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Le ciel... C´est le limite

Ecrit par Ivan
Parue le 20 08 2021
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Cette histoire érotique a été lue 681 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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Le ciel... C´est le limite

Préface

L´histoire d´un homme plutôt bel que devient riche à millions à seulement 27 ans et plus fou c´est que tout. Ce sont des criminels d´un nouveau genre. Cocaïne escorte girl et fait des mesures est derrière cette vie de débauche et ses milhões de dollars amasseés José Stemberg incarne face sombre d´un revê presque impossible. Le dernier gros chef du trafic de drogue du Brésil d´une génération de gangster les bandits des années 2.000. Il a passé à brûller des voitures et de commettre des incivilités et son activitée préférée principal est le commerce de cocaïne et contrebande d´armes de feu. Habillé toujours de coutume couleur framboise, toujours a accompagné d´une grosse chaîne en or dont l´épaisseur, était synonyme d´agressivité, le sac à main en cuir et téléphone portable à des appels international, un type dangereux. Un criminel d´une telle envergure ruinée par ces anarques qui les révéle le systhème Jô Stemberg. Il existe une longue tradition littéraire érotique de couples que rapprochent les extrêmes. Reste à savoir qui se cache derrière ces crimes crapiteux. Sauront-ils vraiment demasquer le ou... Les coupables?




1

- J´adore les cemitières, quand je vais en ville je vais les visiter et photographer, dit il.
- Quel est son majeur revê? Demande um journaliste.
- Je vais y ouvrir un cimetière.
-
À 28 ans il possède un yacht, un hélicoptère, un avion lear-jetet il donne des fêtes demesurées. C´était boulot, boulot, boulot, fêtes, fêtes, fêtes. Il vivait à 200% il n´avait pas de demi mesure, sexe, drogue et dollars à gogo. Dès qu´il voyait il est péché, il était toujours sous drogue, c´était fou. La dernière fois vu en public ses yeux sortaient de la tête. Il était toujours sous drogue. Issue d´un millieu modeste qui vas réussir à gagner des centaines de millions dollars sans avoir passé le moindre diplôme avec le trafic de cocaïne de la Colombie aux Etats-Unis et l´europe. Il est un Dieu, un Dieu de la drogue. Jô Stemberg a tendance à oublier un peu vite qu´il a bâti son empire sur une vaste escroquerie. Il était une bonne personne au bon endroit, au bon moment à bonne idée de fraude pour un criminel calculater et sans morale, ni scrupule, um personnage complexe qui sucite l´admiration comme la haine. Jô Stemberg est quelqu´un de très amusant, le véritable portarait admire dans le monde du crime où l´argent est le roi.
C´était un jeudi après-midi et il prenait un verre tout seul em regardant la fenêtre les derniers rayons de solaire dans son bureau, Il alluma un cigarette et voulu poser sur le cendrier sur l´accordoir, mais un mauvais geste l´envoya sur le tapis. Il marmonna quelques jurons bien sentis se leva pour le récupérer, et jugeant le tapis plus confortable, ils s´adossa contre son fauteuil en restant assis par terre, La bouteille vide dans une main son cigarre de l´autre, La nuage de fumée à peine dessipé, les jambes tendus devant lui. Sa voix était exctement à son image glaciale et sentant la mort à des kilomètres. Costume noir impecable, chaussures vernies, une cravatte que devait être aussi empesée que son col, en parfait gangster. Il y avait dans cette physionomie quelque chose d´intelligent que séduisait au premier abord. En somme une espécie de géant, un homme d´appetits formidables . Il contempla l´horloge fixe au mur et sourit. Il crasa sa cigarette et but d´un trait son café pourtant brûlant.
Pendant les fêtes de Noël fin de decembre cinq camions charges de norritures fait une entrée triunphale dans la favela du Vidigal une distribuition assurée par le narcotrafiquant qui mis en scène de leurs vídeos montées en musique. centaines de femmes se précipitent pour recevoir des produits de pemière nécessite qui font cruellement defaut em pleine crise de coronavirus tout sorrisre comme si le narco ne faisait plus peur, comme s´il n´était pas responsable de dizaines de morts au Vidigal. Le cartel de la drogue jour bienfeiteur pour asseoir comme une grand partie de la planète des cents milliers personnes n´ont plus de quoi manger. La crise a mis a nu les défaillances de l´état et le narcotrafiquant en profite dans ce petit village des maisons délabrés en renvoyer chez-eux,lês travailleurs sans aucune aide .

- Le gouvernement nous abandones,, mais Jô Stemberg ne laisse rien manquer aux les habitants du Vidigal parce qu´il est d´ici,
- Mais il est un narcotrafiquant assassin.
- Ce qui a l´argent et du pouvoir il a tout dans la vie. Pour les pauvres il est très généreux, très bon.
- Pour Jô Stamberg tuer une personne est comme si il allumer un cigarette.

Ils sont une proie facile dans les mains du narcotrafiquant. L´état fait distribuition de tomates et des oignos pendant que Jô Stemberg fait distribuition de nourriture basique riz, macaroni, conserves d´huiles, viande et médicament. Le criminel s´approche de la population pour utiliser ses fils dans le commerce de la drogue. Le narcotrafiquant fait une communicaton très éficace dans les réseaux sociaux. Des hommes armés de fusil AK 47 faisent la distribuition de sacs de nourriture à Favela sans que la Police reagisse. C´est la glorie du chef du cartel. Les habitants remercient le boss du cartel il sont des hommes qui met la favela en feu et a sang en pleine expansion en tout le pays.
L’écran de l’ordinateur se couvrit de multiples fenêtres. C’était la seule source de lumière de l’appartement qui était plongé dans l’obscurité en cette heure avancée de la soirée. Jô, casque vissé sur les oreilles, musique à fond pour s’isoler, tapotait frénétiquement sur son clavier. Du code informatique remplissait un éditeur de texte. Dans une autre fenêtre, des lignes défilaient à grande vitesse. Soudainement, un message en rouge surgit. Le regard de Jô fut interpellé par le message d’erreur. Une bardée de jurons mélangeant, partirent d’un coup. Il était en colère. Un message cryptique lui fit comprendre qu’il avait passé près d’une heure sur un problème qui n’était pas encore résolu.

Le retour aux grandes chaleurs avant même le début de l’été est propice au raffermissement de la libido dans leur couple. Cybéle avait une vie sentimentale, plus «?mouvementée?». Une belle blonde de 1m80 de pure beauté. peau claire, c’était l’archétype de la sportive. Grande, poitrine et abdos fermes, des cheveux mi-longs, toujours dans une natte tressée. Mariée avec le bras droit de Jô Stemberg. Libertins assumés, Sans être extravagants, ils aiment pimenter un peu ses jeux.

- Ma chérie, mets-toi à l’aise. Fais comme moi : quitte ton tee-shirt, il fait si chaud !
-?OK, mais je garde mon soutif.
-?Tu as bien tort. Tu as des beaux nichons ; c’est un crime de les laisser emprisonnés ainsi continuellement.
-?Je ne vais tout de même pas me mettre à poil, ici, chez-nous?
-?Pourquoi pas? ?Qui veux-tu qui vienne? Tu aimerais lui faire l’amour avec lui?
-?Tu es sérieux. Son patron, il est beau et m´excite beaucoup l´idée... ?Tu es heureuse de nos petits jeux? lui dit-elle à l’oreille.
-?Oh, bien sûr. Chaque jour je me demande ce que tu vas imaginer pour me surprendre. C’est excitant.
-?Voilà, lui dit-elle… Tu ne vas pas tarder à voir ton fantasme se j’espère que ça te plaira ! En tout cas, moi, je suis toute chose d’y penser réaliser.Je vais te faire plaisir ce soir, mon chéri… Ouvre bien les yeux.

Elle lui demanda si il était d’accord pour la laisser faire ce qu’elle veut, compte tenu qu’en effet, le homme est mignon, et tout à fait charmant. C’est une sorte de défi qui est lancé, Fabiano Alves son epoux ne s’y trompe pas. Cybéle est sublime, elle a enfilé une petite robe blanche légère qui fait ressortir à merveille son bronzage naissant et ses yeux verts. Elle ne met jamais de haut car elle est fière de son corps et de ses seins et comme elle met souvent des hauts décolletés, les marques de bronzage ne sont pas du plus bel effet. Sa longue chevelure blonde tannée par le soleil et l’eau de mer vient parachever ce look des plus naturellement sexy. Elle porte une petite robe sexy à fines bretelles, le dos est nu. Sa tenue exhibait ses seins et ses jambes bronzées. Le corps quasi nu de Cybéle est encore exposé aux yeux du patron de son mari. Mais connaissant le côté voyeur de son époux ça ne devrait pas le gêner plus que ça. Elle s’est déchaînée, folle d’excitation douce et furieuse. Tout en parlant, elle bouge et décroise légèrement ses jambes, lui laissant voir ses cuisses, très haut.

-?Je voulais qu’il se sente vraiment cocu, et je crois que j’ai réussi.
-?Rien d’impossible à réaliser, dès aujourd’hui.
- ?Pas mal, ce fantasme de grosse salope. Dit le mari.
- Tu trouves?
? - J’aimerais bien t’aider à le réaliser.
-?Oui, pourquoi pas, ce serait même encore plus excitant.
- Devant mon mari? Demanda l amant.
- Il est totalement d´accord.
-?Remplis-la, on verra bien, de toute façon, ma femme est une chienne en chaleur, pas une lapine. Et si tu la mets en cloque, j’assumerai et elle aussi. Défonce-la, puisqu’elle te le demande et moi aussi.
- Pardonne-moi de dire ça, Fabiano mais il était plus que temps que je aimerais baiser ta femme.
-?Tu es un gros salaud, tu sais.
- Fais ce qu’elle te demande, vas-y, baise-la, démonte-lui la chatte et remplis-la de puisque c’est ce qu’elle veut foutre.


