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La voix du diable

Ecrit par Ivan
Parue le 20 08 2021
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Cette histoire érotique a été lue 913 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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La voix du diable

Dans cette histoire policier érotique il y a trahison, compulsion sexuel, obsession et meurtres. Une histoire policier polar pornô. Vice, perversité, dépravation, luxure, glamour, péché, débauche, licence, corruption des âmes… À partir du moment que Mauricio Valle lui fait découvrir la jouissance avec un homme, alors son épouse avait repoussé tous les interdits qui avaient broquée sa vie. L´avocate Anelyse Bittencourt épouse du roi de l´acier prend des amants (un à la fois) dans le seul but qu´ils la faisaient jouir. Elle découvre que le complice de son mari est aussi son amant, et qu’il le possède devant elle. Le succès n´est pas toujours à titre provisoire, certains de ses partenaires font dans sa vie, des passages plus éclairs que d´autres. C´est l´histoire d´un business man à qui tout réussit Mauricio Valle est beau riche et séduisant. Il est une machine à gagner, mais tout va changer, pour lui le jour ou il va rencontrer la blonde fatale Julia Medeiros. Le texte que suit est sorti de l´imagination fantasmatique.

1

La ville de Búzios soir connue pour la majesté de ses paisages et malheureusement dans la rote de la cocaïne, plages de naturismes, folie, sexe, libertinage et de meurtres. La Sodome et Gomorre brésilienne, Búzios. Le soleil que brille toute l´anné. Vastes plages lui invitent avec une vegetation de perdre de vue. Tout ça à tous les touristes. Il y a là pleine de stars. Porno de luxe, drogues, dopes, putes, pédés, sosies de star. Il fait bon vivre à Búzios. C´est le paradis sur la terre, On se croit le jardin de l´Eden. Un endroit que les policiers font milacres en eliminnant des crimes. Un lieu ou les camés rodent en quête de la marijuana.
La vie lui avait plutôt sourit jusqu’à présent. Après la Voyage de courses à Paris, Mauricio Bittencourt prenda un téléphone portable et appele pour les services sexuels professionnels de la reine du samba, la mulate plus belle du brésil. Il avait ordonné son pilot particulier de la conduire à Búzios de son heli jusque sa maison. Célia Santos une mulate de 1m80, gros seins, un cul d´enfer, lèvres fins, en resume une prostituée qui parlait anglais. Elle a été recue comme une reineavec limosine et garde de dos à sa disposition. Ils allaient emené à La suntueuse demeure à bord de la mer. Elle était fascine avec le glamour. Le véhicule vient enfin de s'arrêter devant sa maison. Le gardien semble endormi, puisque d'habitude jil n'a pas besoin de klaxonner pour qu'il s'empresse de l'ouvrir les portes, le bruit du moteur, quand il s'approche, lui faisant comprendre quil était là. Elle hésite avant de descendre, puis en passant les doigts dans la chevelure.

- Eh patron, pardon. Je ne savais même pas que tu étais là.

La mulate habillé d´une robre jaune courte, genre bustier, taillée dans une étoffe légère à mitifs imprimes de sequins dores sur fond noir et recouverte d´un voile de tulle, lequel ajoute au caractére aérien qui se dégage de l´ensemble. Elle est perchée sur des scarpins bridés à la cheville et dotés de talons interminables.

- Allô monsieur, c´est Célia Santos.
- Cocou, Jolie salope. Comment vas-tu?
- Es-tu toujours capable de m´aider réaliser n´importe lequel de mes fantasmes?
- Evidement... Pourquoi moi?
- Je ne sais pas. Je sens que nous allons bien nous amuser.
- À toi de profiter, mon chéri, n’aies pas peur, fais-moi confiance.
-Tu vas voir, c’est doux et chaud, et suffit d’ouvrir ta bouche, doucement, dit le chauffeur particulier nu au s´approcher du patron avec une énorme bite dressée.
- Tu as vu? Lui dit la mulate, il est gros, hein? On trouve vraiment tout sur internet! Tu as aimé? Et ,oi Que je dois faire?
- Endormir avec mon baiseur. C´est ça.
- Elle est belle, dit étonnamment le chauffeur. Mon patron est bi.
- Bi? Cela veut dire quoi?
- Qu’il aime les femmes, mais aussi les hommes.
- Tu es actif ou passif? Demanda la mulate.
- Les deux, mais je préfère passif. Actif, c’est celui qui encule, passif, celui qui se fait enculer.
- Tu la sens ma grosse bite dans ta bouche? Je vais te noyer! Ah si ta femme te voyait!
- Tu vas la baiser aussi, Ciro. Tu vas être sage et obéissant, je veux que tu me donnes beaucoup de plaisir.
-Tu n’as pas perdu de temps, me dit-elle en souriant.
- Ton penchant pour les hommes. Tu devrais en parler à ta femme.
- C’est vrai. Tu as raison. J´ai apprecie de gouter au foutre de ses amants.
- Montre à ta femme comme tu suces bien. Prépare-moi pour elle. Je vais la prendre sous tes yeux. Tu en as envie, hein?
- Tous les mêmes, ces hommes! Dit la mulate.

Il l’a laissé seul sur le membre et de son bras pris autour de son cou il lui pousse vers cette hampe frissonnante qui semble désirer sa bouche. Il ouvre timidement, le gland s’enfonce dans sa bouche, et tout le membre coulisse progressivement. Voilà, ça y est, il se retrouve à son tour dans une situation qu´il croyait impossible, tellement improbable. Il reste immobile quelques secondes puis, encouragé par son attitude et sa tendresse, il commence des translations de plus en plus profondes, de plus en plus suggestives. Ce sexe en bouche, il est étonné des sensations qu´il ressent. La bouche est avide, il lui caresses tout en aspirant bruyamment son sexe. La situation l’excite, d’avoir domine ils sont électrisés.

- Je te veux en moi en levrette, je veux profiter au maximum de ta grosse queue. Viens, encule-moi, fais-moi jouir!

Il positionne le gland à l’entrée de son sphincter, il sait que pour accueillir un aussi bel engin, il doit se relâcher et la première entrée doit se faire en douceur. Le mec lui laisse à la manœuvre, c’est lui qui vas à sa rencontre, il pousse son orifice sur son gland qui pénètre doucement. Il ressent comme un blocage, il réalises quelques va-et-vient poussant toujours plus fort ses fesses sur ce gland turgescent. Il l´est relevé sur ses coudes et il ne perd pas une miette de ce moment. Quand il se sent prêt, il pousses un peu plus fort, un peu plus longtemps. Les dernières résistances cèdent doucement, la première pénétration est un peu douloureuse il le voit à l’expression de son visage. Mais rapidement, le plaisir reprend le dessus.


- Ajoute du lubrifiant je veux te faire jouir en moi. Viens ! J’ai envie que tu m’encules!Oui, viens, je veux te sentir jouir, vas-y, c’est bon.

Mauricio s´installe en face d’elle sur un fauteuil. Tout en lisant, il ne peut s’empêcher de la regarder. Allongée de côté sur le canapé, habillée d’une chemise d’homme blanche trop grande pour elle qui met en valeur ses longues jambes et sa peau couleur miel, la lumière tombant de la fenêtre sur son visage, elle est particulièrement belle ce matin-là. Il la voit soudain lever les yeux, fixer un point au-dessus de lui et sourire. Elle se relève bientôt, défait sa chemise, révélant des seins petits, mais d’une rondeur parfaite aux tétons d’un rose pâle délicat. Sa peau ambrée met en valeur son ventre plat, sa taille légère et ses jambes fines et musclées.


- Rhabillez-vous.

