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Lola la devasse

Ecrit par Ivan
Parue le 20 08 2021
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Cette histoire érotique a été lue 820 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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Lola la devasse

Un exercice litteraire coquin ou d´un fantasme. Un roman policier polar porno. Marisa Vilaverde est une femme au charme incroyable et à la sensualité à fleur de peau. Dans cette petite histoire coquine, elle va vivre des expériences torrides au gré de ses envies… Amour. C´est fou l´avalanche d´émotions que peut déclencher un simple mot de cinq lettres: Du bonheur, du désir, de la cólera... Même de la peur.

1

La ville brésilienne de Búzios. Un merveilleux paradis dans le littoral nord du Rio de Janiero. L´été bat son plein sur les plages. Tous les gens du quartier sont ils milliardaires. Il y a là plus gardes du corps que policiers. Les habitants du banlieuse sont des péchers. Les residents ont l´habitude de marcher sur la plage au bord de la mer tous les matins et les fins de l´après-midi. C´est l´un des lieux plus beaux du planète. Brigitte Bardot avait une maison de vacances aussi à Búzios. Tous les gens du quartier étaient vrais amis, moins un, Gilberto Vilaverde. Il était considere le Victor Hugo brésilien. Paradis choisis pour les touristes français. Jamais il n’aurait imaginé une minute voir sa femme jouir aussi fort en lui parlant d’un autre homme que lui! Il avait joui aussi, c’était irréel. À ce moment-là, il a réalisé que leur sexualité devait prendre un virage! Hugo tentait d’amener son épouse Marisa à profiter un peu plus et mieux de la vie en l’expliquant son grand fantasme de la voir faire l’amour avec un autre homme, que cette idée l’excite terriblement, etc., etc. Sur le fait que ce fantasme candauliste est assez répandu chez les hommes, et commence, comme d’habitude à les rappeler ses aventures et expériences passées... Ses réactions semblaient être un mélange d’étonnement, de curiosité sur cet étrange fantasme à ses yeux. Et elle part d’un grand éclat de rire… Marisa, toujours curieuse de nouvelles expériences et de nouvelles sensations.
- Ça peut peut-être s’arranger.
- D’accord, mon chéri, si j’ai l’occasion et si j’en ai envie, j’y vais… Moi, ça m’excite! Tu sais, de trouver un bon amant, dit-elle.
- Oui, si ça doit se faire, je veux voir, au moins entendre…
- Je crois, et quelques sensations se manifestent au creux de mon ventre, tu sais. Enfin, je vais pouvoir sentir une bonne grosse queue m’empaler. Humm… Je ne vais plus pouvoir attendre très longtemps. J’ai la chatte en feu!
- Je veux pris le sperme de ses amants avec deux doigts et me le mis dans la bouche. Je me vis avaler son propre sperme jusqu’à la dernière goutte…
- Tu vas me rendre folle de toi! Je vais te faire plaisir ce soir, mon chéri… Ouvre bien les yeux.

Il lui donne le feu vert et il devrait assumer, sans retour en arrière. Tous Le monde a sés secrets mais rien ne reste secret pour toujours. Les fantasmes n´étaient guère monnaie courante dans son cotidien. Une indescritible tension sexuelle crepite entre eux. Il imagine son long corps transpirant, sa sensualité naturelle illuminant les lieux, la beauté de ses cheveux attirant les beaux bruns ou noirs irrésistiblement sexy vers elle. Marisa adorait Búzios pour être le paradise du sexe liberal et le grandiose décor montagneux de le nord du Rio de Janeiro. La belle brune aimait vivre dans cette petite ville ou l´alliance de pittoresque et de sophistication attirait les touristes de et les roules de citadins qui s´y refugiaient les wee-kend fuyant de la ville merveilleuse. Búzios était exactement l´endroit ou elle s´imaginait vivre. Tout laisse à penser qu´elle se trouve dans un revê aussi érotique ou étrange, mais il s´agit pourtant de la réalité impossible que la beauté fatale en compagnie de son mari passe inaperçue.
Son épouse Marisa Vilaverde avait une beauté naturelle capable d´offusquer Cap d´Agde. Ambiance vital pour chercher l´amour sans lendemain. C´était la plus gland concentration d´hommes cocus pour mètres carrés. Belles femmes de corps sculpturels, presques nues sur la sable tous les jours. L´été toute l´année 35º de chaleur. Elle est considérée la Sodome et Gomorre brésilienne. Club de sexe partouse, plages de nudismes, saunes mixtes, boîtes mondaine cine pornô et etc. la ville était un endroit très beau, très tranquille, unique en son genre. Il y a des crimes, bien sûr, mais contre les propriétés.
L´athmosphère est épaisse. Le temps est orageux et la mer déchainée. La maison craquait sous les rafales de vent. Il ne pleuvait pas, mais les nuages étaient sombres et massifs. Le ciel était menaçant. Mais ne semblait pas vouloir rompre à l´horizont. Quelques rayons de soleil perçaient les nuages. Des faiceaux obliques et épars éclairent l´Océan et se déplaçaient poétiquement sur l´eau. La belle femme brune Marisa avait l´impression d´être dans livre d´Agatha Cristie. Elle a sortit son téléphone de la porche avec l´idée de parler avec son mari, mais il n´a pas de reseaux. Quelle tuille.
Autour d´elle tout était devenu normal comme avant. La majesteuse salle de séjour était intact exhibant fièrement toute des quatre coins du monde. La richesse indécente de son mobilier, de ses pentures accrochés aux murs. Dans as chambre... Juchée sur ses escarpins noirs dont les larges brides enserrent délicatement ses jolies chevilles, elle admire son corps pratiquement nu dans le miroir de sa chambre. Elle examine avec attention son porte-jarretelles noir et les bas à couture tout neufs qu’elle vient d’y fixer. Ces bas ne lui donnent-ils pas un air de courtisane? Elle s’interroge en faisant pivoter l’arrière de sa jambe vers le miroir. Elle n’est pas prête à arborer ces coutures provocantes et décide de se rabattre sur des bas plumetis plus sages. Avant d’enfiler son slip, elle examine attentivement le triangle sombre qui rejoint la naissance de ses cuisses pour s’assurer que l’heure passée la veille à en arracher les poils disgracieux n’a pas été inutile. Elle se sent particulièrement désirable alors qu’approche le moment du départ et les pointes gonflées de ses seins témoignent de l’excitation qui la gagne. Marisa sait maintenant avec quelle facilité peut lubrifier son vagin.
Les hommes la regardent dans la rue la sifflent, les regards et certains osent des sourires. Marisa Valverde 1m 70 les cheveux de couleur chatâins clairs qui tombent sur ses épaules, les yeux d´un vert émeraude magnifique, ses lèvres sont d´une douceur exquise. sa peau douce, en effet elle est dotée d´une bouche poupeuse soigneusement maquillée d´un rouge d´un peu trop vif. Ses seins sont ronds fermes et doux. Son petit sourire espiégle est un avantage à sa beauté. Un ventre plat naturellement et des fesses rebondies, Les hommes se retournent à son passage finissent par avoir des idées, et parfois des initiative osées. Elle était découverte de dons et un penchant pour l´exhibitionnisme et s´amusait à provoquer dans les divers endroit publics. Elle avait entre dans un bar de coin. se déhanchant fiévreusement, entourée de mâles avides de sa silhouette sexy. Elle s´assise en croisant três haut ses cuisses ou simulant de ramasser quelque chose pour dévoilar à tous les yeux placés une vue érotique de son entrecuisse. Marisa a toujours été extêmement vorace sur e plan sexual étant elle-même três vicieuse. Elle s´était faite toute belle, sexy à limite de la provocation. Cette perspective éclaire le visage de la femme sensuelle et désirable qui a enfin décidé de ne plus s’opposer son désir.
Épouse d´un écrivain celébre était une vicieuse en cocaïne et connassait Rodrigo Souza, dealer, jeune black musclé qu´elle cherchait la drogue et l´attration physique fut immédiate. Marisa ne sait pas expliquer pourquoi cet homme la fascinait quase instantanément avec les absences de son mari elle rencontré presque tous les jours avec Rodrigo qu´était connu dans le monde du crime comme Gegê du poudre. Son corps fin et musclé était presque totalement tatoué, des écarteurs dans les oreilles et un piercing sur le nez, les cheveuz ras, une espécie de crête décoloré, Le luque grunge parfait. C´est au premier regard qu´elle s´est senti attirée par lui. Une attraction animale, irréflechi. Un peu instinctive, sexy, divine.

