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Sexe, perversion, meurtre dans l´haute société

Ecrit par Ivan
Parue le 20 08 2021
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Cette histoire érotique a été lue 997 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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Sexe, perversion, meurtre dans l´haute société

Préface

Le gôut irrépressible de la beauté et du plaisir charnel a supprimé en elle la tendance naïve et excessive d´être amoureuse de l´amour au sexe et de sublimer en état trompe-l´oeil où elle est rassurant de se refugier en grandes fortunes. La belle blonde croiait plus qu´aux plaisirs physiques à l´était brut qui ne sont pas moins intenses que ceux qui suggèrent aussi une intention intellectuelle susceptible de perturber en accouplement plus au moins bestial, mais puissant.

1

Le temps était sec en cette fin du mois d’août, la luminosité rosée et un léger parfum aux fragrances d’été carioca étaient presque féériques. Le week-end, c´était l´idéal. Josè Riviera ne travaillait pas si bien qu´il était plus facile pour lui de surveiller les chefs mafieux que l´intéressaient. La plupart du temps, ils ne travaillaient pas non plus ces jours là. Ce qui lui permettait d´observer ses habitudes et de réfléchir au meilleur moyen de les tuer. Il avait monte une equipe de sicaires pour l´aider à faire les services. C´était comme ça que fonctionnait les mafies. Il savait observer ses possibles victimes. Ses gardes de corps, sa routine, ses amantes avaient toujours remarques l´attention qu´il portait aux détails. José Riviera était déjà un tueur expérient et ne se lançait jamais dans un projet sans en avoir au préable mesure les risques et les possibilites. Le premier chef mafieu qu´il avait tué ils avait considéré une nouvelle mission, Une mission qu´occupait maintenant une place centrale dans le monde des casinos.

- Pourquoi les tuer?
- Ce son des serpents. Tu ne fais pas te fier jamais à un serpent.
- C´et vrai.
- Les affaires tournent. Une vrai pluie de l´argent.

Tout avait commencé par les casinos qui étaient pour la plupart situes dans les meilleurs hôtels de la ville. L´hôtel Glorie possédait le cassino le plus élégant. Le plus huppé était situe au littoral. C´était une oeuvre d´art. Les casinos donnèrent le ton et furent à l´origine d´une fortune, d´un flot d´argent liquide à José Riviera Bonfim. Il était le maître du jeu et des assassinâts. Personne mal se soupçonnait l´existence. Il était um parfait annonyme. Il était comme apocalypse. Il avait entre dans la mafia du jeu et il avait tué tous sés chefs. Il allait crée une armée bien organisée et se trouvait à son service. Chaque hôtel avait une boîte de nuit, devenue un centre de divertissement fabuleux, avec des orquestres de latin jazz extraordinaires, de pulpeuses danseuses de revue, des attractions élaborées et de nombreux chanteurs et artistes de varietés.
Leur liquide coule à flots des tables de jeu jusqu'à ses caísses. Un monde plus au moins souterains de bordels, des spectacles sexy, de jeux de cartes et de drogue. À la capital d´Uruguay cette tradition s´était forme autour du jeu, qui avait fait ses preuves et n´était pas même illégal au Uruguay. D´une façon ou d´une autre, tous ceux qui étaient concernes se retrouvèrent embarques sur une voie sans retour. Mais c'est là qu'un tas de problèmes de la ville se règlent.Tous ces problèmes enterrés dedans.
La belle Silvie Cristal a été élevée dans un quartier chic. Elle a frequentée des établissements privées. Elle n´a jamais travaillé et n´est pas reste que brièvement à l´université. Le genre de gamine qui traînait avec la Jet-Set. Une beauté hors du commun. Elle avait été miss Rio de Janeiro et miss Brésil.
C´est la fin de l´été. Sylvie Cristal est déjà nostalgique. La blonde aime tellement vette saison. Elle met en place chaue été de nombreux ritueurs. Le matin elle aime se lever à l´aube pour asssiter à la naissance du jour. Regarder le ciel avec ses couleurs orangers qui mutent de minute en minute. Elle aime aussi cette lumière matinale, sa peau est mise en valeur. Elle aime regarder ses cuisses, ses mains, ses épaules, son visage qui lui plaît tant. Sylvie se sent seule à cette instant. Elle aime ça... Comme si elle était la seule à participer à l´intimité du levé du soleil. Un moment privilegé. La belle femme prend son café dans le silence, les yeux vers La fenêtre ouverte pour mieux apprecier les rayons qui caressent sa peau. Cet été est passe vite et la sensation, ne pas avoir profité ne lâche pas son esprit. Cela en devient déprimant. Elle se demande ce qu´elle v faire de son week-end. La blonde abandonne sa tasse de café dans l´evier. Elle allait au casino en Uruguay.
Le temps estival est particulièrement agréable. Une douce chaleur, les premiers vrais rayons de soleil, un vent très léger pour rafraîchir l’atmosphère, le temps idéal pour une balade improvisée. La belle blonde brésilienne a apprehende son départ en même temps se sent excitée à l´idée de partir seule. À le sourire aux lèvres, les yeux brillants et un peu la boule au ventre. Elle met les boucles d’oreille et elle place le collier autour de son cou. Elle a cinq boutons devant. Robe à fleurs plutôt chic, tout en étant un peu sexy, des talons hauts qui métamorphosaient sa démarche et sa silhouette. Une jolie robe comme celle que les jolies femmes peuvent porter l’été. Suffisamment légère pour suggérer les idées les plus ambitieuses aux hommes qu’elles croisent, mais suffisamment longue pour que ces hommes comprennent que leurs idées resteront à l’état de fantasmes. Sylvie Cristal marche maintenant tranquillement sur le trottoir en directement de l’arrêt de tram. Sa tenue très légère est parfaitement adaptée à la circonstance, car elle se sent vraiment bien malgré la chaleur ambiante. Le vent léger te rafraîchit doucement les mollets, le bas des cuisses et le haut du buste et cela lui fait un bien fou.
Elle avait connu José Riviera dans son propre casino en Uruguay. Sylvie Cristal, blonde yeux bleus. 1m75 visage de déesse était toujours devants les photographes en attirant l´attention sur tout le monde. En la voir il avait reste fasciné par sa beauté. Elle savait son code, arroser tout le monde, c´est ça dans le casino. mais José Riviera ne se lassait pas pour autant de voir, au rythme de ses pas, le balancement de ses seins qui frottaient le tissus. Elle a une démarche de star. La seule belle femme du cassino à être payée sans coucher avec personne.
Elle porte une robe d’été légère et des sandales blanches lacées. À bientôt 29 ans, elle est plus désirable que jamais. Ses beaux cheveux blonds légèrement frisés l’avaient envoûté. Il sourit, car il les vis pointer à travers l’étoffe. Surtout au passage des rayons réfrigérés… Mais ça, c’était anatomique! Son état la trahissait sans pudeur… La belle blonde n’osait pas croiser le regard d’autres personnes, mais il sentait qu’elle était observée. Le proprietaire du casino pense à cette jeune femme qu’il trouve jolie, «?C’est formidable le cinéma. Dans le casino on voit des filles, elles ont des robes, le cinéma arrive, crac, on voit leur cul?». Mais cette blonde est différente. L´homme la quarantaine à peine s´installe face à elle. Sylvie lui sourit, il lui répond. Elle surpprend les yeux du bel inconnu plonger dans son décolleté. En elle naît doucement une envie qu´il la désire. Un mélange entre plaisir, excitation, désir en elle. Alors elle le regarde un peu plus souvent En passant la main dans ses cheveux, La langue sur ses lèvres pulpeuses, elle sent qu´il pose sur elle un regard d´envie.

- Qui est la belle blonde? Elle avait un charme fou, elle irradiait, demande José Riviera, le patron.
- Cette femme est célèbre pour sa flemme. Il faut lui reconnaître ça. Une diva incontournable du monde des jeux.

Elle s’assied sur une large et confortable banquette en cuir crème et défait ses sandales. Elle remonte sa robe à mi-cuisse pour parler avec lui.

- Tu es une femme sublime!
- Merci du compliment.

Sa beauté faisait cet effet. Elle le provoquait le vrai gangster dans cette ville.