Le ton s’est fait plus impérieux, il y a un tremblement, du désir dans la voix. Une fois rhabillée, il lui dit qu’il la trouvait très jolie et qu’il avait très envie d´elle.
Elle avait passe eux jours dans la companhie du milliardaire et son chauffeur. Il avait payer la belle mulate pour ses services, 5.000 euros. Il avait sortit de hélicoptère vers l´aéroport international pour aller à Montreal.-Canadá. L’hélicoptère quitte la cime feuillue des arbres que les rotors agitent comme la surface de la mer. Encore quelques vagues dans le feuillage, puis cela se calme. Il monte vers le ciel et dans une embardée contrôlée, il fonce vers le nord et disparaît. Le silence prend alors place durant quelques minutes, puis, se réinstalle comme s’il ne s’était rien passé... Le silence était aussi profond que la nuit.
Le jour suivante la belle mulate est trouvé morte avec le chauffeur de la residence. Elle était sur le sofá decedée. Crime a commu pour quelqu´un qu´elle avait permu l´entrée. Deux assassinats pour voler la residence. Dans le silence assourdissant de la maison, elle entend tout d’abord la porte s’ouvrir, presque furtivement. Elle peut même sentir un petit courant d’air froid venir horripiler sa peau. La nuit est tombée depuis quelques heures et la température extérieure chute rapidement.
L’absence de bruit l’inquiétant beaucoup plus que le refroidissement de l’atmosphère. parlant d’alerte, il vérifie le système de sécurité installé par le propriétaire. Un matériel de qualité mais un peu dépassé, il ne peut lui poser de problème.
Il crochète la serrure sans difficulté et désactive l’alarme avant qu’elle ne fasse rappliquer le service de surveillance.
Elle était couverte de sang la police croiait que personne ne comprendre jamais comment ça a pu se produire. C´était la pire scène de crime qu´il jamais vu. Une boucherie il n´a pas d´autre mot. Tout Le monde était extremement choquée qu´une telle chose ait pu se produire dans la demeure de Mauricio Valle. Les crimes avaient bouleversé tout un département. Une tragédie em paradis eappelé Búzios. Em entrant les secouristes ils tombent avec une femme noire couverte de sang sur un sofá. Il y avait des blessures de la tete aux pieds. C´était absolument horrible. Une decouverte macabre. Les événements furent d’une gravité extrême.

- Elle vait probleme avec drogue, dit le policier.

Pendant que les ambulances émenne les corps à la morgue, les policiers cherchent destroces de crime dans la maison. Les cameras de surveillances avaient registres le moment exact que la victime ouvrait la porte d´entrée pour lês bandits. Puis, la Police allait découvrir que l´assassin aurait été intime de la victime. Une protituée de luxe mort pour jalousie. Il avait entre là pour la tuer, puis piler la residence. Quand Le helicoptère retouner à la maison. La police était là. Un voisin avait entendre une fusilade dans la demeure et avait appelé la Police. Les policiers arrivent et un policier avec un fusil 762 a entre dans la maison. Quand il vont ouvrir la porte ils vont découvrir l´horreur. C´est là qu´avait tombe le garde de la demeure. Une découverte macabre. Les atrocités commises font penser aux enquêteurs que peut-être il y a vengeance. Une témoin avait raconte aux policiers ce qu´elle pu. Elle avait vu une voiture Clio rouge. Elle avait rematqué les phares allumés avec trois personnes à l´intérieur. Elle ne pouvait jamais imaginer qu´ils auraient voulu tuer dans la maison de Mauricio du Valle. Il ne croit pas au destin, néanmoins il avait la conviction que cette rencontre ne pouvait être le fruit du hasard. Il fallait d'abord éclaircir ce mystère des plus angoissants. Rester indifférent en passant devant commençait à lui faire sérieusement culpabiliser, et même se sentir coupable de ne pas intervenir. Il passa devant les grilles d’entrée de la maison et vit de loin arriver une ambulance, de la direction de Gazeran. Ses gyrophares projetaient sur les façades d’immeubles leurs flashes bleutés. Pas besoin de sirène à cette heure-ci. Elle passa lentement et presque silencieusement devant lui. Un vrai massacre qui a tant d´ordre? Un volcan n´aurait pas fait mieux!

- Mort aux assassins! Mort aux assassins, craient les voisins.

La vie là, a tendence à se dinamiser au tourisme un peu qu´ils etaient sinistres surtout après les derniers evenements. Dans les couloirs e la securité territoriale du Leblon avait reçu l´alerte de fuite de trois bandits de Búzios vers le Rio de Janeiro. À la tête des opération le célébre chef de Police Sergio Fleury. Avec une vieille voiture un impair fripe et un bout de cigarette au coin dês lèvres, une cerveille apparement desordre avec une présence physique incroyable, une agressivité folle. Le chef de police Fleury a conqui toute la société où le personnage et sa propre personne se confondent. Il était fameux pour mené l´enquête sur l´incroyable succès. Il incarnait la brigade criminelle de la ville du Rio de Janeiro. C´est l´effervescence dans ce début de l´après-midi au cours d’une cérémonie protocolaire, il serait promue à titre d’agent premier niveau dans le groupe d’intervention spéciale de la police métropolitaine; le B.O.P.E.. comme on le nomme. À croire que les aiguilles de l’horloge s’empressaient d’avancer pour éliminer indûment mon temps précieux. Il s’agit d’une escouade spécialisée et appelée à intervenir d’urgence en cas de situations extrêmes les hommes de la brigade des stupefiants se préparent pour une mission délicate. Ces policiers de choc son régulièrement preparés en enfrenter les bandits armés de fusis AK47 et d´autres l´armes Lourdes. Dans l´entrée de la ville, ils sont tout les trois détenus.
Le milliardaire au arriver à Montreal l´entrepreneur a su de la tragédie. Il a reste alivie avec la nouvelle de la arrestation des bandits. Les policiers avaien trouvés dans la voiture volée et de cocaïne. Deux hommes avaient émmenés à la central criminelles de la Police, un troisième a été mort dans l´opération. La voiture, l´argent et d´autre valeurs son recupérés et tout les bandits detenus a été morts dans un tentative de fuite. Le premieur bandit qu´avait été mort été un tuer official du chef du trafic de drogue de la favela da Rocinha. Les jornaux avaient divulgues Fleury comme porter “la voix Du Diable”. Personne n´aurait pu imaginer La complexité de La vérité sans le savoir qu´ils auraient ouverte la boîte de Pandora. Le chef du trafic Playboy c´est un bandit extremement dangereux. Playboy fil d´un banquier il était vicieu en cocaïne des sa adolescence, il faisait des braquages à banques et les premiers reglements de comptes. Playboy dirait lui-même qu´il est devenu um tueur sans remords et sans regrets traquée à Rio de Janeiro. Après une courte tentative de retour par être célébre dans le monde du banditisme. Fleury... Il a repondu à 38 meurtres pas encore jugés. La voix du diable diasait ouvertement que il allait ordoner a decente de Playboy aux enfers.
Búzios comme tous les ans à cette période était inondé d’une innombrable et informe masse de touriste qui se hâtait de sortir leur engin photographique à la première occasion. Ca faisait partie de la ville, de sa beauté, de son patrimoine… Peut?être bien même que la victime fût un de ces touristes trop curieux… Peut?être savait?il quelque chose ce malheureux bonhomme qu’il ne devait savoir, ou même peut?être que ce eût été un règlement de comptes… Toujours était?il que la joie de la ville ce matin?là contrastait fortement avec ce meurtre commis un soir pluvieux qui d’ailleurs allait enjoliver la journée.
Un mois sont se passé que la Police avait reçu une appelle d´un inconnu.

- Allô, Police, secour.
- Qu´est-ce que se passe?
- Bonjour. Je suis dans la fôret de la Tijuca, proche de le jardin botanique. Il y a beaucoup de fumée.

La region était un endroit tellement parfait pour un crime, à chaque tournement de tête, on y trouvait un moyen de tuer. Il ne croit pas au destin, néanmoins, La journaliste avait la conviction que cette rencontre ne pouvait être le fruit du hasard.
Vers 2 heures du matin il avait signalé un feu dans la fôret de la Tijuca, quartier éloigner de La ville. Il y a rassemblée une equipe. Ils avaient vite découvru les flammes à une centaine de mètres en contrebas de l´avenue du zoologique. Il faisait nuit noire. Il y avait énorme fumée après avoir lutté contre les flammes pendant 30 minutes, l´equipe entame leur descent dans le ravin. Il découvrent enfin la cause de l´incendie. L´odeur est si particulier de viande bruilée. C´est impossible de dire se s´agisaait d´un homme ou d´une femme. Le véhicule était une voiture de luxe, une Volve noire qui appartient a un milliardaire appelé Mauricio Du Valle. La police avait découvri que vers une heure du matin le véhicule avait été arrêté pour des trafiquants de drogue de la favela da Rocinha pour ordre de Playboy qui en vérité souhait tuer le milliardaire de l´acier. Mais il était absent du pays, alors ils tuerent le chauffeur et avaient brulé sa voiture. Avec l´autorisation de la justice les enquêteurs entendent Playboy parler au portable.

