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Les audaces d´inspecteur Jacques Delahye

Ecrit par Ivan
Parue le 20 08 2021
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Cette histoire érotique a été lue 825 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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Les audaces d´inspecteur Jacques Delahye

Préface

L´inspecteur Jacques Delahye a éucidées avec milaculeuse maestria que se caracterise le roi des policiers présent et futurs. On ne peut manquer d´éprouver une émotion intense. Il est un type intéressant si extraordinaire. Non seulemnt le hasard le servait souvent dans ses aventures et expeditions, mais même en dehors de ses opérations policières, il lui arrivait parfois des aubaines comme celle qu´il allait raconter.

1

Pour au village une scène de crime três étrange à cause de ce qui était arrivé à la victime mêmme s´ils n´avaient jamais vu ça, c´était une première mais quelqu´un en lui avait fait subir le pire. On était sous le choc. Une belle jeune femme victime d´un meurtre insensé, rentrer chez-soi et on se croit en sécurité mais ce n´est pas toujours le cas elle avait l´impression d´être três fier en permanence. Une affaire avec de troublant un 10 minutes le temps que vous vous demandiez ce qui vous arrive alors de baumes on vous ôte la vie en famille. C´était exactement qui s´est passe. Chaque scène du crime est analisé et une fois l´inspecteur avait vu toutes les pièces. Il ne les oubliez jamais. Il fait appelle à sa mémoire pour élucider les meurtres, il se souvient de tout, chaque índice, chaque victime, est ce une chance ou une malediction difficile à dire. Ces scènes atroces reste grave dans son esprit. Pendant 25 ans il avait enquêté sur des centaines d´homicides dans la région de favelas. Region extrêmement violente et il se souvient de chacun d´entre eux. House à Rio de Janeiro – Brésil.
En choisissant quelques affaires typiques qui illustrent les remarquables qualités mentales de Jacques Delahye ofraient a ses talents le meilleur champ de manoeuvres. Il est toute fais malheureusement impossible de séparer toute fait le sensationnel du criminel, et le chroniqueur se débat dans um dilema; ou sacrifier des détails essentiels et ddonner ainsi du probleme une présentation inexacte, il tourne vers ses notes pour un extraire une chaîne d´évenements étranges et particulièrement terribles. Certes lui-même ne manquait pas d´intérêt! Mais ses suítes l´apportèrent la surprise la plus grande et le choc les plus violent d´une vie pourtant fertile en aventures. Encore maaintenant losqu´il y réfléchit, il se retrouve em lui un écho de cette subite explosion de sturpeur et incrudelité qui l´envahit alors. Jacques Delahye avait suscité et dévolopé um goût profond pour l´enquête criminelle. Ce goût survécut à la disposition. Il voulut s´inspirer de ses méthodes pour trouver des solutions.
Ce matin-là il était à son bureau en train de travailler sur les affaires en cours quand il a reçu un nouvel appel pour lui signaler un meurtre. Quand il est appelé sur la scène de crime, il se prépare à ce qui l´attend à ce qui il va voir à la morte aux chaos, aux horreurs que les hommes se font entre eux. Il a parfois du mal à crois quand il voit sable ses propres mesures. À l´époque le jeune inspecteur fait ses premiers pas à la brigade criminelle. Il débarquait à la criminelle dont il voulait montrer qu´il était à la hauteur. Ils ne se doutent de a complexité d´une enquête, il faut un máxime de concentration pour ne rien rater. Il doit être 100% sur la sphère.
Voilà qu´il arrive dans la résidence il vit d´autres voitures de la brigade criminelle, des collègues avaient sécurisé la scène de crime. Le corps a été retrouvé dans un appartement dans un quartier chic, pas endroit ou on s´attend trouver un cadavre. Un appel à 109 a été passé depuis la scène.

- Je m´entendais três bien avec Jacqueline, elle n´est pas venue travailler pendant plusieurs jours, dit l´amie.

Comme ça ne lui ressemblé pas de tout, elle est allé voir son supérieur qui lui aussi trouvé ça bizarre. Alors, elle est allé chez-elle, as voiture est sur le parking. Là elle s´est mise à trembler parce qu´elle a un mauvais pressentiment. Elle frappa sa porte, pas de reponse. Elle est allé au bureau que gère la résidence pour leur demander s´ils pouvaient les faire entrer dans l´appartement. De le responsable l´a ouvert la porte, l´odeur est três forte. Il est entré, elle est resté sur le pas de la porte, il est venu en disant oui elle est là et c´est pas beau à voir. L´inspecteur est entré dans l´appartement Jacqueline Bonano. Tout ce qu´il voit est deplacé inhabituels ou suspects, toutes preuves potentielles. À son arrivé dans l´appartement, l´odeur de corps lui conduit à la chambre à coucher où l´attend un terrible spectacle. La vue de la victime était assez dérangeant. C´est ce qui l´a frappé, c´est cette un poudre et non énormement poudre versé sur le corps et tout autour. Au test de La drogue ou autre chose difficile à dire et il a fallut prélever un échantilon pour que labo puísse l´analyser et lui dire ce que c´était soit déguisée. La poudre a été versé sur elle après la mort. Le bas du corps éetait dénudé sa position pouvait suggérer une agression sexuelle, ou alors il avait été placé comme ça pour faire penser à une agression sexuelle. Le policier remarque alors deux indices que pourraient expliquer les causes de la mort. Elle avait été peut-être étranglée. Elle avait aussi la tête entouré de film plastique. Il peut penser qu´il s´était fait pour être sûr qu´elle était mort. C´est três perturbante et ça l´a fait interroger sur ce qu´elle avait dur endurer, il fallait attendre l´autopsié pour connaître avec certitude les causes de la mort. Sa jambre gauche il y avait un chaussure chez de lacet correspondait à celui qui était près de sa main, mais il n´a pas retrouvé l´autre chaussure aux aromes elle n´était pas sur place. Il peut penser que le tueur l´avait emporté.
Donc une scène de crime três insolite. Il n´avait jamais vu ça. Il y a autre índice dans le coin de la pièce, il a retrouvé le carnet de la victime. Il semblait avoir été consultes. Il y a aussi un portefeuille contenant de liquide. Il ne semblait pas y avoir une vol. L. inspecteur Delahye alors des traces d´effration. Il fait le tour dans l´appartement pour voir si le meurtrier était entre par une fenêtre ou une baie vitrée, mais n´est pas le cas. Comment avait laissé entrer l´assassin. Il a continué ses observations en revenant près de la chambre. Il y avait la salle de bain, lorsque les policiers sont arrivés sur les lieux. Ils ont trouvé le chien de lvictime enfermée dans la salle d´eau, comme il n´y avait ni gamelle bibelots, il peut penser que le tueur l´avait mis là pour ne pas qu´ils gênent, Il imagine imagine la scène, la victime est mort, c´est le petit chien est dans la salle de bain, sans eau ni nourriture pendant trois jours, jusqu´à ce que la victime soit découvert, selon tout vraisemblance, c´est le meurtrier qui a mis le chien dans la salle de bain. La victime aurait pu le faire elle-même, mais c est moins plausible. Le cause de meurtre aussi violent, assassinât, il passe de pièce en pièce à la recherche de traces indiquant le début de lutte ou de dispute, mais en arrivant dans le salon, il n´a rien vu de tel, tout est bien range à sa place rien se semblait s´être passe. Ici donc ça suggéré que les violences s´étaient déroulés uniquement dans la chambre. On peut penser que la victime connaissait son agresseur puisqu´il n´y a pas eu d´effration, ni de trace de lutte dans les autres pièces. Dans la cuisine un índice corrobore cette hypotèse. Avec la cuisine était três bien range, tout était en ordre à l´exception d´un tiroir ouverte d´emballage de film plastique est evidente, donc le tueur avait sans doute emporté le rouleau avec lui. Il va chercher lês clés de la victime, mais il ne les a pas trouvés. Le tueur les avait vraisemblablement utilisé pour verouiller la porte dorée ainsi retarder la découverte du corps.
La plupart du temps le meurtrier cherche à s´enfuir le plus vite possible, dans certains cas il reste un long moment sur la place, soit pour se nettoyer, soit pour modifier la scène du crime afin de induir les policiers en erreur. Il apparaiçait que l´assassin était reste sur certain temps, pas três longtemps, mais plus que d´ordinaire. C´était La poudre sur la victime, il a fallu trouver cette idée et mettre en oeuvre donc ça dû lui prendre plusieurs minutes. Il a fallu en fermé le chien aller chercher le film plastique et repartir avec sans chercher les clés de la victime sortir, refermé la porte. Il a passe du temps dans l´appartement. L´enquêteur a un autre enigme, à resoudre à la datte du décés. Sa famille vivait dans un autre état. Ses collègues de travail son enquiétés qu´elle a été découverte, Il y a encore un índice important. La victime n´avait que 28 ans.
C´était vraiemnt triste. C´était une jeune femme extravertie pleine de vie d´ambition des qu´elle arrivait quelque part, elle illuminait La pièce. Elle était três appreciée de ses collègues et de ses amis, toute la question était de savoir pourquoi il l´avait tué.
Le policier interroge la meilleure amie de Jacqueline Bonano qui lui apprend que la jeune femme avait dês succès auprès des hommes. Une grande blonde au sourire ravageur qui montre des dents régulières et d’une blancheur éclatante. Un visage d’un bel ovale régulier, des yeux bleu presque turquoise. Ses beaux cheveux blonds légèrement frises. Elle ne dispose pas que d’une poitrine volumineuse, mais ses seins naturels avec leurs pointes, haut placées. Les hommes craqué pour elle. Le pire, elle était lucide dans son plaisir de provoc’exhib’. Les tenues très décontractées sont de rigueur. sa démarche, son sourire, s’ils prennent doucement un peu d’âge, sont toujours sources d’envies et de fantasmes très… Charnels.
Elle savait que Jacqueline Bonano recevait des appels anonymes, elle est certaine que quelqu´un l´a surveillé, elle vivait seule, elle était terrorisé, elle avait l´impression d´être épié en permanence. Peu après avait ouvert un enquête sur la meurtre de Jacqueline Bonano l´inspecteur Delahye découvre que la jeune femme était victime d´un harceleur. Elle avait 28 ans et vivait seule, quelqu´un la plaie et raccrocher il y avait plusieurs coups de fil de succès. Ce harcélement téléphonique était en lien avec sa mort. Clairement il se passait quelque chose semblait qu´il ce n´étaient pas de faux numéro. Il voulait lui faire peur. Elle était arrivé au point ou elle voulait changer le numéro. La police allait essayer de découvrir son harceleur. Au moment de sa mort elle n´avait pas de relation serieuse, donc il s´intéressé à ses conquêtes récent, quelqu´un avec qui elle aurait pu avoir une prise de bec . Elle est sortit à un moment avec un certain João Boasorte.
C´était quelqu´un que lui plaisait. Elle toujours avait hésité à s´engager à quelqu´un. C était elle qu´avait rompu avec lui. Les enquêteurs se demandent s´il ne serait pas l´auteur des appels anonymes. Jacques Delahye avait enquêté plus de cent homicides dans la region et il se souvient de chacun d´entre d´eux. Un jour un homme appele la police et allait révéler qu il y a un trafiquant de cocaïne appelé Joaquim sortait avec la victime et il avait peut-être quelque chose à voir avec la morte de la blonde. Alors, Delahye avait localisé et l´interrogé pour tirer ça au clair. Il avait passe plusieurs coups de fils à Jacqueline. Les résultats de l´autopsié vont rendre le meurtre plus misterieux. Labo avait découverte que le poudre sur le corps était du bicabornate de soude rien à voir avec la drogue. Les assassins font souvent des choses irrationnelles. Le médecin légiste avait conclu que Jacqueline Bonano avait été étranglée avec lacé retrouvé à côté d´elle. Une femme voisine de la victime lui avait dit que dans la nuit de sa mort elle avait vu un véhicule tournait dans le parking au soir. Elle se dit que le conducteur prepare quelque chose, mais ne savait pas quoi. C´était un noir qui était au volant. La voiture avait faite le tour plusieurs fois dans le quartier et les images avaient été registres par plusieurs caméras de suveillance du quartier. La Policie a releve le numéro de sa plaque d´immatriculation littéral. Delahye allait pu retrouver la voiture un Passat allemand et identifier son proprietaire, son grand étonnemenent il avait déjà entendu parler. Ivo Sancarlo. Grâce à ce témoignage les enquêteurs tiennent enfin une piste serieuse pour la nuit du meurtre. Les policiers se demandent pourquoi l´homme n´a pas mentionné qu´il tournait en voiture dans le quartier de Jacqueline Bonano le soir du meurtre. La Police arrive à chez-lui. Il a accepté de parler avec les enquêteurs.
Alors il a dit que Jacqueline est lui était sorti brievement ensemble. Il lui dit qu ils avaient allé au boïte de nuit mondane “Bahamas” et il avait resté amoureux d´elle. Une grande blonde, le sourire aux lèvres, apparaît. Jacqueline, sa merveilleuse partenaire, a enfin découvert les plaisirs du triolisme. Il avoue être à l’origine de cette inoubliable soirée. C’était un fantasme qui la hantait depuis longtemps déjà. Ivo a d’ailleurs quasiment dépassé le maître dans l’art des jeux érotiques, prenant souvent des initiatives qui lui surprennent lui-même…Elle apparut, délicieuse dans la petite robe légère qu´elle s’était procurée pour l’occasion. Elle portait en effet une légère robe d’été, boutonnée devant, qui mettait en valeur son corps splendide, ses longues jambes au galbe parfait, sa poitrine orgueilleuse, libre de tout soutien sous le tissu léger. Dans son geste, en effet, elle offrait inconsciemment le spectacle délicieux et troublant d’une poitrine nue dans l’échancrure de sa robe qui baîllait sur deux seins lourds et fermes. Pour lui, c’est un véritable traumatisme, il est dévoré par la jalousie.