- Tu sens mes yeux posés sur toi? Je me sens proche de toi... Dit La blonde.
- Tout le monde l'adorait. Comment lui résister? Tu me sens en toi? Tu es de qui? Il avait lui demandé.
- De personne. Je n´appartiens à personne, je ne suis pas un objet.
- Alors, tu va être mienne. La reine des casinos, ma déesse... C'était la meilleure solution pour l'instant.
- Quand tu aimes quelqu'un, il faut lui faire confiance.
- Il faut lui donner la clé de tout ce qui est à toi. On fait un duo d'enfer si tu le veux.
- Quoi plus? Veut savoir Sylvie.
- Je veux t'épouser. Tu veux être ma femme?
- Serieux? Je veux me fixer. Avoir une famille.
- Je te connais assez pour savoir que je t'aime. C'est avec toi
que je me sens le mieux et je ne veux plus attendre.
- L´amour... Ça viendra plus tard,du moment qu'on se respecte. Le reste viendra peu à peu.
- Si ça ne marche pas entre nous, tu seras à l'abri toute ta vie.Tu auras ta sécurité.


Pendant un temps, elle avait cru que cet amour-là, à la première vue, elle l'avait qu'il l'a donné le paradis sur terre.Une histoire de conte de fées.

- Il faut que je te parle. J'ai besoin d'argent.
- Combien?
- Plus que d'habitude.
- Retire-le de ton compte. Il est plein.
- Je pourrais, bien sûr...Seulement...
- Il me faut plus. 25 000 dollars.
- 25 000? Pour toi? Pourquoi il te faut autant? J'ai le droit de savoir.
- Ça change quoi? J'en ai besoin. Payement de care de credite, achete de sac et des souliers et vêtements griffés et quelques bijous, c´est ça. Je n'ai jamais rien demandé. Tu m'obliges à supplier.
- Non... Voilà l´argent.
- Je t´aime mon mour.
- Je lui ai tout dit avant le mariage. Ça me tombe du ciel!

Lorqu´ils sortirent du casino dans la nuit tié de de mars, un jornaliste se rua sur eux pour les photographer. La jeune femme moulé dans un foureau rouge se fâche, sans doute par príncipe, mais prit sans hésiter la pose, rejetant ses magnifique cheveux blondes. Elle rit tout bas.

- Ce sont des pestes, sussura-t-elle. J´en ai plus qu´assez d´être considérée comme sex-symbol.

Dans la maison José Riviera voulait savoir ses origines.

- Et ton père et sa mère?
- Je suis née dans cette ville. Mon père etait un bon burgeois et ma mère affichait l´heureux tempèrament d´une bourgeoise, tous deux vivaient d´un revenu modeste produit de leur petit commerce. Mon père avait pour maîtresse une jeune veuve e notre voisinage, quant à ma mère, elle était entretenu par son amant um gentilhomme fort riche et qui avait son amitié aussi de bonté d´honorer mon père son son amitie. Pour autant jamais ménage ne parut plus uni.
- Comment avait-tu prendre connaissance?
- Un jeu de caresses du regard, alors que la conversation était anodine. commenças délibérément à libérer tes charmes : sourires et regards longs, poses te mettant à ton avantage, croisement et décroisement de jambes… Quelques mouvements m’indiquèrent qu’elle jouait à montrer ses atouts de séduction préférés, ses chevilles minces, ses mollets et, sans doute au-delà des genoux, des vues vers ses cuisses juste glissées dans d’élégants bas autofixants. Leurs échanges visuels dans la salle avaient suffi à conclure leur accord. J´ai entend il a parlé.

-?Super. J’ai tout… Tu es vraiment génial, ma belle… ?Tu es vraiment ravissante. Je te trouve même très désirable. Tu mérites que je te fasse quelque chose. Beaux cadeaux pour une reine. ?Alors dis-moi. Ton mari est où cette semaine?
- Je regarde aon agenda. Il va juste faire une voyage, déplacement la semaine entière.
-?Je n’arrive pas à y croire. Ça me paraît tellement incroyable! Tout cela me semblait si improbable, impossible même.
-?Ça marche, dit-elle.

2


Elle lui remercia en rougissant légèrement et son doux sourire lui fit fondre. Il ne pouvait quitter des yeux ses jambes, belles, vivantes, appétissantes, qu’elle ne cessait de croiser et décroiser d’un mouvement lent et calculé. Ça lui rendait fou. Ce jeu de jambes incessant fit peu à peu remonter sa robe, qui ne cachait maintenant plus grand-chose de la peau blanche et lisse de ses cuisses.


- Une dure journée nous attendait le lendemain. La nuit fut longue, car j’eus beaucoup de peine à m’endormir. Très préoccupé, je ruminais sans cesse cette histoire.
- Je réfléchis un moment à cette situation nouvelle pour moi. Bien sûr, la coïncidence était plus que troublante.
- Comme était ta mère? Demanda José Riviera, son mari.
- Blonde, belle son allure toujours BCBG, mais tellement sexy en même temps. Sa robe moulait sa poitrine menue et s’évasait sur ses hanches, jusqu’à ses genoux. On devinait à chacun de ses pas, la souplesse de sa taille et le balancement prometteur de son adorable petit cul. J’ ai obeservé que l´homme était fasciné par son babillage agréable, ses sourires et son regard qui lui disaient déjà tant de choses…
- Après dix années passes dans un tel arrangement, j´ai dix-huit ans et uma libide des diables. Je vivais la dure nécessité de renoncer tous les plaisirs. Alors tout change dans la maison. Remplaçe bientôt les visites de son amant qu´elle finitpar congédier. Puis mon père mourut. Ma mère tenta tant bien que mal survivre à cette nouvelle épeuvre. Il La baisée toutes les tards dans sa cellule , puis dans chez-moi, pour se consacrer pleinement à sa mission évangélique, de poursuivre sa mission divine.
- Je m’avoues d’être masturbée en rêvant avec le religieux. Mes fantasmes devaient aller à l’essentiel, à l’acte brutal, retrouver l’animal de chair qui sommeille en moi.

- Le soir, sur l’oreiller, tu voulus tout savoir, de mes sentiments à la forme que prirent mes assauts pour tenter de dévergonder ma mère. Peut-être que moi aussi je peux le faire! Je m’excitais très souvent en imaginant ma belle avoir une relation très sexuelle, torride et passionnée avec un amant vigoureux et que je l’espionnait avec ma mère. Ça y’est, j’y suis, ma femme est avec un autre homme, Je suis un peu déçu, dans mes rêves fous, j’étais spectateur privilégié, avec une image parfaite, voire des zooms, comme dans un film… Plus tard j´avais parlé d´elle avec son amant. La scène que je visualise est terriblement belle, une esthétique de cinema. Elle me regardai droit dans les yeux, avec un air excessivement sérieux et solennel…
- ?Tu es une vraie diablesse… Laisse-moi faire. Si jamais tu as une envie, une occasion, je t’en prie, ne te frustre pas… Fais ce dont tu as envie, tu sais que la seule chose que je veux, c’est le savoir, le vivre.
- Vous avez baisé avec l´amant de s mère?
- Non... Seulement avec le religieux qu´elle avait comme son nouveau amant. ?Ma mère n’avait pas prévu que je devinerais. ?Ce n’est pas une mauvaise idée. Um jour le religieux est arrivé chez nous mais ma mère éatit absent, bouffer la chatte de la jeune fille de as amante les circonstances étaient propices. Alors je m’approche de lui et pose un baiser léger sur ses lèvres. ?Je n’ai pensé qu’à un jeu. C’est vrai, pour peut-être bousculer mon quotidien.
-?Non, ne va pas penser que…. Dit le religieux.
-?Tu embrasses comme un dieu, lui dit-je.
- Et toi comme une déesse… Insatiable.
- Aimons-nous. ?En fait, je te désire déjà depuis si longtemps… mais… J’en ai très envie!
- Mon appétit sexuel et je n’avais plus qu’une idée en tête: aller plus loin avec lui. Seule ma fébrilité dominerait mon esprit et mon corps, désormais.
- Il glisse sa main vers mes cuisses. Je sens qu’elle touche mon sexe.
-?Je veux que tu me baises ici, sur le tapis.
-?Sur le tapis? m’exclamai-je, étonné par cette idée que le trouvais saugrenue. Ça ne va pas être très confortable.
-?Mais ça sera tellement plus excitant…
-?Comme tu voudras.
- Je commence à défaire sa ceinture. Il la laisse faire. Je l’aide en lui soulevant légèrement, mais pas plus. Son sexe apparaît. Je saisis délicatement de sa verge. Il ne bouge toujours pas, mais sa tige semble déjà reprendre vie. Elle la prend mieux en main. Je lui regarde. Elle se penche. Je m’agenouille. La voici comme j’adore, comme tous les hommes adorent, prêtresse du dieu Phallus. Un Dieu auquel il faut peu de choses. Des lèvres… Une bouche… Une langue.
?- Baise-moi ! Enfonce-moi ta grosse queue… Je la veux toute.
- Puis C’est fou comme il disparaît facilement tout au fond de la grotte. Il ma baise doucement. Ses va-et-vient sont d’une rare beauté. Il est vrai que je suis facile à satisfaire. Mes tétons lui tentent. Je les tords sans remords.
- Salope. Ta chatte m’aspire… je t’inonde… Tu sens mon jus… Ahhhhhh!
- Et enfin j’ai joui, me libérant de toute la tension accumulée, pendant que le mari se vidait dans mon cul douloureux. Il avait joui bien au fond de ma chatte, comme elle l’exigeait. Il savait que j´ai rêvé à tout cela. Ce saint homme qui m’avait guidé au monde des plaisirs.
-?Tu sais y faire, petite dévergondée, lui déclarai-je. Une vraie pro!
-?Aurais-tu encore des scrupules? dit-je en riant.
-?Des scrupules? Bien sûr que non. Au contraire, je te désire comme un fou et…
-?… Et tu as envie de me baiser. Et alors, où est le problème?