- Vous êtes de merdes. Vous avez tuer le chauffeur du milliardaire, pas lui. Ça ne serve de rien.
- On ne savait qu´il était en Rome.

Le chauffeur Basilio Ferreira travaillait avec Mauricio depuis 20 ans, était marié et avait deux enfants. Deux jours plus tard ces enquêteurs qui lui suivait depuis plusieurs heures n´ont lassé au hasard, rien n´avait été pour hasard cet après-midi. Une fusilade avait éclaté entre policiers et trafiquants de drogue dans la favela de la Rocinha. Playboy a été abattu pour la police à 15 heures precise Le chef du trafic de drogue avait été localisé dans une HiIlux blanche suit d´une autre Hillux avec 6 soldats Du trafic armes de fusils AK47, tous ils morts aussi. La police avait les bloqués à l´avant et l´arrière. Les rafalles de metrailletes sur le pare-brise de la voiture de criminel a été fatale. La voiture avait reçu 18 impacts de balles. Les policiers ne cachent ses satisfations.
La nouvelle décapotable rouge freina dans un grand crissement de pneus. Julia Medeiros conduisait vraiment comme un mec. Elle se gara telle une loque devant l´hôtel Glorie. Une journaliste Du journal “Le Jour”, Une blonde 1.80, cheveux em cascade sur ses épaules, des yeux bleus, une vrai princesse du journalisme était dans une inauguration d´un hôtel Glorie cinq étoiles de Mauricio du Valle. Puis de la fête elle reussi une interviewe avec le roi d´acier.

- Bonsoir Maurice du Valle! Je suis journaliste et m´appelle Julia Medeiros. J´ai besoin de faire quelques questions à vous à mon journal “Le jour”. Je voudarais vous parler.
- Bonsoir Julia, j´ai la vue en Cannes et j´ai trouvé une déesse de beauté. Tu as restée assise là longtemps sans bouger. Je suis à votre disposition. Voilà, jê vous écoute.
- Mon Dieu... C´est bien vous. Merci beaucoup. Tu es um beau homme, riche veuf, selon la magazine Forbes vous avec gagné 100 millhões d´euros la dernière année. Tu es un homme de chance.
- Peut-être. Pas avec les femmes. Ce serait amusant de te regarder. Votre beauté me fascine.
- C´est après, croyant que sés paroles n´étaient qu´un feu de paille.
- Pas provoque.

L´interviewe avait éte mené à bien, mais les resultats n´étaient pas aussi qu´elle attendait de lui. Les objectifs n´étaient été atteints. Il était observé, reservé et il ne parlait jamais de sa vie privée à la prense. C´est un peu comme s´il avait besoin d´une confidente dans ce moment..

- Comment ça? Tu avais été mariée avec une femme riche. Miss Rio de Janeiro. Peut-ête La femme plus belle Du pays.
- Il y a violation de la vie privée. Dès ma adolescence que j´ai collectionne des echecs avec les femmes, malheureusement. Mon ex-épouse a été victime des trafiquants de drogue, comme vous savez.
- Une prostutuée fut trouver la mort sur le sofá de sa demeure en Búzios. Pour quoi que ça est arrive, selon sont point de vue?
- À l´éoque les reseaux sociaux pás parlé d´autre chose. Ele avait été victime de sa propre ignorance. Elle vivait dans La favela avec um tueur à gages Du CV ( Commandement Rouge) organisation criminelle de trafique de cocaïne. Il jaloux d´elle il avait la tuée avec le garde de la maison. Puis il avait profiter à voler La demeure, l´argentl oeuvre d´artes, bijoux, um préjudive qu´arrivait à um million de dollars.
- Les choses volés furent tous recuperées. Mais le bandit fut rencontré coupé en morceau dans la fôret de la Tijuca. Playboy fut abbatu avec plus de 50 tirs puis d´assassiner son chauffeur particulier.
- Ils sont les risques du metier. Il avait assassine un travailleur, un père de famille.
- C´était un petit Poisson tentand ingerir un requin.
- C´est vraie, c´est la vie... Qui ne sait vivre, vas apprendre à mourir. Tous nous devions avoit peur du danger. C´est comme ça que fonctionne la societée.
- Son ex-épouse faisait la même chose. Elle eliminait ses ennemis.
- Elle était une personne de émotion instable.
- Qui aimait faire sexe comme tuer sés ennemis. Elle était une vraie serial-killer, et vous le savez tout le temps, provoquait la blonde.
- Non. Bien sûr que non. Seulement après les investigations de sa morte. Tu es mariée Julia?
- Non, je suis contre mariage. J´aime de vivre independant d´un homme.
- Intéressant. Tu es une femme forte, intelligente, extremement belle.
- C´est un éloge ou harcelement.
- Tous les des choses.

Elle était trop attirée par lui mais elle ne veut pas perdre la tête. Maintenant elle a laissé tomber son crayon sur le plancher. Elle seductrice comme personne allait se pencher pour le ramasser. Elle roujours aussi séduisante, élégante, sa ligne fine de ses yeux bleus, si rieurs, qui ne cachê pas ses penchants libertines à ceux que savent y lire ses envies. Il était fasciné par son babillage agréable, sa beauté unique, ses sourires et son regard que lui disait tant de chose. Il remarquait que ses yeux se portaient de temps à temps sur sa braguette.

- Superbe! Tu as un corps superbe, seins parfaits, J´aime La couler de sa cullote.
- Tu bricolles avec moi. Vous êtes três genereux. La prense avait divulgue que son épouse avait plusieurs amant. Son dernier avait mouru avec elle.
- Si je reponds la vérité des faites. La TV pas peut montrer dans l´horaire nobre.
- Tout va être edité avant d´aller au l´air. Vous pouviez me dire tout? Comment va ta vie amoureuse, Mauricio? je vis seul, certes, mais je ne reçois d’ordre de personne.
- Plutôt que de rester Assis sur une chaise derrière la bureau. Je suis un homme bisexual qu´aime que mes épouses aient des amants. La vraie femme à moi c´est la femme que me fait cocu. Une femme. Exhibe, pute sur le lit et une dame dans la société.
- J´ai un mec a quelques tendances comme ça. C´est moi la femme que vous avez besoin. Tu es l´homme que jái toujours rêvé. Nous pouvions aller au bar du Copacabana Palace ce soir.
- Parfaitement, pourquoi pas. Je suis toujours libre. Donne-moi une heure et je suis là.
- Ok. A bientôt.

Ils avaient des fantasmes candaulistes. L´idée de partager sa chérie, de la savoir excitante d autres hommes. Elle remplit la poitrine d´une joie serene et de sexe d´une urgence fébrile. Les circunstances sont atenuantes de leur inthousiasme réciproque et mutuel à reconnaître et exprimer leur désir de chair. Tou à l´arrogance de son incontestable séduction. Elle est à cette heure entre chienne et le loup. Elle regarda dans le miroir pour la millième fois avant de sortir. Est-ce que ses cheveux blonds sont trop décoiffés ou juste assez? Et son maquillage? Elle s´approche pour examiner ses lèvres rouges. Est-ce trop rouge, justement? Comme elles sont charnues de nature. Et ses yeux? Elle ne sait jamais comment faire ressortir leut teinte bleuvert, “devrait je changer de couleur de mon ombre paupière?”
- Merde, huit-heures trente deux, se disait-elle.
Julia Medeiros arrive à le Bar de l´hôtel. Aucune provocation, elle était magnifique. Quand elle marchait, ses jambes, superbes, se retrouvaient dévoilées jusqu’à mi-cuisse. les marques des bretelles dans le dos qu’on distingue… Dommage! C’est tellement beau un dos lisse exempt de toute marque de sous-vêtement, tellement suggestif et excitant de savoir que la poitrine de la dame est libre sous ce vêtement… Elle à priori, oublié de mettre un soutif, du coup la robe suit parfaitement le dessin de ses tétons qui pointent, magnifique spectacle. Un sac. Un magnifique sac à main en cuir. Splendide. Avec la marque bien visible. Plusieurs hommes se retournaient sur elle. Elle jetta un oeil dans les recoins. Un ambiance sophistiqué. Atablé déjà, la blonde se pencha tout en restant assise, son décolleté ne fut visible que quelques instants, mais suffisamment pour attirer le regard des mecs il fut surpris, car elle avait croisé ses jambes bien hautes, découvrant ainsi toute sa cuisse sur le côté, mais en plus… Non, il ne le croyait pas… Sa chérie décroisa ses jambes lentement, mais ne les joignit pas complètement en posant les pieds au sol. Il pensait qu´il serait le seul voyeur, mais apparemment, sa chérie décida d’en faire profiter quelqu’un d’autre. Ça l’excitait encore plus de voir un gars mater sa femme. ?Ce qui provoque chez-lui un afflux de sang dans sa verge que devient a l´étroit dans son boxer quand un homme Black est dans le bon angle pour la mater. Mauricio se manifeste:


