Total : 3054
En attente : 1

Sexe
Soumis
Mature


Histoires par auteur

Hetero (872)
Entre hommes (244)
Entre femmes (74)
Transexuelle (72)
Premiere fois (257)
A plusieurs (834)
Jeune adulte (139)
Mature (120)
Soumis,soumise (284)
Inclassable (159)

Ma belle ! ( Suite 1 )
sabine salope de village
Souvenirs du temps passé VII
Cet obscur lieu du désir
soumis au sex shop






Les aventures d´une top-modèle

Ecrit par Ivan
Parue le 20 08 2021
Il n'y a pas de commentaire pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 1381 fois | Cette histoire erotique a une note de : 0.244443/20

Noter ce récit erotique !



Les aventures d´une top-modèle

Préface

Ceci est une histoire vraie, même si personne avait de mal à y croire. Ce livre a été une expérience litteraire incroyable. C´est une histoire de succès d´une top-modèle et mannequin brésilienne. La prense en revient toujours. C´est une histoire d´amour sans finale. Tout Le monde la connaîssait. Elle quittera son village à la poursuite de ce rêve. Malgré les obstacles qu’il y aura sur sa route, elle finira par y arriver grâce à son acharnement, a ses risques et périls. Elle avait l´heure de faire tout. Personne pouvait l´arrêter même si il le voulait. La belle blonde célébre, Gina Vandreminni est belle, intelligente, mytérieuse, élégante, impressionnante, sexy, Elle a sacré caractère des projeteurs sur la star des passerelles. Top-modèle, mannequin le mythe de la mode. C´est une jeune femme libre. Elle aime manger baiser, boire. Elle est une bonne vivante et aime faire sexe. Très connue à travers de Chanel, Yves Saint Laurent, Dior, Galliano, Versace. Elle a froid aux yeux et elle a peur de rien. Sa forte personnalité porte la marque d´une blessure intime.

1

Était une fois, dans un royane lointain, une jeune fille aux cheveux d´or en la voyant, les villageois s´écrièrent: Qu´elle est belle! Elle adorait se faire photographier et les gens adoraient la prendre en photo et lui rendre service, et il fallait passer autre ses vêtements et sa coifure. Mais elle était espéciale. Mais c´est elle qui l´a inventée. Elle pouvait tout. Mais elle a son instinct quel qu´en soit le resultat. C´est sûrement ce qu´il y avait de mieux et de pire chez-elle. Comme disait le poète: “Les belle femmes sont un paradis pour les yeux. Un enfer pour l´âme et un pourgatoire pour la bourse”.
Tout à commencé, il y a trois semaines quelqu´un de san esprit n´aurait pas souhaité être à Rio de Janeiro à ce moment-là. On craignait alors que le pouvoir de séduction ne touche à sa fin. Cela peut paraître surprenant de la part d´une mannequin, mais les photos ne montrent pas l´âme de quelqu´un du moins, pas montrent pas complètement. La mode toujours été sa passion. Elle e´tait toujours ne personne extravagante, elle s´imaginait styliste créant chaque année de nouvelles colletions mais la vie a été imprévisible. Grace à ses ronders elle est devenue l´égérie de plusieurs marques de prêt-à-porter féminin.
Avec Gina Vandreminni tout était question de sexe. Chaque regard, chaque mouvement, chaque minute, chaque jour. Elle draguait tout le monde, mais en toute innocence. Personne ne s´en vexait. Ça n´avait rien à voir avec le sexe. Elle couchait à droite et à gauche dans un tout autre but. Ce n´est pas le sexe, le problème. Elle ètait au courant pour la drogue. Gina avait peur de la drogue, de la façon dont elle se l´administrait. Tout est allé si vite, du jour au lendemain. Son visage s´est retrouvé partout. Une vraie célébritée. Une mannequin a son heure de gloire. Toutes les mannequins étaient blondes et belles. Enfin, celles qui réussissent à percer, être du moment c´est tout ce qui compte dans la mode. La mode, ce n´est pas de l´art. Ce n´est même pas de la culture. La mode, c´est la publicité et la publicité c´est l´argent, et pour chaque dollar gagné, quelqu´un doit en payer le prix. Elle avait entré dans l´agence avec ses cheveux d´or, mêmes yeux bleus et une silhouette très fine. La robe rouge ondule très agréablement.

- Il vous faut une fille avec sang dans les veines. Tu dois être Gina, dit le photografe.
- Comment tu connaît mon nom?
- Je suis Dieu. Je sais tout. Tu as un problème avec drogue.
- Je vois. Même Dieu connaît mon nom. Mon problème de drogue est connu de tous. Je ne suis pas discrète. Mais je ne peux vivre comme ça;
- Avec un visage pareil, tu n´as pas besoin de nom. C´est ton visage qui nos intéresse et ses seins que sont parfaits.
- C´est normal d´avoir trac pour sa première séance photos. Tout ira bien.
- Voyons voir ce visage très jolie, montres vos dents. Chaque photo fait une promesse.

Il était une fois, Il était une fois. C´était un conte de fées. C´était un conte de fées devenu réalité. Une fois mariée elle avait disparu, mais les médias la garde pour toujour. C´était la naissance de Gina Vandreminni.

- J´ai déjà vu tes photos, chérie. Un producteur m´a les a envoyées. Je voulais voir en chair et os. Extraordinaire. Phénoménale. Une vraie mine d´or.
- Eh bien, me voilà.
- Ça, c´est sur. Oui, eh bien...
- Tu es belle et Jolie. Je pense que vous arrivez là.
- Tant mieux, c´est le but. Vous savez-vous ce que je recherche? Vous allez m´obtenir un boulot, alors?
- Tu es geniale. Ça son charme chez une fille 18 ans et avec un peu de chance. Il s´agit d´une carrière d´un avenir. Écoutez, tu vas faire une voyage jusqu´à New york. Un défile de mode prêt-à-porter de Galliano.
- Nous besoin fêter ça.
- J´ai des trucs à faire, avant nous alons à un bar agité près d´ici.
- Qu´est-ce que je vais pas faire?

Alors, elle allait à un bar de coin avec lui. C’est un bar vieux style, avec une petite piste de danse et une scène. La belle blonde est arrivé à destination située au coeur de la ville. Le décor n’a pas dû changer depuis des décennies et on y imagine facilement. Sa tenue s’avérait aguichante sans pour autant se montrer tapageuse. Son allure, tout comme son décolleté plongeant dans lequel son regard se perdit un moment pour y contempler la naissance d’une poitrine généreuse, attira fatalement son attention. Son allure svelte et sexy lui permet bien des aventures.

- Tout ici est inspire en sexe. Ici, est impossible de n´obtenir tout ce que l´on souhaite.
- Ça va être formidable. Regarde. La table au fond à droite. C’est pas elle?

La table est au fond de la salle. Elle, blonde, belle et magnifiquement sexy comme d´habitude sans soutient-gorge, les tetons de ses gros seins sont plutôt evidents, 1 m quatre-vingt, tout le monde la regarda. Un verre de scotch, en fond sonore et une lumière tamisée comblent l’atmosphère.

- Rencontres-tu beaucoup de monde ici?
- C’est plutôt rare, mais ça m’arrive…
- Tu sais que je veux?
- Quoi?
- Baiser. Oui, je veux être bien baisée. je couche avec d’autres hommes, comme une salope, comme une catin, comme une vicieuse.
- Ici?
- Oui, dans les toalettes.
- C´est un truc fou. Eh bien, une jeune femme qui aime le sexe, je pensais que ce n’était qu’un mythe. Je te le promets, sans hésitation et sans réflexion. Tu iras aussi loin que tu voudras.
- Regarde. Il est jeune. Il est beau. C’est-à-dire qu’un type pas mal du tout me regarde depuis un moment et me sourit quand je le fixe… C´est bon signe, non... Lui répond-elle dans un sourire.
- Salut, J´ai hâte de vous connaître. Je m´appelle Paulo. C´est toi, Gina Vandreminni.
- Gina. Je t´en prie.
- Gina... Oh, mon Dieu. Tu es en couverture de la magazine Vogue.
- Voilà ton heure de glorie, quand on travaille la vie est plus facile.
- Il est un top-model de l´agence. Elle est belle, tu ne trouves pas? Elle devrait bien t’aller. dit le directeur.
- Oui, elle est belle, mais regarde, trop décolletée, trop courte. Elle te va bien... Elle est très sexy pour lui faire plaisir.
- Je sais, ce n’est pas très original… Mais tu es beau, dit Gina.
- Je vous trouve ravissante et terriblement excitante. Tu vas le faire rêver de profiter de cette bouche si fine. Ta robe plaît beaucoup.
- Eh bien, dit-elle dans un petit rire d’excitation.
- Enfin, si. Comme fantasme, c’était merveilleux, même si je ne me crois pas assez courageuse pour faire toutes ces choses. L’idée m’excite incroyablement, et pourtant…Tu vas vivre la plus belle aventure de ta vie. Il est à toi.
- Je n’en sais rien non plus. Les fantasmes, c’est comme ça… En réalité, les choses pourraient se dérouler de façon très différente.
- Pour moi aussi, ce sera une nouvelle expérience en réel. Parce que ça m’excite tellement de le faire.
- Vraiment? Quel courage.
- C’est vrai pour les deux.
- J´avais peur de plein des choses. Mais je pense que ça pouvait marcher ente nous.

Gina se lève alors en regardant dans la direction de le jeune homme et elle se dirige vers le petit escalier avec une demarche légèrement chaloupée qu´il observe de derrière dans le couloir qui mène aux toilettes du bar. Ses talons claquent doucement sur le carrelage et elle ouvre la porte de la petite pièce où elle allait vivre son aventure. Une fois entrés et la porte close, Peu de temps après, Il entend la chaise du jeune grincer sur le sol et il devine qu’il prend la même direction.

- Sa bite est belle, grosse, odorante. J’ai la chatte en feu, je suis en train de sucer comme une folle l’objet de mes désirs. Quelle belle bite, bien poilue, quel morceau de choix. J’adore sa queue, j’adore son odeur, j’adore tout.
- Vous êtes une bonne suceuse, Gina, on voit que vous avez l’habitude de sucer et que vous aimez pomper une bite. Arrêtez-vous, Gina, je ne peux plus tenir.
- J’ai envie. Tu m’as excitée. J’ai une envie folle de toi. Oh, baise-moi, Paulo... Baise-moi fort... Fais-moi évanouir de jouissance. Je suis pleine de partout et je veux jouir...