2


L’ambiance du pub était calme, feutrée, propice à de délicieux instants de quiétude. Dans ce cadre exotique, c’est avec un plaisir toujours renouvelé que les habitués savouraient de subtils cocktails, confortablement installés dans des canapés de rotin, intimement regroupés autour de petites tables basses. Seul un halo de lumière douce animait ces emplacements, irisant les boissons étranges.

-Tu es très jolie, très excitante, ma chérie. C’est vrai que comme ça c’était un vrai appel au viol.Trop, peut-être, dit Boasorte.
-?Votre compagne est vraiment superbe, son entrée a stoppé net les conversations, ce n’est pas un mince exploit! ?J’espère ne pas vous avoir embarrassée avec mon compliment… J’étais vraiment sincère: je vous trouve très belle. Dit Ivo envieux à Boasorte.
-?Je vais vous parler sans détour : vous me plaisez énormément! Dit Boasorte.
-?Est-ce vraiment ce que tu veux? Demanda Jacqueline.
-?Une très jolie petite pute, Boasorte répond en lui caressant les fesses.
- Fais juste un peu attention à ma robe car dessous je suis nue.
-?Je vous laisse; il est temps de goûter l’ambiance, dit Ivo.

Jacqueline leva la tête, étonnée elle vit un beau Black devant elle la mater discrètement lorsque. Ses regards se croisent. Quelques secondes passèrent avant qu’un homme, grand, svelte pour aller danser.

- Chérie, j’ai l’impression que tu as des admirateurs, dis-je à voix basse. D’ailleurs je les comprends facilement car tu es splendide! Vous n’êtes pas tentée?
- J’ai la nette impression que je vais beaucoup m’amuser et surtout, me régaler avec une aussi belle queue! Cela te choque? demanda-t-elle gentiment à Boasorte.
-?Non... Amuses toi.
? - Je me sens capable de beaucoup de choses…
-?J’ai l’impression que vous poussez la curiosité un peu loin, dit Ivo dans un souffle.

En face de la piste de danse se trouve un bar bien achalandé, et au fond, sous une lumière discrète, fauteuils et sofas incitent les personnes à la discrétion. Parfois, le rire cristallin de Jaqueline perlait comme une bulle de champagne. L’alcool avait rosi ses joues. Elle semblait prendre beaucoup de plaisir à écouter Boasorte qui se laissait aller à quelques confidences concernant sa vie sentimentale qu’il tournait en dérision avec beaucoup d’humour.
Dans La piste de danse, le grand black, lui, n’attend pas et vient la frôler avant de l’enlacer sans hésiter. Elle le laisse faire en riant. Jaqueline danse vraiment très bien, il a même l’impression qu’elle s’applique pour son propre plaisir, elle est ravissante, et… La tension monte d’un cran lorsque le tissu glisse sur ses jambes, découvrant très largement deux cuisses galbées et musclées tandis que ses doigts jouent avec les petits boutons qui ferment le haut de sa robe. L’atmosphère est tendue, chargée de sensualité, d’érotisme et de désirs de toutes sortes…Toujours très désirable! La musique change, devient plus chaude, comme son cavalier qui l’attire contre lui. Un nouveau regard entre nous, comme si elle voulait quémander une permission que Boasorte accorde d’un grand sourire… Les grandes mains noires caressent lentement, glissant même jusque sous son unique vêtement pour flatter sa peau nue. Elle danse maintenant très, très près, une grande main sombre plaquée contre ses reins tandis qu’une autre remonte de sa hanche vers sa poitrine pour se poser sur un sein qu´il devine déjà frémissant. Envoûtant spectacle, d’un érotisme brûlant dont il profite pleinement en souhaitant qu’elle aussi en éprouve des sensations particulières. La grande main noire posée sur ses reins vient de glisser au long de sa cuisse, jusqu’à l’ourlet de sa robe et relève lentement le tissu léger, découvrant la dentelle de ses bas. La main disparaît de sa vue, mais il est persuadé qu’elle progresse lentement sous le tissu… Pire encore, elle nous laisse aller bien plus loin que la décence ne le permet au point qu’à nouveau sa robe largement dégrafée dévoile ses gros seins ronds, le délicieux compas de ses cuisses fermes sur lesquelles glisse la main noire, atteignant très vite le triangle sombre qui s’ouvre comme une fleur au contact d’un doigt habile.

-?Humm… Tu es véritablement à croquer, mon ange, Encore, oui, c’est trop bon, encore… J´ai envie de crier! ?Humm… C’était trop bon, vous êtes fous! avant de poser à nouveau ses mains sur elle..

La blonde se leva devant les regards de ses amis pour disparaître dans les toilettes. Quoi de plus agréable que ces instants de liberté totale? Dans les toilettes de la boîte. Il caresse ses cheveux, ses épaules nues tandis que le black pétrit doucement ses seins qui oscillent comme deux fruits mûrs, prêts à être cueillis. Il se baisse un peu, ce qui l’oblige à se pencher sur le torse de son partenaire. La caresse se prolonge quelques secondes, accroissant les ondulations des reins d´elle… Puis l’homme se redresse, Son membre raide et palpitant remplace sa langue, joue à glisser sur la chair humide.

-?Mon dieu que tu es gros…! Dit-elle tout en empoignant la tige raide sur laquelle elle entame une caresse.
- Hummm… C’est démentiel un engin pareil! J’espère que tu aimes mes caresses…
-?Oh oui, chérie! Tu vois dans quel état tu me mets! ?C’était délicieux, tu es une femme merveilleuse. Je n’aurais jamais imaginé que tout ceci arrive…

À ce contact, la peau de Blonde se couvre d’une chair de poule annonciatrice de plaisirs sublimes. Sous ses yeux ravis, elle voit le gland décalotté, luisant sous sa pellicule de caoutchouc, forcer lentement ses reins pour disparaître, s’enfoncer en elle, allant buter contre le pieu qui vrille toujours son ventre. Il s’immobilise un instant puis entame enfin un lent va-et-vient. Chaque poussée en avant, au creux de ses reins, la fait basculer un peu plus sur l’énorme sexe planté dans son ventre et sur son sexe qui se laisse dévorer avec un infini plaisir.

-?Hummm… Tu es fou! Tu vas me faire mourir! Hooo… Encore! C’est trop bon! Plus loin, plus fort, j’ai trop envie… Je te sens partout… Je vais jouir…! Comme c’est bon! Elle est grosse… Tu vas me transpercer, me remplir, me déchirer! Salaud!

Livrée ainsi aux assauts de ses trois amants, Jaqueline gémit de plus en plus fort avant de jouir dans un long cri, le corps tétanisé par le plaisir. C’est l’instant que nous choisissons pour éclater en elle! Commence alors un ballet fou et délicieux où nous lui offrons tour à tour des positions, des sensations et des jouissances aussi diverses que délicieusement excitantes. La blonde ne décrirait pas les plaisirs multiples auxquels elle a pu goûter tout au long de cette soirée…

- ?Vous êtes vraiment fous, mais adorables, et ce fut délicieux, murmura-t-elle. J’espère que mes amis ne t’ont pas trop ennuyée.
-?Et que tu as déjà envie de recommencer, mon ange? Demanda Boasorte.
- Bien Sûr. Chéri...

Il semblerait qu’une fantôme soit le maître d’un jeu coquin avec Jacqueline devant João Boasorte. Son téton se raidit dans le creux de sa main. La main fraîche et sèche de Jacqueline tremble dans la sienne. Elle est là, toute pleine d’espoir et toute rosie de confusion, d’appréhension. il s’était accommodé de cette passivité. De retour à sa maison Elle avait troqué sa robe contre un simple tee-shirt qui moulait audacieusement ses seins fermes et couvrait à grand-peine le haut de ses cuisses, faisant ressortir la rondeur de sa croupe affolante. Elle disparut dans la chambre, laissant dans son sillage les effluves poivrés d’un parfum capiteux. Un peu plus tard, elle proposait à Boasorte de passer la nuit dans la chambre d’amis, la soirée étant déjà très avancée et n’ayant pas envie de raccompagner Ivo jusqu’à son hôtel, à une demi-heure de route, elle lui dit adieu.

-?Bonne nuit ! chantonna-t-elle.

Un homme amoureux, fou de sa si charmante et croustillante femme, de son corps diabolique et sensuel, de son plaisir affolant. Fou aussi d’admiration, de plaisir lorsqu’elle m’offre de tels instants Jacqueline jamais considéré cet homme comme prétendent serieux. Elle avait découvri qu´Ivo Sancarlo était un tueur à gages. Ils avaient des modes de vie trop différents. Elle se retrouvait à sortir avec un assassin et trafiquant de drogue.





3

Ça a été la goute d´eau qui a fait deborder le vase, qu´elle a tout fait s´éloigner de lui. À partir de ce moment il s´impliqué dans le meurtre et Delahye le découvrira. Il l´a condui au commisariat. Il était un suspect potentiel. Une nouvelle fois de tromper les policiers, Jacques Delahye savait qu´il a quelque chose avec le meurtre. Mais il besoin d´autres éléments our le confondre avec eux preuves indirectes Ivo Sancarlo. Quand l´inspecteur lui dit qu´il vu les câmeras de surveillance et qu´il était là devant la maison de Jacqueline dans le soir de sa mort, Delahye revele qu´il sait qui est l´assassin de la belle blonde. Alors, son comportement a changé, ses émotions ont changé, il s´et mis à pleurer. Il pleurait de plus en plus à sa grande surprise.
Maintenant il a reconnu avoir tué Jacqueline Bonano. Ces aveux détaillés permettent aux policiers de comprendre ce qu´il l´a poussé à tuer la blonde. Il avait pense qu´elle sortait avec Boasorte tous les jours. Il est três jaloux. Maintenant il a reconnu l´avoir suivi, c´était vers le 2 heures du matin il l´a appelé pour lui demander s´il pouvait passer. Elle lui laissé entrer. Il voit enfin la blonde. Tombée du lit, décoiffée, elle ne porte qu’un long tee-shirt qui laisse admirer ses jambes jusqu’à mi-cuisses qui a bien du mal à masquer le galbe de ses cuisses… Sans parler du haut! Elle bâille, s’étire langoureusement en levant les bras, faisant involontairement saillir sa poitrine orgueilleuse dont les pointes dressées marquent le fin tissu.

-?Cette fois, c’est vrai ! Tu abuses vraiment et je vais te tuer sur place!

Il dit avait perdu le controle et il s´est mis à l´étrangler, puis il l´aferouillé la porte pour retarder la découverte de corps. En resume il tué Jacqueline pour une raison aussi vieille que le monde par jalousie. Il était coupable de meurtre et a été condamné à 22 ans de prison.

Ils avaient se rencontrés cinq ans plus tôt dans lês bureaux d´une grand usine automobile implante à Curitiba dans le Paraná. Il est souvent ammené à voyager pour affaires, tous les deux ont déjà été mariés, mais ils sont à present celibataire et attirence est réciproque. Elle etait d´une famille millionnaire et lui n´a pas d´argent et qui aimait s´amuser. Qui aimait la libertinage. Perversion ou fonctionnement inhérent de l’âme? Fantasme de l’homme, du moins passé la trentaine si on en croit ce que l’on peut lire et voir ici ou ailleurs et qui consiste au moins en rêve à offrir aux regards pour le moins ou plus sa propre femme à la convoitise, voire à «?l’usage?» d’autres hommes et y trouver du plaisir.