- Comennt tu es belle?
- Merci... C’est-à-dire qu’un type pas mal du tout me regarde depuis un moment et me sourit quand je le fixe… c’est bon signe, non? Lui répond-elle dans un sourire.
- Tu n´as pas aimé? Dis-moi, tu sembles intéressée, dirait-on?
- Humm, non, répondit-elle avec un sourire complice. Si, mon chéri. Moi, ça m’excite! Je veux ces hommes que me fassent joir. Par un black fait trop beau. Dieu ce qu’il est beau!
- Vingt-cinq ans maximum, un regard ténébreux et pénétrant, grand, a priori musclé et costaud, très brun, bronzé, cheveux courts, barbe naissante… Mon fantasme en chair et en os… Dit Mauricio.
- Justement, chéri, je crois que j’aimerais moi aussi beaucoup faire l’amour à un autre devant toi!
- Alors. Moi, je serais le plus heureux des hommes. Amuse-toi, profite… mais protège-toi! Allez-y, ne soyez pas timide! Dit-il en la regardant avec un sourire.


Elle était belle. Sexy même, dans cette robe. Le scénario entier était irréel. Elle emprunte l’étroit couloir, passe devant les portes des deux cabines de WC,

- Aaahhhh…! cria-t-elle brièvement alors qu’il la pénétrait comme un bélier. D’un coup profond, il la remplit et resta ainsi un moment, jusqu’à ce que ses couilles cognent la chatte. « Enfin! », pensa-t-elle, heureuse en sentant les parois de sa chatte serrée s’habituer à cet énorme pénis qui la remplissait.

Il la baise doucement, bien à fond, faisant sortir son gland avant de le repousser dans la grotte accueillante.

- Oui. C’est bon. Un peu plus fort.

Elle sentit des jets de fluide ruisselant le long de ses cuisses, ses cuisses tendues, tremblantes, tremblements incontrôlables, saccadés.De retour dans la limosine de Mauricio. Elle l’embrasse à pleine bouche.

- Tu aimes ton goût?
- Oui, quand c’est dans ta bouche.
- Tu aimes ça ou c’est juste pour me faire plaisir?
- Oh non, j’aime beaucoup ça, si en plus ça te fait plaisir, je suis comblée. Je suis ta femme. Fais ce que tu veux.
- La vie défile vite, il faut savoir en profiter. Profiter de tous les instants et oser réaliser ses envies.

Elle sentit une goutte de liquide couler à l’intérieur de sa cuisse.
Et c'est à cet instant, alors que mon désespoir atteignait un point de non retour.
Julia sort, elle se dirige vers le Country club bar, le dernier qui reste où on peut écouter des orchestres en live. Beaucoup de monde, c’est bruyant, la bière coule à flot, certains jouent au billard pool, d’autres sont avec des entraîneuses de l’établissement, personne ne prête attention aux quatre musiciens qui se démènent pour faire apprécier leur musique. L’élite de la ville ne fréquente pas cet endroit glauque qui sert d’abri aux pochetrons en mal d’affection, rien ne l’intéresse ici, elle ressort. Il est onze heures, elle rentre se coucher, son mobil home n’est pas loin d’ici, une bonne nuit, demain sera un autre jour. Sa vie est monotone, rien de palpitant...
Dans la maison, comme tous les matins Mauricio Valverde se leva tel un robot. Une routine que lui plaisait bien. Tout était prêt de la veille. Puis dans sa douche chaude il se révéille pour complet. Il attrapa sa serviette au passage et la noua autour de lui sentant l´odeur de café que s´était répandue dans toute la maison. La cafetière programmée, sa tênue déjà choisi et son petit déjeuner n´attendait qu´à être déguster tout ceci faisait part de son train-train cotidien. Il s´en servit une tasse ajouta un peu de lait et allait s´installer devant la télévision juste à temps d´entendre le presentateur annoncer qu´il faisait au Rio de Janeiro 25º de chaleur. C´est le moment que choisit son chien “Pacheco” pour venir se blottir près de lui. Le chien était presque un fil à lui.
La grande salle d´attente, la grande horloge affichait 8: h 35, Julia Medeiros a apparu en sous-vêtement et se mira à nouveau, grande mince et maquille en petite tênue elle dégageait un côté de femme fatale. La perplexitée si lisait maintenant sur le visage de la belle blonde. Repensant la veille elle glissa un rouge à lèvre, son corps en demandant encore si elle aimait le sexe. C´était la chose qu´elle plus aimait. Alors elle allumait sa cigarette et tira dessus à pleine poumons sa première bouffé représentant son nirvane du matin. Mauricio la voit passer souriante pour lui dans la salle, l´épucurienne est explendide dans sa robe qui met son magnifique bronzage en valeur.

- Bonjour chérie! Voulez-vous assister le chapeau rouge manger le loup mal me suit que je vais marcher sur la plage.
- Bonjour princesse. Plus belle que jamais. Bravo, Julia, tu es superbe, tu vas beaucoup plaire.
- Tu étais parti faire un petit tour?
- Oui… pour me vider l’esprit… Tu es revenue?
- Oui, tu sais que jê suis um mari voyeur. Je ne te comprends pas, tu cherches quoi?
- Je ne cherche rien, je profite de la plage, tout simplement. Mais si j´ai trouvé une belle bite qui sais? Si! J’en meurs d’envie! Et même ici, là, devant toi! Tu n’es pas jaloux de me voir ainsi provoquer des mecs?
- Tu en meurs d’envie! c’est évident.
- Tu veux jouer les voyeurs?
- Mieux que ça, l’adepte du roi Candaule, le cocu content et fier de l’être si tu préfères.
- Alors, ça te fait de l’effet, gros pervers? me demanda Julia, coutumière des sarcasmes.
- En effet, je peux rien te cacher…
- Je commence à connaître mon homme…
- Et toi, ça te fait de l’effet??
- C’est bien ce que je dis, tu es un pervers!
- C’est bien, je vois que tu sais apprécier les belles choses… Bon, si on rentrait maintenant?? Je me sens tout d’un coup à l’étroit dans mon short…
- Viens on va faire un truc, ça va être top.