- Vous êtes mariée?
- Oui...
- Vous savez qu´il y a beaucoup des hommes qui aiment voir leurs femmes dans les bras d´autres hommes, prendre du plaisir. Une femme s´abandonner à un autre devant son mari est une source de plaisir incroyable.
- Avoir La chance de joindre l´utile à l´agréable est assez rare. Vous pouvez me tutoyer, vous savez. Cela vous a vraiment plu?
- Oh! Oui, dit-il.
- Vous aimez l´idée de sortir avec moi?
- Bien Sûr...
- J´ai três envie de vous. Dit-elle.
- C´est trop... Une socialite, riche comme Marisa l´invite chez-elle dans une luxueuse villa et lui dit avoir envie de lui. Il n´a pas crois à ça.

Elle était habillée d´une petite robe courte de couleur rouge dont le devant pouvait s´ouvrir par des petits boutons dont elle avait pris soin de laisser les trois du haut ouverts. De cette façon même si elle était menue, as poitrine será malgré tout visible. Quel homme resiterait à la tentation? Il a peut-être ouverte la boîte de Pandora. Le foulard qui doit sortir de chez Versace ou Dior. Ses jambes sont habillées de bas nylon discrètement décore et terminées par des chaussures à talons hauts. Son parfum que doit venir d´une grand marque, tout en étant discret, l´entoure d´une fraîcher printanière. Elle est trop distinguée pour venir seule achèter la drogue. Le mari est sur qu´elle cachê quelque chose. Au la voir avec le Black avec un style que ne trompait personne, il allait pesquiser son casier judiciaire qui était déjà charge: vols, à l´étalage, cambriolage, consomation illégale de drogue, escroquerie, agressions diverses, vandalisme.

- Si vous êtes d’accord, j’aimerais faire visiter à mon amant en toute sécurité, bien sûr.
- Tu en as envie, et moi aussi.
- Eh oui, mon chéri. Tu voulais être cocu? Eh bien c’est fait! Tu veux une preuve? Renifle ma culotte. Lèche-la. Mon chéri tu jouais le jeu. Elle sent bon le sperme. Allez, bon cocu, tu vas me nettoyer la chatte.



2

Le jeune noir a tout du mâle alpha en devenir et bien qu’il n’ait pas encore dix-neuf ans, il dégage une puissance animale qui perturbe Marisa plus que de raison. Sans qu’elle s’en rende même compte, son corps est particulièrement réceptif aux phéromones libérées par le mec parfaitement conscient de sa puissance sexuelle. Lorsqu’elle ferme les yeux, apparaissent alors des images de lui dont l’énorme chibre couleur charbon est en train de la remplir. Quand la grosse courgette atteint enfin le fond de son con, Marisa jouit en criant de plaisir.
Cette sensation d’être remplie la ravit et elle ne peut s’empêcher de s’imaginer subissant les assauts d’un étalon doté d’un membre démesuré. Elle avait decide de prendre le tareau par les cornes et de vivre bien, profiter et aimer. À ce moment là, lui et elle étaient dans la même société. Une attraction animal irréflechie. Pour la première fois de sa existence elle avait eu le sentiment que peut-être elle pourrait se lier à quelqu´un de façon durable. Elle avait passé plusieurs soirées ensemble à discuter, Elle se sentait tellement bien avec lui. Une amitiée tranquille que dure quelques mois avec des coups de téléphone. Cet jeune Black était un amant fabuleux.

- Tu es très belle.
- Mais mes fesses sont trop grosses.
- Je ne sais plus quoi te dire. Je les trouves excitantes. Magnifiques. même.
- Arrête, c´est indecent.
- Mais putain, c´est beau...
- Tu as une queue bien dure et bien juteuse, j´aime ta queue.
- Tu es bonne toi. Tu es profonde.
- Tu n´a pas resiste non plus.
- Quoi? Tu veux baiser? Tu veux que jê plante ma queue en vous?
- C´est toi qui en profites
- Tu n´a jamais jouis avec son mari?.
- Merci! Tu es un amant extraordinaire
- Pas de tout.

Un mince filet de sperme s’écoule de sa vulve rougie. la sève de l’étalon coule le long de ses cuisses.

Alors qu’elle s’apprête à payer ses achats, la superbe trentenaire remarque un bel homme en costume. Le type aux cheveux poivre et sel lui fait un grand sourire et s’approche d’elle.

- On peut dire que tu as fait ton petit effet ce soir, ma chérie. Tous les hommes te mangeaient dans la main.
- C’est agréable de se sentir Desirée.

Le type disparaît avant que Marisa ait pu prononcer la moindre parole. Quelque peu déstabilisée, elle décide d’aller passer un petit moment dans son salon de thé favori. Elle en profitera pour parcourir d’un œil distrait les revues qu’elle a achetées plus tôt pendant sa séance de shopping.
En sirotant son Perrier, Marisa remarque un homme frisé et moustachu non loin d’elle. Le type basané porte un costume beige et une chemise rouge largement ouverte sur son poitrail velu. Il tient compagnie à une blonde décolorée trop maquillée et court vêtue. Le gars taillé comme un videur de night-club jette de fréquents coups d’œil vers Marisa lui souriant de toutes ses dents blanches lorsqu’il croise le regard de la belle brune. lorsqu’il prend ses aises dans la banquette, cuisses largement écartées, sa jambe droite posée sur son genou gauche. Son pantalon moule ses cuisses et son énorme paquet permettant à Marisa de distinguer les contours marqués de ses imposants attributs virils. La découverte de la volumineuse colonne de chair procure un grand trouble à Marisa qui sent une chaleur de plus en plus familière envahir son bassin. La jolie brune est perturbée par cette nouvelle manifestation de sa libido. Que signifient ces pulsions dont la fréquence semble augmenter sur un rythme soutenu? Marisa comprend alors qu’elle est sexuellement frustrée et que les rares rapports qu’elle a avec son mari sont loin de la satisfaire. Elle hésite à en tirer les conséquences, mais l’éventualité d’un amant s’insinue dans son esprit. Marisa termine rapidement sa boisson avant de se diriger vers les toilettes des femmes.
Le couloir est désert, il se place derrière elle et ils se plaquent par instants l’un à l’autre. Il l’embrasse dans le cou, ses mains se plaquent sur seins.

- Qui es tu?
- Je suis le fantôme de ta conscience! J’ai envie de déguster ton sperme dans un endroit plus tranquille.
- Les toilettes?
- Peut-être, allons voir. La cabine des dames numéro trois est la plus grande.
- Mais enfin, où es tu?
- Partout, nulle part, qui sait?
- J’ai envie de toi, dit-elle.

Puis, la prenant par la main lui guide jusqu’aux toilettes situées au bout du couloir. Ils s´y engouffrons tous deux, l’endroit est minuscule. Elle s’enfermait avec lui dans des cabinets. La chatte tout en bas mouille comme une conasse qu’elle est, un petit animal avide et stupide. Plaisir de la découverte, plaisir de saisir des moments d’intimité.


- Voulez-vous ne pas fermer le loquet?

- Quelle sensation! Donne moi, ta queue.