2


La maison est de plain-pied avec une grande pièce à vivre (salon/salle à manger) dont la grande baie vitrée donne sur une grande terrasse et au loin la piscine et sa cuisine d’été. Il y a aussi une grande cuisine, quatre chambres avec salle de bain individuelle et aussi une salle de jeu qui sert aussi de salle télé/bibliothèque. La maison est, elle aussi, décorée de tableaux représentant pour la plupart des scènes érotiques tirées de la mythologie: Aphrodite d’une beauté sublime. Toute la journée en se baignant avec maillot de bain très mini dont le string moulait ses lèvres intimes. Cybéle passe devant Jô, lui fait un petit sourire accompagné d’une petite caresse de bras et continue vers la table comme si de rien n’était. Elle s’entoure d’une serviette de bain, attrape une cigarette et l’allume. Sans précipitation, l’homme susurre dans l’oreille de la belle blonde des compliments sur sa beauté, son élégance, son parfum.
Il l’embrasse dans le cou et caresse la poitrine sur l’étoffe de la robe. Ce faisant, il provoque une excitation sexuelle auprès de sa partenaire. La nouveauté est lorsqu´elle apporte de la cuisine un seau à champagne et sa bouteille, des amuse-gueules et trois coupes. Le champagne coule dans les verres. Les coupes se choquent. La soirée s’apparente de plus en plus à une soirée normale. La tension tombe, la gentillesse de ses hôtes et le champagne aidant.

- Il faut fêter l’évènement.
-?Wahoo, que tu es belle dans un deux-pièces! Trop belle! (J’ai failli dire, trop bonne.) Dit Jô.
-?Oh, tu dis ça pour me faire plaisir, me répond-elle avec l’air gêné d’une petite fille.
-?Mais non, c’est vrai, tu es splendide. Et son mari?
-?Voyeur comme d’habitude.
- Je vais faire des courses au village. Profitez bien du soleil et prenez votre temps.
-?Je… Je te trouve très jolie.
- ?Moi, je trouve que j’ai de trop grosses fesses.
- Pas du tout. Elles… Elles sont très bien.
La chaleur de la journée fut telle que je crains un peu la tombée du thermomètre en dessous des 26 degrés. Elle se retourne pour voir la grande horloge. Il est 15 h. Jô Stemberg revient quelque temps après, la soirée suit son cours normalement, il lui semble qu´il a remarqué qu’elle est nue sous la robe, mais il ne peut pas l’affirmer à 100%. En tout cas, Cybéle fait tout pour le montrer en évitant soigneusement de ne pas croiser les jambes et même de les écarter un peu. Lui, il a la tête complètement ailleurs en cherchant des idées pour la suite. Et il en trouvait une rapidement.
Elle commence par retirer le haut, laissant pointer fièrement son 90C, ses tétons pointent, sûrement à cause de l’air qui vient de la fenêtre ouverte et qui caresse tendrement ses mamelons. Les mêmes cheveux blonds soyeux, la même intensité du regard et les mêmes lèvres pulpeuses. Puis, elle enlève sa culotte en se penchant en avant. Elle lui montre sans le savoir ses belles fesses et les lèvres de son sexe complètement épilé. “Ça y est, je bande franchement dans mon caleçon, je n’ai qu’une envie, c’est que son sexe chaud et humide vienne enserrer mon sexe turgescent et dur qui n’a qu’une seule envie, sortir de mon caleçon“. La femme plonge sa main dans la braguette; saisit le membre et le masturbe en le serrant fort.

-?Vous me trouvez désirable?
-?Euh… Oui. Vous êtes ensorcelante.
-?Nous pouvons faire l’amour si vous voulez.Tu sais, du moment que tu me rends heureuse avec sa présence, le fric, c’est secondaire…
- ?Ah, que c’est bon de te remplir! On est si bien en toi!
- ?T’es qu’un gros cochon!?Quoi? Tu veux me baiser? Tu veux planter ta queue en moi.
-?Je suis très flatté par votre proposition mais… Et votre mari ? Votre mari a apprécié? Il est au courant?
- Je précise qu’il ne participera pas. Il ne fera que regarder.
-?Tu le sais très bien. Des centaines d’hommes paieront une fortune pour passer une heure avec toi. Ils seront même capables de faire la queue pour payer d’avance.
- Tous les hommes qui m’approchent ont tendance à me considérer comme un objet sexuel.
- ?Et toi, ma grosse cochonne! Mon adorable grosse cochonne! Et une sacrée salope!
- C’est ça, plains-toi!
-? J’ai envie de toi, lui chuchote-t-il.
- Prends-moi. Oh oui, prends-moi…?J’ai envie de toi maintenant, tout de suite.
- Est-ce que tu as des tabous ? Des trucs que tu n’aimes pas faire?
- ?Non aucun. Mais prends moi dans tes bras d’abord.

Excités par ce premier échange sensuel... Ils dirigent vers le lieu de luxure avec l’objectif de vivre des instants de trouble et de volupté Avec un rythme soutenu, la queue de notre hôte entre profondément dans le sexe béant de Cybéle et le ventre de Jô claque en cadence contre les fesses d’elle.

-?Oh ! gémit une voie féminine, oui, vas-y, humm, humm. Oh!
- T’es bonne, toi. T’es profonde.
- Oh oui, c’est bon.
-?Alors ma princesse, tu as aimé?
- C’est la première fois que j’ai un orgasme.
-?Tu n’as jamais joui avec ton mari ou avec un autre homme?
-?Non.

Elle jouit. Ils n’ont pas vu que le mari les observait. Il jouit à grand flot en elle.

- Tu t’es fait baiser comme une putain sans rien dire, tu exagères. Dis-moi, est-ce que tu me fais cocu?
-?Salaud, tu bandes. Tu vois, ça t’excite. Tu es un cocu voyeur. Il a une grosse bite, je t’avoue que j’étais très excitée en me faisant baiser alors que tu ne le savais pas, répond-elle en lui tournant le dos.
-?Cybéle a fait des merveilles, Tu n’es pas déçu, j’espère??J’ai baisé ta femme, mais elle ne t’a pas trompé puisqu’elle a tout fait devant toi. Dit-il.
-?Elle te plait?
- Oui, elle est magnifique. C’est complètement fou, jamais je me suis senti si bien avec une femme.
-?Tes désirs sont des ordres. Tu peux la baiser quand tu veux.
-?Vieux vicieux, tu veux que je couche avec lui et tu veux regarder te connaissant pour ensuite me visiter le fondement.
-?Tu as tout deviné, dit le mari.
-?Continue comme tu veux, mon amour, tu sais tellement bien maîtriser ce genre de situation!
- Oh! Oui, j´aime quand tu me parles comme ça, tu m´excites. C´est une excellent idée.
-?Elle sent bon le sperme. Allez, bon cocu, tu vas me nettoyer la chatte.

La braguette prête à exploser, ses lèvres et sa langue chaude fouillèrent et burent son intimité, nettoyant le sperme qu’il avait lui-même laissé. Le minou en feu, il sortist son sexe et chevauchait longuement son petit cocu aux anges. Elle respirait son odeur et fermait lês yeux en espèrant que ce moment dure toujours.
Sa femme fit la bise à son amant. Une chose est sûre malgré tout : c’est qu’à chaque fois qu’elle l’en parle il se mets aussitôt à bander; c’est impressionnant…



3

Il est issu d´une famille modeste, Il est née dans la favela du Vidigal. Un endroit violent et pauvre et gerre entre le gangs pour le controle du commerce de drogue. Tous le habintants marqués pour la misère social, peur de fins de mois difficile. Plus d´une adolescence em Vidigal il decide de de déménager. Alors il s´exile, quartier beaucoup plus tranquille de Copacabana au coeur du Rio de Janeiro à bord d´Atlantic. Dès son enfance il éprouve un désir d´ascension a besoin de revanche a ses origines modestes. Il avait un complexe social ce qu´il fait rêver c´est les superbes voitures hors de prix, les grandes femmes blondes mannequim. Il avait toujours le goût pour le luxe mais il est issu d´un millieu modeste. Il avait commencé à vendre des glaces et cigarettes de marijuana dans la plage. Ça marche bien. Il est née pour ça. C´est l´ambition les résultats on peut voir que ça valait pas la peine. José n´a pas le profil criminel, une personne sans dossier. Son revê est avoir une boïte de nuit.
Il est très doué d´ailleurs, ça fonctionné tellement bien d´ailleur embaucher des amis à vendre pour lui. Il a réussi à monter son petit business. À la fin de l´été c´est l´heure de faire les comptes. Puis de deux mois il empoche un incroyable 20 mille dollars dans le commerce de drogue. Il va transporte viande et des fruit de mer congeles deguisé en transport de cocaïne. Très rapidement il explose. Alors ils allait monter son propre affaire en vente de cocaïne. Il n´a pas de personne et l´argent coulera à floc. Au debut il avait un camion, maintenant 26 camions. Il a trouve le moin de vaincre sans complexe d´infériorité. Il allait aacheter une Porsche rouge, mais derrière réussite tapageuse se cachê un defaut majeur. José Stemberg ne pense qu´à l´argent, Ils se manque des lois. Un travail facile et il s´est senti le maître de l´universe. Attiré par son style de vie estravagant, par la promesse d une richesse extrême.
Un camion sort de La Paz en Bolivie avec dix tones de cannabis, énorme quantité de de la drogue le camion a pour destination un entrepôt à Rio de Janeiro. Une dizaine d´hommes est là pour décharger la drogue, parmi eux le mari de Cybéle responsable pour la distribuition. Les trafiquants de tout Rio de Janeiro achetait la drogue de Jô Stemberg. Trois jour plus tard il avait vendu presque toute la marijuana.
Dès les premiers jours, Jô Stemberg a pu remarquer qu´Cybéle, épouse de son bras droit avait, sinon des penchants exhibitionnistes, du moins une propension qu´il apprécie beaucoup à dévoiler ses seins et à croiser les jambes très haut sous ses jupes, ses robes droites et plutôt courtes. Elle porte de façon habituelle des chemisiers largement échancrés sur ses seins nus, qu`elle a, et elle aime visiblement sentir sur elle le regard des hommes. Il avait reste amoureux dès le premier regard. Les affaires de Jô était presque irréaliste.
Cybéle incarnait la douceur et la féminité même, la ronde de
hanches est particulièrement mise en valeur par une taille très fine. Loin de la vision surfaite d`un mannequin. Il L´a vu marcher sur le trttoir au centre ville. La grande classe… Elle était rayonnante et élégante. Il l´est sans idées particulière admirant sa demarche féline ainsi que le balancement de ses hanches affolantes. Elle s´arrête...repart... s´arrête... Repart. Intrigué Jô Stembeerg l´observe, en fait, elle semble suivre ou plutôt filer un homme inconnu qui marche devant elle.... Jô n´avait pas hésité une seule seconde, et il continuait la suivi, afin de voir si elle était accompagné. Il l´est sans idées particulière admirant sa demarche féline ainsi que le balancement de ses hanches affolantes. Elle s´arrête... Repart... S´arrête...
Il peut dire qu´elle était une redoutable marcheuse. Malgré la foule, il avait eu un mal fou à lui garder dans sa ligne de mire, jusqu´a ce qu´il lui perde de vue définitivement. " Où est elle " Il se demandait... En même temps qu´il bande devant ce spectacle dont il a tellement rêvé de vivre. Mais commen ça? Tellement rêvé de vivre. Jamais, il n'aurait pu se douter que la femme belle blonde stricte, à l'allure de sainte
nitouche, quelqu'un qui semblait plutôt rechercher l'anonymat, cachait en fait, une nymphomane. Elle savait que le sexe est beau et envoûtant. Être une belle femme épanouie qui se connaît et assume ses désirs est une source de plaisir immense. Elle sait que c`est une chance. Quelle chance? Mariés depuis beaucoup ans, nous possèdons une énorme maison avec piscine, une vouture et un chien de race. Cybéle appartient à cette categorie de femme qui croit à la vie de couple et l´égalité des sexes. C´est une femme belle et intelligente qui cerne bien la pyschologie mâle de son mari.

