans les yeux de tous les hommes qu’elle croisait, connus ou inconnus, un signe qui aurait trahi son identité. Rien. Elle relût la lettre une quatrième fois:

“Je vous observe depuis très longtemps. Personne ne vous connaît mieux que moi, et je sais à quel point vous pouvez être belle, non seulement d’apparence, mais en tant qu’être humain. Je connais aussi votre fragilité, vos doutes, vos goûts, vos peines, vos joies, vos attentes… Je veux vous aider, vous protéger, vous entourer. Je serai là chaque jour, près de vous, sans jamais intervenir dans votre vie. Vous aviez l’air triste aujourd’hui. J’espère ne pas vous avoir fait peur. Je vous en prie, pour me prouver que vous ne m’en voulez pas ”.
Je t´aime
Juca

Elle fut finalement soulagée. Son cœur battait toujours fort, et elle relut encore une fois la lettre. Comme as curiosité est à son comble et qu´elle meur d´impatience elle decide aller au sous-sol. Alors elle parlai avec son mari:

- Ce… ça ne te gêne pas que je… Enfin, sur Juca?
- Je comprends très bien pourquoi, et je préfère que ce soit avec lui qu’avec un illustre inconnu.
- T’es vraiment bizarre, toi…
- Tu préfères que je sois bizarre ou que je t’explique à l’ancienne qu’une femme ne doit même pas songer à un autre homme que le sien?
- Vu comme ça… Oui, pourquoi pas… Mais coquin comment? Et pourquoi? Ben, comme tu sais, j’ai un peu craqué sur Juca et j’aimerais me faire sexy pour lui.
- Ah oui? Pour lui, mais pas pour moi? Et sexy comment?
- Euh, tu verras… À vrai dire, je n’ai pas encore choisi ma tenue… Si j’ose le faire…
- Eh bien, si tu oses, je n’aurais rien contre…
- Je dois t’accorder cette qualité… Merci d’avance, mon chéri…
- Pas de quoi, ma chérie… Tu te sens prête?
- Un peu nerveuse, mais prête, mon amour… Je me mets à l’aise… Très à l’aise? Ah ça, pour une petite surprise, c’est une grosse surprise!
- Mais moi, j’ai envie de te voir jaillir!
- Tu verras mes jets de foutre, je te le promets. Et si, en attendant, tu me suçais un peu?
- T’es quand même fou, chéri!
- Fou de toi, c’est certain! La libertine veut encore profiter de son bel amant.
- Petite perverse, fit Antoine en lui rendant ses baisers!
- Et tu n’as encore rien vu, mon chéri, chuchota-t-elle encore!



Immediatement Adélia se rapprochait de lui. Elle est d´une beauté à lui couper le souffle, déjà son sexe frétille le bonheur. Ses talons claquent doucement sur le carrelage et elle ouvre la porte de la petite pièce où elle allait vivre son aventure. Les robes courtes étaient à la mode et la femme était parfois un peu négligente quand elle se baissait. Il fut aussi excité sexuellement. Adélia était plus ouverte mais je sentais qu'elle cachait encore des choses. Elle veut proquer désir sur lui. Adélia porte une robe rouge très moulante et décolletée à la fois. Le genre que l’on voit dans les clubs échangistes,

- Ce n'est pas grave, je ne vais pas me mettre en colère. L'idée que tu flirtes quand je suis au travail est assez excitante. Leur as-tu montré ta culotte intentionnellement? demandait-il.
- Continue! Je pouvais le sentir me regarder. Je suppose que tu veux voir de plus près.
- Laisse-moi m'imaginer ça! Est-ce que ça t'excitait? Ajoutait-il.

Son excitation était à son comble. Sa tenue s’avérait aguichante sans pour autant se montrer tapageuse. Son allure, tout comme son décolleté plongeant dans lequel son regard se perdit un moment pour y contempler la naissance d’une poitrine généreuse, attira fatalement son attention. Elle est nue sous sa robe. Elle lui sourit tandis qu’elle écarte doucement les cuisses pour lui laisser voir le fin duvet blond qui ondule sur son pubis. Son sexe nous est offert, de larges lèvres aux contours parfaitement épilés et un coquillage corail palpitant de désir. C’est un petit sourire en coin qui laisse voir son trouble. Alors qu’il hésite devant cette offrande, elle invite leur serveur à se délecter:
- Bonjour... Vous cherchez quelque chose?
- Non... Je jette juste un œil.
- Pardon. Je ne comprends pas... C’est à moi que vous parlez? Demanda-t-il interloqué,
- À travers d´une lettre? Putain, mais c’était quoi ce bordel?
- C'est vrai que tu es un experte…Vous voyez donc que ce n'est pas grave si j'en perds un peu moi aussi. J'ai beaucoup de temps à perdre, Je vivais une sorte d'enfer, qui cependant m'excitait au plus haut point, dit-il en essayant de sourire lui aussi.
- Pas autant que moi, Est-ce qu'il t'est déjà arrivé de regarder une femme mariée avec insistance, dit-elle.
- Oui, bien sûr. Quand je trouve une femme belle, je la regarde. Tu es vraiment ravissante, Adélia. Je te trouve même très désirable. Tu m’excites trop avec tes jolies jambes!
- Merci, Tu n'es qu'un homme parmi d'autres… Tu devrais essayer, Dis donc, ça n’était pas prévu dans le contrat, ça, lui dit-elle en lui gratifiant d’un grand sourire.
- Je n’ose penser que c’est pour moi seul que tu t’es faite aussi belle…
- Cette robe, cette couleur est comme la cape rouge du toréador qui excite le taureau, elle est l’objet d’un jeu entre nous, J’espère qu’il a apprécié… Dit elle à Juca. N’hésitez pas, elle est à vous! Tu crèves d'envie de faire l'amour avec moi.
- Et son mari?
- Je m’en fous! J’assume toutes les conséquences! coupa-t-elle.
- Tu es tellement séduisante. Impossible de rester de marbre… Je veux dire que ça m’étonne… Que les coïncidences sont rares, et… Ça peut peut-être s’arranger.
- Mais qui te demande de rester de marbre? Je vais te faire plaisir ce soir, mon chéri… Ouvre bien les yeux. Je crois bien que je suis une salope!
- Tu es pratique en effet. Mais enfin chérie, qu'est-ce qui te fais dire ça?
- Oh, rien de précis...