Elle lui dégrafe la ceinture, baisse son pantalon puis son caleçon. Là, elle pose ses lèvres sur son gland et lui prodigue la plus savante fellation qu’il l’ait été donné de connaître. Sa langue passe de son gland à ses couilles, elle l’aspire comme pour en extraire tout le sperme, elle aspire ses bourses lui provoquant une sensation entre bonheur et douleur.
Il a abandonné ses seins pour la maintenir fermement par la taille. Il la pénètre lentement mais profondément. Son bassin ondule, le chaos provoqué, son sexe est presque sorti de son étui chaud et humide, Il l’y replonge avec précipitation ce qui lui arrache un petit cri de bonheur. Il accélère ses mouvements et la laboure maintenant avec régularité, les effets ne tardent pas à se faire sentir il explose en elle en de longs jets puissants. Il glisse une main entre ses cuisses. Ses doigts s’activent sur son clito dur et gonflé. Elle ne tarde pas à jouir à son tour!

- Vas-y, répète lentement ces mouvements, c’est si bon…. Je vais bientôt jouir.

Ces derniers temps, les soirées étaient plutôt monotones. Les journées aussi d´ailleurs, non que le train-train les engourdissait, mais ils n´étaient vraiment pas sur la même longueur d´onde. Elle en était arrivé à avoir plus de relations masculines. Il a envie qu´elle rentre encore couverte de son odeur et pleine de son sperme jusqu´à ces derniers événements qu´il allait tenter de lui faire vivre, rien de particulier à signaler. Un manque de confiance en soi? En l´autre? Un plus d´imaginations? Que paranoie? Le mari veut qu´elle va à São Paulo pour l´eloigner du trafiquant de drogue. Marisa Valverde avait reserve pour trois nuits dans un hôtel cinq étoiles en São Paulo. Alors. Elle a commencé à preparer une valise pour le week end et d´emporter une tênue sexy. Il est 13 h et elle attend sagement à la maison. On sonne à porte:

- Madame Valverde? Bonjour madame.
- Certenaiment.
- C´est votre chauffeur pour aller au aeroport.

La brune avait ouvri la porte d´entrée devant elle, un homme de coutume noir est là. Il lui demmande après ses bagages. La surprise commence bien. Une limosine l´attend. Elle indique sa valise qu´il prend et l´escorte vers la voiture. À cet instant, elle avait l´air négligée, avec ses vêtements sexys, ses lunettes qui lui retombaient sur le bout de nez et des bagages plein des mains. Ils arrivent au terminal-1 “Latam” sûrement. Trop de vols, trop de gens. Alors son téléphone portable sonna. C´est son mari.

- Tu es où chérie?
- Dans l´aeroport.
- Marisa! Un question de pure curiosité. C´est vraiment si important. Tu vas me faire encore cocu n´est pas?
- Tu veux que je m´offre à autre?
- Tu es sûre que será un cadeau.
- Pourquoi pas et bien, réaliser un de ses fantasmes pour exemple.
- Chacun porte as croix. Je ne me retiens plus; mais pas d´insultes ou de vulgarités. Je suis prête, je vais t´aider.
- Tu as une tênue sexy?
- Plusieurs... Mon amour. Je me suis decidée, dit-elle.
- Je t´attends, mais écoute bien, je veux une preuve de sincérité.
- Une preuve de sincérité? Je ne comprends pas.
- Tu portes un robe ample et pas de culotte en dessous.
- Hein? Ça veut dire quoi?
- Tu ne serais pas un peu pervers?
- Je ne pense pas. Aurais-tu porte ton choix sur un pervers? Tu vas tout de suíte comprendre.
- Pendant mes ébats, je vais filmer tout avec une câmera cachée.
- Superbe mon amour. Les mots sont comme de la musique, je vais me masturber comme un fou.
- J´aime ça, avoir plus d´une bite. Être baisée pour un énorme Black. Je revê avec une bite noire. Alors, tu dois être au courant...
- Ok, c´est une bonne idée. Je la trouve un peu folle. Tu veux me faire ce plaisir...

Elle est arrivé à São Paulo. La ville grise et bruyant. La journée, la foule, des touristes se melaient aux flux des voitures. Sur fond des klasons et pollution, mais quand tombe la nuit tout s´éclaire, tout s´épaise sur La metrópole. Elle offre toutes possibilites. Les rues s´illuminent, les théâtres et les restaurants prennent vie. Les néons verts dansent au rythme des classiques. Dans ce moment le téléphone portable sonna.

- Tu fais quoi. Je t´attends.
- J´arrive à São Paulo. Elle será bonne notre soirée. Excellente même, oui. Je suis ta salope.
- Je crois que c´est le moment d´ouvrir le cadeau.
- C’était l’été, il faisait chaud. Un peu plus de liberté quant à ma tenue. mes seins étaient bien blancs, donc très visibles. Quel régal Je remarquai la présence d’un homme qui me suivait! J’étais très flatté. Je ne sais pas ce qui m’a pris.
- Merci, ma chérie, tu l´ offres un beau spectacle… Rassure-toi, c’est très agréable pour nous, continue ainsi. Tu penses le trouver comment cet étalon?
- Il y a plein de possibilites pour une femme à tromper son mari. Je peux aller au cine pornô, me fairen draguer.
- Ça commence à me plaire tout ça.
- Mon propre mari qui me dire d´aller me faire foutre. La longuer des cornes de mon époux est proportionnelle aux sexes de mes amants.

3

Leur jeu devient de plus en plus enivrant du fait qu´elle ne soie plus genée de désirer aussi la liberté sexuelle. C´est une sorte de jeu pervers que lui procure un mysterieux bien-être difficilement déffinissable. Un mari devient progressivement voyeur de ses propres formes. À chaque fois le plaisir est intense et le désir l´envahit. Son coeur bat à chamade pour s´échapper au tsunami qui prend possession de son corps. Maintenant, il se déconnecte pour vivre son voyeurisme. C´est une fantasme qui lui poursuivit. Son côté exhibitionniste s´éveille elle s´imagine déjà à sa place. Le sexe est omniprésent dans sa vie il occupe des penses d´une façon qu´elle qualifierait de maladive qui obséquieuse suspecte qui cachait mal leurs véritables intentions.
Le jour suivant elle a sorti de l´hôtel portant une petite robe d´été sans rien dessous excitant à souhait dans ses chaussuresà talons hauts. Rien que de la regarder marcher dans la rue cela trouble tous les étalons présent et nombre de regards que la désabillent. Le vent qui pénétrait dans son entrejambes sur le trajet aura au moins eu la vertu de refroidir le feu qu´elle a ressenti dans son ventre. Elle pénétrait dans la ville en sous-terain sans l´apercevoir. Marisa est habillée três sexy. Elle a´aperçu três vite des regads des hommes.
Un peu curieuse elle avait entre dans le complexe cinématographique pour y acheter une place. Alors elle avait entre dans un cine pornô. Elle s´insere dans la queue d´attente. Marisa voulait se faire prendre comme une chienne dans le cine. Marisa allait suivue dans le couloir que menait à la salle de cinéma. Elle se sentait encore plus observée. Elle est une belle brune de seins lourdes et une paire de fesses très genereuses. Assise dans un confortable fauteuil en cuir tourquoise, jambes croisées, elle observe autour d´elle. Le cercle du plaisir lui donnée chaude. En accord avec les règles du jeu elle s´est habillé très sexy, son decolleté en V laissait apparaître discrètement la naissance de ses seins. Des jambes sublimées par un voile rouge semi-opaque. Escarpins à talons fins en daim noir. Cela fonctionnait à la perfection. Elle sentait regads des hommes sur elle. La climatisation de la salle serait salvatrice. La salle est immense et il n´y a presque personne. Elle se sent bien à l´abri dês regards. La salle déjà plongée dans une demi-pénombre. Elle se plongée dans l´obscurité. Le film bientôt allait commencer. À chaque fois le plaisir de s´exhiber l´envahit. Il est intense et réel. Un grosse bonhomme Black est proche d´elle. Un énorme cornet de pop-corn en main. Des que les regards se croisent. Sur l’écran géant, les premières bandes-annonces commencent…
Elle reste figé avec la virilité de lui. Tous les poils de son corps se redressent et son coeur bat à chamade. Il est quand même três séduisant. Elle lui exhibe presque la totalité de ses cuisses en forme de provoquation. Il s’approche et ne peut résister à l’odeur de femme qui attaque ses narines. Sans dire un mot, la regardant il déboutonne un a un les boutons lascivement de son pantalon et dévoilant progressivement une enorme bite noire dressé. En fait le noir avait un très gros sexe, long et large, et d’une dureté bien visible! Elle allume le portable taper discrètement un très court message sur son portable. “Le show allait commencer” et elle a commencé à passer les images à son mari qui était dans une brasserie dans une table discret de coin. Il a commencé à assister à tout. “ Écoute, Marisa, pour ma part, je ne veux pas mourir idiot, j’ai envie de regarder ça de mes yeux au moins une fois dans ma vie. Laisse-moi assister depuis le début, Hmm! J’adore tes surprises!.”Dit la message de lui. Elle regarde la bite noire avec des désirs mordillant la lèvre. Le spectacle qui s’offrait à lui provoqua immédiatement une violente érection.