C´est une magnifique journée pour profiter pleinement les heures à savourer décor paradisiaque. Plage de sable blanc, eaux claire, ciel dégagé, température idéale. Le calme de cet endroit dépourvu de stress.
À midi, le soleil cognait fort et la présence toute proche de la mer n’y changeait rien. Les pavés en pierre récemment installés sur la promenade qui longeait la plage réfléchissaient la lumière et la chaleur. Il n’y a pas encore grand-monde à la plage en ce tout début d’après-midi; la plupart des vacanciers sont attablés pour déjeuner. La mer est calme, dans cette petite anse un peu abritée par les falaises voisines. Plus loin, vers le bout de la baie, quelques modestes bateaux de plaisance achèvent de donner à l’ensemble du paysage une superbe allure de carte postale. Dans l’eau jusqu’à la taille, quatre jeunes gens jouent à une sorte de volley. Ils se renvoient un ballon avec plus ou moins d’habileté et de réussite. Ils tentent de se faire un maximum de passes sans perdre la balle, mais l’un ou l’autre rate régulièrement sa relance et envoie le ballon loin d’eux.
Pourtant Julia Medeiros a l´habitude de fréquenter des petits coins de paradis font part de son quotidien. Elle semble totalement épanouie toujours joviale et accessible. Malgré cela, elle a pris la décision de changer de vie. Ton visage tour à tour lumineux et sévère à l’image de sa jolie bouche à la sensualité contenue par le dessin de ses lèvres aux contours parfaits, comme l’œuvre la plus pure d’un artiste amoureux. Ton élégance qui mêlait déjà d’une façon si troublante, cette alliance de classe et de simplicité. Avec le temps, La blonde déjà terriblement sensuelle, mais discrète, Elle est devenue cette femme toujours avec cette apparence de belle bourgeoise, mais désormais superbement racée et désirable et qui assume de plus en plus sa sensualité et de nouveaux aspects de sa sexualité. Elle ouvre carrément la marche, poitrine ouvertement en avant, tandis qu’elle déambule à présent sur la plage. L´époux voit bien que certains regards, surtout masculins, l’ont en point de mire. Il est à la fois fier et chagriné, un curieux mélange de sensations.

Elle s’écarte légèrement de lui et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, elle se déshabille complètement et, nue comme un ver, part en se lançant: Le dernier à la mer a perdu…


Dans ce moment il l´a vu avec un inconnu.

- Parce que toi tu crois que tu vas pouvoir me résister? Dit l´inconnu.
- Tu… Tu as vu le monde qui nous entoure?
- Pas grave, on va attendre qu’il y ait un peu moins de monde, ou bien on ira dans les dunes.
- Qui est ce jeune homme de toute beauté, se demande Mauricio, je ne l’ai jamais vu.Quel beau garçon, pense le mari, ma femme a vraiment bon goût.
- Il veut plus de fantaisies ? Je comprends. Je crois qu’il va aller se masturber? Se disait-elle alors.

Perversion ou fonctionnement inhérent de l’âme? Fantasme de l’homme, du moins passé la trentaine si on en croit ce que l’on peut lire et voir ici ou ailleurs et qui consiste au moins en rêve à offrir aux regards pour le moins ou plus sa propre femme à la convoitise, voire à «?l’usage?» d’autres hommes et y trouver du plaisir. Son épouse Julia y prenait même un certain plaisir à se savoir désirée.


- Joli spectacle! Observa le mari voyeur.

Il lui caresse le visage, le cou puis l´embrasse délicatement, ses mains vers sa poitrine qu´il ffleure au bout des doigts, ce qui fait frissonner Júlia de la tetê aux pieds. Elle est séduirte, le décor celeste combine aux caresses expertes de son jeune amant lui font perdre la tetê. L´ardente murmure:

- Arrête! Si ton mari nous voit!
- Et alors? Tu crois que ça va le choquer… Je ne connais ,même pas ton nom?
- Je m, appelle Rodrigo.
- Je suis quoi, pour toi?
- Tu es une superbe femme, dis-je doucement à son oreille.
- Oh, je ne suis pas choquée : c’est plutôt flatteur pour moi si je peux produire cet effet sur un homme comme vous.


La belle Julia passe ses bras autour du cou de l’homme et, fait rare de sa part, elle lui offre sa bouche pour un long baiser. Si elle prend tant de plaisir à jouer avec la langue de son futur amant, c’est qu’elle a deviné que leur entente allait être digne de ses désirs. Elle fait glisser le léger vêtement et découvre une bite fort bien proportionnée et déjà bandée par l’excitation. Ma coquine la saisit alors doucement d’une main pour l’examiner et tourne son visage vers lui avec un large sourire de satisfaction. En écartent légèrement ses jolies jambes, elle tourne la tête vers son futur baiseur et l’invite à s’approcher tout en s’assurant qu´il profite bien du spectacle,. finalement, il préfère commencer par enfiler son braquemart dans la chatte offerte, ouverte et chaude que Julia lui présente, penchée en avant. Il avance un peu et l’enfonce, elle est prise, sans retenue. Il va-et-vient, visiblement Julia adore, Mauricio ne peut que les regarder en se branlant.
Quand elle retourne près de son mari. Elle est encore toute gluante de cyprine et de sperme, elle est complètement trempé, son minou était complètement inondé! Il regarde ses lèvres intimes, rouges et légèrement entrouvertes.

- Tu me surprends un peu mais j’adore ça! … Bon, si j’ai bien compris, j’ai perdu… Quel est mon gage?
- On va mettre à rude épreuve ta résistance. j’aime ce genre de défi, ça marche. Compte sur moi pour faire de mon mieux.
- Mais j’ai épousé une nymphomane, ma parole!
- Viens me lécher, chéri.
- Viens t’asseoir sur mon visage.

Julia sent sa langue glisser le long de sa fente, revenir par les lèvres extérieures, s’attarder sur le clitoris, redescendre jusqu’à l’entrée de son vagin. La blonde gémist, surprise par ce plaisir immense. C’est à cet instant qu´elle explose dans une série de spasmes tous plus forts les uns que les autres, c’est une véritable extase! Voyeurisme mélangée à ce plaisir immense.

- N’aie aucune crainte, Júlia. Je t’aimerai toute la vie.
- Tous les hommes disent la même chose au début.
- Je ne te quitterai jamais. Pour rien au monde.
- Tu ne penses pas que c’est un peu trop tôt pour dire, jamais?
- Je te veux pour la vie, tu peux le comprendre?
- Finalement, je veux bien t’épouser, mon amour! C’est une idée sublime. C’est une chose que tu as expérimentée.
- Oui, nous allions souvent nus. Nous vivions cette nudité en commun en s’affranchissant de la pudeur.
- Merveilleux. Je pleure, mais que c’est bon, putain! Que c’est bon! tu m’ouvres des horizons que je ne croyais pas possibles avec toi.

En lui parlant, il donnait à sa voix le ton d’une supplication mêlée d’une sincérité frustrée. Il semblait vouloir que chacune de ses paroles, chacun de ses mots s’infiltre indéfiniment dans son esprit. Julia fit cependant l’effort de cacher son contentement derrière un visage où n’apparaissait aucune émotion. Pourtant, au fond d’elle, elle voulait l’entendre encore; elle voulait entendre mieux que ce qu’elle avait déjà entendu. Mais une question retentissait encore dans sa tête: pourquoi n’avait-elle pas attendu encore un peu? La question lui arracha un petit sourire. Elle savait pertinemment que c’était déjà trop tard. Depuis la nuit de leur rencontre, elle avait senti qu’elle lui appartiendrait pour toujours. Cette nuit-là il pleuvait dru. Il allait bientôt être 22 heures. Julia avait sorti la boutique de vente d’accessoires féminins, de lingeries de luxe et de jouets sexuels, mais attendait que cesse l’orage pour sortir, descendre la grille et rentrer chez elle. Et il était arrivé contre toute attente, trempé jusqu’aux os. L’air désemparé, il tenait dans les mains ses sandales de cuir abimées, portait un survêtement délavé sur un débardeur miteux et un pantalon jean fripé. Tout grelotant, il s’était approché, avait frappé, elle avait ouvert malgré la peur. Il avait exprimé le besoin de se réfugier à l’intérieur. A cause de son allure elle avait d’abord hésité puis, sachant bien le risque qu’elle prenait, elle avait quand même cédé en se disant que le ciel saurait la protéger en cas de danger pour le bien qu’elle faisait à cet inconnu qui avait tout d’un clochard. Elle l’avait installé et lui avait servi une tasse de café. La pluie avait continué pour mieux le connaitre. jusqu’à minuit. Elle en avait profité.
Elle s´était toujours des choses três luxueuses en accord avec ça qu´elle rêvait de mener un jour. Ils voulaient montrer à tout le monde qu´elle est la nouvelle star de Búzios. Elle menait une vie de conte de fées. Au bout de quelques mois il l´avait demandé en mariage. Mauricio est tombé amoureux d´elle dès premier regard. Elle était três attirée par son l´argent. Mais cela va plus que l´argent avec la journaliste. Pour la première fois de sa vie pour Mauricio ce mariage avec Julia est l´occasion d´échapper à la folie de son universe professionnel. Elle a changé son mode de vie demeurant dans une maison grandiose. L´un comme l´autre l´était un changement radical.