- Ma femme m´a demande un cadeau d´anniversairee três Cher. Jee ne sais pas comme la plairer, confesse le mari.
- Elle est une déesse. Quel cadeau qu´elle veut?
- Une Porsche Panamá jaune de 150.000 dollars.
- Je vais l´a donné comme mon cadeau de l´anniversaire.
- Tu es sérieux?
- J´ai jamais été aussi sérieux! Bien Sûr. Evidement...
- Je me sent tellement bête.Elle va adorer son cadeau. Patron, peux-tu nous dire franchement comment tu trouves mon épouse?
- Tue veux dire physiquement?
- Oui,bien sûr.
- Je la trouve plutôt mignonne, pourquoi?

Au recevoir le cadeau flambant de neuve elle confesse à son mari.
- Je n´avais jamais observé son patron comme étant un objet de désir. C´est purement sexuel et pour le moment, ça lui comblait et c´est tout ce qui comptait. Il pouvait être par ailleurs fort son amant, sa
beauté était aussi frappant que sa grandeur.
- Pourquoi? tu veux faire l´amour avec mon patron?
- Eh bien. oui !
- Pourquoi, as-tu tant attendu?
- Je na sais pas... Mais il est beau, três riche, sexy et je le veux, et, je le veux dans moi! Je veux le baiser, vraiment...
- Pour moi, maintenant
- Pour moi, maintenant, faire l´amour signifie rechercher notre plaisir sans tabous, sans réserves. Il faut inventer, créer situations, savoir se renouveller. Il ne faut pas être timide et pourtant et savoir exprimer sans pudeur ses désirs ou exigences dans le respect de l´autre. Il faut aussi savoir donner et partager...

Ces expériences ne sont pas en elles-mêmes extraordinaires, mais en raison de leur totale complicité, elles prirent une toute autre dimension, tout simplement parce qu´ensemble nous n´étions plus nous-mêmes. Cette alchimie lorsqu´elle survient, est magique. Il lui semble que c´est dans le domaine sexuel qu´ils l´avaient merveilleusement accomplie, libres, libertaires et libertins.
Sybéle Alves attire beaucoup les hommes et elle adore le sexe. Il doit en mourir d`envie. Qui plus est, elle n`est pas mal faite. Elle a envie de le provoquer, de lui faire appartiennent, c`est son corps. Elle a le droit d`en disposer, de le montrer à qui bon lui semble. Elle a envie qu`on la regarde, elle avait envie d`être un objet de désir. Elle veut se sentir aimable. Bien sur, les hommes la lorgnent dans la rue, mais ils ne voient que sa surface, son apparence sociale. Elle a envie de plus, elle veut s`exposer, se montrer dans ce qu`elle a de plus intime. Pour elle, ce n`est qu´un jeu. Jô Stemberg le patron de son mari qu´aimait boire des beeres, des cafés bavardant avec lui et sa femme Cybéle que lui plairait
énormement. Elle percevait toujours la présence de lui près d´eux..
Mais dès le premier coup d´oeil, il vit et il avait eu le souffle coupé en découvrant l´immense bâtisse. Son admiration n´avait fait que croître en approchant de l´immense demeure de pierres grises, aux proportions parfaites et aux hautes fenêtres. Alors il entre dans la maison et ragarde l´architecture, des ornements, des admirables peintures murales du hall, des tablaeux accrochés dans l´escalier sculpté dûs sans doute à de grands maîtres. Mais il n´avait pas le temps de s´attarder à contempler toutes ces merveilles, car Cybéle l´attendait. Il est bientôt sous le charme de la bellle blonde, Elle vêtue d´une mini-robe, de talons très aiguilles cliquant sur les sol dallé, elle s´avance altière, ses seins pointus en avant, son magnifique corps svelte, ondulant ne laissant rien négliger de ses somptuosités anatomiques. Et vu la chaleur du moment, elle ne portait rien en dessous. Son décoletté laisse entrevoir deux beaux seins qui l´excitent déjà. Cybéle était très sensuelle et vraiment sexy. Les lumières de l´immeuble s´allumièrent au fur et a mesure que la nuit tombait. Il était stupéfait, plein de scènes défilent dans sa tête. Elle suivit le patron de son mari au regards de velours. Sa courte robe rouge exhibait un corps parfait capable de damner un saint. Elle a aux pieds des escarpins talons três hauts Pous sa surprise totale elle lui baise ardentement sur sa bouche devant son mari.

- Dieu que tu es belle, Cybelle!
- Mercy beaucoup de le cadeau du revê. Je suis désolé de vous avoir réveillé mon Don Juan, dit elle à son époux.
-?Tu as raison, j’en mourrais d’envie, mais le je n’a pas eu le temps de lui sauter.
-?Je vois ça, tu étais à point.






4

Le patron a resté bouche-bée de voir cette femme superbe, qui vient de lui rencontré dans le salon, aussi naturelle et souriant comme si rien s´était passé. Il admirait l´assurance et l´aplomb d´elle. Cybéle avait de la classe, bourgeoise et un caractère fort pouvaient confèrer de seduction à une belle femme. Elle savourait ces instants, voir l´effet que son corps pouduisait sur les hommes qui la regardaient. Elle jubilait surtout de voir des mâles baver sur son image et les méprisant parce qu´ils ne savaient pas contenir leurs envies. L´atmosphère était de plus em plus chaude.

- Laisses toi faire, dit le mari... Allez ma belle, tu n'as pas le choix.
- Tu vas voir, on va bien s'amuser tous les deux.
- Vous me prenez peut-être pour une folle?
- Bravo, je suis ravi de ton audace... En fait, ce qui t’excite, c’est de baiser les femmes des autres, non?
- C’est vrai que ça me plaît. En fait, toutes les femmes sont bonnes à prendre, mais moi je préfère les femmes à partir d’un certain âge, elles ont beaucoup plus d’expérience.
-?Et tu en as perverti beaucoup d’autres, des femmes mariées comme moi?
-?Si tu veux tout savoir, tu es ma troisième.

Chaque mouvement de ses jambes laissait apparaître un peu plus ses jambes magnifiques sous la courte robe qu´elle portait. Tous les trois, à cet instant les avaient compris sans avoir aucune idée de ce quoi ça menera.

- Tu les trouves comment ses jambes petit vicieu...
- Superbes, superbes.
- Et mes pieds ? Qu'en penses-tu de mes pieds? Petit salaud, ils te font bander mes pieds non?

Pour toute réponse l´homme se mit à embrasser et à lécher ses pieds à travers les lanières.

- Ah! mon ami, baise-moi! Tu serais plus que mon amant si tu pensais différemment. J´ai l´impression de vivre en rêve! Sort moi donc cette belle queue avant que tu n'abîmes ton pantalon.

Il commença à jouir, c'est alors qu'un long jet d'un liquide de couleur blanchâtre cracha sur ses pieds. Sans jamais lâcher prise sur la queue elle continuait à couler comme une fontaine. Son sperme se mit à gicler atteignant ses jambes, ses chevilles et bien sûr ses adorables petits pieds..
- Je me régale chérie et toi, tu n'en veux pas?
Cybéle avaít été bien baisée pour le patron de son mari en profitait pour sucer sa vulve encore englué de sperme. Il adore goûter à son miel d'amour et s'en délecter... Il adore sucer habilement son sexe très ouvert et dégoulinante de sperme, en faisant pénétrer sa langue bien profond en elle.
Pour blanchiment de l´argent du trafic de drogue Jô avait bati un édifice de 22 étages au centre du Rio de Janeiro. Comme propriétaire d´immeuble Cybéle Alves, son amante. Dans le sous-sol une boïte de nuit mondaine que s´appelait “Bahamas”. La cathedral du sexe. Dans le jour d´inaurguration Cybèle est la heureuse de la vie avec son amant milliardaire.
Plus tard, ils arrivent dans un des quartiers chauds de la ville. Les voilà dans la superbe Porsche jaune cadeau de son amant. Ils sont devant la boîte de nuit Bahamas. Enfin l´enseigne c´est incrit en rouge, “Bahamas”.
Sous ce nom sont toute plutôt banal se cache le lieu où elle avait connu les plus voluptueuses tentations, les plus sulfureuses débauches, laissant libre cours à la réalisation de ses fantasmes les plus torrides, ils révélant leur nature de libertins sans tabous et sans complexes. Le portier Black l´ouvre la porte, elle lui regarde en souriant, avec ce petit pli au-dessus de sa lèvre qui lui fait craquer à chaque fois. Le portier la regarde, stupéfait. Il l’adresse un sourire en coin. Okkkayyy! La femme est toujours aussi belle: élancée, blonde, de magnifiques yeux verts, de jolis gros seins et de superbe, jambes terminées par des fesses cambrées dont les deux composent un cul à tomber par terre. Le long du mur de gauche trônait un bar, éclairé dans des lumières vives et au-dessus duquel brillait le nom de l’établissement écrit en néon rose vif. La salle commence à se remplir, La piste à jeu de dés était posée au centre de la table haute en verre. Baigné de lumière, le cercle de cuir apparaissait magistral, véritable totem. Le déroula sur le velours carmin de la piste en cuir retourné. Dans le grand salon, des couple assis sur des canapés de velours rouge, s´échange des regards, des femmes se déhanches sous les faisceaux de lumières multicolores. Au bar des hommes seuls sirotent des alcools en observant la clientèle entrer. Elle allait prendre une table au bord de la piste. Le DJ lance de la pop et seuls quelques femmes et deux ou trois hommes dansent près de la platine sans se soucier du reste. Les gens observent encore à cette heure-ci, sirotant leur verre, les tables sont encore disponibles. Ce cercle du plaisir lui donnait chaud.
Les lumières s’éteignirent et des projecteurs s’illuminèrent de façon successive. Ils étaient tous braqués sur le podium. C'est alors que le spectacle débuta. Les rideaux s’ouvrirent et les Danseuses aux plumes rouges apparurent comme par enchantement. Dans la salle plongée dans une partielle obscurité, le public s’exaltait devant les mouvements rythmés des danseuses. Les musiciens mettaient leurs âmes dans chacune des partitions qu’ils suivaient. Ils enflammaient le public, qui avec la mine effarée, observait la parodie divine qui s’offrait à lui. Malgré la musique, le public gardait le silence comme emporté et subjugué par des sirènes hallucinantes.