-?Tu n’es pas jaloux de me voir ainsi provoquer des mecs?
- Je suis un homme voyeur.
- Tu crois que je devrais y aller?
-?Vas-y, si ça te fait plaisir.
- Ne t’inquiète pas, après deux mois à me contenter de sa petite bite. Enfin, je vais pouvoir sentir une bonne grosse queue m’empaler.

Ils ont donc commencé a ce voir en dehors le soir après le travail ou le week-end, ils allaient boire des verres ensemble dans les bars du banlieuse cherchent des aventures extraconjugales. Elle porte une légère robe d’été sans rien dessous, excitante à souhait dans ses chaussures à hauts talons. Très svelte, des jambes splendides, une taille de guêpe, un buste divin, un fin visage encadré de soyeuses mèches brunes naturellement bouclées, elle capte les attentions qui s’enflamment vite de désir. Rien que de lui regarder marcher dans la rue cela trouble tous ses sens et nombre de regards la déshabillent. Un verre de scotch, Frank Sinatra en fond sonore et une lumière tamisée comblent l’atmosphère. La pendule du salon affiche une heure et quart.

-?Ta robe plaît beaucoup au voisin black
-?Ah ! Pourquoi? J’ai un petit peu honte de te le dire, mais ça me plaît.
-?Ça peut peut-être s’arranger. Tu n’as pas remarqué comme il a regardé dans ton décolleté? Si tu as envie de jouer, ne t’en prive pas, ma chérie!
-?Non, je…?Un jeu un peu pervers. ?J’ai l’impression d’être une adolescente qui se fait draguer par un petit jeune.
- Si tu veux. Mais s’il te plaît… ?Regarde. Il est jeune. Il est beau. Il doit avoir toutes les filles qu’il veut. Tu ne le laisses pas indifférent.
-?Tu vas me rendre fou de toi! ?Je vais t’honorer comme tu le mérites. Je vais te faire plaisir ce soir, mon chéri… Ouvre bien les yeux.

Elle remua un peu sur sa chaise en souriant et je devinai qu’elle croisait ses jolies jambes vers lui. Avec élégance, elle se dirigea vers les toilettes en traversant la salle, passant, comme par hasard, à proximité de lui. Puis elle disparut à sa vue dans le couloir. Quelques instants plus tard, Roberto entendit bouger la chaise du type et il se tournait pour le voir partir dans la même direction.
Elle crie de plaisir, elle jouit avec lui. Avec un tel régime, il ne se retint plus et déversa dans la jolie bouche qui l’aspirait, tout le sperme que sa maîtresse avait su en tirer. Mais elle en garda un petit peu. Pour lui le montrer quelques instants plus tard, à la table du restaurant. De sa chatte coulent quelques gouttes de cyprine laissant des petites taches sur le sol. Bel amant commence à se fissurer.

Roberto Bonfim la tratait comme reine, elle faisait, payait seule toutes les aditions donc tôt elle a épousé. le couple se marie et ellle le fait quitter la usine automobile. Un jour Marie fait une écouverte qui jetta à nouveau une ombre sur son couple. Elle avait trouvé dans une de ses chemises quelque chose qu´elle regarde plus près. Il était um nome d´une autre femme avec son numéro de téléphone. Aussitot elle pense qu´il était Marie avec autre femme.Il partage as vie avec autre femme. Ça l´a rendu malade. Furieuse de n´avoir été pendant tout le temps qu´une simple maîtresse elle.

- Je peu savoir qui est France Albertine?
- Je sais pas.
- Tu mens. C´est qui?
- J´allais t´em parler, d´accord?
- Me parler de quoi, elle cria.
- Techniquement jê suis Marie, mais on va divorcier. Tu sais que je t´aime. Tu sais que jê veux être avec toi.
- Tu vas me le payer. Sors... Sors...

Une femme blessée elle va effectivement le lui faire payer en révélant son odieux secret à son épouse. Elle allait lui passe un coup de fil et lui a tout raconté.

- Vous êtes France?
- Oui. Qui est-ce?
- Je connais votre mari. Il m´a menti tout le temps. Je suis une pute et lui un Fil-de-pute de petite bite.

Cinq jours plus tard, Marie Sordie est mort. Sa femme et sa maîtresse étaient toutes les deux au courant. Il est possible que alors que la victime n´ait pas été victime d´une simple overdose. La decouverte de ces nouveaux éléments au bien qu´ils ne puissent être considérés comme preuve à forcement éveillé leur attention, il y a trop de zones d´ombré pour pouvoir refermer immédiatement en concluant un accident quelqu´ un souhaitant la mort pourrait être passe à l´act, mais sans preuves concrètes Delahye est dans l´impasse. L´atendant le résultat de l´autopsie il avait toutes les raisons de mefier d´um assassinât.
C´était samedi matin, on les appelés pour une intervention à l´hôtel Lider où il est situé au centre-ville. Il est 10 heures du matin quand la Police etait arrivé cet hôtel luxueux ou une cliente Marie Sordie s´est mystérieusement éteinte dans son lit. le mari de la defunte était là ainsi dans la partie sejour de la suíte.

- Monsieur Sordie, mes condoléances.
- Quand je me suis réveillé elle était morte. Le corps de ma femme est froid elle était décédé. C´est incompréhensible. Hier soir tout allait bien.
- Est-ce qu´elle avait des problèmes de santé?
- Non. Elle était en pleine forme.
- Rien d´autre à nos signaler?
- Dans la nuit elle est venu avec la cocaïne. Elle introduit un sex-toy dans son vagin avec la drogue.
- J´ai besoin d´un ambulance.

Rien ne permettant d´éttablir la cause de cette mort soudaine. L´enquêteur temps alors s´en savoir plus sur la victime. Un crime peut en cacher un autre? Sans savoir l´inspecteur Delahye allait ouvrir la boîte de pandora. Sachant qu´il était avec elle quand elle est morte le policier a profite évidement pour l´interroger et tenter d´obtenir un récit précise des évenements. La mort soudaine d cette jeune épouse en pleine santé demeure un mystère. Pendant ce temps une equipe de la police cientifique étaient à pied d`ouvre dans la chambre pour examiner entre autre les couvertures et les draps. Ils ont remarque une grande tache d´origine liquide sur l´un des draps. La victime ne presente toutefois aucune blessure externe. Il n´y avait rien pas un seul élement permettent d´établir avec certitude la cause du décés, qu´il s´agisse d´un suicide, d´un arrêt cardiaque ou d´un homicide.
La veille et d´où Roberto Bonfim aux 42 ans et sa maîtresse, Marie Sordie de 37 ans sont beaucoup amusés à la fête dans une boîte de nuit. Tandis qu´ils boivent plusieurs verres, la belle épouse se laisse doucement envahir par le désir. Dans les vapeurs de l´alcool três vite la température grimpe en flèche. Elle aimait faire une chose, consiste tromper un sextoy dans la cocaïne baignada cuit à l´introduit en elle. La Police ien une expliquation, elle a peut-être fait une overdose qui lui a été fatal. Ça rassemblait à un acident de adult concentant prennent de la drogue pour s´amuser et l´un de deux fait une overdose. L´equipe d´enquêteurs savait que Marie n´était pas la première amant de Roberto Bonfim, Marie était La troisième amant de lui. Dix ans avant il avait une vie três confortable avec Jenifer 13 ans plutôt, était un jeune cadre dynamique qui formaient un joli couple avec sa femme em apparence tout lui souriait, il avait la belle vie. Il est un homme respecté qui jouit une bonne réputation. Il avait se décidé de se présenter aux elections municipales et l´avis générale qui a depuis il avait toutes les chances.

- Je suis sûre que tu feras un Marie formidable, dit Jenifer.
- Merci beaucoup, mon amour.

Un jour tout s´effondre. Il est quand même en pire, Il est monte se préparer pour aller se coucher, quand Roberto Bonfim monta à son tour il trouve son épouse étendu par terre inconsciente. Elle a du se cogner la tête en tombant et elle est morte. La jeune femme de 26 ans en parfait santé qui meure soudainement, voilà qui rappelle quelque chose à Jacques Delahye. Des analyses ont révélé qu´elle avait bu de l´alcool et pris dês somniferes, pour autant la cause exacte de as mort n´a jamais été determinée, tout ça se passe dans une petite ville de l´interieur du Rio de Janeiro où les gens se font naturellement confiance au sein d´une famille respectée, ça n´a donc jamais traversé l´esprit de qui que soit d´aller chercher plus loin. Tout le monde a pense que c´était injuste mais bom voilà ce sont des choses qu´arrivent. Bouleversé pour La mort de as femme, il avait retire sa candidature aux élections municipales. Une page s´est tournée à la surprise générale, il ne tard pas alors à en ouvrir une nouvelle avec une jeune femme célibataire de 35 ans




4


Jessica Moreira. Ça a provoqué un petit scandale quand il a rencontré Jessica. Les enquêteurs décident de rendre visite pour tenter d´en savoir un peu plus sur La relation de son ex- épouse avec lui. À peine plus d´un an quand il demande Jessica en mariage. Le couple s´installe quelques kilometres plus loin d´où il habitait avec sa dernière épouse. Il commence une nouvelle vie, dégage une vraie chaleur humaine. Huit ans plus tard le couple est en deroute en raison notamment du train de vie extravagant de dames hausse dont les finances sont à sec. Il menait La grand vie, sorties restaurants, voyages, voitures, vêtements, il ne complètaient jamais à la depense.
Jessica parvient dissimuler la colère. Elle a demandé de partir et il retourne à la maison de sa mère. Il traversait une mauvaise passe et ses ennuis sont loin d´être determines. Sa mère est mort et il est de retour avec Jessica. Il s´est reconcilié avec sa femme et as part d´héritage, Sa mère possedait un patrimoine important qui lui a permis de se renflouer et plus encore. Un an plus tard les disputes ne sont plus qu´un lointain souvenir et le couple était heureux grâce à héritage de Roberto. L´argent n´est plus une source de inquiétude pour Jessica. Elle est heureuse de pouvoir profiter de la vie sans soucier avec les depenses. C´et le nouveau drame. Elle revient à la chambre en haussant les épaules. Elle l’enfile. Elle se regarde dans la glace. Le rouge lui monte aux joues. Le même rouge ou presque que cette mini robe dos nu. Elle s’avance dans le couloir.


-?Ferme les yeux, mon chéri.
-?D’accord.
- Tu peux les ouvrir. Comment tu me trouves?
-?Euh, j’avoue que je ne m’attendais pas à ça. Tu es sublime. Bandante, mais…
-?Mais? Je crois que je fais de l’effet à certaines personnes!
-?Mais tu ne peux pas porter ça en public.
-?Pourquoi? Je te fais honte?
-?C’est pas ça, mais enfin, tu es une femme mariée.
-?Je pensais te faire plaisir. Je suis déçue. Je ne te pensais pas si coincé.
- ?Écoute. Ce n’est pas ça, mais tu es trop belle là-dedans. J’ai peur de te perdre, moi.
- ?Mais non, idiot, tu sais bien que c’est toi que j’aime. Pas un autre.
- ?Excuse-moi d’avoir réagi comme ça. Je te propose un truc. Dîner avec mon ami que tu le trouve beau.
-?Oh mon amour, tu es merveilleux.
- Chérie, je crois avoir trouvé qui pourra te combler.
-?Ah oui?
-?Oui.

Ils sont allés au restaurant avec un ami. La petite robe à bretelles était assurément remarquable. D’un rouge sombre, elle ne se contentait pas de mouler le haut de son corps façon bustier, mais offrait également une vue vertigineuse sur le sillon de ses seins. Le décolleté était splendide et impudique à souhait et attirait à coup sûr le regard sur son 95E qui ne passait déjà pas inaperçu habituellement. À partir de la taille, la robe était plissée et plus évasée, ondulant librement à mi-cuisses autour de ses jambes habillées de soie noire.