Arrivés dans la chambre, ils n’allumèrent pas la lumière. Un réverbère, de l’autre côté de la rue, éclairait suffisamment la pièce au travers des voilages. Elle enleva son manteau et il fit de même. Comme elle restait debout sans bouger, regardant le sol, ce fut lui qui s’approcha d’elle. Il effleura son bras doucement, caressa son épaule, puis son cou. Sa main sur sa nuque, les doigts dans ses cheveux, il attira son visage vers le sien. Il crut d’abord qu’elle allait refuser son baiser, car elle tenta de tourner la tête, et il n’embrassa que sa joue, puis le coin de ses lèvres à la seconde tentative. Elle se sent basculer en arrière dans les bras de la foule chaleureuse, alors que cette bouche insatiable la dévore et elle disparaît sous la vague enveloppante de la luxure pure. Le plaisir montait, montait en elle, irrésistiblement.
Comment est-ce qu´elle fait pour laisser son corps réagir comme ça? Elle ai toujours envie de le gifler, mais maintenant, plus encore, elle souhaite qu’il continue. Le désir monte entre ses jambes. Adélia mord ses lèvres, essayant, sans succès, de réprimer un gémissement. Quand elle baisse les yeux sur lui, la sueur perle entre ses sourcils. Il y a de minuscules sons liquides. Elle gémit comme un petit animal.

- Tu es très excitante.
- C’est diaboliquement agréable. Mais, J’ai déjà eu mieux. Vous êtes un sale con.
- Petite obsédée, sale perverse. Tu aimes être regardée, n’est-ce pas? murmure-t-il.
- Taisez-vous, vous êtes en train de tout gâcher, dit-elle.
- Je te promets que je te ferai jouir.
- Maintenant, fais ce que tu as à faire.

Alors, elle allait allumé son portable qu´allait registrer tout... La scène que le mari visualise est terriblement belle, une esthétique de cinéma, des ralentis, des gros plans, puis des larges, des changements d’angles… Une lumière subtile, tamisée… Une moiteur érotique, des corps luisants… Ils sont là. Elle le regarde, regarde son plaisir, son excitation. Se penchant alors vers lui, elle plaqua sans crier gare ses lèvres contre les siennes.

- Tu embrasses comme un dieu, me dit-elle.
- Et toi comme une déesse… insatiable.
- Je suis vraiment désolée, vous devez me prendre pour une folle! Sucer n’est pas tromper!
- Je crois qu’une petite pipe ne serait pas de refus.

Un truc de fou… Son cœur sursauta quand elle cria son nom pour réclamer sa présence, il avait tout entendu, il savait qu’elle allait le faire, mais il n’ai pu s’empêcher de bondir. Que faire? Qui avait vécu une situation si scabreuse? Sa femme et son amant se vautraient dans leur lit, Il était royalement cocufié, et maintenant voilà qu’ils l’appelaient pour qu´il assiste à leurs ébats. Le voilà pris au piège de son épouse perverse! Il a les yeux fermés, elle fait venir sa petite main, doucement de haut en bas, décalottant et recouvrant son gland luisant… Elle aime parfois dominer, contrôler le plaisir qu’elle donne et en profiter, trouvant ainsi son propre plaisir… Elle vint telle une chatte en chaleur se positionner sur son visage, écarta du bout de ses doigts son string, lui montra sa fente, toute rouge. Du liquide blanchâtre dégoulinait. Il rechignait. Puis n'en pouvant plus, fou de désir, Fred la lapait comme jamais, enfonçant sa langue au plus profonds d'elle. Il avalais tout.

- Lèche-moi. Nettoie-moi. Antonin a joui 4 fois en moi ce soir. Oui c'est ça! Je savais que tu en mourrais d'envie. Avale bien tout mon petit cocu. Oui oh OUI....
- Je t'aime aussi plus que tout Adélia.
- J'aimerais tant que tu puisses assister à mes ébats. Que tu sois témoin de ma jouissance!
- Adelia? Me permet lui de me pénétrer?
- Quoi? Oh oui bien sûr. Bien Sûr... Je veux que tu le vois me baiser. Je ne veux pas l'effrayer. C'est compri?