Déjà, il fut surpris, car elle avait croisé ses jambes bien hautes, découvrant ainsi toute sa cuisse sur le côté, mais en plus… Non, il ne le croyait pas… Il a dû regarder en deux fois pour en être sûr, elle avait enlevé un second bouton sur le haut de sa robe. Elle croise et décroise ses jambes au rythme des gorgées de son breuvage et de son niveau d’excitation qui commence à se faire ressentir. C´était devenu leur petit jeu. Leur plaisir, et ça continue, encore et encore.

Un large sourire qu’elle a déjà commencé à jouer avec le serveur Black. Une dizaine de minutes plus tard, ses regards se sont croisés. Elle était jolie de visage, brune aux cheveux mi-longs, avec des yeux bleu foncé. De taille moyenne, elle avait une poitrine assez importante, des hanches étroites et des jambes plutôt fines aux cuisses et aux mollets bien galbées. Découvert, il l’a souri avant de détourner le regard en saisissant sa coupe pour se donner une contenance. Mais ce qui lui frappa le plus, c’était la qualité des vêtements qu’elle portait… Et le nombre de bijoux! Collier, bagues, bracelets, broche, boucles d’oreilles, tout y était. Un serveur black prépare le champagne.

- ?Alors, ça te plaît? lui fait-il.
- Clairement. Le clima est chaude. Nous allons passer une belle soirée, dit-elle.
- Super... Tu es super belle dans ta robe. J´ai vu plein de mecs n qui n´arrêtent pas de la regarder. Cybéle, ça te plaît l’exhib?
- Arrête flateur. Si tu es jaloux tu se trouves dans l´endroit erroné. Je crois que oui. Cela procure des sensations incroyables.
- Mais tu es une femme mariée.
- Oui, mariée et salope. Oh espèce de obéséde qui a un amant.
- Chérie, tu fais comme tu as envie. Le garand serveur Black musclé La mate avec insistence., il est fascine par ta beauté. Laise-toi faire.
- Maquille-toi, c´est pour toi, ce soir.
- N’est-ce que pour le plaisir des yeux? Donne-moi une champagne, s´il vous plaît. Dit Jô.
- Trinquons à notre succès.
- Il va devenir une anthologie,.
- À vos ordre patron.
- Cybéle, vous êtes magnifique.

Quelques lacunes à combler, elle serait définitivement libertine jusqu’au bout des ongles. une robe en dentelle noire, courte, sans doublure, et sans rien dessous. Elle avait failli lui dire que la robe était vraiment trop indécente, mais elle n’en prit pas le risque, et quand elle avait voulu choisir un soutien-gorge assorti.

5

- Faites-nous la femme fatale, dit Jô Stemberg.
-?Tu veux qu’ils voient mes fesses aussi?
-?Évidemment. Elles sont belles.
- Et… et mon sexe? Tu veux que je leur montre mon minou? Qu’ils voient ça aussi?
- Si ça t´excitera, pourquoi pas.

Applaudissements. Le DJ met de la musique erótico. Émotionnelle. La blonde lui fait quoi, là! Elle était habillée avec une petite robe courte en tissu très fin, presque transparente, boutonnée du haut jusqu’en bas. Les bras et les épaules. Cambrée, le regard ténébreux, elle dégrafait un bouton de la robe, les autres. Elle pose un pied sur une chaise, les exhibant ses bas autofixants. Sous la petite robe rien. La robe vole… La belle amante, seins nus, minou à l’air, en bas et talons, prend une pose provocante… La salle approuve dans le brouhaha. Le DJ remet la musique.

Ils l’applaudissent. Faut reconnaître qu’elle n’a pas chipoté et qu’elle est belle.

- Bravo, super Cybéle! Vous êtes exquise.?T’es incroyable, ma chérie. J’voudrais que ça soit romantique.
- ?Merci Jô.
- Cybéle, je ne suis pas contre un petit trio…?Va libérer tes bas instincts, Ça fait plaisir à entendre. rit-lui. Garce! Fous le camp. Nous allons integrer l´idée du Streep-tease dans son numéro, mais le samedi uniquement. Tu vas essayer deux robes appropriées pour le strip. Habille-toi en conséquence. Les bijoux intimes pénétrants, les parures de seins, les chaînettes qui vont de-ci de-là sur le corps me fascinent.

Les garçons sont intéresses par ses fesses. Alors elle se rabille... La blonde fait le tour des tables avec un geste souriant pour chacun.e. En retour, Elle a beaucoup d’encouragements sympas.

- C’est un spectacle essentiellement sensuel. De l’Art sensuel. Il y a des temples dédiés à la sexualité, personne n’y trouve à redire.
- Ne exagere pas. Tu n’es pas jaloux?
- Pourquoi? Vous êtes trop belles, trop bien dans votre tête. Aimer une femme mariée merveilleuse et avoir une vraie amante, que demander de plus.

La musique d’ambiance feutrée chasse ses affres pour laisser place à la curiosité. Les alcôves vitrées avec ou sans rideaux tirés se succèdent, il y a du monde actif dedans. Des couples matent, d’autres choisissent où entrer. Celle-là, non masquée, stoppe son «?amant?», il a son fantasme devant lui. L’ambiance bascule, une femme, un homme vont explorer le sexe, s’explorer le sexe. Celui-ci semblait très attiré par Cybéle. Les yeux à moitié fermés, elle dansait au milieu de la piste où elle s’était créé un petit espace bien à elle, emplie par la musique assourdissante qui lui faisait oublier tout le reste. Chaque mouvement de bras, chaque balancement de hanches, chaque rotation de son corps la libéraient, lui donnaient l’impression de retrouver ses vingt ans, d’être à nouveau une jeune femme libre et insouciante. Depuis toute petite, elle adorait danser. Dès qu´elle entendait la musique, elle ne pouvait s´empêcher de se mettre à bouger. Ses épaules, son basin, ses jambes commençaient à vibrer. Levant le bras en l´air elle remonta ses cheveux pour laisser cascader autour de son visage, en se déhanchant avec un ardeur redoublé de façon presque suggestive.. Elle se mit à onduler sensuellement sans se rendre compte que sa robe trop courte remontait haut sur ses cuisses rondes à chaque fois qu elle tourbillonait sur elle-même. Le rythme la prennait, et rien ne pouvait plus la retenir.comme ce soir. Elle dansait pour le plaisir de séduire, de sentir que les hommes l´admirait et qu´ils la désirait.

- Quelle danse! Quelle émotion quelle revolte dans vos gestes. Tu as une sensubilité d´écorché vive. Vous êtes fantastique la complimenta gentiment Jô Stemberg.
- Tu m´étonne sur tout les hommes , tu as vu la taille de ses queues, bébé? Je sais bébé que j´ai craque. Je me surprendmoi même.
- De plus, j´aime les femmes mariées excitées qui se dévoilant devant ses maris.
- Nous sommes ici pour ton plaisir, mon amour. Fais-ce dont tu as envie.
- Tu aimes te faire prendre devant ton mari? Felicitation au mari, se moque-t-il.
- Je le sentiment que le caudalisme vous plaît, il aime d´être um cocu concentant, dit elle.
- Vous êtes une femme belle et désirable. Je vais aider le couple. Vous n’avez jamais eu d’amants?
- Non, jamais physiquement.
- Voulez-vous progresser dans la connaissance de votre désir? Est-ce que vous comprennez
- Oui...
- Pensez-vous avoir des penchants exhibitionnistes? Aimez-vous vous montrer à d’autres hommes?
- J´aime beaucoup.
-? Bien sûr, mais vous ne le ferez pas, avait-il ajouté en souriant. Il ne vous est jamais arrivé d’imaginer dans vos fantasmes que vous êtes prise par un parfait inconnu qui profite de vous et vous procure du plaisir ? Un plaisir dément qui vous pousserait à en vouloir plus de votre amant?
-? Oui, j’ai déjà imaginé des scènes de ce type…

Il avait tres envie d´elle. À partir de ça... Il saisit La main d´elle et La plaqua sur sa queue. Cybéle ne l´enleve pas et procéda un massage au travers de son pantalon. Jô bandait comme l´âne. Elle caressait tout as longueur. Cybéle deviant la reine de la nuit réclamée et cortisée par tous les hommes frequentant le Bahamas. Une femme dépravée de la nuit. Celle-ci tirait de sa propre depravation, de ce melange de plaisir et ambition le sentiment de s´approcher de son propre salut.

- Vous savez il y a plaisir beaucoup d´hommes qui aiment voir leur femme dans le bras d´un autre homme, prend du plaisir.
- Et pour une femme, s´abandoner à um autre devant sonpartenaire est une source de plaisir incroyable. Croyez-moi, c´est três fort et ça témoignee d´um amour éciproque incroyable.
- Et ça n’a pas l’air de me déplaire…Tu vas aux toilettes avec le serveur black?
- Où est les toilettes?
- C´est derriière la porte juste derrière vous.