Puis elle se remets entre ses cuisses et lèche sa queue pour bien la nettoyer. Gina adore l’odeur de son sperme, Elle adore le goût de sa queue. Elle essaie de l’en délecter pour ne pas l’oublier. Jusqu’à la dernière goutte elle profite de ce divin nectar.
Elle jouit très fort et se retoune à la table, elle a raison. Les yeux d’une majorité des clients la suivent. De ta chatte coulent quelques goutes de cyprine laissant les petites taches sur le sol.

- Qu’est-ce qui s’est passé avec toi aux toilettes?
- Je suis vraiment désolée, vous devez me prendre pour une folle.
- Gina. tu t´en sors à merveille. Tu es magnifique. C´est vraiment génial... Génial.
- Je suis malade. Je suis indécente, tout de même, non? Tu m’as eue, espèce de sexomane! Lui dit-elle.

Le spectacle que Gina a offert a été superbe et la fait d´y avoir pu participer comme voyeur l´a fait un plaisir ausi délicieux qu´inattendu. À New York, à la date fixée. Décidement, elle aime l´atmosphère qui entoure Le transport aérien. Elle avait déposé son sac dans le coffre de bagages au-dessus de sa tetê. La blonde regarde altemativement à l´intérieur de l´avion.
Gina Vandreminni est choisie de présenter une collection d´une vingtaine de pièces environ. La top-modèle brésilienne a essayé chacune de ce séances a été l´occasion de caresses et la complicité de plus deux jeunes mannequins. Néanmoins, Gina Vandreminni est assez soucieuse de demander formellement d´être son mannequin pour la présentation des créations. Bien sûr, Elle allait monter sur la passerelle son premier défilé. La jeune femme pénétra donc entre les clients. Le premier modèle à présenter est un body blanc uniqui donne l´impression de former une deuxième peau tant il est difficile d´imaginer qu´il a des coutures. Elle saisit des bretelles et les fait glisser sur ses épaules afin de simuler le retrait du sous-vêtement. Les clients semblent immédiatement attirés: en tous les cas ils examinent la mannequin ainsi vêtu avec une grande minutie. Gina repart en coulisse. Elle savait qu´elle est tout simplement parfaite. Lorsque Galliano a presente la totalité de sous-vêtements réalisés par Gina, Elle a réapparut vêtue d´un body à manches longues et d´une longue jupe qui descend jusqu´aux chevilles. Elle est souriante et s´attiré immédiatement les aplaudissements chaleureux de quelques spectateurs, sur lesquels elle a fait forte impression. Après quelques aimables félicitations, la discussion s´oriente vers des propositions de contrat. La rémuneration de son mannequin, la promotion de sa ligne.

À Rio de Janeiro. Il gare la voiture. Quand il coupe le moteur un sourire lui vient aux lèvres. Elle franchait et sourit en renferment de la porte sur le monde extérieur, que d´évênements pour l´amener à cette étape de son existence. Pendant quelque minutes elle demeure immobile à l´entrée du hall et se perdre dans sa contemplation. C´est ici qu´elle allait vivre desormais. Gina s´immerge dans la splendeur ce quil´entoure aujourd´hui contraste de façon spectaculaire sur laquelle elle gisait ce-jour-là. La chaminiée trans versante en pierre monte vertigineusement jusqu´au plafond au-delà. Les nombreuses fenêtres créent um ravissant effet de prisme sur les planchers. La blonde monte l´escalier presque en courant entre dans la salle de bains pour regarder tout. Elle traverse les pièces les unes après les autres en notant lentement tous les détails. Gina Vandreminni allait vivre dans une belle maison où elle était adorée de tous. Elle était très, très heureuse.

- Je vous montre votre chambre? demande-t-elle, après la serveuse avoir déposé le bouquet dans la cuisine.
- Volontiers. Allez-y. Je vous suis.
- Vous avez super bien choisi où vous installer, dit Gerson à la longue. Que peut-on demander de plus? Un joli coin dans un beau quartier, une chouette maison, une jeune fille aussi charmante que belle. Vous en avez de la chance, Gina.
- Et je le sais! Si on arrosait mon bonheur avec un verre de votre excellent champagne?
- Volontiers.
Elle sera à Rome à ce moment là. Ensuite, direction Milan pour Versace, puis Paris, pour Saint Laurent. C´est vraie conte de fées. La solution à tous les problèmes est l´argent, beaucoup l´argent. Un million de photohraphes courent après. Mannequins et agents se disputent les plus grands talents et les plus gros cachets. Trois ans plus tard elle allai trouvé Jorge Marcondes forment le couple ideal. À leur rencontre, le ex-joueur de football portugais en vacance à Rio de Janeiro. C´était une relation amoureuse de la bombe brésilienne. L´ex-joueur portugais millionaire de 40 ans trouve le temps de gérer et poser ensemble pour des photographes et de faire du sport sur la plage. En tous cas ils semblent amoureux comme à premier jour.

- Toute ma vie j´ai eu de la chance. Beaucoup de chance, peut-être même trop de chance, je pense à tous ceux qui n´ont d´autre choix que d´affronter la grisaille d´un quotidien désespérant et souvent. J´ai eu mon lot d´échecs professionnels et personnels. J´ai même l´impression d´avoir parfois du payer um prix élevé au succès à la notorieté et la chance de te rencontrer.

Jorge est un bon mari, merveilleux et elle l´aime; mais depuis six mois qu´ils étaient mariés elle ne peut atteindre l´orgasme avec lui. Pourquoi? Qu´est-ce qui ne vas pas? Cela ne fait que six mois depuis leur mariage et les choses semblent devenir plus ennuyeuses, fades, et banales tous les jours. Qu´est-il arrivé à l´enthousiasme, la surprise, le plaisir et la folie qu´ils avaient avant. Il n´en pouvait plus de ses remarques incessantes. Elle ne savait que râler et se praindre, râler et se praindre en lui prennant la tête chaque fois qu´elle arrivait trop tard.

- Putain, c´est tous les jours la même chose, pense le mari.

Mais depuis um certain temps, Gina ressent quelque chose d´étrange, c´est difficile à expliquer, elle a envie de s´amuser et de vivre intensément. La blonde a l´impression que rien d´intéressant ne se passe, elle se dit que c´est la saison qui fait surgir en elle ces désirs étranges. Ils deviennent plus forts, plus pressant de jour en jour.
Au arriver chez-elle trois heures du matin... Accompagnée d´une frénésie avancée elle avait couru et pénétra dans le grand hall, tomba sur Jorge qui paraissait l´attendre:

- Mes talons ont ruiné mes pieds.
- Mais...
- Ta culotte?
- Je ne porte pas.
- Qu´est-ce que tu dis?
- Je voudrais provoquer.
- Il y a provocation et provocation. Si quelqu´un avait remarque?
- Qu´est-ce qui te dit que ça n´a pas été fait? Seulement un noir avec une enorme bite. Il m´a touché ma chatte. Je l´ai laissé me mettre deux doigts. Elle était comme Venise, à mariée haute.
- Ne me dis pas que tu baisé avec lui? Il était raide et comment?
- Tu n´as pas changé, mon amour. Plus dure que la tienne.
- Bien Sûr. Je suis une femme chaude aussi, non? Tu n´a rien vu... Il y a sperme de lui que coule de mes cuisses
- Oh Gina! Tu me rends fou. Je t´ai appelée toute la nuit. Tu es où?
- Quoi, tu n’approuves pas? J´étais dans la cathedral du sexe. Le Bahamas. J´ai connu un étalon magnifique. Mon vagin est pleine de sperme d´un black merveilleux. Vient me sucer, nettoyer tout comme tu aime.
- Mais si. Tu fais comme tu as envie. Raconte-moi tout en détails.
- Une grande bâtisse au milieu d’un parc clos. C´est une boîte de nuit. C’est le couple propriétaire qui organise des rencontres libertines. Une maison close moderne. Au passer l´entrée de la boîte et l´ambiance est déjà electrisante. Un jeune noir me lance un sourire complice en syrotant une coupe de champagne. Quand il m´embrasse je suis les quatres vent sur mon visage.
- C´est bien calme pour vendredi, dit un serveur.
- Inconnue et silencieuse. Quelle femme mystérieuse vous faites mystérieuse et belle. Tout pour plaire. Ma robe est à terre. Un silence. Mes dessous noirs tranchent sur ma peau.
- Oh, mystérieuse, vous êtes magnifique.
- C’est bon. Oui, c’est bon d’être désirée ainsi. Pendant qu’il me suce les tétons, je cherche la verge de Luc. Il comprend ma demande. En quelques secondes, il se redresse et fait disparaître ses vêtements. Il est nu devant moi. Encore plus grand, plus élancé, plus musclé, plus… plus… Il est beau. J’ai bien de la chance qu’il s’intéresse à moi. Sa verge est une merveille. Elle se dresse contre son ventre, malgré sa taille. Mais rien de difforme, non, une belle tige sombre avec un gland juste marqué comme il faut. Une bite très différente de celle de…
- Tu me jugeais bonne suceuse. Tu n’es plus le seul. Beaucoup d’hommes m’ont fait ce compliment depuis. Ton gland est énorme. Mon cochon, on dirait que la « Mystérieuse » t’inspire. Je change un peu mes habitudes avec toi. Cela pourrait te donner un indice. Je t’entends, mécréant, gémir de mon labeur. Mais je n’oublie pas Luc. Une main délicate tient l’autre mandrin et en découvre la dureté. Un bâton, un vrai, monté sur ressort. Pour le gober, lui, j’ai besoin de me soulever pour aller chercher son gland contre son ventre. Avec lui, j’exerce mon art. J´ai registré de mon celular. Regarde, mon cher mari. Tu es un candauliste qui s’ignore. Regarde comme ta femme suce cette longue tige noire. Regarde comme elle fait coulisser ses lèvres soulignées d’un rouge vif afin que toi et ton complice puissiez en suivre la progression. Je lui branle pendant ce temps. Ma main comme ma bouche font la comparaison entre toi et ton copain.
- Enfin, il s’arrête et semble se repaître du spectacle de mon sexe offert, avance un peu, me respire, se délecte de ma féminité. Je sens son souffle chaud. Je sens ses mains sur mes cuisses qui m’invitent à m’ouvrir encore plus et…
- Je veux que tu me prennes comme une chienne.
- Luc qui s’est levé et qui est en train de recouvrir sa longue tige d’une capote transparente. De mes jambes pendantes, il forme un V, puis les fait reposer sur ses épaules. Mes hauts talons font une touche de couleur sur cette peau sombre. Mon bassin est soulevé. Il guide sa verge qui cherchait la chaleur de son ventre pour en explorer une autre. Une… Ohhhh… Il glisse en moi comme dans une grotte humide. Ma jouissance est le meilleur des lubrifiants. Il avance, avance, m’ouvre, me dilate. Le miroir me laisse voir son mandrin qui disparaît lentement. C’est excitant. Enfin, alors que je pense que mon vagin va refuser une si longue tige, son pubis touche mes cuisses.
- Lentement, tu dois Le sentir,dit il.
- Je jouis. Luc m’accompagne. Ses mouvements sont plus lents, amples mais délicats. Son sexe produit des bruits humides, presque dérangeants, annonçant aux oreilles de tous que la femelle a libéré son jus. C’est bon.
- Mystérieuse, c’est bon pour toi aussi? me demande Luc.
- « Oui » d’un mouvement de tête.