Fred sait que son épouse est fascinée par le mécanisme de l’érection, qu’elle ressent une réelle jouissance à contempler son œuvre… et il sais aussi ce qui va suivre… La respiration de l’homme s’accélère, je l’entends distinctement et je sais qu’elle ne l’embrasse plus… j’entends néanmoins des bruits de bisous, rapides, répétés… elle doit lentement faire glisser sa tête vers le bas, couvrant le torse musclé de bisous, de mordillements, elle s’attarde sur les tétons, elle le devine à son gémissement plus marqué… Maintenant il est à poil. Mais là, elle en avait tellement besoin. Elle le regardait sortir sa lance. Superbe. Longue, épaisse, les veines couraient le long du tronc, le gland énorme, violacé, le méat qui suintait déjà. Et ses couilles lourdes, qui pendaient dessous, pleines de semence. Elle n'a pas pu résister. Elle a glissé sa main, caressant ses contours duveteux, soupesant ses fruits mûrs.
Adélia s'agenouilla à nouveau et déboutonna son jeans. Elle pouvait sentir son coeur battre la chamade et il s'accélèra encore quand le jeune homme se saisit à la fois des bords de son pantalon et de son boxer. Leur corps musclés n'avaient pratiquement pas de graisse. Ils arborraient un certain nombre de tatouages et de cicatrices qui semblaient très anciennes. Elle sentit ses jambes se mettre à trembler et son souffle s'accélérer. Il l'attrapa alors par ses cheveux et la força à se courber. Il crocha ses doigts dans son chignon parfaitement coiffé, l'obligeant à ce qu'elle tourne sa bouche vers sa bite : «Pute, suce-moi!» Il a ordonné.
Elle doit commencer à lui titiller le bout du sexe avec sa langue, doucement, comme pour l’énerver… elle me le fait si bien… L’homme s’abandonne dans un long râle étouffé… elle a dû le prendre en bouche… elle bloque ses lèvres sur le gland épais et le titille avec sa langue… L’homme gémit clairement… Fred distingue des bruits de succion, soutenus, le rythme de sa respiration lui donne le rythme de la divine fellation que lui donne sa femme… Elle lécha sa bite, crachant dessus pour l'humidifier, et la goba avidement avec ses lèvres rouges. Elle ronronnait de satisfaction. Il maintenait sa tête à deux mains, à présent, en ondulant du bassin, pour baiser sa bouche comme une chatte. Il la voit…

- Tu sais y faire, petite dévergondée, lui déclarai-je. Une vraie pro! Tu m’étonnes, avec tes talents de suceuse, il n’allait pas tenir le coup longtemps! Oui, vas-y, lèche-moi, encore… Tu vas me rendre fou de toi!

L´époux la voit le branler doucement tout en faisant glisser sa bouche le long de la tige, rapidement, plus lentement, le lâcher parfois, pour le laisser respirer et le reprendre plus fort, plus profondément, plus vite… Fred distingue clairement les bruits du va-et-vient, de sa main sur ce sexe trempé par sa salive, il la devine le regarder lui au maximum de son plaisir… Et elle aime ça, il le sait, il le voit, il le devine… C’est lui qu’elle suce à travers lui…

- Tu es une vraie diablesse… Oui, vas-y encore, ouiii… C’est bon, ne t’arrête pas… Laisse-moi faire maintenant, dit Juca.
- Mon dieu, gémit-elle, avant de rire nerveusement… Viens, mais doucement… je suis étroite…
- Arrête! criai-je dans un souffle. Tu vas me faire éjaculer!
- Baise-moi ! Enfonce-moi ta grosse queue… Je la veux toute.

Cette remarque lui surprend encore, car elle ne l’a jamais dit ça, et il ne l’ai jamais trouvé si étroite que cela… Il comprends donc que son amant doit être particulièrement bien membré et se retrouve du coup comme pétrifié, la réalité rencontre, voire dépasse, le fantasme… Et si elle découvrait un nouveau plaisir, qu´il le mari ne serait jamais capable de lui donner? Son esprit turbine à vitesse grand V, mais pas le temps de l’appesantir et de divaguer… Le râle de plaisir surgissant du fond de la gorge de sa belle lui fait deviner que l’homme est doucement en train d’introduire son gros sexe en elle… Lentement, mais sûrement, centimètre par centimètre… Elle était en transe, tout son corps luisant de sueur tremblant. Il l’embrasse ne même temps, mais l’emprise de la bouche de l’homme ne parvient pas à étouffer le gémissement de Val, long, discontinu, grave, rauque, déchirant… Elle adorait ses insultes. Elle adorait le ton de sa voix. Elle était faite pour les baises sordides. Elle était faite pour les érections titanesques. Même si c'était un peu trop rugueux, mais quel beau spécimen. C'était ça qu'elle voulait, maintenant. Être baisée comme une chienne, être traitée de salope, mais surtout être montée par une grosse bite qui lui ramonait la chatte.

- Comme il est gros! Comme c’est bon! Si, si… oh hoh… ahhhhh… Oh ouiiii… Oh, j’adore! cria-t-elle.

Il doit lentement se retirer… et il revient, lentement, poussant plus profondément encore. Les « aahhhh » rythment la pénétration. Je devine rien qu’aux variations de sa voix lorsqu’il entre, lorsqu’il sort, et revient, et ressort… Le lit commence à craquer, subtilement, discrètement, mais il entend clairement le tempo de ses va-et-vient qui deviennent imperceptiblement plus rapides, plus prononcés.