Terriblement excitée par la situation, Elle aime les hommes, tous les hommes, violemment, sans retenue, elle aime les hommes et elle les prend. Cybéle se lève et, d’une allure contrôlée, se rend aux toilettes. Sa démarche est lente, celle un mannequin qui défile. Ses hanches tanguaient bien malgré elle et elle imaginait le spectacle de ses fesses roulant pour ses voyeurs, cambrées à l’extrême par ses talons aiguilles. Venait parfaire le tableau d’une libertine dépravée... Cybéle est belle. Elle le sait. Elle aime ses fesses fermes et de ses seins assez g´néreux pour remplir sa délicate main lors qu´ll se caresse. Mais cela ne lui suffit plus. Elle ne veut plus être belle, elle veut plus être belle, elle veut être irrésistible. Elle veut être la legende. Y-a-t-il un moyen pour la legende soie vraie? Elle étudie longuement la vie des hommes et femmes jugées irrésistibles: Hélene de Troie, Cléopâtre, Diane de Potiers, Don Juan, Casanova. Elle cherche des índices de surnaturels dans leur biographie.
Des regards se posent sur elle. Elle est vraiment belle en mode provocation. L’excitation était telle qu’elle pouvait sentir pour la première fois son jus mouiller l’intérieur de ses cuisses. Elle pria pour que cela ne se voie pas. Elle était folle d’excitation, ruisselant littéralement. Elle marche jusqu’à la cabinet de manière très aguicheuse, en laissant ostensiblement la porte ouverte. Elle attend quelques instants avant de la rejoindre. Dans ses odeurs alcalines de pissotière, des effluves d’after-shave surnagent de manière entêtante. C’est plutôt agréable comme contraste. Ce fut le serveur black qui se montra le plus entreprenant en la faisant mettre à quatre pattes sur le carrelage pour la pénétrer avec un sexe vraiment démesurément long bien 22 cm, mais surtout très épais.
Elle était de retour à la table. Un jouet extraordinaire qui la fit encore partir dans une jouissance folle… Inoubliable. Il y a comme une flaque de sperme à ses pieds. Elle remarque des filets de sperme qui dégouline sur ses cuisses. Cette odeur de sexe lui remplit de joie et de bonheur. Elle avait aimé le serveur Black. Ainsi c’était lui. Voix grave, presque gutturale, chargée d’hormones masculines.
L´apparence de la maison l´étonna. Cybéle n´avait rien avec La luxueuse de la residence d´un homme riche à láquelle elle s´attendait. Un homme sur de si, presque arrogant. Le genre d´homme qui l´avait habitude de l´obtenir tout ce qu´il voulait. La voix était grave, agréable.

6

Elle menait une double vie. Elle vivait intensement cette decent aux enfers qui enflammait son imagination et la consumait en même temps. Une force mystérieuse avait pris le controle de son être et la poussait à continuer à découvrir ce qui allait ensuite se passer.

- Vous ête en avance.
- Oui en effet... Je... Je ne voulais pas vous faire attendre. Je sais que votre temps est précieux.
- Tu es une femme, cru elle entendre. Tu es jeune tu es belle, tu as été crée pour engendre la passion, la volupté.

Elle sentait submergée par une espèce de frénési incontrôlable que la poussait aller toujours plus loin. Il allait à Colombie et allait s´approcher du Cartel du Golf une mafia Colombienne de la cocaïne à grand echelle. Jô Stamberg est vraiment un capo. Il avait besoin de tonnes, tonnes, tonnes de la cocaïne. Il sort du Rio de Janeiro dans sa Bentley noire dans la compagnie de la belle Cybéle Alves. Elle porte sa petite robe rouge sexy, fluide, seul vêtement collé sur ton corps. Il fait encore très chaud et elle a défait trois boutons… Il profite de son décolleté si tentant. Il devine ses beaux seins libres de tout mouvement. Elle s´assoit et sa robe s´arrête à mi-cuisse. Sa bouche charnue s’écrase sur la sienne. Sa langue se glisse entre ses lèvres, Elle sentit odeur de son eau de toilette masciline l´envelopper. Mon Dieu est affolante et délicieux. Puis elle pose son pied droit sur la planche du tableau de bord devant elle, écarté bien les jambes et tourne légèrement son corp vers lui. La sensation est agréable. Le côté interdit lui plaisait beaucoup. Cela la laissait plus ou moins indifférente, même si de temps à autre la vision d’un beau mâle échauffait quelque peu ses sens. Le superbe de l´autoroute em semaine, c´est qu´il n´y a as trop de monde, mais aussi que les Mille-pattes circulent. Tout au long du trajet ils discutaient des banalités.

- Chérie, remonte ta robe s´il te plaît, j´ai envie de voir ta chatte, de bien voir tes doigts s´amuser avec...
- Jô… Vous êtes incroyable… Vous me rendez folle…
- Allez, mettez à l´aise.

Bref, les voici franchissant le péage. Évidement tant pour Cybéle que pour lui et que pour les amis routiers sa main caresse les cuisses de la belle blonde sans oublier de remonter le tissu sur cette vision féerique. Le dossier du siège legerement incline, les jambes nonchalamment Elle ouveertes, Elle se laisse bercer par le ronronnement du moteur. Elle ôte ses scarpins. Elle étend ses longues jambes comme pour prendre possession de tout l´espace dont elle dispose. Ils decouvre son ventre plat couvert d´un fin duvet. Son pubis blond et frise. Il n´y a plus aucune angoisse dans ses gestes dans l´habitacle de la voiture. Les yeux brillent de Cybéle semblent vouloir dire: “Je veux que oui... Quand même. Chéri, s’il te plait, arrête-toi à la prochaine aire de repos, j’ai très envie de faire pipi…"
Quelques kilomètres plus loin, ils stoppent. Il est plus de 23 heures, la voiture garée sur un parking d’une petite aire d’autoroute du sud-ouest. C’est un lieu connu pour les rendez-vous entre hommes, juste entre hommes curieux, des gays, des bisexuels ou autres. Il observe le va-et-vient des véhicules, un ballet de voitures ou camions, qui se garent, repartent (ou pas). Le flot de circulation se ralentit, mais pas l’activité sur le parking. Des silhouettes se glissent furtivement entre certains emplacements tels des papillons, disparaissent, reviennent dans le silence étouffant d’une nuit d’été. Cybéle sort rapidement de la voiture et se dirige vers les toilettes. Est-ce qu´elle irait jusqu’au bout de son délire incongrue? Il en profite pour sortir et faire quelques pas. L’aire de repos est presque déserte, si ce n’est un semi-remorque dont le chauffeur doit se reposer, à en juger par les rideaux fermés.
Il était émerveillé par le tournant que prenait sa vie intime. D’abord, cette complicité vraiment plaisante qu’il entretenait avec sa douce.
Elle court presque jusqu’au champ voisin et disparaît de sa vue. C’est à ce moment que la portière du camion s’ouvre et qu’un homme en descend. Il le voit se diriger dans la même direction, sans doute pour, lui aussi, satisfaire un besoin naturel. Rapidement, il verrouille la voiture et le suit, craignant pour sa chérie. Il s’arrête juste au bord de l’herbe et sa position indique qu’il se soulage. Il ne voit pas sa puce et est un peu rassuré en pensant qu’il ne peut la voir non plus.


- Les toilettes sont dans un état! Tant pis, je vais me retenir…
-?Va plutôt te soulager plus loin. Il n’y a personne…
- Tu crois? Et le camion, là?
-?À mon avis, ça dort.
- Que se passe t-il?
- Le gars du camion… il est venu uriner à cinq mètres moi…
-?Je sais. Il t’a vue?
- Je ne pense pas… Il ne regardait pas vers moi et je n’ai pas fait de bruit… Mais…
- Quoi?
-?Je n’ai jamais vu ça…
- Son… Sa… enfin, il en a une… C’est un vrai monstre… Je vois! Madame se cache mais ne se gêne pas pour jouer les voyeuses…
- Idiot ! Je ne pouvais pas faire autrement, il était tout près…
- Tu pouvais fermer les yeux.
- Crois-moi si tu veux mais j´etais comme hypnotisée.
- Ça t´excite, hein, vicieuse? T´as envie d´allumer le routier. Pose un pied sur le tableau de bord, montre-lui ta chatte. Écarte bien les jambes. Il va voir mieux ta chatte. Ça va lefaire bander.

Maintenant il ouvre la portière et en descend. Il s´aperçoit est três bel homme. Cybéle écarté les jambes pour mieux s´exhiber. Souriant lui tend la main et lui felicite pour la beauté de son épouse.
- Alors comme ça, il paraît que ma queue te plait beaucoup?
- Tu aimerais la voir de près, pas vrai?
-?Euh… c’est-à-dire… je n’en ai jamais vu d’aussi grosse…
- Tu dois avoir une chatte délicieuse. Tu es d’accord que je la prenne?
- Si elle en a envie, pas de problème… Ma chérie me reserve bien de surprise, parle Jô.
-?Beaucoup de bien. Je vous invite dans ma cabine?
- D´accord, dit-elle.
- Vas-y. Libère-la.
- Mon chéri! Il m´excite beaucoup, et j´aimerais... J´y vais si tu le veux
- Oui Chérie! Je sais.

Ils marchent jusqu´au le camion. Elle s´approcha, le routier ouvrit la portière, elle mit la jambe sur le marchepied pour grimper les trois marches qui permettaient l´accès à la cabine. Son deuxième pied venait à peine de quitter le sol, qu´une main se plaqua sous ses fesses et la propulsa vers les hauts, Cybéle se trouva dans la cabine. Effectivement celle-ci était vaste. Un rideau camouflait un grand lit derrière les sièges. Jô a le plaisir de constater qu´elle n´a jugé utile de remettre slip. Il tire les rideaux se isolant du monde. Cybéle lui jette un coup d’œil interrogateur, semblant lui demander son accord.

- Quelle merveille! J'ai rarement vu une bite aussi belle, et aussi bonne. J'adore sucer des belles bites. Tiens! Commence si tu veux? Lui dit-elle.
- Viens ici ma déesse...
- Oui, mon grand! cria-t-elle. Donne moi tout, cette fois! je te veux tout au fond ! Il fait trop chaud ici!
Son sourire la rassure et, lentement, sa main s’approche du bas-ventre de lui. Ses doigts descendent la fermeture éclair et écartent les pans du vêtement avant de le faire glisser sur ses jambes. Le chauffeur de camion se retrouve juste vêtu d’un caleçon deforme par une bosse, il et vrai énorme. Cybéle baisse d´un coup son caleçon et une verge d´une taille qu´elle n´a jamais vue, même dans certains films, détacher les yeux lui saute littéralement au visage.

- Tu peux toucher. Tu es d´accord pour me montrer ton Trésor? Écarte tes lèvres.
- Tu peux toucher ausssi si tu veux. Mais il est trop gros.

Il se frotte le sexe contre sa raie. Elle sent comme il est dur; La blonde ai envie qu’il l’enfile. Trop envie.
L’homme et moi l’avaient inondée en même temps.

- Merci mon amour, lui dit elle, j’ai adoré ce que tu viens de me faire.
- ?Moi aussi j’ai adoré, nous recommencerons, si tu le souhaites.
- Oh oui.?Tu aimes mon odeur? Lui demande-t-elle.
- Bien sûr, mon amour.
- Lèche-moi, Je suis pleine de sperme.’il te plaît, là, juste entre les jambes. J’en ai très envie. Cela fait des jours que je mouille pour toi. Viens me sucer mon amour! Tu aime ça, tu nous a fait une démonstration tout à l´heure.