- Qu´est ce que tu veux de moi?
- Tout... Pour que leurs premiers baisers soient romantiques, de nombreux amoureux aiment se promener sous la douce lumière de la pleine lune. S’embrasser sous ce disque lumineux a le pouvoir de donner des envies diaboliques à certains prédateurs.
- Une fois que tu m´a choisi, j´ai devenu sa propriété, son instrument, sa chose. Très vite, je vais apprendre à vous connaître.

Le personnage plus controversées de 40ans Mauricio Valle resterá à jamais comme le roi d´acier proprietaire d´une enorme usine sidérurgique de Volta Redonda la plus importante du Brésil. Le mega-milliardaire, un homme charismatique séduisant et populaire excessif impytoiable et sans limites, Mauricio Valle est un homme aux deux visages qui aura profondément marque la société carioca. Un homme d´affaires qui aurait écrit as propre legende sans jamais se préoccuper dês conventions. Il avait volonté féroce de gagner beaucoup, beaucoup, beaucoup d´argent. C´est un personnage qui vous met dans une seringue et qui presse jusqu´au bout. Il n´avait pas d´autre vie que sa facination pour sa belle épouse avec visage de reine, la journaliste célébre Julia Medeiros ou il l´aimé beaucoup. Avec ses 40 ans il est devenu un personnage incontournable, um puissant et riche homme d´affaires à qui tout semble réussir, un chef d´entreprises aux méthodes rude mais éficcace pour réaliser des sociétés. L´amour est un jeu dangereux ou régner la violence, Il faut être um monstre pour pouvoir tuer quelqu´um. Personne comprends pas comment un être humain peut faire ça. Julia Medeiros, voilá une femme que la vie n´a pas l´épargnés opporytunités.
Maîtresse sort de la chambre vêtue d’une robe similaire à celle de Mireille Darc dans “Le grand blond avec une chaussure noire,” si ce n’est que le décolleté dans le dos est encore plus profond et que le buste est couvert par une dentelle qui laisse voir ses seins. Sur le devant, une grande fente monte jusqu’au nombril, dévoilant le sexe nu et lisse de maîtresse lorsqu’elle marche ou s’assied. La longueur de ses cheveux blonds s’arrêtait au creux des reins. Ils étaient lisses, brillants et d’une épaisseur incroyable. Pour qu’ils ondulent naturellement, elle les tressait après les avoir lavés. Quel plaisir de voir bouger les fesses de Maîtresse, le début de la raie bien visible grâce au grand dos nu! Ils ne passent pas inaperçus au “Bahamas” Boîte de nuit libertine avec sexe partout tous les jours. Il aime voir le regard des gens qui plonge vers son sexe lorsqu’un pas un peu allongé ouvre largement la fente de sa robe dévoilant ainsi son sexe. Elle aime aussi les murmures des gens voyant le rosebud entre ses fesses ou son "cache-sexe" (exhibe-sexe serait plus judicieux comme terme).

- Et toi, tu ne penses pas que c’est jouer avec le feu, mon petit cœur? Lui dit-elle.
- Alors, on fera tout pour ne pas se brûler.
- C’est cela, oui!
- Promis, ma douce.
- Alors c’est d’accord, tentons l’expérience ! Mais… tu ne viendras pas te plaindre, après!

Il la regarde, stupéfait. Elle m’adresse un sourire en coin. “Okkkayyy”.
- On ira d’abord faire un tour au bar, histoire de m’exhiber un peu!
- Ah ouais ! T’es déjà dans ton trip, je vois!
- Ce sera la totale ou rien! Je t’avais prévenu!
- Toujours d’accord pour une nuit de folies? je lui demande, après le bisou dans le cou et la main aux fesses.
- Je ne reviens jamais sur mes décisions, tu devrais le savoir! Connard!
- Je t’aime!

Arrivés au salon, Mauricio ne tarde pas à l’entraîner face à un grand miroir, il réalise alors que ses aréoles se devinent lorsque l’éclairage est assez intense et qu’elles deviennent nettement visibles dès qu’il y a de la lumière noire. Sur le coup, elle se sent plutôt gênée de s’exhiber ainsi. Son chéri l’amène alors au bar et lui fait remarquer que les serveuses portent des blouses nettement plus transparentes que sa tenue. La boite est pleine, la musique est bonne, Elle devrait pouvoir s’amuser un peu. Le client, visiblement habitué des lieux, nous permet d’avoir accès au secteur VIP. Quelle chance! Un énorme black s´approche souriant du couple. Elle tremblait de tous ses membres, ses pensées n’étaient que confusion, désir, elle avait faim de ce corps. Elle le sent décidément très excité ce soir. Le black s´approche d´elle.

- Vous êtes une femme ravissante.
- Arrêtez donc, vilain flatteur!
- T’as envie, hein! Salope!

Est-ce l’alcool ou est-ce la conversation ? Qu’importe, Julia se leva et contourna la table basse qui vous séparait et vint déposer un baiser sur ses lèvres pour s’assurer de la véracité de ses dires. Sa main s’aventure sur son entrejambe, la bosse dure au niveau de sa braguette lui confirme ce qu´elle supposait.

- Elle est énorme et déjà dure, dit elle à son mari.
- Tu as la chatte en feu, ma jolie, je vais bien m’occuper de toi.

Pendant ce temps, sa main s’est insinuée entre ses cuisses et sans plus attendre il introduit ses doigts entre ses lèvres. Elle ne peut réprimer des gémissements de plaisir, heureusement que la musique est assez forte.

- Je te laisse un peu, je vais aller fumer.
- Tu t’amuse?
- Oui, et même j’ai trouvé de bons cavaliers potentiels!
- Tu as envie que je te laisse retourner avec?
- Oui...
- Son mari n´est pas jaloux? Murmura le Black.
- Non... Mon époux est bisexual et aime de la même fruit que moi.
- Tu la trouves belle?
- Tu es magnifique!
- J’ai envie de toi, tu es belle, c’est un beau cadeau.
- Oui, c’est bon, elle est dure!
- Dis-lui que tu en as envie, tu sais quel effet ça produit sur un homme.
- Hhhmmm!
- Oui, j’ai envie de ta bite.
- Chérie, je veux le voir te la mettre, fais-toi plaisir.
- J’ai pas l’air de me faire plaisir…? me sourit-elle.
- Embrasse-moi.
- Montre-lui comme tu as envie. préviens-toi à l’avance, car j’aimerais bien assister à vos ébats.
- Gros pervers !
- Elle a besoin d’être baisée, elle aime ça! Vous me plaisez tous les deux, dit le mari.

Il est presque minuit et l’ambiance est déjà électrisante. Julia doit alors remonter sa robe pour pouvoir écarter assez les cuisses. Son chéri, qui est face à elle et l’aide à passer, peut alors profiter d’une superbe vue sur sa touffe, ce qui ajoute encore à son excitation.
Il était avec elle. Les gémissements de Julia, sous les coups de boutoir de son amant emplissaient la pièce. La blonde s’abandonnait totalement à lui, acceptant toutes ses envies avec passion. Le pire pour lui était les longs baisers qu’ils échangeaient trop souvent, leurs visages trop proches, leurs regards, leurs sourires, leurs mots d’amour qu´il devinait. L´époux tout en maintenant sa main sur la tête de sa femme baisse de l’autre la braguette de son homme et en sort un membre de taille respectable qui gonfle sous ses doigts. Ele qui a tout vu du coin de l’œil attrape ce nouveau sexe et commence à le masturber. Elle se soulève ensuite, attrape sa verge dressée avec une main, la guide vers son sexe et s’empale d’un coup, avec un petit cri. Elle ne put s’empêcher de gémir, elle lâcha parfois la hampe de son homme tant les coups de boutoir étaient puissants.

- Regarde ta femme faire la chienne!

- Regarde la belle queue qui me baise, mon chéri ! Branle-toi, profite du spectacle!