-?Tu as vu comme mon ami te regarde?
- Difficile de ne pas le voir. Et alors, c’est pas toi qui rêves de me voir avec un autre homme?
- Ma chérie, tu es magnifique ! Tu vas encore mettre le feu à toute la gent masculine avec cette petite robe. C’est une idée ou il t’a maté les seins l’air de rien ? demanda alors son homme.
- ?Je vois pas pourquoi il aurait envie de me mater les seins, fit-elle un petit sourire coquin aux lèvres.
-?C’est vrai que tes yeux valent largement la peine d’être admirés aussi.
?- Elle est vraiment très jolie cette petite robe, dit l´ami.
-? Arrête, tu m’excites… Tu es un flatteur.
- ?Et toi, une petite allumeuse.
- ?Moi ? une allumeuse? ?Tu es jaloux maintenant? Peut-être parce que tu aimes ça.
- Tu le sais très bien. Tu sais que son mari est un voyeur.
- Je joue à Basic instinct.
-?Tu quoi?
- ?Basic instinct… Le film, insista-t-elle.
- J’ai bien compris… et alors?
-?Alors… Je croise et je décroise.
? - Il commence sérieusement à m’exciter, ce con.

De son côté, elle avait posé une main sur la bosse de son pantalon, qui lui prouvait tout l’intérêt que je portais à la mise en scène.

- Mon chéri, comme il est difficile de te parler de tout ça. Mais je vais essayer du mieux que je peux. Il a une bite énorme, mon amour, ?Il me caressait les fesses… Je dois partir avec son ami aux toilettes, c’est vraiment pas discret. tu me laisses y aller?
-?T’aurais aimé qu’il te la mette bien profond, comme ça? Mais tu vas me rendre fou, grogna-t-il.
- Il était vraiment doué. ?Regarde la belle queue qui va me baiser, mon chéri! Branle-toi, profite du spectacle!
-?Super excitant. ?Ton ami m’excites. J’ai terriblement envie de lui!
-?Tu es vraiment la reine des…
-?Salopes? Garces? Putes? Coupa-t-elle, oui, c’est vrai… Mais je suis à toi. Je sais pas. Ce soir c’est compliqué.
- Non, c’est pas compliqué. Va direct aux toalettes.?Jessica dis-moi, tu veux ou pas?
-?J’aimerais bien mais c’est risqué.



Elle sourit et tourna les talons. Son homme la suivit des yeux alors que la belle traversait la salle d’un pas lent et chaloupé. Il se mordit les lèvres à la vue de son ami. Temps plus tard elle revenait satisfaite et pleine de sperme. Elle était de retour à la table et le mari vut la foutre couler de ses cuisses et elle qui jouissait comme jamais. Il voit le sperme couler de sa chatte, ça sent fort.

Puis ils sont gagné la maison vers 20h30 ils ont ouvert une bouteille qu´ils ont commencé à boire en discutant. Elle lui dit alors que le spectacle n’est pas fini. Jessica se retourne vers lui et lui regarde en se léchant les lèvres. Guidée par Marcos, sa femme caressa vigoureusement la verge de Marcos par-dessus son pantalon.

- Regarde ! c’est toi qui l’as voulu! et bien tu vois, j’ose! Ça t’étonne, hein? j’ai envie de faire l’amour avec toi, Marcos.
-?Tu veux baisser mon pantalon, Jessica? J’ai envie que tu me touches la queue. ?
-?Oui, elle est vraiment grosse…
-?Elle te plaît?
- Humm oui, ça change de ce que je connais. Beaucoup plus large…
- Excite-le un peu, nous ne sommes que tous les trois; essaie, ma chérie, Je veux que tu l’excites pour de bon! Dit le mari.
-? D’accord; mais juste ça. Tu sais, c’est vraiment pour toi. ?Alors ça t’excite ou pas, ce que je fais? C’est agréable de regarder sa femme se faire tripoter les seins? Ça te fait bander, non?
-?Alors, ça t’excite vraiment tout ça? Demanda Marcos.
-??Oui, j’y peux rien, c’est physique… Elle est belle, ma femme, hein? Vous avez de la chance de voir autant de choses! Peut-être un peu plus vous intéresserait?
- J’espère que ça t’a plu. Moi en tout cas, je me suis bien amusée. Je recommencerai… Viens tremper ta queue dans ma chatte.

Une fois la verge de son amant placée à l’entrée de sa chatte, ma femme ferma les yeux afin de savourer au maximum cet instant qu’elle désirait depuis si longtemps. Doucement, Marcos commença à enfoncer sa bite dure dans la chatte de sa femme. Il s’arrêta à la moitié et fit une petite pause puis entama un va-et-vient. À chaque fois, il enfonçait son phallus encore plus loin. Une fois sa verge totalement enfouie, Marcos commença à ramoner sa femme plus rapidement. Elle n’en pouvait plus et un violent orgasme traversa tout son corps. Elle eut les larmes aux yeux tellement c’était fort. De son côté, Marc ne pouvait plus résister plus longtemps lorsque Marcos sortit son pénis de sa chatte, sa femme sentit une grosse quantité de sperme dégouliner le long de ses cuisses, souillant ainsi sur une grande partie de ses beaux bas.

- Tu ressentes cette souillure, pour que l’odeur de sexe et de sperme parvienne jusqu’à tes petites narines de mari délicat. Je vais me demaquiée, dit Jessica.
-J´attend.
-?J’avais envie de te revoir, et tu aurais envie de le refaire? J’ai envie de toi dit Jessica.
-?Moi aussi, je veux m’occuper de ton corps. J’essaierais une prochaine fois de repousser un peu plus ses limites. Ça dépend de toi! Si tu es toujours d’accord, bien sûr.
?- ?Je suis désolée,. Je t’ai fait cocu, chéri.
- Elle n´est pas venue. Tu crois qu´elle dorm? Demanda l´ami.
- Bonne question, je vais aller voir.


Un verre à la main est d´amorcer son ami continue à discuter et perdre bientôt la notion du temps. D´un coup La soirée qui avait si bien commencé bascule dans l´effroi. Jessica est mort. Il a dit qu´il avait trouvé par terre sans doute életrocuté il est malheureusement trop tard. Il n´y a plus rien à faire pour sauver la femme qui s effondré séche.cheveux et une serviette mouillée à la main. Il dit qu´elle avait accidentellement dénudées le fil c était complètement surrealiste, il avait beau de répéter qu´elle était morte. Personne ne pouvait pas le croire. Les enquêteurs sont loin de la vérité concernant le décès de sa troisième épouse. Les légistes avec le résultats de analyses toxicologiques, mais les résultats de labo une fois plus qu´elle avait absorbé une quantite três impostante de cocaïne. Qu´elle avait elle-même introduite dans son vagin.
Elle avait plus de trois grammes de cocaïne dans son sang. Elle n´a pas pu absorver une telle quantité seul c´est physiquement impossible. Elle n´a pas pu s´auto administrer une dose aussi importante de cocaïne pour la simple et bonne raison que son corps l´avaient lâché, depuis longtemps, ce qui veut dire que quelqu´un d´autre ça lui a enjeté. Les enquêteurs doivent maintenant trouver la preuve que le dernier homme à la voit vue en vie est également son assassin. Il decide tout reprend à zero d´interroger à nouveaux des amis du couple present à la soiré dans la boïte de nuit. Un tueur diabolique et secret que s´apprête à leur livrer ce temoin pourrait bien precipiter sa chute, selon le célébre inspecteur Delaye, Roberto Bonfim a porte une seringue mais bien sûr La cocaïne est em poudre, il fallait la diluer pour ouvoir l´aspirer avec la seringue en quelques secondes il vide son contenu dans le vagin de as femme et la tue. Une morte pour overdose maquillée. Il a eu recours au même mode opératoire avec ses deux premieres épouses. Em resume... Roberto Bonfim a été condamné à une lourde peine de cem ans de prison pour les assassinâts de ses épouses. Il était un tueur en série sans pitié.


5


Samedi soir. C´était bizarres jours. Vera Torres 31 ans brune, intelligente, belle, au charme exótique et séparéee de son mari, élégante, de 1,70 m, profil à la fois mince et voluptueux qui dégage une classe naturelle. dans une robe apparemment sage, mais dont la ligne laisse deviner les courbes de son adorable petit cul, avant de découvrir ses jambes fines et agiles. Ses cheveux bouclés et mettent en valeur l’éclat de son regard bleu. C´était une femme intéressée. Dans son mariage elle vivait dans une cage dorée incapable de sortir et un mari qui l´imposait ce qu´elle pouvait faire qui n´est pas faire. Francis Torres de 42 ans un genie de la informatique. Son mari par très souvent de voyage d´affaires en Russie, puis s´arrangé pour quelqu´un s´occupe e sa belle femme dans sa absence. C’est arrivé petit à petit, sans vraiment qu´il s’en rende compte. Semaine après semaine, mois après mois, son mari et elle avaient lentement diminué la fréquence de ses rencontres sur le lit. Pourquoi? Vera qui prenait soin de se sécher ses longs cheveux noirs sur ses épaules et de les coiffer. Puis elle se maquilla, avec un léger fonds de teint, passa un lipstick sur ses lèvres et mit un peu de khôl autour de ses magnifiques yeux bleus. Elodie avait l’impression d’avoir devant elle la reine Cléopâtre en personne.

-? Alors, trouve-toi un amant, disait l´ami de son mari.
-??Et c’est maintenant que tu me le dis? J’y ai pensé, mais rien ne me permet de le dire. Et puis, j’ai perdu l’habitude pour les hommes. Aucun ne me fait la cour.
- Tu es mystérieuse et belle. Tout pour plaire. Ça t’a excitée
-?Je… Oui, un peu… Mais ne crois pas que…

Vers 23 h le client les invite à finir la soirée en boîte, avec ses amis présents. Ses talons claquent doucement sur le carrelage. Elle se retourna à nouveau pour sourire de joie. Elle était toujours aussi belle et séduisante. Des rythmes qui deviennent des odes aux mouvements lascifs et sensuels. Comme par magie, nos déhanchements ont attiré d’autres hommes. C’est plus que coquin, mais tous jouent le jeu. C’est vrai que cela ne prête pas à conséquence. Une table était magnifiquement dressée dans un coin moins éclairé de l’espace-bar/lounge, coupes et verres en cristal, argenterie, un luxe inattendu dans cet environnement très technique. Elle ne put s’empêcher d’imaginer d´elle se faire prendre avec force par tout type de mecs bien membrés. À sa grande surprise, Rodolfo accepte l’invitation. Un slow enchaîne, il l’a prise dans ses bras et lui colle contre lui, il lui susurre des mots doux dans les oreilles, qu´elle n’a pas entendu depuis des années, ses mains caressent son dos, ses épaules, il l’embrasse timidement dans le cou. Ça lui fait un électrochoc. Ainsi c’était lui. Voix grave, presque gutturale, chargée d’hormones masculines. Rodolfo l’avait proposé de le suivre aux toilettes.

- Tu es très jolie, très excitante, ma chérie. Trop, peut-être…
-?Tu es sûr que tu veux que je me conduise avec toi?
- Je vais jusqu’au bout.
-?Tu as été plus loin que prévu.
- Je veux qui me souvient de toi comme de la plus belle et la plus salope des femmes. ? ?Regarde, il y a presque personne. On n’a plus le droit d’aller aux toilettes maintenant.

Elle hésite encore mais finit par descendre aux toilettes. Il la suit lorsqu’elle emprunte le petit escalier qui descend au sous-sol. Au bout du couloir, deux portes se font face. L’une masculine, l’autre féminine. La seconde, évidemment. Un grand espace marbré et lumineux, au moins huit portes côte à côte. Elle s’est arrêtée devant les lavabos, arrange un maquillage pourtant impeccable. Grand miroir qui reflète son image sage.
Vera retroussa sa robe et s’assit sur le bord du fond de la cuvette dont la lunette était en bois vernis. Elle pria son ami de retirer son pantalon et son slip et lui dit:

- As-tu besoin de pisser?
- ?Oui, et toi?
-?Moi aussi. Approche!
-?Relève-toi, donne moi ta queue.
-?Oh oui, j’en ai envie. Tu es géniale et tellement belle! Pas très pratique hein?
- Je suis le fantôme de ta conscience!
- Mais comment sais-tu ça? Tu veux dire que tu es. mon ange gardien?
- Disons que je suis ta muse sexuelle.
- Alors tu n’existes pas?
- Je vous veux, maintenant! Je sens son sexe aussi dur. ?Vous voulez me faire plaisir?
- ?N’ayez crainte, nous allons jouer un peu!
-?Vous allez me tuer avec vos caresses!


Ses yeux sont pleins de fougue.. Il s’est placé derrière elle. Un baiser dans le cou, et ses mains sur ses hanches lui poussent dans le chemin.

-?J’ai envie de toi. Je veux que tu m’emmènes dans un endroit où tu as déjà fait l’amour avec ton mari et que tu me laisses te prendre exactement dans la même position. J’ai envie de te posséder dans tous les endroits où il t’a possédée.
- Chez-moi, dans mon lit.