Il fallait une femme n´import laquelle du moment qu´elle était consentante et experimentée. Sylvie remplissait toutes ces conditions. Elle avait le coeur battant le souffle court. Elle aimait les hommes avec beaucoup des cheveux. Elle choisissait toujours avec soin ses amants. Le photographe avait un visage intéressant. Pas beau. Jamais elle ne se serait se laisser photographer avec quelqu´un de plus séduisant qu´elle. Ses tarit étaient nets, son teint bronzé. Il avait des yeux gris, couleur de sílex, pleins de mystére. Elle appreciait d´autant plus les hommes secrets qu´ils ne tardaient jamais à se confier à elle.

Alongé sur son lit, le jardinier Black observait d´une mouche au plafond de sa petite chambre. L´obscurité et le repôs n´avaient jamais fait bien ménage chez-lui, comme s´il était sans défense quand le soleil se couchait, que ça fatigue le prenait par surprise et que les ténébres l´ envelopaient. Il pense sur le corps parfait de sa patronesse et se masturbait avant de dormir.
Son premier attrait est sa peau d’ébène, était son jardinier Benê. Oui, Il est black et elle se rends compte que cet homme la rend folle. À chaque fois qu´elle le voit, Sylvie sent sa culotte se mouiller et elle oublie totalement son mari. Le fantasme qu´elle nourrissait pour les hommes blacks durant son adolescence remonte immédiatement à la surface. Le soir, lorsque elle fait l’amour avec son mari, elle ferme les yeux et pense que c’est l’objet de ses fantasmes qui l’honore. Elle n’a qu’une idée: coller son corps blanc contre son musculeux corps noir et lui faire prendre sauvagement. La socialite s’habille de plus en plus sexy, provoquant l’étonnement de son époux. Elle enfile le petit morceau de tissu sur sa peau bronzée. Elle se regarde dans la glace. Le rouge lui monte aux joues. Le même rouge ou presque que cette mini robe dos nu qu’elle s’est décidée à acheter. Jamais elle n’a porté une robe aussi sexy. Elle dévoile beaucoup de choses, son dos bien sûr, mais aussi ses cuisses, très haut, sans compter le décolleté très plongeant. Pour compléter, elle a acheté les chaussures d’été à lanières et talons hauts… Rouges elles aussi. Elle allait jusqu´au jardin et demande au jardinier Black:

- Qu´est-ce que tu trouve?
- Tu es super belle dans ta robe.
- Arrête, flatteur.
- Ils doivent attendre de voir ta culotte
- Oh! Espèce d’obsédé (elle rit).
- Vous avez la peau très douce. Et cette robe rouge vous dévoile à ravir.
- C’est… c’est la première fois que je la mets.

Ce soir, c’est une soirée, bizarre sous les tropiques. En début de soirée une brise bienfaisante se lève, faisant bruisser les feuilles des arbres. Elle passe par les fenêtres qui s’ouvrent l’une après l’autre, créant des trous béants dans les façades, laissant circuler un courant d’air revigorant. Personne ne prend même garde au vent qui forcit et pousse inexorablement devant lui de gigantesques nuages noirs et menaçants, et en un instant le beau ciel d’été est éclipsé par l’obscurité totale. Les ténèbres ont pris possession de la ville. La tempête « Mélodie » est arrivée et s’amuse à secouer brutalement la capitale. Des rafales frôlant les cent quarante kilomètres à l’heure et des trombes d’eau s’abattent sans sommation et sans discontinuer, semblables à la mousson. Aussi vite qu’ils se sont ouverts il y a peu, les volets sont déjà presque tous refermés et les habitants se calfeutrent à la hâte en attendant inquiets que les éléments aient fini de se déchaîner. Dans les rues, le lugubre gémissement des arbres malmenés et déformés par les bourrasques fait froid dans le dos.
Ceux qui ont renoncé à se battre sont soit couchés soit brisés net comme des allumettes. Des myriades de gouttes martèlent le sol en résonnant comme sur un tambour, au rythme des roulements de tonnerre. On croirait entendre une sorte de marche funèbre entonnée par des éléments furieux, un requiem en son honneur, faisant vibrer les bâtiments tandis que les éclairs déchirent rageusement le ciel. Le vent transperce ses rideaux détrempés et lui picote comme des milliers d'aiguilles microscopiques en me mettant au supplice. Bingo, elle est en train de foncer droit sur la tourmente. La belle blonde se redressa dans son lit. Le vent siffla à travers les fissures des murs de la maion de campagne, entre les planches que son mari avait clouées négligemment. Elle ouvre un peu le fenêtre et appelle le jardinier.

- Viens, viens Benê, viens voir criait elle au jardinier Benê.
- Dehors, il n´y a rien, Madame.

Son miroir lui renvoyait l’image d’une jeune femme grande et mince. La chemise de nuit dont elle était vêtue soulignait ses charmes plus qu’elle ne les dissimulait et mettait en valeur des gros seins, ronds et fermes la voix était invitante, mieulleuse, mai il y avait quelque chose d´étrange derrière cette beauté. Elle remonta ses cheveux blonds comme les blés, si lisses qu’ils semblaient pareils à de la soie. Ce faisant, elle masqua son visage agréablement hâlé aux traits fins, mais volontaires, et son petit nez droit. Ses yeux bleus étaient magnifiques, purs et clairs… mais tellement froids qu’ils paraissaient incapables de refléter le moindre sentiment. Dehors le vent venait de se lever, un peu, juste assez pour qu’il puisse sentir à travers les volets une sorte de petit mouvement distinctif qui le fit se dresser un peu plus vivement. Son visage passe une image corrompue et obscène. Elle s´assit sur le bord du lit les lattes de pin étaient sous ses pieds nus. Elle était nue sous la chemise de nuit transparente. Elle sentait nues sous le tissu léger de sa tenu et elle remontait discrètement sa robe dévoilant ainsi ses cuisses… Elle regarde l´énorme bosse que se forme sur le pantalon du Black. Une soif ardente de sexe revéille en elle.

- Oh, entendez-vous ça? Putain, Benê, mais t’es monté comme un étalon.
- Vous êtes une femme mariée. Est-ce que c’était mieux qu’avec moi?
- Non, c’est impossible, mais très différent, j’ai bien apprécié d´experimenter
- Je ne serais pas contre, c’était très bon et cela changeait, mais cela dépend de toi, mon trésor, tu sais que c’est toi que je désir.
- Oui, tu as raison, mais c’est très différent, c’est seulement sexuel. En tout cas, j’apprécie bien votre hommage, dit-elle en se frottant d’autant plus contre sa verge bandée. Tu ne m’en veux pas, mon chéri?
- J’ai pas encore eu un plaisir si grand qu’avec toi.