Il est tard, le jour finit. La mannequin blonde avait de sortir seule d´un shopping-center où elle avait défilé par la Chanel. Ce soir elle n´y songea pas, plus que jamais pressé de rentrer. Dans le premier rang elle avait observé un Black acteur pornô “Kid Bengala” célébre pour avoir le plus grand bite du cinéma érotique. Il la regarda avec des yeux de désirs. Il ne perdit pas miette du spectacle s´offrant à lui. Elle était à se faire draguer par un acteur pornô. La mannequin blonde était une jeune femme d´une três grande classe, des yeux bleus, un physique à rendre dingue les hommes du quartier. Des fesses rebondies et une cabrure superbe des seins volumeux et fermes. Toujours maquillée et três sexy. C´est l´été. La douce chaleur du soir l´enveloppe incite à des rapports sensuels. Miss Vandreminni est en beauté. Sa petite robe à boutons de haut en bas laisse deviner sa poitrine bronzée, on découvre la naissance de ses seins san soutien-gorge. Em bas, les derniers boutons non fermés font entrevoir ses cuisses galbées à chaque pas.

- J´adore allumer les mecs, ça m´excite tellement que parfois j´aurais aimé aller jusqu´au bout, se disait elle.

Un peu plus tard elle était assise sur le banc de la place devant le Kid Bengala que la mate avec des yeux de désirs. Elle croisait et decroisait ses longues jambes lentement révélant sa chatte rasée que le rendait fou. Il avait son feu vert suggestif pour se servir et abuser d´elle. Décidement elle avait gagné au loto. L´acteur était sacrement un Black bien monté. Gina avait déjà vu ses films pornôs, mais vivre pour la première fois de sa vie était une autre chose. Elle rendit compte qu´elle éprouvait une puissante envie de baiser avec ce type. Elle passa devant lui ainsi avec un vrai regard de salope. Hypnotisé par cette blonde au pouvoir de séduction énorme. La mannequin s´arrêta, lui regarda droit dans les yeux, puis avança vers le trottoir. Alors elle choisit pourtant l´itinéraire le plus long préférant le centre-ville éclairé et bruyant aux petites rues sombres, Elle resiste à l´envie de se tourner, sûre que le Black la suivait. C´est un grand plaisir à lui de voir tous les regards qui suivent les jambes, puis ses fesses pendant le trajet. Alors elle franchissait les dernières mètres de trottoirs qui la séparaient de sa demeure. Elle entendi de pas derrière elle qui se raprochaient en martelant le bitume. Elle s’entraîna dans un quartier qu´elle ne connaissait pas. Elle marchait devant lui, à un ou deux mètres de distance, en tortillant son petit cul de déesse. Il en devenait littéralement dingue! Le désir montait en lui, son entrejambe gonflé à bloc. Il se demandait où elle pouvait bien l’emmener. Elle s’enfonça dans une petite rue, s’arrêta devant une porte et ouvrit la porte. Elle s’y engouffra en la laissant ouverte. Il la suivit, hypnotisé par le balancement de ses hanches et le maintien de ses épaules. Elle savait que près de son domicile avait une maison abandonné qui lui donnaient des idées. Elle regarde autour d´elle, la rue habituellement animée était vide. Pas un taxi, le bar à l´angle de la rue était fermé, comme tous les mardis. La rue était deserte. Pourquoi elle s´est interessé par lui si elle ne intéresse pas pour personne?

- Ma chérie, tu es magnifique! Tu va encore mettre le feu à tout la gent masculine avec cette petite robe. Elle continue sans repondre.
- Dépêche-toi, on n’a pas beaucoup de temps !

En cet instant elle se sentait néanmoins femme. Aspirant à retrouver sa chaleur. Son corps aux muscles deliés, serre contre elle dans l´obscurité froide, tout ce qu´elle voulait était tué son désirs. Tel était le désir du sorcier qu´elle sentait ça concupiscence comme des mains moites sur sa peau. Dans les flammes, il souriait, si séduisant, si impytoiable, La petite robe à bretelles était assurement remarquable. D´un rouge sombre, elle mene se contentait pas de mouler le haut de son corps ondulant librement à mi-cuisse autour de ses belles jambes. Gina était à sa merci sous l´emprise du désir et de sa tout puissance érotique. Elle rêvait qu´elle puisse ressentir dans sa chair la violence de cet instant magique, tout voulu et devinement orquestre. Elle avançait quasiment nue vers l´homme qu´elle désirait le plus au monde. Certes, mais pour elle tout cela partit du jeu. Le black était super chaud et elle avait déjà orgasme. Comment allait elle acueillir une pareil braquemart. Une légère apréhensão se mêlait à un désir puissant.

- Qu´en pense tu? Je te plais?
- Oh! Oui... J´adore ton corps, tes seins tonn cul, ta peau. Eh bien la robe, três jolie couleur et j´ai adore le coupe. Elle est super légère apparemment et elle met três bien em valeur tes jolis seins.
- Tu sens comme je suis mouillée, ce toi qui provoque ça.
- Cadeau pour vous, ma reine. Tu aime ma grosse bite? J´aime ton odeur, Gina, j´aime ton parfum.
- Une bite comme ça, ta grosse queue est bien dure, je suis capable d´enchaîner les orgasmes pendant des heures, de satisfaire vous jusqu´à ce que je sois épuisée de plaisir.
- Et tu as aimé?
- Oui...

Elle lui fit des bisous et se mit à la lècher sur sa longueur en lui maxant les couilles. Elle releva la tetê pour lui regarder, lui fixer droit dans ses yeux. Il vit as queue disparaître dans as bouche. Elle avala la bite sans hoqueter. Gina lui sourit et reprit sa felation, tantôt en mode gorge profonde. Il ressentait des sensations de dingue et ça augmentait son excitation. Sa queue se dressait tout contre l´entrée de sa chatte chaude. Il allait la baiser la top-modèle célébre qui paniquait et disait son nom.

- Tu me remplis bien, petit salaud, continue, met-la-moi bien profonde.
- Oh. Oui mon chéri, c´est terriblement bon, il y a bien longtemps que je n´avais plus jouis comme cela.
- J´en ai toujours revê. On va se revoir?
- Bien sur... Tu es mon modèle de baiseur. J´avais envie de toi. Tu seras mon amant.
- Nous sommes voués l´un à autre, pareil l´un et l´autre. Nous sommes comme le jour et la nuit. La lumière et les ténèbres, qui ne se mêlant pour creer des ombres, dit Kid Bengala.

L´acteur s´en fut d´une démarche dansante, un sourire à peine ébauché sur les lèvres. Les yeux mi-clos sur son regar inquietant. La top-modèle allait arrivé à sa maison autre fois pleine de sperme chaude pour son mari la lécher et la nettoyer.

- Tu m’as trompé salope hein ? Allez viens racontes moi . Mais tu m’avais promis que tu me raconterais tout ! protestait- il.
- Mon chéri, comme il est difficile de te parler de tout ça. Mais je vais essayer du mieux que je peux. Oui, elle est si grosse que ça ! Voilà, t’es content ? Mais ça t’apporte quoi, au juste, de savoir ça ?
- Euh… là ? maintenant ?
- Alors, oui, t´es cocu, mon chéri et tu n´as pas fini de l´être. Il m´a fait jouir comme jamais, ma chatte est fatiguée et pleine de foutre, suce-moi. Oui mon cocu chéri! Elle était grosse et dure sa bite, il m´a défoncée! Vas-y encore plus fort, suce-moi.

L´acteur pornô Black était le dernier homme à avoir pénétré son corps, ce qu´elle continuait le chercher. Le Black avait donné ce qu´il pouvait, plusieurs goutes de son plaisir à elle.
La célébre mannequin Gina Vandreminni habitait là, dans ce salon paquete le chêne, moulure stuc, mais à la décoration entièrement revisite dans un style contemporain, couleurs chaudes et fauteuils accueillants, murs clairs et tableaux discrets. Un grand miroir de marbre noir, un coin bar, au fond avec son cuir Bordeaux et ses tambourets de velours assorti pour un ambiance cosy. Un paquet de cigarettes entamé était posé sur la table. La mannequin avait plusieurs fois essayé d´arrêter de fumer sans succès, malgré les risques tagués sur leur paquet. Elle tapota le fond du paquet et en extirpa une cigarette, magnifique, droit comme tous les d´insomnie. La première bouffée arriva à la vitesse d´une balle sortant d´un cannon, la meilleure celle de la surprise du corps. La cigarette se consuma sans qu´elle tire à nouveau dessus, Un petit tas de cendres gisait désormait sur la table, juste à cote du cendrier. Gina allume une nouvelle cigarette et la fumée l´enveloppe tout entière. Le sommeil vint avant même d´atteindre le filtre qu´elle s´était portant jure de déposer froid dans le cendrier.