Elle avait bu littéralement ses paroles. Ele le trouvait tellement beau! Vera n’avait maintenant plus honte. Elle étaist troublée et surprise par ses propos. Elle n’avait plus qu’à faire glisser aa robe jusqu’à sa taille. Lorsqu’il glissa sa verge plus grosse mais aussi plus longue que celle de son mari, elle ne put s’empêcher de penser qu´elle le trompait vraiment ici pour la première fois, et qui plus est dans l’un des lieux où il l’avait prise. C’était un peu comme si il l’offrais à son nouvel amant.

-?Allez, prends-moi plus fort, vas-y enfonce-moi ta queue au plus profond de moi, je suis ta salope, fais de moi ce que tu voudras…
-?Tu es divine, Béatrice, dit Rodolfo.
- Tu es un taureau, Rodolfo, ?C’est vrai mon chéri ? Oh tu es merveilleux, je t’aime tellement fort! Dit Vera.

La brune avait bien profité de la vie, avant son mariage, et elle ne comptait plus relations. Il a demandé de son meilleur ami de la veiller sur sa femme de prendre soin d´elle et de faire en sorte que rien ne lui arrive, et ça été le début de la fin. C’est donc « Lui » qui l’a « officiellement » fait découvrir tout ce que le sexe peut avoir de variétés et de plaisirs. Un cauchemar à temps Francis à son retour de Russie. C´était son meilleur ami qui n´était jamais là ou habite le croiait que sa femme et son meilleur ami sont amants. Une querelle s´ensuite et Vera demande le divorce. Ce ne será pas une séparation amicale, et même pas reconnaissant tout ce que qui se passe. La police ne tarde pas à se présenter à la porte de son ex mari. La police avait três envie de parler à Francis pour savoir où sa femme se trouve, dernier à la voir il pouvait avoir les informations importantes. Adultère, divorce, argent, jalousie et colère, voilà le terreau fertile pour un meurtre. Elle avait isaru avec l´ami de son mari et quan elle avait sorti elle avait trouvé la morte comme dans une scène d´un film de terreur. Elle avait été criblé de balles au volant de as voiture dans l´avenue Copacabana au centre ville. Les gens étaient complètement paranoïaques du style”Oh mon Dieu! Oh! Mon Dieu”, il y a quelqu un de dangereux dans la cite. Rumeurs et speculations sur l´assassinat de l´épouse du Roi de l internet vont bon train plonger au coeur d un mysterieuse affaire. Elle était amie avec l´élite avec dês gens dêes magazines, un meurtre au centre-ville, la psychose s´empare de La ville du Rio de Janeiro comme jamais avant. Les gens étaient complètement paranoïaques. La nouvelle du meurtre de la socialite a mis le feu aux poudrex des médias, les scenarios les plus fou sont evoques, certains disaient que cétait douleur de cornes. Dans la scène du crime policiers relèvent des índices qui vont dans le même sens et ça donné l´impression
que la personne qui avait tire savait c´est qu´elle faisait et lês gens qui savent ce qu´ils font sont généralement ceux qui sont payés. Vera Torres avait un mauvais rencontre ce soir un amant et plongez dans l´un des plus
mysterieuse assassinât au sein de l´haute société. Qui ne rêverait de vivre dans le luxe et l´opulence. Bien que privilegiée les riches veulent souvent toujours plus. La tentation est toujours présent dans ces grands maisons où règne parfois un ménage à trois particulièrement vicieux, sexe, argent et meurtre.
Vera Torres n´aimait se coucher tard il est environ minuit lorsqu´elle monte dans sa Volvo noire et se dirige vers le três chique quartier de Copacabana ou elle vit la voiture file sous les lumières brillantes, elle passe alors un coup de fils, puis peu à peu tout change. Enfin à condition de appartenir au cercle três privilegie de la set-jet carioca, Vera Torres n´est pas qu´a quelques milles de chez son amant, le feu passe au rouge, quand soudain cinq coups de feu sont tires, La voiture de luxe desvie sa course, continue de rouler plus 100 m pour s´encastrer violemment dans un lampadaire. Dans ce moment a um bruit três violent qui a éveillé lês gens aux alentours. La vitre côté passager du véhicule est brisé, il n´y a pas d´impact de balles sur la voiture. Mais l´intérieur une belle femme le visage penché sur le volant, elle a reçu plusieurs balles dans le corps, elle est três gravement blessé. La femme est transporte d´uegence à l´hôpital. Une heure plus tard elle est declare morte. La première personne à appeler la police pour signaler l´incident avait été un voisin, Elle est victime d´un assassinât premedite.

Pendant la soirée un grand poisson mord à l´hameçon et après que l´informateur lês a contactés, il a même appelé plusieurs fois s´ailleurs il était nerveux donc une des opératrices l´accompagner dans le processus et aux roues pour qu´il parle un informateur anonime qui voulaient empocher lês 125 dollars disait que le meurtrier se vantant de tuer. L´informateur prudent veut rester anonyme, selon lui l´auteur serait un homme de 43 ans, celibataire du nom Haroldo Santos. Pour la premier foi l´enquêteur Jacques Delaye tienne une piste serieuse. L´homme est connu dês services de Police, il a déjà été condamné plusieurs fois pour cambriolage et actes de violence. Il consommait des drogues régulièrement, visiblement il inquiété le voisinage. Il avait um comportement visiblement erratique et l´informateur a pensé que ça valait le coup. Plusieurs policiers rendent chez le suspect. L´inspecteur Delahye allait frapper à la porte Harodo Santos allait se tirer une balle à la tête avec un revolver de Gros calibre. Les policiers ne trouvent rien a l´intérieur. Selon le célébre inspecteur Delahye c´était um crime commun. Le bandit voullait seulement voler la voiture de Vera Toores et finit pour la tuer.











6

Une rupture peuvent faire ressortir le pire chez certains individus d´autant plus s´ils étaient dejà instable. C´était un jeune homme travailleur qui venait de trouver l´amour. Il a seulement 20 ans rêvait simplement d´avenir meilleur, d´une vie meilleure, il pensait avoir enfin trouvé la femme de sa vie; mais n´a pas pu profiter longtemps de ce bonheur naissant. Il savait qu´il était en danger. Ils suppliaient qu´on lui vienne en aide, L´argent, le sexe, la drogue et le pouvoir sont autant de móbile de meurtres, là il s´agissait d une femme qui avait été rejetée, on aurait dit un film d´horreur. Il est bien réel celui-là.
À 10 heures du matin les services d´intervertion d´urgences reçoivent un appel à l´aide d´un jeune homme terrifié.

- Vous appelez le secours, s´agit d´un Feu, ou d´une emmergence médicale?
- Aides-moi, il vont me tuer! Venez vite, s´il vous plaît. J´ai besoin d´aide.
- Pouvez vous me dire ou vous-êtes?
- Mon nom est Lauro Maroni.
- Quel est l´adresse?
- Au secours... Laisses-moi.
- Allô, vous m´entendez, quel l´adresse?

L´appel a été três bref lorsque la personne qui le menaçait essayé d´entrer dans la pièce où il s´était refugie. Le danger était real ça se sentait à sa voix et as vitesse d´élocution, sa détresse est perceptible. Il lês a contacté depuis un téléphone portable et n´a pas son adresse, donc les autorités n´avaient rien d´autre que son appel à l´aide au téléphone pour le retrouver dans ce genre de situation, le temps est compté, dans ce cas là, on opere pour triangulation em croisant les données des antennes relais et dois obtenir au moin une localisation aproximative. La triangulaton permet la police de réduire la zone e rcherche un quartier du nord de la ville de Búzios. Certains quartier sont très bien, d´autres beaucoup moins, là c´était une zone assez populaire habite our une classe moyenne. Des agents quadrillé za zone, faire le tour des maisons et voir s´il referait quelque chose d´anormal. C´était une aiguille dans une boîte de foin. Et une heure plus tarde obtenu l´adresse exact. Il était en vacances pour quelques jours en dehors de la ville et son co-locataire ne respondait pas à ses appels le contact des forces de l´ordre leur a donné l´adresse de l´homme. La police s´est rendue sur le place, visiblement se passé quelque chose. Une fenêtre était cassé et la porte de derrière était ouverte. Les agents penétrent prudement à l´intérieur de la Maison. Em entrant et se sont identifiés criairent pour savoir si quelqu´un se trouvait à l´intérieur, personne n´a répondu, alors ils ont progressé dans la maison et là sur le sol de la chambre ils ont découvert Lauro Maroni, il allait reçu deux balles. C´était trop tard, il est mort.
Il était gay, mais il ne le disait ouvertement, au debut les gens savaient que Lauro Maroni était gay, mais l´homossexualité n´est pas três bien acceptée Aucun signe avant-coureur. Si, peut être… Son physique androgyne. J’ai vécu son adolescence en hétéro convaincu: les filles l’attiraient, il fantasmait sur elles, il se masturbait en pensant à elles… Il avait un ami appelé João qui il avait rencontré dans une boîte de nuit.

-?Je peux m’asseoir?
-?Jolie comme tu es, je deviendrais pédé!
-?Je vois que tu es vigoureux!
-?Que veux-tu, tu m’excites tellement…
-?Tu es prêt?
-?Oui, prends-moi. Je veux te sentir en moi… dis-je d’une voix suppliante.
-?Ça va? demanda-t-il d’une voix douce et sensuelle.
- Moi, ce que j’ai envie de manger, c’est ta queue.
- J’adore qu’on me suce aussi…

Ce fut pour lui le feu vert. Quel cataclysmique: son esprit, son comportement, sa sexualité ont pris un virage à 180 degrés. À peine vingt-quatre heures ont suffi à lui révéler sa véritable identité sexuelle enfouie jusqu’alors. Une belle image romantique, ils arrivèrent main dans la main, en marchant dans l’eau, beaux et jeunes… Ils s´étaient tous les deux determines debordant de vie il croquait la vie à pleines dents, il écrivait leur deux noms dans la sable sur la plage, ils allaient vraiment bien ensemble, heureux et amoureux à 21 ans avait un avenir radieux devant lui, pourtant moins d´un mois après le début de leur roman Lauro vient d´être abatu chez-lui. L´âme du crime était une semi automatique. Inspecteur Delahye avait réussi l´investigation em moins d´un mois. L assassin était son partenaire pour jalousie, Il avait eté condamné 15 ans de prison.



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Alfredo dans tout ça c´est qu´il s´agissait d´une belle histoire d´amour, mais il a sufffi qu´un homme se sente rejeté pour que cela se transforme en affaire sordide. Un égoiste mégalomane tisse une toile mortelle de secrets et mensoges. C´etait un sinistre personnage pour être capable de ça, il faut être três cruelle et inhumain, il avait le complexe superman et se pensait invisile avec un orgueil profond là. Tout s´est écroulé autour de lui, c´est comme si il prenait une balle em plein coeur, puis se jouera un triangle amoureuse un plus profit quand s´est rendu coupable d´absolument tous lês péchés possibles quand La luxure l´avarice attisent les flammes l´enfer maiss jamais les plus macabres, l´erreur est une, mais Seuls les individus les plus monstrueux sont capable de commerce dês péchés mortels, Vanuse et peu rendre un peu avegle à la vraie nature de son cher et tendre. Les péchés, les plus vils pervent rester ignorée et lês actes, les plus odieux demeurer caché mais lorsque l´innocent ouvre enfin les yeux le mal le plus absolu et claque souvent au grand jour. Vanusa est une jeune femme de 18ans brillante et pleine d´ambition qui rêvent d´integrer lês force de l´ordre. Elle aimait ou s´éclater dans en boîte. Vanusa (1,75 m, 58 kilos, noire avec un corps de damner um Saint, cheveux mi-longs, pour ceux et celles qui aiment les détails… Elle a tout l’argumentaire physique pour séduire un homme normalement constitué! Elle semble inconsciente que la robe, qui ne lui arrive même pas à mi-cuisse quand elle est debout, s’est remontée et révèle un triangle en dentelle noire. Une paire d’élégantes chaussures à haut talon complète ma tenue et amplifie la cambrure de ses reins. Dans la boîte, La climatisation était parfaitement efficace, il y faisait très bon. La lumière des spots rend Alice encore plus sensuelle. Il ai les yeux rivés sur elle.
Les flashs des stroboscopes projettent un diaporama permanent de ses formes en mouvement. Elle rejette la tête en arrière en se passant les mains sur le corps. Elle avait sorti sa robe légère qui me plaît tant, celle qui se boutonne ou se déboutonne complètement par-devant. Elle a mis son soutien-gorge en dentelle blanche transparente qui tout en maintenant ses seins lourds, les laisse apparaître sous le délicat tissu. Et pour le bas, un classique string assorti au haut. Ses gros seins ballottés se découpent sur fond multicolore, balayés par ses longs cheveux noirs. L’effet est saisissant. C´était d’une sensualité torride. En contre-jour, on l’imagine sans peine à moitié nue. Il savoure longuement ces images, ce qui n’arrange en rien l’état de ma braguette. Tous les yeux sont rivés sur elle. Un soir ce charm naturel attiree l´attention d´un homme l´attirance est immédiate. L’alcool commence à faire effet et bientôt un flot de pensées interlopes m’assaillit. Elle a un cul d’enfer, une paire de seins à couper le souffle… Elle ne perd pas de temps et elle a de la suite dans les idées.