- Ça vous plaît de me regarder, Madame. Je peux continuer? Vous voulez que je continue?
- Ah, vous êtes divin... Faitez comme vous voulez. Montrez-moi votre queue.
- Quel cul magnifique, je suis sous le charme, tu me mets en ébullition! Je suis ravi que ça te plaise, tu es la meilleure. Pourquoi est allumé le postable?
- Mon mari voyeur veut assistir à tout.
- Continuez, pas de problème. Vous bandez três fort, Cher monsieur, chuchotte-t-elle à demi admirative.
- Ne faite pas la bougeoise. Vous avez la chatte mouillé pas vrai? Disons que ça lui excite de me voir branler. Tu ne peux pas me laisser comme ça, ma chérie, tout de même. Qui ne risque rien n’a rien!
- Je sais, je sais…
- Alors, tu aimes?
- Ohh ! Oui, alors! J’aime qu’on me dise les choses, ça m’excite.
- Tu veux que je continue ?
- Oh par pitié oui, on ne m’a jamais fait ça, c’est boooon.
- J’ai envie de baiser! J’ai envie de mettre ma bite dans ta chatte!
- Tu aimes me voir comme ça, me demanda-t-elle à son mari qu´assiste la scène du portable. Ça m’excite terriblement, mais je veux que ça te plaise aussi. J’ai l’impression que mon voisin me fait du pied, je sens sa jambe contre la mienne.
- Ce n’est pas grave, les sièges sont un peu serres, dit le message.


L’homme qui l’accompagnait glissa entre les cheveux de la jeune femme un baiser qui atterrit juste sous le lobe de son oreille.

- Il vient de poser sa main sur ma robe, je la sens toute chaude à travers le tissu. Il a mis sa main sous ma robe .
- N’aie pas peur, il ne veut pas te faire de mal. Détends-toi!

Un baiser irrésistible. Elle rit en posant sur lui un regard brillant. Plus personne ne regarde le film. Le spectacle de la salle est bien plus réaliste. Alors elle sent la chaleur d´une main effleurant sa peau de l´entrejambes. Elle sent déjà ses doigts caresser ses lèvres intimes. Elle sent as bite endourcir plus sur sa main. Elle n’arrivait plus à détacher son regard de cette superbe bite et de cette main aux ongles rouges qui la branlait énergiquement.Du rang devant nous, une voix sourde murmure alors:

- Baises-la. Prends-la devant nous, c’est trop beau.
- Chéri, mon amour, il va me prendre, dit elle au portable.
- Je t’aime mon amour, n’ai pas honte du plaisir que tu as. Je suis avec toi.

Elle filmait en close la bite noire à son époux. Le visage de son mari qu´assiste tour à tour lumineux et sévère à l’image de sa jolie bouche à la sensualité contenue par le dessin de ses lèvres aux contours parfaits, comme l’œuvre la plus pure d’un artiste amoureux autour de la bite noire. Elle la suce avidement... La femme aspirait, léchait, branlait la queue de son homme avec semble t’il, beaucoup d’efficacité au vu des mouvements de jambes incontrôlés du monsieur. Il bandait comme un fou! Elle pensa qu’elle serait incapable de l’accueillir en elle, où que ce soit, dans sa gorge, son sexe ou son anus. Il était bien trop gros!

- Cela te déplaît? Tu es une belle chienne en chaleur . Ma petite salope préférée.
- Non, je me laisse séduire. Mon époux va tout voir! ! J’ai l’impression que mon mari est en train de se branler!
- Dans ce cas, c’est une bonne raison pour continuer! Je ne pense pas qu’il s’en plaindra! Colle-toi contre moi pendant que je l’admire! Branle-le! Caresse-le, princesse.
- Euh… elle est belle, ta bite je l’avoue… Doucement, s’il te plaît, je n’ai pas l’habitude.
- Prends-moi fort.
- Tu es sûre? J’ai tellement envie de te manger…
- Je suis en âge de baiser. Et je veux le faire avec toi.
- Ne bouge pas. Ne bouge pas! Jouit! Concentre-toi sur ton sexe


Elle s’incline légèrement devant le Black. Il pénètre en elle d’un seul coup. Le jeune homme va-et-vient en elle avec une vigueur sans précédent.

-Arrête! Je n’en peux plus, je vais crier!
- Mon Amour, il me remplit complètement, il touche la fond de mon chatte! C’est bon!
- Je te regarde, tu es belle. Dit le mari en message.
- Oh ! Il va profonde, il me baise bien, regarde mon Amour, je me fais un mec devant toi!
- Tu dois finir ce que tu as commencé…
- Que c’est bon, je n’en peux plus, je vais t’inonder, dit le Black.



4


Avachie sur son fauteuil, plongée dans une semi-obscurité. bienfaisante, sa belle dévergondée somnole, récupérant petit à petit de sa grosse jouissance. Tandis qu´il reprend lentement des forces, il constate que cette garce a tenu parole, tout son pantalon est maculé de sperme! bienfaisante, sa belle dévergondée somnole, récupérant petit à petit de sa grosse jouissance.

- Chéri tu es merveilleux, tu me fais jouir d’une manière incroyable. Vous… Tu m’as tué! dit-elle dans un souffle.
- Cela vous a vraiment plu?
- Oh, oui! dit-ele directement et sincèrement.
- T’es vraiment extraordinaire.

Elle se lève belle comme un ange, excitante à souhait, fait face au public qui peut voir les liquides mélangés ressortir de son sexe. Personne n’a vu la fin du film, mais tout le monde va voir la fin du ballet torride. Le rideau se ferme, le public se plaint et en redemande. Soudain, la lumière s’allume. Un haut-parleur annonce un entracte de quinze minutes.
Une expérience unique de son voyeurisme avec son épouse a São Paulo. Elle était de retour à Búzios selon son mari elle avait été compense por ses aventures et allait lui donner une Porsche Carrera jaune ancien revê de consumme de son épouse. Mais elle allait entrer en contact avec Gegê. Elle lui invite à aller à “Bahamas” une boîte de nuit de sexe partouze. Elle se prépara devant son mari. Elle jamais porte une robe aussi sexy avant.

- Je vais aller à une boîte mondaine. Tu veux m´accompagner.
- Pas peux. Je vais embarquer um peu plus tard à Rome.
- Ferme les yeux mon mari.
- Désolée, chéri. Ferme les yeux, Gilberto.
- D´accord.
- Mais tu ne peux pas porter ça en public.
- Pourquoi? Je te fais honte?
- Pas de tout. C´est pas ça. Mais enfin, tu es une femme mariée.
- Je pensais te faire plaisir. Je suis deçue.
- Écoute. C´est n´est pas ça, mais tu es trop belle là-dedans. J´ai peur de te perdre, moi.
- Mais non idiot, tu sais bien que c´est toi que j´aime. Pas un autre.
- Excuse-moi, d´avoir reagi comme ça.
- Oh mon amour! Tu es merveilleux.