3

Pour que leurs premiers baisers soient romantiques, de nombreux amoureux aiment se promener sous la douce lumière de la pleine lune. S’embrasser sous ce disque brillant se reflétant dans leurs pupilles, augmente leur propre désir. Mais, ce disque lumineux a le pouvoir de donner des envies diaboliques à certains prédateurs. Une fois qu’il l´a choisi, il devenait sa propriété, son instrument, sa chose. Très vite, il va apprendre à lui connaître. C’est lui qui va décider de leur avenir, elle est devenu le maîtresse du jeu. Désormais, votre ombre n’est plus seule. Sylvie Crystal apprécie de plus en plus le black et pour tout dire surtout les grosses queues. La blonde avait toujours été attirée par les hommes de couleur. Elle les trouve beaux. La main de Sylvie se plaque sur l’entrejambe de son partenaire. Elle masse fermement son sexe à travers le pantalon. On glisse vers le sexuel.

- Déjà?
- J’ai très envie de toi
- Alors, ne commence pas par là tout de suite… Occupe-toi de ma chatte d’abord.
- Super!
- Baise-moi bien, mon petit cochon! Viens t’allonger avec moi, on va s’aimer.

Sylvie Cristal se laisse écarter les cuisses. Elle sent le gland contre sa vulve. Elle jette un regard trouble et vague à Benê lorsque celui-ci s’enfonce en elle. Oh… Ce sexe différent, plus gros, plus long que celui de son mari! Les premières fusées explosent. Sylvie a relevé ses cuisses. Elles sont autour de la taille de Benê qui la pilonne. Elle gémit, ondule sous ses coups de boutoirs. Au-dessus d’eux, le feu d’artifice éclate colorant le corps nu de Sylvie en rouge, en bleu, en vert…

- Baise-moi, baise-moi encore, mais surtout, ne t’arrête pas… Je veux que tu vides tes couilles au fond de moi…
- Ne bouge pas, reste en elle. Il y en a pour un instant.

Benê se déchaîne. Sylvie crie son plaisir. Elle jouit et jouit encore. Bouquet final, Benê se vide en elle. Au-delà de ses jeux sexuels, Ils passent aussi du temps à discuter ensemble et refaire le monde. Elle est absolument brillante et possède beaucoup d’humour, ce qui finit de lui faire tomber amoureux. De son côté, elle se sent revivre. Le tabou que provoque notre union la libère et augmente sa libido qui était en berne depuis plusieurs années maintenant.
Maintenant elle était seule. Elle va pouvoir profiter de détente. Elle fait couler l´eau chaude dans La grande baignoire, ajoute du sel de bain à la rose. Elle allume des bougies aux quatre coins de pièce. Pour être encore plus détendue, la musique qu´elle choisit sur son mp3 est calme et relaxante. Toutes les lumières de la maison restées allumées sont à present éteintes. Seules dansent les flammes de bougies, le calme règne, un délicieux parfum de rose embauche la salle de bain. Elle se place devant le miroir comme por se charmer. Elle retire sensuellement ses vêtements un à un, elle admire un moment son corps dans le miroir comme elle le voit dans le regard de Benê, son amant. Sylvie rassemble en chignon ses lourds cheveux qu´elle vient de peigner en entre un orteile dans l´eau pour juger la température parfait. Son corps est emporté dans une enveloppe chaude et apaisante. La belle repose sa tetê sur le rebord de la baignoire. Elle ferme les yeux et laisse son esprit vagabonder.
Les jours passent… Mais pour la belle Sylvie, cela devient de plus en plus un enfer. Oh, du côté de son mari, cela n’est pas trop grave, il continue de la baiser quand il en a envie, elle fait même semblant de jouir pour qu’il ne lui pose pas trop de questions. Elle était vicieuse de la bite de Benê.
Sylvie et José Riviera, ils forment un beau couple. A vrai dire, il s’agit même un duo qui force l'admiration de leurs nombreux amis, au point que certains d'entre eux auraient tendance à se montrer un peu jaloux d'un aussi insolent bonheur! Et surtout ils se sont passionnément aimés, pendant un peu plus de vingt années. Ils se sont aimés comme des fous, comme des malades mentaux, et ils se sont même chéris même comme des forcenés, ce qui était loin d'être écrit et gagné d'avance, pour elle. Tout comme pour lui, le macho, l’homme foncièrement viril, le dragueur impénitent, toujours à l’affut d’un charmant jupon froufroutant et qui était passablement misogyne, aussi, quand elle l’a rencontré. Cette année-là, qui fut aussi, mais dans un tout autre registre, celle de son étrange, mais tout de même sympathique et joyeux, dépucelage, un acte un peu liturgique dont elle n’avait bien entendu parlé à personne.
Plusieurs rayons du soleil s´insunaient entre les deux gigantesques immeubles qui dominaient le parking bonde reserve aux habitants de ce quartier. La multitude de fenêtres sur ses colosses de beton et d´acier réfletaient le bleu pastel du ciel immaculé de cet fin d´été. La journée s´annonçait magnifique. Le couple avait un grand appartement de luxe qu´occupait deux étages dans la plage de Copacabana.
Ce matin-là, Sylvie avait révéillé José Riviera son époux et l´avait aidé à prendre sa douche. Son épouse avait fait quelque chose à manger.

- Toutes les paraoles au monde ne suffisaient pas à décrire ce que nous avons vécu ensemble. Toutes. les lettres de l´alphabet, tous les poèmes, toutes les chansons... Mais hélas! En toute chose, il faut considérer à sa fin, malhereusement à sa fin pour nous deux.
- On est souvent trompe en amour, souvent blessé et souvent malheureux, mais on aime, dit elle.
- La amour viens comme la mort sans rendez-vous. Je suis amoureux de toi dès le premier regard, ton sourire m´emprisonné. Cette joie illuminait tes yeux.

L´après-midi, après le déjeuner José Riviera s´était allongé pour faire la sieste. Dans la reception le portieur, comme d'habitude il était assis et il fumait, avec félicité et son perpétuelle placidité, son éternelle gitane papier maïs. Il tirait ainsi toute la sainte journée, et le plus paisiblement du monde, sur son clop, dont il avalait flegmatiquement de voluptueuses petites bouffées de fumée âcre. On aurait pu croire qu'il avait le cul vissé, à longueur de journée, sur son vieux poêle à mazout, ce siège qui était certes peu confortable, mais qui était pour lui comme une sorte de vigie, le portier, le brillant vigie, était porteur de grosses lunettes d'intellectuel myope.
avons vécu ensemble, toutes les lettres de l'alphabet, tous les poèmes,
toutes les chansons... mais hélas! En toute chose il faut considérer sa
fin, malheureusement pour nous deux «
dit
Toutes les paroles du monde ne suffiraient pas à décrire ce que nous
avons vécu ensemble, toutes les lettres de l'alphabet, tous les poèmes,
toutes les chansons... mais hélas! En toute chose il faut considérer sa
fin, malheureusement pour nous deux «
dit
Toutes les paroles du monde ne suffiraient pas à décrire ce que nous
avons vécu ensemble, toutes les lettres de l'alphabet, tous les poèmes,
toutes les chansons... mais hélas! En toute chose il faut considérer sa
fin, malheureusement pour nous deux «
Deux individus enfilent des gans puis sonnant la porte d´entrée du édifice. Le portier leur ouvre aussitôt lês deux visiteurs se jettent sut lui et Le menace avec une arme. Ils allaient vers l´ancenseur. Sylvie avait allumé la télévision pour voir les nouvelles et puis un verre de la porte avait explosé dans la pièce. Sylvie a vu les deux hommes passer toute allure en direction de la chambre.

- Qui est vous? Criait-elle.
- Je suis l´ange de la mort. Restez au sol! Les mains derrière la tête.