- Oui, viens, encore, encore, gémit-elle.
Son corps vibre littéralement des cris de plaisir de sa femme, il la baise maintenant véritablement, le lit couine en rythme, il ahane au rythme de ses coups de boutoir, elle l’encourage explicitement:


- Encore, encore, oui, c’est bon… De nouveau en français, le signe qui ne trompe pas…

Elle s’empale sur lui, lentement… elle fait glisser son sexe sur ce long membre tout nouveau. Il devine une nouvelle fois à ses gémissements prononcés que son plaisir est intense… Probablement bien plus intense que lorsque c’est son modeste sexe qui la prend, et qu’elle se fiche sur lui, à se frotter le clitoris tout en l’emprisonnant délicieusement dans une étreinte humide. Le gémissement est long…


- Enfin, je vais pouvoir sentir une bonne grosse queue m’empaler. Fini le plaisir réduit. Je vais pouvoir jouir comme une folle, avec un bon pieu dans le corps. Mon Dieu que c’est bon, souffle-t-elle.

Il doit la maintenir par les hanches, se délecter du spectacle de son superbe buste, de la douceur de sa peau, de son si beau visage déformé par le plaisir, de la voir s’élever puis faire remonter le sexe au bord de la sortie avant de replonger dessus en recommencer dans un infini mouvement de bonheur. Elle gémit, elle crie, l’encourage par ses « oui » incessants et de nouveau les mêmes bruits de claquements, les râles étouffés chaque fois qu’il percute le tréfond de son intimité. Puis des bruits divers, froissements, chuintements, me parvinrent. Elle perd à nouveau totalement contrôle :


- Viens maintenant, viens. Oh oui, ta bonne grosse queue me fait du bien. J’en avais marre de la petite de l’autre là. Ahhhh, salaud, tu me fais du bien. Aaahhhhhh, oui, salaud, salaud, tu vas encore me faire jouir…

Cette vision hard lui rendait fou, il se masturbait à lui faire mal. Sa femme était au bord de l’orgasme, elle criait de plaisir. L'orgasme qui s'en suivit fut fulgurant et puissant. Il a joui en elle. Sa douce pleurait de plaisir, son corps faisait des soubresauts, Le mari avait joui aussi, c’était irréel. une créature qui s'était emparée de son corps, que ce qu'elle avait ressenti était surnaturel. Mais très vite elle l'avoua avoir adoré,

- Ça a été trop vite. Tu n’as pas dû prendre ton pied.
- Ne dis pas de bêtises… Au contraire, j’ai adoré!
- Tu as été terrible, lâche-t-il, encore essoufflé.
- C’est toi qui m’a tuée… je n’ai jamais ressenti ça avant, je n’ai jamais joui comme ça de ma vie… Surtout pour une première fois…
- Je jouis plusieurs fois, cet homme est diabolique! Je n’en peux plus, il est toujours aussi vigoureux. J’ai aimé faire l’amour avec toi, on le refera régulièrement mais j’aime mon mari . Je me suis bien amusée et j’ai rendu fou mon mari.
- Tu veux dire que… tu veux qu’il y ait une prochaine fois?
- Bien sûr, mon chéri! Non seulement, je te pardonne, mais je veux que tu continues.
- Et tu vois, mon chéri, continua-t-elle en déposant un baiser sur ses lèvres, je n’ai pas envie que ça s’arrête là parle-t-elle au portable.
- Laisse-toi aller. Tout ira bien, repondit le mari.


À l’odeur, impossible de se tromper: le cul de sa femme sentait le sperme à plein nez. Mais ce n’est pas ce qui me stupéfia le plus. Sa chatte béait littéralement. Elle béait! Comme si quelqu’un lui avait enfoncé un machin énorme dedans, Il s´assure. Il y avait quelques sécrétions sur les bords de ses grandes lèvres, manifestement de la semence de mec. À partir de ce moment, ses vies sexuelles furent transformées. Ça fait partie des choses qui ne s’expliquent pas, des personnes avec qui les choses s’emboîtent parfaitement, sans que l’on ne sache pourquoi. j’étais très excité à l’idée de la voir se faire prendre par Juca Almeida, à la condition qu´il soit là et que cette démarche s’inscrive dans une démarche de plaisir partagé et de complicité.
Elle s’approcha encore, déposa un baiser sur ses lèvres. “ Comment peut-elle jouer ainsi la comédie alors qu’elle vient de me faire cocu? “ pensait-il en lui-même. Sa femme venait de prendre un plaisir unique, inédit, de son fait, de sa faute… Une tarée. Il regarde le téléphone… La communication a duré 46 minutes… 46 minutes de sexe intense, d’orgasmes à répétition… D’habitude, en 20 minutes et un orgasme stéréotypé, c’était fini… Elle sourit à la caméra et l’image se coupe... Puis elle etendre le postable.
- Je ne pensais pas pouvoir devenir si salope en un après-
midi! Tu m’as baisée magnifiquement, tu sais. J’ai joui comme une folle. Je viens de connaître l’orgasme le plus violent de toute ma vie! Je n’arrive pas à croire que j’ai réalisé mon fantasme avec toi et avec mon mari, confessa-t-Adélia.
- Moi aussi j’ai pris un pied pas possible avec toi.