- Aujourd´hui, je n´ai pas envie d´avaler quoi que ce soit, dit elle en attachant ses boucles d´oreilles en perles devant le miroir.
- Nerveuse? À cause de quoi? Lui demanda le mari.
- L´acteur pornô. J´ai besoin de sa bite autre fois. Ça m´avais plu. Um homme que savait user ce qu´il a de meilleur. Mon corps tremble malgré moi.
- Un homme peut-il être seulement ami d´une jeune femme merveilleuse comme vous? Invite-le à dîner ce soir, on discutera.

- Oui. J´ai envie de le sauter au cou. Il va être mon amant, mon mari cocu voyeur.
- J´ai adoré l´idée. Je t´ai entendue, si ça te fais plaisir de te faire prendre par des blacks, ne te gêne pas pour moi.
- Ça t´éxcite, de penser que ta petite femme va se faire baiser. Vraiment tu es un beau salaud.

À prime vue, son épouse avait mis à ses pieds ses fameuses chaussures à talons três aiguilles, celles qu´ellemet souvent pour exciter, celles qui claquent sur le carrelage. Celles-ci gisent au sol, à côté du canapé. Un peu plus loin, il y a une de ses robes sexy, La noire avec des lanières latérales, bom choix qui n´offre pás beaucoup de tergiversation pour un homme normalement constitué quant à la conduite à tenir. Elle était en porte-jarretelles et bas, une façon três sexy de plairer son amant.
Banalités d´usage furent échangées et, tous les trois assis devant la table en verre transparent ils discutaient de chose et d´autres. Gina était super bandante, son corps moulé dans cette petite robe, il remaquait que le black louchait souvent sur les cuisses nues, et surtout sur sa grosse poitrine; mais il n´y avait pas grande-chose à voir.

- Elle est belle. Ma femme hein? Vous avez de la chance de voir autant de choses. Peut-être un peu plus vous intérressait?
- Oh oui, mais ça ne vous dérange pas ?
- Non, au contraire
- Quel beau cul. Elle a, lui dit-il. Et j´aime bien ton sexe presque rasé. Tes grandes lèvres sont magnifiques.
- J´ai envie de ta queue, baise-moi maintenant.

Aussitôt dit, aussitôt fait l´homme s´allonge sur le dos sur le tapis du salon,

- Oui, Gina, viens sentir ma grosse bite noire, regarde comme elle allait te remplir.
- Je sens ton bâton, va plus loin, défonce-moi, je suis ta salope, j’aime ta queue, je n’ai jamais ressenti ça.
- Chienne, traînée, tu aimes le Black, je vais te baise toute la nuit.

Son épouse Gina le chevauche à présent sans complexe, comm si elle l´avait toujours fait avec lui. Impudique, le guidant d´une main vers sa vulve détrempée, elle s´empale sur un sexe qui est nettement supérieur à la moyenne. Sa salope de femme a decide d´y aller de bon coeur, et dans ce cas, autant prendre les modèles surdimensionnés. Le mari est étonné que sa chatte puísse avaler sans problème un tel machin. Oui, elle y va carrément, en s´enfonçant profondément sur ce pieu costaud, puis en le faisant ressortir à moitié pour mieux replonger dessus. Elle se pistonne littéralement sur ce gros mandrin, dans une débauche de petits cris et de longs râles de plaisir. Oh, oui. Il adore quand elle joue les petites putes de la sorte. Soudain, elle leve les yeux, regardant vers le canapé et elle lui découvre en train de se masturber. Elle l´envoie un large sourire et coninue de plus belle, passionnée, déchaînée, assurément, il peu lui faire pour ce genre de chose.

- Et ça plu que je me fasse baiser par un autre. Un type à grosse queue?
- Bien sûr que oui, petite salope.
- Tu es une três belle jeune femme et il a de la chance que tu saches l´exciter comme ça. Moi aussi j´ai eu de la chance que tu veuilles bien m´offrir ton corps, dit le Black.
- Je veux que tu jouis maintenant. Je suis morte de fatique.
- Il t´a bien baisé? Demanda le mari.
- Il m´a tué. Viens nettoyer petit chien, viens mon cocu lécher le foutre d´un autre. Lèche connard.

Le mari devant les insultes de sa femme, il s´y met tout son excitation, lui écarté les lèvres pour aller glisser sa langue bien au fond de sa chatte. Il nettoye tout, il avale tout.

- Ouiii... Continues! Lèche son sperme mon chéri, mange la petite chatte de ta salope de femme qui s’est bien faite baiser !
- Tu n’as pas honte de me parler comme ça.
- Non, tu l´as voulu, tu m´as poussée à m´offrir à um autre, je veux te faire sentir ta condition de cocu maintenant, j´adore ça et puis cesse de parler et lèche-moi.
- Elle devient nymphomane, chienne, elle en veut de plus en plus, dit le mari.

Puis de l´orgie, les draps ne sentaient pás l´odeur paticulier de La luxure. La mannequin amait choisit des blacks, pour leur peau, mais elle fasait l´amour avec d´autres hommes, sans critère d´âge, pourvu qu´ils acceptent le príncipe du trio.
Gina aimait son mari avec dévotion qui la terrifiait. La reciproque n´était pas vraie. La blonde ne se faisait pás d´illusions. Ce qui ne lui posait pas de problèmes, elle était capable de l´accepter, La mannequin ne s´était jamais attendue à ce que quelqu´un d´aussi soublime ait des sentiments pour elle. Mais il désirait et avait besoin d´elle, et il était merveilleux avec elle lorsqu´il n´empoisonnait pas son corps de drogues et d´alcool. Il avait seulement quelques moments gay.
Le réveil sonna 6h30, Gina ouvre les yeux même si le jour précédent. Elle vait déjà bien dormi. Une nouvelle vie pouvait commencer. Complètement nue elle alla ouvrir les volets à la lumière de l´aube naissante. Elle ne se laisse pas de la vue incroyable qi´elle avait sur l´Océan Atlantic. Il resta de longues secondes à apprecier le paysage avant d´aller travailler. Elle reste un long moment sous le jet, quand soudain l´eau chaude s´arrêta, remplacée par um Jet glacê qui La tetanisa sur place. Elle ferma aussitôt le robinet et sortit de La cabine grelottante de froid. Elle avait se douché et attrapa une serviette et s´essuya rapidement avant d´enfiler ses sous vêtements. Puis de avoir s´habillé et jeta un coup d´oeil au miroir et fut satisfaite de son reflet, et regarda as montre, 7h30 heures. Encore une heure avant a´arriver dans l´agence “Elite”. Elle ouvrit doucement la porte et entendit le paisible ronflement de son époux. Une maison énorme. Quel sentiment étrange de savoir que tout cet environnent lui appartenait. C´était aussi improbable que miraculeux. Un coup d´oeil à la pendule. Il était temp de partir. Elle besoin partir a Petrópolis a été photographé dans un chateau imperial. Au arriver elle gravite d´un pas allègre les marches de l´imposant escalier et traversa l´aile est de la demeure. Un travail de photos à un parfum italien “Benneton” liée à formule 1. Son des photos osées avec un top-model italien dans une salle de bain. Comme elle atteignait l´extremité du couloir, Gina jeta machinalement un regard à l´intérieur et resta figée de stupeur. Un homme venait tout juste de sortir de la baignoire. Un homme à la musculature impressionnante. La première impression que Gina Vandreminne eut de le top-model italien l´impressionna durablement, pour le simple et bonne raison qu´il était entièrement nu. Leur rencontre à l´evience, s´était produite de façon accidentelle. Un homme intièrement nu. Il se tenait dos à la porte, Sa peau bronzée, ses fesses musclées, ses hanches sveltes et ses longues jambes ruisselaient de goutelttes d´eau. Le souffle coupé, Gina Vandreminni n´arrive pas à détacher son regard de ce corps puissant. Le corps absolument parfait à l´exception de vilaines cicatrices quizébraient son dos... Comme s´il avait senti sa présence, l´homme s tourna vers elle, révélant du même coup son entrejambe.


- Juste ciel... Laissa échapper la mannequim à a fois stupéfaite et fascinée.
- Je vous em prie de m´excuser, dit il sans retourner.

Elle a dix-neuf d´existence, elle n´avais jamais eu l´occasion de contempler un homme dans le plus simple appareil. Et pour la première fois sa vie elle ressente un trouble très féminin. Une onde de chaleur traverse son corps et se concentra entre ses cuisses. Quand elle parvint enfin à relever les yeux, elle découvrait um visage aussi agréable contemplant que le reste. Les cheveux humides et plaqués à l´arrière étaient bruns, parsemés de méches plus claire. Les traits du visage étaient réguliers, La mâchoire volontaire, et le menton s´ornait d´un souspson de fossete, Mais n´étaient surtout, intensiifiés par l´arcade bien nette de ses sourcils. Les yeux d´un vert immense qui retenaient l´attention. L´homme attrapa une serviette et s´en drapa les hanches.

- Miss Vandreminni je suppose.
- Oui... Et vous?
- Marco Hells repondit-il em guettant sur son visage l´effet que produisait son nom.
- Nous avons une séance de photos ensemble. Une campnagne publicitaire de la Benneton.
- Je pense que oui... Dit-il.

Il avait une telle beauté de mannequin que c´était pratiquement un clichê. en y ajoutant son corps splendidement bati, elle était prête à manger tout ce qu´il bien lui servir. Et même elle voulait coucher avec lui, elle n´était pas entièrement sûre qu´il soit interesse. Il avait toujours l´air plus jeune quand il était complètement plongé dans son travail. Même sa barbe et son quatre-vingt-douze taille qui selon les critiques lui conférait le statut de géant. Il avait déjà atteint la trentaine. Il paraissait toujours bien plus âge. Même s´il lui arrivait d´avoir envie les sentiments s´en mêlent. Chez-elle, Gina revela à son mari qu´elle va avec le top-model Italien au Bahamas. La Cathedral du sexe à Rio de Janeiro. Boîte de nuit style studio 54 de New York annés 90, avec le sexe libéré aux toilettes coletives.

- Dis, mon chéri, ça ne te dérange pas si je sors ce soir ? Le top-model italien m’a proposé de me sortir en boîte de nuit “Bahamas”.

