Il n'y a pas de commentaire pour cette histoire
Cette histoire érotique a été lue 1488 fois |
Cette histoire erotique a une note de : 10/20
Noter ce récit erotique !
Un homme bien viril
Je suis Corinne, j'avais à cette époque, 19 ans, un très beau cul, pour 177 cm une poitrine 85A, châtain cheveu court.
Roland, un collègue de mère, après avoir obtenu sa mutation dans le midi. Comme il avait vendu son appartement, il se trouvait sans rien, à leur ma mère lui a proposé de les bergers pour 1 mois. Roland c'est un homme de 36 ans divorcé, 190 cm muscle cheveux noir les yeux marron mes belle homme. il a fallu ce matin-là chercher mon sac à main dans ma chambre, et en passant devant la chambre de Roland, j'entends quelque chose qui va suivre. Je m'arrête et cela recommence. La porte de la chambre était un peu entrouverte, avec le reflet de la glace attaché au mur. Je vois Roland allongé sur son lit, draps et couvertures sur le côté du lit, en train de lire un livre, l'autre main elle était occupée. Sur un membre de 23 cm environ et une largeur de 4 cm. Un sexe énorme, long, épais ; et un gros gland. Je restai rivé sur son membre. Instinctivement, j'ai serré mes cuisses car je me sentais mouiller. Quand j'ai vu jaillir les jets de sperme qui se trouvaient étalé sur son ventre et jusqu'à en haut de sa poitrine, je sens toute chose. Je suis redescendu sur la pointe des pieds.
Le samedi matin comme j'étais en repos, j'ai préparé le petit déjeuner de Roland, mais avant de lui servir le petit déjeuner au lit,j'ai passé une nuisette légère, assez courte qui n'arrive pas aux fesses et surtout très bien décolleté, avec un stings a ficelle qui cache rien du tout. Je fais en sorte que l'échancrure laisse apercevoir mes petits seins et les tétons qui pointent déjà. Je viens d'entrer sans frapper, sans pour autant rebrousser chemin. J'approche en souriant. Il était pétrifié. Il à tenter maladroitement de cacher son sexe avec le bout du drap. Je lui ai dit d'un air câlin :
Il ne faut rien cacher j'ai l'habitude de voir des queues Roland. A l'âge que ta et surtout quand on ma personne dans la vie, il faut bien se soulager de temps en temps c'est normal.Je suis assis sur le bord de son lit. Je me penchai alors pour déposer le plateau sur le lit, faisant en sorte que mes petits seins ne puissent échapper à son regard. Je lui tendis sa tasse en disant :
Prends ton petit déjeuner le temps qu'il et chaud. J'ai profité qu'il ait les mains occupées pour retirer le drap qui se cache en dessous et faire qui sa m'intéresser. Mais ma préoccupation c'était son sexe emorme. Il avait perdu un peu sa rigidité. Il reposait sur son ventre, mais sa taille était encore impressionnante. L'extrémité dépassait son nombril. Je posai la main dessus en appuyant mon index à l'endroit plus sensible. Je lui dit :
Qui Il est beau ton mandrin.Déjà je le sentais se raidir. En le regardant dans les yeux, je lui demandai :
Tu veux que Jean m'en occupe ton mandrin.Et en même temps mes doigts empoignent sa queue. Doucement, j'étais en train de décalotter. Je sentais sa queue durcir et allonger. De ma main libre, je lui pris la tasse des mains et la reposais sur le plateau. En prenant sa main libre, je les posais sur mes seins et je lui dis tendrement :Caresse-moi aussi.J'ai enlevé ma nuisette, j'étais nue devant lui. Sa bite était dressée, bien raide, avec un gros. gland, violacé, prêt à exploser. J'étais bien loin de pouvoir entourer sa tige, mais je serais et je me mis à amorcer les va-et-vient. En me penchant, je plaquais mes lèvres sur les siennes. Je m'aperçus tout de suite qu'il était un expert. Je me mis debout près du lit et sa main entre mes cuisses. J'étais ruisselante de mouille. Je me penchai sur sa bite, et je commençai à parcourir avec ma langue lèche sa queue plusieurs fois, sur toute sa longueur avant d'engloutir son gland dans ma bouche. J'essayai d'en prendre le plus possible, mais à peine en avais-je absorbé la moitié que la grosseur me tendait les lèvres, je le sentis encore grossir ; le désir de le sentir me remplir la chatte fut le plus fort. J'en avais trop envie, je ne pouvais plus attendre. Je me redressais, mes genoux à l'extérieur des siens. Je