Elle se glissa dans la baignoire avec volupté. Elle sentit l’eau très chaude envelopper son corps, tandis que la mousse crépitait autour d’elle. Elle était bien. Elle se pelotonna comme un chat, avant d’étendre à nouveau ses longues jambes, puis elle se mit sur le ventre et se laissa couler. Elle recommença plusieurs fois, une douceur qu’elle connaissait bien l’envahissant peu à peu. Elle caressa ses seins, et sous des doigts ses tétons durcirent, ce qui la fît frissonner malgré la chaleur. Elle sortit de l’eau et se mit devant la glace en se séchant. Oubliant ses doutes habituels, elle se trouva très jolie, “ presque belle ”, mais évita de se regarder dans les yeux. Elle plaqua ses cheveux mouillés en arrière et enfila une culotte de dentelle blanche et son peignoir en soie rouge, ramené deux ans auparavant d’un voyage en Thaïlande. Elle soupira longuement, puis le cœur battant, passa dans le salon, alluma le poste de télévision et s’allongea sur le canapé, face à la fenêtre et la nuit mystérieuse.
Elle resta de longues minutes les yeux braqués sur le poste, la télécommande à la main, zappant pour tenter de trouver un hypothétique programme distrayant à cette heure avancée de la nuit. Elle s’arrêta sur des clips passant en boucle, regardant des starlettes se déhancher sur des rythmes lascifs. L’une d’elles, en maillot de bain, passait ses mains sur son corps humide, tandis qu’un battement sourd soulignait les phrases syncopées d’un rappeur américain. Sandrine ferma les yeux et posa la main sur la ceinture de son peignoir. Elle avait pourtant décidé de ne pas le faire. Mais maintenant, elle se rendait bien compte que depuis qu’elle avait mis son bain à couler, elle n’avait fait que se préparer à cet instant. Elle dénoua fébrilement la boucle, puis passa la main dans l’échancrure, la faisant descendre le long de son sternum, puis jusqu’à son nombril, avant de se poser sur l’une de ses cuisses. S’il la regardait en ce moment, il pouvait voir sa peau nue entre ses seins, son ventre, et sa petite culotte de dentelle. Elle respirait vite, comme si elle était essoufflée. Elle se leva d’un bond, semblant hésiter, basculant d’un pied sur l’autre devant la baie vitrée.
Les voisins avaient remarque que la voiture de restes y étaient souvent garée devant chez Adélia lorsque son mari était absent pour son travail. Il avait l´idée de être enculé dans une urinoirs publique. Il avait pris l’habitude de se masturber en voyant faire les hommes. Après s’être détendu il a allé aux urinoirs. Puis un homme est venu s’installer à côté de moi, ce qui m’a surpris car il y avait d’autres places. Je n’en fais rien. Ça serait dépasser les limites qu´il s’était fixées: regarder, juste regarder. Après quelques caresses, l’homme enleva sa main, prit la mienne, et la tira vers lui. Lorsqu’il posa sa main sur son sexe… Fred eus comme un choc. Il aurait pu retirer sa main et changer de place, mais il fui immédiatement fasciné par ce qu´il sentit sentis sous ses doigts. C’était chaud, d’une douceur extrême, et en même temps, c’était dur, long… Plus long que le sien. Ses doigts se refermèrent sur la bite de son voisin et il commençait instinctivement un va-et-vient. Ses doigts caressent son sexe dur, et le contact du tissu satiné sur la peau rend ces dernières très sensuelles.

- Je suis un mec!
- Et alors? Un trou, c’est un trou, la bite n’a pas d’œil!
- Je ne suis pas pédé! C’est clair? Casse-toi!
- Vas y, homme, branle-toi, ça ne me gêne pas du tout, je vois bien que tu en as envie.
- Vous avez une belle verge. Oui, comme ça…?Elle est dure… Qu’elle est belle!… Je la veux… Je la veux!
- Merci. J’ai envie de toi… Lui susurre-t-il à l’oreille.
- Mais où? Ici?
- Dans les toilettes! Il n’y a personne dedans!
- Moi aussi, J’ai envie de te sucer en élevant légèrement la voix, dit Fred.
- Venez, dit-il vers une cabine de toalette. Allez-y. J’ai envie. Vite. Oui, mais envie de toi : envie de ton petit trou. Tu suces bien, j’espère que ton cul est aussi que ta bouche…
- Merci, c’est ta queue qui m’excite, tu sais.
- Du gel, je demande, encore marqué par la remarque de l’autre fois.
accueillant.
- Non, pas la peine. Mettez juste un peu de salive.

Il se remit à genoux pour le sucer et le lubrifier avec sa salive, puis il s´est levé et lui ai présenté ses fesses. Il approcha sa queue de sa rondelle puis poussa d’un coup brusque. Une violente douleur l’envahit. Il ms´est écarté en lui demandant de faire attention et d’y aller doucement; il était tout penaud. La douleur ayant disparu, il s´était à nouveau retourné en lui demandant de se laisser faire. Il a attrapé sa bite pour la guider à l’entrée de son orifice puis, en se reculant doucement, son membre fut englouti centimètre par centimètre sans la moindre douleur.

.- À quatre pattes. Je le force. Je l’enfile. Je l’encule. Putain, que c’est bon! J’avais oublié combien le cul d’un puceau est serré. Écarte ton cul, ouvre-toi pour qu’il puisse te prendre, allez, vas-y. Vous m’excitez.
- Il ne va pas trop vite. Parfois sa queue sort entièrement et mon cul. Oui. C’est bon. Continuez. Plus fort. Plus fort. Baisez-moi. Enculez-moi. Punissez-moi des cochonneries que je fais.
- Son ventre tape contre ses fesses. Mes couilles frôlent les siennes.
- Ah, il est bon ton cul, oui ! Oh oui, c’est bon de te baiser, tu aimes ça!
- Oui, viens, baise-moi fort. Je suis en chaleur sous ta queue, prends-moi à fond !