Son mari Jorge lui dit qu´il doit être là pour assistir la baise comme bon voyeur. Il était gay et elle le savait. Mais il était protecteurs, extremement protecteur. Quand elle a rencontré son mari elle avait 22 ans. Il faisait partie d´un public en fait puisqu´il jouait três bien et elle le trouvait beau. Il était três charismatique. Il était três sûr de lui même. Elle était subjuguée par lui. Pendant toute la période ou elle avait vécue avec un pervers sexuel elle ne dit rien. Les gens ne se rendent pas compte de ce qui se passe à l´intérieur. C´est des que la porte se referme de la maison que les choses commençaient à arriver. Les vices avaient maîtrises, insidieuses, constantes que joent sur les émotions, Comment elle pu rester avec um homme comme ça. Elle s´interroge quand même.
Elle-même n´en aurait jamais eu l´idée, mais l´étalon italien l´avait rendue dingue de fantasie sexuelle. Et maintenant, elle se tenait là, comme convenu à l´abribus, vêtu d´une mince robe d´été un rien transparente, sans soutien-gorge sous la robe, ni même de culotte les escarpins rouges choisit sont aussi du plus belle effet et montrent un contraste saisissant avec le noir et mettant en valeur le ensemble. comme elle l´avait revê, et consciemment ou pas, elle resta les cuisses légèrement écartées, pour sentir chaque souffle de vent caresser sa chatte soigneuement rasée pour la circonstance. La belle Gina Vendraminni aime être habillée comme ça ; elle sait trouver dans son regard cette petite lueur qu´il qualifies de perverse, de défi aux limites de la bienséance. Elle aime cette sensation de nudité, d’être exposée, mise en danger, ça l’excite

- Vous-êtes belle, Gina. Sexy même dans cette robe. Plus mignonne encore, parce que je sais exactement ce que vous pensez et ressentez, ma belle, dit Marco comme s´il pouvat lire dans ses pensées.
- J’adore allumer les mecs, ça m’excite tellement que parfois j’aurais aimé aller jusqu’au bout.
- Tu me donne pas de faux espoir si tu n´es pas sûre. Tu sais que ça veut dire.

La maison nocturne est dans une grande et somptueuse bâtisse em Pierre. Dans la boîte de nuit était pleine, la musique est bonne, ils devaient s´amuser un peu. Il y a beaucoup de monde dans la pièce qui fait office de bar et de piste de danse, mais ils trouvent une table. Il commande champagne Dom Pérignon. Sur la piste comme dans La salle, les clients, lês femmes surtout, sont elegantes. Sur la piste par contre règne une ambiance três chaude. Certains couples qui se caressent. Il y a une femme, coincée entre deux hommes qui s´abandonne. Marco la regarde, chatte lascive, velours et griffes, promesses et offrendes. Elle veut qu´il assumece qu´elle allume en lui. Elle exhibe, provoque, Gina aime l´idée qu´il la regarde avec envie, Cette envie de exhibitionniste, elle veut Le satisfaire ce soir et ça se sent. Elle devenue la pute au regard pervers. Elle l´assume totalementet elle adore être comme ça. Suivre dans ses yeux la progression de as métamorphose est un moment de pur érotisme.
La blonde était dans une boîte de sexe. Son terrain de chasse favori, La transpiration, ces corps que dansent, un méange de réalité sale et de revê fabuleux. Elle avait choisi son vêtement le plus sexy possible pour appeler l´attention. Les reflets carmesin se destingue dans la nuit artificielle de la boîte. Le top-model italien danse avec elle comme un dieu. Elle oberve qu´il veut la plairer. Il aime danser. Il tord son corps, vibre l´unisson de la musique. La blonde observe encore son visage euphorique chaque fois que passe le rayon d´un projeteur ses regards se croisent.
Marco leva son verre vers elle avant de la détailler de nouveau de belles courbes, son décolleté plongeant qui révélait le renflement généreux de sa poitrine.

- J´ai attendu quelque temps rencontrer avec vous. J´ai reste impressionné avec sa beauté au défile de la Chanel à Paris.
- Ça me plait, oui souffle-t-elle en voyant les yeux de Marco pétiler de plaisir.
- Dès la première fois que j´y ai pense.
- J´ai besoin d´une voix inconnue pour me désiniber. Tu veux me baiser, Marco, C´est ça? Je suis une mariée.
- Tu en veux vraiment, toi, tu es docile; ton mari, il ne doit pas s´occuper de toi. Quel con.
- Tu vas être doux? J´ai envie de douceur et de caresses. J´ai envie aussi que tu me prennes fort, bien à fond. J´ai envie de tout. J´ai envie de toi. Viens.

Un peu plus tard ils entrent dans les toilettes et un couple baise. Les toilettes sont immenses, les murs et le plafont sont en effet sont couverts de miroirs. Alors, la suprise. Elle avait ouverte la boîte de pandore. Son mari Jorge est là, enculé par un Black bien doté. Elle lui sourit...

- Oh. Quelle belle idée. Que plaisir en perspective, dit le mari.
- C´est parfait. Tu as enfin trouvé son style qu´il te faut. Mais je suis salope parmi les salopes, perverse parmi les perverses, pute parmi les putes, approche, Marco. Je vais le sucer devant mon mari enculé. C’est la troisième fois que je suce un autre homme que mon mari, mais c’est la première fois que je le fais à fond et devant lui.
- Je bande. Tu sais ce que tu dois faire.
- Regarde! C´est toi qui l´as voulu! Et bien tu vois, j´ose,hein? À mon mari cocu, tu es content d´avoir une femme comme moi. Et tu en as perverti beaucoup d’autres, des femmes mariées comme moi ?

Le Black le baise lentement. Tout le fantasme de l´homme Black s´explique par cette lente possession. Bien entendu la taille y contribue, mais il a un bel engin, ce n´est pas un monstre. Non, c´est l´autre chose. La possession est bien visible. Et ce mandrin qui entre et sort, bien dégagé, bien visible afin que elle puísse em voir la puissance, déclenche des gémissements de son époux enculé. La Black le pénétre plus profond.

- Tu vois, petit chien, tu aimes la bite, tu n´es qu´une petite pute.
- Bouge ton cul, petite pute blanche, dit l´enculeur à son mari.
- Arrêtez, vous êtes fou.

Manifestement, elle sait. Cela doit faire partrie de leurs codes. Elle s´agenouille devant l´homme. Elle tire le zip. Défait la ceinture. Tire sur Le pantalon, puis sur le slip noir. Apparaît la verge. Une enorme verge em effet déjà tendu. Une verge qui tremble. Une queue. Une bite. Il n´y a pas d´autres mots pour qualifier ce que l´amant propose. Cett jeune femme gourmande, semble se lécher les babine de cette sucette . Elle ne voit pas. Marco lui donna sa énorme bite à elle sucer.

- Marco... Viens. J´ai quelque chose à te montrer...
- Quoi?
- Tu continues à me harceler. Il faut que tu arrêtes de me torturer. Prends-moi… Alors petite pute, tu as envie… Chéri de mari pede, allez petit cocu, regarde ta femme faire la chienne.
- Tu en as aucune idée quoi on est excitée avec cet idée.

C´est évident que la grosse tige n´est qu´un objet de plaisir pour la femelle qui attend, un baton que se glisse sans difficulté. Elle était ouverte, humide, impatiente, chaude de désir, du désir de se faire prendre par son amant. Elle gémit. Son plaisir arrive bien vite! C´est comme s´il s´était prepare depuis un moment attendant l´instant ou la femelle lui en laisserait la liberté. Gina sentit une goutte de liquide couler à l´intérieur de sa cuisse.

- Alors, satisfait, mon cocu chéri? Tu peux constater que jê suis prête, non? Je suis une bonne eleve, hein? Regarde La belle queue qui va me baiser, mon chéri! Branle-toi, profite du spectacle.
- Salope... Trainée... Putain... Dépravée... Possedée... Oui, possedée. Le démon est em toi et je vais l´extirper afin que tu redeviennes au normal.
- Aahhh! Ouiii! J´adoré, oooh comme j´aime ça, ooohhh! Dit Jorge avec la bite noire dans son petit trou..
- J’adore voir ma liqueur sortir de ton cul, dit l’homme, poète qui s’ignore dit le Black.
- Viens nettoyer, petit chien, viens mon cocu lécher le foutre d´un autre. Lèche, connard. Cocu et pédé... J´espère que tu as apprecié car CE n´est qu´un début, parce que moi j´adoré. Tu es l´homme de ma vie tu sais ça.

Elle n´avait encore jamais vécu pareille émotion pour un homme qui était considere le plus beau homme du monde depuis qu´elle s´employait à vouloir devenir femme. Ce soir qu´elle jouit intensément pour la dernièr fois, guidée par sa voix, será à jamais grave dans sa mémoire. Aucun autre n´y était parvenu. Ça fera naître en elle de sensations et d´émotions.
Après avoir analysé la situation avec lucidité, elle se entrevoyait que deux moyens à mettre en oeuvre pour espérer pouvoir partager des moments de tendresse et connaître le plaisir, vivre une sexualité épanouie. Gina avait trouvé un amant experimenté. Marco a deviné qu´elle serait amoureuse s´une voix, et en même temps plus dependente de son physique.
Plus tard chez-elle...

- Que je te baise, tu veux dire? Oui: que tu me baise pendant des heures et des heures. Ça te fait plaisir que jete t´ammène dans mon lit? Déshabille-toi, chéri, et viens me rejoindre au lit, tout contre moi.
- Je suis là, moi aussi j’ai envie de te sentir nue contre moi et de te caresser partout. Et ton mari?
- Tant pis pour lui, je suis contente qu’il m’ait vu baiser avec toi. J’espère que tu as apprécié la séance toi aussi.
- Je ne suis qu´un petit pédé qui aime goûter le sperme sur ma femme, dit le mari.
- J’ai profité du corps de ta femme, je recommencerai si tu le veux.
- Oui je veux bien, si elle le souhaite.
- Ça t´excite de voir ta femme qui va se faire baiser.
- Putain, connard! Tu veux que je te fasse un dessin? Crache sur la bite de mon amant et suce-la pour qu´elle soit bien humide! Tu vois, petit chien, tu aimes la bite, tu n´es qu´une pute...
- Cocu et pédé... J´espère que tu as apprécié car ce n´est qu´un début, parce que moi j´ai adore. Oui mon cocu chéri! Elle est grosse et dure sa bite, il m´a défoncé...