Elle aurait du admettre la vérité, qu´elle était une salope manipulatrice, maligne et dangereuse. Une femme mysterieuse, La femme deux visages, la double vie, qui méritait ce qui allait lui arriver. Dans une grande colère, il se leva de sa chaise, attrapa la blonde par les cheveux et la projeta contre le mur avec beaucoup de force. Sylvie essaya de se défendre, elle criait. Quand il eut fini, la femme glissa le long du mur, ses cheveux laissant une traînée rouge sur la tapisserie. Elle était sur le carrelage, son corps tressautait, puis elle ne bougea plus. Ses yeux étaient grands ouverts et ils fixaient son agresseur, c’était la première fois que le regard de´elle lui faisait horriblement peur. Elle se reveille tente se lever mais l´inconnu aponte son revolver sur la belle blonde et a pressé la gâchete. Elle a pris une balle dans la poitrine et elle est tombe. Le tueur se tenait au-dessus d´elle et a tire une balle dans l´arrière tetê. Il l´a retournée et avec le crosse de son revolver, l´a frappé au visage, sur la bouche,
Sylvie a sombré inconsciente. Elle aurait du mourir. Mais elle n´est pas morte. Le coup dans la poitrine n´avait touché aucun organe vital et la balle tire dans la tetê, de façon incroyable était entre dans la crane, était passe dans la boîte cranienne sans pénétrer dans son cerveau et était ressortie. Il avait tant de sang, les blessures étaient telles que se assaillantes étaient convencus qu´elle était morte. Quand elle reprit conscience et ouvert les yeux, Sylvie est couverte de sang et entourée de flics. Les malfiteurs avaient s´enfuie sans laisser le moindre trace.

4

- Qui a fait Ça? Avez vous vu qui a tire? A demandé un inspecteur.

Sylvie était à peine consciente, elle n´a rien dit. Ils l´ont mise sur une civière et l´ont émmenée de toute urgence à l´hôpital le plus proche, ou elle a été immédiatement envoyée en cirurgie. Les enquêteurs découvrent l´action de máfia qui va révèler ses jeux de manipulation perverse et de liaisons dangereuses. Par la suíte, Sylvie a reçu la visite à l´hôpital de plusieurs policiers. La blonde portait une de ces tenues blanche et verte d’hôpital. Un bouquet de fleurs trônait sur le chevet à côté du lit, Sylvie se redressa. Son crane lui faisait mal. Il le toucha et remarqua alors qu’il était recouvert d’un bandeau. Ils l´ont informéeque son mari José Riviera a été assassiné. En entendant les tueurs entrer dans l´appartement Jose Riviera s´était emparé de son revolver, une fusilade a´était ensuivie, mais il n´avait pas fait le poids, avait reculé au fond de la chambre. Les deux policiers arrivent sur les lieux 30 minutes après être partis de l’Hôtel de police. Après de longues minutes dans les embouteillages. Les embouteillages sont monnaies courantes dans l’agglomération. policier refusa d’utiliser la sirène et le gyrophare pour se frayer un chemin au milieu de ces voitures à touche touche. La police arriva quelques minutes après l’ambulance. Il avait envie de quitter cet enfer au plus vite.
Les flics avaient trouvé son corps criblé de balles, éffondré dans un placard. Celui qu´avait tué José Riviera avait donné le coup de grace. Le canon pressé contre la chair, une seule balle entre les yeux. En entendant des nouvelles Sylvie pleura. Elle avait le crane rasé et son visage est une catastrophe. Deux yeux au beurre noir. Des contusions, les dents devant cassées. La police avait découvru que les criminels auraient franchi la frontière du Paraguay. L’évènement fut cependant largement couvert par les médias. Puis, bien entendu, tout le monde oublia ce tragique fait divers. Les enquêteurs sont convencus que le crime organisé du Brésil est melê à cette affaire. Selon la Police la mort du mafieu José Riviera Bonfim pourrait être liée à la máfia des casinos dans le pays voisin. Il était accusé de plusieurs meurtres, l´extorsion, lês jeux de casino, la prostitution. Il avait étendu ses tentacules dans la societé legitime. Il controlait les casinos de l´Amerique du Sud.
Le policier poussa un soupir à la porte.

- Ils ont tué mon mari, avait elle dit en s´efforçant d´articuler.
- Vous n´avez plus à avoir peur. Vous alles vous confier à nous et nous aider.
- Je me sens vraiment mal, dit Sylvie. J´ai réfléchi, je n´arrive pás à me souvenir. C´est comme j´était dans um film. Je crois que j´ai vu l´un des tuers entrer dans la maison, vous comprenez?
- Vous dites que vous avez vu entrer qui chez vous?
- El Rojo, un sicaire colombien.

La vie continuait...
Elle mentait aux policiers. L´autre tuer qu´elle avait vu était Josè Friburgo un tueur à gages. Elle ni proteste et ni ne se plaint. Lorsque la sphère du crime organisé la Police s´était dans l´impasse, Sylvie Cristal était déçué. Elle avait refusé de l´accepter la mort de son mari. La blonde ne commence pas d´avoir compte de l´horrible véritée. C´était une course contre la montre entre vengeance et la justice. À partir de ça gens avait commencé à disparir. Le portier d´édifice qu´elle demeuré au moment de la tragédie. La belle blonde avait echappé vivante, mais elle n´a pas peur de rien, ni de personne. Trois mois internée elle arrivait à sa maison de Búzios. Un paradise en littoral nord du Rio de Janeiro.
Elle avait y retrouvé Benê son amant avant de la tragédie. Ils avaient passé suffisamment de temps ensemble pour savoir à quel point leur accord sexuel était merveilleux. Jamais dans leur vie passée, ils n’avaient eu de partenaire dont les désirs et les plaisirs se confondaient à ce point. Ils avaient l’habitude de vivre en fusion et de passer comme par enchantement d’une position à une autre avec um plaisir toujours renouvelé et qu’il fallait plusieurs heures à assouvir. Ils se quittaient rayonnant de bonheur, épanouis et seulement frustres d’avoir à se séparer. Leur première nuit commune fut délicieusement torride. Ils étaient sans cesse l’un en l’autre et de toutes les façons. Quand le réveil sonna, aucun des deux n’avait fermé l’œil mais nul ne s’en plaignait. Certes le temps au bureau leur parut long mais le bonheur accumulé par leur fusion nocturne donna à chacun un optimisme qui permit de surmonter et résoudre tout problème professionnel.
Cette nuit, elle marche pieds nus sous la pluie. Elle mange les cigarettes par trois. Elle allume et elle jetée. La vie a rien pardonnée. Elle criait insultait: “Dieu est un escroc!” Pourquoi doit-elle payer? Mauvaise vie, mauvais jeu. Ah! Non! C´est assez. Sylvie Cristal ne croyait au destin. Quelle sotte idée. Elle invite quelqu´um à visiter son enfer. La blonde zigzague son chemin. Rêves ou cachemars? Ah! La belle vie. Les mafieux lignés à son mari étaient là devant elle dans une assemblée. Le petit groupe se composait de six personnes. Ils discutaient entre eux le futur dês casinos :

- Est arrivée la reine des casinos.
- Mais bienvenue à ces messieurs de l'industrie des jeux Aujourd´hui c´et le meilleur jour de ma vie. En tous cas du fond de mon coeur, merci à tous. Aux yeux du monde, nos ennemis vont mourir tous.
- Nous sommes tous amis de Riviera. Tu sais ce que tu dois faire. Tu feras tourner le casino comme tu voudras. Je te le garantis.
- Combien de temps?
- Six mois peut-être.Et les pertes, préjudices.
- Presque la moitié, je crois. Je vais changer presque tout. Carlos Masserate! Vous manquez d´ambition! Moi jê vous proposer dans l´immediat d´être mon Brás droite dans tous lês affaires dês jeux et de l´administration. Nous avons commencer La guerre avec lês ennemis de mon ex-mari. L´arrogance de Riviera vous devez l´introduire dans son personnage. José Rivieira avait réussi comme ça.
- Nous allons recupérés tout. Les rats doivent quitter le navire et demeurer aux cimitières, dit-elle.
- Tu es une tigresse. Tu es plus forte que ses ennemis. Tu es capable de tout. Nous sommes tous unis avec vous. Le flic allait venir toujours.
- Mon plan est diabolique, je vais coincer ce porc du Cavallera. Je ele veux devant moi. Je veux le tuer.
- Il nous volé le casino de mar der plate.
- Je besoin que tu t´occupes personnellement de la prochaine mission. Kidnapper, séquestrer ce fil-de-pute, Cavallera.
- Son désirs sont des ordres. Dit-moi ce qu´il faut faire.
- On va buter Cavallera. C´est une situation soudaine, brutale et extreme, mais nécessaire, dit un associé.
- Je vais le tuer, cette crapule!