- Je vais être franche avec toi. Je suis une femme libertine. Tu sais comme moi que les fantasmes stimulent la libido.
- Je te plais dit-il.
- Oui, mais...?Tu peux sortir faire un tour ou rester pour me regarder, mais tu ne participes pas. J’espère que le spectacle t’a plu?
-?J’espérais bien que tu sois cochonne comme ça, et je ne suis pas déçu.
-?Et à quoi aurais-je droit à quoi, comme récompense?
-?Tu pourras me peloter les fesses, mais pas plus!
- OK, ça me va. Dis-moi, tu sembles intéressée, dirait-on?
- Humm, non, répondit-elle avec un sourire complice.
? - Si tu as envie de jouer, ne t’en prive pas, ma chérie!
- Ça t’excite ? questionna-t-elle.
- Quoi? Qu’on nous regarde?
- Oui; l’idée t’excite?
-?Décidément c’est une idée fixe. J’ai baisé avec d’autres.
-?C’est une proposition?
- Une condition.
-?Une salope!?Euh… Tu sais… C’est un de mes fantasmes…


Elle vient de me proposer un nouveau jeu… Elle voudrait s’offrir à un homme qu’elle aurait « dragué » elle-même. Sa silhouette, ses seins arrogants, ses jambes, ses cuisses fermes et galbées, son sourire coquin, son regard de braise… Son petit penchant pour l’exhibitionnisme nous a poussés, à plusieurs reprises, à faire l’amour sous le regard de voyeurs divers et variés. Elle saisit son verre, se pencha en avant, le fit tinter légèrement contre celui de Fortune puis se laissa aller en arrière dans le profond canapé. Si profond que son geste fit remonter largement sa robe, offrant au regard de l’homme le galbe de deux cuisses fermes, ornées de bas dont la large bande de dentelle augmentait encore la sensualité.

Plusieurs couples dansent des slows à deux, à trois ou à quatre en se pelotant ouvertement. Les filles sont généralement habillées très sexy, avec des robes qui laissent transparaître leurs sous-vêtements, quand elles en portent… Elle aimerait qu’il se vide en elle, sentir leur foutre éteindre l’incendie qui se répand partout. Vanuse brûle de mille feux. Vanusa, pour la nommer, se dandinait de manière provocante sur la piste. On devinait malgré la foule et l’obscurité la nudité de ses fesses. Un homme se colla à elle, un Black, grand, il n’en voyait que les mains sur son ventre dénudé. Connaissant ses goûts, il se retirait sur son siège en attendant la suite. Il apercevait de loin en loin l’approche de l’homme, il se collait contre ses fesses, semble-t-il pour lui faire sentir sa virilité, ses mains devenaient plus précises, s’égarant sous la robe et sur sa poitrine. Dans les toilettes il la léchait devant moi, elle gémissait tout en lui déboutonnant la braguette, et elle sortit son sexe, énorme, en érection complète, et se mit à le branler.

-?Oui Vanusa, viens sentir ma grosse bite noire, regarde comme elle te remplit.
-?Je sens ton bâton, va plus loin, défonce-moi, je suis ta salope, j’aime ta queue, je n’ai jamais ressenti ça.
- Chienne, traînée, tu aimes le Black, je vais te baiser toute la nuit.
-?C’est bon, tu es gros, j’aime ta bite, j’en rêve depuis longtemps.
- Baise-moi comme une chienne! Tu baises comme un Dieu.

Il se régale du spectacle: Vanusa s’empale sur ce gros vit qui s’enfonce doucement dans son minou, pourtant elle est étroite mais elle semble l’avaler sans difficulté. Le va-et-vient commence, la grosse bite va de plus en plus profond, j’entends les gémissements et les halètements. Elle se penche et l’embrasse, il pétrit ses seins, enfonce un puis deux doigts dans son anus, elle pousse des petits cris, la cyprine dégouline, la queue luit, la cadence s’accélère, il n’existe plus, les mots crus fusent. Il sortit sa bite encore droite, sa bite luisait de cyprine.

- Tu as aimé, tu as joui? ?J’aime la voir heureuse.
- Tu n’as rien vu, Il m´a comblée.

L´homme de asa vie oui l´était envisage déjà un avenir commun. Elle était une belle femme. Puis de ça il promette monts et merveilles. Cette nouvelle conquête ne comble pas que ça liberte. Elle est aussi sa complice de sa cupidite. Il l´avait trouvé une nouvelle proie à Eexplorer et à contrôler, mais cette relation satisfait ses appetits sexuels.
Elle devient nymphomane, chienne, elle en veut de plus en plus. C´est sûrement ce charisme qui l´attiré chez-lui. Il était un bad boy que richement su séduire Lla jeune femme. Il était policier de metier ont elle rêvait, mais elle méfiait des hommes qui ont l´ego plus gros que le coeur, parce qu´au final será forcément brisé, le mois suivant ils se retouvent régulièrement dans La boîte de nuit et immanquablement il lui fait le récit exaltant de ces folles arrestations de barons de la drogue dans le coin le plus sombres de la ville. Ces deux passionnés ne tarde pas.
Sous le drap, un corps est allongé. Il se met subtilement à bouger. Des doigts cherchent frénétiquement le bout du tissu pour le retirer. Une dame en robe de nuit se lève subitement. Ses traits sont tires dans tous le sens et ses cheveux sont dressés comme des antennes-relais. Une panique curieuse envahit son être. Son visage est perlé de sueur. Ses nerfs semblent à vif car ses membres sont crispés, tendues comme les câbles d'acier du pont de Rio-Niteroi. Elle garde ses mains contre son thorax. Son cœur bat à la chamade. Des frissonnements dansent sur sa peau. Dans les ténèbres de sa chambre, elle palpe les alentours de son lit. Ainsi, elle parvient à allumer une lampe qui est sur un meuble à sa gauche. Une fois cette tâche accomplie, elle retire l’oreiller sous la tête de l’homme qui dort à ses côtés. Elle le secoue vivement comme un sac de patates. Elle va jusqu’à le taper sans autre forme de procès. L’individu ne semble rien sentir, il semble loin du monde réel. L´a emporté sur les rives où il côtoie des fantaisies qu’il sait ne pas posséder dans la vraie vie. Un sourire est au bord de ses lèvres. Il nage dans un bonheur rare que la dame à côté veut lui enlever. Au départ, toutes les actions de la femme en robe de nuit sont vaines. Mais, ses gestes violents et insistants finissent par le tirer de ses rêveries.

- Lève-toi chéri.
- Qu’y-at-il? Répond nonchalamment l'homme à demi-éveillé.
- N’as-tu donc rien entendu?
- Quoi donc? Il fait nuit, rendors-toi. Tu as dû faire un vilain cauchemar.
- Je ne plaisante pas chéri. J’ai entendu comme…
- Comme quoi chéri?
- Je peux t’assurer qu’il y avait un bruit sourd, pas plus tard que deux secondes.
- Je n’entends rien moi.
- C’est normal le bruit vient de s’estomper. C’était un son fort et sec comme une détonation.
- Tu n’as aucune arme pour te défendre, ma Chérie. Je ne veux pas t’emmener avec moi, cela pourrait être dangereux pour... Allez, viens. Ne perdons pas de temps.
- Mais il y a quelqu´un là.
- Soyez tranquille. Je saurai analyser les éléments avec froideur. Je vois. Parle moins forte. Tu pourrais alerter les brigands. Il y a des traces de pas curieuses sur le tapis qui ne semblent pas très cohérentes. Les traces de pas indiquent qu’on a fait un aller-retour.
- Maintenant que tu le dis, ça paraît si évident. Ce n’est pas grave, coupe court. Misericorde! S’écrie-t-elle.

Son cri déchire la nuit. Une chose horrible. se dresse ou plutôt est allongée sous ses pupilles. Ses yeux se révulsent et elle tombe évanouie.
Vanuse Barreto avait disparu. Les enquêteurs la recherche parout. Inspecteur Delahye commence ses investigations. Il découvre que le portable de Vanuse avait été localisé dans le parc d´été et la Police était dans une végetation dense. Il faudra de temps pour la fouiller minutieusement, personne ne l´avait vu, personne ne savait comment se portait la petite ça. Deux jours plus tard La Police tient une première piste. La voiture d´elle a été repéré à près 400 mètres au parc gare evant une résidence toutefois les enquêteurs restent à distance du véhicule dans l´espoir qui lui fornisse des précieux índices. Les policiers sont postes em faction pour observer la voiture dans um eventuel suspect s´approche. Alors les policiers dans le parc sentirent l´odeur d´un corps en decomposition. Il a progressé à la lisière do bois il a finalement retrouvé le corps de Vanuse. Elle avait été abatue pour une arme de calibre 22. Elle avait été touchée au niveau de l´arrière du crâne. Dans la voiture garé était attaché dans son siège le bébé de Vanuse mort avec une balle en plein coeur. L´inspecteur Delahye apprend l´horrible nouvelle. Le pire cauchemar de tout parent c´est de perdre son bébé de cette façon. Dans la voiture de Vanuse avait été rencontre un carte de crédite d´une des amants du policier. La femme en questão est visiblement encore éprise de l´existence d´autre femme dans la vie du policier son amant. Jusqu´alors Delahye dispõe de preuves indirectes. Il prenne connaissance dês images de vídéos surveillance du parc il ait prise La nuit em différentes prise de vues du parc les images au moment qu´il tire sur elle on voit Vanuse gisant sur de dos visiblement inert et le policier a disparu après une nouvelle alternance dês câmeras, le corps sans vie de Vanuse. C´est plus que suffisant pour l´assassin de Vanuse et le bébé aller à prison.









6

Rio de Janeiro – Brésil. Si la femme voulait réussir dans cette ville il vaux mieu avoir un physique parfait. La belle blonde s´appelle Josie Campos. Elle attire l´attention partout. Tout a commencé bien avant est à des années lumière de la bonne scociété dans la ville du Rio de Janeiro. La famille d elle était pauvre mais la jeune ille ne manque pas de l´ambition, elle voulait une vue meilleure et elle avait tout fait pour y arriver. Elle avait tout imaginé dans sa tête, elle savait ce qu´elle devenir après avoir terminée le lycee, Angela travaille dans une association à but non lucratif. C´était la premiere fois qu´elle était en contact avec ces dames de La bonne societe, Elle était émerveillé par leur tênue, leur accent, la façon de bouger, elle aimerait de vivre le même genre. Elle avait volonté de devenir une star, elle change de nom et se fait appeler Josie Campos. Elle se réenvente en permanence elle cherchait toujours a en apprendre plus, elle suivit de cours d´éloquence de danse le thêatre surement aussi, Josie Campos devient l´actrice pour la TV et mannequin et Blonde aux yeux verts, la femme porte un trench et des bottes en cuir noir ainsi qu’une toque fourrée sur la tête, Josie Campos porte une robe noire, courte à dos nu et des escarpins brillants, disposés les sous-vêtements: bas, collants, culottes, strings, porte-jarretelles, soutien-gorge. Décidée, elle franchit l’entrée, elle travaille le soir comme danseuse dans un night club à la mode. Le pire, je suis lucide dans son plaisir de provoc’exhib’. Sur la piste de danse, des jeunes filles exhibitionnistes dansent semi-nue de façon sensuelle sans se préoccuper des regards d’autrui. Sa chevelure blonde qui ondulait, mes grands yeux bleus attiraient les hommes.
A partir de ça elle s adonnait à la cocaïne. Un client la regada interesseé par sa beauté. Il est un homme d´affaire milliardaire de 60 ans, três intelligent et Il était plutôt agréable à doué elle lui regardee et danse avec élégance… La danse se prolongea. Elle en étaist déjà fiévreuse, frémissante… Cherchait du regard du client et le trouvait immédiatement. Elle vit dans ses yeux une interrogation… admirative. Un homme riche en tout le sens du terme. Il insére penchant poue les belles jeunes filles. Josie était determinée a s´amuser avec lui et gravir les échelons pour épouser un homme riche.et se faire une place au sein de la haute société. Elle avait se marié avec lui et allait vivre dans un manoir de 5 étages. et puis d´aller à Cannes elle allait le tuer. Chirurgie esthétique, mensonge, c´est l´argent facile, rapiement Tout le monde savait qu´elle avait réussi à attirer le milliardaire. La belle blonde dans une robe légère qui virevolte sur ses cuisses, avait entre dans La voiture. Elle l’adresse un sourire accompagné d’un très poli « bonjour ». Sylvie avait maintenant les yeux brillants, et elle a perçu toute la provocation de sa remarque malicieuse. Sa main gauche a glissé entre ses cuisses, elle a frôlé ses bas jusqu’à la frontière de la dentelle sur sa peau nue, et elle a remonté sa robe pour livrer ses cuisses à leurs regards égrillards.