Le mec ne cesse de cracher dans sa main pour rendre sa masturbation plus liquide.

- C’était très bien. Vous êtes un bon amant. Margie… Votre femme a de la chance.
- Maintenant jê suis prête à être enculé pour l´amant de mon épouse.

Adélia vient de terminer ça journée aux alentours de 20 h 30. Elle marche jusqu´à sa maison, mais la calme de la nuit va se briser. Son mari était de retour. Elle est loin de se douter de ce qui va lui arriver ce soir là. Elle était déja amoureuse de son amant Juca Almeida.

- Tu penses à lui?
- Pas forcément, non, mais tu m’en parles alors j’y pense.
- Menteuse!
- T’as bon. J’arrive même pas à bosser…
- Et tu penses à quoi?
- À ton avis?
- À sa queue?
- T’as encore bon. Je le sens encore en moi.
- À ce point? Tu mouilles?
Héhéhé, moui.
- Appelle-le! Fais une pose. Appelle-le... Merde tu veux son sperme ou pas?
- Je veux qu’il jouisse en moi.
- Enfin! Tu es libre Adélia.
- Il m´avais dit... Quel beau cul ! me dit-il. Et j’aime bien ton sexe presque rasé. Tes grandes lèvres sont magnifiques.

Au début, l’effet a été spectaculaire. Adélia apparaît dans l’encadrement de la porte légèrement décoiffée, son corsage dégrafé et sa jupe ultra-courte moulant délicieusement ses fesses. Elle est menue, ses cheveux mi-longs châtain clair ont fait place à une coupe mettant plus en valeur.
- J’ai baisé ta femme, mais elle ne t’a pas trompé puisqu’elle a tout fait devant toi.
- Évidemment, c’est un point de vue.
- Tu ferais mieux d’accepter la situation, parce qu’à mon avis, ça va se reproduire. Mais, tu as vu comment elle a joui avec moi?
- Évidemment. Mais toi, tu as le choix, on peut faire ça avec ou sans toi.
- Pardonne-moi de dire ça, Fred, mais il était plus que temps que je baise ta femme, elle était en manque et avait besoin de ma queue, tu n’assurais pas assez avec elle. Sa chatte me rend dingue.
- Je ne sais pas pourquoi, mais c’est vrai que je me comporte comme une pute aujourd’hui. Regarde mon mari, regarde-le, mon gentil cocu, tu vois comment il se branle en voyant comment tu me baises bien.
- Ton mari a raison, tu as un con de reine.
- Je te fais confiance, j’espère que tu sais ce que tu fais. Fais ce qu’elle te demande, vas-y, baise-la, démonte-lui la chatte et remplis-la de foutre puisque c’est ce qu’elle veut. Remplis-la, on verra bien, de toute façon, ma femme est une chienne en chaleur, pas une lapine.
- Merci mon vieux, merci de partager ta femme avec moi, je suis content de la baiser devant toi, comme ça.

Il était plutôt bien membré, le cochon! Il ne put s’empêcher de le jauger par rapport à lui: sa queue lui parut conséquente, aussi grosse, aussi longue que la sienne, et tellement raide qu’elle semblait énorme. Adélia, toujours agenouillée à ses pieds, contemplait le sexe mis à nu avec les yeux d’une gamine à qui on vient d’offrir son plus beau jouet. Elle cherchait à lui fixer dans les yeux, elle affichait son défi. Jamais il ne lui avait connu ce regard, cette expression de désir si intense, il avait du mal à reconnaître sa femme en cette furie. Elle osa enfin avancer une main pour l’effleurer du bout des doigts et déclara:
- Tu as une belle bite, tu sais ! Je savais que je ne serais pas déçue. Et ce qui me rend encore plus heureuse, c’est de savoir que c’est pour moi que tu bandes si fort. Laisse-moi faire.
- Devant ton mari?
- Oui, au contraire, ça m’excite pas mal de faire des cochonneries devant mon mari, pas toi?
- Je ne sais pas.
Cocu! Ce mot revint comme un boomerang. Oui, cette fois, il avait toutes les raisons du monde de se sentir bel et bien cocu, et c’était irréversible. Excitée comme il ne l’avait jamais vue auparavant, elle invite son amant à poursuivre les ébats dans le lit conjugal.
- Je vois ça, tu étais à point. Et tu en as perverti beaucoup d’autres, des femmes mariées comme moi?
- Si tu veux tout savoir, tu es ma troisième.
- Tu ne crois pas qu’il est grand temps de t’occuper de ta troisième victime? j’ai encore envie de sentir ta grosse bite dans ma chatte.