Le reste de la nuit se déroula harmonieusement qu´elle avait commencé. L´aplomb de cette jeune femma révéle une personalité hors du commun qui le fascine. Un jeu dont la partie ne fait que commencer. Qui est Gina Vendraminni? Une femme libérée que réalise un fantasme en s´encanaillant sans risques...

- Tu sais, Gina. Le désir pour l´autre est mistérieux. Il peut naître d´un je-ne-sais-quoi suggestif propre à chacun. Mais je souhais retourner à Rome avec toi.
- Tu sais, chéri... La couleur de peau la source d´envie. Tu vas être cocu aussi.
- Tu es une jeune femme imprévisible Gina, mais determinée. L´homme que tu séduiras devient proie de la femme plus librre du monde.
- J´avoue que j´ai étudié votre profil. Tu avais travaillé comme Streep-boy pendant 5 ans dans une boîte de nuit.

Ils avaient tous vécus au moins une fois une journée particulièrement jouissive. La plupart des gens utilisent cette expérience par se rappeler ce à quoi ils sont capable de s´amuser. Elle ignore tous signaux d´alertes qui leur font comprendre qu´elle est avec un individu três irresponsable si elle se croyait courageuse et acharnée qu´elle n´a besoin que d´amour. Elle étair ébloui par l´étalon italien, il était grand, fort, musclé. Il était tout ce qu´elle aime quoi il il était tout qu´elle cherchait, sans doute depuis toujours chez um homme.

- Tu allais encore partir sans rien dire? Demanda le mari.
- J´ai reçu un coup de fil du boulot, Voyager c´est ma routine, tu sais. Tu dois chercher les urinoirs public pour se réaliser.

Cet homme-là avait tant perdu qu´il n´était plus lui-même. Il regardait le mur en silence. Il ne réagit pas...
Elle est partie à l´aéroport pour se rencontrer avec Marco Hells et aller à Rome ensemble. Rouge à lèvres, bien rubis, elle a opté par un tailleur, jupe courte et osant elle avait décedé couvrir sés jambes de bas à coutures tout retenu par un porte-jarretelles. Joueuse et déjà excitée à l´idée de plaire elle avait laissé la culotte dans son armoire. Elle ne peut qu´apprecier le souffle léger du vent sur son intimité. Quand elle se deplace en direction du hall d´embarquement.

- Mesdames, Messieurs, le vol 2826 avec destin à Rome est annoncé avec au moins une demi-heure de retard.

Le terminal est une véritable foumilière, pleined´agitation. La mixité des sentiments que montrent les passagers la suprende. Le hommes d´affaires, habitués des lieux au regard impassible, semblent tout à faire pourque les gens se rendent bien compte qu´il s´agit pour eux d´une journée comme les autres, comme une fierté mal placée. Les familles surchargée de bagages d´enfants sur le dos, dans une excitation folle de prendre le vol qu´ils ont sans doute attendu pendant de longs mois, peut-être de longues années. Les hippies modernes, cheveux gras tressés, vêtu d´un poncho aux couleurs improbable et des valises qui semblent voit fait le tour du monde en auto-stop. Les pilotes, sourire d´une blancheur publicitaire, fièrement entourés d´hôtesses toutes plus belles et elegantes les une que les autres.
Le vol embarque, et ils allaient s´asseyer, Elle surprend le regard du voisin quand elle se penche pour poser son sac à main sur le siège, Il suit sa jupe qui remonte sur ses cuisses et semble vouloir l´aider des yeux à se découvrir plus haut. Progressivement l´avion se remplit et décolle. Gina toujours três amoureuse est blotie contre Marco, et le journal par-dessus. II se penche vers elle, embrasse son cou, sa nuque, son oreille qu´il mordile avec gourmandise.
Au arriver à Rome ils prendent un taxi. Le trafic est assez dense et elle avait le temps d´admirer la ville. Ele allait au énorme appartement au centre de la ville. Elle voit avec des désirs l´énorme portier black dans la reception. Les cheveux blonds brillants pendent en boucles froissées. Gina lui contemple de ses yeux bleus et vides, d´un oeil en tous cas, l´autre roule dans son orbite et se fixe sur un point éloigné, comme il avait aperçu quelque chose de plus intéressant sans daigner em informer à son compagnon. La blonde n’osait pas croiser le regard , mais elle sentait qu’elle était observée avec des yeux de désirs. Il faisait chaud, de plus en plus chaud, les yeux de son épouse brillaient, ses pommettes étaient rougies, il put même distinguer de la sueur sur ses tempes et même sur son sillon mammaire… Parfois sans raison spécifique, elle restait debout immobile avec une légère cambrure en avant, le regard dans le vide. On distinguait très nettement ses tétons tendus qui marquaient le tissu.

- J´aime les blacks.
- Que veux-tu dire, ma chérie?
- Eh bien, ça! J’aurais bien aimé qu’il gicle en moi, tu sais, mais bon, il faut être prudent!
- Qu’en penses-tu, ma chérie?
- Moi je veux bien, évidemment, mais toi, comment vas-tu faire? lui demande-t-elle non sans hypocrisie.

Trois mois s´écoulent ainsi. Les plus longs, les plus intenses, delicieusement, insoutenables. Mais un dimanche matin, Gina se réveille tard. Elle prend son petit-déjeuner, seule bien sûr. Comme toujours, elle file ensuite dans la salle de bain, se regarda dans le miroir. Pour La première fois depuis la rupture de son mariage avec le joueur portugais, elle se rend compte qu´elle a maigri, que son corps ne respire plus la santé.

- Je dois retourner à la piscine, retrouver mon hygiène de vie, malgré de tout, se dit-elle.

C´est ainsi que la jeune femme reprend l´habitude de pratiquer la natation. Sans le savoir, elle a retrouvé la voie de son bonheur. Pour la nuit, elle a remis la combinette rouge et le slip assorti. Elle se fait coquine, excite le désir de son amant par quelques tendres paroles, l´embrasse, l´énerve, ne lui laisse pas une seconde pour souffler. Marco la désabille progressivement: d´abord la combinette dans laquelle il plonge sa tête, puis le slip déjà tout chaude. Losqu´elle est nue, il s´allonge sur elle, excite les lèvres de son sexe avec son pénis. Celui-ci est inondé de désir. Quand enfin il se decide à aborder l´étape ultime de leur plaisir commun, il ne peut pénétrer en elle. Gina se met à pleurer.

- Quelle surprise! Tu change d´armes de séduction maintenant.
- Qu´est-ce que cela signifique? Je ne me liberai jamais de tout cela! Crie-t-elle. Je te trahie,
- Pas de problème, mon amour. Je t´aime beaucoup.
- Tu vois que tu sais être raisonnable. Colle-toi contre moi pendant que je l’admire!
- Je veux voir quand même. Cela me fait rêver. Je veux voir comment tu fais.
- Arrête, tu es fou, ça ne sert à rien! Ça ne me fera rien!

La belle blonde Gina Vendraminni était trop célébre en Italie aussi. Lorsqu´elle sortit du taxi au centre de Rome, un journaliste se rua sur elle pour la photographer. Elle prit sans hésiter la pose, rejetant ses magnifique cheveux blonds. Ils étaien partout ou elle se trouve, toujours il y a un apareil photo. Elle était considérée un sex-symbol du marche de la mode. Elle était une jeune femme toujours infidèle. Elle aimait les hommes avec beaucoup des cheveux avec um corps en muscles. Elle choisissait toujours avec soin ses amants.
Immédiantement elle est invité à défiler à maison Dior en Paris. À l´entrer des défilés Dior l´ambiance est d´habitude plus glamour. Quand les gens venaient à ces défilés de mode, ils attendaient à ce que John Galliano et tout l´entourage du grand couturieur se comportent exactement à la télé. Quilconque faisait partit du cercle de la célébrité était auréole de la même lumière. Les gens étaient tant habitués à la sincerité de Galliano, de son honnêteté três publique.
Humoristes ont organisé un canular pour faire de la provoc sur Le scandale qui vient d´éclabousser John Galliano le créateur de la grande maison de couture et une top-modèle brésilienne Gina Vandreminni en Paris le soir dernier. Alors, un fan excentrique lui rend hommage avec un écriteau “Le roi est mort”, C´est là pour défendre ce qui inspire au moment pas pour les choses horribles qu´il a dit est ce que ce qu´il a fait c´est magnifique. C´est une belle chose au monde. À l´intérieur du défile contrairement aux habitudes de Dior l´ambiance n´est pas à la fête, pas de décor théâtrale, ni de maquiage outrancier la signature habituelle de John Galliano à l´apparence du créateur. Ce sont les petites mains de l´atelier l´air grave qui viennent salur en blouse de travail à la fin du salon tout le monde estinvité à rapidement quitté les lieux. John Galliano le créateur de Dior a été licencie quelques jours plustôt après une semaine de tournantes cette grande star de la haute couture l´homme qui incarne Dior. Dépuis 13 ans et déchu pour avoir prefere des insultes racistes et antisemistes une affaire qui commence un soir d´ivresse dans la compagnie de la top-modèle brésilienne Gina Vandreminni dans le quartier de Marais à Paris ou vit John Galliano. Aux alentours de 21hs, il arrive avec l´amie brésilienne dans un bistrot. La top-modèle célébre et Galliano sont amis intimes depuis toujours. Leur complicité est totale, tant dans les désirs, les pratiques que la fréquence. Leur premier plaisir étant de passer quelques moments ensemble dans le monde, pour un bon diner, devant un verre. Dans ce moment Gina Vandreminni était dans un atelier photographique pour un travail de le magazine “Elle et Lui” Quand John Galliano avait entré dans le Studio:

- Superbe, ça arrange, toi bien, superbe comme ça ne bouge plus. C´est super aussi, dit le photographe.
- On arrête les photos, tu ça ferme, tu t´assois ou je te colle ton appareil dans le cube, c´est ça, dit Galliano en irrite.
- John Galliano, que surprise...
- Gina! Pourquoi tu me fais toujours courir pour rien. Tu a la chance d´être superbe, célébre. Tu me connais bien toi, Tu sais que j´aime Le ta compagnie. Tu sais pourquoi je suis là.
- Écoute, il y a trois jours que je tentre parler avec toi.
- Viens avec moi jusqu´un bistrot au Marais.
- Vá Gina... Demain on fini le travail, dit le photographe.