Son regard se pose à nouveau sur moi, mais le voit-elle seulement? Il la regarde dans les yeux tandis qu’il commence son mouvement de va-et-vient. Il sent sa chatte se resserrer sur sa queue. Et le visage de son épouse, les yeux révulsés, criant son plaisir, le corps secoué de spasmes alors que son amant se libérait en elle.

- Oui, oui, au fond de mon vagin. Je veux sentir gicler ton foutre au fond de mon foyer ardent. Vas-y, jute au fond, remplis-moi de ton foutre, j’en ai besoin.

- Trop pour moi, beaucoup trop.

- T’aimerais pas faire une expérience bi? Moi je vais te baiser. Lève-toi. Contre le lavabo. Penche-toi. Écarte les cuisses.

Julia était bouillante, des flots de liqueur s’écoulèrent de son sexe. Car c’était pour ce genre de moments qu’elle vivait. Elle était « Julia la belle », déesse du sexe et du plaisir. Il change d´idée. Il lui fait mettre à quatre pattes sur le tapis et vient se placer derrière son mari; il le pénètre avec une grande facilité et s’active derrière lui.
Il l’encule avec ferveur son mari et elle se surprends à jouir alors que personne ne lui touche. Son manège a duré longtemps, il l’a joui dans le cul et l’a demandé de lui nettoyer sa queue.
Les nuits d’été sont très agréables dans la majorité du temps. L’époque à laquelle cette enquête eut lieu, les gens aimaient se ruer vers divers lieux de distraction.
Couchée sur le dos, les yeux ouverts malgré l’obscurité, Julia venait de revivre pour la énième fois le chapitre qui, pour elle, était de loin le plus important et le plus mémorable de sa vie amoureuse. Mais elle en ressentait un tel chagrin, qu’elle se demandait si elle pouvait être encore heureuse d’avoir vécu ces moments. Elle avait la sensation que ce passé n’avait été qu’un rêve et que la réalité était maintenant là. Tout avait changé et basculé si vite dans un désordre digne d’un kaléidoscope en folie. Elle était maintenant seule.
Le jour suivant, Mauricio Valle laisse son bureau central au centre commercial du Rio de Janeiro. Il est 20 heures 20, le soir Du 27 de november. Il descend lês escaliers s´apprête allumé un cigarette sur le palier du 1ère étage tue frappé de trois balle à la poitrine à l´oeil et à la tempe gauche. Une éxécution, un portier entendant les détonations; mais personne n´a rien vu. L´assassin ne laisse aucun índice. Em quelques secondes il dévale les escaliers et disparaît dans la nuit. Après minuit la Police a reçu un coup de téléphone d´une femme qui annonçait que son amant était en agonie puis de trois grammes de cocaïne. Quand la Police arrive il était déjà mort.

- Pourquoi un enfant gentil, doux, attentionné, affectueux se transforme en un tueur sans pitié et imagine des scénarios machiavéliques, dit Julia au savoir des morts.

Les enquéteurs découvrent que le roi de l´acier a été assassine pour le jeune que fini de mourir de over-dose de drogue. La veuve Julia Medeiros est emmené à s´explique toute la situation. Puis des heures d´interrogatoire Julia se révéle qu´elle fait son mari plonger dans les tréfonds de l´âme humaine là où se mélangent mensoges, et vérités apparence er réalité là ou rien n´est pas simple vraiment rien, mais qui est donc Júlia Medeiros. Ses cheveux blonds bouclées lui couvraient délicatement le visage. Ils luisaient sous l’effet de l’intense lumière. Ses lèvres portaient une teinte discrète. Le visage d´elle ne laissa transparaître aucune émotion. Elle allait nier tout le temps participation en deux crimes. Une femme calculatrice, três froide, veule, peu de sentiment, quelqu´un capable affectivement de presque tout. Un détail crucial pour la Police. Elle avait tué les deux victimes pour échapper de les responsabilités et finalement rester avec la fortune de son mari. Le crime avait été registré par des câmeras de surveillances. C´était Roger Oliveira de 25 ans identifié comme l´assassin du milliardaire et trouvé mort dans la maison de la veuve scène de crime; le policier de la scientifique chargé de relever d’éventuelles empreintes avait terminé. La maison fut entièrement fermée et la porte principale dotée des scellés de circonstance. Ordre fut donné d’emporter le corps pour autopsie; diverses photos furent prises de la scène du crime. Elle marchait sans faire de bruit, prenant bien le soin d’ouvrir grand les yeux pour ne pas se perdre, et se demandant si elle allait à la morgue pouvoir reconnaitre le repère de l’homme qu’elle considérait comme son Dieu sur terre, mais maintenant il était mort.
Dans la centrale de Police. Leur premier soin, de retour rue, fut d’interroger Julia Valle qui semblait avoir retrouvé ses esprits. Elle paraissait même bien moins affectée que la veille, elle était vêtue élégamment, discrètement maquillée et répondit clairement aux questions. Oui, elle avait noté dès son arrivée quelque chose d’anormal puisque le portail n’était pas ouvert, les volets pas fermés et aucune lumière dans la maison si ce n’était les lueurs de la télévision. Non, elle ne connaissait aucun « ennemi » à son mari. Son amant était vicieux en cocaïne.

- Je suis avocat et je vais m’occuper de ta défense, tu n’as rien dit de compromettant à la police? Je ne peux rien promettre si ce n’est d’essayer. Est ce quelle te soupçonne?
- Neil, c’est affreux, j’ai peur!
- Je ne peux pas croire ça, ça semble tellement inconcevable!
- J´aiimerais savoir si Madame avait un comportement normal à vos yeux ces derniers jours.
- Tout à fait normal. C’est une personne équilibrée, créative et très dynamique dont je n’ai qu’à me féliciter de la compter parmi notre personnel. Je suis désolé inspecteur, mais comme je l’ai dit, tout s’est passé très vite et je n’avais aucune raison de m’interroger.
- Nous en sommes étonnés.Vous savez que son mari Mauricio Valle est mort. Aviez vous eu des problèmes récents avec lui?
- Non... Mon dieu, c’est affreux! Qui a pu faire une chose pareille?
- C’est incroyable, pourtant je dois bien me rendre à l’évidence. Nos sources ont indiqué que vous étiez l’amant d´assassin de son mari, est-ce exact? Qui a découvert son corps? Demande le policier.
- Bien sûr... Pourquoi la femme de ménage n’avait-elle pas le double des clefs.
- En effet, il y a autre chose qui me perturbe. Vous avez parlé qu´il était en agonie.
- La femme de ménage, pas moi.
- Je vois. On l'interrogera le moment venu. Pensez-vous à la théorie du suicide? Mais vous êtes là, sur la scène du crime. Je reste cependant persuadé que toute cette affaire à été minutieusement préparée et que notre assassine à prémédité son geste de longue date.
- Mais quelle différence cela fait. Vous êtes présents. Comme vous le souhaitez. Hors de mon esprit cette idée pour en arriver à de tels extrêmes. Elle possédait une force d’âme que tout ici nous aurions aimé avoir.
- Des tas de questions se bousculaient dans ma tête. Mais comment cela pourrait-il être possible? Il tue son mari et va suicider dans la maison de la victime? Bon sang! Quand allez-vous cesser de voir les choses d’une aussi simple façon?
- Vous semblez ne pas vouloir que votre interrogatoire touche à certains sujets. Je pense que nous n’avons plus de question pour vous. Merci pour votre collaboration.
- J’ai cru lire dans sa voix quelque mensonge. Il avait parlé sur un ton qui sonnait faux, Je sais qui est la coupable, dit un enquêteur. Revenez un autre jour. Vous connaissez la sortie.