Les voilà dans la superbe Porsche Jaune cadeau de son mari. Marisa a confie le volant à son amant qui est définitivement conquis. La belle brune s´employe à le faire rire commentant la condute hesitante de Rogério. Il profite de la dévorer des yeux. Marisa croise son regard. Ils allaient à une boîte mondaine. Ambiance totalement libere à sexe du hasard. Ils sont à destination d´un endroit connue comme un grand classique de la libertinage. Arrivées de l´entrée de la maison nocturne, La voiture est gare. Enfin l´enseigne c´est inscrit em rouge Le “Bahama”. Il croit avoir entendu de bonnes choses à propor. Cette endroit “a un salon de danse enorme et pas facile de répérer dans l´obscurité. Les femmes portent tenus plus sexys que les autres. Dans le grand salon, des couple Assis sur des canapés de velours rouge, s´échange dês regards, des femmes se déhanches sous les faisceaux de lumières multicolores. Au bar des hommes seuls sirotent des alcools en observant La clientèle entrer. Autours d´eux des couples s´exhibent en se caressant les cuisses ou l´entrejambes sous une lumière tamisée, certains d´autres eux entreprennent dês masturbations mutuelles discrètes.


- Le clima est chaude. Nous allons passer une belle soirée, dit-elle.
- Super...
- Tu es super belle dans ta robe. J´ai vu plein de mecs n qui n´arrêtent pas de la regarder.
- Arrête flateur. Si tu es jaloux tu se trouves dans l´endroit erroné.
- Mais tu es une femme mariée.
- Oui, mariée et salope. Oh espèce de obéséde.
- Mets-toi à ma place. Comment veux-tu que je me sens?
- Mais dans quel monde tu vis ? Maintenant c’est quelques clics: Je suis libre! Si je trompe mon mari, au moins, cela me rend plus sereine avec lui.
- Chérie, tu fais comme tu as envie. Le garand Black musclé qui s´occupe la table devant nous, il est le proprietaire du lieu et était fascine par sa beauté. Il est um célébre luteur de MMA.

Gegê observa Marisa toujours assise confortablement et regardant avec intérêt la scène qui se déroulait sous ses yeux. Elle esquissa un sourire à l´homme que l´harcele des yeux. Marisa croise et recroise ses jolies jambes galbées, ce qui était source supplémentaire d´excitation.

- Alors on fait comment?
- Laisse-toi faire. Il est un fort cliente de la drogue.

En tout cas, Marisa fait tout pour le montrer en évitant soigneusement de ne pas croiser les jambes. Un gros silence s´établit il comprend que la libide de sa amante a explosé. Ensuite doucement elle croise ses jambes et fit glisser sa robe pourpre pour apparître sage lingerie rouge. Puis elle se leva et se dirige vers lui:

- Je peux m´assessoir?
- S´il vous plaît. Tu veux aller boire quelque chose?
- Non. J´ai envie de toi.
- Alors venez...
- Oú allons nous? Je suis une femme mariée.
- Sur ma terrsse privée. De quoi tu as peur?
- De mon amant jaloux. Gegê pas peut me voir.
- Je vais vous montrer l´Océan.

Elle le suivi croyant sans doute que Rogê allait en rester là. Elle remarque juste en montand les escaliers le regard coquin de quelques types qui ont du apercevoir le petite string rouge et les marques de bronzage, Gegê de loin a aussi vu Marisa partir avec le luteur.

- Je vais tuer cette pute.

Elle ne sait plus que faire que dire, perdue, la tetê en peu embuée d´alcool.

- Bel engin, n’est-il pas?
- Tu vas voir, il va te surprendre.


Sa bouche, sur la mienne, pour un baiser conquérant. Son vit fourrant son intimité, qui en avait vu d’autres, jusqu’à la garde. Dernière pensée consciente. Ensuite ce fut un feu d’artifice. Jamais son mari ne l’avait baisé comme ça.

La belle brune est retourné. Perturbée même. Marisa a retrouvé Gegê ivre de colère. Elle est reste impassible à l´oeil interrogateur. Elle ne savait plus que le dire. Elle est en panique. La brune est figé de se laisser aller par la peur.


- Qu’as-tu à me regarder comme ça? Tu me trouves monstrueuse, n’est-ce pas?
- C’est quoi c’truc? Je t’avertis, je ne prends aucune drogue.
- Aucun besoin d’hallucinogène. Et si je ne corresponds pas?
- Alors, je te libérerai. Je te défie d´essayer m´empêcher de m´amuser.


La belle brune écrasa la pedale de frein et les pneus crissent dans le virage. La radio hurlait un air de Rock endiablé et elle ravalla un éclat de rire proche de l´hystérie. Elle se mit à courir jetant des regards affolés de tous côtés. Elle avait presque oublié que l´obscurité celait des choses affreuses.
Le portail qui s’ouvrait lentement, coulissant sur son rail, força mon indécision. Elle remontait dans sa Porsche et elle s’engageait dans une large allée au bout de laquelle se dressait la maison. Un coup d’œil dans son rétro lui révéla qu’il était trop tard. Le portail se refermait. Alors que lentement, mais sûrement, la panique l’envahissait. Et quelle maison! C’est comme ça qu’il appelait un escalier de quelques marches en arc de cercle menant à une espèce d’esplanade dont beaucoup se seraient contentés comme terrasse. Il hésitait à descendre de la petite voiture. Elle faisait irrésistiblement penser à ces vieilles maisons hantées chères aux films d’horreur. Le hall d’entrée lui parut aussi vaste que la salle des pas perdus de la gare de la Part-Dieu.
5


En franchissant la porte, il s’était imaginé des armures au garde-à-vous, les portraits des ancêtres pendus au mur lui toisant d’un air réprobateur. Il restait bouche bée, tétanisé. Un grand espace d’un blanc lumineux, habité de sculptures contemporaines, traversait la demeure. Des mobiles, suspendus au plafond, il présume, semblaient comme autant d’oiseaux prêts à fondre sur la proie qu´il était. Il restait planté, hébété.


- Désolée de te décevoir, mais cette bâtisse m’appartient..


Marisa s´éloigne d´un pas énerve, regagne sa chambre. Gegê allait à la cuisine et il avait prendu une énorme couteau. Gegê se dirigeant vers l’entrée de la chambre. Mécaniquement, Il lui emboîtait le pas. Puis elle hausse les épaules.


- ?Mais que diable Allais-tu donc faire dans la cuisine? Dis-moi seulement ce que tu veux faire de moi.
- Vous avez la chance de faire que vous aimez.
- C´était à cet instant qu´il avait fui. Tes mots, tes actes ont des conséquences . Tu seras une pute à moins dans le monde.
- Écoute-moi bien Gegê. Écoute-moi em lieu de s´énerver. Tu es un trafiquant de merde, plus rien. Sortez de ma maison et pas rentre plus. Sortez...
- Je vais te tuer, salope.
- Sortez de là, vous ne me faites pas peur!

Le choc et la panique avaient bientôt fait place à la cólera. Il la laisse faible et impuissante en train de mourir. Brutalement Gegê plaça sa main gauche sur la bouche de sa victime pour l’empêcher de crier. Il ne pouvait pas risquer de se faire entendre.

- Pitié. Je ne vais dire rien.
- Tu vas mourir putain de salope.