7


Elle n´a vraiemnt peur de rien, et vit à fond ses désirs, sans limites. Il commence doucement par deposer quelques baisers au haut des cuisses, puis au bas de son ventre, et sur sa vulve souple et bombée est sous ses lèvres intimes. Les fragrances de son intimité l´enchantent. Il doit rêver. Alors, profitait au maximum de ce revê. Sa langue s´insinue entre grandes levres, à la recherche du petit bouton des délices. Quand je la lâche enfin, pas une goutte de sperme ne s'échappe de sa langue et son sexe est parfaitement nettoyé de toute trace de ce précieux liquide. C´est là. Dégageait de son foureau. Elle sursaute, respire profondement et tient sa tête entre ses mains. Il entend ses petits râles de plaisir. Sa vulve suinte déjà en abondance des fluides du désir. Il aspire et il balaye il lape et vrille et suçote.

- Ca a bon goût mon chéri ? Aimes-tu lécher le sperme de mon amant ?
- ?Sincèrement, tu me plais. J’ai envie d’aller plus loin avec toi que ce bout de chemin jusqu’à Colombie.

L’homme et moi l’avaient inondée en même temps.
Effectivement, c´est petit et à l´abri de la route. Il stationne sous le lampadaire, en prennant soin qu´il éclaire au miex sa fée d´erotisme et de sensualite et il attend. L´attente et três courte. Déjà, il aperçoit une ombre discrète, puis une deuxième rejointe par une troisième. Peu à peu, lês ombres se rapprochent e la voiture, s´enhardissent doucement pour finalement, être pratiquement colée à la portière de Cybéle. Ils avaient affaire à dês véritables voyeurs, ilsont l´air respecteux.

- Tu as trois admirateurs… Tu vas te faire mater, régale-toi! Tu les fais bander ma cochonne. Tu as vu comme ils matent les nichons?

Une Bentley anglaise entrait dans le parking, elle s’arrêta devant la porte d’entrée. Une vieille dame très élégante, surgie de nulle part, sortit de l’hôtel. Jô Stamberg lui ouvrit la porte arrière et se saisit de sa valise. La caisse, portières verrouillées, il ne apprendrait rien de plus. Il fallait entrer dans l’hôtel.
Finalement il est arrivé parce qu´auparavant le vue des contacts au plus haute niveau. C´est la máfia qui est derriere ça. Ils sont très puissant. Il allait acheter des tones de cocaïne. Pour la premier fois il est arrivé avec um sac de l´argent pour acheter la drogue. Les parkings de centre commerciaux sont temoins de rendez-vous mystérieux ou s´echagent la drogue pour l´argent. Maintenant, tout le monde cherche son patron mais l´homme est introuvable et cela ne ressemble pas. Um homme d´affaires il passe tout le temps au téléphone, Cybéle tentait des nouvelles à Medellin mais rien, alors, elle a pense au pire et elle allait pense que quelque chose de grave a arrivé. Quelques jours plus tard est trouvé un corps aux alentours de Medellin. La police également arrive en companhie de l´expert légiste.
Le corps de Jô Stemberg avait retrouvé le lendemain après-midi du crime. Le cadavre démembré et emballé en sac plastique est de José Stemberg, le Jô du poudre. Le corps identifiée pour la médecine légale a confirmé c´est du brésilien José Stemberg. Selon la police il avait été abattu pour le cartel du golf en Medelin. La question c´est pourquoi l´assassinât de Jô Stemberg? La Police avait localisé sa Bentley noire criblé de balles. Il etait dans la compagnie d´un trafiquant colombien qui a été mort ensemble. Elle avait reconnu le style: tortures infliges avec jubilation, suivies d´une agonies lente et atroce. Elle esperait que lês brûlures avaient été inlfingées post morten, mais en doutait. Il avait été sauvagement battu, les doigts de ses deux mains étaient tordus. Des blessures profondes autour des poignets et des chevilles indiquaient qu´il avait été ligoté. La corde utilisé pour le prendre se trouvait encore autour de son cou, incrustée dans la chair.
La belle femme était en état de choc, paralisée. Le regret, le dégout envers elle même ainsi comme um amer sentiment de defaite déferlerent dans ses veines. Elle rappelant que ce qu´il avait commencé ne saurait bien se terminer. Son grand amour est mort. Difficile de faire pire comme fin. On l'aimait bien Jô Stambergue, un bon homme, un amant en or, une crème furent parmi les qualificatifs qui fusèrent lors de ses funérailles. Oui, on l'aimait bien. Aussi, l'église fit-elle presque pleine en ce tiède vendredi de printemps. Placés en cercles concentriques autour du noyau familial se trouvaient ses amis, anciens collègues, camarades de bridges plus quelques lointaines connaissances. Disposées de part et d'autre du cercueil, des couronnes exprimaient une affection souvent réprimée de son vivant par une retenue de bon aloi dans cette région industrieuse. Un mot en particulier retenait l'attention, celui de son amant Cybéle. «?Tu es mon unique amour et tu le resteras?». Comment aurait-il pu en être autrement? Son visage autrefois diaboliquement séduisant um masque de terreur et de fureur meurtrière.
Chaque jour qui passait depuis la disparition de Jô Stemberg affectait le comportement d´elle de plus en plus cruellement. L´envie de vivre s´était arrêté net, comme son dernier regard dans ses bras. Elle se serrait contre lui chaleureusement afin de lui montrer as dévotion, ses sentiments. Le cartel colombien avait ôté son unique raison de bousculer ce monde. Après l´affaire Jô Stemberg qui avait eu des répercutions inimaginable dans les mieux souterains de la drogue. La mission était à la fois simple et risquée. Il fallit ni plus ni moins recuillir le maximun d´nformation sur le Cartel du Golf. Démanteler le plus possible leurs ramifications. Et pourquoi pas. Si l´occasion s´y prêtait à assassiner les chefs de l´organisation criminelle. Tout ça dans la plus grande monstruosité.
En general, lorsqu´on est complice dans une affaire, quelle que soit, on sait de quoi il retourne et à quoi on pouurait se trouver exposé. Il s´est trouvé mêlé au de sordide histoire impliquant la máfia en Colombie et des personnages faisant partie des hautes sphères du trafic internationnal de drogue. La reine du poudre se lance à la poursuite de la solution d´un problème des plus compliques et de plus angoissants. Pas grande chose em apparence, si ce n´est l´énigme de la femme qui essaie se venger d´une máfia.
Ils auraient fêté leurs noces d'or dans deux mois. Cybéle a une tristesse profonde, pleure convulsivement et veut vengeance des coupables. Le temps n´effacera jamais la douleur ni les larmes, la tristesse pour tout la vie. Elle vécut les semaines qui suivirent dans un univers délavé, miné par une tristesse grisâtre. Elle eut droit à de nombreux téléphones et visites de soutien qui s'espacèrent au fil du temps. Mais la plupart du temps, elle affrontait seule cette immense demeure, le lit vide, le canapé désert et une table de cuisine étrangement asymétrique. Jô Stemberg continuait d'être l'homme de sa vie. Des photos de lui décoraient chaque pièce ou couloir tant et si bien qu'il ne la quittait jamais des yeux. Mais la plus importante à ses yeux ornait la table du salon. C'est à elle qu'elle s'adressait le soir pour lui raconter sa journée, ses petits tracas, comme elle l'avait toujours fait de son vivant. Cette constellation de pixels lui offrait une écoute absolue, sans interruption ni contradiction. Son sourire effacé proposait, jour après jour, une présence incomplète, une consolation qui la maintenait dans une douce langueur. Durant cette période, le calendrier devint son pire ennemi. Chaque événement marquant, chaque fête lui rappelait sa situation de l'année précédente à la même époque. Sa situation lorsqu'elle pouvait partager le moment avec son homme, à travers le prisme de quelques sourires feutrés. Même le visionnement de ses émissions préférées lui apportait un confort relatif. Il lui rappelait ces soirées tendresses, cuisse contre cuisse, ponctuées de quelques commentaires sur les performances du présentateur lors des pubs ou dans sa boîte de nuit.

8

À 5 heures 45, Cybéle Alves jeta un œil noir sur le radio-réveil. Comme chaque nuit, il se leva sans bruit pour aller boire un verre d'eau dans la cuisine et passer aux toilettes. Un satané rituel hérité de toutes ces années de travail à la boîte de nuit “Bahamas” quand le trop-plein de soucis gâchait ses nuits d'infirmier dévoué. Le va-et-vient de cette essain humain si compact, si dense, peut donner naissance en dehors dês crimes, à touts les evênements possibles et aux problèmes, les plus bizarres. Tout le monde avait la preuve plus d´une fois, n´est-il est vrai? Alors, guerre est guerre.
Ça commence par un coup de fil. Une conversation anodine, amicale, ils parlent d´affaires. Un rendez-vous est marqué en terein neutre. Un lieu public de préférence, quels que soient le lieu du rencontre. Il faut rester prudent. Parler à toute éventualité. Rien n´est acquis d´avance. Elle est tenté de faire confiance, mais c´est un erreur. Ça arrive. Tout être pense garde en tête cette triste réalité. Alors, elle allait parlé avec le milicien. Il savait qu´elle c´était une vipère des marais. Le serpente, la plus vernimeux du monde.
Une porte donnait accès dans le couloir. Son bureau petit dans un coin, une commode de couleur sombre, dans un autre une pupitre bureau, trois chaises d´osier et um morceau de tapis formaient tout le mobilier de la pièce. Les murs étaient revêtus de boiseries en chêne bruni. Le milicien poussa une chaise dans un coin et s´y assit, gardant le silence absolu et parcourent des yeux tous les coins et recoins du bureau pour en fixer chaque détail dans son esprit. La belle Cybèle regarde l´heure sur le cadran lumineur de l´horloge. Elle traverse le couloir avec ses cheveux blonds et bien rangés. Son chignon lui donne à La fois un air austere et mystérieux, son tailleur est élégant. Elle marche d´un pas alerte, le bruit qui font ses escarpins rasure le desert de ses pensées.