Julia Medeiros était prise de violents frissonnements. L’atmosphère qui régnait lui fit un effet bizarre. Elle avait la très forte sensation de revivre une scène qui avait opéré un changement important dans sa vie. Avait-elle compris tout de suite que l’issue lui serait fatale. La belle blonde n’avait pas bonne mine. Son teint était pâle et les rides sur son visage semblaient vouloir engloutir ses yeux ronds. Le vertige s’était emparé d’elle et même assise, les agents avaient la sensation qu’elle tomberait. Elle s’efforçait d’articuler les mots correctement. Julia avait un visage lumineux de beauté comme il est rare d'en trouver dans le monde moderne. Une vraie beauté de la nature qui n'avait besoin d'aucun artifice pour provoquer un arrêt cardiaque à l'homme le plus averti.
Plus tard dans sa Maison... Et là, la blonde était vraiment très fatiguée. A la limite de l'épuisement nerveux et physique. Alors, elle qui se passait réellement la nuit dans ses soidisant salles de jeux, boîtes de nuit et autres clubs privé. Julia sortit de sa chambre emmitouflé dans un peignoir éponge, les cheveux blonds tout ébouriffés, les yeux bleus gonflés de sommeil. Un vrai zombie. Elle savait tellement de choses. Sur tellement de gens. Le chef du trafic de drogue de la Rocinha pouvait-il accepter de prendre de tels risques? C'était de l'inconscience. L'idée lui vint qu'il faudrait peutêtre un jour la tuer. Puis il chassa cette pensée de son esprit comme une mouche importune. Julia Medeiros est une femme trop dangereuse. L´envie d'être débarrassée une fois pour toutes de la vie de merde, de la journaliste blonde.
Elle quitta le lit et fit mouvement vers la fenêtre ouverte. Elle passa la tête dehors et offrit son visage à lécher au vent. Puis, levant les yeux vers le ciel, elle soupira bruyamment et sentit son tourment se fondre dans le spectacle qui s’offrait à elle. Car le jour naissait. Quelques rares étoiles, rescapées momentanées de l’arrivée imminente du soleil, s’efforçaient encore à garnir un ciel délavé où quelques nuages agonisants se maintenaient dans une infrangible solidarité. A côté de Julia, un grand miroir épousait les dimensions de l’une des portes de la penderie. Elle allongea une main vers l’interrupteur et prit un moment à se regarder dans la glace. Et là, en état de choc, elle porta ses mains vers sa bouche pour ne pas crier. L’autre femme qu’elle avait en face d’elle posait sur elle un regard où seule la tristesse pouvait se lire. Elle paraissait plus vieille et plus épuisée. Ses paupières enflées, qui s’ouvraient difficilement sur des yeux rougis, laissaient deviner le dur traitement qu’elle leur infligeait en éloignant à chaque fois le sommeil. Le visage lui-même, avec le front plissé, les joues creuses, les pommettes rentrées et les lèvres gercées, était comme recouvert par un sombre voile où avait disparu l’éclat de la vitalité. Nicole peinait à croire que c’était vraiment elle, là, dans la glace. Pourtant, en se passant une main sur le cou, elle se sentit bien amaigrie. Elle portait une robe de chambre à dentelles qui avait du mal à résister à la poussée de ses clavicules devenues saillantes.
Elle habitait une somptueuse maison. La chambre où elle se trouvait se situait au deuxième étage. Elle y avait vécu avec Mauricio Valle des moments qui s’étaient accrochés à son esprit comme des papillons rares. C’était une pièce bien aérée qui avait des mensurations imposantes. Savamment décorée et tapissée à la marocaine, ses murs étaient ornés de tableaux de grande valeur dont la beauté résonnait comme un poème à la nature. Un lit imposant trônait au centre de la pièce et tout prêt des fenêtres, un siège en cuir marron se dressait derrière une table en bois massif dont les supports étaient embellis d’arabesques faites à l’encre dorée. Les fenêtres de la chambre, orientées vers l’Est, s’ouvraient sur un carnaval de couleurs issues des fleurs du jardin. Et n’eut été l’entrave provisoire de l’obscurité mourante du matin naissant, Nicole aurait eu une vue imprenable. Sans faire de grands efforts, elle savait cependant que de sa position, se trouvait en face d’elle une ronde de bégonia que ceinturaient des grappes de roses de porcelaine. Qu’à droite se dressait une rangée de cigarettes et qu’à gauche, tout autour d’une véranda très reposante, des impatientes faisaient une curieuse farandole. Mais que valait tout cela sans Mauricio Valle? Le luxe dans un amour boiteux ne valait-il pas la misère aussi longtemps que le cœur restait privé de sa raison de battre?
Ce n'était pas policier, mais un homme qui passait devant elle. Un homme qui ne lui était pas inconnu, même si sa fichue incapacité à reconnaître les visages l'empêchait de se rappeler qui il était. Et il devrait la tuer. Elle venait de le voir commettre un meurtre de sang-froid. L'homme monta l'escalier sans faire de bruit. Ce n'était pas difficile, l'escalier était recouvert d'une épaisse moquette. Une peur affreuse la saisit à la gorge. L'angoisse l'empêchait de lire dans les pensée de l'intrus, mais elle “voyait” quelque chose de terrible. Comment cet homme était-il entré? Comment avait-il ouvert la porte blindée? Est-ce que dans sa peur de la colère, elle aurait oublié de la refermer? Qui était-il? Tout allait tellement vite. Elle savait que quelque chose de terrible était sur le point de se produire.

- Qui est vous? Qu’est-ce que tu viens faire ici? Je peux savoir pourquoi? Elle crie.
- Pas un geste! La voix du diable. Je suis venu te chercher. Arrête de dire des choses pareilles.
- Vas-t-en! Qu’est-ce qui t’arrive au juste? Ah mon Dieu… C’est fou comme le monde est fou.
- Rien, seulement que… Je suis trop stressé en ce moment . Je veux te parler. Oh non! Arrête de pleurer. Allez, c’est fini.
- Je n’ai pas l’envie de t’écouter.
- Voyons… Je suis prêt à tout et rien ne pourra m’arrêter. Vas au diable!
- Qu’est-ce que cela signifie? Vous êtes certainement ivre.
- Drôle de question. C’est toi!
- Veux-tu de l´argent? Voilà le code.

Mais qu'elle ne lui a indiqué la cachette de la clé. le code du coffre-fort. Chaque minute qui passait, chaque instant avait son lot de surprises désagréables. Et les moments à venir pouvaient fort probablement la conduire à la mort. La mort? Ce fut ce à quoi elle commença à aspirer soudain Elle se remit debout. Il tira à bout portant, en plein dans son visage. La belle blonde s'effondra sur son lit. De la cervelle, du sang et des esquilles d'os avaient giclé contre le mur et sur le lit. Julia était muette d'horreur. Il jeta un dernier coup d’œil sur la scène de crime, ramassa la clé du coffre et descendit les escaliers en courant. Pendant ce temps-là, l'homme avait refermé le coffre-fort où il avait pris ce qu'il cherchait.

- Oh mon Dieu! C'est pas possible! Pour la première fois depuis la scène atroce, des larmes se mirent à couler. Un sanglot noua sa gorge, ses derniers mots et elle était mort. Abattu comme une chienne.

L'enquête avait conclu à un suicide et l'affaire avait été plus ou moins classée. Plus ou moins, parce que pas mal d'éléments n'étaient pas clairs. Le tueur, lui, était toujours en liberté et plus puissant que jamais car à coup sûr il appartenait au Cercle de la vente de drogue. On se doutait bien qu'un jour elle finirait par y passer. Personne ne fut surpris de ce qui était certainement une exécution. Assassinat ou suicide? Officieusement on en discutait sec. On soupçonnait l'un et l'autre. Mais le résultat des empreintes digitales relevées sur le coffre-fort arrive. Après avoir fait à nouveau une analyse fine de la situation, toutes les empreintes sont celles de Jorge Tadeu un tueur à gages très connu de la police. La police retrouve les empreintes de le criminel, mais aussi d'autres empreintes à plusieurs endroits.

- Comment s'est-il procuré une télécommande programmée pour ouvrir le garage?

Effectivement, on vient de trouver dans une cache des objets sans doute volés dans la maison du assassin et parmi ceux-là des louis d'or. Mais difficile de savoir s'ils sont tous là parmi les très nombreux bijoux. Parmi les autres objets, une vraie caverne d'Ali Baba, difficile de trouver d'autres objets qui leur appartenait. Les objets retrouves sont suffisantes pour inculper Jorge Tadeu et le mettre en état d'arrestation pour meurtre et vole. Les enquêteurs vont ils élucider ce vole et l assassinat de la journaliste.

Fin

teresinapr@hotmail.com
Ivan Ribeiro Lagos







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