La peur paralysa la femme. Elle n’eut pas le temps de reprendre ses esprits pour se débattre et tenter de fuir. Le couteau s’enfonça jusqu’à la garde dans le corps de Marisa. Elle sentit le froid de la lame la pénétrer. Elle sut à cet instant que tout allait se terminer ici. La femme sentit son corps se vider lentement. Le liquide chaud qui quittait son corps coula le long de sa poitrine. Un peu plus tard, elle était sur le carrelage, son corps tressautait, puis elle ne bougea plus. Elle avait toujours les yeux ouverts. Cette nui de cauchemar s´est terminé en bain de sang, elle succumbé à ses blessés. Elle a ruçu plusiers coups de couteau. Pourquoi s´est il attaqué? Mais il n’avait plus la même lumière maintenant. Ils étaient perdus dans le vague. Et cette expression sur son visage. Cette expression de peur, qui sera à tout jamais figée sur son visage.
Une fois sa proie étendue au sol, l’ assassin sortit son téléphone portable pour immortaliser cet instant. Il prit une photo du corps. Gegê arborait cet air satisfait. Le plaisir fut intense.. Gegê repartit rapidement pour éviter d’être vu à proximité de la scène de crime. Ce soir le sommeil ne viendrait pas, comme toujours après ces moments-là. L’excitation était toujours presente.
Mais les habitants de Búzios vont bientôt découvrir le crime. Le téléphone d´urgences sonnait, quelqu´un un appel de détresse non verifié à appeler les secours les transmitait Une heure plus tard la Police arrive. La porte d´entrée n´était pas verouillé. Les deux policiers passent à voir que s´est passe là. Les fenêtres étaient ouvertes, La TV et les lumières étaient allumés. À ce moment la Police traverse le vestibule elle est arrivé dans la salle de sejours, C´est là que le policier avait vu quelqu´un étendu par terre. La mort mettait fin à toute illusion d´une vie libertine. Après examine le cadavre, elle était en tênue sexy et sophistiquéee, vêtement de soirée styles. La femme aux talons rouges. Elle avait remarque que sa gorge avait été tranchée. Le policier avait des frissons le fait d´il reconnaître la victime. C´était l´épouse d´écrivain célébre qui était à Rome à divulguer son dernier roman. Une vraie tragédie. La Police de Búzios est à la recherche d´un tueur suffisement prudent pour ne laisser aucune empeinte digitale réussir garder son identité secrét. Voici un espert de la police scientifique à identifier un criminal grace à une simple empreinte de pied. Il n´est pas difficele à élucider le crime par absence de preuve. Mais il avait sortir avec la victime et avait d´en mettre autre pied sur le mains.
La rue avait été bloquée par les voitures de Police et le logement où le meurtre avait été commis était delimite par des banderoles jaunes qui em enterdisaient l´accès à ce genre de de précaution.

- Je vote pour um crime passionnel, du classique.
- Faison analyser son ordi et trouvons miss talons rouges.
- Belles chaussures, comenta l´enquêteur.
- Bijoux, argent liquide, carte de crédit toujours sur place.
- Je ne crois pas, comment elle a pu faire ça? Se demandait le mari.

Trois mois plus tard le trafiquant de drogue est detenu et accusé de meurtre de l´épouse d´écrivain. Le ADN trouvé dans la vagin de la victime est compatible au ADN du trafiquant. Au Poste de police, l´enquêteur entra le nom de la victime et de son assassin Gegê du mangue, traitement des antécédents judiciaires. Ce fichier est regroupe les données de la police, de la gendarmerie et des douanes. On l’utilise dans le cadre des enquêtes judiciaires pour connaître le pedigree d’un individu. On sait si un individu a déjà eu affaire à la police. Un client du restau a declaré à la Police avait vu Geê du poudre dans la compagnie de la victime dans le soir de sa morte.

- On l’a suspecté pour le meurtre. Son ADN était sur la victime. Il a été interrogé évidemment. Il a fourni un alibi pour le moment du meurtre. Il disait être sur la route toute la nuit et qu’il s’était arrêté à une station service à soixantaine de kilomètres de Buzios aux environs de l’heure du crime.

Le laboratoire de médecine légale n’est pas l’endroit préféré du responsable. Ce n’est pas la présence des corps qui le gêne mais cet air filtré si particulier. Dans ce monde sans fenêtre il est capital de bien purifier l’air sinon ce serait invivable pour les individus qui peuvent encore respirer. Les seules raisons qui obligent quelqu’un à mettre les pieds à la morgue sont le travail ou venir reconnaître un corps.
En resume... Bien souvent les affaires qui arrivaient sur son bureau se terminait par l’arrestation du criminel. Il était l´assassin de la socialite de Búzios. Rodrigo Souza est condamné à 12 ans de prison fermée. Mais il a été mort pour autre detenu dans sa cellule.

Un an plus tard....

Lola Melvitch est une blonde fantastique voisine d´écrivain qui promenait sur le sable blanche de la plage. Il avait été frappé par La tragédie. Il a commencé à frequenter les lieux de plaisir de Búzios. Um comportement qu est impossible de passer inaperçu. Visblement l´écrivain célébre repute mène une vie cachê autrement, arrogant au extreme, il était tout le temps persuade d´être La personne La plus intelligente
Lola est determiné à devenir une star à Búzios. Elle marche sur la sable dans un lieu un peu désert avec ses gros seins et un petit bikini que mal couvrait son sexe. La sueur brillait sur ses yeux. Elle veut faire son bronzage. Lola representa la femme que tous les hommes veulent baiser. Elle est equipe de sa longue serviette ainsi que de ce flacon de creme solaire. Elle fut soulagé de porter ses lunettes de soleil. La chaleur est écrasante de la mi-journée pouusa la belle à s´installer à l´ombre des arbres que jouxtaient la plage. Une fois sa serviette arrangée elle s´enduisit de creme solaire qui s´en fut d´un pas nonchalant vers la mer. Elle ne fut pas longue à s´émerger dans l´eau transparente tant la température était agréable. Puis elle marche lentement appréciant ce moment de solitude. Sur la plage il n´y avait que quelques couples profitant les rayons du soleil. L´écrivain Gilles Vilaverde était là pendant 10 minutes regardant la beauté d´Océan quand il l´avait vu... Il le ressentait une attirence Elle le regarda et lui reconnu comme son voisin célébre écrivain de romans. Il lui regarda et elle croisait son regard. Ses yeux étaient d’un vert si riche, si profond, que il en fut hypnotisé. Il était incapable de détacher ses yeux des siens. La belle blonde fait semblant de ne pas le voir mais l´observe mieux. Son regard se faire pleine d´envie au voir son superbe corps exhibé.

- Pourquoi moi? Elle se demandait.
- Voilà na princesse, prête à partir pour le royaune ses rêves.
- Ça te plaît?
- Tu parles que ça me plaît... C´est... Je n´en crois pas de mes yeux. Laisse-moi le faire. Tout de même la cible de mes désirs, Vous n’avez qu’à entrer dans ma vie sans frapper.
- Pourquoi pas si tu veux. J´aimerais d´être sa maîtresse. Tu es veuf et moi libertine.
- Tu commences à devenir exhibitionniste et nimphomane.
- En résume... Je suis pas une spécialiste, tu sais…

Alors elle écarté son bikini pour laisser sa vulva charnue au regard d´homme. Ses tetons pointent vers le ciel. Le voyeur semble devenir nerveux.



6


La blonde vouait une véritable passion à ce jeu. C´était l a chaleur qu´elle désirait, l´aventure à laquelle elle rêvait. Il s´approche d´elle lui donne un baiser léger sur une joue parfumée. Dans le coeur de femme l´amour était une douleur, un puits de désir et d´envie pour un sentiment si simple et si total. Elle connaissait la différence entre une prostituée et une maitresse. Une prostituée vendait ses eteintes rapides et froides et était oubliée avant même que l´homme ait refermé sa braguette. La blonde était une maîtresse intelligente, ne se contentait pas de vendre ce qu´elle avait entre ses jambes. Elle offrait surtout de charme, de la sophistication et de la gaieté. La charmante blonde fit alors voluptueusement glisser sa petite culotte le long de ses longues et jolies jambes, puis elle la balança d’un geste désinvolte, et elle s'allongea, lentement, voluptueusement. Elle fit signe à Gille de venir s'installer près d'elle, ce qu'il fit! Elle enlaça alors tendrement l´écrivain et elle posa sans hésiter ses lèvres sur les siennes, sur lesquelles elle fit lentement, très lentement, et infiniment longuement glisser sa petite langue égrillarde. Puis, Lola saisit le visage de Gille de façon à s'emparer de ses lèvres, sur lesquelles elle promena longuement sa langue, avant de l'introduire tout doucement, paisiblement, dans sa bouche, et de la laisser partir à la recherche de sa savoureuse et agile petite langue rose, qu'elle finit par rencontrer, et autour de laquelle elle tourna, elle tourna, tourna, interminablement...
C´était une compagnie parfaite, capable d´écouter un fantasme sexuel. Une maîtresse ambitieuse que ne savait jamais rien demander pour obtenir beaucoup. Lola Melvitch était ambitieuse. Elle avait atteint presque toutes ses ambitions. Le téléphone sonne et il décroche. Une prise de rendez-vous... C´est La belle Lola.