Mais comment? Son cerveau bouillonnait à en éclater. Plusieurs scénarios possibles se mirent à germer dans son cerveau, mais difficile de penser à tout et de concilier l'élimination de ce rampant nuisible sans laisser un manque de suspicion à l'égard de sa personne. Tout d'abord retrouver son self-control et ses esprits. Comment, comment se débarrasser de cette crapule? Les plans s'échafaudaient les uns après les autres.
Son mari avant d´être assassiné avait réalisé le désir et avait les moyens de créer cette explendide demeure avec sa myriades de pièces qui se distinguaient par leur élégance et leur fonctionnalité, à bord de la mer à Búzios. Un vrai paradise. Le gazon était d´un riche vert estival et il y avait une profusion d´arbres et de fleurs, là se trouvaient paix, chaleur et accueil et elle en avait bien besoin, en particulier à cet instant. Elle laissait as Bentler noire anglaise devant l´entrée principale. Sachant que le jardinier Benê l´enverrait à sa place dans le garage. Elle aspire à La fraicheur et la tranquilité de la chambre qu´elle patageait avec son mari. À quelques minutes de solitude.
La vie continuait. Elle porrait faire illusions. De retour à sa maison. Les yeux brûlents, elle effleura avec précaution le piano, ne souhaitant pas laisser d´empeintes sur son vernis brûlant; mais incapable de résister à sa beauté. C´était un si bel instrument, Pour autant, elle n´en avait jamais entendu le son. Son mari n´avait une seule fois joué de ce dernier, depuis qu´elle s´était instalée chez lui. Que le piano ait été réduit au silence, ne semblait pas juste. La blonde s´installa sur le tabouret observa les touches blanches et noires immaculées. Enfant. Elle n´avait pas eu la chance de suivre des cours de musique, mais elle avait fait un réel effort pour apprendre à jour depuis qu´elle avait se mariée. Sylvie ne rêvait pas d´être une grande musicienne. Puis elle allait à la piscine:
Avec un air prédateur qu´elle n’ai jamais vu en Benê, elle ôte rapidement tout vêtement, révélant un joli 90b aux seins opposés, des beaux tétons tout ronds, tout bombés. Elle place la chaise longue en vis-à-vis, relève son dossier, puis s’assoit comme moi, écarte ses jambes avec un regard carnassier. Une magnifique chatte gonflée, très bouclée, très poilue, s’offre à sa vue. Sans un mot, on se branle plutôt frénétiquement, en se regardant. Elle convulse, les yeux fermés, c’est super beau. Il la voit savourer longtemps, puis on se regarde en souriant, conscients d’avoir partagé un premier moment intime, ensemble. Une envie pressante de pipi monte aussi (la despé). Une belle jambe au pied cambré et ouvert se positionne sous l’ondée dorée. il tourne la tête. Elle cligne un œil et sourit, complice. C’est pas pour lui déplaire du tout. Elle oriente son jet sur son pied, puis remonte le long de sa jambe. Elle se retourne et recule d’un pas pour poursuivre son ouvrage jusqu’à son sexe, guettant son approbation, réelle. Le plaisir de se soulager de cette façon, sans aucune gêne, waou, c’est absolument génial. Souriante, elle se positionne donc debout, face à lui bassin en avant, tire ses lèvres intimes avec ses doigts et arrose ses pieds, jusqu’à ses genoux. Sensation chaude, perverse, délicieuse. C’est la première fois qu´il voit une femme pisser.

- Puis-je la voir? Puis-je la regarder? Tu es magnifique, tu sais…

La blonde lui sourit largement et se redresse devant lui. L’impudeur des hommes est étonnante. Il exhibe presque avec fierté sa queue dressée à quelques centimètres de son corps. Il se redresse et la caresse à nouveau. Il caresse doucement cette tige et glisse sur le côté.

- Je vois ta chatte, et moi, j’étais, je suis encore tout nu.
- Huuum, c’est vrai, tu as raison.
- C’est pas génial, mais c’est pas mauvais non plus.
- Saaaalope!
- Toi t’es vraiment un petit enfoiré!
- Et toi, une petite enculée, hi hi!

Benê et Sylvie vivaient un conte de fées sentimental et sexuel et atteignaient par leurs performances au lit un niveau divin... Les deux s’adoraient toujours et chacun donnait à l’autre « pleine satisfaction».
La peur venait avec l´obscurité. Elle passait à detester la nuit. La distance entre sa chambre et la cuisine si rassurante lui semblait infinie. Elle préférait souvent se cacher sous la couverture plutôt que d´ouvrir la porte et d´affronter le couloir eteint. Sylvie voyait bien que cette peur de noir inquietait elle. La blonde arrivait de crier tout haut dans ses cauchemars, et chaque fois elle accourait, lui caressait le front en chuchotant que tout allait bien. Elle allumait la lampe de chevet et relevait le store.
Tous ses ennemis méritent la peine de mort. C´est Sylvie Cristal qui était une des diables de l´America. Les prosperité de son mari aurait lui coutê três chère.
5

Elle avait passé trois mois dans une U.T.I pour plusieurs chirurgies plastiques de correction. Toute la máfia était aurprise par la cruaté sur la reine des casinos. Ce nivevau était capable des pires violences pour garder le pouvoir. Elle n´avait pas la gêne de l´empathie expire, Ce sont des fous furieux. C´était en pleine journée que personnes sont mortes. Les tueurs son latinos qui avait été engagés par la belle déesse des jeux. Sylvie Cristal avait assume les assassinâts en plusieurs pays. Pas crois qu´une femme si belle capable d´autant violence puísse être aussi démoniaque. Dans le monde des casinos, jamais une ascension comparable à celle de Sylvie Crystal.
Le moment tant attendu approchait dans quelques minutes. Le monde du jeu allait voir de quoi la blonde est capable... Il n´arrivait pas à croire à ce qui était en train de se passer. On a entendu un crissement de freins et on a su que c´était Sylvie Cristal. C´était une condutrice épouvantable. On a jeté l´eil dehors et on aperçut sa Toyotta Corolla noire garée. Sylvie Cristal s´approche d´un air grave sans un salut. Elle écrasé sa cigarette. L´eclat du metal. Le boudonnement dans ses oreilles. La fatigue et la paleur cassaient les angles de son visage. Puis de six moix elle etait devant son assassin et plusieurs gardes de corps autour d´elle:
-
- Tu connais Le code. Mon mari est mort sous mes yeux. Vous avez changé ma vie.
- Tu vas me faire le quoi? Couper mes couilles?
- Tes amis son disparus et ta famille aussi. El Rojo a été bruillé vivant. Il ne resterant aucune traces. Tu as souillés ma vie. Tu vas mourir aussi. comme eux.

Alors elle lui donne le pemier tir de 9mm sur son pied, Il crie d douleur.

- J´ai cru que j´ai mouru aussi. quand mon coeur s´est arrêté. J´ai te vu. Vou voulez que j´annonce à une ordure de première que son épouse a été assassinée et décapitée? C´est la justice divine. Nous n´avons pas une minute à perdre.

Elle lui donne le seconde tir sur la cuisse. L´homme crie plus une fois de douleur.

- Chaque jour je te cherché Cavallera, dans le monde entier.

La blonde tire une troisieme fois sur le ventre. L´homme crie...

- Un jour mon assassin será devant moi, j´avais la certitude.