passai la main entre mes cuisses, et je guiderai moi-même son gland à l'entrée de ma chatte, et lentement je me laissai descendre dessus. A oui ... Oui ...Oui ... Ah quelle sensation d'avoir un mandrin comme ça qui rentre dans ma chatte. Aoui ...oui ... mes parents devaient m'entendre crier oui ...oui ... Leur chambre était juste à côté de la selle de Roland.A mesure que la pénétration devenait plus profonde. Je pensais que cela n'en finirait jamais, mais il y eut ce contact au fond de mon vagin., Il avait pris mes petits seins à pleines mains et les pressait. D'un mouvement brusque, il se retira de moi avant que je puisse réagir. J'ai vu jaillir une quantité de sperme qui est retombée sur son torse et sur son ventre.Je lui pris les lèvres et, passant ma main entre nos corps, j'ai étalé tout son sperme sur mes seins, mon ventre, mon pubis ; je restai un bon moment allongée sur lui, nos corps collés l'un à l'autre par son foutre. Je lui dis à l'oreille : jure moi que tu vas mourir encore ma chatte. Il me jura en me serrant fort contre lui. Déjà je pouvais sentir sa bite énorme s'appuyer au creux de mon ventre, il commençait à bander. En me levant, je le pris par la main comme si j'avais peur de le perdre, je venais fou de ce membre, je voulais le sentir bouger en moi longuement, mais aussi pouvoir sentir ses jets puissants et abondants se répandre en moi. Je suis allongé à côté de lui en lui tendant les bras, toute ouverte, jambes écartées, relevant mes genoux. En lui disant viens mon chéri viens mettre ton gros membre dans ma chemin je veux le sentir encore, il s'approcha de ma fente, s'appuyer, puis le sentir se frayer son passage, en repoussant les parois de ma chatte. Mais il poussa d'un seul coup, et vint cogner au fond de moi en tapant sur mon uterus. J'ai poussé un grand cri. mes parents devraient entendre prendre du plaisir. Il me donne des coups puissants. Les orgasmes se succédaient en s'intensifiant. Aoui ... oui ....encore ... je vais jouir .... oui ...oui ... je ..jouir, des grosse giclées de sperme à jaillir au fond de de mon vagin. Ma jouissance est si forte et heureuse d'avoir jouir comme çà. Quand je revins à la réalité, il s'était retiré de moi et sa verge était appuyée contre mon pubis et mon ventre ; je le caressais doucement. Il se pencha vers moi et m'embrassa. J'enroule ma langue autour de la sienne en le serrant très fort entre mes bras, je lui ai fait renouveler son serment :Tu vas voir, tu va me refaire l'amour, tu c'est donner du plaisir à une femme.Mais il fallait que j'aille faire un petit brin de toilette j'avais du sperme partout car je sentais couler le sperme le long de mes cuisses. En revenant, je le trouvai allongé sur le lit, je rampais sur lui et je me plaçais en position de soixante-neuf. Ma bouche s'empare de sa bite au repos. plein de sperme mélangé avec ma jouissance J'en profitais pour en prendre le maximum en léchant sa queue avec ma langue; j'avais placé ma chatte bien laver sur son visage. Il a vite trouvé mes points sensibles, mais j'étais heureuse. Je sentais sa bite se redresser sous mes coups de langue, je me promettais de lui apprendre à me lécher. Encore une fois je ne pouvais attendre plus longtemps, j'avais tellement envie qu'il me prenne en levrette. Ça a toujours été ma position préférée. Je me suis mis en position à même la moquette. Il s'est agenouillé entre mes jambes. Cette fois je le sentis glisser très lentement jusqu'aux tréfonds de mon vagin. Ah, c'était divin cette sensation de pénétration totale. Ses mains étreignent mes hanches avec force, tirant ma croupe vers lui en même temps qu'il s'enfonçait d'un coup de rein puissant. A chaque pénétration, j'étais traversée par la jouissance. Lorsque son gland venait presser mon utérus, je croyais défaillir. J'avais des orgasmes puissants, mais il me faisait plaisir, il savait alterner les va-et-vient, sachant ralentir quand les feulements se faisaient trop aigus. En poussant un grognement, il a encore rempli la chatte de son sperme brûlant. Il s'affaissa sur mon dos et l'on resta ainsi un moment avant que sa bite ne glisse d'elle-même hors de ma chatte. Nous étions tous deux collé par le plaisir et la jouissance.