Prête a célébrer une longue journée de travail couronnée de succès lui pendrait l´envie d´une petite aventure. Elle opte pour un style mi-femme fatale de la collection de Galliano, mi-BCBG, en choisissant une petite robe en lamé bleu nuit au décolleté plutôt marqué et des escarpins à talons de près de 15 cm. Dans le miroir, le résultat lui plaît, ni trop agressif, ni trop passe-partout. Sa tenue de Gina Vandreminni est sexy et osée s’avérait aguichante sans pour autant se montrer tapageuse. elle conservait sa silhouette mince, sa carrure sportive, son teint légèrement hallé. La blonde prenait soin de son corps: sport et alimentation équilibréé, une visite mensuelle chez le coiffeur et bimensuelle chez l’esthéticienne. Son allure, tout comme son décolleté plongeant dans lequel les regards se perdent un moment pour y contempler la naissance d’une poitrine généreuse, elle attira fatalement les attentions. Fin prête, coiffée, maquillée et sapée comme une star.

- Alors ma cochonne, on ne peut pas s’empêcher d’allumer tous les mâles que nous rencontrons…

De 16 h 30 à 18 heures, le bistrot, ses tables hautes et les tables basses étaient pris d´assaut pas les employés, assistents et secrétaires qui déversaient les box et les bureaux, petits et grands du quartier. Quelqu´uns ne demandait rien d´autre que se refugier dans un coin pour noyer dans l´alcool. En resume... C´était un endroit de chasse gay, lesbos, et cuckolds enfin... À 20 heures, l´endroit bourdonnait comme une ruche. La deuxième boisson a peis réduit servait à detendre l´atmosphère. Rires, bavardages et rituel amoureux ponctiaient le bruit ambient. La pénombre, Le tintement des verres et les coupes de cachuètes ofertes par la maison faisaient vite oublier dossiers, grands compts, vexations et autres messages ignores, De temps en temps la porte s´ouvrait pour accuelir un autre rescapé de l´enfer, Du monde des affaires. Un flux de l´air frais l´accompagngnait ainsi que les clameurs de la rue. Puis, la chaleur et le bruit de fond reprenaient leurs droits.

- Vous souhaitez une table à l’écart ? Demande le serveur.
- Du moment que nous puissions converser sans être gênés…
- J’ai ce qu’il vous faut…
- Cet lieu devrait s´appeler Sodome et Gomorre.
- J’adore jouer… C´est mon endroit choisi.

Gina semblait discrètement épier les clients alentour. Elle, toujours aussi séduisante ses yeux bleus si rieurs, qui ne cachent pas ses penchants libertins à ceux qui savent y lire ses envies. En même temps, elle jetait quelques regards amusés vers sa proie pour évaluer l’effet produit et il semblait qu’il était réussi, car elle lui glissa :


- Il a vu mon manège et fixe mes jambes ; il doit voir un peu de ma peau en haut de ma cuisse. Humm, ça commence à m’énerver un peu, tu sais !
- Tu veux dire que tu mouilles déjà?
- Exactement, et ma chatte gonfle au fond de mon string…
- Continue comme tu veux, mon amour, tu sais tellement bien maîtriser ce genre de situation !
- Il n’y a pas que les hommes qui ont le droit d’avoir envie de baiser avec quelqu’un. Dis-moi, tu sembles intéressé, dirait-on?
- Il faut s’habiller de façon classe, mais sexy quand même pour avoir le loisir de se dévêtir progressivement devant eux. Humm, non, répondit-il avec un sourire complice.
- Allez, mon chèr complice, dis-moi tout!
- Eh bien, il y a là derrière le type seul à sa table qui me reluque… Tu pensais que je ne l’avais pas vu! Il me mate depuis le début,de la tête aux pieds! Tiens, je crois que je vais m’amuser un peu…
- Ah ah ! Et qu’en penses-tu? Tu as de belles jambes, montre les un peu.
- Pas mal on dirait que j’ai une touche. Oh mon Dieu, je suis folle de suivre votre jeu.. Je ne me reconnais plus…
- Laissez vous aller Gina, lui dis-je en prenant sa main.

L’instinct de survie lui fit malgré tout hésiter. Ils sont tables en terrasse à côté d´un couple qu´il ne connaît pas et s´en prend violemment à la femme.

- Tu bois quoi ?
- Un whisky.
- Alors un cognac.
- Garçon! Un cognac et un autre whisky.
- Chéri, tu me sers un verre, j’ai soudain très soif.
- Tu fais quoi ? Je t’attends. Exactement ! Tu es son agnelle et il est ton loup, et son but est de te dévorer toute crue du regard!
- T’es un gros vicieux dans ton genre… J’arrive, j’arrive , dit elle avant d´aller aux toalettes.

Quand la célébre mannequin a quelques verres de pris, elle devient un peu plus exhibitionniste et fait volontairement de la provocation. Galliano lui demande de croiser et décroiser ses jambes. Gina sent sa mini robe qui remonte insensiblement plus.

- Tu te rends compte de ce que tu me fais faire? Tu es fou, je vais me faire violer.

Au moment opportun, le mec se penche sous la table et sous la nappe il mate les cuisses découvertes de Gina, légèrement écartées, voyant ses bas et ses jarretelles. Il en profite pour jeter un œil à celles d’elle mais ses genoux sont serrés l’un contre l’autre. Gina lui regarde et dit à Galliano que sa chatte est en feu… Dans les toilettes...

- Hummm, elle est déjà grosse, ho mec que j’aime ta grosse queue, j’adore la sucer…
- Salope, ne parle pas la bouche pleine et applique-toi dans ta pipe.

Il vint alors placer son engin tout luisant de la salive de celle-ci devant l’antre de plaisir de la blonde qu´il l’enfilait debut par derrière, ne résistant pas à l’appel de ce temple de l’amour généreusement offert à sa concupiscence… Il regardait ce charmant et excitant spectacle tout en limant le con brûlant d´elle. Il reste encore du sperme et il voit Gina, sans hésiter, qui porte cette sauce à sa bouche et lèche son jus avec délectation.
Depuis un peu de temps elle est retourné, Arrivé à table, elle jette un coup d’œil autour pour vérifier que personne ne pouvait les voir… Il savait qu’elle avait joui. Elle rapidementet l´embrasse en pleine bouche.

- Mais que t’arrive-t-il, ma chérie ? Ta bouche est pleine de sperme, ta chatte très ouverte et dégoulinante de sperme, le clitoris d’un rouge vif…"
- Rien, mon amour. C’est pour toi, j’ai envie de te faire plaisir. Tu aime le sperme masculin. Ce sexe est trop tentant. Je fais à mon chéri une douce fellation pour aller jusqu’au bout, mais pour lui signifier ma reconnaissance. Il était un vrai taré...
- Probablement à cause de la grande coulée de sperme… C’est malin comme réflexion ! Dit Galliano.


Puis... Il commande un mojito ils buvaient au bout de trois secondes il intervient à une observation crimineuse de la femme de côté.

- J´ai de dividir mon espace avec un pédé et une top-modèle de pute, exclame la femme.
- Fermez ta gueule sale pute, criait Galliano.
- Pédé! Pédé! Fil de pute... Gay, criait la femme.
- Je suis une star. C´est John Galliano, Gina est une top-modèle célébre, international et vous est qui?
- Pédé... Pédé... Pédé... Criait la femme.
- T’as pas le droit de me faire ça! Dit La top-modèle.
- Un type panasiatique de merde, dit Galliano.
- Je suis vraiment désolée, vous devez me prendre pour une folle! Dit Gina préoccupée.
- Un truc de fou, Son seul et unique objectif était de me plaire, de me faire plaisir tout en répondant à mes attentes, dit Galliano.
- Vos attentes? Sera la Police, Allez, n’imaginez pas le pire, la réalité est déjà suffisante, chéri.

Tout a été possible parce qu´ils ne supportent les voir. Il a commencé à dire une phrase. Au moment le couple porte plaindre auprès de deux vigiles. Puis le couple porte plainte et appelle la Police. Les gens commençaient à se diriger vers la sortie. Ils se dirigeaient vers le métro, les aérotrams, les maxibus et les taxis.
John Galliano et la top-modèle sont embarques au comissariât du 3e arrondissement, mais comme il a un gramme de l´alcool il ne peut pu être entendu le soir même. Le lendemain encerclé par une meute de journalistes il est convoque pour confrontation avec le couple qui a déposé plainte pour injures raciales. John Galliano porte plainte pour difamation. Cette ligne de défense va três rapidement être mise à mal, le coup de grace est parti au fond de cette impasse. C´est ici qui est installer l´agence de presse littéralement du côté des cytoyens. Une fois que le couturier absorve d´injures d´un coup attablé à côté de lui.
Le document est acablant une nouvelle fois le couturier abreuvé d´injures, un groupe attablé à cote de lui avait fait un vídeo et publié par Le site d´un journal The Sun en Grande-Bretagne et le scandale prend toute son ampleur. À la soirée du Oscars une des grandes égeries de la marque l´actrice américaine ne porte pas une robe de John Galliano comme elle e devait. Les journalistes publient de comunique rageur profondément choques par la vídeo. Alors comment expliquer cette descente aux enfers du prodige de la couture, John Galeano. Alors il est hors de la maison Dior.
La top-modèle Gina Vandremini était seulement une victime de les événements. Rien ne l´enchantée plus que de voir un type sur le bord de la route, en panne soulever le capot de sa voiture sachant pertinemment que cela ne servirá à rien puisqu´il ignore tout de fonctionnement d´un moteur. Elle ne peut s´empêcher d´associer cela à ce qu´elle est tout face aux difficultés de la vie, c´est ainsi à chaque complication, on souleve le capot de ses âmes et reste cois, à gratter le crâne face à une mécanique que s´échappe totalement.
De retour à Rome... Quelques jours plus tard, avec une toute nouvelle complicité, Elle rentrait de deux semaines de repos bien méritées, faisant suite à une période compliquée. Professionnellement, les enquêtes se sont succédé à un rythme effréné. Elle n’est, certes pas la plus belle femme du monde, mais on se tourne sur son passage. Grande, pas loin d’un mètre soixante-quinze, mince, l’allure sportive, une chevelure blonde, de jolies formes, elle attire les regards intéressés des hommes et celui plus envieux de certaines femmes. Si on ajoute des yeux bleu émeraude, soulignés par des sourcils bien dessinés, une fois qu’elle a attiré les regards, elle les aimante.
Chaque fois qu´elle passait devant le portier Black il a commencé à lui faire des compliments sur sa tenue. Elle était toujours habillée léger.