Elle tire sur la poitrine du homme que se taise. Son visage perdi toute couleur et ses lèvres s´agitèrent en laissant passer un murmure intelligible, on aurait dit un mort vivant. La douleur dans sa poitrine est effroyable, tout comme la vue du sang. Alors elle s´approche de sa tetê et tire entre ses deux yeux. Puis elle s´en va... Son corps a été retrouvé Le jour suivant dans un garage de la zone Nord de la ville. La police avait arrivé au bout de dix minutes et constate qu'il est mort entre 22 heures et minuit. Le choc avait laissé place à l´horreur à Police.
Serait-elle folle, furieuse, complètement effondrée ou elle vienne gâcher le plus beau jour de sa vie, comment on dit. Paquerait-elle une crise de nerfs? Elle avait laissé sa vie en plan. La hypocrisie en plan. Tout en plan. La vengeance triomphait à la fin.
Le soleil avait l’avantage de me rendre encore plus jolie, sa peau tannée faisant ressortir sa blondeur et le bleu de ses yeux. Ça décuplait ses envies de plaire, de lui plaire encore davantage. La belle et renouvelé sa garde-robe en la rendant plus jeune, voire plus sexy. « Mets des décolletés pour montrer tes gros nichons » pensait-elle. Enfin prête, légèrement vêtue par agent provocateur, sexy en diable. Maquillage léger, mais faisant ressortir ses yeux bleus, rouge à lèvres accentuant un large et joli sourire. Elle est encore et toujours parfaite. Son excitation monte d’un coup, des picotements parcourent ses chairs les plus intimes et un léger vertige la submerge. Il est vrai que sa robe est fort sexy, sa poitrine agréablement moulée, sans oublier le décolleté en V, et enfin une belle vision de ses genoux et parfois aussi de ses cuisses dans l’angle d’attaque le permet. Un vieux fantasme serait mis à exécution: nue sous la robe, au vu de tous!
L’été était chaud et très agréable cette année-là. Elle se sentait merveilleusement bien. Elle sortait de sa maison les yeux pleins d´étoiles. Sylvie est fabuleuse. C´est pour ça qu´elle aime de Rio de Janeiro. Tellement chaude et bruyante la journée. Le folle, les touristes se mêlant les théâtres et restaurants, boîtes de nuit prennent vie. À La course de la journée s´impose le vertige des sorties. Elle était sur la plus belle étape de leur soirée. Sylvie Cristal (1,75 m, 62 kilos, blonde cendrée, cheveux mi-longs, pour ceux et celles qui aiment les détails… Oh, elle vient d’avoir trente ans, Sylvie Cristal est arrivée da sa Bentley noire et gare devant la boîte de nuit “Bahamas” La cathedral du sexe. Sous ce nom sont toute plutôt banal se cache le lieu où elle avait connu les plus voluptueuses tentations, les plus sulfureuses débauches, laissant libre cours à la réalisation de ses fantasmes les plus torrides, ils révélant leur nature de libertins sans tabous et sans complexes. Un vent léger fait voler ses courts cheveux blonds, Le portier Black l´ouvre la porte, elle lui regarde en souriant, avec ce petit pli au-dessus de sa lèvre qui lui fait craquer à chaque fois. Le portier la regarde, stupéfait. Il l’adresse un sourire en coin. Okkkayyy! La femme est toujours aussi belle: élancée, blonde, de magnifiques yeux bleus, de jolis gros seins et de superbe, jambes terminées par des fesses cambrées dont les deux composent un cul à tomber par terre.
Le long du mur de gauche trônait un bar, éclairé dans des lumières vives et au-dessus duquel brillait le nom de l’établissement écrit en néon rose vif. La salle commence à se remplir, La piste à jeu de dés était posée au centre de la table haute en verre. Baigné de lumière, le cercle de cuir apparaissait magistral, véritable totem. Le déroula sur le velours carmin de la piste en cuir retourné. Elle allait prendre une table au bord de la piste. Le DJ lance de la pop et seuls quelques femmes et deux ou trois hommes dansent près de la platine sans se soucier du reste. Les gens observent encore à cette heure-ci, sirotant leur verre, les tables sont encore disponibles. Ce cercle du plaisir lui donnait chaud. Elle croise et décroise ses jambes au rythme des gorgées de son breuvage et de son niveau d’excitation qui commence à se faire ressentir. Un large sourire qu’elle a déjà commencé à jouer avec le serveur Black. Une dizaine de minutes plus tard, ses regards se sont croisés. Elle était jolie de visage, brune aux cheveux mi-longs, avec des yeux bleu foncé. De taille moyenne, elle avait une poitrine assez importante, des hanches étroites et des jambes plutôt fines aux cuisses et aux mollets bien galbées. Découvert, il l’a souri avant de détourner le regard en saisissant sa coupe pour se donner une contenance. Mais ce qui lui frappa le plus, c’était la qualité des vêtements qu’elle portait… et le nombre de bijoux! Collier, bagues, bracelets, broche, boucles d’oreilles, tout y était.

- Tu sais que je t’ai déjà vue, et même plus d’une fois?
- Tu m’espionnais? s’exclame-t-elle.
- Mais non, pas du tout, se justifie-t-il.
- Merci, beau jeune homme. Mais je ne sais même pas ton prénom ?
- Il ne me plaît pas. Mais je m’appelle Adriano. Comme mon grand-père. C’est nul.
- Merci, Adriano. J’ai été ravie de te connaître. J’espère que… Je pensais à mon prince charmant. Ça t’a plu? demanda-t-elle.
- Quoi? Le spectacle?…
- Mais bien sûr le spectacle! Quoi d’autre?
- Arrête de jouer au chat et à la souris avec moi! On inverse les rôles là!
- Tu as l’air très sensible par là, dis moi…
- Oui, j’avoue.
- Ah, mais tu es toute humide entre les cuisses ! Je te fais de l’effet, on dirait.
- Continue, s’il te plaît.
- Et ça n’a pas l’air de te déplaire…Tu vas aux toalettes avec moi?
- Un pari est un pari et il faut que je te fasse honneur.
- Pourquoi tu crois qu’on te cherchait?
- Va donc aux toilettes! Suggère le serveur.

Sylvie se lève et, d’une allure contrôlée, se rend aux toilettes. Sa démarche est lente, celle un mannequin qui défile. Ses hanches tanguaient bien malgré elle et elle imaginait le spectacle de ses fesses roulant pour ses voyeurs, cambrées à l’extrême par ses talons aiguilles. Venait parfaire le tableau d’une libertine dépravée... Des regards se posent sur elle. Elle est vraiment belle en mode provocation. L’excitation était telle qu’elle pouvait sentir pour la première fois son jus mouiller l’intérieur de ses cuisses. Elle pria pour que cela ne se voie pas. Elle était folle d’excitation, ruisselant littéralement. Elle marche jusqu’à la cabinet de manière très aguicheuse, en laissant ostensiblement la porte ouverte. Elle attend quelques instants avant de la rejoindre. Dans ses odeurs alcalines de pissotière, des effluves d’after-shave surnagent de manière entêtante. C’est plutôt agréable comme contraste. Ce fut Adriano qui se montra le plus entreprenant en la faisant mettre à quatre pattes sur le carrelage pour la pénétrer avec un sexe vraiment démesurément long bien 22 cm, mais surtout très épais.

- J´adore ta queue, coupa-t-elle, les yeux plantés dans les siens avec ce regard de braise.
- Tu me remplis bien, petit salaud, continue, mets-la-moi bien profond. C’est un gros.
- T’es vraiment une salope…
- Tu l’aimes ma queue, hein?
- Oui. Elle me prend bien. Tu es dur. C’est bon… bon…
- Arrête, dit-elle précipitamment, tu vas me faire jouir beaucoup trop vite.
- Pardon, dit-il en arrêtant immédiatement, je me suis emporté. J’adore vraiment tes seins.