- J’aimerais vous offrir une nuit de folie! Dit Gille.
- Je peux peut-être vous aider? Vous n’avez plus qu’à faire votre choix! Moi, je vous laisse un instant, mais je reste à votre disposition.
- Vous êtes adorable! Je crois que je ne suis pas en droit de t’imposer mes fantasmes.
- J’en suis toute excitée à l’avance.


Une nuit longue et agitée se déroula. La nuit était noire et propice à toutes les rêveries, sa propre histoire le hantait et lui revenait souvent à l’esprit. À peine ses yeux se fermaient que la poitrine turgescente de Lola l’apparaissait et que des scénarios pas vraiment catholiques se construisaient. Oui, il rêvait d’elle… Le rendez-vous se déroula de façon assez étrange, empli de retenues, de gênes et de non-dits, mais pas dénué de séduction, de charme et de regards complices… La belle femme qui en sort, avec classe, et avec sés talons hauts, c’est elle, c’est elle, c’est Lola… Il lui ouvre la porte de la Porsche, la voit s’installer. Elle s’enfonce dans le cuir du siège, qui est confortable; déplie ses jambes, bottées, qui sont belles et longues. Fuselées, bronzées. Désirables. Ce fut elle qui enveloppa sa main de la sienne, elle qui prit les initiatives, ce fut tout simplement elle qui mena le jeu. Cette femme est évidemment très belle, et très élégante; vraiment très « classe ». Voilà ses premières pensées, qui en précèdent immédiatement d’autres. Est-elle aussi ardente, dans l’action? Il s’installe donc au volant, pour mettre le contact. Toujours sans un mot de part et d’autre.
Peu de circulation en cette fin de la journé lumineuse dans les rues du Rio de Janeiro. C’est le début de l’été. . Du point de vue météorologique en tout cas. Le moteur puissant de la puissante voiture qui ronronne. Qui feule? L’odeur du cuir neuf de l’intérieur luxueux. La femme-elle, Lola, aussi, attentive à l’homme. Avec ses gestes de femme, sa présence de femme, son odeur de femme. Déjà? Qui traversent vivement et presque voluptueusement la ville à bord d’une confortable et luxueuse voiture de sport… Silence… Silence lourd et plein d’ambiguïté. Magnifique perspective, effectivement. Belle, offerte, ouverte et docile. Les nuits d’été sont très agréables dans la majorité du temps. L’époque à laquelle cette enquête eut lieu, les gens aimaient se ruer vers divers lieux de distraction.



- Tu es absolument magnifique, ma chérie. Je me demande si je mérite d’avoir une aussi belle femme que toi. Lola! J’ai chaud, on va marcher un peu.
- Tu n’es pas mal, mon chéri et je suis heureuse d’avoir un amant aussi prévenant et charmant.
- T’es resplendissante, Lola! J’adore ton nouveau look! Dit-il d’un air admiratif.
- Merci! Gille, une nouvelle vie commençait pour moi.


Ils arrivent à trouver une place, il lui ouvre la porte de la voiture. Il en profite pour regarder sa culotte lorsqu’elle descend. Elle sourit et sort de la voiture. Ils marchèrent sans trop grande hâte, sa démarche n’est pas précipitée, mais elle est à la fois lente, relâchée et mesurée. Ses lèvres fraichement pigmentées pas un rouge à lèvres rose jette l’arôme de la passion sur tout ce qui l’entoure. Ses précieuses petites fossettes au coin de ses deux joues plongent celui qui ose la regarder dans les rêveries les plus torrides. Pour que leurs premiers baisers soient romantiques, de nombreux amoureux aiment se promener sous la douce lumière de la pleine lune. S’embrasser sous ce disque lumineux a le pouvoir de donner des envies diaboliques à certains prédateurs.
Elle portait une sorte de petite robe noire très moulante qui dévoilait des seins énormes et un cul assez rebondi qui n’allaient pas bien avec sa maigreur presque maladive. La vue plongeante par-dessus son épaule que il avait sur son décolleté et le canyon creusé entre ses seins, n’arrangeait rien. Il put même apercevoir la marque de bronzage dessinée sur leurs galbes. Néanmoins, personne ne pouvait rester indifférent à sa beauté, homme, femme ou troisième sexe. mais il ne se lassait pas pour autant de voir, au rythme de ses pas, le balancement de ses seins qui frottaient le tissus. Lola ne peut qu’apprécier le souffle léger du vent sur son intimité quand elle se déplace sur le trottoir. Les escarpins rouges choisis sont aussi du plus bel effet et montrent un contraste saisissant avec le noir et mettent en valeur l’ensemble. Certains osent des sourires, d’autres par leurs regards semblent et veulent se montrer qu’ils la déshabillent. Cette situation l’excite. En public, la femme se conduisait comme une chienne en chaleur, sans souci pour sa réputation. Depuis quand était-elle exhibitionniste? Incroyable, ce démon mettait le feu. Avait-elle fait un pari? Au début, l’effet a été spectaculaire.
La nuit commençait à tomber, et ça donnait plus encore l’impression d’un cataclysme. La météo avait même raconté qu’il fallait qu’on s’attende à des vents encore plus violents et sans doute aussi encore de la pluie. Super. Quand la pluie avait commencé à tomber elle s´était se refugie avec Gille à l´intérieur d´une maison abandonnée. Une três forte odeur de marijuana flottait dans l´air. Ils avait entendu des gemissements au fond. Un énorme black accompagné d´une prostituée sous l´effet de la drogue s´était stompé pour laisser place à la réalité. Le Black lui forçait d’un sourire de bienvenue. Elles entrèrent et lui sourirent aussi, Il n’arrêtait plus de pleuvoir. Cela faisait maintenant dix minutes qu’il pleuvait. Une vraie tempête. Il n’avait jamais vu ça. Il a suffi d’un rien, d’un signe du destin, de circonstances imprévues… Il avait une enorme bite dressé que La pute la suçait avidement. Lola mate la scène passant la langue sur ses lèvres.


- Alors, cédez à la tentation.
- Juste un peu… Pourquoi pas?Ça te plairait si on le faisait ensemble?
- Jamais je n’avais pensé à cela. Bien sûr


Elle croise le regard ardent de son prisonnier où dansent les flammes sombres du désir et un éclat dangereux qui clame qu’il sait qu’elle se consume autant que lui. Ses regards se croisent, il lui fait un clin d’œil. Elle lui lance un sourire terriblement félin. Et Gille guide sa main vers la verge dure, bâton impatient, mais solitaire. Elle ne peut que ressentir la vérité de son excitation. Son corps vibre de plaisir. Le peu de lumière me laisse toutefois voyeur de son plaisir, de son visage qui grimace, de ses yeux qui se révulsent, vite cachés sous ses paupières. Il imagine son foutre jaillir pour inonder la grotte en jets puissants et répétés. Que c’est beau, un couple qui jouit!