C'est à ce moment-là qu'il me parla de lui. J'apprends ainsi que son travail lui prenait beaucoup trop de temps et qu'il ne sortait pas beaucoup. Il n'avait pas eu beaucoup de contacts avec les femme. Il m'avoua avoir plusieurs fois été avec des prostituées, mais il me disait aussi :
Corinne t'es une cheinne pour ton âge et comment tu fait l'amour, tu aime cà tes une grosse salope.Il me dit aussi t'es comme ta mère, elle aime ca aussi, je les saute plusieurs fois au bureau dans la voiture ou à l'hôtel. On peut se vider au fond de votre chatte ou votre bouche sans mettre de préservatif. Tout en parlant encore, je l'avais amené dans la salle de bains, jetai assis sur le bord de la baignoire, me lavant l'entrecuisse qui en avait sacrément besoin. Lorsque je relevais la tête, il était devant moi, tenant son sexe à nouveau en érection près de mes lèvres. Il me dit en passant une main dans mes cheveux :Suce moi encore Corinne, j'en ai encore envie.
Je me suis mise à le pomper, assise sur le rebord de la baignoire. Je serrais le bas de sa tige d'une main, et de l'autre je lui caressais ses belles bourses. Il avançait toujours plus son bassin pour que je le prenne plus profondément, mais déjà son gland était au fond de ma gorge. Il me tenait la tête à deux mains. C'est alors que j'ai eu le désir de le faire jouir dans ma bouche, il le restent de son sperme et venu atterri sur mon visage de lui montrer que j'aimais vraiment sa grosse queue qui savait si bien me faire jouir. J'avais pas vu mes parents, il s'était entrain de me regarder comment, j'ai sucé cette belle queue et ma mère ete tenez de voir tout le sperme que j'avais sur le visage et dans la bouche que j'allais avaler. Elle m'a fait un sourire en disant au bout des lèvres c'est bien ma pute. Après une bonne toilette moi et Roland main dans la main on est descendu au salon tout nu, de toute façon mes parent était tout nu aussi. On a repris un café que ma mère avait préparé. ma mère commence à préparer le repas du midi, là son portable sonne.oui maman ton père va pas trop bien, tu peux venir ma cherie oui dans une heure serai à la maison. 10 minute après ma mère prit la route pour voir ses parents.J'étais avec avec père et roland, le repas de midi se passe bien au bord de la piscine, je débarrasse la table, j'étais entrain lave un plat qui passe dans la vaisselle.Roland viens me voir, et se colle dans mon dos et me caresse les seins avec ces mains, a leur ma chérie t'en veux un coup dans le cul, regarde elle grossit entre des cuisses pas là temp ce soir. Non ma chérie il me cambre vers l'avant, et avec son pied me fait écarter les jambes. il prend sa queue dans main et dirige son gland à l'entrée de la ma chatte, je commence a mouiller, oui mes la dedans, et il me fourne d'un trait dedans, a oui ...oui salaud elle est grosse; et la mon pere rentre dans la cuisine, et dit à Roland mais là dans son cul, il écoute mon père et me dit viens pas là je vais un petit lavement.Il m'entraîne sur le bord de la pelouse j'étais debout, il n'enfonce le tuyaux de l'arrosage dans le cul plusieur fois une que c'est propre, il me met en levrette les main sur la table basse du jardin, et sans aménagement il me l'enfonce d'un trait dans mon cul Oh putain elle et grosse tu va me déchiré le cul salaud, il me faille par que les voisin n'attende, Roland dit a mon père fout lui ta bite de 23 cm dans sa gueule elle va terre, aussitôt j'ai reçu la queue de mon père dans la bouche, il agitaient sa bite dans ma bouche, et à sa respiration saccadée, je sus qu'il allait très vite éjaculer. J'accentue mes succions, en creusant les joues, putain il n'envoyé une décharge de sperme dans la bouche et Roland dit avale tous salope que j'ai fait. Lui me bourrer toujours le cul avec sa queue Aoui … oui...je commence à gueule mon père me refout sa queue la bouche et me dit metoié là que j'ai fait, mes Roland me bout toujours le cul et il redit, il n'envoie une quantité de sperme dans mon cul a coupé le souffle, il m'a laissé