- Je suis ravie de voir que tu es ici. Je dois te demander de me rendre service encore une fois. Je regrette de vous deranger de si bonne heure, mon ami.
- Pas de problème. J´en trouve beaucoup de tragique tout que s´est passe avec Jô Stamberg. Puis-je vous être utile? C´est oeil pour oeil, dent pour dent. Je vais attaquer son maître.
- Plus qu´utile... Le plus petit bruit serait fatal à notre plan. Qu´est-ce que tu fais dans ta vie?
- Je tue. C´est mon metier.
- J´ai besoin d´un homme de votre profession. Il faut aussi que cet homme soit d´une discrétion absolue, absolue, vous m´entendez vous? Je me fie entièrement à vous.

Il est un homme brutal et peut-être ne se rend-il pas compte de sa propre force. Il ainerait surprendre une émotion dans son regard, du dégout, de ironie, de la cólera, de la revolte n´importe quoi de plus. Elle ignore encore quelle erreur il a commise, s´il en a même commis une.

- C´est un affaire três obscure et sinistre aussi. Il y a mille détails que je voudrais connaître avant de fixer notre ligne de condute. Tout debut dans lês affaires est penible, J´ai assurément plus de dificultés qu´un autre.
- Très bien. Tu dois aller à Colombie attaquer le cartel du Gof. 50.000 dollars pour chaque tête qui tombe. Tu crois pouuvoir me surprendre?
- Ils sont tous pourris, et il y a boue partout et les gens sont trop bizarres. Qu´est-ce que tu faisais donc à cette bête?
- J´ai besoin de quatre composants d´explosifs et achèter les détonateurs que je les retrouvait au Paraguay. Je vais lui couper en morceaux, Bien Sûr... Des gens vont mourir.
- Oh! Tres bien. Et je vous serais três reconnaissant. Tue-le, et emporte-le. Logique dit-elle.
- Il n´y a là aucun mystère chère madame. C´est le jour des morts.
- Vous êtes três observateur, mais vous ne savez pas au moyen du raisonnement tirez ces conclusions de ce que vous avez sous ses yeux.
- Je vais vous raconter la chose telle qu´elle s´est passé. madame.dit-il.

Elle éclate en sanglots et cacha son visage avec ses mains. Ses traites étaient tires as peau livide, ses yeux inquièts, effrayés, hagard comme d´une bête traquée. La respiration bruyante et courte du milicien assassin et sa manière dont il croisait et décroisait ses mains prouvaient combien ses nerfs étaient tendus. Il sortit rapidement...
La constitution a été três épouvante pour tout le monde, C´est vraiment à ce moment là qu´elle s´est rendu compte du calvaire qui a été de la victime. C´était les demons qui étaient dans sa tetê. Elle a millions de dollars de son amant avec elle. Elle allait chercher des milicianos assassins pour faire le service. Elle allait fait une vraie carnage en Bogotá et en Medellin. En moins d´une semaine le chef de Cartel du Golf est trouvé mort avec le visage disfiguré pour la torture. Cybèle avait fêté la première mort avec tous les clients du Bahamas. “Personne doit rien payé”. La prense colombienne avait afirmé que la máfia brésilienne de la cocaïne etait faisant réglement de comptes en Bogotá et Medellin. 14 trafiquants de drogue morts en deux semaines. Le cartel du Golf ignorait le pouvoir de feu de la mafia brésilienne. La Police Federale brésilienne savait que l´ordre des exécutions en Colombie avait sortit de la Boïte de nuit “Bahamas” de proprieté de son amante Cybéle Alves. Pour demande des américains les investigations sont retardés.
En Medellin la voiture s´éloignait ensuite des zones residentielles pour se diriger vers le périphérique sud qui menait directement aux quartiers d´affaires empruntant le même trajet que durait en moyenne vingt-minutes. Les miliciens brésilens avait vu la berline de luxe avec Steve Dortement et ils avaient finalement de passer a l´action sur le trajet que la victime empruntait pour se rendre à son bureau, plus précisement sur une petite portion de route peu frequentée qui traversait um bois d feuillus à hauteur d´étroit tunnel qui débouchait sur l´entrée du peripherique. À cette heure encore matinale. L´endroit était complètement desert et l´éclairage épars était à peine suffisant pour percer le rideau de la nuit.
La Mercedes noire apparut à lorsque le milicien qui guettait au volant de sa fourgonnette à l´autre bout du tunnel s´avança tout à coup pour lui barrer sa route. Le chauffeur freina brusquement faisant grisser les pneus de la grosse berline avant de s´immobiliser, tandis que les miliciens cagolés et autour de la voiture braquant leur fusis AK 47 sur se occupants et leur intimant a grands cris de descendre sur le champ. L´écho de leur voix réssonnait tel un choeur sinistre sous le tunnel. Les trois projectilles attingnent dans le dos du chaffeur et il s´effrondre, enfin. Il ouvrirent le coffre de la voiture saisirent le cadavre ensanglanté du chauffeur et le placèrent à l´intérieur. La terrible scène sous le tunnel ne cessait de défiler encore et encore devant ses yeux. La fourgonnette s´éloigne ensuite dês zones résendentielles pour de diriger vers le périphérique sud et menait la victime par être torture avant de le tuer.

- Je pense que tu as déjà commencé à mesurer toute l´etendue de notre pouvoir, n´est-ce pas? Dit le milicien.
- Vivre, murmura-t-il.
- Tu te rends compte que pour vous obtenir ce privilège. Il y a un prix à payer, n´est-ce pas?
- Tout ce que vous voudrez.
- Maintenant l´heure est venue de payer por tout ce que vous avez fait.
- Merde, tu es dingue ou le quoi?

Bien sur qu´il était ligoté et bâillonné. Il avait lui avait attacher les jambes au niveau dês chevilles. Un horreur croissant s´empare de lui. Des hurlement de douleur déchirent tout à coup le silence de mort qui régnait depuis si longtemps dans ce lieu abandonné. Em proie aux flammes carnassieres qui l´assaillaient de toutes parts et leve la tête comme pour mieux hurler son agonie. Le seconde homme de la hierarquie du cartel du Golf Steve Dortemman aurait présumément participé à ce meurtre pour cette raison il a été mort bruillé avec son garde de dos dans sa propre voiture au centre de Bogotá. La investigation qui mettra en lumière.

- Les scandales criminels de la guerre du trafic de drogue arrive aux États-Unis. J´en connais la domension et la forme par annonce qu´avait publié le Times. C´est un bijou absolument unique au gouvernement américain la reine du poudre brésilienne dont in ne peut apprécier la valeur, disait le plus grande journal du monde, affirmait un journaliste brésilien.
- Très clair en effet, mais la lira-t-elle.

9

Un brésilien arrêté en Medellin avait dit aux policiers qu´il avait reçu 20.000 dollars de Cybèle Alves pour le service en Colombie. Le journal New York Time avait publié que la belle bonde du trafique de drogue du Brésil avait décimé le cartel du Golf. Elle était comme les pays pauvres avec la pandemie qui peut de gens allaient survivre. Si elle contine libre elle allait finir avec les trafiquants du cartel du Golf. Un policier colombien qui avait paricipé de la barbare contre Jô Stamberg, la victime, il a été trouvé pour les milicianos brésiliens et il a eu la tête sépare du corps et aussi demembrés vivant. Une monstruosité de la belle du poudre, La Colombie avait demandé l aide des autorités brésiliennes pour arrêter la blonde fatale. Au centre de Medelin un milicien brésilien tenait dans sa main un cocktail molotov et un briquet, ensuite il se precipitait sur une voiture noire qui passait et allait jeter le cocktail molotov par la vitre ouverte. Les flames jaillisaient embrasant instantanément le véhicule sains laisser la moindre chance à son conductaire et son partenaire de sortir de la voiture de feu. Les malheureux avait à peine eu le temps de réaliser ce qui se passait. Un cri ou se mêlaient douleur et terreur avant l´explosion. Le feu semblait s´en donner à coeur joie à reine du poudre brésilienne. Blondissant de part d´autre du véhicule, esquissant une danse sauvage crépitant et élevant une fumée noire jusqu´au ciel. Un aller direct en enfer.
Le milicien brésilien ne quittait pas des yeux le spectache écoutant la sauvagerie du feu qui dévore tout, respirant l´odeur acre de la chair humaine grillée par les flammes, accompagnant celles du plastique et de la granitude du siège qui carbonisaient. En quelques minutes à peine, le feu avait fini de dévorer ce qu´il y avait à faire disparaitre, laissant sur place une simple voiture en flammes. Le milicien brésilien tournait ses talons et s´éloignant de la voiture sans se retourner. Le visage dépourvu de la moindre traça d´émotion. La police cientifique avait identifié comme deux trafiquant de drogue du cartel du Golf, l´un deux bras droit du chef. Elle voulait socouer le majeur producteur de drogue du monde.
La voiture de luxe au centre de la ville de Medellin est pris pour cible par un milicien brésilien. Il parvient s´évader. Pourquoi um tel carnage a-t-il été perpetré dans une voiture? Comment-a-t-il pu disparaître si facilement et sans laisser des traces?

- La douleurs est toujours vivant dit l´amante aux policiers qui n´a pas des preuves contre elle.
- Des trafiquants colombiens ont été morts pour une máfia bresilienne. Ils faisaient poursuites, enlèvements et meurtres. Plusieurs trafiquants étaient mortes au cours de cette opération.
- Et moi avec ça? Je ne sais pas vraimen par ou commencer. Il y a tellement de choses que j´aurais pu faire autrement. Je me demande parfois si je suis responsable pour tout ça; mais à vrai dire jê connaiss La réponse. Je repense à tous ces événements. Est-ce que la valait la peine? Tant de vies détruites, c´était La goute deborder le vase.

Le tueur était monté dans le dernier bus qui le ramènerait dans son quartier, à plusieurs kilomètres du lieu de son forfait, complètement anonyme au milieu des voyageurs nocturnes. Les regarder pianoter frénétiquement sur le clavier tactile de leur téléphone portable dernier cri… Un fin sourire se dessina sur le visage du meurtrier. Avec un outil renifleur pas plus gros qu’une mallette pour intercepter les communications.
C'était un individu de type aborigene, grand, brun, avec un pied plus long que l'autre et une casquette noire fichée sur la tête. Ses chaussures, des bottines orthopédiques de tailles 43 et 45, en cuir fauve, portaient des traces de boue blanche. Une vareuse noire et un complet de la même couleur complétaient le harnachement.