Un jouet extraordinaire qui la fit encore partir dans une jouissance folle… Inoubliable. Il y a comme une flaque de sperme à ses pieds. Elle remarque des filets de sperme qui dégouline sur ses cuisses. Cette odeur de sexe lui remplit de joie et de bonheur.
Il avait péché une bourgeoise qui en veut. Elle était la reine de la nuit, infatigable. Les réflexes de son adolescence de chasseuse n’avaient pas pris plus de cinq minutes pour refaire surface. Les regards, le langage du corps, les déhanchés sulfureux. Il comprend presque aussitôt. Elle avait aimé le serveur Black. Ainsi c’était lui. Voix grave, presque gutturale, chargée d’hormones masculines.
Elle avait entré en vacances. Arrive au aéroport même la voyageuse occasionnel peut s’en rendre compte, il régne à cette heure tardive, une animation inhabituelle à l’aérogare pour prendre son Lear-Jet privé pour aller du Rio de Janeiro en France. Une série de voitures banalisées, gyrophares allumés débarquent sur la voie circulaire. Par être précise elle allait à Cap-d´Agde. Elle était habillée avec une petite robe courte en tissu très fin, presque transparente, boutonnée du haut jusqu’en bas. Les bras et les épaules nus. Elle avait des gros seins et ne portait visiblement pas de soutien-gorge. Par contre, ses hanches étaient voluptueuses et déformaient sa robe. Ses cuisses blanches et assez dodues étaient bien visibles. Elle est charmante dans sa robe blanche et verte, ses chaussures ouvertes exposant ses jolis pieds aux ongles nacrés; Elle ne peut s’empêcher de jeter un coup d’œil à ses fameuses malléoles. sage beauté hollywoodienne d’un côté, charme sulfureux à l’état brut de l’autre. Ça a été pour le pilot black comme une décharge électrique. Son cœur s’est emballé, et son sexe a encore grossi jusqu’à lui faire mal.

6

- Vous êtes toute seule? Personne pour vous accompagner en cette voyage?
- Seulement moi et Dieu. Vous me semblez un brave homme, nous n’avions rien à cacher, n’est-ce pas?
- Je crois que nous allons en discuter ces prochaines heures.

L’embarquement s’est déroulé normalement. Tout autour, cela bruissait de conversations subrepticement libidineuses. Moi, justement, il ne savait pas si será possible arriver quelque chose. De son côté, sa silhouette et ses tenues très féminines et sexy l’excitent au plus haut point. Il faut dire qu’elle a un cul de rêve. Et ses longues jambes, en bas avec porte-jarretelles et string, sans oublier parfois les cuissardes, lui font bander très fort. De mon côté, bien entendu, je fantasme sur un hypothétique rendez-vous, mais ce n’est pas du tout sa recherche, même si son côté salope, qu’elle a pu développer. Le black pense qu´il n’avait jamais atteint une telle taille. Il ne pouvait plus décoller ses yeux de cette splendeur de la nature en mouvement. Il suivait des yeux chaque frémissement du gras de ses fesses, chaque petit bourrelet de sa cellulite, chaque poil. Elle a baissé les yeux vers son sexe, découvrant l’ampleur de ce qu’elle avait provoqué, et a relevé les yeux vers lui. Dans son pantalon, son manche se déplie et forme une belle bosse rebondie. Complètement interloquée et choquée, elle est devenue toute realisée comme femme. Puis, les yeux dans le vide, elle a tourné les talons, est rentrée chez dans l´avion et il a fermé la porte sans dire un mot. C´est là qu´elle allait se réaliser. Au fil des discussions, nous apprenons à nous connaître et nous parlons aussi bien de choses sérieuses que de choses plus légères. Ils se dévoilent petit à petit et ses dials deviennent de plus en plus chauds, partant souvent sur des scénarios très coquins, voire même cochons, entraînant des deux côtés des orgasmes intenses

- N’est-ce que pour le plaisir des yeux?
- Je ne pense pas, dis-je.
- Donne-moi une champagne, s´il vous plaît.
- À vos ordre madame.
- J’avais l’impression de voir son sexe continuer à grossir.
- Oui madame, vous êtes une superbe salope.

Puis d´une heure de vol l´avion dans le pilot automatique le pilot Black allait où était la belle Sylvie Cristal Absorbé par la lecture d’Anton Chekov, le père de la méthode Stanislavsky, les bases du jeu d’acteur. Elle l’a lu une bonne centaine de fois et toujourselle’y revient. Y découvrir de nouvelles idées, repenser des idées anciennes, bref jelle était en plein taff. Elle avait boit la bouteille de Moë et elle se jugeait suffisamment alcoolisée. Ses penchants sexuels qui avaient évolué au fil du temps et de sa maturité. Soudain, elle sent la présence du pilot devant elle. “C’est lui!
Oh mon dieu, c’est lui!” se disait-elle. Il est là, debout, beau et sexy en diable dans son jean et sa chemise blanche.

- Tout va bien? Elle lui demanda.
- C’était si réel, si bon…
- Un rêve? Ce n’était qu’un rêve?
- Pure réalité. La voir assise dans l’obscurité, l’air ennuyé et sa robe remontée au niveau des cuisses m’excite terriblement depuis son arrivée.
- Tu as un trésors dans tes jambes. Quel plaisir coupable, quelle vicieuse je suis! Lui dit-elle.

Il la regarde. Putain, ces décolletés. En improvisation totale, il déclare à Sylvie qu’elle sait forcément qu’elle est très belle, avec des jambes et des pieds magnifiques. Assise de jambes croisés sa petite robe ras de fesses. L’effet a été immédiat: sa queue qui était déjà énorme s’est dressée et s’est allongée encore plus. Le désir est si pressant que son corps tout entier lui donne l’impression d’être en feu. Elle a alors commencé à lui caresser très doucement. Bien sûr, ça n’a fait qu’aggraver son érection… Il lui a demandé alors si il pouvait toucher aussi.

- Mon chéri, j’aime bien baiser, j’ai de nombreux amants. Je suis trempée, en feu, montrez-moi votre queue.
- C’est quand même dur, ce que tu me fais! Regardez l’effet que vous avez sur moi.
- Et si je fais ça?
- J’adore tes seins, dit-il entre deux léchées.

Elle a commencé à lui masturber. C’était bon, bien sûr, mais je l’ai arrêtée avant, car je ne voulais pas éjaculer dans ses mains. Des aiguillons de feu parcourent son corps et se concentrent sur son clitoris, comme si toutes ses terminaisons nerveuses y convergeaient. Elle était folle de désirs.

- Oh! C’est incroyable! Je l’ai vue grossir! C’est génial! Je ne savais pas que je pouvais faire un effet comme ça sur un mec! Est-ce que je peux toucher??
- Au point où on en est?!… Vas-y! C’était pour le plaisir, mais si vous en avez vraiment envie, il ne faut pas vous priver. Je ne refuserai pas votre contribution !

Elle reprend sa fellation avec énergie; il se tend, lui retenant de toutes ses forces jusqu’à ce qu´elle n’en puisse plus, avant de s’abandonner au plaisir, en silence.

- Il faut que je la baise! Je sais qu’elle adorerait. Peut-être pense-t-elle la même chose que moi… Ses regards succincts lui le font penser.
- Tu vas me prendre, mais s’il te plaît, par derrière.
- Pas de problème. Tu sais que t’es une bonne salope de bourgeoise comme meuf!
- Allez, mon vicieux, crachez votre jus là où je vous ai dit! Videz vos couilles… Putain, mon salaud, vous m’avez bien fait jouir.

Elle gémit, elle crie, elle hurle…” Hum… hum… Encore, plus fort! Mets-la-moi plus fort ! Dans la chatte, dans le cul! Baisez-moi comme une chienne!” Les animaux font toujours comme ça. Toujours cette foutue odeur sucrée dans son cou. Elle se cambre presque immédiatement, contracte son vagin et inonde littéralement son sexe. La gloire! Enfin…

- J´ai te remplir de foutre, salope! Putain, il y avait longtemps que je n’avais pas déchargé autant!
- Il faut que j’aille aux toilettes, lui dit-elle.

Sylvie Cristal semblait avoir pleuré tant son maquillage avait coulé; mais ce qu´il lisait dans ses yeux fixés sur lui. C’était du vice et du plaisir… Elle semblait comblée et transfigurée par cette surdose de sexe. Son corps tremblait autant que sa chatte dégoulinait du sperme des jeunots, qui très vite reprenaient des forces et remettaient le couvert autant que possible. Elle lui sourit et l’embrasse. Amoureusement. Il était aux anges. En entrant dans les toilettes. Dans ce exact moment une bombe explode dans l´avion au transformer en plusieurs morceaux en pleine l´air sur l´Océan Atlantic. La belle déesse des casinos allait nourrir les poissons au fond de la mer. Ainsi se termina leur belle voyage marquée par la luxure.

Fin

Ivan Ribeiro Lagos
teresinapr@hotmail.com





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