sur le carré c'est deux là, putain je me suis envoyé avec plusieurs mes pas comme çà. Roland m'a interdit de faire un brin de toilette. J'étais allongé sur le transat, la sonnette de la maison retentit, je vais ouvrir tout nu comme d'habitude. Et en ouvrant la porte, c'était mon parrain Paul, il me serre dans ces bras et me dit putain, tu put le sperme, ta encore fait la pute, oui parrain je viens d'être remplir, par un ami de maman, il ta défoncé le cul oui ... oui .... oui .. il est là oui parrain; il va sur la terrasse, il voit Roland bonjour, Roland, bonjour Paul. Vous vous connaissez bien oui on a fait les sans coup ensemble avec ton père, si je comprends vous pouvez être mon père oui, Après toussa, je me suis reposée dans le transat. Bon je regarde la pendule dans le salon 18 h et j'en temps une voiture arrivé, voilà maman, je cours vers elle, elle me fait un gros bisous comment vas tu ma chérie, très bien maman, tu sens fort ma chérie oui maman il ma encore baiser mais il m'interdit de me laver en plus parrain et là. Ma mère lui dit bonjour à Paul et Paul lui dit dans le trou de l'oreille à leur ta u ta ration par trop mal au cul maman lui fait un sourire mon père a rien vu. On se retrouve tous les cinq à table tout le monde été a poil les homme bander dure. Je vois maman a pare et je lui demande si mon parrain l'avait sauté cet après midi, elle me dit oui, on c'est croisé sur la route et puis il avait un petit bois, il m'a sauté sur le capot de la voiture et on été surpris pas de jeune homme de 21 ans, il m'a donné au jeunes il mon bien remplir, je dit salaud.Il est 7h30 on passe tous les cinq à table et le vin qui coule pendant le repas est un peu la fête. Je met un peu de musique et j'invite Roland a danser c'est se balade sur mon corps après autour de mon parrain lui me met la main dans la raie des fesses, et 10 minute après c'est autour de mon père ????? mon reste sage il me fait un gros bisou dans le cou, je redanse avec Roland et je le chaud je lui une pelle de maison a ma Facon, mon parrain vient collé derrière moi, ma mère danse avec mon père et sa se frotter l'un contre l'autre, ma ferme les baie et base les volet, j'ai tout compris on c'est mis à genou les bite dans la bouche, on leur taille des pipes une après l'autre après on été en levrette les mains sur la table la n'a sentir les bites de 23 cm entrer une après l'autre dans nos chatte il nous limer, on sucé une bite entre deux. Paul voulez me voir jouir Roland accélérée ces va et vient oui… oui …. oui ….. encore décharge tout dedans Oui oui oui putain il n'envoyé encore une déchargé de sperme dans la chatte et ma mère été entrain jouir encore encore mon père lui remplir aussi la chatte mes resté Paul on suce sa queue chaqu'un nos tour il se recule un peut il se branle il nous envoyé des gicle de sperme sur notre visage, j'ai regarder ma mère je lui metoié son visage avec ma langue elle a fait autent sur moi, après ces couche sans passé a la salle de bain. J'étais me coucher dans le même lit de Roland, et Paul et repartir chez lui avec le sourire. A 6h du matin le réveil sonne, je ne te temp et Roland fait comme moi, je levé le drap putain tu bande encore, il me rente deux doigt dans la chatte putain salope du mouille, je lui dit vient sur saute moi et en 10 minute il me remplir la chatte de sperme, des bien graisse Corinne pour la journe.On je file à la douche tous les deux Maintenant, il faut redevenir sage pour la journée.
Le soir quand il rentre, il me saute le matin aussi. Pendant tout le mois qui été a la maison j'ai reçu des kilomètre de queue dans les deux tours, et ma mère a reçu aussi des cour de queue. Quand il est parti de la maison j'étais triste, mais on va se retrouver il m'a invité dans nouvel appartement dans le midi. Corinne
Cette histoire est la propriété de son auteur : ne la copiez pas pour l'afficher sur un site autre qu'histoire-erotique.net
Ajoutez un commentaire pour cette histoire erotique:
Total :
3054 
Ecrit par cori
Parue le 27 juin 2021