Il aurait pu s’amuser à cacher sa présence aux quelques rares caméras de vidéosurveillance, pardon, de « vidéo protection » Il localise la voiture de la victime, maintenant est seulement attendre... Il porte sa main à sa bouche et respira longuement pour calmer une nausée naissante. Le tueur secoua la tête. Le milicien avait tué six trafiquants du cartel colombein au cours de sa journée. On lui avait tire dessus à la mitrailleuse. Un gilet para-balles lui avait sauve la vie, mais une balle perdue lui avait fracturé le bassin. Il avait retourné au Brésil en chaise roulante.
Le mari de Cybéle sortent d´une boîte partouse au Leblon il est compagné d´une escote-girl Applée Julia Mendonça, elle est un peu en retard sur le chemin qui mène au parking où sa voiture l´obscurité totale impossible pour lui d´appercevoir l´ombre d´un homme que l´épie dans la nuit. Il était dans le parking de la boîte de nuit quelque temps attend sa proie. Il avance vers son véhicule quand soudain tirs de calibre 12 sur son dos lui transperce les poumons et est fatale. Il crie il titube il a de mal a reprendre un petit peu. Les gardes du local alertes por les tirs courent au parking et ils alaient desarmés et ils dominent l´assassin jusque la Police arriver. Il est identifique comme José Gonsales 32 ans Colombien et à chemin de la centrale criminalle il arrive là mort. Les enquêteurs allaient découvrir que l´assassin mort est du cartel du Golf association criminelle colombienne du trafic de cocaïne aux Etats-Unis. C´était plus victimes de la guerre de trafiquants colombiens et trafiquants brésiliens. Cybéle Alves allait noutrir un terrible désir de vengeance contre le cartel colonbien. La femme qui l´accompanhait explique aux enquêteurs qu´elle n´a rien vu pas grande chose.

-? Qui a trouvé le corps?
- La Police Colombienne, tel qu’il est, directement à la morgue.
-?Merde, merde et merde, s’exclama-t-elle. Un pas en avant, deux en arrière.
-?Arrête d’pleurer! J’ne l’supporte pas.
-?Je suis stupide, parvint-elle à glisser entre deux sanglots.
?- Stop! C’est une grande gueule sentimentale. Alors que toi, sous tes apparences de dure à cuir, tu es une grande sentimentale.


De retour dans sa chambre, il s'arrêta devant la porte-fenêtre du balcon afin de contempler la nuit: son œil exercé de photographe amateur scrutait les champs baignés par la pleine lune. Sous les nuages aux formes torturées, quelques silhouettes d'arbres nus se détachaient. Des stries vertes lézardant le ciel soulignaient cette ambiance gothique qui le ramenait sans cesse à l'affaire des chevaux mutilés.
Châtiment, vengeance et répresáillies. Cybéle se leva et pris un stylo dans le pot à crayon. Elle avait l´impression de peser une tonne. Les choses avaient le mérite d´être clair. Elle e´tait à la recherche perpétuelle de ses chassures, ses clés et son portefeuille ou ses lunettes de soleil. Chaque chose était désormais à sa place. Une grosse larme qu´elle essuya rageusement d´un revers de main roula sa joue.
Dehors, le ciel s’empourpre et le vent hurle au plus fort. Tout à coup le sifflement du vent s’engouffrant sous la porte lui renvoie en un flash implacable le souvenir. Une rue un soir de pluie, ses talons claquent sur le pavé noir et luisant. Elle sursaute, essuie la sueur qui coule sur son front, sent l'eau salée le long de son dos, ne sait plus s'il a chaud ou s'il a froid.
Elle cours pour fuir le danger. À petits pas d’abord, pour ne pas lui tordre les chevilles, puis elle enlève ses escarpins pour aller plus vite. Elle l’entend derrière elle, à chaque foulée il grignote quelques centimètres, je peux sentir son souffle dans sa nuque, presque sentir son haleine. Une proie, elle n´est qu’une proie pour lui. La blonde se sent proie dans l’esprit de celui qui lui suit, mais aussi...
Dans sa tête. A présent c’est la même terreur qui s’empare d’elle. Lutter, ne pas être paralysée, ne pas lui donner la satisfaction de la résignation même si l’issue est écrite et implacable. Résister, ça oui elle le peut, jusqu’au bout, mais pour combien de temps encore? Elle a envie de crier, de hurler, d’appeler au secours, mais aucun son ne sort de sa bouche, comme dans un cauchemar. La proie et le prédateur, le prédateur et sa proie comme une histoire cent fois, mille fois jouée et rejouée depuis la nuit des temps. Mais si l’issue fatale est écrite comment échapper à son destin? Rejoindre le troupeau, se perdre dans sa masse rassurante et protectrice c’est son seul désir, mais comment l’atteindre dans une rue déserte? Dans la rue, il s’arrête pour reprendre son souffle, me guetter, écouter les rares bruits de la nuit. L’ombre reprend sa quête et s’éloigne, à la recherche d’un signe pour redevenir le prédateur qu’elle n’a cessé d’être. Cybéle sent qu´elle pourrait hurler à présent, son souffle est calme, mais la main ferme se pose sur sa bouche pour s’en empêcher.
Suite à cette macabre affaire qui fit parler d´elle dans toute Colombie. La Volvo noire fonçait furieusement dans les ténèbres. Cela faisait déjà une bonne mollet droit de plus en plus au dessus de l´acelérateur mais eelle s´en doutait, la nuit lui appartenait. Elle contempla un court instant le ciel étoilée, un ciel d´été, un vrai ciel de vacances, plein de belles promesses.
10

Les plafoniers venaient de s´éteindre abandonnait `l´obscurié de dortoir bercé par le souffle dês respirations. Il n´y avait ne volets, ni rideaux aux fenétres pour empêcher La lune blafare d´allonger ses sombres sur les formes endormies. L´horloge au loin sonna douze hors appelant les esprits malins à echapper de leurs domaines d´exil, pour venir hanter les vivants. La belle Cybèle allongée sur le lit de metal retint son souffle pour s´éforcer de déceler leur presence danss l´obscurité, même ce bruit de son coeur lui parut trop broyant, Réssonnant comme uncognément sourd dans la piece. La peur est un animal furtif qu´il faut apprivoiser avant qu´il ne la devore de l´intéerieur.
Le vent souffle fort. La pluie tombe drue. Elle est seule. Le jour s’en est allé depuis longtemps. Elle sent une peur immonde la déborder. Ils reviennent! Elle entend enfler le bruit de la cavalcade. Le claquement des sabots sur le pavé qui se rapproche. Puis, brièvement, le silence. On frappe rudement à sa porte. Quand elle ouvre elle est fusilée. 7 de décembre de 2007 les ongles en sang, elle gratte encore le sol de ciment. Elle a la sensation du liquide, mais pas de sa chaleur.

-? Je ne veux plus me cacher. C’est aussi bien que vous m’ayez retrouvée. Je ne veux pas passer mon temps à fuir et vivre la peur au ventre, dit Cibèle.
-? C’est inutile. Je veux en finir le plus rapidement possible. Le faire souffrir, justement, d’où cette mise à mort cruelle.
- Elle se mit à délirer que tout ça n’avait servi à rien. Tu vas payer pour le mal que tu nous as fait.

Elle coulait hurler, mais elle en était incapable. Cet homme avait l´intention de la tuer petit à petit. Une blessure de tirs après l´autre. Son objetif n´est pas la voir mourir ni même abuser d´elle. Il voulait la voir souffrir. Sur son visage meurtri les larmes se mélangent à la sueur. De sang seché maculait ses longs cheveux blonds. Elle respire avec peine. La douleur est partout. La belle femme était criblée de balles. Sa tênue tout imprégnée du sang qui n´arrête pas d´étendre en tache noire et épaisse. Cybéle Alves est assassiné par des inconnus.

- Putain! Ça a trop bien marché! Plus rien a faire.
- Bon, faut se débarasser du corps.
- Qu´est-ce que tu veux dire?
- On va la porter dans la salle de bain et la découper.
- Mais, et le sang?
- T´inquiète pas, elle est morte,
- Tu as des sacs-poubele pour transporter les morceaux?
- Mon service est seulement tuer, pas transporter.

Tous demeurent silencieux et attendent les forces de l´ordre. Lorsque les policiers parviennent de confirmer la mort, de protéger les lieux à l´adresse donné par une témoin. Quant au constat du décès. Le véhicule des pompes funèbres devant transferer le corps à l´institut médico-légal. Toute cette histoire d´une passion tumultueuse, totale, presque destructrice entre deux êtres, par passion briseraient tous les conventions à l´images de terribles evénements que se déroulaient autour d´eux. Une grande tragédie. Cette maison était devenue maudite lorsque l´atrocité éclate, tout le voisinage immédiat en fut traumatisée, Le crime allait rester mystérieux.
- Si tu veux te rendre utile, Cherche l´identité de la victime, dit Delahye.
- Elle est décédée... Décédée vers minuit, dit un policier.
- Diabolique, introvertie, elle se plaisait à ridiculariser tous ceux qu´elle cotoyait. Elle s´amusait em attaquer ses ennemis.
- Une societé des malades. Les journaux vont sortir toute une première Page.
- Je n´avais pas vu ça comme ça.

Le médecin légiste examine le visage les mains et les pieds de la victime. Ensuite il fit signer aux deux hommes près de l´ambulance qu´il avait fini son inspection du corps. Les homme sont pressés de ramasser le corps.
Pour Inspecteur Jacques Delahye c’est toujours « la femme ». Il ne parle jamais d’elle que sous cette dénomination; à ses yeux elle éclipse le sexe faible tout entier. Ne croyez pourtant pas qu’il ait eu de l’amour, voire même de l’affection tous les sentiments violents et celui-là en particulier sont contraires à son caractère froid, méthodique et admirablement équilibré. Delahye est bien la machine animée et observatrice la plus parfaite qu’on puisse rencontrer, mais il ne voit pas son personnage dans le rôle d’amoureux. Il ne m’a jamais parlé d’amour qu’avec un geste de mépris et un sourire railleur. Pour lui qui a mission d’observer et de déduire, la passion chez les autres est un secours puissant; elle détermine sans cesse les mobiles secrets qui ont porté l’accusé de ses crimes; mais le logicien de profession aurait grand tort de se laisser envahir par le sentiment; cela équivaudrait à introduire dans des rouages fins et délicats un facteur étranger qui y porterait la plus grande perturbation; le sentiment pourrait influer sur ses déductions. Une émotion violente pour une nature comme la sienne équivaudrait à un grain de sable dans un instrument de précision ou à une fêlure sur un de ses microscopes les plus puissants. Et cependant pour lui il n’y avait qu’une femme au monde et cette femme était feue Cybéle Alves, de mémoire douteuse.

Fin
teresinapr@hotmail.com




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