- Vous savez José, j’ai très envie de vous faire l’amour, vous me plaisez énormément. j’ai envie de sentir ton sperme gicler au fond de mon vagin tout trempé.

Elle ne travaillait pas cet après midi-là, la blonde en profitait pour parfaire un peu son bronzage sur la pelouse, derrière leur maison. Protégée par la haie de troènes, elle pouvait tranquillement se laisser dorer totalement nue, Elle a donc abandonné sa petite robe d’été sur un transat. Huilée, elle s´était à demi assoupie, heureuse, insouciante… Quoi de plus agréable que ces instants de liberté totale?
Au sortir de l´ascenseur que ce fut beau! Des scarpins à talons três hauts, et três pointus. Certes, furtivement, mais distinctement, ses deux seins libres qui se balançaient sous sa petit-robe étaient bien en vue. Ils sont offerts impudiquement aux regards du portier. Le portier ne disait rien tant le spectacle était agréable à regarder. D’ailleurs il se rendit compte très vite qu´il était le seul à vouloir en profiter. Gina allait à la reception avec un mini-robe rien dessous et s´approche de lui, Il était fasciné par son babillage agréable, ses sourires et son regard qui lui disaient déjà tant de choses… Ses yeux envoûtants la couleur l´ambre, ses iris étaient cernes de noir.

- Bonjour José. Quelle est votre passion?
- Bonjour madame. Laisse-moi parler de ma passion, les femmes blondes, et plus particulièrement le corps, tous les styles, de tous les genres.
- Ce doit être tellement doux. Tellement sensuel. Ça donne de frisson juste d´y penser, approuve Gina em riant. Dis-moi, tu sembles intéressé, dirait-on?
- Humm, non, si tu as envie de jouer, ne t’en prive pas, ma chérie , répondit-lui avec un sourire complice.
- Attends, on va voir si c’est bien le cas. Exactement, et ma chatte gonfle. Touchez ma chatte.

La scène effectivement ne cherche pas à la repousser, bien au contraire. Il a posé ses mains sur le haut des hanches couvertes par une robe droite d’été en toile, qui s’arrête à mi-cuisses et dessine lentement de petits cercles qui glissent vers les petites fesses rondes de sa complice. D’un très discret mouvement, elle recule son bassin et cambre ses reins pour recevoir la caresse et l’encourager. Le portier black la masturbait, ses doigts fouillaient sa chatte profondément.

- Pourquoi continuer m´infliger cette torture? Ça est super...

Dans une petite danse diabolique à trois, électricité dans l’air, les plaisirs montèrent en flèche. D’un grand sourire satisfait, elle l’indique que la trouvaille lui convient et ce qu’elle confirme en passant lascivement le bout de sa petite langue sur ses lèvres révélant son plaisir.

- Continue comme tu veux, mon amour, tu sais tellement bien maîtriser ce genre de situation!
- Tu es une sacrée petite salope, madame. Tu as envie que je te baise, petite salope? Je le sais.
- Tu es terrible! Rien que d’y penser, ça me fait mouiller!
- As-tu pu te retenir longtemps? Je suis en horaire du travail.
- Puis tu montes chez-moi. Tu peux aller à mon appartement, puis du boulot.
- On se revoit plus tard, peut-être retorqu´il souriant. Tu m’attends là?
- Bien Sûr...

Oui, Gina voulait plus, mais elle ne voulait pas le dire, même si elle savait que le portier n’ignorait rien de ses désirs.
Il se présente donc à son appartement dans sa tenue de travail, à savoir celle qui, à son avis, lui fait le plus d’effet. Après les salutations d’usage, Ils prenent place dans son grand canapé cuir noir, le dossier posé sur la table basse. sa bouche vient se coller à la mienne, me contraignant sous la poussée à me laisser aller contre le dossier du canapé, à moitié allongée. Sa langue explore sa bouche à la rencontre de la sienne en même temps que sa main remonte le long de sa cuisse pour se poser sur son sexe et le caresser à travers la dentelle. Elle sent un goût d’épices s’emparer de ses papilles au moment où ses salives se mélangent. Elle se tortille de plaisir sous les caresses appuyées de son beau black. De ses doigts agiles, il repousse le tissu pour aller explorer sa vulve déjà tout humide par l’excitation de ses caresses. Il l’écarte ses lèvres dans un mouvement allant de la base de sa chatte jusqu’à son clito, ouvrant un sillon chaud et bien lubrifié. Ses allers-retours lui font gémir de plus en plus et elle sent le plaisir monter en elle. Ce traitement dure un bon moment. Sa bouche toujours contre la mienne l’embrasse de manière torride. Il lui déshabille fébrilement laissant sa vulve béante et dégoulinante de plaisir. La blonde se retrouve nue sur le canapé, Le portier black l’allonge et pose ses mains sur ses seins tendus. Elle voit le contraste de sa peau noire sur sa poitrine laiteuse.

- Ça va aller sabine, détends-toi, j’ai l’habitude.
- Pas moi ! dis-je dans un souffle rauque.
- Tu aimes ma grosse queue, Madame?
- Oui, mais quel engin ! C’est monstrueux…
- Monstrueux de plaisir tu veux dire!
- Oui!
- Je ne pensais pas que tu étais aussi chaude au sexe. Tu sais qu’après ça, tu pourras être considéré comme salope à black, vas-y, tends tes fesses que je te prenne d’un coup.
- Tu vas me déchirer, sois doux.

L’inexorable descente se termine alors que ses lèvres déposent un baiser sur ton sexe comme l’intention implicite de te donner du plaisir tout au long de la nuit. Ce premier contact des plus intimes est suivi d’un léger gémissement qui invite sa langue à partir à la découverte son petit abricot sucré.
Elle est plus excitée que jamais, et il pense qu’elle a désormais envie de sentir cette belle queue de Black au fond d’elle, après avoir enfilé un préservatif, de pénétrer la belle blonde. Nouvelle émotion forte pour moi: le portier black la pénètre lentement, progressivement. Sans plus de mots, il s’enfonça promptement de toute sa longueur. Sa vulve s’agrippait à son sexe. Elle dut mordre sa lèvre quand l’énorme gaule déplaça ses chairs! Un fort gémissement s’enfuit d’elle. Un vrai régal! Ses sexes sont faits l’un pour l’autre. Quand le Black éjacula enfin en elle, elle cria une dernière fois son plaisir tandis que les giclées puissantes de l’homme remplissaient son fondement.

- Baise-moi ! Baise-moi, bien. Oh mon dieu! T’es vraiment meilleur que Marco. T’es tellement plus gros que lui ! Je vais exploser ! Tu peux me baiser quand tu veux-eu-eu-eux! N’arrête jamais de me baiser ! JAMAIS !
- T’es tellement bonne! dit-il. Meilleure que dans mes rêves !
- T’es si étroite, on dirait ta première fois avec un Black. Oh bébé, t’es tellement serrée !
- Tu es un bon amant. Pour moi, tu peux revenir, mais c’est Marco qui décide.
- C’est décidé, on va se revoir. À toi de voir si c’est avec ou sans toi. Pour ma part, j’aime autant que tu sois là.


Il dut la retenir tellement elle était chancelante après cet assaut et la dernière jouissance qu’elle venait de connaître. La jeune femme resta seule, sentant toujours le sperme de son nouvel amant couler dans ses fesses et dégouliner contre le haut de ses cuisses, avec une curieuse sensation car elle sentait combien ses fesses étaient encore ouvertes.

- Je n’arrête pas de me masturber en pensant à des situations comme j’ai vécues avec ce portier, dit elle à Marco.


La top-modèle Gina Vandreminne éprouve l´envie de raconter son aventure avec le portier Black. Cela lui montre à quel point elle est libertine, exhibitionniste et três vicieuse. Alors, elle se diverte comme elle peut. Ensuite ils faisaient l´amour comme des fous. Le matin suivant, tout au fond de sa chambre, la tetê de lit est éclairée par la faible lueur des chiffres incandescents vert du réveil. Puisque ce dernier est reglé à l´intensité superieure, chaque changement de chiffre modifie lês arabesques sur le visage paisible de la dormeuse. Gina dort sur Le ventre, les bras enfouis sous l´oreilleur, ses cheveux blonds foliment éparpillés sur ses spaules nues. Le drap blanc est repoussé sur ses rins creux. Son dos ainsi dénudé ressemble à une plaine solitaire dans la nuit.

- Luca, arrête de me harceler, arrête de me téléphoner, arrête de m’envoyer des messages.
- Je ne te harcèle pas, j’avais juste envie de te voir.
- Tes messages, tes appels, le soir chez moi. Tu es devenu fou, tu penses à mon mari?
- Ma Gina, je pense trop à toi, à nous.
- Je ne suis pas ta Gina. J’aime mon mari. L’ an dernier c’était une folie. C’est le passé.
- Mais je tiens à toi.
- Pas moi, je n’aurais pas dû.
- Tu regrettes?
- Non, enfin si… Pas les moments passés avec toi bien sûr, mais d’avoir trompé mon mari, d’avoir mis mon couple en danger.
- Il ne le saura pas, je serais discret.
- Comprends que c’est terminé.
- Juste une fois, on pourrait…
- Non, c’est non. Jorge m’a pardonné, c’est le plus merveilleux des maris. Nous voulons fonder une famille.



Fin

Ivan Ribeiro Lagos
teresinapr@hotmail.com




Cette histoire est la propriété de son auteur : ne la copiez pas pour l'afficher sur un site autre qu'histoire-erotique.net

Ajoutez un commentaire pour cette histoire erotique:


Pseudo (*):


       Votre commentaire sur cette histoire(*):




Les champs marqués d'une étoile (*) sont indispensables.



Envie de voir vos écrits publiés?


Histoire-erotique.net vous donne la possibilité de les faire partager !

Pour cela, rien de plus simple : rendez-vous sur le formulaire pour envoyer votre histoire érotique!

A vos plumes !


Envie de laisser un commentaire sur le site? Une idée d'amélioration?

Faites le sur notre livre d'or !