- Il fait chaud, tu ne trouves pas ? A-t- il dit dans un murmure.

Alors, elle vit le chauffeur regarder se belle jambes sur le retroviseur de la grosse Bentrey noire. “Pourquoi vers moi? Un dragueur? Un voyeur?” Le décolleté était très profond et ses seins bien fermes étaient compressés sous le tissu légèrement extensible. Instinctivement, elle resserre les cuisses, ce ne serait pas la première fois qu’un pervers fait une tentative. “Il va falloir que je me decide”. Elle joue la surprise, l’étonnement, et lui montre même désagréable, faisant celle qui n’aime pas qu’on l’aborde. Elle relève la tête, croise son regard et retrouve son sourire, apanage des dragueurs.
Elle qui n’aime pas les bijoux, porte exceptionnellement un collier et des boucles d’oreilles dorées. .Quand il s´arrête au rouge elle, pour immortaliser ce moment. Elle décroise et pois recroise lentemente ses parfaites jambes interminable devant les yeux du chauffeur en êxtase. Dans la voiture la tension avait définitivement fait place à l’excitation. Si le regard de Josie s’éparpillait toujours dans la rue, il luisait la luxure. Elle a fini par tourner vers moi son visage souligné par un sourire carnassier, et sa main est venue directement palper la bosse qui déformait mon pantalon.

- Vous êtes magnifique madame.
- Quoi? Qu’est-ce que vous me voulez? Vous voyez bien que je suis occupée! ?Non ! Ne me dis pas que tu m’as matée?
- Vous-êtes une reine madame. Irrésistible mais reine. Tu es si belle.
- Quel magnifique compliment! Je suis belle à ses yeux. Moi, la femme de son patron. ?Je crois qu’on va bien s’entendre tous le deux!


Le fait de s’asseoir dans la voiture eut pour effet de remonter sa robe au niveau de ses hanches, laissant apparaître son sexe. Elle était assise les fesses en contact avec le siège de l’auto. Elle s´approche d lui, Au premier feu rouge, Elle lui fait perdre la tête. Elle masse fermement son sexe à travers le pantalon, elle se jette sur les lèvres de son amant. Leurs langues s’emmêlent alors que le feu passe au vert. Elle lui susurre à l’oreille:

- ?Déjà? Et ça t’a plu? ?Ça peut s’arranger, ça.
- J’ai très envie de toi. Tu es mon cheval.
-?Alors, ne commence pas par là tout de suite…
-?Alors si tu veux me baiser?
-?Tu exagères quand même. Et maintenant? Tu as prévu quoi?
- J’ai plein de choses encore pour toi, si tu as encore envie bien entendu.
-?Oh oui, je suis excitée comme jamais, tu n’imagines même pas.
-? Tu es fou, mais j’aime ça.Tu ne vas pas me laisser dans cet état, mon chéri?
-?Comment ça?


Il avait une envie folle de se déboutonner pour sortir sa verge qui commençait à être à l’étroit dans son sous-vêtement. Il réalisa que cela pourrait être dangereux. Mais à ce moment-là il prit conscience que sa voiture arrivait sur la voie d’accès du parking. Il voulait jouir, il en avait besoin!
Elle a commencé à faire sexe avec le chauffeur Black de 22 ans. Un peu de temps il tombe amoureux de la belle blonde de 26 ans. À partir de ça les mois suivent la tension est palpable et de nombreux dispute explose. Mais Josie est decide a tout faire por que sa relation avec le chauffeur fonctionne. Elle est devenue une vraie mondaine. Elle faisait son chauffeur d´esclave sexuel. Josie Campos passe d´un amant à l´autre à un rythme endiablé, elle n´est non pas une double vie, il triple vie, elle cachait des choses, elle avait trois amants au même temps. C´était une maîtresse insatiable qui veut assouvir tous ses désirs sexuels.
L’été était chaud et très agréable cette année-là. Il faisait très chaud en cette nuit d’été et de fines perles de sueur brillaient autour des yeux. Ils sont dans un club libertin. La boîte est superbe. Ils sont ébahis devant tant de luxe. Elle croise et recroise ses jambes, faisant adroitement remonter la robe un peu plus haut, laissant apparaître le bord plus sombre de ses bas. Mais souvent sa robe est remontée et le type a une superbe vue, elle sait que cela l’excite alors elle prend son temps pour bien lui montrer ses parties intimes… Jamais elle n’a porté une robe aussi sexy. Elle dévoile beaucoup de choses, son dos bien sûr, mais aussi ses cuisses, très haut, sans compter le décolleté très plongeant. Pour compléter, elle a acheté les chaussures d’été à lanières et talons hauts… Rouges elles aussi. Une nébuleuse de sensualité flottait autour de son corps. La blonde va laisser éclater toute sa sensualité et découvrir de nouveaux plaisirs. Le chauffeur et elle conviennent d’un code pour leur relation future. La blonde a attiré bien des regards. En particulier, elle n’a pas échappé à celui d´forte Black Assis devant eux. Marie ne voit pas le clin d’œil du black en sa direction. En plus d’être belle, Josie est une chienne dominante. Elle lui glissait à l’oreille des mots du style:

-?Tu es super belle dans ta robe. J’ai vu plein de mecs qui n’arrêtent pas de te regarder.
-?Arrête, flatteur.
- Tu as vu ce mec? Pas mal, hein? Tu aimerais qu’il me saute, hein? Tu aimes ce que je te fais, n’est-ce pas? Et alors, c’est toi qui va me voir avec un autre homme? Dit-elle au chauffeur.
-?Tu me mets au défi, c’est ça? ?Ne t’inquiètes pas pour cela mon amour, ce soir, ce sera ta fête!?Voici de quoi assouvir tous vos désirs.
- ?Merci mon cœur. J’ai envie de faire bander ces hommes jusqu’à l’explosion de leurs sens. Et tu vas m’y aider! Tu vas voir comment ta petite femme peut devenir une chienne en chaleur quand on lui en donne l’opportunité.

Elle se dirigea vers une table au centre de la salle, comme si elle voulait retenir toute l’attention, comme si elle voulait occuper l’espace tout entier. Les tables sont rondes et dressées pour huit couverts, comme souvent. Tout en dépliant sa serviette pour la mettre sur ses genoux. L’ambiance est feutrée, la musique n’agresse pas les consommateurs, l’éclairage est tamisé comme il se doit dans ces lieux, propice aux complicités. Il se délectait du spectacle. Elle toujours a un brin exhibitionniste, fascinée par la perspective d’être nue, de montrer son corps (presque) parfait à tous ses amants et parfois aux autres. Ce n’était pas la première fois qu’elle vivait des moments extraconjugaux. Sans doute parce qu´elle a besoin d’être aimée, appréciée, dévorée du regard, parce que c’est rassurant quelque part d’être dévorée des yeux, d’être belle et désirable… Elle se sentait merveilleusement bien. À savoir un savant mélange de retenue et d’audace, de désir romantique et de passion torride, d’un grand besoin de caresses préliminaires, sans toutefois s’éterniser, conduisant inexorablement aux explosions de la chair et à l’ivresse de la jouissance.

- Tu as la chatte en feu, ma jolie, je vais bien m’occuper de toi.?Tu en veux vraiment, toi, tu es docile; ton mari, il ne doit pas s’occuper de toi. Quel con!
- Tu m´attend, dit elle au chauffeur.
- Oui, mon amour. Je t’attends, mais ne te fatigue pas trop…
-?Salope, tu t’es déjà fait baiser par ton mari.
-?Oui, deux fois, répond-elle fièrement.
- Une salope qui ne pense qu’à baiser. ?Salope… Traînée… Putain… Dépravée… Possédée… Oui, possédée. Le démon est en toi.

Elle quitta la table. Il la regardait s’éloigner, ses hauts talons la contraignait à faire onduler ses jolies fesses rondes. Il voyaist l’homme la serrer, faire glisser ses mains sur son corps et, quand je croisais le regard de ma femme, il voyait son regard brillant de malice, un peu surprise d’oser de se laisser faire, mais visiblement heureuse de s’offrir ces instants. Il voyait l’homme lui murmurer à l’oreille, lui arrachant quelques sourires, et, quand sa tête s’est penchée vers elle, elle n’a pas dérobé ses lèvres. Leur baiser a duré de longues minutes, au rythme de la danse. Il pouvaist même deviner son excitation à l’humidité brillante de sa fente bien lisse. Il imaginait l’homme y glisser son sexe, la remplir de sa semence…
Il est 4h30 du matin, le chauffeur lui propose de la ramener… Il n’a pas pu résister à lui faire l’amour aussi, à se mélanger à sa semence. Sensation vraiment bizarre que de sentir mon membre se glisser, se baigner dans ce foutre. Il ressentait vraiment le plaisir du cocu qui, au plus profond de sa amante, sent les traces du passage de l’autre.

L´avenir s´annonce sombre et orageux. Malhereux, son mari perdu si on eut dire, il passait du temps dans le bar à boire, fumer, il faisait dês rencontres feminines. Il commençait laisser charnmer par la reine des industries de papier appellée Mercedes Lafer, il courait après et il aimait ça comme tous les hommes. Elle est une femme determinée. Josie demande à un detective prive de suivre son mari., elle était hors d´elle. Elle apprend que son mari a une relation serieuse avec une socialite. Elle ne supportait que s´est passait dans ce milleu. Elle prend beaucoup de medicaments car elle était três nerveuse. Ell trouve dans son armoire la pharmacie um réconfort face a l´infédelité de son mari.
Une blonde de origine russe incriyablement belle, une chose qui l´interessait tourner c etait l´argent et rien que ça. Qui ne rêvait de vire dans le luxe et l´opulence. Bien que privilegie les riches veulent souvent toujours plus. La tentation est toujours présent dans ce grandes maisons ou règne parfois um ménage à trois particulièrement vicieux, sexe, argent et meurtre. La belle separée de son mari Hans Meville, milliardaire de 43 ans avec 59 milliards dollars a Bil Gates. Josie Campos était toujours aux prises avec la jalousie. Elle avait ssuppçonné que son mari avit La reine dês industrie comme as amante. Elle povait faire presque tout, mais il pas pouvait. Avec le chauffeur il lui donne tout que son mari ne peut lui donner. Sexe tous les jours et sentimentalement. Il était le roi du logiciel informatique. C´était un homme brillant aussi très excentrique.
La blonde russe attire les gens avec sa personalité et son physique de damner un Saint. C´était une femme intelligente belle au charme exotique. Elle a appartenait à la classe moyene, elle ne faisait pas partie de ces jeunes femmes désespérées prête à tout pour fuir une situation horrible. Le magnat des ordinateurs allait se marier avec elle. Mais sa nouvelle femme avait elle d´autres intentions. Son mari souhaitait qu´elle devient une femme du foyer. Elle se voyait dans une cage dorée incapable de sortir, prise au piège par son mari que lui imposait ce qu´elle pouvait faire qui n´est pas faire. Les mois passent la blonde mene une doule vie. La femme avait persuadée que son mari La trompe et que tôt ou tard il allait La changer pour l´autre.
Le tueur est en route. Mefiez-vous du sourirre du tueur.
- Je veux le tue aujourd´hui.
Le tueur rentre dans le garage. Il ne lui reste qu´appuyer sur la détente, c´est troublante de se dire qu´une personne va recevoir dês textes regardant l´homme qu´elle épousé le quel elle avait tout l´argent, tout sachant qu´il será mort dans moins de dix minutes,
Audesous du sang partout le sol était plein. le monde des riches la beauté physique peut les conduire à la réussite, mais il peut également être trompeuse. C´était une histoire de cupidité, d´irrépressible cupidité. La blonde voulait à tout prix avoir de l´argent. Au prix de La haute société au tombeau. Ils avaient des grilles pour dissuader lês cambrioleurs chaud, ils avaient des systhèmes de sécurité. Mais il avait oublié un détail, quel point le mal peut venir de l´intérieur. Dans ses belles maisons les riches pensent qu´ils sont à l´abri, mais aucune grille, ni aucun chien de garde ne peut le proteger contre l´ennemi de l´intérieur.