- Ça t’excite, je vois! Dit Gille
- Tu n’es pas jaloux de me voir ainsi provoquer le mec?
- Cela m’excite. Tu en meurs d’envie! c’est évident. Il est beau mec, profite?! Alors, vas-y.
- Tu en as envie aussi? Alors, que puis-je faire pour vous aider? J’ai envie de vous baiser tous les deux, tentait le Black.
- Je suis donc cocu, et au moins en partie responsable de cet état. Oui, cocu, mais j’ai si souvent crié au loup, pensant que mon ex-épouse avait probablement des aventures.
- Tu veux jouer de voyeur. Tu crois vraiment que c’est le moment? Demande Lola.
- Mais oui, c’est la seule chose à faire! J’espère qu’il va bien la prendre. Pas obligatoirement, mais j’ai envie de vivre ça.
- Viens me sucer madame, calme-toi, dit Le Black.
- J’y crois pas! Quelle chienne! Fantastique! Parfaite, juste comme j’aime. J’ai envie qu’elle rentre encore couverte de son odeur et pleine de son sperme, Parvint-il à bredouiller.
- C’est pour toi, j’ai envie de te faire plaisir.
- Laissez-moi vous regarder, madame. Ne me fais pas plus attendre.
- Tu sens comme je suis ouverte, comme je t’attends?


7


Lola l’offre le somptueux spectacle de son sexe fin, presque hermétiquement fermé, aux renflements légèrement fripés. Elle est magnifiquement exhibée et Le Black en est dur comme du fer. Un simple signe positif de la tête de sa part l’encouragea à s’agenouiller. Lola lui regarde, l’air de dire « Tu vas voir comme je suis avec lui… » Elle guide sa queue vers sa bouche. Enfin, avec circonspection, elle le porte vers sa bouche. Son sexe lui remplit. Son gland est bien dessiné et large; Gille ne peut s’empêcher d’imaginer et de désirer qu’il la baise. Il l’enfonce progressivement dans sa gorge pour lui faire plaisir et elle sent sa main qui appuie sur sa tête pour mieux l’enfoncer.


- Regarde la belle queue qui va me baiser, mon chéri! Branle-toi, profite du spectacle!
- Baise-la...
- Viens me mettre sa queue dans la chatte, petit chien. Elle est trop grosse, j’ai besoin d’aide.


Elle l’arrête lui disant qu’elle va avoir mal qu’il faut lubrifier sa queue. Il reste interdit. Elle lui prend alors par les cheveux, baisse sa tête vers la queue du black. Il l’exécute, Il crache sur sa queue et la prends en bouche. Il caresse les couilles de noir en même temps. Elle sent le sperme et bizarrement il trouve la sensation agréable. Il la prends à fond dans sa bouche, le branlant en même temps. Lola lui mate. Elle guida son sexe dans sa fente et demanda à être possédée sur-le-champ. La bite entra en elle, et la verge se mit en action. Gille regardait ces bondissements des fesses qui correspondaient à chaque poussée du pénis.

- C’est terriblement pervers, que tu me… Ohhh… Prenne… Ohhh… après lui! Oui… ohhh… tout ce que tu veux… ohhh… Continue!
- Tu sais, ta femme est formidable, dit le Black.
- Allez petit , regarde ta femme faire la chienne!
- Tu es un homme fantastique. Je t’aime et tu me rends heureuse.
- Certains diront que tu es une perverse, d’autres que tu es une sorcière.
- Tant pis. J’assume.

Gille va devoir tout nettoyer. Elle se soulève tout doucement de la bite de baiseur. Des filaments de sperme coulent de sa chatte. Elle se couche à côté de son baiseur, écarte les jambes.


- Je pense avoir trouvé une solution. Je ne peux pas t’en parler maintenant, mais il faut que tu me fasses confiance.
- C´est quoi, chérie?
- Viens nettoyer, petit chien, viens mon cocu lécher le foutre d’un autre.

Il se met entre ses jambes. Il voit le sperme couler de sa chatte, ça sent fort. Il colle sa bouche sur son sexe. Il lèche ce sperme. Gille commence doucement, un peu dégoûté. Énervée sa femme lui colle carrément la tête sur son sexe.


- Lèche, connard!

Finalement devant les insultes de sa femme, IL y met toute Son excitation, lui écarte les lèvres pour aller glisser sa langue bien au fond de sa chatte. Il nettoyé tout, Il avale tout. Il en profite même pour glisser sa langue dans son cul. Il a l’impression d’être un animal! Elle lui dit alors qu’il faut qu´il nettoie également le black. Celui-ci a sa bite qui pend mollement. Il lui regarde en se marrant. Elle l’attrape la bite et lui branle en même temps. Néanmoins il le prend en bouche et l’aspire. Il reste du sperme sur sa queue. Gille avance une main vers la base de sa hampe. Sa main se pose, ses doigts entourent ce pieu de chair raid il en profite pour le branler doucement.

- Ça donne envie, hein? Demanda Lola.
- Suce, fais-moi plaisir. Pourquoi résister? Ce n’est qu’une expérience sans conséquence.

Il se trouve suçant un mec, avec deux doigts dans le cul et Lola lui branlant.

- Ne vous arrêtez pas, c’est si bon! Dit le black.
- La première fois, c’est normal que tu aies un peu mal, mais tu verras, tu vas vite adorer la sodomie, dit Lola.
- La sodomie, c’est excitant sur le coup, mais c’est moins glamour après.
- Ça m’a rendu fou. En fait, c’est la première queue que je caresse… Comme elle est dure…


Le Black prend du gel, en mets sur sa queue, puis le branle doucement profitant du lubrifiant pour faire encore monter l’excitation. Il en profite pour reprendre du gel, et en étaler sur son anus déjà bien ouvert. Rapidement il se positionne au-dessus de sa queue, la dirige vers son cul encore plein de gel et appuie son anus sur son gland.

- Oh oui, comme ça, frotte bien. Ouiiiii, elle est dure. Si tu veux. Mais doucement, s’il te plaît, tu es gros pour lui.

Il le regarde tandis que il l’accueille en lui. Il ne dit rien, ne résiste pas comme il le redoutait. Au contraire ses mains se placent sur ses fesses lorsque son sexe l’a totalement envahi. Doucement il remonte en serrant ses fesses pour le sentir au mieux. Après vingt ans d’attente, enfin il le sent dans son cul, enfin il lui baise.

- Arrête, tu me fais mal, tu bandes trop fort, il va falloir arrêter… Non, arrête, je ne veux pas. J’avais oublié comme ta queue était grosse.
-?N’aie pas peur, je vais aller très doucement.
- Tirez, tirez, tirez um peu, puis t´enfonce ensuite, dit Lola.
- S’il vous plaît! A… arrêtez! Mouillez-moi encore… Je n’en peux plus!

Il accélère le rythme, il donne des coups de bassin, il gémit, il prend un pied incroyable, il s’appuie sur son torse et il lui baise de plus en plus fort. Mais il veut que lui lui prenne!


- Vas-y?! Oui?! maintenant?! Encule-moi… Je veux ta grosse queue en moi?!Plus fort, prends-moi plus fort. Oui, encore, baise-moi, plus fort.
- Il t’a baisée par la bouche, par le cul et, qu’est-ce qu’il peut te faire de plus?
- On a joui ensemble… J’ai aimé… J´ai beaucoup aimé! Ce qu’il veut, je suis sa pute, il dispose de moi comme il veut, dit Gille puis d´être enculé
- Tu sais que j’aime la queue nature et tu en profites, hein!
- Ton mari a raison, tu as un con de reine, tous les mecs qui te passeront dessus te le diront...

Le jeu est fini. Tout était arrivé si brusquement. Ils sortent de là réealisés tous les deux. Il regarde sa silhouette avec un grand plaisir. des boucles d’oreilles étincelantes et une très courte robe noire qui met en valeur des jambes de danseuse. La robe ondule très agréablement, en harmonie avec la démarche de la blonde. Le balancement de ses fesses moulées par un robe courte lui donnait une grâce divine qui, à en croire les regards se retournant à son passage, ne laissait pas beaucoup de mâles indifférents. Il y un élastique autour du col, ce qui lui permet de porter la robe avec ses épaules exposées. L’effet lui va bien. Avec ses cheveux bouclés blonds qui tombent sur les dites épaules nues, il l´aime beaucoup. Elle aimait être femme féminine, et femelle animale. Qu’un mari adore voir sa femme baisée par un beau gars, bien membré et dont la couleur de peau peut réveiller des fantasmes.

Fin

Ivan Ribeiro Lagos
teresinapr@hotmail.com







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