Son regard se fixa sur sa vulve dont les lèvres ouvertes laissaient voir l’entrée béante de son orifice vaginal. Il s’exécutait et enfouit bientôt la langue dans une grotte ruisselante. Il essayait de coordonner ses efforts avec les secousses de l’amant qui travaillait l’arrière-train, il trouvait la solution en laissant sa langue aller et venir au gré des mouvements du bassin de leur chérie commune. Il éprouvait un plaisir masochiste en léchant le sexe ouvert, il avait aussi l’anus pourfendu à quelques centimètres de son visage, il voyait la queue conquérir cet orifice tandis que les bourses venaient battre sur les fesses et sur son visage. Tous ses sens travaillaient contre lui, le toucher de la peau des cuisses, l’odeur et le goût de l’accouplement anal, la vue du sexe de son ami pourfendant les reins de sa chérie. Tandis qu´il lapait le jus de son plaisir à dire vrai au goût indéfinissable puisqu’il coulait de son sexe et de son anus, Adélia frottait sa fente sur son visage. Il l’était difficile de décrire ce qu´il ressentait à ce moment précis, comment qualifier une extrême excitation dans sa décadence jubilatoire.
Fred le mari servit l’apéritif, puis le repas tandis qu’ils discutaient, riaient, se touchaient… Il avait bien vite remarqué qu’elle ne portait pas de culotte et jouait de temps en temps à lui caresser la chatte. Elle écartait alors les jambes, et ainsi exposée impudiquement, elle le laissait lui doigter la chatte ou lui caresser le clito en lui regardant droit dans les yeux. Parfois elle se demandait :


- Tu aimes le spectacle, cocu?
- Tu as vu sa bite?
- Oui.
- Et?
- Super...
- Elle est… Grosse.
- Plus grosse que la tienne, cocu!
- Oui, bien plus grosse…
- Et dure avec ça : il ne bande pas mou comme toi!
- Oui, elle a l’air dure.
- Viens toucher à quel point elle est dure!

Il marquait un temps d’arrêt, mais elle lui regarda sévèrement et il dois bien dire que, quelque part, l’idée l’excitait. Fred s’approchai donc, et sa femme prit ma main dans la sienne pour ensuite venir la poser sur sa bite. Je tenais une bite en main, avec la main de sa femme sur la sienne, et elle commença à lui faire branler cette queue si bandée.

- Alors, elle est dure?
- Oh oui, elle est dure…
- Continue! Branle-la, cette grosse bite!


Elle relâcha la pression sur ma main et je me mis à branler cet homme, à genoux devant lui, sous leurs regards à tous les deux… Lui, il continuait de branler la chatte de sa femme, qui vint poser ses mains sur sa tête et lui poussa doucement vers cette bite. Il comprit qu’il n’y avait pas le choix…

- Tu vas le sucer un peu; je suis sûre que tu vas adorer ça, et moi ça va beaucoup m’exciter.

Elle lui força ainsi, sans vraiment forcer finalement, et sa bouche s’ouvrit pour prendre ce gland. Fred le suçait doucement, puis s’enhardis et se mit à sucer sa bite plus goulûment, en alternance avec des moments où il la léchait sur toute la longueur et se frottais un peu le visage avec. Lui, il soupirait d’aise; quant à elle, elle lui regardait avec de grands yeux pétillants d’excitation tout en lui répétant des mots cochons: “ Suce bien, chéri… Tu es faite pour ça : sucer des bites. Je t’en donnerai d’autres. Allez, suce! Prends-le bien en bouche… On dirait que tu as fait ça toute ta vie, petite pute. Branle-le en même temps… Oui, comme ça… Mange bien sa bite, pervers! “
Après quelques minutes, ma femme se mit à branler rapidement la bite de son amant tandis que sa bouche restait sur son gland pour le pomper. Il eut juste le temps de retirer sa bouche quand il sentit sa queue se mettre à exploser et arroser son ventre: il jouissait abondamment, grâce à sa bouche, tandis que sa femme en riait et lui traitait de « bonne pompeuse de queue ».
Puis, elle l’emmena alors dans la chambre et ferma la porte devant lui. L´époux restait ainsi derrière la porte pour les écouter rire et se remettre à se caresser. Puis, plus tard, il écoutait les cris de sa femme en train de se faire baiser, et je la vis même par le trou de serrure. Elle criait, jouissait, criait encore, des « Ooooh, quelle grosse bite ! Ramone-moi bien, défonce-moi la chatte… » Il savais qu’elle se doutait qu´il voyait et entendais, alors elle en rajoutait pour moi: « Ta bite est si grosse… Jamais mon mari ne me baiserait comme ça… Fais-le bien cocu, ce suceur de bites ! »
- Allez, nettoie-moi bien la chatte, cocu! Nettoie cette chatte qui s’est fait mettre, nettoie tout ce foutre, mets ta langue partout où il a mis sa bite!
Ce qu´il fit. Il léchait sa chatte lorsque il sentit derrière lui une main sur ses fesses… Puis les draps se relevèrent derrière lui. Il sentit quelque chose de froid et liquide couler sur son anus. Allait-il… Se pouvait-il qu’il… soit en train d’huiler mon anus? Rapidement, il sentit son gland contre son anus. Ma femme me demanda solennellement:
- Après, c’est moi qui vais t’enculer, dit cette voix qu´il connait si bien.
- Chéri, tu veux bien que Jean t’encule? Tu peux refuser ; mais à ce moment-là, il a dit qu’il prendrait mon cul à la place. Ce n’est pas ce que tu veux, ce que nous voulons, non?
- Non, chérie. Mais bon; pour toi, alors…