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En haut de la coline a Búzios se dresse une rutilante forteresse La banlieuse chic du littoral nord du Rio de Janeiro. Les pelouses impecables se confonent avec le gazon du golf. C´est une banlieuse riche, tous ceux qui ont de devenir quelqu´un revê des vivres. Ces demeures abrite certaines des personnes les mieux payés, personnes de l´haute société. Ils sont riches epuis des générations et vivent de leur rentes, c est le cas de la famille Rosberg. Les personnes alimentée par la haine sont capables de crime sordide totalement insensé.
Une femme blonde puissante de la haute sociéte, bourgeoise, semblé tirer des ficelles. Toute suíte d´un crime en haute société. Paty se prostituée à l´occasion et prenait de la drogue, les enquêteurs pensent être face à une affaire classique, La mort d´une toxicomane dans une chambre d´hôtel. Elle est descendent d´une famille riche, une de familles plus prestigieuse du Rio de Jaaneiro. Le portier de l´hôtel affimait savoir le coupable. Une femme secrète au passé nebuleuse. Paty Dortman Rosberg est née dans un monde richesse. Ils contrôlent la prense et le système financiers. Paty se retrouvait dans lês soirées mondaines ce qu´elle avait frequenté. Sa beauté a fait vivre vite une figure incontournable de soirées mondaines. Elle était grand et mince avait dês cheveux très blondes et três brillants et elle posrtait des toilettes sublime, elle avait beaucoup de classe. Alors, Paty rencontre Jô Figueiredo un autre grande nom de la haute société. Le coup de foudre est immédiate et mutuelle. Une improbable histoire d´amour va finir dans le sang. Il était un grand aimant à femmes, un an plus tard ils se marient, ils incarnent un couple glamour parfait et savent profiter de leur vie. Dimanche matin tranquille dans ce paradis pour milliardaires, C´est un dêes lieux de villégiature estivale les plus élégants et plus huppés du Brésl. La pluspart des nantis que vivent ici sont encore de peignoir de soie em train de siroter leur café.
Elle s´amusait en soirées mondaines et vacances luxueuses. Quand elle est abandonnée or son mari, elle commence avec les drogues, marijuana, cocaïne heroine et etc... Son mari perdait la tête et cassé une fenêtre pour entrer par effraction dans sa propre maison. Il se mettait dans une colère noire et dans ce moment-là il insultait copieusement son épouse. Il se met à boire beaucop, il consomme jusqu´à une bouteille de vodka par jour. Il est furieux et frustré a commencée dire qu´il allait eliminer son ex-épouse.
Elle allait vivre pleinement sa folie. Elle avait publié un petit annonce pour recruter un jardinier. Cristiano Mosele se presentait, mais il n´était un jardinier comme les autres. Une collectionneur de femmes. Il parlait anglais et français là un homme que devient plus vite bien plus qu´un jardinier. Il avait besoin d´être utile. Il reserve litteeralement sa vie a sa patronne. Çe plus importante dans cette relation c´est la dévotion. D´un côte une femme qui a besoin d´être mise sur un piédestal, d´autre um homme que aime servi. Elle n´a rien d´un ange capable du pire.
La belle femme blonde est en proie à une vive tension et le stress tous les jours. Elle a hésité à ne pas porter de culotte par ce bel après-midi, mais elle a eu peur des conséquences si jamais elle se mettait à mouiller sans parvenir à se contrôler. Cristiano sent le désir inassouvi de la femme. Elle y prenait même un certain plaisir à se savoir desirée. Était là à la peau de pêche et bronzage un peu trop appuyé, qui viennent bronzer seins nus sur le ventre en lisant un bouquin dans le jardin. Il adore la regarder, tout ce qu’elle fait est d’une délicatesse extrême. Elle avait commencé à porter de grands décolletés mettant en valeur sa poitrine, à adopter des tenues sexy et même provocantes. Elle aimait observer les effets produits sur le jardinier une fantasme de lui, du moins passé la trentaine si on en croit ce que l’on peut lire et voir ici ou ailleurs et qui consiste au moins en rêve à offrir aux regards pour le moins ou plus sa propre volonté.

-?Arrête Cristiano! Ça me met mal à l’aise, on dirait un pervers, là, avec ton regard.
-?J’ai le droit de regarder une déesse de la beauté, non?
-?Oui, mais discrètement!
-?Oh, alors attends…
-?Eh bien? T’as oublié le haut
-?Tu vas rester seins nus? ou quoi?
-?Non, non.
-?Et alors?? On est en Búzios, tout le monde fait du mono.?Un jeu un peu pervers.
-?Si tu veux. Mais s’il te plaît…
-?J’ai envie. Tu m’as excitée.
- J’ai une surprise pour toi.
-?Une surprise?
- Je crois que j’ai trouvé comment nous allons faire pour nous « amuser ». Je vais l´inviter aller avec moi au Bahamas. Boïte de nuit mondaine.
- Formidable. Mais jê vais faaire sexe avec d autres, et vou?
- Je vais adorer. Je sui un voyeur vicieu. Beaucoup de couples pratiquent cela.
-?Me plaire, oui, mais pas au point de… Tu es sérieux?
-?Tout à fait. J’ai bien réfléchi. ?Plus tu auras de plaisir, plus je serai heureux.
-??Oh! Vous me faites rougir. Ce sera avec plaisir. Je fais un peu femme facile.
-?S’il te plaît, mon ange, tu ne risques pas grand-chose et ça me ferait vraiment plaisir. Rien que d’y penser… j’ai des frissons! ?Mets ta plus belle robe, ta plus belle lingerie; je t’emmène au bar et, crois-moi, nous allons vivre un moment merveilleux.
Plus tard... Paty enfile le petit morceau de tissu bretelles à fines, très courte sur sa peau bronzée. La tenue devient maintenant indécente : pour peu que l’on se penche sur le décolleté, les seins sont totalement visibles. Elle arrive souriante, détendue.

-?Comment tu me trouves?
- Tu es belle. Tourne-toi. Montre-moi tes jolies fesses.
- C’est gentil, ça.
-?Euh, j’avoue que je ne m’attendais pas à ça. Tu es sublime. Bandante, mais… ?Elle est vraiment très jolie cette petite robe.

Le club est dans une grande et somptueuse bâtisse en pierre. C’est un ancien moulin qui a été restauré. Ils entrent. La boite est pleine, la musique est bonne. La discothèque est plutôt spacieuse et le décor est accueillant. Déjà, sur la piste beaucoup de monde se trémousse. Une majorité de personnes avec une moyenne d’âge de 30 à 35 ans, constitue la clientèle plutôt hétéroclite. Paty a ouvert la première bouteille de champagne à la santé de lui. L’ambiance un peu trop « alors on baise », s’est petit à petit transformée, plus cool, sexuelle certes, mais cool. Les décors étaient superbes, les vêtements élégants, les clients très séduisants, l’histoire réaliste, mais surtout la progression dans la perversité de La blonde la montrait dans des situations de plus en plus chaudes Ils échangent des baisers très, très chauds, tout en sirotant ses verres. Quelques bijoux et un maquillage discret, valorisé par son rouge à lèvres rose pailleté brillant, lui donnent cette apparence de pute de luxe qu’elle revendique dans certains cas. Elle croisait et décroisait les jambes. Alors, sans la culotte, cela attirait les regards. Elle lui avouait que l’homme l’avait proposé de le suivre aux toilettes.

-?J’ai l’impression d’être une adolescente qui se fait draguer par un Black jeune.
-?Fais-le, ma chérie: tu en as envie, et moi aussi.
-?Tu le veux vraiment, mon petit cocu? et moi une vraie petite putain. ?Je vais vous laisser.
-?Ça peut peut-être s’arranger.
- Je vais te faire plaisir ce soir, mon chéri… Ouvre bien les yeux.

Les choses sont claires, et il est pris à son propre jeu. Il avait devant lui un corps et un esprit entièrement tournés vers le sexe. Au fond de la salle, une porte. Derrière cette porte, un escalier qui monte. Où mène-t-il? Dans les toilettes Celles-ci sont vastes et propres et c’est déjà ça, la partie lavabos est commune aux hommes et aux femmes. Paty s’agenouille et embouche son phallus.

-?Votre queue est magnifique… ?J’en rêvais…Vous aimez?
- Oui, salope, chaude du cul, suceuse de bite. ?Vous êtes une vraie chienne.
- J’en ai toujours rêvé…


Le black vient se placer derrière elle; il lui pénètre avec une grande facilité et s’active derrière elle aussi indécente, aussi animale que sa belle. Le black pilonne vigoureusement sa proie consentante mais malheureusement au bout de deux minutes à peine sa fougue l’emporte et il éjacule aussitôt! Son petit cri initial s’est transformé en un long beuglement de femme bien prise et superbement baisée. Vingt minutes après elle était de retour; les yeux de sa chérie brillaient comme jamais. Elle lui parle si près qu´il sens l´odeur de foutre. Elle sent bon. Son parfum a changé. C’est une odeur de jouissance.

-?Alors, oui, t’es cocu, mon chéri et tu n’as pas fini de l’être! ?Eh oui, mon chéri. Tu voulais être cocu? Eh bien c’est fait! Tu veux une preuve? Mets-toi à genoux.?Renifle ma culotte. Lèche-la. Tu sens bon le sperme. Allez, bon cocu, tu vas me nettoyer la chatte.


- Tu es belle. Paty, que tu es belle! Je serai le plus heureux des hommes si… Si vous se marier avec moi.

Três vite la socialite Paty allait se marier avec Cristiano Mosele son jardinier. Il etait considere comme intrus, et le menace pour la fortune.
Le 20 de février , um emplyé découvre le corps d´une femme dont le conduit de climatization de la chambre numéro 9. Elle a été étranglée et ligoté, elle n´a pas de papier. Quatre jours plus tard, Paty Figueiredo vient de signalé à la police la disparition. La dernière fois qu´elle se rendait à l´hôtel del mar, La piste mene lês enquêteurs immédiatement à Cristiano leur jardinier avouait à police qu´elle se prostituait à l´occasion et prennait de la drogue. Les enquêteurs pensent être face à une affaire classique. La morte d´une toxicomane dans une chambre d´hôtel. C´est une socialite d´une grande famille, Inspecteur Delahye di que c´était difficile à croire quand du pont soit mêlé à um meurtre sordide à la Búzios, mais au cour de la enquête Delahye a mis au jour une histoire qui menait directement verbe une des familles les plus prestigieuses et plus secretes de l´haute société. Le portier disait qu´il connaître le coupable. Il accuse son ex-mari d´avoir cherché à se débarrasser de Paty. Elle avait un passe tumultueuse. La Police avait toutes les preuves nécessaires à son enquête. Deux policiers ssont arrivé à la maisson du suspect. Il étai três coperatif, mais quand les policiers mentionne le nom de Paty l´atitude de lui change. Ses mains tremblaient qu´il n´avait aucune raison d´être nerveux. À l´intérieur l´atmosphère était enfomé, Il s´indigne et fumait un cigarrette sur cigarette. Il ne craignait la police. Enfin il finit por confesser qu il agi Seul. Le motif était la divison de sa fortune. Les enquêteurs sont surprise avec l´interrogatoire. “Vous-êtes en état d´arrestation”, dit Jacques Delahyé. Le milliardaire est reconnu par la justice coupable d´homicide, et condamné à 20 ans de reclusion qu´il purgera au pénitencier. Jô Figueiredo passe quatre mois en prison et doit payé une amende de un million de dollars pour repondre en liberté. La punition est légére en comparation le grave crime. Le jardinier Cristiano cet homme jamais eu quelque problème avec la justice dans les dernièrs 20 ans. Il avait caché pendant six mois plus tard, Jô Figueiredo succombé à un enfarctus. L´enterrement c´est trait un trait commun à tous dans l´haute société.

Fin
Teresina pr@hotmail.com
Ivan Ribeiro Lagos



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