Après cette approbation, le mari sentit son gland de l´amant de son épouse pousser et l’ouvrir les fesses. Il se glissa profondément en lui, lentement, avec de petits aller et retours pour s’habituer. Ça y était: il était la dernière des putes, léchant le sperme de l’amant de sa femme à même sa chatte tandis que l’amant en question l’enculait et allait et venait dans son petit cul… Pendant que il nettoie la seconde bite, il lui ramone et lui traite de pute, de salope, de garage à bites… Il jouit soudain au fond de son cul; ele sentit les flots de sperme lui remplir alors qu´il léchait de plus belle sa femme et qu’elle jouissait aussi. Il commente mon cul, disant qu’il est bien petit, comme celui de sa femme, mais bien plus ouvert… Après s’être détendu je suis allé aux urinoirs. Puis un homme est venu s’installer à côté de lui, ce qui l’a surpris car il y avait d’autres places.
La réponse risque être plus choquant que tout ce qu on peut imaginer ou était une question de sexe et aussi l´argent.
La Police soupçonne qu´il y avait une autre personne implique à la mort du pilot d´avion. Elle avait trouvé du réconfort dans les bras d´un ouvrier qui travaillait dans la maison du couple. La Police decide qu´il est grand temps d´interroger Juca Almeida au sujet de la mort de son ex-patron. C´est devenu clair que l´argent était le sujet de discorde entre le couple. L´hypothèse d´une éxecution s effondre. Les enquêteurs vont alors se recentrer sur les derniers personnes à avoir vu Fred a son arrivée a sa maison. Puis, la disparition de Fred Vasconselos as femme dépense sans compter. Elle fait le tour des boutiques il y a une fête avec nombreux adolescents l´alcool et drogue coule à flots avec 50 personnes. C´est une chose qu´intrigue les policiers. Dans une maison abandonnée La Police allait retrouver ce corps d´un homme appelé Fred Vasconselos de 42 ans tué d´une balle dans la tetê. La maison ils vendent chacun en poche près de cent vingt mille euros Ils devienent habitués d´une boîte de nuit de la côté et avec sa belle maîtresse il ne passe pas inaperçu. C´est un couple assez sulfureux. Elle était une femme qui n´était pas insensible aux charmes des hommes, vrai qu´à se faisait draguer. La Police est convaincu que c´est elle qui a organisé ce guet-apens.
Un de ses amis avait parlé que Fred allait se divorcer de son épouse. Pour faute dire ce que ça signifique pour elle qu´elle perd tout. C´est ce précipice. Pas de pension alimentaire. C´était le précipice du point de vue personnel. Adélia aurait donc manipuler son amant Juca Almeida pour préserver ses interesses.

- J´ai rien à gagner pour tuer Fred.

En réel son mari ne voulait se séparer d´elle. La famille de Fred voulait as prison pour comportement amoral de la veuve et besoin de recupérer de l´argent. La justice decide finalement que Adélia Vasconselos será jugée aux cotes de son amant pour l´assasinât de son mari. Ils encourent tous les deux la prison à perpétuité. Em 2012 la cour d´assises,
Le chuintement des portes vitrées automatiques la fit sursauter, et aussitôt après le froid lui mordit le visage. Elle se sentait épuisée, mais sortir à l’extérieur pour la première fois depuis une dizaine d’heures la réveilla un peu. Elle s’arrêta pour mettre ses gants et remonter le col de son long manteau beige, avant de s’engager sur le parking. Après seulement quelques pas, elle fut comme les nuits précédentes saisie d’une angoisse. A part vingt à vingt-cinq voitures garées devant elle. Adélia comparaît libre et semble confiante. Là, elle stoppa net. La porte n’était pas correctement fermée. Et jamais elle n’aurait commis cette erreur. Ses “ fantômes ” lui interdisaient ce genre de négligence. Il fallait prendre une décision, et vite. Elle s’approcha de la vitre arrière et jeta un œil à l’intérieur. La banquette était vide, mais il faisait sombre, et il était difficile de dire si l’espace entre les sièges l’était également. Il n’y avait qu’une chose à faire: entrouvrir la portière pour que le plafonnier éclaire l’habitacle. Elle s’attendait à tout instant à ce qu’une main la saisisse ou à ce que quelqu’un surgisse derrière elle. Elle avait l’impression d’être la seule survivante d’une catastrophe nucléaire.
Elle est allé au procès três décontracté pour le procès de la personne qui a tué son mari. Pour la famille Adélia est considere le Diable. Elle avait plusieurs amants qui defilent tous les jours pendant cinq jours. Dans um moment l´accusée qui baisse la tetê qui regarde ses pieds qui demande pardon, c´est donc facile à juger à l´issue dês débats. L´avocat general requiert 22 ans de prison contre Adelia Vasconselos mertrière intelectuelle. Le juge a donné 25 ans contre Juca Almeida son bras armé. La sentence tombe pour l´assassinât de Fred Vasconselos. Son épouse est condamné à 22 ans de prison et 25 ans celle de son amant. Elle ne comprend pas. Après avoir passe 7 ans derrière lês barreaux, elle a été remise en liberté.

Fin
Ivan Ribeiro Lagos
teresinapr@hotmal.com.



Cette histoire est la propriété de son auteur : ne la copiez pas pour l'afficher sur un site autre qu'histoire-erotique.net

Ajoutez un commentaire pour cette histoire erotique:


Pseudo (*):


       Votre commentaire sur cette histoire(*):




Les champs marqués d'une étoile (*) sont indispensables.



Envie de voir vos écrits publiés?


Histoire-erotique.net vous donne la possibilité de les faire partager !

Pour cela, rien de plus simple : rendez-vous sur le formulaire pour envoyer votre histoire érotique!

A vos plumes !


Envie de laisser un commentaire sur le site? Une idée d'amélioration?

Faites le sur notre livre d'or !